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Satsang 1
Vacances (20 au 25 Juillet 2022)

21 Juillet 2022

(Elisa parle avec quelqu’un)

Quoi ?

Elisa : La (x), elle est vaccinée, alors…

Elle a trois doses ou deux doses ?

Elisa : Je crois qu’elle en a trois. Alors je lui ai passé une vidéo. Alors elle a téléphoné, prépare-moi des « tonnes » de CDS ! Elle a été obligée, là-bas, parce que sinon elle ne pouvait pas mettre les enfants à l’école. Ils les obligeaient dans certains pays.

Elisa : Mais je ne lui vois pas de symptômes, en fait. Je ne sais pas.

Mais elle, quand je suis en face d’elle, je ne sens rien.

Elisa: Mais mon non plus justement.

Quand je suis en face de …

Elisa : Mais je vais voir, si je l’ai en lecture d’Aura, j’ai envie de voir un petit peu comment ça va, au niveau énergétique, tu vois.

Une sœur : Peut-être elle a eu un placebo, non ?

Elisa : Oui, mais les trois fois ?

Sœur : Ah oui.

A moins qu’elle ne soit tombée sur le même vaccinateur.

Elisa : En tous les cas, je lui ai dit : Tu sais, untel, je ne voudrais pas qu’il se vaccine, sinon il meurt sur le coup, parce qu’il était prématuré et il a beaucoup de soucis de santé. Alors elle m’a dit qu’ils vont acheter un carnet de vaccination, parce que là-bas en Colombie, ça peut se faire. J’ai dit : Sinon tu l’emmènes et puis tu vas le tuer directement.

Une sœur : Et en plus, la contamination, elle se fait dans les rapports sexuels …

Elisa : Mais l’amour efface tout !

(Rires)

Il y a deux pays d’Amérique Latine où il n’y a plus rien, c’est le Mexique et le Brésil.

Une sœur : Et pourtant le Brésil au début, ils en faisaient … Et l’Inde ?

Non, moi je parlais de l’Amérique Latine. En Inde, oui, ils donnent des kits à tout le monde. Il n’y a plus de vaccins. Bill Gates, il n’est pas bienvenu là-bas !

Elisa : Le président du Brésil, il a l’air un peu mieux.

Ah oui, il est contre l’état profond, bien sûr. Et le président mexicain, pareil.

Elisa : Donc, ils ont enlevé la vaccination.

Exact. Et au Pérou, ils ont détruit toutes les antennes 5G. Il faut dire que ces cons-là, ils ont mis des antennes 5G … il y a la grande place centrale de Lima, il y a le palais présidentiel, et autour il y a des immeubles de luxe. Ils ont truffé d’antennes 5G cette place. Et les gens ont commencé à mourir … Ça n’a fait ni une ni deux, ils sont tous descendus, ils ont abattu les antennes. Et depuis il n’y a plus aucune antenne 5G au Pérou.

Elisa : Mais malgré tout ça, tu ne penses pas qu’il va y avoir une espèce de changement qui allongerait l’agonie en fait.

Non. Elisa, il y a une règle en psychologie. (…) avait dit : « Il est beaucoup plus facile de tromper un être humain que de lui faire admettre qu’il a été trompé ». Donc les gens qui ont suivi la matrice dans ce qui se fait actuellement, ne peuvent pas, intellectuellement, psychologiquement, émotionnellement, reconnaître qu’ils ont été trompés. C’est impossible.

Elisa : Ça je le comprends bien.

Et à partir de là, qu’est-ce que tu veux faire ? Pour eux, reconnaître qu’on les a trompés, c’est pire, et il n’y a aucune issue pour eux.

Elisa : Mais par exemple pour ma …, elle, elle reconnaît qu’elle n’avait pas d’autre moyen, elle ne voulait pas se faire vacciner.

Bon on avait aussi, l’année dernière ou il y a deux ans, une femme ingénieur qui s’était fait vacciner, là.

Je lui ai montré, elle avait son adresse Mac.

Elisa : Je lui ai montré aussi à ma (x), mais elle n’a pas d’adresse Mac.

Donc, elle a reçu un placebo.

Elisa : Mais trois fois ?

Elle a peut-être été vaccinée trois fois au même endroit, je ne sais pas.

Elisa : Ah je ne lui ai pas demandé.

Un frère : Après, il y a peut-être aussi l’adaptation, l’adaptation de l’organisme, enfin, il y a quand même une intelligence …

Alors oui, j’ai même entendu des gens qui me disent : « Je suis tellement dans la lumière que le vaccin ne …. Ils sont morts !!! Croire que parce que ton niveau vibratoire est suffisamment haut, et que tu vas contrer par la lumière l’effet de ces saloperies, là, j’ai du mal à comprendre. Ce n’est pas un problème énergétique, c’est un problème biologique, strictement biologique.

L’ARN messager, tout le monde sait que c’est un poison violent, indépendamment de tout le reste. L’ARN messager, sans compter tout le reste qu’il y a dedans, parce qu’il n’y a pas que ces cinq ingrédients que j’ai dit, il y en a d’autres, il y a les métaux lourds, … c’est monstrueux la soupe des vaccins, depuis toujours.

Je vous signale que ce n’est pas Pasteur qui a inventé les vaccins. Ce sont les chinois, ce sont eux qui ont découvert le vaccin antivariolique, en prenant des croûtes chez la vache, en vaccinant les gens avec une scarification et en mettant les croûtes. Ce sont les chinois qui ont inventé les vaccinations. Et les vaccins pour ce genre de pathologie, pour la variole donc, étaient hyper efficaces, déjà il y a trois mille ans. Pasteur n’a rien inventé.

Et maintenant, si on s’intéresse un peu à ça, vous regardez les théories de Béchamp et de Pasteur, parce que Pasteur a pompé tous les travaux de Béchamp, et Béchamp avait démontré que, ce qu’on appelle virus, n’est que l’expression des parties abîmées de l’ADN et de l’ARN humain, soumis à des champs électromagnétiques, qui sont éliminées. Bien sûr, ce n’est pas vivant.

Je vous rappelle que jamais, jamais, jamais personne n’a jamais isolé un virus ! Toutes les images que vous avez, le virus du Sida par exemple, ou du Coronavirus actuellement, sont des simulations informatiques. Personne n’a jamais eu sous un microscope électronique le moindre virus. Ça n’a jamais existé !

Par contre, que ces particules qui sont excrétées sous l’effet des ondes et autres soient toxiques, ça c’est une certitude, pour les autres. Mais ce n’est pas un virus. Donc tout ce qu’a dit Béchamp – alors par contre si vous parlez de Béchamp, sur youtube ou autres, alors là vous êtes censurés mais presque immédiatement. C’est énorme, énorme !

Les vraies épidémies sont des épidémies bactériennes : la peste noire, la peste bubonique qu’il y a eu au moyen-âge au temps de Nostradamus, la peste ! Mais il n’y a jamais eu d’épidémie virale. On nous ment depuis le début du vingtième siècle. Il faut savoir quand même que ce qu’on a appelé la grippe espagnole a été déclenchée par une vaccination antigrippale sur les contingents de soldats américains qui étaient en Espagne.

Je vous signale que pendant la grippe espagnole, ils ont fait le même scénario qu’aujourd’hui. Tout le monde avait des masques, … enfin bon … Le scénario qu’ils ont fait sur un plan symbolique et sur un plan effectif pour eux :

  1. Le rituel d’Anubis, perforer le plancher des fosses nasales avec des tests PCR, donc créer une communication artificielle entre le cerveau et l’oxygène extérieur. Donc tous ces tests PCR n’ont servis qu’à récolter l’ADN de tous les humains.
  1. Injecter de l’ARN messager et du graphène directement dans le cerveau.
  1. Et le masque, c’est un rituel de soumission, rien de plus, rien de moins.

Je vous rappelle quand même, vous avez dû le voir, les masques, même les becs de canard qui sont les plus puissants, la maille elle fait 25 microns. Le virus fait 0.25 microns ! Faut être débile pour penser que cela va protéger qui que ce soit. La seule protection qu’il y a, c’est que si toi tu es infecté et que tu mets le masque, effectivement, tu vas moins propager de particules.

