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Satsang 4

25 Septembre 2018

Donc là c’est le Satsang 4 du 25 septembre 2018, et tout-venant, donc on peut poser toutes les questions qu’on veut sur n’importe quel sujet, jusqu’à 13 heures.

Il y a deux questions écrites.

Question : Peux-tu, en quelques mots, me signifier la conscience fragmentée ? Et quel est le rôle du cerveau dans la conscience ? Voilà. Merci Jean-Luc.

Ce qu’on appelle la fragmentation de la conscience, c’est simplement les différents aspects de la conscience, tels que les avait parfaitement définis Bidi en 2012 déjà. C’est-à-dire la conscience de rêve, la conscience d’éveil, la conscience de sommeil, et la conscience Turīya.

Il est évident, maintenant, vu qu’on vit cette conscience nue, pour déjà pas mal de gens, il est évident qu’on peut constater, en parlant en termes de conscience, que vous avez les individus qui sont enfermés dans un personnage, quelles que soient leurs croyances. Vous avez des frères et des sœurs qui ont ouvert les portes à certaines perceptions et à certains vécus, donc là on parle de supraconscience. Bien évidemment, tout ce qui est appelé inconscient, subconscient, dans les différentes formes de psychanalyse ou de psychologie, ici interviennent que très peu. Et bien évidemment, on a maintenant ce qu’on a appelé la a-conscience, c’est-à-dire, au travers de la supraconscience, s’exprime ce qu’on a dit, c’est-à-dire le non-être.

Donc, tant que l’être humain est fragmenté, tant que ces différentes facettes, on va dire, de sa conscience, ne sont pas vues, ou réunifiées, mais déjà vues et acceptées, on parle de fragmentation de la conscience. C’est-à-dire, tant qu’il n’y a pas, ou si vous préférez, on a appelé ça, d’alignement corps-âme-esprit, c’est-à-dire, tant qu’il y a pas d’éclairage. Cet éclairage fonctionne dans tous les sens. Il faudrait pas le voir comme c’est la conscience personnelle qui éclaire la supraconscience, qui éclaire, qui éclaire. Cet éclairage est multifacette, un petit peu à l’image du tétrakihexaèdre du cœur, mais il y a des voiles entre chaque conscience, on le sait bien.

Par exemple, pour être passé de la conscience à la supraconscience, il fallait déjà activer les chakras du haut, c’est-à-dire recevoir l’esprit saint, activer le septième chakra, le sixième chakra. Ça, c’est ce qu’on appelait l’éveil. Après, cette énergie descendait, elle arrivait au cœur, elle arrivait jusqu’au plus bas, puis après elle remontait, accompagnée d’autres éléments au niveau vibral et énergétique, ce qui a permis donc de prendre conscience, c’est le cas de le dire, de voir cette fragmentation de la conscience.

Mais voir cette fragmentation de la conscience, on l’a vu à travers les années qui se sont écoulées entre 2012 et fin 2017 : même les frères et sœurs qui avaient vécu réellement l’onde de vie, qui était montée jusqu’en haut, et qu’on appelait, qu’on appelle toujours, des libérés vivants, n’avaient toutefois pas réunifié ou fait résonner les différents fragments de cette conscience. C’est-à-dire que vous aviez des frères qui vivaient leur personne, qui vivaient des expériences en supraconscience ou même multidimensionnelles, ou encore l’Absolu, mais il n’y avait pas eu de synthèse, ou si vous préférez d’intégration, c’est-à-dire de fonctionnement uniforme des différents aspects.

Et ce n’est que depuis le mois de décembre que progressivement, et en plus avec la fin de l’anomalie primaire, on peut dire, les ultimes voiles entre les différentes facettes de la conscience ont commencé à se dissoudre. Et à ce moment-là, on pouvait parler de réunification des différents fragments de la conscience, parce qu’effectivement, ce ne sont que des fragments, même l’Absolu seul. Le tort a été peut-être de croire que dès qu’on était Absolu, on était effectivement libéré vivant, mais que ça suffisait à transcender ou à traverser toutes les zones d’opacité de la personne ou de la supraconscience.

Et on sait maintenant que la conscience est une espèce de tache, une grosse maladie.

Et bien évidemment, tant qu’il y avait prééminence, par exemple des lignées, parce que ça fait partie de la révélation, durant plusieurs années, où les gens ont vu leurs lignées et les ont vécues… Mais tant que vous êtes une lignée, vous ne pouvez pas être libre, même si c’est votre origine stellaire. Et néanmoins, ça a été un passage obligé, qui a permis de réunifier ce qu’on appelle les quatre éléments, les quatre lignées, les quatre Hayoth Ha Kodesh, sur le point qui est au-dessus de la tête, qu’on appelle la fontaine de cristal. Et cette fontaine de cristal, qui a été vécue déjà depuis les années 2011-2012 par certains, il fallait que le travail entraîne spontanément une réunification des différentes parts.

Donc ça, ça a donné ce qu’on a tous vécu entre 2013-2014, et même 2016, jusqu’à 2016-2017, ben vous aviez des gens qui étaient absolus, d’un coup ça redescendait dans la personne, d’un coup il y avait des problèmes, et c’était pas toujours vu, c’était pas toujours éclairé. Donc on peut dire qu’en fait, (les parts de) la conscience une, je parle ici à titre de ce qu’on appelle un individu, doivent s’éclairer mutuellement. L’éclairage se fait tout seul, mais pour ça, comme on l’a vu, il faut traverser un certain nombre de choses, il faut pas qu’il y ait une de ces parts de la conscience, n’importe laquelle, qui arrête les autres éléments éclairés. La réunification, elle ne peut se faire que là. À ce moment-là, on est libéré tout court.

C’est-à-dire que, ayant vécu non seulement la supraconscience, ayant vécu non seulement la montée de l’onde de Vie… mais maintenant ce n’est même plus nécessaire, mais dans la cinétique de toutes ces années ..la conscience ne peut plus être fragmentée. C’est-à-dire qu’il y a une espèce de syntonie, comme je l’appelle, qui se crée entre les parties qu’on appelle encore la personne, parce que la personne, même si on en est libéré, ben elle sera là tant qu’elle est vivante, mais il y a une harmonie plus ou moins complète qui se déroule entre les différentes facettes de la personnalité, et surtout, quand on est maintenu, par l’intelligence de la Lumière, entre l’être et le non-être, bien évidemment, l’éclairage mutuel s’effuse en totalité à travers la personnalité et le corps. C’est pour ça que là, on parle de liberté totale.

Et d’ailleurs, hier je l’ai redit, ce n’est plus seulement, comme ça a été enseigné, cette liberté intérieure, mais c’est aussi une liberté extérieure. Cette liberté extérieure, ne la concevez pas comme la liberté de faire ce qu’on veut, mais simplement d’accueillir la Lumière et de laisser, comme je le répète sans arrêt, la Vie nous vivre. Parce qu’il n’y a pas de meilleure solution d’être dans cette Joie, dans ce rire et dans cette permanence, cette immuabilité, comme j’ai dit, de ce que l’on est ou de ce que l’on n’est pas.

Donc les fragments de la conscience, c’est uniquement les différentes facettes de la conscience une. Et la réunification de la conscience en une seule grande conscience, ça avait déjà été expliqué par Ramatan à l’époque, à travers les ensembles de six, douze et vingt-quatre consciences, qui permettent cette réunification de manière beaucoup plus aisée, et qui est donc un acte collectif, puisque maintenant il y a suffisamment de frères et sœurs sur la planète qui vivent cette conscience nue, qui vivent cet Amour nu et qui vivent maintenant la Liberté.

Et bien évidemment, les marqueurs les plus évidentes ne sont même plus, à ce niveau-là, ce qu’on pourrait appeler la vibration, les chakras, les portes et les étoiles, mais c’est un vécu, intérieur comme extérieur, où la Liberté est réellement totale. C’est-à-dite que vous n’êtes plus dupes, ni de la personne, vous n’êtes plus dupes de vos visions ou de vos expériences en conscience nue, quelles qu’elles soient, même si elles ont été très extensives, et vous vous tenez effectivement dans ce qu’on appelle hic et nunc, c’est-à-dire l’instant présent. Et à partir de là, il n’y a plus aucun problème entre les différentes parties de la conscience, et même avec la a-conscience.

Et là, à ce moment-là, on parle de… il n’y a plus de fragmentation de la conscience, et effectivement, c’est une forme de ré-unification, qui permet, par le jeu des résonances de l’intelligence de la Lumière, de créer les fameux hexagones et les structures géodésiques qu’on a appelées les Merkabah collectives, tout simplement, qui permettent de réunir de manière non volontaire un certain nombre de groupes de personnes, pas par une assemblée, comme ici, mais c’est indépendant de nous, qui permet de créer ce maillage de consciences libérées de la conscience, si on peut dire, par la matrice christique, sur l’ensemble de la Terre. Auquel n’importe quelle conscience à dorénavant la possibilité de se relier, si on peut dire, pour trouver la même liberté. C’est pour ça que c’est accessible à tout le monde et qu’on n’a plus besoin des interfaçages du corps d’éternité, des portes, des étoiles, des chakras, et de tous les processus vibraux.

C’est-à-dire que l’intelligence de la Lumière n’est finalement rien d’autre que la jonction entre l’être et le non-être, ou si vous préférez, l’ultime présence et l’Absolu. Et c’est ça qui va s’effuser, à condition qu’on le laisse faire, c’est pour ça qu’il faut rester tranquille, à condition qu’on laisse cette intelligence de la Lumière œuvrer, puisqu’elle va agir dans tous les secteurs du corps, de la personne, des relations, à tous les niveaux. Et c’est extrêmement facile, le plus dur étant de faire admettre à la conscience, c’est-à-dire aussi bien la conscience personnelle que la supraconscience, qu’elle n’a besoin de rien faire, et simplement de laisser être ce qui est.

Mais de plus en plus, plus vous êtes dans cette acceptation et dans ce laisser-être, réellement et concrètement, c’est-à-dire de pas mettre la compréhension ou le besoin d’explication devant, mais cette Joie, qui est là spontanément, si vous la laissez s’effuser, l’éclairage est tel, que même ce qui pouvait être dissonant dans certains aspects de ces fragments de conscience, se trouve de lui-même transmuté. Et c’est la voie la plus rapide.

C’est pour ça qu’aujourd’hui, vous constatez, autour de vous, des frères et des sœurs qui la veille étaient dans des tas de problèmes, et du jour au lendemain, mais vraiment du jour au lendemain, vivent un éveil total. Vous avez, bon, beaucoup d’exemples, comme Christiane Singer, comme des gens qui écrivent ou qui font des conférences sur l’Advaita Vedānta, et qui ont vécu ce genre de processus. Comme vous le savez, comme la spiritualité est une vaste escroquerie, puisque la spiritualité n’est que le reflet du manque d’Amour, et non pas croire que c’est une quête qui va vous mener à l’Amour, c’est impossible.

Quelle que soit la connaissance ésotérique, quelles que soient les pratiques, de quelque nature qu’elles soient, il est impossible de découvrir ce que l’on est à travers cela. On ne peut que vous en approcher. Et donc on peut dire, au final, que toutes les spiritualités, sans aucune exception, je l’avais démontré à l’époque à travers l’énergétique, bien sûr, sont d’origine luciférienne, c’est-à-dire dualitaire, par essence. Or notre essence n’a rien de dualitaire. Donc, reconnaître cela, c’est déjà, aujourd’hui, depuis la fin de l’anomalie primaire, accepter de vivre la résurrection et ensuite, de laisser se faire le sacrifice. Puisque le sacrifice ne peut pas être fait depuis la personne, absolument pas.

Donc voilà ce que c’est que les fragments de la conscience, simplement une appellation. Parce que quand on atterrit en cette a-conscience et que cette a-conscience redistribue l’information du temps zéro même jusqu’aux cellules, à ce moment-là, ben vous constatez bien cette fragmentation, vous la voyez en vous, dans ce qu’il en reste, et vous la voyez, bien évidemment, chez chaque être humain qui n’a pas totalement alchimisé son être et son non-être.

