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ABBA 4
28 OCTOBRE 2018
(Rires)
Et bien le rire d’Abba est en vous.
(Rires)
Et sur vous. Et avec vous.
Bien-aimé, nous allons pouvoir reprendre et poursuivre nos entretiens. Je t’écoute.
Question : Alors, quelle est l’histoire du cœur d’agate d’Uruguay d’avant son histoire connue et quel est son rôle ? Merci.
Quelle est l’histoire de la pierre d’Uruguay avant que son histoire soit connue.
Avant son histoire connue, et quel est son rôle ?
Bien-aimée, je n’ai aucun moyen de répondre à ce genre de questions. Tout objet, cristal, statue, cierge, personne, peut être vénéré. Cette vénération, ou cette adoration, ou cette intention, (un bruit et un fou rire) exercée. Ce n’est pas Abba qui est tombé, merci. (Fou rire) Tout objet de quelque nature qu’il soit, possède à défaut d’une conscience, ce qui n’est pas le cas pour le minéral, qui lui a une conscience, mais un objet dit inanimé, dès l’instant où il est l’objet d’une intention ou d’une vénération, même une simple statue, va effectivement se charger de l’adoration dont elle est l’objet.
Il en est de même bien évidemment au niveau d’un minéral. Ce minéral particulier a effectivement la forme d’un cœur. Il est constitué d’une variété particulière d’agate, avec les cristallisations formant ce que vous pourriez nommer un alphabet, inconnu sur Terre.
L’important n’est pas l’histoire, mais là aussi la résonance qui va se créer entre vous et cette pierre, en fonction de ce que vous y mettez. Rappelez-vous, ce qui est important, ce n’est pas l’émetteur, le sujet, ce n’est pas l’objet, c’est la résonance ou la relation, et plus spécifiquement la résonance qui peut se créer entre le sujet et l’objet. En l’occurrence ici, le cœur d’Uruguay.
L’important n’est donc pas de savoir ce qui est véhiculé comme message, mais d’en apprécier la quintessence au travers de la résonance et du vécu possible, pour ceux d’entre vous qui se trouvent en résonance avec ce principe d’observation, d’accueil et d’échange. Cela est bien plus qu’une relation parce qu’on ne peut pas parler de relation entre un objet et un sujet, mais ici on parlera de manière aussi évidente, de résonance. Ce qui résonne en vous, résonne en vous. L’image ou l’objet extérieur n’est qu’un support. Car si vous résonnez, c’est que cela est déjà présent en vous.
Ainsi donc il n’est pas important de connaitre quelque histoire que ce soit, mais bien plus d’éprouver par l’expérience de la vision de cette pierre ou de son contact, ce qu’il se produit à ce moment-là. Ceci n’est lié à aucune histoire, mais simplement à la résonance qui se produit lors de ce contact. Si vous acceptez cela, alors à ce moment-là, vous cesserez de vénérer ou d’adorer quelque objet, quelque statue, ou quelque personne que ce soit, car toutes ces vénérations et adorations, ou perceptions liées à l’extérieur, à quelque chose qui apparaît séparé de vous, en définitive quand il résonne, il est déjà présent en conscience en vous. De la même façon que l’ensemble de la création est en chacun de nous.
Je ne peux pas donc plus développer par rapport à ce cœur d’Uruguay, même s’il existe effectivement des éléments que vous pourriez qualifier d’énergétiques ou d’historiques au sein de ce minéral. L’important, encore une fois, n’est pas ce qui est véhiculé par la forme, ni même par l’émanation de cette forme, mais dorénavant, la résonance que vous créez avec quelque forme que ce soit. Cela n’est pas une vue de l’esprit, ceci n’est pas un avis, mais la réalité ultime que chacun contient en lui l’ensemble de la création. Cet objet, comme tout autre objet, n’échappe pas à cette règle.
Ceci n’est pas pour occulter la réalité énergétique et vibratoire de ce minéral, en l’occurrence, mais bien pour vous faire appréhender que le plus important n’est pas à ce niveau, mais vraiment en votre vécu, car si vous le vivez, c’est qu’il y a résonance en vous. Vous ne pouvez résonner, dans le sens de résonance, et non pas de raison, avec ce qui vous est inconnu, même si vous l’avez oublié.
Toute résonance en vous, vous semblant venir de l’extérieur, et sur le plan objectif et de la réalité ordinaire et tout à fait palpable, ne représente rien au niveau de ce que vous êtes. Parce que vous ne faites plus ici appel à une scrutation, une observation, une discrimination, de quelque nature de l’objet et de sa fonction, mais vous entrez en résonance avec ce qui est déjà en vous. Et là est bien le plus important pour vous, pour chacun de nous sans exception.
Le face-à-face fait aussi partie de cela. Vous permettre, à travers le jeu de la conscience, mais aussi dorénavant le Je Éternel, ce qui se déroule, en ce que vous pourriez nommer les interactions, de manière très globale, entre objet, sujet, personne, individu, système solaire, apparemment séparés par la notion de distance ou la notion d’espace. Tout ceci n’est qu’une déformation de la réalité objective et objectivable sur un autre plan, mais aussi de la vérité. Voilà ce que je dirais sur ce minéral.
…Silence…
Bien-aimé, poursuivons.
Il n’y a plus de questions écrites, y a-t-il des questions orales ?
(Bruits)
Je crois qu’il y en a… Il y en a dans la boîte.
(Bruits)
D’accord… Alors, j’ai une question…
Bien aimée tu défais un parchemin ?
(Rires)
Un peu…
Question : Qu’en est-il de l’accueil de la violence verbale, agressive et répétée, accompagnée de cris à répétition dans le voisinage immédiat de chaque jour ?
Bien-aimé, tu as soit le choix entre les boules Quies (Rires), soit le choix effectivement d’accueillir. Accueillir l’insupportable n’est pas pour le vivre en permanence, mais pour justement te démontrer que dès l’instant où tu acceptes ce qui te paraît intolérable, parce que là-aussi c’est une résonance qui est déjà en toi, alors tu ne seras plus dérangé par les cris, par la colère ou par quoi que ce soit. Il ne s’agit pas ici d’une technique à proprement parler d’évitement, ou de soustraction de quoi que ce soit, mais bien plus de la réalité qui est à vivre à travers tout ce que la vie vous propose en cette période.
En résumé, je pourrais dire d’une manière générale, et je parle là pas uniquement de cette notion de cris, de violence, ou d’agression verbale, mais je pourrais élargir cela à toute circonstance, quelle qu’elle soit, dans votre vécu, qui vous semble en contradiction avec votre bien-être ou avec l’Amour, ou avec la Joie. Là-aussi, bénéficiez justement de cet état de Joie et de cette résonance, afin de permettre d’être traversé par cette colère sans en être affecté, et surtout sans l’arrêter. Car c’est justement le fait de percevoir ce qui dérange, qui le maintient dans le dérangement.
Dès l’instant où vous acceptez de faire l’expérience, il s’agit en l’occurrence ici de notion de bruits ou d’agression, il ne s’agit pas d’une d’anomalie physique, mais dans toute relation, dans toute transaction entre vous et l’extérieur, ou ce que vous pourriez nommer l’extérieur, il est très important avant toute chose.. bien évidemment la réaction pourrait être une réaction au bruit ou au désagrément, mais plutôt que de rejouer le jeu de la dualité, il est beaucoup plus simple dans ces-cas-là, de se laisser traverser par cela sans rien arrêter et de voir ce qui en découle. Sinon, effectivement, tu retombes dans la dualité de la réaction pour te débarrasser de quelque chose qui est logique, puisqu’il s’agit d’une nuisance de colère, de cris, et autres.