Mais de croire que parce qu’on met un masque, on est protégé du virus, c’est une hérésie ! Ce ne sont que des rituels occultes de soumission. D’ailleurs les camions qu’il y avait aux États Unis, qui faisaient les tests PCR, parce que maintenant c’est interdit aux États Unis, plus le droit de faire des tests PCR , – je vous signale que le brevet des tests PCR appartient à Nathaniel Rothschild, qui a été assassiné d’ailleurs, il a fait un « accident cardiaque » il y a deux ans – tous, sans exception, dès que vous faites un test PCR antigénique ou autre, hop, ça va dans l’escarcelle et la bourse des Rothschild !

Une sœur : Tu allais dire aux États Unis, avec Anubis …

Les camions Anubis, oui. Les camions qui sillonnaient les routes avec Anubis dessus ! Et ça montre, comme toujours, que ce soit pendant les nazis à l’époque, les médecins ont toujours été du côté des nazis ! Et on se rend compte aujourd’hui que quatre vingt pour cent du corps médical est complètement satanique. C’est une évidence. C’est dramatique, mais c’est comme ça. Et puis surtout … beaucoup d’argent !

Quand vous gagnez trois mille euros à aller empoisonner des gens par jour, c’est plus rentable que de tenir un cabinet. Et les gens n’ont aucun scrupule, aucun.

Mais bon, encore une fois, c’est une scène de théâtre.

Elisa : Oui mais quand tu verras tomber les gens autour de toi …

Mais je préfère quand même le théâtre comédie, que le théâtre dramatique, quoi. Il y a plusieurs théâtres possibles.

Un frère : On a au moins le choix du théâtre.

Oui, oui, oui. Il vaut mieux rêver que faire un cauchemar. On est bien d’accord. C’est quand même plus léger et plus agréable.

Elisa : C’est marrant, parce que tout ça, ça s’est passé en cinq ans, quatre ans ?

Non, trois ans.

Elisa : Trois ans, et en ce moment ça fait quatre. Moi je me suis réveillée dans un autre monde parallèle, parce que tout de suite, dès que j’ai repris mes esprits, le cauchemar a commencé. Moi j’ai commencé quelques mois avant.

Mais ce que tu as dû avoir, c’est une maladie des ondes.

Elisa : Moi j’avais le covid en fait. D’ailleurs ça a commencé à Can Mas. Moi j’ai eu le … Tout ce que j’ai eu … quand tu as parlé du cœur à trois temps, là, la semaine d’avant, je sentais mon cœur qui faisait Bip Bip, puis s’arrêtait, j’avais des trucs bizarres dans le cœur.

C’était l’époque où on faisait les résonances Agapè, ça.

Elisa : Mais ça s’arrêtait, il s’arrêtait carrément. Et moi je faisais comme ça « Haa-Haa, Haa-Haa », je faisais aller… il y avait des trucs bizarres dans le cœur. D’ailleurs, toi tu m’avais dit à l’époque : « Va voir ton cardiologue parce que ton ventre et tes bronches ne fonctionnent pas ». Moi je mettais le jaspe rose, rouge, mais le cœur commençait déjà à faillir, et après j’ai fait ça.

Elisa : Tout ça c’était déjà préparé, parce que je suis tombée dans un volcan là-bas à Can Mas, un volcan, des kilomètres et des kilomètres. Et après … Donc, c’est la même chose qui est en train de se passer maintenant.

Mais c’est vrai que … Regardez, même nous ici, on parle de ça sans arrêt, alors que Pépère nous disait hier de couper les radios, de couper tout ça. Si on veut vraiment être tranquille, il faut arrêter. Il faut aller dans la nature, aller se baigner, dessiner, chanter, mais il faut arriver à couper.

Une sœur : Mais c’est ce qu’on fait.

Mais même moi, c’est aussi valable pour moi, toujours sur Internet, regarder les infos et tout, mais à un moment donné, tu sens que ça t’impacte, que tu le veuilles ou pas.

Une sœur : Mais moi, je sais que d’écouter les satsangs, d’écouter les canalisations, ça a permis de mettre de la compréhension quand même. Parce que j’en avais besoin quoi, je me sentais tellement (…)

Oui, mais là, à peu près tout le monde, on a compris, tout le monde le sait, ici, mais on continue quand même, quelque part, pas à le nourrir, mais un petit peu, c’est-à-dire qu’on est toujours branché là-dessus, plutôt que d’être branché le plus souvent sur la nature, sur les éléments, sur la communion entre nous, parce que c’est vraiment – et ça Sri Aurobindo l’avait bien expliqué comme a dit Pépère hier – le pouvoir de l’image, c’est un pouvoir hypnotique.

L’image est hypnotisante. Les infos, ils captent notre attention. Vous savez que ce qui fait la valeur d’une entreprise du Net, comme FB ou autre, c’est la captation de temps. Plus une société arrive à capter votre temps – et comment est-ce qu’elle capte votre temps ? – elle vous envoie des notifications, donc vous êtes sans arrêt en train de répondre aux notifications. Et à partir du moment où vous êtes captifs, vous êtes piégés par le temps, que ce soit Fb, que ce soit Youtube, que ce soit n’importe quoi, Whatsapp ou autre, vous êtes piégés. On est pieds et poings liés, les uns et les autres, même si on le sait.

Donc ça a un pouvoir énorme, l’image, les ondes, nous dérivent quelque part. Et en plus, on le sait, on le sait, c’est comme si on ne pouvait pas s’en empêcher.

Elisa : Mais on ne peut pas faire autre chose, parce que dans cette vie maintenant, elle est comme ça. Sinon, avant, quand il n’y avait pas cette technologie, on avait d’autres occupations.

On avait plus de temps pour nous, tout simplement. Regarde maintenant, les repas sur la plage, partout, tout le monde est devant son téléphone, même moi, on est tous devant un téléphone, regarde les familles au restaurant, ils sont tous sur leurs téléphones.

Elisa : Mais qu’est-ce qu’on faisait avant ?

Un frère : On discutait …

Mais on communiquait !!!

Une sœur : On communiquait, on pouvait se regarder, on pouvait …

Un frère : On était en présence des autres …

(Tout le monde parle …)

On était dans l’instant présent, on échangeait, il n’y avait pas cette pollution de la tête. Regarde maintenant, on a une question sur n’importe quoi, et je suis le premier à le faire, on se pose la question sur un papillon, sur un truc … Ah oui, il y a Internet, et on vérifie. Tous.

Si on éteignait le téléphone et si on le mettait dans un tiroir une journée, tu verrais la différence de temps que tu gagnes.

Elisa : Tu peux le faire un jour, mais tu ne peux pas le faire beaucoup de temps.

Pour quelle raison ?

Elisa : Moi j’ai essayé, je l’éteins le soir maintenant et je le mets de côté pendant une journée. Mais tu peux le faire comme, par exemple comme quand tu es au régime, tu peux le faire pendant quelques jours, mais après tu as besoin.

Bien sûr. Regarde là, depuis qu’on est arrivé, d’habitude je le recharge deux fois par jour mon téléphone. Là le soir, il est encore plein. Donc regarde, vous avez tous le temps que vous passez sur l’écran, le système d’exploitation ça vous dit …. Je me suis aperçu un moment donné, il y a deux, trois ans, que je passais douze heures par jour devant l’écran, douze heures !!! La moitié de vingt quatre heures donc, et encore, la nuit, bien sûr je ne regarde pas, donc vous imaginez ce que ça veut dire ? C’est une captation de temps.

Tous les psychologues qui ont travaillé avec Fb, avec Youtube et tout, il y a des articles passionnants. Le but d’une entreprise, avant de vous vendre quoi que ce soit, c’est la captation de temps. Plus une entreprise arrive à capter votre temps, plus elle est riche. C’est automatique. Voilà, à partir de là…

Moi je l’ai vu … Alors avant il y avait Fb, messenger …Après il y a eu Telegram, tout le monde s’est inscrit sur Telegram, ensuite WhatsApp, il y a des groupes de tous les côtés. Ecoute, là je vois bien la différence en laissant le téléphone de côté, je l’ai déjà fait plusieurs fois, mais comme tu dis, on a l’impression qu’on ne peut pas s’en passer.

Elisa : Mais moi je regarde par exemple moins, j’essaie de le rationner.

C’est ce que je fais.

Une sœur : Et en même temps, qu’est-ce que c’est agréable de pouvoir communiquer.

Cela avait été décrit hier quand même.