Et d’ailleurs, je vous l’ai dit, ça se voit dans la vie de tous les jours, ça se voit dans le fonctionnement du corps, ça se voit dans tout ce qui nous arrive, où l’Évidence, la Grâce, ne sont pas de vains mots, mais sont la stricte vérité de ce qui se vit, mais de façon permanente. Et plus les semaines passent, moins il peut exister le moindre espace de conflit, en soi comme avec n’importe quoi. Et bien évidemment, vous vous doutez bien qu’à ce moment-là, le sentiment, le vécu de la Liberté et de la Joie, sont omniprésents. Ils ne peuvent plus disparaître, quoi que vous fassiez. Vous ne pouvez plus être déstabilisés, c’est ce que j’ai appelé l’immuabilité.

Mais qui n’a rien à voir, encore une fois, même avec ce que disait Bidi quand il était incarné, puisque lui il parlait de tout et de rien, mais encore une fois, entre le tout et le rien, il y a toute la gamme des dimensions, qui aujourd’hui, effectivement, n’a plus besoin d’être traversée, puisque c’est la Lumière qui vous fait traverser ce que vous avez à traverser, si vous l’acceptez. Et à ce moment-là, même la conjonction, si vous voulez, de ce que j’avais nommé, au mois de mai, juin, le paradis blanc et le trou noir, s’alchimisent entre eux, ce qui fait que la conscience se maintient, quelque part, au cœur du cœur, comme ça a été expliqué, et tout se résout à partir d’ici. Et on n’a plus, effectivement, besoin d’aucun support, ni de mesure, ni de compréhension, ni de quoi que ce soit, parce que réellement et concrètement, la vie devient, et elle est, une évidence totale à tous les niveaux. À tous les niveaux.

Il n’y a rien qui puisse rester non pas inexpliqué, puisqu’il restera toujours des choses inexpliquées, mais même ce qui arrive en étant inexpliqué, est accepté, et permet, on le constate après, même si on n’y a rien compris, de toujours, toujours amplifier ce phénomène de Joie. Et c’est pour ça que je dis tout le temps que ça ne peut pas échouer, comme disait Bidi aussi, c’est que nécessairement, même s’il vous arrive des trucs en cette période que vous jugez comme détestables, terribles, horribles, ça n’a aucune espèce d’importance. Parce que c’est justement ce que vous avez à laisser traverser ou à traverser, qui va vous permette de réunifier les différents fragments. Et ça se fait, encore une fois, tout seul.

Bien évidemment, il y a des fois où il faut agir, l’un ne contredit pas l’autre, et surtout n’exclue pas l’autre, mais c’est une attitude avant tout, une posture de votre propre conscience, en quelque aspect que ce soit, qui permet cela. Et à ce moment-là, bien évidemment, il n’y a plus de mental qui tienne, il n’y a plus d’affect, à proprement parler, qui tienne.

Et ça c’est pas une théorie, c’est ce que vous constatez chaque jour, quand vous le vivez.

Voilà pour ta première question. Il y en avait une deuxième, non ?

Il y a un complément à la question, c’est : quel est le rôle du cerveau ?

Ah oui, c’est vrai. Ben… alors. Vous savez que le cerveau.. On a identifié en neurosciences, tout ce que nous, nous appelons les étoiles, sont des centres particuliers au niveau du néocortex. Alors bien sûr, dans la tradition, on vous parle de l’épiphyse, du troisième œil, de la pinéale et tout, comme du summum de la spiritualité. Ceci est archifaux. Parce que l’accès à la multidimensionnalité ne se fait pas à travers ces structures archaïques, qui appartiennent, comme par hasard, au cerveau reptilien, cerveau reptilien qui est le siège des automatismes.

Ensuite. Les douze étoiles correspondent à douze centres du néocortex, extrêmement importants. Par exemple, j’avais expliqué que sur les étoiles attraction-répulsion vous avez, depuis le thalamus central, des fibres, un neurone, un seul, un seul neurone qui va sur le cortex préfrontal, où sont les centres qu’on appelle de la décision. Et ces centres de la décision sont aussi des centres de valeur du bien et du mal. Tant que vous n’êtes pas ouverts, mais neurophysiologiquement, je parle même pas d’énergies, mais tant qu’il n’y a pas eu réellement et concrètement des fractions des gaines isolantes des deux chakras du haut, vous êtes soumis au jugement. Et c’est automatique, quoi que vous fassiez.

Parce que dans le cerveau, dans le cortex préfrontal, attraction-répulsion, vous avez un circuit de la récompense, et un circuit de la punition. Et tout être humain, quand il naît, et tout être humain qui ne vit pas ces processus, est soumis, en permanence, au circuit de la punition. Et quoi que vous fassiez, eh bien l’être humain, en lui, a toujours cette négativité, qui ne peut pas disparaître par la personne. Et ça, c’est prouvé en neurosciences, ça ne peut se faire que quand il y a une inversion du rapport entre le circuit de la punition et le circuit de la récompense.

Et ça, ça a été démontré de manière formelle, formelle, formelle, ça ne souffre aucune exception. C’est des travaux qui ont été menés au Canada par le professeur Michael Persinger à Ottawa, et qui a démontré ça de façon assez exceptionnelle. C’est-à-dire que tout être vivant a un circuit de la punition, ce qu’on appelle le complexe judéo-chrétien, où la punition est beaucoup plus forte que le circuit de la récompense. Par conte, quand vous avez perforé la gaine des chakras au niveau du cerveau, effectivement, il y a une inversion qui se fait au niveau de la prédominance, et le circuit de la récompense devient supérieur au circuit de la punition.

Mais dire qu’il faut pratiquer, par exemple, la dévotion et tout, c’est du pipeau. Parce que vous avez beau faire le bien, vous forcer à faire le bien, vous n’y arriverez pas, et c’est neurophysiologique. Vous pouvez passer 50 ans et des milliers de vies à prier votre chapelet ou à faire du yoga de la dévotion, vous ne serez jamais libres. Vous n’êtes libres qu’à partir du moment où il y a déjà une inversion de ce rapport entre le circuit de la punition et le circuit de la récompense, mais qu’ensuite, comme disait Bouddha, quand vous vous sauvez, c’est-à-dire quand vous abandonnez les pouvoirs de l’âme, tous les siddhi, à l’esprit, donc au cœur.

Et à ce moment-là, bien évidemment, il y a d’autres modifications qui se produisent, qui ne sont plus liées seulement aux étoiles qu’on appelle attraction, répulsion, mais le plus important se produit sur les étoiles hic et nunc, qui correspondent simplement à deux zones du cerveau. Une qui est très simple à comprendre, pour les droitiers c’est du côté droit, c’est l’aire du langage, les aires de Wernicke et les aires de Broca, et de l’autre côté, vous avez tout le cortex sensitivomoteur.

Et on sait pertinemment que des gens qui sont libérés vivants, je parle pas de l’éveil, mais là, vraiment, des grands mystiques, qui sont passés au PET scan, c’est-à-dire au scanner un peu plus amélioré, aux champs magnétiques, où on a démontré que les zones électriques du cerveau, qui signent la libération d’un être vivant, c’est l’activation, au niveau neuroscientifique de l’aire du langage. Et de, bien évidemment, ce qu’on a appelé la descente de la Shakti et la montée de la Kundalini dans le canal de l’éther. Qui est lié à l’activation de la scissure de Sylvius, c’est-à-dire tout le cortex sensitivomoteur qui ne fonctionne plus de la même façon.

Et l’aire du langage, le langage qui est la division, bien sûr, puisque le cerveau ne reconnaît pas les mots, il reconnaît les mots en concepts, mais reconnaît avant tout les syllabes. C’est pour ça qu’on parle de langue des oiseaux en français, on dit que c’est la langue des oiseaux. Quand on dit genou, le genou, c’est pas le genou, c’est je et nous, c’est-à-dire un problème entre je et nous. Ça, c’est ce que comprend le cerveau.

Alors, après, bien évidemment, ça c’est pas la conscience, c’est des fonctionnements multidimensionnels qui sont répartis sur ces douze étoiles. Par exemple l’étoile OD qui est extrêmement importante sur le triangle de la terre que beaucoup de gens sentent à l’arrière de la tête, qui peut faire mal, parce qu’il rejoint le cœur, c’est le lieu où est stocké tout l’inconscient, mais pas seulement le vôtre, tout l’inconscient planétaire. C’est-à-dire qu’on porte tout l’akasha, toutes les mémoires akashiques de l’univers, dans notre cervelet. C’est toujours pas la conscience, ça.

La conscience en elle-même.. alors quand on regarde au niveau traditionnel, la conscience est reliée bien évidemment au chakra de l’âme et de l’esprit, c’est-à-dire la goutte rouge et la goutte blanche, qui correspondent, au niveau organique, à la partie postérieure du cœur où il y a les oreillettes, qu’on appelle les nœuds sino-auriculaires. Et c’est effectivement là que l’influx du système nerveux autonome donne l’ordre au cœur de battre. Et c’est ici que se passe l’alchimie entre l’âme et l’esprit, quand se réalise ce qu’on appelle la respiration du cœur.

Bien évidemment, c’est des modifications neurophysiologiques qui surviennent réellement et concrètement, et ça on l’avait retrouvé déjà il y a très longtemps avec Drouot et Jacques Donnars, quand on avait fait des électrocardiogrammes en déclenchant des transes, des régressions ou des phénomènes de mort-renaissance. Où là, on voyait clairement à travers les électroencéphalogrammes et les électrocardiogrammes que quelqu’un qui vivait une expérience mystique réelle, et non astrale, avait de manière certes transitoire, mais réelle à ce moment-là, un décrochage au niveau du cœur sur la conduction de l’influx nerveux qui va de l’oreillette au ventricule.

Eh bien le temps de propagation de l’onde était extrêmement rallongé et c’est ça qui donnait ce sentiment de respiration du cœur que maintenant vous vivez. Donc, les modifications liées à l’éveil, et à la libération, ne sont pas des processus qui se passent ailleurs, ça se passe dans ce corps, avant toute chose. Parce que si ça se passe pas dans ce corps, ben ça sert à rien, tout simplement. Ça a toujours été dit, la transsubstantiation et l’ascension, elle se vit dans ce corps, même si au moment final, il n’y aura plus de corps. Mais elle doit s’incarner.

Alors, après, où est la conscience ? Au niveau cérébral, il y a deux structures, qu’on a considérées comme servant à rien. La même chose qu’en astrophysique, on voit une étoile par-ci par-là, tout le reste, du vide. Et on n’a pas tenu compte du vide pour faire tous les calculs. Eh ben dans le cerveau, c’est exactement pareil. On s’est intéressé aux neurones, aux circuits, au cerveau reptilien, au cerveau limbique, au néocortex, on a trouvé les centres de résonance, les étoiles, les fonctions.

L’accès à la multidimensionnalité, par exemple, se fait à travers l’étoile IS. C’est-à-dire que dès qu’il y a une activité électrique sur l’aire du langage, vous n’êtes plus soumis au langage, et vous êtes libres. Et dans tous les états multidimensionnels, où les gens ne sortent pas dans le corps astral, dans l’illusoire, mais vraiment dans ce qu’on appelle le grand ciel, le monde angal, eh ben nécessairement, on observe cette zone qui est hyperactive au niveau électrique. Mais c’est toujours pas la conscience.

Donc on s’est intéressé aux neurones, tout ce qu’on apprend en médecine, même en neurosciences, on connaît maintenant, on sait parfaitement comment ça marche. Oui, mais on a négligé l’essentiel, c’est-à-dire, les cellules gliales, qu’on a appelées des cellules de support des neurones, qui sont considérées comme des cellules nobles, et les astrocytes qui sont des cellules, qui sont des étoiles qui relient différents neurones entre eux. Et… Alors je sais bien qu’il’y a certains chercheurs qui disent que la conscience est logée dans les astrocytes, c’est absolument faux. La conscience est un mapping du cerveau qui n’obéit pas aux réseaux neuronaux, mais simplement aux cellules gliales. Par analogie, les étoiles c’est les neurones, et le vide c’est les cellules gliales. C’est ce qui maintient l’apparence d’une cohésion.