Dès l’instant où vous acceptez ce principe dont je parle de façon répétitive depuis quelques jours, et même, cela avait été évoqué lors de la dernière retraite, dès l’instant où vous acceptez de jouer le jeu de vous laisser traverser. Vous n’avez pas besoin de technique, c’est une posture de votre conscience, et de votre pensée, et de votre mental, et de vos émotions, vous allez constater très vite que quelle que soit l’intensité de ce que qui vous dérange, en un temps très court, cette gêne disparaîtra d’elle-même, même si l’agression se poursuit.
Vous n’êtes pas devenus insensibles, ou vous n’êtes pas devenus celui qui ignore ce qui arrive, mais vous êtes devenus celui qui l’a traversé sans encombre, et est capable alors de voir que, quel que soit l’élément qui semble vous encombrer sur votre route, au sein d’une transaction, d’une situation, d’une relation ou d’une résonance, ne présente plus aucune densité ni aucune gêne.
Il vous a toujours été dit et je l’ai déjà dit aussi d’innombrables fois, que plus le chaos grandirait, plus la Joie grandirait. Le chaos concerne bien évidemment les éléments du collectif de la société humaine et aussi de la Terre, d’une manière très générale, mais vous pouvez aussi assimiler cela au désagrément se produisant dans votre propre vie, en quelque circonstance que ce soit. Reportez toute réaction, non pas pour analyser ce qu’il s’est produit, mais pour justement vous mettre dans cette posture d’accueil, de réception et de traversée. A ce moment-là, vous constaterez une forme de sédation qui peut aller jusqu’à une disparition de la gêne, quel que soit le type de nuisance réelle existant auprès de vous. Cela concerne aussi bien le mari et la femme, dans certains cas, cela concerne aussi bien les enfants, que toute relation, quelle qu’elle soit.
L’Amour, s’il s’efface devant la colère, s’éloigne. L’Amour, s’il est dominé par la réaction de la personne, ne peut plus être là. Il en est de même pour la Joie. Vous avez tous fait l’expérience de moments de Joie intense, qui ont pu, dans ces mois qui se sont écoulés, disparaître pour des futilités. Ce jeu-là n’était ni une punition, mais comme je l’avais dit il y a de nombreux mois, une forme d’apprentissage à la Lumière, et d’apprentissage à l’Amour retrouvé. Il en est de même pour toutes les situations que vous avez à affronter dans cette période spécifique, qui sont là non pas pour vous gêner, non pas pour vous gâcher la vie, mais bien plus pour vous permettre de la vivre réellement, quoi que vous en pensiez et quoi que vous disiez.
Si vous acceptez le principe d’Intelligence de la Lumière, le vécu de la Joie et des vibrations, si vous les percevez, si vous constatez les changements survenant en vous comme tout autour de vous, à ce moment-là vous êtes obligés d’admettre que l’intelligence de la Lumière assure à chacun le très exact positionnement de sa conscience, de son corps, et je dirai, de sa vie. Et c’est justement à travers cela que se résout ce qui aujourd’hui peut encore vous sembler être déstabilisant.
Le silence, par exemple, est intérieur. Le vrai silence intérieur ne peut être dérangé par aucun bruit extérieur. Si vous êtes sensible au sein du silence intérieur, je ne parle pas de méditation, mais de cet état de vacuité intérieure qui préfigure la jonction de l’être et du non-être, il vous suffit simplement d’y être, de ne pas réagir, et de laisser effectivement traverser cela. Vous ne pourrez que constater face à une nuisance qui se poursuit, une forme de sédation de la réaction, une forme d’acceptation, cette acceptation n’est pas un renoncement à l’action mais est bien plus, là aussi, une forme de traversée de l’élément désagréable.
Celui-ci étant reconnu comme étant en vous, avant d’être la nuisance, ne peut que vous faire sourire, et quel que soit l’état de colère, vous amènera au fur et à mesure que vous répèterez cette expérience quand vous êtes déstabilisés, si les cris et la violence se reproduisent, ou en toute autre circonstance, alors vous constaterez que vous sourirez, et que vous ne serez plus affectés malgré le fait que la nuisance soit encore là.
Je ne vous demande pas de croire, ce n’est pas une explication, là non plus, mais c’est un engagement à tester cela, justement, dans toutes les circonstances de votre vie, au sein de ce monde, qui vous semblent, quelque part, ralentir, limiter, ou empêcher la Joie. Ce n’est jamais l’autre ni jamais les circonstances qui empêchent votre Joie d’être permanente. Ce n’est que vous-mêmes. Et la réaction d’ailleurs, par rapport à une nuisance réelle, appartient à la personne, mais n’appartient pas à l’Amour ni à la Joie que vous êtes. C’est avec cela que vous voyez les oscillations, le basculement, les va-et-vient entre l’éphémère et l’éternel. C’est ainsi que vous les conscientisez, c’est ainsi que vous les métabolisez, et c’est ainsi que vous les dépassez, et certainement pas en vous y opposant.
Là aussi, l’opposition ou la réaction fait partie de l’ancien monde. L’acceptation et la traversée fait partie de la Joie, au-delà de tout monde. C’est cela qui vous conduit très précisément, puisque vous êtes exactement à la juste place, quoi que vous en pensiez et quoi que vous en disiez aujourd’hui. C’est là où vous êtes que vous ressuscitez. C’est là où vous êtes que vous trouverez la Joie, c’est là où vous êtes que tout se déroule, et nulle part ailleurs.
Je dirais même que dans les situations où il vous semble que ce qui est vécu est détestable, que vous avez le plus de possibilités d’affermir votre Joie, et non pas dans la facilité. Cela a toujours été spécifié, je ne peux que vous le confirmer aujourd’hui au niveau individuel et non plus collectif. Les innombrables chocs que tout être humain vit dans sa vie, des plus légers aux plus profonds, sont justement aujourd’hui, depuis quelques mois, la possibilité pour vous de maintenir votre Joie, de maintenir la Paix et de ne pas être affectés par les circonstances de l’éphémère.
Ceci vous rapproche indéniablement du processus de la Béatitude. C’est une forme de gymnastique de la conscience elle-même, qui débouche sur la a-conscience et qui débouche sur la Vérité. Alors plutôt que de réagir, plutôt que de vous opposer, traversez et accueillez, et le reste, vous verrez par vous-mêmes ce qu’il se produit alors. Vous remplacerez les cris, dans le cas qui nous intéresse, par le sourire. Vous remplacerez l’agression par le pardon.
…Silence…
Bien sûr, cela ne marchera pas obligatoirement dès la première tentative, mais vous sentirez extrêmement vite la sédation de cette nuisance en vous. Quelle que soit sa nature. Il n’y a pas d’autre solution que d’accueillir. La vie accueille tout ce qui se présente. Elle ne fait pas de distinction. La capacité d’accueil est exactement la même en quelque lieu et quelque évènement que ce soit. La Vie accueille, vous êtes la Vie. Elle ne juge pas. Le soleil éclaire chacun, sans distinction de celui qui est bon, et de celui qui est mauvais. Le soleil ne fait pas de différence. De la même façon, vous êtes le soleil. Je vous rappelle que vos corps d’éternité qui étaient prisonniers dans le soleil ont été libérés, voilà déjà de nombreuses années.