Elisa : Au lieu que lui il se serve de moi, je me sers de lui. C’est ce que je veux faire.

Une sœur : Voilà c’est ça. Voilà, tout-à-fait !

Alors déjà moi j’ai supprimé toutes les notifications, c’est-à-dire que c’est moi qui décide quand je vais voir, mais pas un appareil qui va me dire quand aller voir. Donc déjà les notifications, elles n’existent plus, aussi bien des mails que de fb que de WhatsApp, parce que, quand tu as des notifications, moi je vois des gens qui ont les notifications activées, mais c’est toutes les minutes !

Il faudrait que je retrouve cette cana de Sri Aurobindo parce qu’elle était parfaite, surtout qu’à l’époque, 2011, ce n’était pas la même intensité qu’aujourd’hui. Il parlait déjà du pouvoir de l’image, il disait que c’était la pire des magies qui soit ! Image, magie. L’image, le cerveau, alors ça j’avais travaillé là-dessus sur ce qu’on appelait le subliminal à l’époque, le cerveau enregistre.

Il y avait une publicité à l’époque, incroyable, qui était d’un racisme incroyable, vous vous en rappelez peut-être les anciens là, de Thomson, qui présentait les premiers écrans de télévision couleur, avec un meuble design, l’écran de télé, et puis le pied un peu design, et il y avait un mannequin noir à côté qui disait : « Un téléviseur couleur peut aussi être beau ». Ça va très loin, parce qu’on enregistre les images qu’on le veuille ou pas. Vous voyez quelque chose, vous regardez quelque chose en plus via un écran avec des fréquences très particulières, qui vont s’imprimer dans le cerveau et qui vont modifier votre comportement sans que vous vous en aperceviez.

Alors là, c’est évident, c’est d’ailleurs des règles psychologiques qu’ils connaissent très bien dans le neuro-marketing. Par exemple en France, on nous dit que le neuro marketing est interdit, on sait que la décision d’achat, n’importe quoi, est liée à certaines formes géométriques et certaines couleurs, des codes couleur. Par exemple, la SNCF a utilisé il y a quatre/cinq ans, il y au eu un reportage là-dessus, le neuro marketing, pour vendre plus de billets, ils ont mis des triangles verts.

Alors, ça pouvait prendre l’aspect d’un sapin, c’était la période de Noël, mais on sait que le triangle vert te fait acheter quelque chose.

Une sœur : Oui, ça suggère aussi les odeurs, ils vont te mettre un petit chocolat chaud, la neige, tout ça.

Oui. Donc on est soumis à l’image, c’est pour ça que Sri Aurobindo avait parlé d’acte magique le plus pervers qui soit, c’est ça. La captation de temps pour les sociétés, la décision d’achat pour les objets, qui est dictée par le neuro marketing. Le neuro marketing, c’est quelque chose qui est parfaitement efficace, parfaitement calibré.

J’avais même travaillé à l’époque avec un chercheur de l’université de Lausanne, qui était le spécialiste des odeurs, et il était payé pour trouver quelles étaient les odeurs dans une voiture neuve qui déclenchaient l’achat de la voiture. Très simple. L’odeur du pin d’épice, l’odeur du tabac havane, les cigares, c’est très léger. Eh bien, la personne elle rentrait dans la voiture, elle achetait la voiture.

Donc on est dicté, au niveau de nos décisions, par des odeurs, par des couleurs, par des signaux olfactifs donc, et visuels, à l’insu de notre plein gré. Ils ont même fait la même chose pour les yoghourts Danone, ils ont cherché quelles étaient les saveurs qu’ils pouvaient rajouter pour rendre addicts les gens. Ah mais ce sont des fous furieux ! Dans le monde de l’entreprise, ce sont des fous furieux.

En plus, le neuro marketing est parfaitement au point. On sait que si on met tel repère sur telle image d’un paysage, sur tel objet, les gens vont choisir celui-là. Et totalement à l’insu de leur conscient.

En fait, j’en avais parlé en neurosciences, vous avez deux circuits dans l’être humain, qui fonctionnent avant la cognition, c’est-à-dire avant la réflexion et avant la prise de conscience, qu’on appelle les circuits de la récompense et de la punition. C’est le même passif que je vous disais pour les voitures où ils avaient mis des odeurs de pain d’épice, qui rappellent l’enfance, l’odeur des draps qui sèchent avec la bonne lessive d’antan, parce que ça fait appel au circuit de la récompense.

Quand vous sentez cette odeur, de pain d’épice, de chocolat chaud, ça vous rappelle les moments heureux de votre enfance. C’est aussi con que ça et ça échappe complètement à notre conscient. Donc il y a des odeurs, on peut même parler des phéromones, qui vont induire des pulsions d’achat, ou qui vont activer le circuit de la récompense, et qui vont vous faire acheter.

Alors c’est pareil pour les yoghourts Danone, c’est pareil pour les voitures de luxe allemandes, c’est pareil pour tout, pour tout. Donc on croit qu’on décide quand on fait les courses qu’on va acheter, mais c’est archi-faux. L’emplacement des produits a été calculé, les couleurs des produits qui sont mis en avant ont été calculés, et c’est complètement manipulé.

Et en plus, ça, t’as beau être dans des vibrations très hautes, t’as beau être lucide si on peut dire, tu ne peux pas y échapper. Ça se passe au niveau infra conscient. Et l’être humain est toujours soumis aux circuits de la récompense et de la punition. Il faut savoir que le circuit de la punition, chez les gens qui n’ont pas ouvert, entre guillemets, certains niveaux, ouvert les chakras du haut, le circuit de la punition est toujours plus fort que le circuit de la récompense.

C’est ce qu’on a appelé à l’époque les étoiles bien et mal, ou attraction et répulsion. Et ces circuits interviennent avant la cognition, c’est-à-dire avant le conscient, systématiquement. Et tout ce qu’on choisit dans la vie est fonction de souvenirs traités de manière infra consciente, qui renvoient à l’hypothalamus, c’est-à-dire au siège des habitudes, ce qu’on appelle le fameux cerveau reptilien, et tout ce que nous décidons dans la vie n’est jamais conscient. Il est uniquement dicté par le circuit de la récompense et de la punition.

Fantastique ! À partir de là, quelle liberté a-t-on ? Aucune. Et tout fonctionne comme ça, puisque ces lois ont été découvertes, elles ont été appliquées dans le neuro marketing, dans le marketing du temps passé sur les sites, Fb est très fort pour ça, mais c’est de la manipulation psychologique à l’état pur.

Elisa : Mais quelqu’un qui est libéré, est quand même soumis à ça ?

Alors quand tu es libéré, quand tu as ouvert les chakras du haut, que tu as ouvert la couronne du cœur et que tu as accès à l’Absolu, le circuit de la récompense devient supérieur au circuit de la punition. Mais, du coup, tu es plus sensible, même si tu le vois, tu ne peux pas t’opposer, à moins de couper, comme je t’ai dit, les notifications, à moins de ne plus acheter de choses sur Internet.

Mais tout ce que tu décides, tu pourrais croire que tu décides comme pour un mec qui va acheter une voiture, il va regarder le nombre de vitesses, la puissance, des trucs de mec, tu vois, mais en fait non ! En fait, non, pas du tout.

Une sœur : Et en fait, qu’est-ce qui ouvre le cœur, ce n’est pas la personne, ni les circuits …

Ah, l’ouverture du cœur ne peut venir que de toi-même. L’extérieur, c’est-à-dire ce qui s’est passé avec Autres Dimensions, c’est-à-dire qu’on a activé les chakras, les étoiles, donc les énergies sont descendues au fur et à mesure, ont ouvert les chakras au fur et à mesure, mais l’ouverture finale, totale, c’est-à-dire accéder au double tore du cœur, ne vient qu’à partir du moment où tu as renoncé.

Le renoncement au sens le plus noble, c’est : Tu acceptes, on parlait de ça avant de parler de l’Acceptation, tu acceptes finalement que tu n’es rien. C’est-à-dire qu’il n’y a plus aucune prétention à être quoi que ce soit. C’est un retour sur soi-même, c’est un retour au centre, qui survient soit dans des circonstances dramatiques comme Christiane Singer, comme tant d’autres, ou qui survient par un acte conscient de soi-même, un acte conscient de ne plus être …

Enfin, tu ne peux pas décider de ne plus être dans l’ego, en plus ça ne veut rien dire, mais comment dire, où l’ego est transcendé par la puissance – alors vous pouvez l’appeler la foi, de l’énergie, de la lumière, peu importe – mais il y a quelque chose qui prend la place de ça. Et puis tu le sens, quand le cœur est ouvert, tu le sens nécessairement.