Et la conscience n’est pas localisée, ni dans le cœur, même s’il y a l’équivalent au niveau de la goutte rouge et de la goutte blanche, ni même dans ces cellules gliales. C’est-à-dire que le cerveau, la tête, le lieu de récapitulation, c’est le lieu où s’imprime la conscience. Le sentiment d’être une personne, une identité, est lié simplement à l’activité de ce qu’on appelle le noyau le plus profond du cerveau reptilien qu’on appelle le thalamus central. C’est d’ailleurs lui qui est enfermé.

Au moment de la libération, il y a un certain nombre de modifications électriques qui surviennent, je vous l’ai dit, au niveau de l’activité du néocortex. Il y a aussi des modifications neuroanatomiques extrêmement importantes. Par exemple, il y a une fracturation du plancher des fosses nasales, qui s’accompagne de saignements de nez, le plus souvent la narine gauche, au début, et parfois par moments, qui fait que l’oxygénation du cerveau ne se fait plus seulement par voie vasculaire, mais par voie transmembranaire, à travers le plancher des fosses nasales. C’est pour ça que vous avez des techniques de yoga où il y a la respiration alternée par le nez, en espérant faire monter l’oxygène au cerveau par le nez et non plus par le sang.

Et c’est effectivement ce qui se passe, parce que tous les gens à qui on a fait des scanners à l’époque, par exemple sur des gens qui avaient fait des expériences de mort imminente, c’est des travaux qui remontaient même avant l’existence du PET scan, c’est-à-dire de l’IRM fonctionnelle, où on voyait pertinemment l’aire de Wernicke, de Broca et la scissure de Sylvius qui étaient en hyperactivité électrique. De la même façon qu’on notait déjà que tous ces gens qui avaient vécu une expérience de mort imminente, c’est-à-dire qui étaient sortis du corps, qui avaient traversé le tunnel et surtout pour ceux, un sur dix, qui avaient traversé le soleil pour voir que de l’autre côté ben il n’y a rien, c’est le néant, c’est le fameux absolu, qui sont allés jusque-là, qui eux, avaient des modifications extrêmement importantes, même sur toutes les hormones du corps.

Donc c’est une réalité, quand vous êtes libéré, ben vous assistez, comme je l’ai dit, à la disparition de tous les besoins, à la disparition de l’idée ou du sens d’être une personne, et les modifications au niveau du thalamus central sont effectivement visibles, le siège de la pinéale devient turgescent et, bien évidemment, vous n’êtes plus dans la tour de Babel de de la division du langage ou de la division des fragments de la conscience, mais vous réunifiez la conscience.

Donc, nous, ce qu’on observe dans le cerveau, même aujourd’hui, à travers tout ce qui a été découvert en neurothéologie, c’est la cible de la conscience. Mais la conscience est un mapping. D’autant plus que quand… surtout maintenant que vous avez la conscience qui passe en totalité dans le corps d’éternité, elle est où, la conscience ? Donc vous avez une conscience. La conscience personnelle, l’idée d’être une personne, ne vient uniquement que du fait de se croire identifié à la personne. Et ça, c’est enfermé et maintenu par les noyaux du siège de l’identité, au niveau de tous les noyaux du thalamus central et latéral, là où se trouvent, de chaque côté, ce qu’on appelle les deux premiers ventricules, qui impriment, au niveau de toutes les cellules du corps ce qu’on appelle ce mouvement respiratoire primaire binaire, inspir-expir, et qui est un rythme à deux temps et qui est donc binaire, tout simplement, et duel.

Et tant que l’hypothalamus n’a pas été fracturé, et d’ailleurs, aujourd’hui, on sait très bien qu’on peut fracturer ça, même avec ce qu’on appelait des drogues, qui maintenant ne sont plus des drogues. Je parlais à l’époque de la salvinorine, c’est-à-dire la Salvia divinorum, mais on sait pertinemment aujourd’hui que la DMT, par exemple, suffit à rompre l’idée d’être une personne, et ça a été prouvé par exemple sur des dépressions endogènes extrêmement graves. Là, c’est en intraveineuse, c’est pas les voies d’administration habituelles, avec des doses extrêmement faibles de DMT. Plus jamais, plus jamais, jamais la personne qui a eu cette injection de DMT, si elle était addictive, alors elle fera plus jamais d’addiction, si elle avait une dépression, même extrêmement grave, elle n’existe plus.

Donc, les neuroscientifique et les pharmacologues qui ont étudié ces molécules, et il y en a beaucoup aux États-Unis et au Canada, ont démontré qu’on pouvait tout à fait faire vivre à quelqu’un, par voie neuroscientifique, le fait qu’il ne soit pas une personne. D’ailleurs, vous avez Michael Persinger aux États-Unis qui a créé un casque avec des bobines à induction électromagnétique, qui permet de stimuler ces fameuses zones du cerveau, et vous pouvez recréer la liberté chez quelqu’un en activant, simplement, en mettant deux bobines électromagnétiques ici, qui vont stimuler les zones cérébrales, sur hic et nunc, ici et maintenant, et vous allez créer la libération. Comme avec la DMT ou comme avec la salvinorine. La salvinorine c’est définitif, la DMT aussi.

Donc, on sait parfaitement qu’il y a une chimie de la libération de l’individu et que, bien évidemment, tout ce qui a été mis en œuvre au niveau pharmacologique, à part pour la DMT, a été justement de trouver des techniques inverses au niveau électromagnétique pour enfermer encore plus les gens. Ce qu’on appelle les chemtrails, le wifi, la 4G, la 5G. La 5G, c’est la mort, si la 5G a le temps d’être installée, il n’y a plus aucune possibilité de conscience. C’est-à-dire que tous les êtres humains deviennent des moutons, sans aucune possibilité de réflexion. C’est-à-dire qu’on enferme encore plus l’individu.

Tout ça, donc, montre que la conscience est bien plus complexe que de dire qu’elle est localisée au niveau du cœur du cœur ou autre, parce qu’elle est non localisée. Elle est seulement localisée dans les 3D dissociées pour les individus qui sont persuadés d’être un individu, c’est tout. Ailleurs, en 3D unifiée, vous savez très bien, par exemple, qu’il y a des animaux sur Terre qui sont en 3D unifiée, même dans le monde enfermé, je parle pas des elfes ou des élémentaux, mais les dauphins. Quelle est la caractéristique des êtres, le plus souvent des mammifères marins, qui ne sont pas enfermés, c’est que les zones qu’on appelle hic et nunc, c’est-à-dire l’aire du langage, l’aire du cortex sensitivomoteur, sont recouvertes par deux lobes supplémentaires qu’on appelle, les lobes paralimbiques, qui permettent effectivement un accès multidimensionnel total.

Et d’ailleurs, bon, maintenant j’ai un peu lâché ça au niveau neuroscientifique, mais quand vous avez un être libéré, indépendamment des processus électriques sur les étoiles attraction-répulsion et hic et nunc, vous avez aussi des œdèmes qui apparaissent et le cerveau bouge, effectivement, il devient plus grand, parce qu’il y a une hypervascularisation qui se produit, non pas locale mais partout, d’autant plus qu’il y a une oxygénation qui se fait à travers le plancher des fosses nasales qui a été perforé.

Donc tout ça, c’est tout à fait concret, c’est tout à fait pratique, et je vous assure que, à l’heure actuelle, je parle là que des recherches officielles, on sait pertinemment comment moduler un être humain. Alors, le MK-Ultra, comme on dit, le projet Monarch, ça fait un peu désuet par rapport à ce qui est utilisé aujourd’hui. Parce que c’est affreusement simple de bloquer la conscience de quelqu’un, même à travers les écrans. Bon, Krishnamurti en avait parlé déjà il y a quelques années, mais un écran a une fréquence particulière qui est faite pour sidérer votre conscience, quel que soit l’écran. Alors bien sûr, comme on est rentré dans la matrice christique, on a bousillé ça sur certains, mais pas partout, même si on a mis le virus partout. Mais il est évident qu’un écran par lui-même, indépendamment d’Internet, indépendamment d’Internet, est un système de piégeage, total.

Et vous voyez déjà, alors, bon, je parle pas des gens avec leur téléphone dans les mains partout, on est tous comme ça, mais même la télé, vous avez des gens qui allument la télé dès qu’ils se lèvent. Ils ne la regardent jamais, mais faut qu’elle soit allumée. Parce que ça émet, réellement, des fréquences particulières, qui sont des fréquences d’enfermement. Et pourquoi il nous a toujours été dit, depuis des années, d’aller dans la nature, de rester dans la nature et tout ça, parce que c’est évident qu’il n’y a pas d’autre façon que de se dépolluer.

Alors maintenant ça va encore plus loin parce que, avec les compteurs intelligents et tout ça.. Mais tout ça avait été annoncé déjà dans la COP21, depuis plus de vingt ans. C’est-à-dire, mailler électromagnétiquement l’ensemble de la planète. C’est-à-dire, essayer de passer des lignes de prédation liées à certains monuments, à quelque chose de plus subtil, qui est ce maillage électromagnétique qui a été quasiment créé en totalité de partout. C’est-à-dire, ré-enfermer la conscience dans ce que Steiner appelait le monde ahrimanien, qui est le monde de la technologie. Qui là, fait descendre la conscience au plus loin dans la deuxième dimension.

Mais Jean-Luc, c’est qu’on va en nature, mais ils viennent installer des tours.

J’ai pas compris.

Voix : On va en nature, mais ils sont en train d’installer des tours. Des tours de quoi ?

Des quoi ?

Des tours là, de transmission, de Wi-Fi.

Voix : Ah oui, des antennes Wi-Fi.

C’est ça, c’est que la nature est là, mais on a pas besoin de regarder loin pour trouver des tours de télécommunications…

Oui mais alors, attends. Là c’est pas très grave, parce que c’est encore la 4G. Mais les zones expérimentales de la 5G, les gens peuvent même plus vivre, là il est pas question de sensibilité au wifi, tu ne peux pas survivre dans de la 5G, c’est impossible. Et tout ça est prêt à être activé.. Donc, ils sont parfaitement au courant, et là, je vous parle encore que des recherches officielles, je vous parle pas des trucs secrets. Mais ils savent pertinemment comment fonctionne le cerveau, et déjà depuis très longtemps. Puisqu’on sait avec le projet Monarch MK-Ultra qu’on n’a plus du tout besoin de violence ou de guerre, comme au temps de la Seconde Guerre mondiale. Il suffit simplement d’endormir la conscience collective, de créer ce qu’on appelle, nous, les fake news, mais les vraies, pour que les gens adhèrent. Il n’y a plus aucune discrimination de quoi que ce soit. Les gens.. bon, De Gaulle avait dit a l’époque « les Français sont des veaux », mais c’est la planète entière qui est devenue un mouton.

Puis les spécialistes, ben c’est trente pour cent les fake news, parce qu’ils… (…)

Oui. Mais bon, ça prend des allures effectivement qui sont… qui sont terribles, parce que ça se voile de plus en plus. Les vaporisations de chemtrails, les métaux lourds qui sont dedans, les particules de baryum, les nanoparticules, mais notre corps en est truffé, on est truffé. Vous savez d’ailleurs que les gens qui sont enterrés ne se décomposent plus du tout. (Rires) Et c’est pas une blague, ils savent plus quoi faire des corps. C’est pour ça qu’ils essayent de favoriser la crémation. Parce que les corps ne se décomposent plus. On a tous tellement, même en mangeant bio, absorbé des nanoparticules, que c’est en train de transformer le corps humain en nano-chais-pas-quoi, c’est-à-dire un corps qui n’est plus biologique, qui est déjà un corps qui fonctionne sur ces fréquences-là. Mais ça, c’était annoncé par Steiner au début du vingtième siècle de façon formelle. Et c’est exactement ce à quoi on assiste.

Les premières années, moi, où j’avais lu l’histoire de la puce, début des années quatre-vingt, je me disais c’est quoi ce délire. Mais c’est tout à fait vrai. Eux, ils planifient très loin. Les résultats des compteurs intelligents, c’est des choses qui remontent avant même que le wifi existe. Et c’est Le Meilleur des Mondes, quoi, c’est tout. Et plus ce monde avance, plus il rentre en friction, je parle pas en résistance ou en opposition, mais en friction par rapport à la Vie, eh ben ça donne tout ce qu’on voit partout, quoi, c’est tout. L’arrivée de Nibiru aussi est liée à ça. C’est ces zones de friction qui ont été installées, qui déclenchent le chaos.

