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La pédagogie d’Agapè
Ma Ananda Moyi
Canalisation par : Jean-Luc Ayoun
Animation et traduction (espagnol)
Par : Elisa Bernal
26 Février 2021
Je suis Ma Ananda Moyi.
Que la Paix sans objet et sans sujet soit notre Cœur Unifié.
Tout mon Amour et toutes mes bénédictions nous accompagnent en ces moments que nous allons passer ensemble, permettant pour chacun de vous, en l’accueil de l’Indicible, de communier à la Béatitude afin que chacun, en la Paix de son cœur, vive ce que j’ai vécu du temps de mon incarnation, où je vous ai donné à percevoir, à sentir et à lire, qu’à partir du moment où ce que vous êtes en Vérité prend le pas de ce qui se passe au-dehors et vous fait vivre l’Extase sans fin de votre reconnaissance en la Vérité Éternelle.
Je suis avec vous pour l’Éternité et vous êtes avec moi au-delà de tout espace et de tout temps.
Je suis venue vous inviter à demeurer en la Félicité de l’instant, à demeurer dans la Félicité de l’Éternité, là où plus rien de ce qui apparaît ne peut défier ou altérer cette Félicité suprême que nous sommes venus ensemble, en ce jour, partager en abondance et diffuser au-delà des limites de ce monde, la Vérité de l’Absolu qui n’a plus besoin de mots, qui n’a plus besoin de discours, mais simplement de chacun de nous, oser et reposer en son cœur, source de Félicité, source de Béatitude, où rien n’est nécessaire si ce n’est Vous.
Ainsi est la Béatitude qui ne dépend en rien du dehors, qui ne dépend en rien de votre corps, qui ne dépend en rien d’une quelconque volonté ni d’un quelconque désir, afin de découvrir que Cela a toujours été en cet instant et que seule votre attraction en l’extérieur vous a empêchés de révéler. Mais les temps sont venus et accomplis de laisser vivre ce qui a toujours vécu au plus profond de l’Être, au plus profond du Cœur, là où il n’y a besoin d’aucun repère et encore moins de comparaison.
Alors j’invite chacun de toi à rejoindre l’Évidence de cet instant et de ce moment, afin que tu sois complet et entier, là où tu es présent l’Amour est abondant, là où tu ouvres les bras et ton cœur, au connu comme à l’inconnu, transperçant les ultimes voiles de ce que tu peux encore croire ou redouter.
Laisse-toi emporter là où tu n’as plus rien à porter, là où tout est complet et là où tout est sourire, là où rien ne peut t’être opposé, où tout est dans la même clarté et dans la même précision. Ainsi est le Chant de l’Amour qui se révèle en le Silence de tes mots, en cet instant et en ce moment, toi qui te tiens là avec Moi, là où Nous sommes en toi et là où tu es en Nous, supprimant l’illusion de toutes distances et où tous les temps se conjuguent.
Pose-toi, repose-toi et laisse le sourire de la Vérité éclater sur tes lèvres, et là tous unis, tous unis en l’instant, notre cœur chantant à l’unisson, là où le Chœur des Anges mouille tes yeux, ainsi est le Don de la Grâce, ainsi est l’État de Grâce, là où tu es chez toi, comme nous sommes chacun de nous chez nous.
Laisse ton cœur se soulever et rythmer la danse du Silence, là où nous sommes, là où tout est paisible, là où Agapè épouse Shantinilaya. Écoute ton cœur qui se soulève en le rythme de l’Amour, en le temps de la Vérité, en le temps de l’Éternité, toi qui es aimé sans mesure et sans condition, car c’est l’Amour qui t’est dû, car c’est l’Amour que tu es, quoi que te disent tes apparences, quoi que te raconte ton histoire.
Oublie cela et reste là où Nous sommes, là où tu ne peux plus Te quitter, là où tu ne peux plus douter.
Remplis-toi de ce nectar qui te remplit au-delà de toute mesure comme de toute discussion. Rappelle-toi que tu es cela, que tu l’as toujours été et le seras toujours au-delà de tout monde et de toute identité. Rappelle-toi que tu es la simplicité de l’enfant qui est spontané et qui sourit à la Vie, sans avoir besoin de raisons, sans avoir besoin d’explications.