Mais ce n’est pas … il y a de gens qui disent : « Oh, j’ai le cœur ouvert » – « Mais tu sens quoi ? » – « Rien » – « Ah bon ! ». Non, ça se sent, tu sens les énergies ou pas, tu le sais. Comme je dis, quand tu vis l’Absolu, tu le sais, parce que c’est quelque chose qui est imprimé dans la mémoire primordiale de chaque cellule, le temps zéro, mais quand tu le vis, tu ne peux avoir aucun doute. C’est impossible de douter de ça.

Contrairement dans le fait de se demander : Est-ce que je sens les énergies, est-ce que je ne sens rien, est-ce que … Non, c’est tellement évident que tu le vois dans ta vie, tout change. Tu n’as plus aucune prétention à quoi que ce soit, tu es disponible de plus en plus pour vivre ce qui est à vivre dans l’instant, et pas du tout dans des projections de futur. Tu es de plus en plus inséré dans l’Instant Présent, et ça crée un état de paix particulier. Même quand tu es en colère, la paix demeure. Même quand le personnage prend les devants de la scène, la paix est toujours là.

Et c’est comme ça chez tous les êtres qui le vivent. Il ne peut plus y avoir de peur. Il ne peut plus y avoir d’angoisse. Il peut y avoir des contrariétés comme dans toute vie, mais même les contrariétés ne se déroulent pas comme avant. Le changement est total. Et tu ne peux pas ne pas t’en rendre compte. Quelqu’un qui demande s’il vit l’Absolu, c’est simplement qu’il ne le vit pas.

On parlait hier des channels qui ont repris les enseignements d’Autres dimensions, c’est-à-dire, ils adoptent les mêmes mots, il y en a au Canada, il y en a en Espagne, mais on voit que ces gens-là ne vivent rien. C’est-à-dire qu’ils ont essayé de coller au discours d’Autres Dimensions ou au discours de mes satsangs, ils parlent de l’Absolu comme d’un niveau de conscience ! Mais ça prouve simplement qu’ils ne l’ont pas vécu, ça prouve que ce sont des perroquets qui répètent des choses, mais qui eux ne vivent rien. Parce qu’il y a des expressions, des mots que tu ne peux plus employer quand tu es libre ! Ce n’est pas possible.

Il y a un comportement qui est présent que tu ne peux pas travestir. Et pour celui qui le vit, on voit tout de suite la supercherie. C’est une supercherie monumentale, c’est-à-dire qu’ils se servent … À l’époque, c’étaient les lignées stellaires, les origines stellaires, ils vendaient ça, je parle du Canada.

Et maintenant je le dis, c’est enregistré, je m’en fous, vous avez en Espagne des gens qui ont suivi AD, un qui a écrit des livres en catalan, mot pour mot, Autres Dimensions, mot pour mot ! Et qui aujourd’hui font des canalisations de Peter Deunov ou d’Aïvanhov qui parlent de nouvelle terre ! Mais ce n’est pas prendre les gens pour des cons, ça ?

Elisa : Alors il y a une confusion …

Ça prouve qu’ils ne vivent Rien du Tout !

Elisa : Ah mais ça c’est le bordel, parce qu’après …

Oui, ça fout le bordel chez ceux qui ne vivent rien du tout, oui !

Elisa : Non, parce s’ils écoutent une cana de OMA, et après ils écoutent une cana de xxx, alors qu’il dit le contraire, c’est ce qu’elle disait …

Mais c’est l’exact opposé !

Elisa : Alors à quoi il faut  s’en tenir.

Mais parce qu’il ne canalise aucune entité, c’est dans sa tête ! Quand tu vois le livre qui a été écrit, c’est mot pour mot ce qu’il y avait dans Autres Dimensions. C’est le perroquet, c’est le principe du perroquet, rien de plus, rien de moins.

Une sœur : Comment on appelle ça, c’est du copy… non, quand tu fais du piratage …

Des imitateurs !

Et l’imitateur, c’est qui ? Qu’est-ce qu’on appelle l’imitateur ? C’est le diable, voilà, c’est le diviseur.

Elisa : Je croyais que tu avais parlé avec lui, parce qu’une fois, il est allé à Can Mas, et j’ai vu que tu parlais avec lui. Moi je pensais que tu étais en train de lui dire que … qu’est-ce qu’il faisait … Mais tu ne lui as rien dit. Moi il ne me parle plus.

Ah moi, il ne me parle plus du tout.

Un frère : Elisa, ça ne changera rien dans sa démarche.

Elisa : Oui, mais il fout le bordel aussi !

Une sœur : Comment il s’appelle, lui !

Peu importe, on ne va pas le citer, c’est enregistré, il se reconnaîtra. Mais on a eu la même chose avec …

Sœur : Ah c’est enregistré.

Ah oui, c’est enregistré là. Pas la peine de donner des noms, ils se reconnaîtront sans problème. Mais ça suffit, quoi, il y a un moment donné, je veux bien, mais … Et pourtant, je n’en ai rien à foutre. Regarde, il y a des ostéopathes qui ont repris mes enseignements, qui s’en servent, que ce soit l’ostéopathie trinitaire, que ce soit l’enseignement sur les étoiles, parce qu’ils s’en servent en ostéopathie. Mais tant mieux. Ils ont trouvé une utilité pratique et qui marche ! Et je leur dis Bravo !

Je n’ai jamais interdit de copier ou de prendre un support, sans ça je ne ferais pas des trucs libres ! Mais de là à travestir complètement le truc, c’est un peu gros quand même. Et comme tu dis, ça entraîne une confusion, mais cette confusion, elle est salutaire pour les gens qui doutent.

Elisa : Tu ne crois pas qu’ils devraient se rendre compte dès le départ ?

À un moment donné, ils se rendront compte qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Et comme la première question qu’on a eue hier par rapport aux Zetas qui annoncent vingt cinq jours sans soleil après le basculement des pôles …

Elisa : Oui c’est ça.

Les Zetas voient après le basculement des pôles, alors qu’il n’y a rien à voir. Il n’y a plus rien. C’est fini. Il n’y a plus rien de vivant.

Elisa : C’est logique, aussi.

Ben oui ! Comment voulez-vous survivre à une inversion, même magnétique, ça n’existe pas.

Elisa : Et même physique.

En plus, physique même.

Elisa : Mais, il n’y a pas déjà eu des « physiques » qui ont survécu ?

Alors bon, ils vendent du rêve, ils vendent de l’espoir, du rêve.

Elisa : Oui, je pense que c’est ça.

Et l’être humain a toujours préféré acheter du rêve plutôt que d’acheter la vérité. C’est comme ça avec la médiumnité, c’est comme ça avec …

Elisa : Comme on ne sait pas quand est-ce que ça va se terminer, entre temps les gens, s’ils n’ont pas de sortie, le personnage il va se suicider.

Et bien il sera libre !

Elisa : Oui, mais c’est l’incitation alors à le faire.

Ben écoute … Tant que … Qu’est-ce que je relisais encore hier d’Eckhart Tollé, c’est tellement vrai, «Tant qu’il n’y a pas d’acceptation de l’inacceptable, vous ne pouvez pas être dans la Grâce ». C’est-à-dire que vous croyez encore que vous maîtrisez quoi : votre vie, votre destin, votre devenir. C’est faux.

Elisa : Mais les gens ne veulent peut-être pas être dans la grâce.

Ah, ils ne veulent pas, non.

Elisa : Ils veulent continuer le jeu.

Exactement.

Elisa : Et ça c’est quatre vingt dix pour cent, non ?

Exactement.

Elisa : Ça ne les intéresse pas, les canas qui te disent que c’est fini maintenant.

Oui, mais c’est leur problème, ce n’est pas le mien.