Donc, la conscience, elle est soumise à l’individu, tant qu’on pense encore être une personne. Mais ça ne sert à rien de dire je ne suis plus une personne, ça ne modifiera rien dans votre cerveau. Aujourd’hui, c’est différent. Parce que comme l’information du temps zéro est accessible pour tout un chacun, et non pas par des efforts x ou y, il vous suffit de vous sacrifier. C’est ce que j’ai expliqué hier aussi, par rapport à cette notion de don et d’accueil. Et vous n’avez pas d’autres solutions. Et et vous en aurez de moins en moins d’autres. C’est-à-dire qu’avant, on pouvait jouer sur le développement personnel, sur le bien-être, sur apporter un mieux-être, mais c’est impossible aujourd’hui. C’est impossible.

On a atteint un niveau de saturation d’ondes toxiques dans tous les sens du terme que, bien évidemment, comme le disait déjà à l’époque Georges Bataille, et tout au début où je commençais les canalisations, le fameux gendre de Lacan qui expliquait, que toute société de consommation, de toutes les histoires connues sur cette Terre, aboutissent à leur auto-consumation. Y’a pas d’autre alternative. Parce que ça crée de l’entropie. Et quand on est dans un système fermé, je parle pas de l’enfermement de la conscience, mais d’un système fermé, qui est la Terre, et que ce système fermé ne peut pas avoir une entropie, ce qu’on appelle la société de consommation, à l’infini. Puisque les ressources de tout sont finies. Et ça, ils le savent pertinemment. Pertinemment.

Donc, si vous voulez, dans le cerveau, on n’a que le reflet de la conscience, on sait que ça passe par les étoiles, on sait que ça passe par les centres de commandement du thalamus central et du thalamus latéral, c’est-à-dire le siège de l’identité ou de l’idée d’être une personne, et que tant que ça n’est pas déverrouillé, vraiment, eh ben vous pouvez pas être libres, quoi que vous disiez.

D’ailleurs, ça me faisait rire à l’époque, parce que, bon, quand on faisait les scanners, vous aviez des gens qui nous disaient « ah oui, moi j’ai vécu une NDE », ils nous racontaient… Quand vous avez interviewé cent ou deux cents personnes qui ont vécu des NDE, vous savez pertinemment comment se déroule le process. D’autant plus si vous l’avez vécu vous-mêmes. Et comme dans la spiritualité, vous avez des gens qui vous racontent des trucs… (Rires) Et vous voyez déjà que c’est faux. J’ai pris l’analogie par rapport à l’Advaita Vedānta. C’est facile de parler d’Advaita Vedānta, mais c’est pas pour ça que vous le vivez.

Et y’a plein d’auteurs qui écrivent sur l’Advaita Vedānta, je citerai pas de noms, mais qui à travers ce qui est dit, vous prouvent qu’indéniablement, ils n’ont rien vécu de l’Absolu, ils savent même pas ce que c’est. Mais simplement ils ont lu des livres, donc ils écrivent des livres. Ça c’est énorme. Et pour les NDE, pareil. Il y avait des gens qu’on voyait, on repérait tout de suite, dans les études, que eux, c’était farfelu, c’était pas vrai, et quand on faisait le scanner, ben effectivement, il y avait pas l’activation électrique des zones ici et maintenant, et donc c’était du pipeau intégral.

Faut pas confondre, effectivement, ce qu’on appelle l’astral, c’est-à-dire l’imaginaire, comme je l’ai expliqué, et l’imaginal. L’imaginal, c’est le monde des archétypes. C’est-à-dire, je ferme les yeux, si je suis dans l’imaginaire, je peux très bien voir le soleil, mais ça vous fera aucun effet. Par contre si je ferme les yeux et que je vois le soleil, et que c’est vrai, mon soleil-là, vous allez le sentir tout de suite. C’est toute la différence entre l’astral, ce qu’on appelle le petit ciel, et le grand ciel. C’est-à-dire que le petit ciel, l’astral, n’est pas nécessairement négatif, y’a aussi ce qu’on appelle le haut astral, mais ce haut astral n’a aucune incidence, ni sur la Lumière, ni sur la personne. C’est un plan qu’on appelle complètement intermédiaire, et qui correspond à ce qu’on appelle l’opposé, si je peux dire, des forces ahrimaniennes. C’est-à-dire les forces de fossilisation dans la technique et dans la technologie, qui sont les forces dites astrales, ou lucifériennes. Ahriman d’un côté, Lucifer de l’autre.

Oui ?

Au sujet des métaux lourds, il y a des plantes qui apparemment détoxiquent… (…)

Oui. Ben si t’arrives à me montrer une plante qui supprime l’influence des ondes électromagnétiques, ça existe pas. Détoxifier, oui, tout ce qui est métaux lourds, tout ce qui est… Mais supprimer une onde, il n’y a que la conscience qui le peut, quand tu as traversé, comme on l’expliquait pour le wifi. Mais alors pour la 5G, je doute même que, même en étant parfaitement libéré, on puisse le tolérer. Le corps ne supportera pas. Mais 3 et 4G, oui, c’est traversable. Même si on est sensible, c’est traversable. Par contre, la 5G, c’est impossible. C’est des ondes de mort, là on est vraiment sur… là, ils ont tapé très fort. Ce n’est plus les vaccins avec les particules d’aluminium et de métaux lourds, c’est la stérilisation complète de l’humanité.

C’est le micro-onde ?

Oui. Oui, oui, la 5G est couplée sur le principe du micro-onde, donc ça envoie des ondes quand même qui sont autrement… Voilà.

Ils ont pas besoin de chaudron pour mettre les grenouilles dedans…

(Rires)

Non, non. Ça chauffe tout seul de l’extérieur. Il n’y a plus besoin de récipient parce que c’est maillé. C’est pas encore activé, heureusement.

Vu que tu en parles, moi, quand j’étais sensible, les ondes 3G ça allait bien, mais les ondes du Wi-Fi, ça, c’était d’une agression pour moi…

Et surtout les derniers wifi, parce qu’il y a eu plusieurs normes.

Et au Canada, c’est mille fois plus puissant.

Ben oui, parce que vous êtes trop libres par rapport à nous, nous on est déjà… lobotomisés, donc on n’a pas besoin de..

(Rires)

Oui, Valérie ?

Tu as parlé, comme Abba et Bidi, de l’importance de vivre cette ascension dans le corps physique. Et qu’en est-il pour les êtres qui sont en stase, qui ne vont pas vivre ce processus dans le corps physique ? Est-ce que la finalité sera la même ? Parce qu’on parle sans cesse que ça se vit ici.

Alors, il faut répéter les questions, parce qu’il y a déjà les transcripteurs qui disent quand je parle tout de suite après alors que c’est loin, ils sont furieux, ils entendent aucune question. Et on n’a aucun moyen de les récupérer après. (son semblable à un sifflement)

 

[Fou rire de « les transcripteurs » accueillant et démentant en totalité cette étrange affirmation, tout en remerciant la touchante attention qui transparaît au travers]

 

Voix : On parle de la libération qui se vit ici dans le corps, mais qu’en est-il pour les êtres qui sont en stase ? Est-ce que ça va apporter une finalité différente ?

Ceux qui sont morts qui sont en stase ?

Oui.

Je comprends pas. J’ai entendu, mais je comprends pas ce que tu veux dire par là ? Ceux qui sont en stase, ils sont en stase, ils attendent le grille-planète final, point barre.

Mais qu’est-ce que ça changerait si on était tous morts, en stase, et qu’on attendait le grille-planète final ? Est-ce que ça changerait quelque chose ?

 

Voix : Si on était tous morts, en stase, est-ce que ça changerait quelque chose le fait d’attendre le grille-planète final ?

Je comprends pas ce que tu veux dire, je comprends rien.

C’est parce que les choses se vivent ici, tu dis, dans la matière, mais eux…

Mais ceux qui sont morts, ils sont morts, ils ont pas besoin de corps.

Comment ils vont vivre ça ?

Ceux qui sont déjà morts, si tu veux, sont en stase à un endroit très précis, qui est à la limite, si tu veux, de ce qu’on appelle le petit ciel et le grand ciel. C’est-à-dire au plus haut de l’astral qui, je vous le rappelle, était occupé il y a encore quelques années, avant la libération de Shambhala, par les fameux maîtres ascensionnés qui ont été blackboulés, à la Toussaint 2010, je crois. Donc ça a été remplacé par les désincarnés. Qu’ils aient une âme ou pas, peu importe. Ils sont dans un espace en stase, dans la lumière blanche qui sera, qui aura le même devenir que nous. Mais pour ceux qui sont incarnés, ça doit se passer sur Terre, ça doit se passer dans ce corps. Mais ceux qui sont morts, il n’y a plus de problème.

Parce que je me posais la question, tu parlais de la 5G où on seraient tous morts…

Ah non, la 5G, elle se diffuse sur Terre, elle se diffuse pas là-haut. La couche dont je te parle par rapport à l’atmosphère, là on est au niveau de la couche la plus immédiate qu’on connaît qui est la ionosphère.

Oui. Mais si on était tous morts, imaginons qu’on soit tous morts avant la stase.

Mais ça n’a aucune espèce d’importance. Je comprends pas où tu veux en venir.

Ben il n’y aura plus de Abbas pour absorber les multi-univers…

 

Mais il n’y a pas besoin, puisqu’ils sont déjà morts et qu’ils ont été mis dans un espace…

Il n’y aura plus de corps physiques sur Terre pour absorber les multi-univers, tous les univers.

 

(Rires)

On est suffisamment…

(Rires)

C’est largement suffisant. Même ceux qui n’y sont pas, qui sont en stase, eux ils ont pas besoin de participer à ça. La réunification, elle se fait en chacun, qui est présent, j’ai bien dit, sur Terre, incarné. Mais pas pour les désincarnés. Les désincarnés, ils sont déjà dans le paradis blanc, dès qu’ils arrivent, ils sont rattrapés dans le paradis blanc. Donc ils n’ont aucun problème.

De la même façon qu’on observe très très bien aujourd’hui, déjà depuis de nombreuses années, que les enfants qui naissent sont soit des enfants dits normaux, soit des enfants qu’on a appelés cristal, diamant, indigo, peu importe, mais ce sont des enfants qui ne viennent pas d’ailleurs, qui sont des humains qui ont été mis en stase et qui ont accepté de vouloir revenir, pour vivre la fin dans un corps. Mais il n’y a aucune obligation que toute l’humanité soit incarnée, on n’a jamais dit ça. La réabsorption, elle se fait en chacun, mais elle se fait aussi par chacun. Et la réabsorption, elle concerne aussi bien les autres dimensions que tous ceux qui sont en stase.

Voix : Mais je crois que Valérie voulait demander…

Mais c’est ça que je comprends pas, je comprends toujours pas ce que…

Valérie : Mais je peux pas le dire autrement, donc…

Voix : Est-ce que la finalité est la même, entre nous, incarnés, et ceux qui sont en stase… ?

Ben elle est la même pour tous les univers et tous les multivers, où qu’ils soient.

Mais le fait que nous soyons encore incarnés, c’est précieux pour réavaler tous les mondes. Et s’il y avait plus personne sur la Terre, est-ce que ça changerait quelque chose ?

Non, rien du tout. La puissance de réabsorption des mondes, elle se fait pas à travers la totalité de l’humanité. Elle se fait à travers ceux qui… d’abord par l’action de la stase, de l’événement, et ensuite par le grille-planète final. Tant que ce monde est présent, il n’est pas réabsorbé. Jusqu’à preuve du contraire, on est encore là. Cette réabsorption est en cours, par la réabsorption des essences, mais il nous reste quand même à manger la Terre, entre guillemets. Mais ça, ça ne peut être synchrone qu’à travers la libération de la Terre, c’est-à-dire le moment où elle-même l’a décidé. Elle l’a décidé depuis longtemps, mais au moment de la libération de la Terre qui a été actée déjà il y a de nombreuses années, par la libération du noyau cristallin, qui a été retiré depuis d’ailleurs, qui permet ça.