Laisse-toi emporter en le lieu du Grand Silence, là où il n’y a rien à percevoir, là où tout est tranquille, là où est l’Évidence de ce que tu es, dans l’Être comme dans le Non-Être, là au travers de ta chair périssable et ce qui ne périt jamais.
Reconnais-toi et entends-toi, en la réunion de notre Cœur Un, là où tu es complet, là où jamais tu apparais et disparais, là où tu es en Vérité.
Écoute et entends la danse de ton cœur qui est danse du rêve et de l’Éternel, et souviens-toi, au delà de la forme et au-delà de toute manifestation, Cela tu es, Cela tu demeures et en Cela nous nous reconnaissons, là où il n’y a plus de fonction, là où il n’y a plus de rôle, là où l’Amour prend tout et rend tout.
Écoute-toi car Ma voix est Ta voix, car Mon silence est Ton silence, rien ne peut nous séparer, rien ne peut nous diviser en la Joie que Tu es.
…Silence…
En cet instant que tu vis, en ce moment de fusion, tout est certitude, tout est évidence, tout est présence. Absent à toi-même, absent à ce monde des formes, tu te retrouves en la nudité de l’apparence du début et de l’apparence de fin, là où il n’y a plus de palace pour le paraître, là où tu n’as plus à te masquer, là où tu n’as plus à te justifier.
Entends la danse de ton cœur qui danse en le mien. Là est la Liberté que chantait Eynolwaden, antérieure à l’esprit comme postérieure à l’esprit parce que tu es sans temps, parce que tu es sans forme, parce que tu es sans histoire, parce que tu es pure Félicité, magnificence du Silence et beauté de l’instant.
Laisse ton cœur danser la danse des Univers, laisse ton cœur fêter le rêve de la création révélé. Tu n’as pas à rêver, tu as déjà tout rêvé, tout cela en un instant nommé initial ou final, afin que tu réalises que tu es sans début ni fin, que tu es la Félicité, présence et absence réunies.
Tu es le Feu de ton Cœur, le Feu de l’Esprit. Tu es le mariage et les noces alchimiques des cinq éléments réunis, là, au centre de ta poitrine, est l’embrasement de Feu, celui qui ne brûle rien d’autre que tes illusions, tes rêves et tes chimères, te rendant à l’origine de toute forme et de tout monde avant que la distance n’apparaisse, avant que le temps ne se déploie, là où tu contiens tous les temps et tous les espaces, d’ici comme de partout.
Tu es béni parce que tu es bénédiction, parce que tu n’as jamais pu fauter ailleurs que dans des projections illusoires. Demeure là et entends le Silence de ton Cœur, le Silence de la Vérité, là où tout est béni, où nulle différence ne peut exister quelles que soient les apparences, là où en silence tu peux déclamer l’Amour de ce que tu es, là où il n’y a plus de résistance, là où il n’y a pas le moindre espace pour la souffrance.
Alors rejoignons-nous en le Cœur de l’Indicible, là où il n’y a ni haut ni bas, ni enfer ni paradis, ni mérite ni gloire. Cela tu le vis en cet instant qui jamais ne disparaîtra, parce qu’il a toujours été là, caché derrière tes illusions et projections, le temps que tu aies parcouru tous les espaces des rêves, et tous les temps illusoires de la création.
Tu n’as rien à retenir, tu n’as rien à redouter.
Tu es la force sans limite, tu es l’Amour sans début ni fin, qui jamais ne change, qui jamais ne varie. Cela Tu es, cela Je suis en chacun de nous le même chant, les mêmes mots et les mêmes notes de musique, là où les cinq clés des éléments dansent les mêmes symphonies, symphonie de la Vie, symphonie de la Beauté, dont chaque Un de toi est l’orchestre, dont chaque Un de toi est la baguette qui donne la mesure.
Cela est toi, cela est ton dû, cela est ta joie. Tu n’as besoin d’aucune histoire. Tu n’as pas besoin d’effort, tu as simplement à te donner à cet inconnu que tu es. Donne-toi en offrande à toi-même avec la même intensité que tu te donnes à chacun, (inaudible) … ne pouvant plus faire de différence, ne pouvant plus mettre de distance parce que tel est le Réel de l’Amour, là où est la seule certitude, là où tu ne peux que te reconnaître parce que tu es Amour, parce que tu es Lumière et parce que tu es la source de l’Amour et de la Lumière.