Elisa : Et puis aussi, il y a le fait que tu dis depuis 2012, tu dis aussi que ça se termine tous les ans …

(Rires)

Oui, tous les ans. Sauf que là maintenant les évènements physiques, sociétaux – bien avant même, 2011 déjà, parce que même dans les prophéties Maya c’était 2011 – mais là, si tu veux, sur le plan purement concret, je ne parle même pas ni d’intuitions, ni de projections, ben qu’est-ce que vous voulez faire ? Le pôle magnétique, il dérive, il dérive, il dérive, il accélère de plus en plus. Tout le monde le sait, regardez le ciel, l’emplacement des étoiles, du soleil … Là on est DEDANS.

Maintenant, je suis incapable de te dire si c’est demain ou dans six mois, simplement on est dedans. Et ce n’est pas dans dix ans, ce n’est pas possible, la Terre ne résistera pas. Il n’y a plus de forêts, regardez les grêlons qui tombent, Pépère il avait parlé de grêlons de la taille de melons …

Bref, comme avait dit Bernard de Montréal, à la fin des temps où nous sommes, tout ce qui était caché et faux sera révélé. Donc, je ne me fais aucun souci sur ce qui est en train d’être donné. Le problème de l’être humain, c’est qu’il cherche toujours des dates, toujours, toujours, toujours. À partir du moment où tu cherches une date, elle sera nécessairement fausse, tout le temps. Le Christ avait dit : « Nul ne connaît ni l’heure, ni le jour ». Et c’est évident.

C’est un phénomène quantique qui dépend de tellement de facteurs et qui, en plus, ne dépend pas que de la Terre, ne dépend pas que de l’humain, dépend de l’ensemble de la Confédération, dépend de circonstances astronomiques, de circonstances par rapport au centre galactique, Sagittarius 1, la flèche du Sagittaire de Nostradamus … Il y a tellement de facteurs qui rentrent en ligne de compte que c’est impossible à calculer.

Il y a simplement des marqueurs. Les marqueurs, c’est quoi ? Les signes dans le ciel, les cieux de différentes couleurs, les étoiles qui ne sont plus au bon endroit, les évènements climatiques – ça Pépère l’a toujours dit -, les évènements géophysiques, et puis maintenant les évènements sociétaux. L’humanité a été complètement fracassée avec cette histoire de covid. Tu vois d’emblée ce qui était …

Alors on a l’impression, alors c’est inouï ce qu’ils disaient, Matrix n’est pas un film mais un documentaire … Tu t’aperçois que c’est totalement vrai ! Les gens ils ne veulent pas être débranchés comme tu dis, ils sont contents de leur esclavage. Ils n’ont jamais vécu la vérité. Donc tout ce qui est inconnu fait peur. Nisargadatta l’a dit pendant des années, les gens préfèreront toujours le connu, même si c’est un mensonge, que l’inconnu, de manière générale.

Elisa : Et bien, il y a un diction qui dit, du moins en espagnol : « Vaut mieux … Mauvais connu que quelque chose de bon … » Donc quelque chose qui se projette de Bon dans l’avenir, on ne préfère pas, parce que c’est l’Avenir !

Une Sœur : Et OMA disait hier : « Ça va être affreux pour la personne »

Oui, bien sûr.

Sœur : C’est quoi, cet « affreux » ?

Et bien tous ceux qui croient encore en leur personne, tous ceux qui se croient un personnage, tous ceux qui se croient une histoire, tous ceux qui se croient quelque chose de concret. Imagine déjà l’idée de la mort, quand Elisa nous racontait ses NDE, donc tu imagines bien pour quelqu’un qui n’a même pas vécu ni de NDE positive, ni de NDE négative, qui ne sait pas ce qu’il y a avant ou après la mort, qui n’a aucune croyance par rapport à ça, mais c’est l’effroi. Il faut être honnête, c’est un effroi total.

Et ça sera un effroi total. Mais l’effroi, c’est un saisissement, c’est quelque chose qui te fige, qui te rétracte tellement, qu’à un moment donné, ça s’ouvre sur la Vérité. C’est exactement le texte d’Eckhart Tollé que j’ai lu hier à la fin de la cana sur « accepter l’inacceptable », d’Osho aussi qui en a écrit un. C’est exactement la même chose.

Mais les gens ne sont généralement pas prêts à accepter ça. C’est pour ça qu’il fallait qu’il y ait un évènement collectif, global, qui concerne tout le monde. Sans ça, c’est sans fin ! Comment veux-tu que les gens s’aperçoivent que l’espace et le temps n’existent pas, si on ne passe pas par un évènement qui était déjà écrit, déjà programmé dans l’illusion du temps et de l’espace, pour retrouver sa source de ce qu’on est ? Ce n’est pas possible.

Regarde sur les milliards d’êtres humains qui ont parcouru la Terre, combien ont réussi à vivre l’Absolu ? Enfin bon, il n’y en a pas des milliers. Aujourd’hui, il y en a beaucoup, oui. Mais jusqu’il y a dix, vingt ans, je comptais sur les doigts des deux mains. Parce que c’est tellement gros, tellement énorme, que les gens ne peuvent pas y croire. Encore une fois, on nous répète tout le temps que la compréhension vient du Vécu. Et on voit bien dans les questions, comme hier, il y a des gens qui essaient de manipuler les concepts, de s’en sortir avec des concepts, c’est-à-dire qu’ils ont besoin de penser plutôt que d’accepter.

Le problème c’est que, quand il y a acceptation, il y a le vécu, il y a de la compréhension. Mais tout le monde fonctionne à l’envers. Ils veulent tous la compréhension avant de le vivre. Ce n’est pas possible, ça ne peut pas marcher. Il y a justement que, quand vous arrêtez de vouloir comprendre, que vous le vivez, pas avant. C’est ce qu’on appelle le sacrifice, le renoncement, bon, tu peux prendre les mots que tu veux, ce n’est encore une fois que des mots. Mais c’est une logique humaine imparable.

Les gens veulent se saisir de quelque chose. Ils veulent l’analyser, le comprendre, le voir, le percevoir, avant de le vivre. Ce n’est pas possible. Tu ne peux le vivre que quand tu as tout lâché.

Un frère : Même la conscience, il faut même que la conscience elle-même ait lâché pour que ça fonctionne.

Bien sûr, parce que la conscience étant une maladie, et heureusement mortelle, la perfide comme disait Bidi, la conscience va tout faire – et là, je ne parle pas du mental, je parle vraiment de la conscience – pour témoigner de sa propre fin, pour témoigner de la compréhension et du vécu que tu es bien au-delà de la conscience. Et là, je ne parle même pas d’âme et d’esprit, je parle vraiment de la conscience elle-même.

Parce que les choses ont été construites comme ça, et que, en plus avec l’enfermement quantique qui lui aussi était écrit, le fait d’avoir courbé l’espace temps à l’extrême, donc avoir créé des dimensions inférieures comme on dit, mais c’est très simple, dès que vous vivez l’absence de temps, l’absence d’espace, vous n’êtes plus soumis émotionnellement, intellectuellement, le corps oui, le corps il est ce qu’il est, lui il est soumis au temps qui passe, on n’y peut rien, mais pas ce que tu Es.

Mais encore une fois, c’est toujours inexprimable en mots, donc on essaie de trouver des expressions qui s’approchent de la vérité, mais la Vérité ne peut pas être dite, elle ne peut être que vécue. C’est le seul endroit où tu vas te reconnaître totalement, où tu ne peux plus avoir aucun doute sur ce que tu Es. Pas sur ta personne, des doutes tu en auras jusqu’à la fin de tes jours, des erreurs tu en feras jusqu’à la fin de tes jours.

Mais tu ne peux plus être dans la recherche. Même la recherche spirituelle devient une hérésie. Et ça c’est constant, que ce soit Jean Klein, que ce soit des auteurs plus modernes, bon, j’ai cité Eckhart Tollé ou autres, quoique Eckhart Tollé est très doué, puisqu’il n’a jamais parlé d’Absolu. Et on voit qu’il s’est arrêté à un niveau, il s’est arrêté au paradis blanc, il s’est arrêté au « Je Suis », à la pleine conscience. Mais ce n’est pas grave, c’est déjà une grande étape.

Un frère : Oui, la Présence, oui.

Mais tant que tu n’acceptes pas de te sacrifier au sens symbolique du terme, tu ne vas pas mourir, mais il faut que tu acceptes de tout perdre, le sens de ton identité, le sens d’être un personnage, le sens de vouloir amasser de l’argent, amasser des biens, amasser des conquêtes sentimentales, amasser ceci, amasser cela, tu n’es pas disponible pour la vérité.

Être disponible pour la Vérité, cela se fait à cent pour cent, ça ne peut pas être à quatre vingt dix pour cent. C’est une décision intérieure où tu te lances complètement dans l’inconnu. Et ça ne survient qu’à partir du moment où tu lâches tout. Si tu penses encore tenir quelque chose dans ta vie, à quelque niveau que ce soit, tu n’es pas libre, que ce soit tes enfants, ta femme, ton travail, ta profession ou n’importe quoi.

Mais l’ego va être affolé face à ça, parce qu’il va dire : je ne peux pas perdre mon mari, je ne peux pas perdre ma femme, je ne peux pas perdre mon travail, je ne peux pas perdre ma maison. Mais c’est une stratégie de mensonge de l’ego, et de la conscience. Tu ne peux pas t’appuyer sur la conscience pour vivre la a-conscience, c’est-à-dire ce qui est antérieur à la conscience. C’est impossible.

Et donc quand on voit les questions comme hier qui se poursuivent à l’infini, depuis des années d’ailleurs, de gens qui cherchent à conceptualiser la vérité, ou à la comprendre en espérant la vivre, mais ils ne la vivront pas, tant qu’ils seront comme ça. Puisque, vivre la vérité, c’est justement lâché toute volonté de comprendre, parce que ce qui est vécu ne peut pas être compris.

Ça devient une compréhension, c’est une compréhension, mais ce n’est pas une compréhension intellectuelle, ni une perception vibratoire. Avec le vibral, tu vas monter jusqu’au paradis blanc, dans le Je Suis, mais le Je Suis est aussi une illusion totale, il n’y a pas de Je Suis ! Il n’y a personne ! Alors il ne peut pas y avoir de Je, il ne peut pas y avoir de Suis.

Un frère : Lâcher le Je Suis, c’est en fait lâcher toutes les identités.

Oui, oui, mais c’est une première étape. Vous savez que c’est une étape très agréable, mais ce n’est pas la dernière étape. Alors il y a des gens qui s’installent dans le Je Suis en étant persuadés d’être arrivés. C’est mieux que d’être des imitateurs ou des perroquets, comme on voit aujourd’hui. Le Je Suis est quand même très agréable.

Mais il n’y a aucun espace de résolution dans les émotions, dans le mental, dans le vibral, dans les expériences mystiques ou dans la conscience, quelle qu’elle soit.

Elisa : Mais si tu t’arrêtes au Je Suis, tu n’es pas arrivé, en fait tu n’es pas libéré.

Comment ça ?

Elisa : Si tu t’arrêtes au Je Suis, tu n’es pas libéré !

Je ne suis pas sûre de comprendre le sens de ce qu’elle dit.

Elisa : Tu lui traduis ?

Une sœur : Dans le Je suis, on n’est pas libre !

Oui, le Soi est une escroquerie totale. Mais néanmoins, c’est une étape sur le chemin. Mais il faut le voir comme une étape, pas comme un but.

Sœur : Mais après, c’est graduel.

Non, c’est plutôt foudroyant ! Ça ne peut pas être graduel. Le passage du Je Suis, le Soi, à l’Absolu, c’est une dévastation. Parce que toutes tes dernières croyances, en la lumière, en les anges, en l’amour, est balayé par le Réel.

Sœur : Tu l’as vécu, toi, tout ça ?

Balayé par le Réel ? Ça ne veut pas dire qu’après tu n’es plus dans l’amour, tu ne peux être qu’Amour. Mais tu n’as plus besoin de te poser la question, si tu es amour, si tu es dans l’amour, si tu n’es pas dans l’amour, tu es dans l’État Naturel, et tu laisses ton personnage évoluer. Tu n’es même plus l’observateur de toi-même, tu es complètement immergé dans l’Ici et Maintenant, dans l’Instant Présent, et puis c’est tout.

C’est un soulagement total. C’est ça que les gens qui sont en recherche n’arrivent pas à comprendre, c’est que vous ne serez jamais libérés, la personne ne peut pas être libérée. C’est impossible. Une personne est une personne. D’ailleurs, ça veut bien dire ce que ça veut dire : il n’y a personne. Vous êtes une personne, donc ça veut dire qu’il n’y a personne. Enfin je ne sais pas, il faut être logique, soit en français, soit en anglais, c’est la même chose.

On emploie le mot, on dit : on est une personne, t’es une personne, ben oui, il n’y a personne. Tout ça, ce sont des rêves. Mais qu’est qui change dans la vie après, je ne parle même pas des niveaux vibratoires, des énergies, de ce que tu sens, la conscience et tout, mais tu es redevenu un être humain, humble et simple, tu vis ta vie, mais surtout, tu n’es plus préoccupé par un objectif ou un but à atteindre.

Tu sais qu’il n’y a pas d’objectif et pas de but. Il y a ce qui est, point barre.

Elisa : Mais cette personne, elle est dotée d’un mental et c’est le mental qui ne veut pas arrêter.

Oui, il n’y a pas que le mental, il y a aussi la conscience qui (…).

Elisa : La conscience, c’est le piège, mais le mental veut …

Ah lui, il continuera jusqu’à la fin de tes jours, le mental, simplement tu le vois passer. Les gens qui sont dans l’observateur, comme le disait Isabelle, je vois mon singe qui s’agite, ou mon perroquet, avec humour, parce qu’on voit bien que c’est un singe ou un perroquet. Mais tu ne peux plus être dupe, et d’ailleurs, tu t’aperçois très rapidement, même si c’est toujours possible – par exemple aujourd’hui, je peux encore voyager où je veux, quand je veux, et aller voir ce que je veux – mais je sais que ça ne sert à rien, et que je suis beaucoup mieux quand je suis là, ici et maintenant, même quand j’ai la crève ou des ondes qui m’ont touché.

C’est tout. Qu’est-ce que je vais aller m’emmerder à aller donner des explications, par rapport à une pathologie, par rapport à un lieu au niveau géo biologique … Alors que j’ai eu des milliers de fois l’occasion d’avoir la certitude de ce que je voyais sur ce plan comme sur d’autres plans, c’était en 2018, 2019, quand je sortais de mon corps … Je l’ai dit, je pouvais prendre n’importe quel corps, je pouvais prendre le corps du Christ, le corps de Marie, comme si j’enfilais un vêtement, et je me rendais chez les gens, et ils me voyaient dans le vêtement que j’avais, les gens qui d’habitude ne voyaient rien, ils me voyaient !

Des fois j’y allais avec Bidi, Bidi était avec moi, et ils nous voyaient tous les deux. Mais maintenant, pourquoi je continuerais à faire ça ?

Une sœur : Et le déclic, il s’est fait quand et comment ? Le déclic de dire stop à tout cela, c’était quand et comment ? D’arrêter justement de faire tous ces voyages, et tout ?

Non, j’ai arrêté parce que c’est moi qui décide !

Sœur : Oui, tu l’as décidé.

Maintenant, s’il y a des fois où il y a besoin, en urgence, bon, je peux encore le faire. Mais je ne vois pas l’intérêt, puisque : Le temps n’existe pas, l’espace n’existe pas, l’autre n’existe pas plus que moi. J’ai simplement à poser cette vérité en moi, et le miracle a lieu, ou il n’a pas lieu, mais ce n’est pas mon problème. Et je n’en fais aucune gloriole, aucun commerce de quoi que ce soit. Il ne peut pas y avoir de commerce, c’est un principe de don, et de don de la grâce.

Un frère : Ça, c’est parce que la conscience, en fait, elle a été transcendée, qu’elle n’a plus cet attrait ?

Parce que la conscience ne commande plus.

Frère : Elle n’a plus d’intérêt, elle a été complètement dépassée …

Elle est ce qu’elle est. Il n’est pas question de la renier, ou de la supprimer, ou de la tuer. Elle sera là jusqu’à la fin de ton corps, le mental comme les émotions, comme le corps physique. Mais simplement, ils n’ont plus d’impact sur ce que je suis et ça ne va pas se traduire par quelque chose d’extraordinaire. Bien sûr, je peux rentrer en vibration et irradier ce que je suis sur la salle, sur le monde entier. Qu’est-ce que ça va changer ? Rien.