Mais c’est indépendant de où tu es. Pour nous, incarnés, oui, parce que ça passe à travers nous, mais ceux qui sont morts, ils sont morts. Puisqu’ils sont déjà dans le paradis blanc. Ils sont déjà en stase, eux. Nous, on l’a pas vécue, la stase. On l’a vécue au niveau individuel, par moments, surtout en janvier, février. Mais à ce que je sache, il y a personne qui a passé trois jours en stase, dans ce paradis blanc. On le vit par moments, moi je le vis quand je fais les soins maintenant, parce que la conscience passe en totalité dans ce paradis blanc, de même dans le corps d’éternité, mais ça dure pas trois jours. D’ailleurs si ça durait trois jours, je reviendrais pas, je pourrais pas revenir. Ça serait la mort, automatique, de ce corps. Parce que dès l’instant où tu restes trop longtemps dans cette structure qui est une structure radioactive, ça va une heure, ça va deux heures, ça va quelques heures, mais trois jours d’affilé, c’est fini. Fini fini, sauf pour ceux qui devront persister pendant quelque temps après, mais tu ne peux pas résister.

C’est un niveau, vibratoire, si tu veux, mais c’est des niveaux particulaires, qui ne sont absolument pas vivables avec un corps carboné. C’est déjà énorme ce qu’on vit à travers ce corps carboné maintenant, tu vois. Mais ne vois pas ça en termes.. quand on dit qu’on réabsorbe tous les mondes, oui. Mais ceux qui sont en stase, sauf ceux qui en sont sortis pour revenir, ils sont tous déjà réabsorbés. Ils attendent simplement le collectif. Mais on n’a pas besoin.. encore une fois, là aussi, il y a une notion de seuil. À partir du moment où il y en a suffisamment qui sont libérés tout court, le processus s’enclenche de lui-même. On le voit bien d’ailleurs sur le tchat dans résurrection live ou ailleurs, que tout se fait automatiquement. Tu peux pas résonner en termes arithmétiques ou spatiaux par rapport à ça.

Ben je sais pas si ça répond à ta question, parce que je suis toujours pas sûr d’avoir compris.

La réabsorption, elle se fait par les humains incarnés, par toute l’humanité. Mais c’est un acte collectif, cette fois-ci. Et dans cet acte collectif, quand on dit que tout le monde y passera et qu’on laisse personne, on parle bien évidemment des humains incarnés, mais aussi de ceux qui sont en stase, et aussi des autres dimensions. Ça fait aucune différence. La différence, elle est pour nous qui devons incarner et manifester, exprimer et rayonner, sans effort, cet état d’être et de non-être. Mais c’est tout. Ça a toujours été dit, qu’après, tout se fait automatiquement. Et c’est effectivement automatique, heureusement.

C’est un ensemble, si tu veux. Il y a tellement de facteurs intriqués : l’approche de Nibiru, la réaction de l’humanité à chaque moment, le nombre de frères et sœurs qui se libèrent, tout ça fait d’innombrables… sans compter les facteurs astrologiques, astronomiques divers et variés, l’état du soleil à un moment donné, enfin, il y a un nombre de paramètres qui est absolument phénoménal. Et tu ne peux pas, ni les calculer, ni pour personne d’ailleurs, même là-haut. Même au-delà, si tu veux, de toutes les sphères de Vie, quand tu arrives, par exemple à la ceinture de Van Allen, ou quand tu voyageais à l’époque sur ces plans dimensionnels, il y a une architecture et un agencement, puisque tout est imbriqué, les consciences comme les mondes. Y’a pas de distance, y’a pas de temps, y’a pas d’espace.

Donc tout ça, quand tu le vois depuis l’immuabilité, tu vois un ensemble où tout se déroule réellement et concrètement en même temps. (Toux) Y’a pas de distance, y’a pas de temps, y’a pas d’espace, ça c’est l’illusion de la personne. Puisque même ici, quand tu es libéré, tu n’es plus soumis ni au temps, ni à ta personne, bien sûr, ni au besoin. Et ça, tu le vis à travers le corps, sans rien chercher et sans aucun effort, c’est totalement naturel.

Donc, le processus de libération de la Terre… Bien sûr la réabsorption des mondes est liée à Gaya, est liée à tous les corps qui y sont présents, mais qu’ils soient présents dans un corps, parce que nous, on doit l’incarner pour que ça se manifeste en totalité, mais ceux qui sont en stase, peu importe. On n’a pas à demander l’avis des archanges, ou de Marie, ou de qui que ce soit, c’est un processus automatique. Où il n’y a aucune liberté de choix, ni libre arbitre, ni quoi que ce soit d’autre. C’est normal.

La création, je vous l’ai dit, même si vous ne pouvez pas le conceptualiser, est un rêve total. La conscience est une maladie. Je peux pas vous dire mieux.

Donc, bien évidemment, tant que tu es dans la conscience, tu auras toujours l’impression qu’il faut soit évoluer, soit vibrer, soit ceci, soit cela… Mais quand on parle de relâchement total et de laisser traverser, l’évidence de la résurrection et du sacrifice, quand elle est finalisée, aboutit à ça. Et tu le vois clairement. C’est pas une vue de l’esprit, ou mon imaginaire, ou quoi que ce soit, c’est la réalité vécue. Tu n’es plus soumis au temps, tu n’es plus soumis à l’espace, tu n’es plus soumis à quoi que ce soit.

D’ailleurs la conscience nue, bon, je l’ai démontré suffisamment en avril, mai, juin quand je voyageais chez les gens, je pouvais aller où je voulais. Je suis allé jusqu’à la ceinture de Van Allen, je pouvais aller chez n’importe qui sur ce monde, ou dans n’importe quel monde. J’avais une liberté totale. Que j’ai appelée la conscience nue. Parce que j’empruntais n’importe quel costume. C’est là que je me suis aperçu que même dire que j’ai vécu en Atlantide, que j’ai été un Elohim en Atlantide, ne veut rien dire. Mais tant que tu l’as pas vécu, bien sûr c’est…

Mais après quand on dit que cette transformation, cette transsubstantiation, plus exactement, s’imprime dans ce corps et dans cette conscience, ben c’est évident. Je peux pas tricher avec ça. Je peux me tromper dans les mots que je prononce, mais dans le vécu, il est bien réel. Je sais très bien que je peux sortir de mon corps à volonté, je peux me rendre où je veux, sans être arrêté par rien. Et je n’ai même pas besoin de corps, de costume, ou de quoi que ce soit. C’est pas du rêve, c’est la vérité.

Donc la vraie liberté, elle est là. C’est de ne plus dépendre ni d’un costume, ni d’un archétype, ni d’une  énergie, ni d’une vibration, ni d’aucun corps. Mais ça doit se vivre à travers ce corps. Et à ce moment-là, ben tu ne peux que constater la réalité efficace de ce vécu, sur ton propre vécu, à travers la chair, dans tous les secteurs de ta vie. Mais tant que c’est pas vécu, ben tu peux pas le constater. Qu’est-ce que tu fais, tu vas constater que t’as des fluctuations d’humeurs, des variations d’humeur, des douleurs, des maladies, que t’es encore soumis, si ce n’est à la personne, mais au moins à ce monde.

Mais il est impossible pour un libéré de sortir de la Joie, il est impossible d’avoir une addiction, il est impossible d’avoir un moindre comportement anormal, même s’il y a toujours un tempérament et une personnalité qui est là, bien sûr. Mais elle ne peut plus être, à aucun moment, en désaccord avec l’Amour et avec la Joie, c’est pas possible. Et c’est quelque chose qui est naturel. C’est pas un effort, c’est pas une ascèse, c’est pas un travail sur soi, c’est pas un travail de développement personnel ni transpersonnel, ça n’a plus rien à voir avec quelque référence que ce soit. La vraie Liberté, elle est là. Et elle est totale. J’insiste depuis des années, mais là, avec ce qui se passe maintenant, c’est d’une évidence totale, totale, totale.

Et je ne suis pas le seul à le vivre, il y a suffisamment de témoignages partout de gens qui vivent la même chose. Et on le vivra tous. Mais tant que vous restez soumis, par exemple, aux habitudes… Combien ont râlé quand j’ai commencé à parler des habitudes en me disant qu’il fallait quand même des règles… C’est du pipeau. Mangez quand vous avez faim, dormez quand vous avez sommeil. Dès que vous vous imposez à vous-mêmes la moindre règle de quelque nature que ce soit, vous ne pouvez pas être libres en totalité. C’est impossible. C’est-à-dire que vous vous soumettez vous-mêmes aux diktats du corps, même au niveau nutritionnel, comment voulez-vous être libres là-dedans ?

Et je te garantis que si tu adoptes cette vraie liberté, tu constateras, comme je l’ai dit, que des maladies héréditaires disparaissent, que des troubles qui étaient là de façon plus ou moins chronique, n’existent plus. Si tu veux, c’est comme les fous. On sait très bien que les vrais fous, par exemple, ne font jamais de cancer. Ils ont beaucoup de maladies de peau, parce que c’est à la limite entre l’intérieur et l’extérieur, mais les maladies dites dégénératives, n’existent pas chez les vrais fous. Ça ne peut pas exister, parce qu’il n’y a pas de sens d’être une personne. Sauf que là, c’est pas de la folie, ou alors c’est ce qu’on appelle en riant le fol-en-dieu. C’est la personne qui éprouve cette joie, cette liberté, sans ne plus jamais dépendre de quelque événement de son corps, comme de quelque événement de ce monde. Et ça, c’est vécu tout le temps, tous les jours.

Les autismes… Mon fils, apparemment, il est jamais malade.

Ben il peut pas être malade. C’est ce que je te disais, quand il y a un syndrome psychiatrique réel, je parle pas de névrose ou de… mais dans des états dits psychotique ou schizophréniques, effectivement, ils ne peuvent pas être malades. Comment voulez-vous qu’ils soient malades. C’est pas possible. C’est la personne qui vous rend malades. Faut quand même en être conscient. De là où je suis, vous n’êtes malades que parce que vous êtes une personne. Que quelque part en vous, il reste l’idée d’être une personne, que ce soit en vous-mêmes ou avec tous les liens, familiaux, sociétaux, affectifs, vous ne le voyez pas.

Qu’on se prend pour un corps aussi, alors. Je mange pas, il me dit… Quand on a pas envie de manger… Les autres ils mangent…

Mais non, mais.. C’est comme dans certaines formes d’autisme, où les gens n’ont aucune.. les enfants n’ont pas de limite entre l’intérieur et l’extérieur. C’est pour ça qu’ils supportent pas qu’on les touche. C’est pas parce qu’ils aiment pas être touchés. C’est parce que pour eux, tu les touches ou tu les regardes, ils deviennent toi, réellement et concrètement.

Moi j’ai déjà touché, travaillé sur des autistes, très très profonds, surtout jeunes. Parce qu’après, à l’âge adulte, c’est plus dur, surtout les Asperger et tout ça. Mais dans l’enfance, si t’as la chance d’en voir… C’est comme un peu les mongoliens. Un enfant qui a une trisomie 21, il est open, totalement open. (Rires) Oui, il est open, c’est vrai. Et t’as des… moi j’ai vu des mongoliens qui étaient maintenus dans le milieu familial avec un amour.. Et ces enfant-là ont un cœur… vous pouvez pas imaginer. Ils ont un cœur énorme. Que j’ai jamais vu chez un bouddhiste ou chez des moines. Parce que j’ai soigné des moines bouddhistes… (Rires) …qui sont tous sur le deuxième chakra. Par contre un mongolien, un autiste, il a le cœur ouvert. Je suis désolé, c’est comme ça.

Puis il paraît que les moines ils louchent, non ? (Rires)

Ah ben ils sont typiquement sur le deuxième chakra, ils ne sont que sur ça. Au niveau conscience, c’est que le deuxième chakra, le contrôle, le pouvoir. Ben c’est comme ça dans toutes les religions, mon vieux. Sauf quelques mystiques et quelque saints qui ont le don pour déverrouiller ça, mais tout ce qui est de nature religieuse, fait descendre ta conscience, même pas sur le plexus, sur le deuxième chakra.

Sauf les cathares.

Sauf quoi ?