Alors, à vous d’être ce soleil rayonnant qui absorbe et engloutit, avec la même évidence, et la même spontanéité, tout ce qui rayonne autour de lui. C’est ce que fait votre cœur, ce que ne peut faire votre personne. Alors à vous de voir, comme disait le commandeur, qu’est-ce que vous mettez devant, l’Amour ou la personne ? Bien sûr, l’ego va vous susurrer que c’est intolérable, que vous ne pouvez pas vous laisser faire, que vous devez agir. Passez outre tout cela, et vérifiez les effets de votre propre acceptation et de votre propre accueil. Là, vous pourrez non pas vous baser sur les modèles passés de fonctionnement, mais vous vous baserez sur l’expérience vécue dans l’instant. Et cela changera tout. Je ne peux que vous engager là-aussi à le vivre et à l’expérimenter.
Dans d’autres cas par contre, la Lumière peut aussi agir à travers ces nuisances apparentes, pour impulser en vous une forme de changement. J’ai bien dit une forme de changement et non pas une réaction. Certains éléments de votre vie, dans différents secteurs de votre vie, vous amènent aujourd’hui à trancher, vous amènent à laisser partir ce qui part, et à accueillir ce qui vient. Si vous êtes dans cela, alors la Joie ne peut que se magnifier, l’extase ne peut qu’apparaître de plus en plus souvent, et la Béatitude aussi.
…Silence…
Bien-aimé, poursuivons.
Participante : Moi j’ai envie de dire quelque chose. Abba me culpabilise un peu.
Voix : Notre sœur dit « Abba me culpabilise un peu ».
On écoute la suite.
(Rire)
Participante : Eh bien j’ai changé de chambre parce que je ne supportais plus le ronflement de ma coloc.
(Rires)
Boules Quies.
Voix : J’ai changé de chambre parce que je ne supportais plus le ronflement de ma coloc.
Si vous rencontrez dans votre chambre un ronfleur (Rires) c’est qu’il y a une raison. En général, vous ne supportez pas le bruit, vous ne supportez pas d’être dérangés, vous avez besoin de votre tranquillité.
J’ai besoin de dormir surtout.
Vous avez effectivement besoin de dormir, mais as-tu essayé de traverser cela ?
Ben j’ai essayé pendant trois jours.
Ah trois jours c’est long ! (Rires) Il vaut mieux peut-être prendre une nuit de sommeil avant de réitérer l’expérience. Il n’y a pas de culpabilité à avoir, tu peux simplement te dire que ça n’a pas marché. N’en fais pas une affaire personnelle, et surtout ne culpabilise pas. C’est un jeu. Rien de plus. Mais celui qui est en Joie, peut voir son corps détruit, peut voir son corps déchiqueté, la Joie demeure. Ce n’est pas une vue de l’esprit, ce n’est pas quelque chose qui est faux. Et vous avez eu au sein de l’histoire humaine de nombreux cas comme cela, où l’intensité de la Joie et de l’Amour, et je parle en particulier ici de ce que vous avez nommé les premiers chrétiens, qui se laissaient dévorer par les lions, en Joie.
Que voulez-vous préserver ? Dans ton cas, c’est le sommeil, qui est effectivement un besoin physiologique. Effectivement ne pas dormir peut fatiguer, énerver, toutes les conséquences que nous connaissons tous, mais encore une fois, ce qu’il s’est produit même si ce n’est pas résolu, te montre simplement là où se situe une certaine forme de vulnérabilité. Cette vulnérabilité n’a pas à être cherchée dans un quelconque passé, mais concerne uniquement l’interface entre ce que vous nommez le dedans de vous et le dehors de vous, c’est-à-dire en relation avec le sentiment d’être un individu.
Il y a donc à ce niveau-là, non pas un problème de ronflement, non pas bien sûr un problème de personne, ni une faute quelconque à changer de chambre, ni une faute quelconque à ne pas avoir dormi à cause du ronflement, mais simplement la Lumière, dans son intelligence et dans son jeu, te montre simplement ce qui a besoin d’être encore traversé, c’est-à-dire, en l’occurrence dans ton cas, non pas le bruit du ronflement, mais cette notion de délimitation, entre ce qui est toi et ce qui n’est pas toi. Je n’irai pas jusqu’à dire que le ronflement c’est toi, mais c’est tout comme.
(Rires)
Elle est scotchée.
(Rires)
Merde alors !
Oui, merde alors !
(Rires)
Quand les choses sont comprises, quand les choses sont assimilées, il en résulte le rire. En l’occurrence ici, cette expérience qui a traumatisé ton sommeil, n’est ni la faute de l’un, ni la faute de l’autre, mais si tu veux trouver un fautif, c’est l’Intelligence de la Lumière. Tout simplement. Pour te montrer qu’il y a encore une petite distance par moments, entre ce sentiment d’être à l’intérieur, et de ne pas être dans l’autre quel qu’il soit. Car quand il n’y a plus de distance ni de barrière entre l’intérieur et l’extérieur, l’Amour nu est complet. Et l’autre, quand je dis l’autre, tu comprends et tu vis qu’il est toi, et que le ronflement vient de toi. C’est celui qui dit qui est, ceci est tout à fait concret. Tu es donc arrivée en non ronfleuse et tu repars. (Fou rire)
En tout cas j’aurai appris quelque chose.
S’est-elle étouffée ou est-elle…
(Fou rire)
En tous cas elle rit à gorge déployée…
Nous sentons et nous entendons.
D’autres questions sur les ronflements ?
(Rires)
Non, non.
Je peux en profiter pour dire que c’est avec moi qu’elle vient. Et (…) elle sera peut-être réveillée pour d’autres raisons.
(Grands éclats de rire)
Voix : Elle change de chambre pour se retrouver une personne qui pourrait peut-être l’empêcher de dormir pour d’autres raisons. Des raisons ? Les raisons, c’est…?
À découvrir…
Bien-aimée, il ne te reste plus qu’à veiller et prier.
(Grands éclats de rire)
Alors je vais repartir ronfleuse et puis…
(Rires)
C’est ce qui s’appelle une retraite de conscience bien remplie.
(Rires)
Ah c’est génial !
(Rires)
Je te remercie.
(Rires)
Autre question sur le ronflement ou sur autre chose ?
(Accalmie)
Voix : Il y a une question ?
Participante : J’aimerai savoir quelle est la différence entre être en Paix et être dans la Joie, et si la Joie se ressent physiquement, qu’est-ce qu’on ressent concrètement ?
Voix : Notre sœur voudrait savoir quelle différence il y a entre la Paix et la Joie, et si la Joie se ressent physiquement et ce qu’on ressent concrètement.
Bien aimée, je suppose que tu sais ce que c’est que la joie. Tu as eu d’innombrables occasions dans ta vie, en enfant, en adulte, d’éprouver cette joie, en raison d’une satisfaction ou d’une cause si je peux dire, précise. La Joie ici, je peux dire, c’est exactement la même, si ce n’est qu’elle est sans objet et qu’elle ne dépend pas des circonstances. Cette Joie bien sûr, pour ceux qui sentent la vibration, vont sentir quelque chose, et quand je dis quelque chose, vous le savez, il y a différentes perceptions possibles au niveau de la poitrine, que cela soit le triangle de la nouvelle eucharistie, le rythme à trois temps ou quatre temps de la respiration du cœur, le canal marial aussi qui descend jusqu’au cœur, ou encore la couronne ascensionnelle, voire dans certains cas le véritable chakra du cœur, au centre, beaucoup plus petit.