De même quand il y a eu l’épisode Abba, j’étais Abba, et puis je me suis dit : Attends, les autres aussi ils sont tous Abba, puisqu’on est tous les uns dans les autres ! Et ça ce n’est pas une vue de l’esprit, ce n’est pas un concept, c’est ce que j’ai vécu, c’est ce que je vis.

À partir de là, qu’est-ce que tu veux qu’il y ait un dieu, un diable, un ennemi, un ami ? Tout est la même chose. Il n’y a plus de séparation, réellement et concrètement.

Un frère : Oui, c’est comme l’emboîtement des poupées russes …

Oui, tu as ré-emboîté les parties qui étaient éparses, tu vois que le temps et l’espace n’existent pas, que toutes les expériences mystiques, même les plus fabuleuses sont du pipeau intégral, même le paradis blanc, même … Il n’y a que ceux qui sont allés derrière la lumière, je vous l’ai dit, les gens qui ont fait des expériences de mort imminente, qui sont allés de l’autre côté du soleil ou cette lumière blanche d’amour incroyable, qu’on appelle le paradis blanc, et qui ont vu le réel, c’est-à-dire qui ont vécu le Parabrahman.

Nous sommes antérieurs à la lumière, nous sommes antérieurs aux mondes, nous sommes antérieurs à la forme, nous l’avons simplement oublié.

Une sœur : Il n’y a pas de couleur du tout … Oui, mais il n’y a pas de couleur

Voilà. Déjà pour ne plus l’oublier, il faut déjà accepter que ce soit possible. Donc si d’emblée la conscience et le mental vous disent : Ah oui, mais ce n’est pas possible. Non, non, il faut qu’on s’améliore …, déjà c’est cuit ! Accepter votre perfection – pas du personnage, on n’en a rien à faire – accepter que vous êtes parfaits, et la perfection vous tombera dessus. Le personnage, il restera ce qu’il est, avec ses problèmes, avec ses mémoires, mais ce n’est pas Vous.

Et c’est vrai que ce n’est pas une situation facile à vivre, de tous les jours, parce que nécessairement vous avez une famille, vous avez des amis, vous avez des frères et sœurs, qui ne vivent pas ça, et qui, d’une manière ou d’une autre, par leur propre lourdeur qu’ils ne voient pas, vous ramènent inconsciemment dans le jeu du personnage. Parce que si vous n’êtes plus un personnage, ils ne peuvent pas comprendre.

Mais tout ce qui est en train de se jouer là, actuellement sur Terre, est parfaitement logique. C’est-à-dire que l’explosion de la Terre, l’explosion de la société humaine, il ne peut pas y avoir de perfection, c’est une utopie. La perfection n’est que dans l’Absolu. Dès qu’il y a forme, dès qu’il y a manifestation, dès qu’il y a monde, il y a anomalie.

Comme on dit, c’est une scène de théâtre, un jeu vidéo, un film, comme vous voulez. Et quand, réellement, vous vivez le Réel, vous constatez que vous ne pouvez rien changer, vous ne pouvez rien changer à ce qui est. Et que même s’il y a une guérison avec une séance Agapè ou n’importe quoi, c’est que ça devait être comme ça, et que vous n’y êtes pour rien.

Ça relativise quand même au niveau de l’ego, et ça fait rentrer dans une humilité que rien ne peut atteindre, puisque vous savez que tout est vain, vous le savez intimement. Mais tant que vous revendiquez quoi que ce soit, par rapport à vous-mêmes, par rapport à n’importe qui, vous n’êtes pas libres.

La liberté, elle est dans la spontanéité, dans ce qu’on appelait la voie de l’enfance, avec Thérèse, dans la spontanéité de l’instant, dans quelque chose qui se déroule là, ici et maintenant, dans ce corps, pas ailleurs. La plénitude, elle est là, dans l’imperfection de ce personnage, dans la souffrance de ce personnage, dans les règles sociales complètement absurdes ou les règles quelles qu’elles soient d’ailleurs.

Mais bon ! Plus il y en a qui le vivent, plus ils émettent ce champ d’énergie unifié, et plus c’est contagieux. Quand les séances d’Agapè, quand Agapè a commencé à être vécue, je l’avais dit, c’était une pandémie, c’est six mois avant l’apparition du simulacre, le co-ro-na virus, le virus de la couronne, c’est vraiment prendre les gens pour des cons quoi !

Alors dans l’enseignement d’AD, on atteignait l’Androgynat primordial, quand on ouvrait certains corps, on fusionnait les polarités masculines et féminines, ça c’est le Sacré, le simulacre c’est quoi ? La théorie du genre ! On est non-binaire ! Ni homme ni femme ! Donc c’est l’inversion totale, et tout est comme ça, à tous les niveaux. Et on le voit plus que jamais maintenant, plus que jamais !

Tout a été inversé. Absolument tout.

Elisa : C’est incroyable.

Le problème, c’est tellement simple, tellement simple, mais qu’on n’a aucun moyen de communiquer cette simplicité. C’est impossible. On peut employer les mots qu’on veut, que ce soit les mots de Jean Klein, que ce soit les mots … Alors il n’y a que Nisargadatta qui avait dit à la fin de sa vie : « Mes paroles ne peuvent pas échouer », à l’époque en 1980. Il y en avait beaucoup qui sont allés le voir, personne ne comprenait ce que ça voulait dire. Maintenant on le comprend. Maintenant, il y a de plus en plus de gens qui comprennent, il savait ce qu’il faisait.

Un frère : À condition de l’avoir vécu.

Mais le fait de l’avoir entendu, c’est en ce sens que je n’en ai rien à faire, que les gens me disent que ce n’est pas vrai ce que je dis, mais ils l’ont entendu. L’ayant entendu, au moment où tu mourras, tu te rappelleras. Hein ! Plutôt que de raconter des conneries, comme dans le Bardo Thödol, le livre des morts tibétain, ou égyptien, où on te dit : tu vas affronter telle étape, ensuite passer telle étape … Là, vous avez entendu la vérité, qui n’est peut-être pas la vôtre aujourd’hui, vous avez le droit de dire que c’est une escroquerie, ce n’est pas mon problème. Mais vous l’avez entendu !

L’ayant entendu, vous vous en rappellerez au moment de votre mort.

Une sœur : Donc c’est bien de le dire, de le verbaliser quand même.

Elisa : Il est devenu à la mode, Nisargadatta, mais tout le monde en parle, tout le monde le lit – le livre – mais en fait après, quand je les entends…

Ils n’ont rien compris !

Elisa : Ils n’ont rien compris. Rien du tout.

Rien de rien !

Elisa : Alors ils se vantent, ah j’ai le livre, tout ça, mais ils n’ont rien compris !

Mais ce n’est pas grave. Ils l’ont intégré au niveau intellectuel, ça prouve qu’ils n’ont rien compris puisque ce n’est pas intellectuel … mais au moment de leur mort, ça leur reviendra. Ce n’est pas perdu.

Elisa : Il y a des gens qui me disent : « Tu as lu ce livre ? » Je dis, mais ce livre, il ne se lit pas, ce livre il ne se lit pas, tu ne peux pas lire ça. Tu peux rester des mois et des mois avec une phrase pour pouvoir l’intégrer. Alors c’est quoi, c’est de l’intellect maintenant ? Moi je rigole avec ça aussi.

Ce n’est pas grave. Même si ça a pénétré, seulement au niveau intellectuel, ce qui est une erreur bien sûr, mais cette erreur n’est pas grave. Au moment de leur mort, ils s’en rappelleront, ils ne pourront pas faire autrement.

Un frère : Et au-delà de ça, il y a peut-être aussi la vibration de ce qui est émis. La vibration de la parole, ce qui a été écrit, ça porte quelque chose, …

Oui, bien sûr.

Frère : … au-delà même de la sonorité, au-delà même de ce que l’on peut absorber.

Oui, oui. C’est pour ça que, effectivement, c’est pour ça que je me fous que les gens soient d’accord ou pas d’accord, je n’ai pas besoin que l’autre me donne son accord, je n’ai pas besoin que l’autre me dise : « Ah oui, bravo, c’est ça ou pas ça ». Ça n’a aucune importance. D’ailleurs qu’est-ce que tu veux que je fasse d’autre ? À part jouer les niveaux vibratoires, faire monter les gens en vibrations, ça a été fait, c’était utile à un moment donné, très utile même, mais là aujourd’hui, c’est complètement superflu quoi.