Sauf les cathares…

Les cathares ? (Rires) Tu y étais ? Tu rêves. (Rire)

Il nous avait dit que la seule religion qui était pas falsifiée, Anaël, c’était le…

Oui, parce qu’elle avait supprimé les intermédiaires. Mais la religion, rappelle-toi ce que ça veut dire. Religion, ça veut dire troupeau. Parce que dès l’instant… Et on l’a compris dans les neurosciences, c’est-à-dire dès que vous créez ce qu’on a appelé, nous, un égrégore, dès que vous créer un égrégore, et avec la télé il n’y a rien de plus simple, vous réunissez des millions de personnes devant un écran, ils sont piégés. Parce que ça fonctionne comme ça dans la matrice. On en a parlé suffisamment dans les années 2015, 2016 à travers les liens, les lignes de prédation et tout ça. Il y a beaucoup de canas qui ont été données là-dessus, en particulier par les anciens. Et c’est la stricte vérité.

Et tant que vous croyez, au travers de votre personne, votre personnage, trouver la liberté, vous ne la trouverez pas. Vous la trouverez au grille-planète, mais pas avant. Et ça, vous le voyez dans votre vie de tous les jours. Vous avez pas besoin de vibrations, d’énergies ou de quoi que ce soit, vous voyez bien si vous êtes libres ou pas. Vous voyez bien si votre humeur elle fluctue, vous voyez bien si vous avez des émotions, vous voyez bien si votre mental vous emmène où il veut, vous voyez bien si vous êtes malades, quel que soit l’âge, vous voyez bien s’il y a des zones de résistance, ou pas.

Mais dans l’ultime, ou dans l’Absolu, ou dans ce que j’aime appeler la réunion du non-être et de l’être, parce que c’est exactement ça, il n’y a aucun espace pour la moindre souffrance. C’est pas possible.

Mais ça, je l’avais déjà dit et expliqué même avec.. depuis l’onde de vie. Et c’était d’ailleurs un problème, parce qu’on avait tendance tous… dès qu’on avait un problème, on disait c’est pas grave. Parce qu’on était pas affecté en conscience. Ben ça, c’était une erreur, fallait quand même s’occuper du corps. Donc on a rectifié à peu près tous là-bas, mais maintenant c’est profondément différent. Alors bien sûr qu’il y a encore des éliminations, pour la gorge, pour… Même moi j’ai eu une grippe terrible en décembre, alors que j’avais jamais eu de grippe de ma vie, mais ça passe.

Il y a rien qui peut demeurer. Bien sûr qu’il y a des choses qui traversent, chez tout le monde. Et il y en aura jusqu’à la fin. Mais entre traverser ou se faire traverser, par une mémoire, par un élément x, ou être affecté par cet élément x, il y a quand même une grande différence. Et tu ne peux que constater cette légèreté, cette Joie, elle est permanente. Et ça, c’est pas… c’est même pas de vous raconter ce qui se passe en conscience nue, ou dans d’autres dimensions, parce que pour moi ça n’a plus aucune espèce d’intérêt. Puisque maintenant tout se passe ici, et que même s’il y a des expériences qui se présentent, ben je les vis, mais c’est pas quelque chose que je vais rechercher.

Puisque la Joie la plus totale, elle ne peut s’éprouver qu’à travers ce corps. Et j’ai beaucoup plus de Joie, je dirais à la limite, à être dans ce corps maintenant, qu’à faire tout ce que j’ai fait en mai, juin, à aller taper sur les volcans et aller détruire les miroirs de Van Allen. C’est beaucoup plus épanouissant, beaucoup plus libre ici, pas ailleurs. Alors bien sûr que la conscience est avide, surtout quand elle a pas vécu cette conscience nue, ces états d’expérience, elle a l’impression de devoir les vivre. Ben non, je me tue à dire que c’est absolument pas… aujourd’hui, c’est même un retard.

Plus vous serez effectivement dans cette simplicité, cet accueil, à tous les niveaux, même par rapport à vous-mêmes… Parce que, ça a été dit par Bidi, et je vous le répète, on est tous observateurs de soi-même, qu’on le veuille ou pas, on est tous dans l’emplacement du témoin. Et tout le monde est à même de repérer son propre mental, ses propres souffrances, ses propres problèmes relationnels, on les voit tous. Et là, qu’est-ce que vous faites ? C’est simple, soit vous réagissez, soit vous accueillez. Il n’y a pas d’autre alternative.

Et la Vie va vous conduire, va nous conduire tous, même les libérés totals, à traverser ça, à quelque niveau que ce soit. Et vous le voyez dans votre vie. Est-ce que vous êtes plus dans votre vie quotidienne en permanence tout en faisant votre quotidien, ou est-ce que vous êtes tout le temps dans cette Joie, quel que soit l’événement qui se produit. Je l’ai dit hier et je le redis, vous ne pouvez pas tricher avec ça, c’est impossible. Et en plus, c’est pas quelque chose d’inaccessible ou de tellement lointain que ça nous semble irréalisable, c’est là, c’est vraiment là.

Je peux vous raconter ?

Oui.

Depuis que je suis ici, j’ai vécu un jour, l’impuissance totale. Après, quand Abba est venu, j’ai vécu, ce qu’on disait hier, une sorte de stase, jusque-là. Dans l’après-midi hier, j’ai vécu ce soleil dans le cœur. Et puis hier soir, lors du soin, j’ai pas senti quelque chose de particulier. Mais ce matin quand je me suis réveillée, je me suis sentie plus ou moins en stase, physiquement. Et puis j’ai senti que j’allais accoucher, parce que Abba a parlé d’accouchement hier. Et c’était un accouchement tout en douceur, différent de l’accouchement de mes enfants, c’était que douceur, c’était Joie, à l’intérieur, mais j’étais là, je le regardais, je laissais faire. Et puis la Joie s’est amplifiée. Et à un moment donné, j’avais l’impression d’être une bouteille de champagne, avec de toutes petites bulles. Et puis je me suis sentie vide une fraction de seconde. Et dans la fraction de seconde après je me suis sentie pleine.

Oui. Oui, c’est comme ça que ça se passe de plus en plus. D’ailleurs dans les soins, c’est pour ça, je vous le dis, vous pouvez dormir, je m’en fous, j’ai même plus besoin d’avoir l’accord des gens. Parce que ce qui se passe maintenant, n’a plus rien à voir avec les soins que je faisais encore en mai, juin. Puisque là, Bidi m’avait bien dit « Surtout, ne t’intéresse pas à ce que tu vois ». Et du coup maintenant, j’ai… Ben bien évidemment, des fois, je vois des trucs. Par exemple j’ai soigné le père d’Élo, il a eu une chute de moto, il avait mal à la cheville. Le temps que… ça se passe dans le même temps, c’est pas successif.

C’est-à-dire, je sais pas, comme je vous ai dit, j’y vais, je le ramène, je croyais que ça se passait comme ça encore jusqu’à avant-hier, jusqu’à m’apercevoir que c’était instantané. C’est-à-dire qu’il y avait, dans la même séquence, dans un temps mais très très très très bref, tout un tas de trucs qui se passaient dans le même temps, sans que je puisse déterminer l’ordre. Mais c’était parfaitement lucide. C’est-à-dire qu’il y avait à la fois le sentiment d’y aller, le sentiment de revenir avec l’autre, le sentiment de rester en l’autre, le sentiment d’être à deux là-dedans, et tout ça était résolu par le cœur.

Et en traversant cela, bon, j’ai pas eu le temps de le dire, je l’ai dit à Alain et peut-être à un ou deux autres, à chaque fois j’avais des informations, très très précises. D’ailleurs Alain… pourquoi je prends cet exemple, parce que je vois qu’il y a quelque chose au niveau de la malléole externe, mais surtout l’image qui m’a le plus frappé, c’est que là il était au lit, il avait rien, je vois un magnifique plâtre tout frais, qui allait de là jusque là. Et le lendemain, il envoie la photo avec le plâtre qu’il est allé mettre le lendemain seulement, de là jusque là. J’ai d’autres informations, bien sûr, mais ça sert même à rien que je vous les dise. Ça ne ferait que vous polariser au niveau conscience sur l’endroit que j’ai vu.

Et sur plein j’ai vu des tas de choses, mais j’ai pas besoin, ni de me le prouver à moi, ni vous le prouver à vous, puisque je sais ce qui est important, c’est ce qui se passe après. C’est pas, même pas ce que vous allez ressentir. Il y en a qui sentent le feu, les vibrations, d’autres qui sentent rien et d’autres qui s’endorment, ça n’a aucune espèce d’importance. Parce que de toute façon, on s’est touché et on a échangé. Ça s’est réellement produit. Parce que ça, je le vis à chaque fois. Mais j’ai pas besoin, même si j’ai des infos qui arrivent, ça va tellement vite qu’après, bon, je vais pas sortir de l’état, déjà que je sors à chaque fois pour lire le nom, mais je vais pas aller les écrire. Donc elles me reviennent comme ça, de temps en temps, puis bon, j’en parle, mais à la limite c’est même pas la peine.

C’est même pas la peine, puisque là, le niveau qui est touché, est résolutoire de lui-même sur l’ensemble. C’est-à-dire de mettre en résonance le cœur de l’un dans le cœur de l’autre. Comme je l’ai dit, c’est bien plus que l’absorption d’essence, c’est abolir toute distance entre l’un et l’autre. C’est-à-dire qu’il n’y a plus l’un et il n’y a plus l’autre. Et tel que je le vis, il y a effectivement une fusion, un amalgame total de l’un et de l’autre, mais justement, parce que je ne suis ni l’un ni l’autre. Ni moi, même si c’est moi qui ai posé l’intention, ni l’autre. Je suis en interface entre les deux, ce qu’on appelle l’intelligence de la Lumière, et bien évidemment dans cette intelligence de la Lumière où je ne dépends plus de ce corps ni d’aucun corps, ni de l’autre, ni de moi, ni d’aucun monde, ben bien évidemment, je suis au temps zéro.

Et dans cet instant très court qui dure qu’une minute, que vous, vous allez vivre pendant un minimum d’une demi-heure, j’ai toutes les informations. Mais elles ne m’intéressent pas. J’ai même vos origines stellaires, j’ai tout, mais je m’en fous. Parce que si je vous le raconte, ça va vous détourner sur votre personne. Donc l’important n’est plus de vous dire il s’est passé ça, il s’est passé ça, j’ai vu ça, t’as ça, ah oui, c’était génial, puis vous allez me dire bravo. Puis il y a même eu des trucs insensés, qui étaient tout à fait vrais, en plus. Mais qui ne servent à rien. Fondamentalement, dans le processus aujourd’hui, ça ne sert à rien. Et plus vous êtes spontanés même dans ça, et tu le vois d’ailleurs à travers la fascia ou d’autres thérapies, plus vous êtes spontanés, plus ça se fait. Mais tant que vous croyez que vous, vous pouvez faire, ben vous ne pourrez pas le vivre, vous le vivrez au moment final.

Oui ?

On peut percevoir des parfums, non ? Que ce soit le poulet grillé ou…

(Rires)

 

Ben quel intérêt ? Si, par exemple pour Bidi, il y a une odeur de vieux cuir… (Rires) …qui sent très très bon d’ailleurs, très fin, un peu comme le chevreau, tu sais, les cuirs les plus fins… Bon, c’est comme ça…

Il y en a qui sentent mauvais ?

Non. J’ai eu des odeurs fortes, on va dire, mais pas… Si, Yaldabaoth, ça pue le soufre quand même. Mais ça, j’avais déjà senti dans les combats épiques à l’époque, où d’un seul coup… Dans mon cabinet, j’avais de l’huile essentielle de lavande, tu sais, pour chasser les démons. D’un coup la température est montée à quarante, j’ai pas pu rester dedans, j’étais obligé de sortir, et quand… c’était le soir en plus, et quand je suis revenu, toute mon huile essentielle que j’avais essayé d’asperger dans tous les coins et tout, ou sur moi, c’était devenu un bloc de soufre.

(Rires et exclamations)

Le niveau alchimique était quand même très fort. J’avais de l’huile essentielle, bio, quinze millilitres, j’avais mis quelques gouttes comme ça, et quand je suis revenu, parce que je m’étais sauvé du bureau, quand je suis revenu, mon flacon, c’était du soufre jaune, qui épousait la forme de la bouteille.

C’est une sacrée attaque, hein.                                                                      

Ah oui oui, c’était… Ah mais non, mais j’ai été voler, je me suis retrouvé les pieds qui battaient le sol, avec la tête qui touchait le plafond. Non non, j’ai vécu des trucs qui étaient… particuliers…

(Rires)

C’était épique, on va dire. Mais en tout cas.. pourquoi on parlait de ça ?

Pour les odeurs.

 

Et que ça servait à rien…

Ah oui.

Les parfums.

Mais maintenant, encore une fois, même par rapport à ces entités ou à ces démons, puisqu’il y en a qui sont spécialisés dans l’absorption des démons, ils se délectent, d’ailleurs, mais même au travers de ça, aujourd’hui, on a pas à réagir. L’absorption de l’essence n’est pas une réaction, c’est un accueil.

(1:11:11)

Et quand vous accueillez ces soi-disant démons, ben après, au fur et à mesure des expériences, vous vous apercevez que tout ça c’est du pipeau. C’est réel à un niveau, le monde de la dualité, mais qu’au niveau de ce que vous êtes, ça n’existe pas. Ça n’existe pas. Y’a pas plus de démons que de beurre en broche, y’a pas plus de personnes que de mondes. Et pourtant, on dit que c’est de la matière, c’est solide, on a des lois, on a des trucs.

Mais quand tu touches, quand tu vis cette sphère-là, et y’a pas que Bidi, puisque vous avez, bon, l’exemple du docteur Eben Alexander, qui a écrit La preuve du Paradis, il a traversé toutes les strates, lui aussi. Il est retombé sur sa famille, qu’il connaissait pas, donc il a pu y retrouver et vérifier que c’était vrai. Et puis à un moment donné, il décrit cet espace qui n’est pas un espace, où rien n’est éclairé, et où pourtant on est parfaitement bien. C’est ça le Parabrahman et l’Absolu.

Mais quand tu vis ça, tu peux plus croire à ce qui se passe sur ce monde. Ça veut pas dire que tu le renies, ou que tu n’y es pas, tu le fuis pas, mais t’es totalement inséré dedans, en n’y étant plus. C’est ce que disait le Christ. Rien de plus, rien de moins. Tu es sur ce monde, mais tu n’es pas de ce monde. Ça veut dire simplement que ce que tu vis, même s’il y a le filtre de la personne qui est là, tu vis ta vie normalement, y’a rien d’exceptionnel.

Je suis pas quelqu’un qui va être en prière vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ou qui va porter des vêtements je sais pas comment ou autre, j’ai une vie tout ce qu’il y a de plus simple et normal. Et c’est la vérité. J’ai rien à entreprendre. Mais ça te libère totalement. C’est-à-dire quand tu as, non pas cette attitude de conscience, mais que réellement ça a été vécu et traversé, tu rapportes tout ça ici. C’est-à-dire que l’information du temps zéro, elle est accessible en permanence. Je le vois maintenant à travers la facilité…

Dans les Satsangs, ceux qui ont écouté ça en mars, avril et mai, juin, j’expliquais qu’il fallait d’abord endormir la proprioception du corps et tout, mais c’est fini maintenant, ça se fait tout seul. J’ai pas le temps de fermer les yeux, que ma conscience est déjà passée dans le corps d’éternité, et d’emblée, elle peut être localisée dans n’importe quoi. Un brin d’herbe, n’importe quel frère ou sœur de cette planète, ou n’importe quel autre univers. Et c’est la vérité. C’est pas une vision. C’est réellement le vécu. Mais j’en fais pas, ni des glorioles ni quoi que ce soit, puisque je vous répète que c’est ici, dans ce corps, là, normalement, les yeux ouverts, que c’est encore plus évident.

Et pourtant, je n’ai pas, je ne suis pas obligé d’avoir la vision de votre aura, comme je l’ai en fermant les yeux ou comme en venant en vous. Je n’ai plus besoin de ça. C’est-à-dire que le regard même voit au travers. Mais je vois surtout qu’il n’y a rien à voir, si ce n’est la même essence. Une essence, une conscience, un esprit. Mais ça, c’est pas un concept, c’est pas une idée, c’est pas une énergie, c’est pas une vibration, c’est seulement un vécu. Et ça, tu peux plus t’accointer ou alors entrer en résonance avec tous les scénarios, qu’ils soient astraux ou qu’ils soient bizarres. Parce que tu n’es plus dupe. Tu ne peux plus être dupe. C’est impossible, même si tu le voulais.

T’es maintenu, oui, t’es maintenu dans la liberté d’être et de non-être, t’es maintenu en permanence par l’intelligence de la Lumière que tu es aussi, dans cet instant présent. Et ça relativise même la notion de temps. Vous voyez bien, pour ceux qui étaient là les mois précédents encore, qu’on travaille pas du tout, si on peut parler de travail, dans le même rythme. On est beaucoup plus posé, il y a beaucoup moins d’enchaînement, tout se fait de façon naturelle. Et c’est quand même autre chose. C’est ça, le relâchement qui permet d’accueillir.

Mais tant que vous êtes arc-boutés, à quelque niveau que ce soit, par une recherche, par une douleur, malheureusement, ou par des travers de la personne, comment voulez-vous relâcher tout ? Vous ne le pouvez pas depuis la personne. Vous ne le pouvez qu’en accueillant, c’est-à-dire dans cette humilité totale et cette fainéantise dont parlait Osho, qui concerne pas le fait de rien faire dans la vie, mais de rien faire par rapport à la conscience. C’est pas la même chose.

Quand je jardine ou quand je conduis la voiture, j’ai besoin de mon mental, même si la conduite se fait automatiquement, parce que des fois je sais plus que je suis au volant. (Rire) Mais néanmoins, vous avez besoin de votre véhicule et vous avez besoin de votre conscience éphémère pour faire ce qu’y a à faire. Mais ne mêlez pas votre conscience à ce qui concerne ni l’esprit, ni la spiritualité, ni les processus vibratoires. Puisque, je me tue a le répéter à tout le monde, tout est automatique.

C’est ça le plus dur à accepter. Et d’ailleurs, quand vous acceptez ça, vous êtres obligés de reconnaître que tout ce à quoi vous teniez, même au niveau spirituel, vous tient. Et vous enferme. Et vous piège. Même les choses qui vous ont sortis de l’enfermement de la personne. Parce que c’est des systèmes imbriqués les uns dans les autres. Donc vous libérez un niveau, y’a un autre niveau qui apparaît. Et tant que vous n’avez pas vu tous les niveaux… Il n’est pas question de résoudre niveau par niveau, sinon on n’en finit plus. C’est comme pour le karma, c’est éternel, ce truc. D’ailleurs même les grands écrits du bouddhisme tibétain, comme le Lama Anagarika Govinda, l’expliquaient parfaitement.

Il y a que les Occidentaux pour être assez malades, et ça c’est grâce à Drouot, pour avoir pensé qu’il va falloir payer ou rétribuer toutes les actions qu’on a faites. Mais c’est sans fin. (Rire) Et en plus ça marche à l’envers. Puisque, cette histoire de karma, on choisit systématiquement comme parents, les archontes nous aident à choisir comme parents (Rires) quelqu’un qui nous a tués dans une vie passée. Donc, c’est merveilleux. C’est une personne qui nous a tués, c’est elle qui a le karma et c’est nous qui venons dans son ventre, dans le spermatozoïde, pour lui permettre de réparer. Alors on peut concevoir que c’est de l’amour inversé, ça. Donc on lui donne la possibilité de nous aider, malheureusement l’expérience nous prouve que la personne avec qui on s’entend le moins bien, avec qui on a le plus de problèmes, c’est justement celui qui nous a tués, un des deux parents. Donc, vous voyez, c’est un peu… mais c’est complètement tordu, cette histoire.

Dans l’Amour, il n’y a pas de karma, il n’y a pas de personne, il n’y a pas de loi, il n’y a pas de monde, il n’y a pas de forme. Et quand vous le vivez, vous ne pouvez pas en douter une seule seconde de votre vie quoi qu’il arrive. Parce que de toute façon, vous n’avez pas le choix. La liberté, c’est ne pas avoir le choix.

Alors bien sûr, dans les spiritualités, on vous dit libre arbitre, faut respecter le libre arbitre, mais c’est une escroquerie totale, ce truc-là. Il n’y a aucune liberté dans le libre arbitre. La vraie Liberté est indépendante de tout monde, indépendante de tout personnage, de toute histoire, de tout scénario. C’est ce qu’a vécu Bidi à l’époque, malgré l’anomalie primaire, qu’aucun ancien n’a pu vivre, même Rumî, même Sri Aurobindo, même maître Philipe. Ils l’ont pas vécu. D’ailleurs, s’ils l’avaient vécu, ils auraient jamais accepté d’être des melchisédech. (Rire) C’est aussi simple que ça. D’ailleurs, c’est pour ça que Bidi leur a dit à tous « allez vous faire voir ». (Rires) Mais c’est la stricte vérité.

Bien évidemment, il y a eu des modèles historiques qui nous ont permis de nous approcher, que ce soit Bouddha, le Christ et plein d’autres, mais c’est tout. C’est uniquement des modèles, mais qu’il faut tuer aussi. Bouddha le disait, « quand tu rencontres Bouddha, sauve-toi vite ou tue-le ». Parce que à ce moment-là, il y a bien évidemment tout ce qu’on connaît au niveau de la spiritualité, le piège du Soi, le piège de l’ego spirituel, le piège de la perversion spirituelle, qui est une nouvelle pathologie qui est apparue depuis deux ans et qui commence à être répertoriée un peu partout. La perversion spirituelle, c’est uniquement la prédation qui se sert de la spiritualité. C’est-à-dire, c’est pas des archontes, c’est des gens qui ont trouvé le Soi et qui ont dévié le Soi pour exercer une forme de prédation.

Pour leur intérêt personnel.

Oui. Pour l’ego. Mais là ce n’est plus de l’ego spirituel, c’est vraiment de la perversion parce que ce n’est plus Soi face à Soi, c’est de la prédation spirituelle qui s’adresse au Soi de l’autre. Pas au choix de l’autre, mais au Soi de l’autre. Celle-là elle est terrible.

Mais encore une fois, ça fait partie du jeu, il n’y a pas à juger ni à condamner. C’est ce qui doit être traversé pour celui qui l’exerce et pour celui qui la subit. Tant qu’il a pas compris. L’un comme l’autre.

Jean-Luc, t’as peut-être un avis là-dessus : pourquoi est-ce que Krishnamurti, étant donné que tu connais son passé, a accepté de faire partie des melchisédech ?

Il a accepté quoi ?

De faire partie des melchisédech, alors que…

Ben parce qu’il était pas libre, tout simplement.

Pourtant, il a quand même…

Tu as lu Krishnamurti ? Moi j’ai tout lu. Ah c’est magnifique…

Peut-être pas tout, mais j’ai lu quand même.

Ben au moins quelques livres, Le vol de l’aigle, De la Liberté…

Même quand on le voit en photo, il a…

Tu vois bien que ce sont des gens qui t’ont parlé de l’histoire. Même Steiner, même malgré son accès multidimensionnel. D’ailleurs il en est mort, le pauvre, d’un cancer de l’estomac. Pourquoi ? Parce que toutes les énergies auxquelles il avait accédé en ces autres dimensions, il les a appliquées à cette Terre, et pas à la Liberté.

Donc bien évidemment, ça a été éclairant, ça a été des étapes indispensables, parce qu’il a apporté un éclairage énorme. Surtout quand il a rompu avec l’anthroposophie et qu’il a dissous l’Ordre de l’Étoile. Parce qu’il avait vu que c’était satanique, bien évidemment, tout l’enseignement d’Alice Bailey, et qu’il s’est libéré de tout engagement, de toute organisation. Mais c’est pas pour ça qu’il était libre. Comme Sri Aurobindo. Puisque Sri Aurobindo n’a fait que projeter le supramental, qu’il a réellement vécu, dans la création d’une nouvelle humanité. Comme tous, d’ailleurs. Comme nous tous.

