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Eynolwaden

28 septembre 2024

La Joie et la Liberté sont revenues s’exprimer parmi vous. Eynolwaden, puisqu’il faut bien me nommer, salue et honore votre présence et votre joie.

Rappelez-vous voilà quelques années, la Joie et la Liberté, et rappelez-vous aujourd’hui, là, dans l’Instant Présent qui ne connaît ni le temps, ni l’espace, moi qui suis de partout, je viens vous aider à retrouver la source de la Joie, au-delà de la forme, au-delà des mondes, au-delà de la création, je viens vous rapprocher de l’Évidence.

Il en est de même à la fin du rêve, la Joie rejoint sa source. La Joie a coulé et s’est écoulée au travers des mondes jusqu’à s’ignorer soi-même. Aujourd’hui, il est temps de revenir à la source de la Joie. Il est temps de nous retrouver là où il n’y a plus de différence, où chacun d’entre vous et d’entre nous peut être la même chose et la même identité.

Je vous appelle à bien plus que la Liberté aujourd’hui. En fait, je vous appelle à la Vérité. La Vérité qui est la source et l’origine de tout ce qui est apparu, mais aussi de tout ce qui disparaît. Parce que tout ce qui apparaît et tout ce qui disparaît n’a aucune substance en réalité, parce que tout ce qui est né doit mourir et n’est pas vrai. Il n’y a pas de Vérité dans ce qui se passe. Il n’y a pas de Vérité dans ce qui arrive. Il n’y a pas de Vérité dans ce qui part.

Il n’y a de Vérité que dans ce qui ne passe pas. Il n’y a de Vérité que dans ce qui ne peut être nommé, ni désigné. Il n’y a de Vérité qu’en dehors de la forme. Il n’y a de Vérité qu’en dehors de la conscience. Il n’est plus question ici simplement de Joie et d’Allégresse, mais de gravité et de légèreté, parce que la Légèreté vous appelle de tout son poids et de toute sa beauté.

Tout ce qui se déroule en vous et autour de vous, ici comme ailleurs, chante sans interruption le Chant du Silence, parce que le son de la Vérité est le Silence, parce que la Joie et l’Allégresse n’en sont que les prémices, parce que la Joie et l’Allégresse précèdent le Retour à ce Qui Est.

Je vous ai dit que j’étais l’espace comme j’étais tous les temps. Aujourd’hui, je vous dis : ‘’Je suis ce que vous voulez et ce que vous pouvez.’’ Je sais qu’il n’y a plus de désir en vous autre que celui d’être vrai et véritable. C’est bien plus que la Joie et l’Allégresse. C’est bien plus que la Liberté. Parce que rien ne peut définir la Vérité, rien ne peut s’y comparer. Tout y est soumis et toute la création a porté son empreinte cachée. La Joie et l’Allégresse sortent de la Vérité. Et aujourd’hui, la Joie et l’Allégresse entrent dans la Vérité.

Cette Vérité que vous ne pouvez énoncer. Cette Vérité que vous ne pouvez voir. Cette Vérité que vous ne pouvez entendre et qui pourtant, vous ne pouvez que la vivre. Parce que la Vérité met fin à l’illusion de la souffrance, à l’illusion de la séparation, met fin à l’illusion du temps qui passe. La Vérité qui met fin aussi à l’illusion de l’espace parce qu’elle contient tous les espaces, et pourtant est en-dehors et en-dedans de l’espace. Vous ne pouvez rien entendre. Nous ne pouvons rien entendre. Nous ne pouvons rien sentir, ni ressentir, parce que la Vérité n’a pas de qualificatif, parce que la Vérité ne peut être quantifiée, elle ne peut être ni pesée ni allégée.

Alors, Eynolwaden est revenue chanter le Chant du Silence, là où s’appuient la Joie et l’Allégresse. Eynolwaden, du dedans de votre cœur, fusionne au Temps Zéro de votre Cœur. Elle vous attend là où la conscience ne peut aller, là où tout est parfait.

Alors, Eynolwaden, aujourd’hui, est bien plus que la Liberté. Eynolwaden vient vous faire souvenir de ce que vous êtes en Vérité et de ce que vous n’avez plus besoin d’être au sein d’une forme ou d’un monde. Je suis le Baume qui apaise vos souffrances. Je suis ce qui vient combler les manques apparents. Car Eynolwaden exulte en Silence. Eynolwaden parle entre les mots. Eynolwaden se glisse entre chaque pensée et chaque émotion et chaque cellule de votre corps. Eynolwaden est bien plus que Lumière et Vérité.