Entre chacun de mes mots, la danse de ton cœur se révèle de plus en plus en la majesté du Silence. Reconnais-toi. Tu n’as pas besoin de connaissance, tu n’as besoin que de toi, là est ta pureté, là est ta force, là est l’Amour.
…Silence…
Écoute aussi le Silence, il est plein de vie, plein de joie, plein de toi et plein de moi.
Laisse-toi transpercer sans résistance car tu es l’offrande qui te rend à toi-même, parce que tu es le Chœur des Anges, parce que tu es l’enfant qui naît et le vieillard qui s’éteint. Car en Vérité, tu le sais et tu le vis, tout est toi irrémédiablement et éternellement.
Tel est le rayonnement, telle est la radiance, tout ce qui émane de toi et tout ce qui retourne en toi n’est que la danse de ton cœur, dont tu vis et joues la partition qui a déjà été écrite par toi-même en le Cœur de l’Unique, à la Source de la Création, à la Source du Rêve.
…Silence…
Laisse-moi inonder ton cœur de ma Joie Infinie. Laisse-moi remplir ton vase des serments de l’Amour et du retour de la promesse. Toi qui te reconnais en reconnaissant chacun avec le même regard et le même sourire. Là est la clé de ton bonheur, ici-même en ce rêve. Rappelle-toi que tu n’as rien à fuir. Rappelle-toi que tu n’as rien à éviter. Rappelle-toi que tu n’as rien à préserver, et là tu es entier, et là tu es complet.
Entends-toi et écoute-toi, quoi que dise ta vie, quoi que dise ton corps, quoi que disent tes proches, écoute avant tout ton Cœur. Il est la clé et la porte de ton rayonnement infini de beauté transperçant toutes les couches de tes corps comme toutes les couches de ce monde et de tout monde.
Sois doux avec toi. Sois doux avec chaque Un parce qu’ils portent tous la même douceur que toi et parce que tu es la douceur de leur Cœur comme ils sont la douceur de ton Cœur. Ne juge pas les apparences car tu comprendras bientôt qu’aucune apparence n’a à être jugée parce que toi-même a revêtu toutes les apparences.
Et rappelle-toi que nous sommes de tout temps, de toute espace et de toute dimension, strictement les uns dans les autres, pour qu’en définitive tu saisisses qu’il n’y a ni l’un ni l’autre. Seule la Félicité nous unifie et nous vivifie, parce que tu es cette Félicité que seul le jeu de l’apparence a pu masquer sans pourtant l’amputer.
Laisse le sourire fleurir sur tes lèvres, il est le baume de ton Cœur que tu donnes à chacun parce que ton sourire sincère efface tout discours et toute justification. Ainsi, tu es disponible à toi-même, disponible pour chacun, disponible pour la Vie, là où il n’y a plus aucune illusion de quoi que ce soit qui doit mourir.
Là est notre Vérité, là où nous sommes entiers, là où il n’y a personne parce que l’Amour est de partout, effaçant le repère des formes, effaçant les mondes, recouverts par l’Amour et par ta Félicité.
…Silence…
Là où tu es, tout de suite, subitement, je t’emporte au Cœur de toi-même comme au Cœur de chacun.
…Silence…
Ne retiens rien, n’arrête rien, il n’y a rien à comprendre, il y a juste la Beauté qui est à vivre que rien en ce monde ne peut égaler, ne peut toucher ou ne peut s’approprier.
…Silence…
Là maintenant, tout de suite, immédiatement, cela se déploie.
…Silence…
Là en l’Instant, c’est le moment, c’est le moment de ta Vérité, c’est le moment de ta Beauté.
Rejoins ce que tu es. Tu y es déjà. Tu l’avais juste oublié, séduit par les formes, les idées, les pensées et cela n’a plus d’importance parce que nous nous sommes trouvés. Tu peux dire la même chose à chaque regard et à chaque sourire que tu croises. N’oublie jamais de sourire à tout ce que tu peux croiser dans les pas de tes rêves de ta vie. Rappelle-toi, tu as juste à sourire et tout le reste se donne et tout le reste se vit, si ton sourire est véridique, si ton sourire est authentique de celui qui a dit OUI à la Vie, qui a dit OUI au rêve et qui a dit OUI à ce qu’il est.