Il n’y a que depuis quelques années, et là depuis quelques mois seulement, cette histoire de finalité, et que… Avant on pensait avoir le choix, 5D, lignées stellaires et tout. Sauf ceux qui avaient été libérés vivants. Mais personne n’a le choix. Vous êtes tous libres. Et ne pas avoir le choix, c’est être libre. C’est-à-dire, devenir ce que nous avons toujours été. Comme le disait Bidi, qui est ma phrase préférée que je me relis tous les jours, parce que j’arrive jamais à la prononcer intégralement, (Rires) alors j’arrête pas de la lire tous les jours : Une fois que la création sera passée, vous vous apercevrez que vous n’avez jamais bougé. Et que tout ça n’était qu’un rêve, voire un cauchemar pour nous ici, dans cette dimension. Donc, la spiritualité effectivement est une escroquerie, mais la conscience, c’est une maladie, terrible. Même la supraconscience.

Et le Christ, il s’en était libéré ?

Ah le Christ, c’est la matrice christique. Dans les mondes qu’il y avait à libérer, soi-disant, qui ont été libérés, tant que la Terre n’était pas libérée, ça ne pouvait pas se finaliser. Le Christ est la matrice, si tu veux, qu’on a appelée la matrice christique. Le retour du fils de l’homme n’est rien d’autre que la superposition sur notre corps périssable, du corps d’éternité, c’est-à-dire la résurrection. Et retrouver ce qu’on appelle l’Adam Kadmon, c’est-à-dire l’homme véritable, qui ne dépend pas d’une moindre forme et d’un moindre monde.

Et des fois il est représenté, mais c’est une image, simplement. Il est représenté des fois, l’Adam Kadmon ?

Oui, on peut le représenter.

Mais c’est une image, à ce moment-là.

Comment ?

C’est simplement une image, cette représentation ?

Non, c’est une réalité vibratoire avant tout, l’Adam Kadmon, c’est un terme particulier, il n’y a pas de représentation ni d’image. Ce qu’on appelait l’homme rouge, si tu préfères, l’homme initial de la Terre, l’homme fait d’argile. Mais aujourd’hui, quand on parle de fils de l’homme et de retour du Christ, c’est bien évidemment le retour du Christ éthérique qu’on porte chacun. D’ailleurs ça a été dit dans le texte que j’ai mis il y a pas longtemps, par Anaël il y a longtemps, si vous vous attendez à voir apparaître une Marie dans le ciel, éthérée, vous pouvez attendre longtemps. C’est un vaisseau. Il y a une entité qui est toujours présente, que j’ai déjà vue, là-haut, qui est dans sa forme originelle, c’est-à-dire de dauphin qui se tient debout, mais c’est tout.

C’est pas un fantôme pour autant, c’est une réalité, qui est insérée dans l’histoire. Mais comme Marie elle l’a toujours dit, nous sommes tous ses enfants. Nous portons tous, même si nous n’avons pas de lignée en résonance avec Sirius, nous portons tous l’ADN de Marie, dans ce qu’on appelle l’ADN poubelle, soi-disant qui sert à rien, qui code en fait pour tout le codage spirituel. (Rire ou pleur) Mais ça, on l’a tous. Donc Marie, elle se révèle avant tout en nous, on n’en a rien à foutre de la Marie historique, on n’en a rien à foutre de l’Elohim historique que j’ai pu être à un moment donné, ça n’a aucune espèce d’importance.

Là, aujourd’hui, rappelez-vous, on vit la Liberté. On n’est pas dans des jeux d’rôles, ou dans l’accès à des états incroyables, ça se vit ici, cette Joie, elle est toute simple. Elle a pas besoin de merveilleux, elle a pas besoin…

Alors bien sûr, vous allez me répondre que ça m’a aidé de vivre tous ces trucs. Non, même pas. Ça m’a aidé dans le fait, peut-être, de vous le donner. Mais à la limite, aujourd’hui, quand je vois des gens qui souffrent, qui n’ont jamais rien vécu et qui vivent la même Joie, putain, quel raccourci ! (Rires) Ils étaient dans la souffrance la plus totale, dans le déni de tout, dans le déni de la vie. Des gens en général qui étaient très mal, (claquement de doigts) du jour au lendemain, pouf.

L’histoire de cercles de feu, ça a plus raison d’être, là maintenant ?

Ben ils existent toujours, les cercles de feu. Les Jérusalem célestes se poseront, les sept Jérusalem célestes se poseront aux endroits qui sont connus, oui, bien sûr. Elles ont une mission qui n’est peut-être plus effectivement que les gens se retrouvent là-bas, et encore, je sais pas, et je m’en fous. (Rires) Mais en tout cas, oui, leur venue est totalement réelle, elle. Le déploiement de Métatron au travers de la Jérusalem céleste sur les six endroits de la Terre, oui, oui, bien sûr.

D’ailleurs j’aimerais bien aller sur un cercle de feu là, j’en ai plus à proximité, pour voir comment ça a changé. Faudrait demander aux Bretons.

(Agitation générale)

Vous savez que, ils sont gonflés quand même. Parce que quand les flics m’ont arrêté, ils ont passé une demi-journée à me questionner. Ils voulaient savoir où était le cercle de feu. Je leur ai jamais dit. Ben bien évidemment.

Ils voulaient savoir ça ?

Ben bien sûr. Et tu sais pas que de l’autre côté de l’Espagne où on était, au village de Roncevaux, Roncesvalles, ils faisaient des fouilles archéologiques, et ils ont fait des datations au carbone 14 de ce qu’ils ont trouvé, des pierres taillées et tout, comme on avait à côté du cercle de feu. Et ils ont daté 320 000 ans.

Ah bon ?

Donc bien évidemment ils étaient au courant de toutes les canas, puisqu’ils savaient que c’était vrai. Donc la première chose qu’ils m’ont demandée, c’était même pas le côté financier, d’ailleurs j’ai rien compris, c’était de savoir où était le cercle de feu.

Pour le détruire.

Ça les aurait intéressés de détruire au pire un cercle de feu, celui où il y avait les plateformes pétrolières.

C’est dingue. Alors qu’ils font comme si ça n’existait pas, depuis le début.

Et vous savez, faut pas oublier que ces milieux-là, ils sont aussi dans l’occultisme. Ils sont dans l’ésotérisme, ils sont francs-maçons, ils connaissent tout ça. Hier je racontais l’anecdote du procureur de la République, que j’entendais pas, parce que j’avais pas mes appareils. Elle parlait, elle avait plus de voix, le juge m’a demandé d’approcher, j’étais juste devant elle, j’étais pas à la barre, j’étais devant le procureur. La première chose qu’elle me dit dans son réquisitoire : « Et tout d’abord, vous savez bien, vous le savez pas, Anaël, c’est pas un archange, c’est un simple ange. »

(Rires)

N’importe quoi…

(Rires)

Ils sont obligés d’avoir des connaissances ésotériques, sinon ils comprendraient rien.

C’est évident.

Et t’as réagi, autrement ?

T’as répondu ?

Non. J’étais tellement…

(Rires)

Parce que j’ai même plus écouté ce qu’elle disait. Mais c’était tellement nul de toute façon, que…

Mais bon, pour vous dire que c’est bien réel. Attendez, quand on voit par exemple que tout ce que disait pépère avant les noces célestes, en 2006, 2007 quand il était le premier à parler de la ceinture de feu du pacifique qui allait se réveiller, quand Ramatan a parlé de l’ouverture du soleil, de la réabsorption de Mercure, tout le monde me prenait pour un fou.

Séréti, aussi.

Séréti aussi. Mais tout ça… D’ailleurs c’était Séréti, pas Ramatan. Mais tout ça, vous l’avez sous vos yeux aujourd’hui. Enfin, je sais pas… Et pourtant, leur finalité à eux aussi, c’est de vivre la même chose que nous. Et bien évidemment, pourquoi ils se sont arrêtés de parler, parce qu’ils devaient eux aussi mettre fin à leur propre histoire. Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne peuvent pas être là. Par exemple, avant-hier matin, j’ai fait descendre les quatre archanges, ils sont présents. Mais parce qu’ils sont en moi. Il n’y a pas de différence, il n’y a pas de distance.

Et je vous avais montré… en 2014, une cana particulière, où à chaque question qui était posée, c’était un intervenant différent qui répondait. Mais moi j’y étais pour rien à cette époque-là, puisqu’il fallait se vider pour les accueillir, jusqu’à tant qu’on ait compris, par le vécu, qu’ils descendaient pas dans le canal marial. Ils sortaient du cœur. Mais pour ça, il a fallu que le canal marial rejoigne le cœur.

Donc, l’histoire elle a réellement été vécue, elle a réellement été vraie, mais à un moment donné, faut arrêter avec les histoires, au sens large. Quelles que soient les histoires. Personnelles, collectives, sociétales et autres. Quand je dis arrêter, ça veut pas dire qu’il faut casser avec mari, femme, enfants, ou quoi que ce soit, mais faut voir clair. Ça ne vous empêche pas d’aimer, ça ne vous empêche pas d’avoir des enfants, ça ne vous empêche pas de vous occuper de vos parents, ça ne vous empêche pas de manger, de faire l’amour, d’avoir une profession, ça a jamais été dit, ça.

Est-ce qu’on peut dire que tout est un, quelles que soient les dimensions ?

Mais bien sûr, tout est là.

Que tout est un. Quelles que soient les dimensions.

Oui. Quelles que soient les dimensions, puisque tout est imbriqué. Même dans l’enfermement dans lequel on a été, on portait déjà en nous, et ça a été dit et répété, pas uniquement par AD, mais bien avant, que tout était en nous. C’est la stricte vérité. Et même, on dit, les dieux un jour se sont interrogés comment cacher la divine étincelle, et ils se sont dit, mettons-la dans le cœur où il pensera jamais à chercher. C’est effectivement ça.

Et puis tout l’ésotérisme, et la spiritualité, et l’énergétique, et toutes ces choses-là, ont entraîné une extériorisation de la conscience qui ne posait aucun problème au sein des mondes libres, mais qui dans ce monde, entretient l’illusion de la spiritualité et de tout le reste.

On peut donc dire que le graal, c’est le cœur de chacun.

Ben oui, il y en a pas d’autre. Il y en a pas d’autre. Mais ce cœur, si tu veux… il est profondément différent de vivre le chakra du cœur, la couronne radiante, la couronne ascensionnelle, comme beaucoup ont vécu en 2010-2012, et de vivre le tore, maintenant. C’est-à-dire, c’est ce mouvement qui est autour de toi, qui est monumental… t’as vu, d’ailleurs, Jean-Claude, quand je ferme les yeux, le rayonnement il va.. il peut recouvrir la Terre entière.

C’est un rayonnement de corps d’êtreté ?

Ah non non. C’est le rayonnement de ce qu’on appelle le temps zéro. C’est-à-dire la jonction de non-être et être.

Et encore, j’étais pas plus loin, parce que…

Mais tu peux aller… tu pourrais être à l’autre bout de la planète, ça changerait rien. Quand je dis que je fais un soin planétaire, ça veut pas dire que tout le monde va être soigné, mais que l’information qui est diffusée, dépasse largement le cadre de cette Terre. Mais j’en fais pas, ni une gloriole, ni quoi que ce soit, puisque c’est quelque chose de normal. Et ça a été dit aussi par les sages, quand l’aile d’un papillon se brise, c’est tout l’univers qui est ébranlé. Et tu te doutes bien que quand il y a des êtres humains, et en quantité, qui vivent ce temps zéro maintenant, ben ils ébranlent effectivement l’univers.

Mais, encore une fois, je n’ai pas besoin de le faire, ni de le prouver, ni quoi que ce soit, puisque tout est automatique. Faudrait être malade pour se consumer, parce que quand on faisait les soins, effectivement, on s’est beaucoup consumé, dans la Joie, mais il faut assumer quand même. Ça sert à rien, puisque tout se fait tout seul. Et ça se fait réellement tout seul. Parce que justement, il n’y a plus d’anomalie primaire et parce que les lignes de prédation ont quasiment toutes disparu déjà depuis des années.

Donc il faut que j’arrête de jouer, mais bon, ça a été passionnant…

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