Peu importe la sensation, parce que vous êtes capables de faire la relation entre la sensation, la perception, et l’état de Joie. Cette Joie dont nous parlons est bien réelle. Elle n’est pas quelque chose qui est entretenu artificiellement ou qui dépend d’une circonstance ou de quelque chose. C’est une Joie innée, spontanée, c’est votre naturel. Quand vous découvrez cette Joie qui est le témoin de l’Amour, vous êtes en Amour, vraiment. Vous êtes en Amour non pas de vous, non pas d’un autre, mais vous êtes en état d’Amour nu. La Joie en est le témoin. Cela a été dit, vous pouvez tricher avec l’Amour parce que vous n’en comprenez pas et n’en vivez pas le sens, et vous rapportez cela à vos expériences vécues : l’amour familial, l’amour sexuel, l’amour sentimental. Mais il existe d’innombrables amours. Je crois que les Grecs en avaient identifié sept différents. En France vous n’en avez qu’un, et un seul. Donc tout peut être accroché à ce mot.
Mais l’Amour dont nous parlons ici n’a rien à voir avec l’amour vécu au sein de la personne, même s’il s’exprime à travers la personne. Il n’est pas dirigé vers un objet ou un sujet, il nait spontanément de la poitrine et s’entretient lui-même. Avant la Joie, il y a ce sentiment de Paix. Ce sentiment de Paix, beaucoup de frères et de sœurs qui ne vivent pas la Joie ressentent néanmoins cet état de Paix, qui ne correspond pas nécessairement à ce qu’ils ont à vivre. C’est une Paix, là-aussi, qui est spontanée et naturelle et qui est le reflet et l’émanation de l’Amour qui commence à se vivre, indépendamment de l’amour humain, de quelque forme que ce soit.
Quelle était la question ?
Quelle la différence y a-t-il entre la Paix et la Joie et comment la Joie se ressent physiquement.
C’est la même Joie que celle que tu peux peut-être te rappeler, quand tu étais enfant, ou simplement, en te rappelant les moments que tu as vécus, de joie. C’est la même qualité, simplement, ce n’est pas relié à une cause, ce n’est pas relié à un évènement, c’est quelque chose qui est nu, spontané et qui émane de la poitrine, indépendamment de toute volonté et indépendamment de toute cause. Voila ce qu’est la Joie.
La Joie, vous ne pouvez pas tricher avec la Joie, parce que comme vous le savez c’est une émotion. La Joie dont nous parlons bien sûr n’est pas seulement une émotion, c’est la conséquence de l’Amour, de cet Amour impersonnel, ou indéterminé, cet Amour nu.
La joie, vous savez tous très bien ce que c’est. Vous ne pouvez pas vous poser de questions sur la Joie. Autant vous pouvez vous poser des questions sur l’Amour, mais la joie est quelque chose que tout être humain, quelle que soit sa vie, a nécessairement connu. C’est impossible de n’avoir jamais eu de moments de joie dans une vie. Même si vous en dites le contraire.
C’est pour cela que c’est superposable avec la Joie nue, que vivent beaucoup de frères et de sœurs. Mais il n’y a pas à se poser de questions sur la Joie. Quand vous le vivez, vous savez reconnaitre la Joie. Sauf que là, elle n’est pas conditionnée par quelque élément que ce soit.
Cette Joie débouche, et là-aussi il y a une espèce, je dirais, de progression ou de gradation, de la Joie à l’extase, de l’extase à la Béatitude. Et parfois à l’intase. L’intase pourrait ressembler un petit peu à ce sentiment de Paix que nombre d’entre vous éprouvez à défaut de Joie. C’est là-aussi un palier, je dirais, sur cette échelle, cette gradation à quatre barreaux entre je dirai, donc, la Paix, la Joie, l’extase, ou l’intase, mais l’intase se rapproche plus de la Paix, et enfin, la Béatitude.
Vous ne pouvez être trompés en aucune manière, parce que quand vous retrouvez cela, vous savez que c’est l’unique Vérité. C’est inscrit en vous, je l’ai dit précédemment, c’est le serment et la promesse, tout simplement. Vous ne pouvez reconnaître que ce qui est déjà en vous. Je ne parle pas bien sûr de l’invisible qui vous était masqué, pour la plupart, du fait même des voiles et du fait même de l’anomalie primaire et de l’enfermement ou, si vous préférez, de la courbure de l’espace-temps.
Nous ne sommes pas ici dans les concepts, ou dans l’analyse. Vous ne pouvez pas tricher avec la Joie, parce que comme toute émotion, elle s’accompagne de perceptions bien précises et d’aspects visuels, pour celui qui vous observe, correspondant aux différents groupes musculaires, à l’éclat du regard, à votre teint lui-même, à la qualité de votre radiation d’énergie, à la qualité de votre présence. En la Joie, il ne peut exister d’anomalie ou d’inversion. Vous ne pouvez pas mimer la Joie. Vous pouvez mimer le rire, vous pouvez mimer le sourire, mais la Joie vous ne pouvez pas la mimer. Vous pouvez mimer une colère, et encore, une colère froide, mais il est très rare de pouvoir déclencher à volonté une colère sanguine, avec le feu qui monte.
Pareil pour la peur. La peur qui est une autre émotion, peut être irraisonnée, peut être une peur sans objet, mais vous ne pouvez pas jouer à avoir peur. Nous savons tous que quand nous sommes enfants, il existe des attractions de fête foraine qui permettent d’éprouver une peur, par la surprise. La surprise est un élément de peur. Bien évidemment. Ce qui est inattendu, ce qui est inconnu, implique d’emblée dans les stratégies de survie liées à la personne et inscrites dans des modes de fonctionnement qui sont présents dès la naissance et qui ne dépendent pas de votre personne, mais de la structure même du corps humain, à ce moment-là, la peur se traduit aussi par des modifications, non seulement des conduites, de l’état émotionnel bien sûr, mais aussi, là-aussi, de modifications de certains groupes musculaires, l’éclat du regard n’est pas le même.
Si vous êtes attentifs, vous allez observer que vous ne pouvez pas déclencher la peur. Vous y êtes soumis effectivement si vous êtes peureux. Elle se déclenche à propos de n’importe quelle pensée, de n’importe quelle projection, de n’importe quelle peur de l’inconnu, mais vous ne pouvez pas créer la peur par vous-mêmes. Si ce n’est par des phénomènes qui sont inscrits dans des peurs archétypielles je le nommerais, qui sont liées par exemple aux peurs de manquer, aux peurs de mourir, qui elles font partie de la structure psychologique. Mais la peur émotion, réaction, ne peut en aucun cas être jouée.
Le seul moment où vous pouvez éprouver cette peur c’est quand vous êtes surpris. Parce que la surprise est un élément d’éveil, au sens de la personne. C’est une stratégie d’adaptation nommée… et vous savez que l’adaptation pour un être humain ne peut se traduire que de trois façons : la fuite, la lutte, et dans certains cas, la paralysie.
L’émotion est toujours destinée à entrainer un mouvement. D’ailleurs émotion signifie simplement mettre en mouvement. La joie émotion est liée à une circonstance. La Joie nue, la joie tout court, l’état de Joie, ne peut pas être bien sûr entretenue par une circonstance. Nous savons tous pour l’avoir vécu que la Joie apparaît et disparaît selon les circonstances que vous vivez. Bien sûr il existe des individus dits joyeux, d’autres qui sont dits pessimistes ou pas joyeux du tout, tristes, peu importe. Ça, ce sont des typologies de caractérologie.