Tu es immaculé, aucune souffrance n’a pu t’altérer. Tu es l’Immaculée Vérité. Rien d’autre ne peut rester, rien d’autre ne peut te limiter, rien d’autre ne peut t’enfermer, aucun rêve, aucune souffrance, aucune mort, ne peut retirer un iota de ce que tu es.
…Silence…
Repose-toi, tu n’as rien à porter, ni le poids de tes années ni le poids d’une quelconque souffrance parce que le Cœur est légèreté, parce que le sourire est allègement, et parce que tu es l’Éternité qui a connu toute forme et tout monde. Je ne te demande pas de t’en rappeler mais simplement d’accepter que cela est vrai. Alors, la Vérité sera vécue, tu n’auras plus de tourment, tu n’auras plus de question, tout sera réponse, tout sera évidence. Rien de ce monde ne pourra limiter ton sourire, aucune autorité ne pourra te conduire ailleurs parce qu’il n’y a que toi, parce qu’il n’y a que ce qui est véritable.
Laisse l’extase et l’intase prendre possession de ce qui est libre afin que plus rien ne puisse te donner l’apparence d’être possédé. Et ton sourire grandit et la joie de ton Cœur auréole ton corps, le nimbe de Lumière, l’auréole de Lumière, cela est maintenant en notre fusion et communion.
…Silence…
Tu es véridique au-delà même de ce que tu peux rêver de meilleur. Tu n’as rien à projeter. Tu n’as rien à anticiper. Tu es juste là avec chacun et avec moi, les uns dans les autres. Tel est le Mystère de l’Amour qu’aucune raison ne peut comprendre, qu’aucune expérience ne peut saisir et qu’aucun état de ta conscience ne peut approcher. Là est la Liberté. Là est Ta Liberté.
Nous sommes uniques, se reflétant à l’infini de proche en proche. Nous sommes l’Amour et nous sommes à l’origine de l’Amour.
Nous sommes l’indicible Joie de nos retrouvailles en cet instant.
Laisse les mots danser dans ton cœur. Ne t’en saisis d’aucune façon et la Liberté est là.
Tu es Cela.
…Silence…
La Lumière est Sourire. L’Amour est Sourire. La Vie est Sourire. Tout ce qui est rêvé est Sourire. Et tous ces sourires ne sont là que pour t’éveiller au Sourire de la Béatitude, au Sourire de l’Extase.
…Silence…
Laisse-toi embraser de ce Feu qui ne consume rien d’autre que ce qui doit être consumé et qui n’appartient pas au Sourire.
Toi, la pure Félicité, la pure Demeure de Paix Suprême, soit heureux, non pas de ce monde, mais de ce que tu as été et seras. Tout le reste passe. Le Sourire de la Félicité ne pourra pas passer quelles que soient les conditions de ta vie parce que rien ne peut ébranler ou détourner celui qui est installé à la Source du Sourire.
Plus tu regarderas ce Sourire, plus ce qui est à la surface de ton monde encore aujourd’hui, sera dissout par le Feu de l’Allégresse de ton sourire.
…Silence…
Là est ce que tu es. Tu ne peux te tromper. Tu ne peux douter, le sourire ne peut plus se refermer consumant les ultimes voiles de l’ignorance et de l’oubli.
…Silence…
Que mon rire soit ton rire. Que ton regard soit mon regard et que mon cœur soit ton cœur. Cela est Véritable. Cela se révèle et se vit dès cet instant si tu m’accueilles, dès ce moment si tu t’acceptes, juste par Amour, juste pour la Beauté.
…Silence…
Écoute ce Silence. Mes mots ne sont que la symphonie et la mélodie de ce Silence.
…Silence…
Le chant de l’Esprit installe le Silence, la danse de ton cœur, les chants de grâce et d’allégresse. Là tu es authentique, là tu es sans question.
Accepte l’Amour que tu es surtout s’il te semble en manquer de quelque façon que ce soit, et l’Amour est là. Là est la meilleure preuve. Là est l’unique démonstration parce que tu n’as pas à le comprendre mais simplement à le vivre.
…Silence…
Mon cœur exulte en toi d’un indicible bonheur que ce monde ne peut t’offrir, que les mondes angéliques ne peuvent t’apporter, qu’aucun Dieu ou qu’aucun diable ne peut retrancher. Et là, posés ensemble en le Cœur de l’Unique, nous sommes là. Rien ne manque, tout est parfait. Tout est entier.
…Silence…
Ose affirmer que tu t’aimes, non pas ce personnage dans lequel tu es, non pas ce que tu as connu dans quelque passé que ce soit et encore moins dans quelque projection que tu puisses faire, mais simplement dans la Beauté de l’Instant, là où tu es libre, là où tu es véridique. Ne t’inquiète de rien d’autre parce que l’Amour pourvoit à tout. Tout ce qui fait obstacle sera ôté de ta route, tout ce qui est senteur se déposera sur ta route, te comblant de parfum, renforçant ton sourire, amplifiant ta radiance depuis là où tu es jusqu’au fin fond des multivers.
Alors, tu es la Bonne Nouvelle que tu dois déclamer et annoncer à toi-même. Tu as toujours été celui que tu attendais. Cela, tu le réalises et cela est ton sourire.
Et si en Vérité tu es cela, alors la Vérité sera là où tu regarderas.
…Silence…
En le déroulement de tes jours, chaque jour qui s’écoulera, là où tes pas te porteront en ce monde, n’oublie jamais le Sourire de celui qui s’est donné à lui-même avec la même intensité qu’il se donne à chacun, là est la Magie de l’Amour, là est le Miracle du Sourire. La Vérité n’a pas besoin de Dieu. La Vérité n’a pas besoin de travers ou de souffrance. La Vérité n’est pas expérience. Elle est simplement le Sourire de ton Cœur qui fleurit sur tes lèvres et brille dans tes yeux.
…Silence…
Telle est la Béatitude, elle est ce que Tu Es. C’est le Baume qui répare toute offense comme tout oubli de la Vérité.
Fais ce que tu dois dans la vie que tu as écrite mais ne t’y identifie pas. Tu es la Beauté antérieure à tout monde. Tu es la Beauté antérieure à toute forme. Tu es antérieur à toute forme.
Là est le Véritable. Tu as été distrait parce qu’ainsi était conçu le Jeu, parce qu’ainsi fut conçu le Rêve. Ce monde est Maya comme nous disons. Ce que tu es en Vérité n’a rien à voir avec Maya.
Tu es l’espace, tu es l’éther et tu es bien plus que cela.
…Silence…
Alors, je te fais le Don de mon Cœur, scellant en toi le Sceau du Sourire et le Sceau de la Beauté. Je rends Grâce à chacun de toi d’être présent en cet instant, sans rien demander et sans rien attendre. Tout est offert. Il n’y aucune erreur. Tout cela est en toi. Tout cela Est toi. Mais tu es bien plus que tout cela. À toi de le vivre, à toi de le sourire.
…Silence…
Tu es Liberté.
…Silence…
Regarde vraiment au-dedans de toi et tu seras lucide. Mes mots deviendront de plus en plus vivants et jusqu’à ce que cela devienne ton quotidien dans le rêve et le cauchemar de ce monde.
…Silence…
Il va être temps maintenant de continuer ma Présence et ta Présence dans le Silence de mes mots, à la Source du Tout, en cet instant et en ce moment.
Ainsi je te salue, et plus jamais nous ne nous éteindrons dans les cœurs les uns des autres, et plus jamais nous n’oublierons le Sourire.
Voilà ce que je suis venue te dire et te montrer. Voilà ce que tu t’es accordé de vivre.
…Silence…
Restons là, ensemble, en cette Communion.
…Silence…
Je suis Ma Ananda Moyi. Je suis chacun de toi et c’est ce que tu es aussi.
…Silence…
Restons ensemble le temps de quelques souffles, en le Silence de l’Évidence.
Je suis Ma Ananda Moyi et je suis toi.
…Silence…
Je vous dis à très bientôt et à toujours.
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