Tout le monde a un accès direct à la Vérité, tout le monde, sans aucune exception. Il faut simplement, non pas une compréhension de ce que c’est que lâcher prise, ou lâcher, ou s’abandonner à la lumière, mais le vivre. Et quand tu le vis, tu ne peux pas te tromper. Tu ne peux pas être trompé par les énergies, par une présence, ou par ton mental, ou par ta conscience. C’est le moment où tu te souviens de ce que tu es, et ce moment-là est unique, il est inscrit dans toute cellule humaine.

Pas que chez un sage, que chez un fou, c’est la même capacité, même chez un archonte.

Frère : Alors, il y a quelque chose que je trouve incroyable, j’avais posé la question à Bidi l’année dernière, c’était pourquoi, sachant tout ça, il continue à venir en fait, il continue à intervenir auprès des humains.

Alors, Pépère c’est différent, parce que Pépère essaie de coller, je ne sais pas si vous avez vu, le plus possible à l’évènementiel de la Terre quand même. Pourquoi il continue à venir ? Parce qu’à chaque fois qu’il percute les gens avec sa voix forte, et bien les effets sont toujours là, quoi qu’il dise d’ailleurs. Il pourrait chanter en latin, ce serait le même effet. L’important n’est pas dans les mots, l’important est dans ce qui est, justement, qui est traversé par les mots, ou qui traverse les mots. Là oui.

Frère : Et quand il intervient Bidi, il passe indirectement par le personnage qu’il a été sur Terre, c’est ça, il passe par ce personnage ?

Attends, Bidi, Nisargadatta, à l’heure où on parle, est ici dans Tout. Donc comment est-ce qu’il peut s’exprimer encore ? Il y a plein de gens qui posent la question. Mais c’est très simple. On communique en ultra temporalité avec le moment où il était vivant, puisque le temps n’existe pas pour moi, il n’existe pas pour lui.

Comment est-ce que Bidi pouvait venir soigner avec moi et que les gens le voyaient et me voyaient, des dizaines de fois, si ce n’était pas des centaines de fois ? C’est avec lui que je m’amusais le plus effectivement pour aller soigner les gens. Mais quel Bidi, puisqu’il n’existe plus ? Mais c’est le Bidi de l’époque tout simplement.

Frère : C’est ça, ça passe quand même par ce qu’il a été …

Exact. De même que Sri Aurobindo quand il est mort, quand Mère lui a dit : « Mais reviens puisque tu peux régénérer ton corps ». Il a dit : « Jamais je ne reviendrai. Par contre, je reviendrai m’exprimer à travers un channel. » Bon, maintenant, les adeptes de Sri Aurobindo, pour eux, je suis le diable en personne, alors que c’est écrit en toutes lettres dans les livres de Mère. Ce n’est pas grave ! J’ai tellement l’habitude de ceux qui ne comprennent rien et qui me traitent de diable … qu’est-ce que tu veux que je dise ! À part sourire, qu’est-ce que je peux faire ? Rien, rien.

Mais c’est vrai que bon, Nisargadatta c’est énorme ce qu’il a fait. Parce que bon, le livre qu’il a écrit, sauf qu’il n’a rien écrit lui, ce sont des livres qui ont été retranscrits de ses entretiens, ou des gens qui ont pris des notes, bon il y a des livres qui sortent tous les ans, mais lui, il n’a jamais rien écrit. Il a écrit quelques poèmes quand même.

Contrairement à Sri Aurobindo qui lui a laissé une littérature gigantesque. Mais le travail de Bidi au vingtième siècle a été énorme, énorme, parce qu’on était tous embringués dans ce qu’on appelle la spiritualité, qui est une escroquerie totale. Même moi le premier, j’ai passé ma vie dans la spiritualité, que ce soit dans l’énergétique, dans les stages de développement personnel, dans énormément de choses.

Maintenant, je relativise parce que, par exemple, parler des cristaux, c’est utile pour le personnage, ça ne me gène pas de parler des cristaux comme on a fait des formations cristaux, ou des soins esséniens, des soins d’auras ou autres, ça permet de soigner peut-être de manière plus adéquate que la chimie. Mais ça concerne le rêve. Mais je n’ai aucun, comment dire, pas aucun doute, je n’ai aucun scrupule par rapport à ça, parce que ce sont deux domaines : soit je m’adresse au rêve, soit je m’adresse au réel.

Elisa : Et c’est incroyable quand même. Bidi a réussi à faire un raccourci incroyable, il a vraiment … Pouf ! Alors que, par exemple, comment il s’appelle, Krisnamurti, et bien lui il expose, il est beaucoup plus exposant, alors que l’autre il vient comme ça, Boum !!! Ce n’est pas que l’autre, Krisnamurti, il soit mauvais (dans le sens de moins bon dans ce qu’il dit), mais c’est une autre manière d’exposer.

C’est une autre manière, c’est plus direct effectivement, plus cru, plus direct, plus efficace et plus vrai.

Elisa : Mais il arrive à un raccourci complet ! Et te … Boum ! Quand il est venu la première fois, et c’était à (xx), je me rappelle, c’était en Avril, j’étais là-bas la première fois.

Il y a la moitié des gens qui se sont barrés ! Les gens qui suivaient AD et qui étaient au stage, il leur a fallu quatre, cinq ans pour digérer !

Elisa : Je me souviens parfaitement de ce jour-là. J’étais d’ailleurs avec une copine assez spirituelle, d’ailleurs elle, elle est sortie se promener dans la forêt, écoute, il nous a tous rabattus ! Tout ce qu’on lui demandait, il nous a tous (…) (dans le sens de rabrouer). On était …!!! On est sorti tous prendre l’air après, parce qu’on était comme si on avait pris un coup de bâton sur la tête. N’importe quoi ! D’ailleurs on n’osait même plus rien demander après, puisque ce qu’il te répondait était tellement vrai que c’est comme s’il te lançait un seau d’eau à la figure. Mais on n’était pas habitué à voir ça, c’était la première fois.

Elisa : Alors on est resté, parce que .X. il te dit, il a de la patience, les autres ils sont très … comme on veut … mais celui-là, il est venu et il t’a tout foutu en l’air ! Alors après ça … c’était avril 2012 je crois …

Oui, il est venu tout casser.

Elisa : Il a tout cassé celui-là.

Ah, il a tout cassé. (Rires) Il a vraiment tout cassé !

Elisa : Et il criait, en plus en gueulant ! Et après il s’est radouci un peu.

Mais il a expliqué d’ailleurs une des premières fois pourquoi il gueulait comme ça. Il fracassait complètement le mental, il t’empêchait de réfléchir, il t’empêchait d’accueillir l’énergie et les vibrations …

Elisa : Moi j’étais venue avec ma copine, alors ici je lui avais dit que c’était bien là-bas et (Rires) Et bien, elle a été complètement, je ne sais pas si elle l’a traité de tous les noms spirituels, je ne sais pas, il l’a vraiment … parce qu’à toutes les questions qu’elle posait …

Une sœur : Tu es encore copine avec elle ?

Elisa : Oui, maintenant elle lit Bidi, mais je ne sais pas comment elle le vit.

Il a fracassé tous les cadres de références en fait, tous les cadres de références qu’on avait bâtis, qu’avaient bâtis les étoiles, les anciens, les archanges, qui étaient hyper structurés, hyper carrés, il y a quand même plus de cent mille pages qui sont hyper carrées. Et après que tout était construit, et là il est venu et il a tout fracassé.

Elisa : Mais je t’assure que ce mois d’avril, on s’en est souvenu !

Un frère : Il est toujours là en plus.

Elisa : Oui mais c’est là, en 2012, que tout a commencé.

Mais bon, finalement c’est logique, tout était écrit. Et quand je dis que tout était écrit, en plus c’est la stricte vérité. Tu ne peux rien changer, tu ne peux pas changer un iota. Comme il disait, tu peux juste accélérer le film ou le ralentir, c’est tout, mais la bande, elle est ce qu’elle est, tu ne peux pas la changer.

Elisa : D’ailleurs il dit : « On ne peut même pas changer une virgule ».

Une virgule, oui. C’est juste la perception du temps que tu peux changer, c’est-à-dire accélérer le film ou le ralentir, c’est tout.

Alors je propose qu’on fasse une petite pause. On va arrêter maintenant.

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