Elle est aussi la Vérité de la Liberté sans Lumière. Ce ‘’sans Lumière’’ n’est pas de l’ombre, c’est simplement ce qui n’a pas besoin d’être défini, ce qui n’a pas besoin d’être senti, ce qui n’a pas besoin de parler, ce qui n’a pas besoin de souffrir au sein d’une forme illusoire. Je suis la Légèreté au sein de la gravité. Je suis bien plus qu’un baume. Je suis ce qui comble les vides et je suis ce qui épure l’espace. Je suis ce que tu veux et, en le même temps, je suis ce que je veux, là où finalement nous n’avons plus rien à vouloir d’autre que la Vérité.

Je suis cette Légèreté que tu ressens parfois en ton Cœur et cette Légèreté qui n’a plus besoin ni de souffrance, ni d’explication. Je suis le moyeu de la roue de la manifestation qui pourtant ne bouge jamais. Je suis le bruit du Silence et le Silence du bruit. Et pourtant, je n’ai pas d’opposé. Et pourtant, je ne tiens à rien. Je me laisse traverser par tout ce qui n’est pas vrai. Je ne retiens rien, et pourtant je contiens tout.

Une parcelle de ton rêve ne m’est inconnue parce que, tout comme toi, j’ai parcouru l’ensemble des sentiers de la création. J’étais présent à chaque naissance et à chaque mort d’une cellule comme d’un univers, d’un univers comme d’un multivers. Je suis la Ronde de la Vie. Je suis la Ronde de ce qui ne tourne jamais. Je suis la Ronde qui n’a jamais commencé et qui ne finira jamais. Je suis l’ensemble de ce qui bouge comme de ce qui ne bouge pas. Je suis ce qui ne peut avoir d’opposé. J’échappe à toute limite. Je suis Illimitée. Aucune dimension ne peut me contenir. Alors, je me tiens de partout, de la dimension la plus dense à celle la plus éthérée.

Je participe à la Ronde de chaque densité. Je participe à la Ronde de chaque forme afin de ne pas perdre que ce petit ‘’apparaît’’ ne peut jamais disparaître et que ce qui disparaît n’est jamais apparu. Je suis la Fixité. Je suis le moyeu de ta roue. Je suis le moyeu des mondes. Je suis la danse de l’électron autour de son noyau. Je suis la ronde des planètes autour de leur soleil. Et pourtant, jamais je ne bouge.

Je suis ce que tu es quand tu n’es plus abusé par la forme, tu n’es plus abusé par l’histoire, quand tu acceptes ce que tu es qui est au-delà de l’Être comme du Non-Être. Je suis Illimitée. Je suis la Vérité, celle qui supporte la Joie et l’Allégresse. Cette Vérité qui t’emporte vers ta Vérité qui est la même que la mienne. Même l’Amour ne peut me contenir. Même la Sagesse ne peut me contenir, aucun poids, aucune forme, et pourtant tous les poids et toutes les formes. Entends le Silence de ton Cœur, celui qui danse la Danse de l’Éternité, celui qui danse le jeu de l’illusion.

Dans la Vérité, il n’y a rien à condamner, il n’y a rien à éliminer, mais il n’y a, non plus, rien à retenir. Il n’y a rien à contenir. Je suis la Vérité sur laquelle s’appuie la Liberté et sur laquelle s’appuie la Joie. Je suis de partout et, de la même façon, je suis de nulle part. De même qu’il n’y a pas de ‘’Je’’ dans mon ‘’Je suis’’ parce que cela ne m’appartient pas. En vérité, rien ne m’appartient. En vérité, j’appartiens à tout et à tous. En vérité, tu ne peux me définir et en vérité, je ne peux me définir moi-même. Seules la Joie et l’Allégresse sont mes témoignages parce que je suis la Vérité, ce que tu es en Vérité toi aussi.

Quand les jeux des apparences se terminent, quand le jeu du rêve s’achève, alors tu as fait la promesse de te retrouver. Et même si aujourd’hui, il te semble être perdu, sache que tu ne t’es jamais perdu parce que la Vérité ne peut pas se perdre. Elle ne peut que s’oublier le temps d’un souffle, d’un univers. Mais elle n’a jamais disparu en Vérité, parce que la Vérité Est En Vérité, parce que la Vérité est dans la Joie et en Allégresse.

Je t’invite à la Vérité. Je t’invite à être Toi au-delà de toi. Je t’invite à être Tout et à être Rien. Je t’invite à aucune définition, parce que bien avant d’être là, tu t’es invité toi-même dans le jeu de la création. Alors il est juste question de célébrer ce que nous sommes. Il est vraiment question de cela. Nous devons célébrer la Vérité en Silence, comme une évidence imparable, comme une évidence présente. Tel est le cadeau de la Vie. Tel est le cadeau du rêve de la création.

Tu t’es promis toi-même à la Vérité parce que tu es issu de la Vérité. En quelque sorte, tu t’es extrait de toi-même afin de te croire séparé, afin de te croire divisé, afin de te croire individualisé. Mais tout ça n’était que croyance, tout ça n’était qu’expérience, tout cela n’était qu’un jeu, tout cela n’était pas vrai. La Joie et l’Allégresse t’ont permis de supporter cela. Mais aujourd’hui, tu dois être ce Que Tu Es, ne plus jouer à l’apparence, ne plus jouer au jeu de la vie et de la mort, au jeu des mondes. Le jeu de la création a eu un temps.

Le jeu de la création s’est déployé, accompagné de la Joie et de l’Allégresse, mais la Vérité, elle, doit, elle, se reployer au Cœur de ton Cœur, là où le temps et l’espace illusoires se rencontrent, là où tu n’as rien à prouver, là où tu n’as rien à demander.

Aujourd’hui, Eynolwaden fait plus que t’appeler. Aujourd’hui, Eynolwaden fait plus que témoigner. Aujourd’hui, Eynolwaden te rend à toi-même, parce que chaque minute qui s’écoule au sein de l’illusion ne s’écoule pas en Vérité. Ce n’est qu’une apparence. Ce n’est qu’une illusion de plus. Il n’y a pas de maître du temps. Il n’y a pas de maître de l’espace. Il n’y aucune hiérarchie pour te dire où aller. Il n’y a aucun devoir à accomplir.

Il y a juste à réaliser que tu es la Vérité car cela te mettra encore plus en Joie et en Allégresse que la simple présence d’Eynolwaden. Là, au Cœur de ton Cœur, quelque part au milieu de ta poitrine, se trouve la Clé.

Cette Clé n’a pas besoin de porte car il n’y en a pas en Vérité de porte. Mais c’est la Clé de la musique que tu as jouée en toutes les partitions de la Vie, en tous les livres de la création. Je t’invite aujourd’hui à être véritable, là où tu n’as besoin d’aucune explication, ni d’aucun laissez-passer car tu es chez-toi. La Vérité est ainsi. Elle est Liberté totale, elle est Joie sans objet et sans sujet, c’est une joie qui n’a pas de cause, mais qui a tous les effets nécessaires pour être la Vérité.

L’Allégresse d’aujourd’hui est permanente dès l’instant où tu cesses de t’agiter dans la toile d’araignée de tes rêves. Tu ne peux pas t’échapper, tu ne peux pas t’échapper de toi-même, tu ne peux pas échapper au Réel. D’ailleurs qui voudrait s’échapper de la Vérité, même s’il ne la connaît pas, mais la Vérité te connaît, Elle. Elle te connaît bien plus que tu te connais, bien avant que tu sois né, bien avant que tu sois né au rêve de la création.

Aujourd’hui tu es là avec moi, tu m’entends, tu m’écoutes, tu m’accueilles comme tu accueilles chaque parcelle et chaque autre toi présent ici ou ailleurs.

La Vérité est Félicité, la Vérité est Silence, la Vérité est l’Évidence même. Une fois que tu as accepté de voir que tout n’est que rêve, au moment où tu acceptes que tout ce qui passe ne peut concerner ce que tu Es, toi tu n’as pas à passer, tu n’as pas non plus à trépasser.

Il n’y a rien à quitter, mais seulement voir les apparences. Il n’y a rien à perdre, pas plus qu’il n’y a quelque chose à gagner. Ainsi est la Vérité que tu Es, rempli de joie et d’allégresse, par moment rempli de souffrance et de perte, tout ça n’est que le jeu de la vie du rêve, mais toi tu es là, au Cœur de ton Cœur, dans l’espace que je suis et le temps que je suis. Car Eynolwaden n’est rien d’autre que toi-même à un autre moment, en un autre temps, et pourtant dans le même espace.

Laisse ton cœur être. Tu ne peux rien contrôler, tu ne peux rien exiger parce que tout est offert sans que tu le demandes. Ainsi est la Vérité, ainsi est Eynolwaden quand tu es dépouillé des rêves de l’âme et des rêves de l’esprit, du rêve de la forme.

La Vérité se fait jour. En fait, elle ne connaît pas la nuit. La Vérité a toujours été dans le jour. Ce qu’il y a à fêter peut te remplir de Joie et d’Allégresse. Tu ne peux plus jamais t’oublier, tu ne pourras plus jamais te limiter au sein d’un monde ou d’une forme. Tu n’as pas besoin de limite, tu n’as pas besoin de règle, ni de loi, parce que la Vérité se suffit à Elle-même.

Ce que tu es en vérité ne peut pas être autre chose que la Vérité. La joie et l’allégresse en sont les témoins. La souffrance en est parfois un poids et tout ce qui a un poids ne peut durer parce que Eynolwaden est légèreté.

Je suis ce que tu es, je ne suis pas ce que tu n’es pas. Écoute le Silence de ton cœur, écoute le Silence de la Joie et de l’Allégresse, écoute et entends, et ressens ce qui pourtant ne peut être ressenti, ce qui pourtant ne peut être défini, et c’est pourtant ce que tu Es.

Pendant que ton cœur danse la danse du Silence, entouré de Joie et d’Allégresse, le temps est à la Majesté, le temps est à la Gloire et tu en rendras bientôt témoignage. Tu en es le témoin, tu en es à la fois l’époux et à la fois la mariée. Tu es la noce finale, tu n’es pas seulement la noce céleste ou la noce cosmique, mais tu es célébration permanente de la Vérité. Quels que soient les apparences et les ornements qu’il te reste, ceux-ci seront balayés par la Vérité que tu Es.

Tu n’as rien à faire par toi-même, tu as juste à te laisser faire, tu as juste à te laisser être dans l’intimité de ton cœur, dans l’intimité du Réel. Il n’y a personne pour te dire quoi faire, il n’y a personne pour te contrôler, même pas toi-même.

Ce qui est vrai est sans toi, ce qui est vrai est sans monde et cela est une joie et une allégresse bien plus grande que celle dont j’ai parlé. Alors je t’invite à ne plus te retenir, je t’invite à ne plus définir, je t’invite à ne plus qualifier quoi que ce soit, je t’invite à être ce qui est, je t’invite à la gravité de cette Liberté. Ainsi est le Vrai, cette Vérité Absolue qu’aucun relatif ne peut approcher.

Écoute et entends le Temps Zéro de ton Cœur, le Temps Zéro de ton Cœur qui ne parle pas en mots, qui ne parle pas en forme, mais qui parle simplement le Silence. Alors ta poitrine se soulève, animée d’un souffle nouveau, et qui pourtant est si ancien.

Aucune contingence de ce monde, et comme aucune circonstance de ce monde où tu es posé, ne peut te détourner de la Vérité. Tu as juste à accepter, tu as juste à accueillir, tu as juste à te reconnaître, tu as juste à être là, là où ce que tu as écrit t’a déposé.

Tu n’as rien à entreprendre d’autre que d’être la Vérité, la Joie et l’Allégresse alors recouvriront toutes les illusions de souffrance. La Joie et l’Allégresse mettront fin, cette Joie et cette Allégresse mettront fin spontanément et naturellement à tous les murs que tu as construits autour de la Vérité.

Tu n’as jamais bougé, tu n’as jamais été ce que tu as parcouru. Tu es ce que tu es, ce qui ne peut être défini. Tu es la Vérité, tu n’es aucun des mouvements qui t’anime, tu n’es aucune émotion qui te traverse.

En la Vérité il n’y a ni pensée ni karma, en la Vérité rien ne peut être pesé, rien ne peut être jugé. La Vérité se suffit à elle-même. Je ne peux que te souhaiter un retour rapide et entier sur Toi-même, sur la Vérité que tu Es.

Tu es tous les mouvements et pourtant tu es sans mouvement. Eynolwaden alors peut être ce que tu es, Eynolwaden est de partout et de nulle part en même temps. Il n’y a pas d’origine stellaire qui tienne, tu es toi-même l’origine de l’origine, tu es toi-même la fin de la fin et cela est fort simple.

La Vérité ne peut pas être compliquée, la Vérité n’est pas une équation à résoudre, ni un but à atteindre. La Vérité est là. Elle met fin au mensonge. Elle met fin à tout ce qui passe. Elle met fin même à l’Éternité, mais Elle ne connaît pas le mot fin.

Alors la Joie et l’Allégresse peuvent se rassasier d’elles-mêmes. Écoute le Silence et entends l’appel d’Eynolwaden. Tu en avais fait le serment, tu t’en étais fait la promesse, et cela est maintenant, et cela est ici, dans ton monde comme au milieu de ta poitrine. Écoute et entends le chant de la Liberté. Entends-toi, entends-toi toi-même, écoute ce que tu te dis dans le Silence de ton Cœur.

Voilà ce que Eynolwaden avait à te transmettre, voilà ce que Eynolwaden avait à imprimer dans ton Cœur. