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O.M. AÏVANHOV
Extrait 1
Dimanche 29 septembre 2024
Question : ‘’C’est juste une demande de conseils pour le mois qui arrive ou les deux mois qui arrivent. Au-delà de tout ce que vous avez pu nous donner comme enseignements, comme informations jusque-là, est-ce qu’il y a des points particuliers sur lesquels orienter nos vies, on va dire sur ce mois ou ces deux mois qui arrivent, pour mieux traverser ce qui se prépare ?’’
OMA : Il reste quatre mois, octobre, alors trois, octobre, novembre et décembre. Qu’est-ce que vous voulez faire ? Ce qui est écrit est écrit. Ce qui doit arriver arrivera. Soyez présents à vous-mêmes, soyez disponibles à ce qui est, c’est tout.
Ça ne sert à rien de vouloir se prémunir de quoi que ce soit.
Donc simplement, soyez présents, trouvez du temps pour vous, ça je l’ai déjà dit. Quand vous pouvez, immergez-vous dans la nature même s’il fait froid. Si vous avez la possibilité, éloignez-vous des environnements trop toxiques des grandes villes. Profitez de la nature
Si vous pouvez vous baigner dans votre baignoire, si vous avez une baignoire, les bains peuvent aussi vous aider, les bains bien chauds. Voilà très longtemps, dans les lectures d’âmes, il était très fréquent que l’Archange Anaël préconise des bains.
Si vous vous sentez affectés d’une manière ou d’une autre par les énergies, par les vibrations, par la famille, par les circonstances du monde, si vous avez de l’eau chaude, si vous avez une baignoire, immergez-vous dans un bain bien chaud avec quelques gouttes d’huile essentielle, là aussi, de lavande. Ça apaisera les contrariétés si je peux dire.
Mais vous serez là où vous devez être. Rappelez-vous que tout est écrit.
Alors prenez des moments, des instants pour vous. Prenez des moments et des instants de Silence, de repos. C’est ça qui est le plus important. Aérez-vous pour ceux qui ont des forêts et, en particulier, des forêts de résineux, de pins, de sapins. Allez respirer l’air des forêts.
Avec ces quelques moyens tout simples, vous conserverez un certain équilibre on va dire. C’est ça le plus important. Et n’oubliez pas d’Accepter.

Tous nos remerciements à Jean-Luc Ayoun et Elisa Bernal,
ainsi qu’à toute l’équipe de transcription (Les petites mains).

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O.M. AÏVANHOV
Extrait 2 – Acceptation
Dimanche 29 septembre 2024
Question : ‘’Lorsque je suis dans l’acceptation, lorsqu’il se présente quelque chose dans ma vie et que je dis j’accepte, que je pense que j’accepte, parfois je sens que cette acceptation, c’est comme si elle sortait de mon cœur, qu’elle était dans mon cœur et que j’acceptais depuis mon cœur, et puis il y a des fois je dis que j’accepte, mais j’ai l’impression qu’en fin de compte je dis ‘’j’accepte’’, et que c’est mon mental, je le dis avec mon mental. Des fois je le dis avec mon cœur. Est-ce que c’est très important que quelques fois je puisse véritablement me mettre dans l’acceptation depuis mon cœur et là je sens l’acceptation et il se passe des choses, et puis des fois, je le dis, je dis j’accepte avec l’impression de ne pas être dans le cœur quand je le dis.’’
OMA : C’est la même chose pour tout le monde. Justement, le fait de voir la différence quand l’acceptation est réelle dans le cœur, et de voir la différence quand l’acceptation est mentale, est très important. Il y a aucune culpabilité à porter pour ça. Ça fait partie de votre apprentissage, de votre formation si on peut dire.
Le fait de voir ou de sentir justement la différence quand l’acceptation est du cœur, quand l’acceptation est de la tête, est important. Vous êtes incarnés, le mental sera là jusqu’au dernier moment bien sûr. Mais surtout, ne te juge pas. Il suffit de le constater, comme tu le constates, pour que les choses en définitive s’harmonisent d’elles-mêmes, et que l’acceptation devienne avec l’expérience et la répétition automatiquement dans le cœur.
L’acceptation réelle bien sûr vient du cœur, elle ne vient pas de la tête. Nous vous avons expliqué les fondements de l’acceptation. Considérez que vous êtes en formation ou en apprentissage. Vous ne pouvez pas être à cent pour cent, si je peux dire, dans l’acceptation réelle. Mais faire la différence entre l’acceptation vraie du cœur et l’acceptation mentale est déjà quelque chose de très important. Et surtout aucune culpabilité par rapport à ça, c’est pareil pour tout le monde.

Tous nos remerciements à Jean-Luc Ayoun et Elisa Bernal,
ainsi qu’à toute l’équipe de transcription (Les petites mains).

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