Ce dont je parle est vraiment lié à l’émotion de l’instant ou à l’état de l’instant, sans référence à quelque histoire que ce soit. Vous ne pouvez pas revivre la Joie en pensant à votre passé, même au travers des souvenirs. Vous pouvez parfois avoir des souvenirs que vous pourriez nommer forts et agréables en vous les remémorant, mais vous n’aurez jamais l’intensité initiale au moment du vécu.
Pour la peur, c’est différent, pour la tristesse aussi. Parce que ce sont des émotions qui font partie de certaines typologies caractérologiques et qui là, vont littéralement dominer la personne, non pas en tant que réaction, mais en tant que conduite comportementale. L’émotion est donc ici captée par le mental, par la pensée, et vous avez à ce moment-là, un complexe émotionnel mental qui est le mode de réaction normal de l’être humain.
La Joie dont nous parlons, cette Joie nue, n’est ni circonstancielle, ni gérable par quelque souvenir que ce soit, ou par quelque projection que ce soit. Elle est liée a l’instant présent. Et en ce sens elle ne peut pas être corrélée à un élément du passé, à un élément présent ou à un élément du futur. Elle est indépendante du temps, même si elle fluctue en fonction effectivement de votre vécu.
Donc la Joie, c’est la Joie. Je ne vois pas quelle meilleure définition je pourrais donner. Cela se voit à vos lèvres qui ne sont plus pincées, cela se voit à votre éclat du regard, cela se voit à votre posture corporelle. Quand vous êtes tristes vous croisez les bras, vous vous fermez, vous baissez la tête, et quand vous êtes en Joie, vous avez les bras ouverts, vous êtes en accueil. Et je peux même dire que la notion d’accueillir et de traverser, comme dans les questions précédentes, fera apparaître la Joie. Ou le rire, nous l’avons vu précédemment. Cela fait partie des manifestations de la Joie et de l’Amour nu.
La Joie dont nous parlons, la Joie que nous vivons, est la Joie qu’on peut observer dans des circonstances agréables. Simplement celle-ci ne s’éteint pas. Elle peut disparaître, elle réapparait, selon le jeu entre l’éternel et l’éphémère, entre l‘être et le non-être et la personne. Mais aussi, cette Joie-là est accompagnée de ce sentiment de dilatation, de ce sentiment d’ouverture, qui met fin, la-aussi, à l’enfermement au sein de l’individu. La Joie est donc le témoin de la Liberté. Parce que vous n’en dépendez plus des conventions, sociales, morales ou historiques, vous ne dépendez plus du regard de l’autre, vous ne dépendez plus d’un résultat, ou d’un effet. C’est pour cela qu’elle a été nommée aussi la Joie spontanée.
C’est une Joie profonde. Elle est profonde parce quelle n’a ni objet ni sujet, elle n’est pas circonstancielle, même si elle peut être freinée ou disparaître en certaines circonstances. Vous l’avez tous vécu, c’est le jeu entre la personne et la Joie. Il n’y a pas d’autres définitions. As-tu besoin d’autres compléments par rapport à cela ?
Non. Merci.
Voix : Elle dit non. Elle vous remercie.
…Silence…
Il y a une question qui arrive.
Participant : Je voulais savoir s’il y avait une différence entre l’Unité et la Béatitude.
Voix : Notre frère voudrait savoir s’il y a une différence entre l’Unité et la Béatitude.
Elle est fondamentale même. L’état d’unité est un état de dépassement de la dualité où il peut exister un sentiment très fort de communion avec l’univers, avec la création, mais il y a encore le sens et l’idée d’être une personne. Dans la Béatitude, il n’y a plus personne. Réellement et concrètement. Ce que vous ont narré certaines étoiles a été, voilà de nombreuses années, parfaitement clair, par rapport à cela. La Béatitude n’est pas la Joie. L’unité n’est pas la Joie. La béatitude n’est plus l’unité, ni la dualité. Je dirais que c’est tout simplement le zéro. Le temps zéro, l’Absolu, le Parabrahman, la disparition de toute forme comme de tout monde.
…Silence…
L’unité est un concept. Quand il est vécu, et certains d’entre vous l’ont vécu depuis fort longtemps, ne serait-ce qu’à travers les noces célestes, ou nombre de yogas qui ont été communiqués, mais l’unité est un pas énorme. Mais ce n’est pas le dernier pas. C’est un préalable. Ce n’est pas non plus une finalité.
Quant à la Joie par rapport à la Béatitude, parce que précédemment nous parlions de la joie, cette Béatitude vous met réellement et concrètement en sainteté, dans le sens le plus archétypiel du terme, et le plus fondamental du terme. Ce n’est pas une odeur de sainteté, ce n’est pas un état religieux, mais c’est carrément et littéralement l’état mystique par excellence.
Je ne peux que vous renvoyer, pour ne pas rentrer dans trop de détails, à ce qui avait été dit par les anciens et les étoiles concernant leur vécu de cette Béatitude. Au niveau des multiples intervenants s’étant manifestés auprès de vous durant toutes ces années, je dirais que l’entité qui est la plus proche de la Béatitude au niveau de son état vibratoire et de ce qui vous a été transmis par les mots, a été Eynolwaden. Qui était la préfiguration de la liberté totale. Liberté qui ne peut dépendre ni d’aucun monde, ni d’aucune forme. Ce n’est pas une liberté de parcourir la forme, c’est la Liberté d’être ce que vous êtes en Vérité, tout simplement.
Bien-aimé, est ce que cela est clair pour toi ?
Oui, merci.
L’unité avait été utilisée, je te le rappelle aussi, avant les noces célestes, dans la pratique qui consistait à accueillir la Lumière Christ en unité et en Vérité, qui avait été nommée, si cela est exact, la fluidité de l’unité. L’unité crée une fluidité qui limite les résistances, les oppositions et les réactions de la personne. Mais ce n’est pas la Liberté ni l’éveil. Et ça permet de raffiner si je peux dire, le personnage dans son vécu personnel en ce qui est nommé son tempérament, sa personnalité et ses comportements.
…Silence…
Merci.
Voix : Merci, avec un sourire.
Nous pouvons poursuivre.
Voix : Il y a une question.
Participante : A-t-on d’autres trous noirs dans le corps, il y a le cœur, est-ce qu’il y en a aussi dans le sacrum par exemple ?
Voix : Est-ce qu’il y a d’autres trous noirs à part le cœur, par exemple dans le sacrum ?
Non. Le trou noir, je peux dire qu’en finalité bien évidemment sera dans chaque cellule. Je vous rappelle que chaque cellule qui se divise, passe par le temps zéro, depuis votre naissance. Et c’est pareil dans tous les cycles biologiques, et dans toutes les espèces.
Ce temps zéro est donc déjà inscrit dans la cellule. Il est d’ailleurs la base de temps du temps cellulaire, qui n’a rien à voir avec le temps humain. Le temps humain est lié à ce que vous vivez, à votre conscience, aux jours et aux nuits. Le temps cellulaire est lié à la chimie. Le temps n’est pas du tout le même.
Une cellule vivante humaine réalise au sein de son cytoplasme, par les réactions chimiques, des réactions de l’ordre de la fission nucléaire, et pourtant les cellules ne brûlent pas. Il y a une homéostasie. Ces cellules ne brûlent pas, parce que la durée de la réaction chimique est de l’ordre de 10⁻²⁶ secondes, n’ayant rien à voir avec l’échelle de temps humaine. Et pourtant notre corps est constitué de cela.
Le corollaire de cela, qui va vous apparaitre immédiatement, c’est que la conscience n’évolue pas dans le même temps que les cellules qui constituent votre corps. Le corps, la cellule, n’évolue pas dans le même espace-temps que vous. Cela a une portée énorme.
C’est une approche différente, et qui vous conduit sur le plan biologique à considérer que là-aussi, vous n’êtes en rien ce corps. Il vous appartient, il est votre véhicule, il vous sert à exprimer votre conscience mais il n’est pas vous parce qu’il n’évolue pas dans le même temps. C’est un fait établi, même si vous ne le percevez pas et ne le comprenez pas, c’est la stricte réalité de ce qu’il se produit.
La cellule réalise chez tout être vivant une transmutation alchimique à faible énergie. La température de la cellule, par l’homéostasie, est toujours identique à celle du corps. Même s’il se déroule à l’intérieur du cytoplasme cellulaire des réactions chimiques dégageant l’énergie d’une centrale nucléaire, mais pendant un temps qui n’est pas de l’ordre de la minute, de l’heure ou de la journée, mais de 10⁻²⁶ secondes. Et pourtant ça a lieu, et votre cellule ne souffre pas, ne s’échauffe pas.
Aujourd’hui, et nous l’avons dit, les particules adamantines, la Lumière, pénètrent au noyau et au cœur de chaque cellule, modifiant énormément de choses. La physiologie, le métabolisme, l’ADN en lui-même, mais aussi la constitution même de la cellule au niveau de son cytoplasme, du noyau et des composants mêmes à l’intérieur de la cellule. Ceci est une réalité. Mais notre corps que nous habitons n’évolue pas du tout dans le même temps que notre conscience.
Le principe de la réfutation de Bidi en 2012, vous a permis de chasser cette image habituelle de vous croire être le corps plutôt que dans ce corps. L’identification au corps, tel que Bidi l’avait dit déjà de son vivant, est l’obstacle le plus important à la découverte de qui vous êtes. Après, bien sûr, il y a l’histoire. Après, bien sûr, il y a la conscience. Cela a été traversé et vécu par d’innombrables frères et sœurs, depuis de très nombreuses années. La cellule informée ou si vous préférez réinformée par la Lumière directe, et non plus oblicale de la lumière falsifiée, retrouve une physiologie différente, une base de temps différente, et une chimie différente. De la même façon que la conscience n’a pas la même chimie au travers de ce corps, selon que ce soit le conscient, selon que ce soit le supraconscient.
Quelle était la question ?
À part le cœur qui est un trou noir, y a-t-il un autre trou noir…
Alors chaque cellule, par le temps zéro et par la Lumière, est appelée à devenir son propre trou noir. De la même façon qu’il existe d’innombrables trous noirs déjà présents au sein de cette galaxie et de cet univers particulier, dans ce bras spiral de la galaxie, de la même façon, il y a un trou noir qui est corrélé à tous les trous noirs. Le trou noir du cœur est le trou central qui communique avec chaque cellule.
Dans la physiologie humaine, le cerveau contrôle, par un système nommé le feedback, le biofeedback, le fonctionnement de tous les organes du corps, par voie fréquentielle. Quand le cœur prend le relais, comme c’est dit, de façon réelle, le cœur prend la relève de la tête, à ce moment-là, ceci n’est pas une vue de l’esprit, puisque le rythme à ce moment-là qui est imposé au niveau cellulaire, de la même façon que le cœur passe d’un rythme à deux temps sur une respiration à trois ou quatre temps, ou encore plus de temps, au niveau cellulaire, il en est de même. Tout est Un. Tout est relié. Tout est en résonance. Du plus bas de la terre au plus haut des cieux, si vous voulez.
C’est en ce sens, que toutes les frontières, ou les seuils, existant entre les différents espaces-temps, entre les différentes dimensions, se trouvent abolies, transmutées et effacées. Cela est du point de vue de la personne. Mais du point de vue de l’éternité, la création est un mythe, la conscience est un poids, en quelque aspect qu’elle soit. C’est le réflexe de survie lié à l’enfermement de vos structures organiques au sein de ce monde qui est la cause première des limitations de votre corps, en nombre de brins d’ADN, en nombre de composants de votre propre cerveau.
Le fait que le cœur a pris le relais par rapport à la tête, impulse directement cette pulsation de la fontaine de cristal, comme je l’ai expliqué hier, descendant au niveau du cœur. Cette fontaine de cristal, bien sûr, au-delà de rayonner de partout, informe vos cellules. Dès que la tête n’est plus en biofeedback du fonctionnement corporel et que cela est assuré là aussi par un système de feedback, mais un peu différent, au niveau du cœur, et en particulier quand le péricarde est relâché voire dissout, alors à ce moment-là, l’information cellulaire est une information Lumière. A ce moment-là, la cellule n’évolue plus dans le même espace-temps. Là-aussi, elle change de gamme et de registre et à ce moment-là, vous rajeunissez, effectivement et concrètement. Cela se voit, là aussi, cela se perçoit, et cela est mesurable.
…Silence…
Voix : Une autre question ?
Bien-aimée, j’allais le dire.
Participante : En fait c’est une réflexion par rapport à ce qui vient d’être dit. Rajeunir, mais à quoi bon ? (Rire) Puisque notre corps va disparaitre.
On est bien d’accord. Ça s’appelle mourir guéri.
(Rires)
Et il est préférable, je vous assure, de vivre cette période de la stase dans les meilleures conditions possibles. Il y a aucune utilité, bien évidemment, puisque le corps disparaît. Mais il y a une utilité pour l’évènement. Ceci dit, ceux d’entre vous qui sont atteints de pathologies, n’allez pas croire que ce sera plus difficile pour vous. Quand je dis que ce sera plus facile pour ceux qui ont vécu ce rajeunissement, ce n’est pas pour eux-mêmes nécessairement, mais aussi pour amortir le choc de l’humanité au niveau collectif. Ne pensez pas qu’à vous.
N’oubliez pas que vous baignez dorénavant dans la matrice christique, qui n’est pas une matrice binaire. Et que la Lumière authentique suit vos pensées, suit vos vibrations. Les modifications qui surviennent n’ont aucune utilité pour la personne, si ce n’est de constater que vous fonctionnez de façon plus aisée. Comme tu le dis, le corps va disparaître, a quoi cela sert, je te le répète, à vivre l’événement au niveau collectif comme individuel de façon plus harmonieuse si je peux dire. Sans gêne, sans obstacle.
Et sans ronflement.
Et sans ?
Et sans ronflement.
Et sans ronflement aussi.
(Petits rires)
De toute façon durant la stase, il n’y a pas de respiration, donc vous ne pouvez pas ronfler.
(Petits rires)
Alleluia !
(Petits rires)
Les voies de la Lumière sont pénétrables.
(Petits rires)
Participante : Est-ce que je peux poser une question, peut-être stupide, parce que tout le monde doit le savoir, mais finalement, pour moi, je ne sais pas exactement ce que c’est que ce trou noir au niveau du cœur, c’est quoi exactement ?
C’est le moment où tu sentiras un trou noir, il n’y a pas d’autre mot. C’est le mot qui vient spontanément à tout le monde, comme une espèce de grand vide au milieu de la poitrine, qui précède d’ailleurs l’installation de la fontaine de cristal.
D’accord, donc je l’ai peut-être mais je ne mettais pas un mot dessus.
C’est pour ça que je suis là, pour mettre des mots sur votre vécu.
D’accord, merci.
Pour vous permettre non pas de vous rassurer, vous avez largement dépassé ce stade-là, mais pour vous permettre de tranquilliser et de baliser, comme je l’ai dit, ce qui se vit. Il ne s’agit pas d’un enseignement, loin de là. Il s’agit simplement de l’accompagnement de la Vérité en vous. Rien de plus.
D’accord. Merci.
…Silence…
Si vous voulez, je peux brièvement récapituler ce qu’il peut se produire au niveau de la poitrine, d’abord pour ceux qui ressentent l’énergie, la vibration, la Lumière.
Il y a tout d’abord la structure la plus archaïque, qui est nommée le chakra du cœur. Il y a tout autour de ce chakra du cœur, un certain nombre de portes, mais aussi d’autres chakras. Ensuite, au-delà du chakra du cœur, il y a la couronne radiante du cœur. La couronne radiante du cœur est bien plus grande que le chakra du cœur, et a un rayonnement qui est tourné vers l’intérieur et vers le centre. La couronne ascensionnelle du cœur, elle, élève le cœur vers la tête, afin que la tête descende au cœur. C’est ce qui s’est passé avec la fontaine de cristal. Vous avez au niveau de la poitrine le huitième corps, la partie basse, et le neuvième corps, qui est le corps de rayonnement du divin, situé au niveau de l’angle de Louis, au niveau du sternum.
Vous avez le triangle de la nouvelle eucharistie, qui est en quelque sorte le trois en un, qui faisait partie d’ailleurs du yoga de l’unité, « en ton nom je réunis le trois en un », qui permet localement de réunir le trois en un, père, fils, saint-esprit ou père, mère, fils, si vous préférez. C’est le moyeu de la roue, ce triangle, qui permet l’expression d’abord dans un premier temps de la couronne radiante, venant prendre la place du petit chakra qui est lui à l’intérieur et tout proche du cœur du cœur, tout autour de ce point central du chakra du cœur.
L’alchimie produite par l’onde de vie, qui est remontée jusqu’au chakra du cœur ou jusqu’à la tête, conjuguée au canal marial, conjugué à un triangle très particulier que Sri Aurobindo avait évoqué durant l’année 2009, concernant la jonction du point central du chakra du cœur, de la porte ER ou neuvième corps, et du point ki-ris-ti situé dans le dos. Là aussi le trois en un.
Il existe, comme je vous l’ai dit, une structure de ce corps d’éternité. Il ne sert à rien de rentrer dans trop de détails sur la constitution. Je vous ai donné, voilà quelques années, la notion de tétrakihexaèdre ou le diamant du cœur. Tout ça est parfaitement connu, mais ne vous permettrait pas d’avancer un iota, si ce n’est de baliser votre route quand vous le vivez.
Mais ne confondez pas la carte avec le territoire. Vous êtes le territoire. La carte, c’est le mental. C’est une construction, artificielle.
Mais néanmoins, face à l’inconnu, face à cette résurrection, il était important que vous ayez de manière préalable un certain nombre de balises. Ces balises sont vibratoires, elles sont structurelles, elles ont été pédagogiques, et elles vous permettent aujourd’hui de faire bénéficier le plus grand nombre du travail que vous avez effectué, pour certains d’entre vous, voilà de très nombreuses années.
…Silence…
Au niveau du cœur : il existe plusieurs perceptions, je ne parle pas ici des structures que je viens de décrire, ni même de la respiration du cœur, mais simplement de ce que vous pouvez observer. Quand l’ensemble des structures, même si vous ne les avez pas vécues au moment où elles se sont activées, et même si vous ne les avez jamais perçues, ni le canal marial, ni l’onde de vie, ni quoique ce soit, le trou noir résulte du déploiement du cœur d’éternité depuis le cœur du cœur, recréant tout autour de la cage thoracique le double tore, avec le double flux, à gauche entrant à droite sortant, que vous soyez gaucher ou droitier.
Je pourrais aller encore beaucoup plus loin, mais cela ne vous serait d’aucune utilité. C’est simplement la conjonction, même si vous ne l’avez pas vécu auparavant, de l’onde de vie avec le chakra du cœur, du canal marial avec le cœur du cœur, du chakra du cœur avec la couronne radiante, de la couronne radiante avec la couronne ascensionnelle. L’ensemble de ces informations vibrales et énergétiques s’alchimisent dans le cœur et vous permettent à ce moment-là de vivre le trou noir au milieu de la poitrine.
Quelle est la différence entre l’absorption des essences par exemple, et un trou noir, il y a un mouvement d’absorption, le trou noir absorbe, mais absorbe indépendamment de vous. Il réabsorbe l’illusion de la matière et participe à la décréation, ou si vous préférez, à la fin du mythe de la création.
Voilà ce que je peux dire, en quelques minutes, de manière très schématique, sur des connaissances que vous reconnaitrez en le vivant, et qui je le répète, ne vous sont d’aucune utilité, surtout aujourd’hui, puisqu’il n’y a pas de yoga à pratiquer. Vous ne pouvez que vous baliser vous-mêmes à travers les éléments que je viens de vous donner, quand vous le vivez. Mais la connaissance préalable, même du tétrakihexaèdre ou de l’emplacement, tel que c’était important voilà plus de dix ans, aujourd’hui, ne représente plus rien.
Vous avez travaillé de la même façon très longuement sur les étoiles, sur les portes, voilà de nombreuses années. Aujourd’hui, vous avez des sœurs et des frères qui vivent la même chose que vous, en l’espace d’un instant, ou d’une respiration, sans avoir eu besoin ou éprouvé la nécessité de travailler réellement et concrètement sur ces structures, pendant des années. Cela ne tient pas simplement au fait que les temps sont là, mais cela tient aussi au fait que vous ayez construit, en tant que semences d’étoiles et enracineurs de Lumière, la matrice christique. Vous avez donc resynthétisé et recréé la matrice christique.
Dès l’instant où l’un des corps d’éternité présents dans le soleil a été libéré, dès le 15 août 2009, non pas sur ce continent, mais en d’autres continents, nombreux frères et sœurs ont récupéré leur corps d’éternité. Cela a été un peu freiné en Occident, de part la présence de certains vaccins qui étaient faits dans la génération précédente, et qui avait bien inquiété à l’époque le commandeur, lors de la divulgation et l’effusion des clés métatroniques, au 15 août 2009. Bref, cela est de l’histoire ancienne et cela appartient à l’histoire.
Aujourd’hui la résultante est que vous êtes toujours plus nombreux chaque jour, même sans pouvoir identifier clairement ce qui se passe dans votre poitrine. Parce qu’il est évident qu’aujourd’hui de ceux qui sentent la Joie ou quelque chose qui se produit au niveau de leur cœur, n’ont absolument pas besoin d’identifier le canal marial, le triangle de la nouvelle eucharistie, le chakra du cœur, la couronne radiante, la couronne ascensionnelle, l’onde de vie, peu importe. Cela se fait automatiquement. Et c’est cela que vous avez permis, parmi les plus anciens. En ayant ancre la Lumière, et en ayant semé la Lumière.
Voilà dressé très brièvement le panorama de l’évolution des énergies et de la conscience, ainsi que de la progression, la vôtre, la nôtre, depuis les noces célestes.
On vous remercie.
Il faut bien nourrir de temps en temps le mental.
(Petits rires)
…Silence…
Bien-aimé, poursuivons.
Peut-être encore une dernière question puisque nous arrivons bientôt au bout.
J’ai déjà consommé tout mon temps.
Presque, presque.
Participante : Oui, je voudrais demander, mon ignorance est sans doute, grâce, énorme quoi, je veux dire, mais ce que tu évoques ce soir, me paraît vraiment compliqué, ça m’a l’air d’un jeu de pistes, avec des tas de couronnes, des tas de triangles, des tas de choses.
Tu dis en même temps qu’on en a pas besoin, qu’il y a des frères et des sœurs qui arrivent à tout, dans la minute, sans avoir besoin de faire tout ce qu’on fait, nous, tout ce qu’on doit faire, ou qu’on a dû faire avant la date actuelle. C’est quoi qu’on a, nous, c’est une malédiction ?
(Rires)
J’ai entendu tout sauf ta question à la fin.
Voix : C’est quoi qu’on a, nous ? C’est une malédiction ?
(Rires)
Ah non, pas du tout. Vous avez été, effectivement, comme vous avez été appelés, des semences d’étoiles. Vous avez été les pionniers, si je peux dire. Ça vous fera une belle jambe quand y aura plus d’histoire. (Rires) Mais il fallait bien un début. Comme je l’ai dit, cela appartient à l’histoire. C’est pour ça qu’il n’est pas question aujourd’hui de vous redonner, et d’ailleurs les anciens vous l’ont dit l’année précédente, qu’il n’était pas question de vous donner la totalité de la structure d’éternité.
Quand je faisais certains soins, en conscience nue, en délocalisation de conscience au sein de mon véhicule d’éternité, l’un de mes véhicules d’éternité, bien évidemment j’avais accès à la vision directe de ce corps d’éternité. Il a été demandé par Bidi, et par le Christ, de ne surtout pas utiliser cela.
J’ai donc obéi, pour faire l’expérience, et je me suis aperçu que bien effectivement, que je n’avais pas besoin de connaître l’histoire, pour faire disparaître l’histoire. (Petit rire) Pas la personne bien sûr. Mais libérer la personne des attachements à l’histoire ou à quelque mémoire que ce soit. C’est la résonance qui l’a créé. Je suis toi, tu es moi. Ou je suis un autre toi. Nous sommes les uns dans les autres, je te vois, tu me vois. Tout le reste ne vous sert plus à rien, effectivement.
Et ceux d’entre vous qui avez « à quoi bon » comme tu le dis, parmi les plus anciens, je vous rappelle quand même que vous avez permis tout ce qu’il se déroule maintenant. Vous avez été les premiers, pour beaucoup vous serez les derniers. Ce n’est pas une punition, mais c’est justement parce que vous êtes les anciens que vous devez rester jusqu’au bout.
De la même façon que je vous ai dit que personne ne sera laissé, et maintenant vous comprenez pourquoi, puisque le système solaire est réabsorbé. Il est impossible de laisser quiconque, c’est impossible. Puisque tout est réunifié. Puisque vous êtes au début du film. Aux moments initiaux du film. Et n’en concevez ni avantage ni rancœur, mais vous avez participé activement, au sein de l’illusion, au processus de libération de la Terre et de votre propre libération.
Et vous devriez être au contraire parfaitement en extase devant le fait qu’aujourd’hui, des frères et des sœurs de toute origine et de tous âges en un claquement de doigts se retrouvent libérés. Je vous rappelle qu’il a fallu… il a fallu, le terme est mauvais, je cherche l’expression exacte, il a fallu que l’anomalie primaire ait été levée, et que tant que l’anomalie primaire n’était pas levée, vous ne pouviez pas vivre de façon extensive cette Joie.
Même si certains d’entre vous, bien évidemment, ont vécu des états de Joie ou des états mystiques par expérience déjà depuis fort longtemps. Là, il est question de l’établissement, et non pas de vivre quelques expériences comme ça et de continuer dans le sein de la personne. Il fallait que les expériences vécues au travers de la Lumière, au travers des entités de Lumière, au travers de votre corps d’éternité perçu et vécu, vous conduisent et vous rapprochent le plus possible du moment où il allait falloir lâcher.
Il fallait donc construire au travers des archétypes existants, quel que soit leur degré de perversion, quelque chose sur ce monde qui puisse accueillir le corps d’éternité. Vous l’avez accompli, voilà fort longtemps déjà, de nombreuses années. Il a fallu ensuite, la progression de la Lumière, de l’information Lumière des particules adamantines, mais aussi quelque part, une modification de la conscience collective.
Nous nous sommes appuyés, et le commandeur avait fort logiquement et comme d’habitude tout à fait raison, de vouloir passer l’enseignement qui a été reçu voilà de nombreuses années, par le biais d’internet, afin de contrer tout simplement la progression de la matrice binaire. Pas uniquement par la voie que vous avez nommée Autres dimensions, mais par de multiples voies. Il s’agissait en quelque sorte d’introduire un agent étranger au sein de la matrice binaire, la mission a été parfaitement remplie. Et au-delà de toute espérance.
Vous avez donc été la pierre de fondation, vous avez donc été les ensemenceurs. Donc il n’y a pas de « à quoi bon ». Le « à quoi bon » pour vous, effectivement. Il est beaucoup plus facile sur le plan personnel de se réveiller en un claquement de doigts libéré, que d’être passé par tout ce que vous avez passé comme processus vibratoires, comme épurations, comme difficultés ou comme joies aussi.
Mais aujourd’hui il n’y a plus aucune différence. Vous avez été les premiers à le vivre, et vous fermez la marche, vous vérifiez qu’il n’y a plus personne. Voilà l’avantage. Il n’a pas été pour vous, puisque je viens de vous dire, pour la personne cela a été même assez contraignant, et vous a en quelque sorte verrouillés dans certains archétypes de l’histoire réelle de la Terre, afin de vous approcher du temps zéro dans les conditions les plus adéquates, tout simplement.
Vous l’avez fait pour vous, mais vous l’avez fait pour l’ensemble de la planète. Et vous l’avez compris maintenant, vous l’avez réalisé pour l’ensemble de la création. C’est un travail collectif, c’est un travail de restitution de la liberté, chaque pierre a été à sa place, et cela ne pouvait en être autrement.
Donc, il n’y a ni premier ni dernier, puisque les temps sont accomplis, et que vous êtes très exactement tous exactement au même niveau, que vous viviez l’Absolu, ou que vous viviez les affres de la personne. Vous allez vous en rendre compte très bientôt. Quelle que soit la distance qui peut vous sembler exister, entre ce que vous croyez, ce que vous vivez et la Vérité, cette distance apparente va fondre.
Je vous l’ai dit, la Lumière est fatalité, elle est inexorable. Je l’ai dit, il n’y a aucun retour en arrière possible. La Lumière ne pourra plus jamais s’éteindre, ce que vous êtes ne pourra plus jamais être oublié. Et cela est maintenant.
…Silence…
Merci ! C’est un soulagement.
Bien-aimée ?
Voix : Merci, c’est un soulagement.
Vous aimez bien jouer à être soulagés.
(Rires)
Bien-aimée, avons-nous le temps, ou est-il temps de clôturer cette…
Non, je crois que cette fois nous sommes au bout.
Alors, si nous sommes au bout, Abba vous salue. Et je vous dis bien sûr, à demain.
Merci.
Merci.
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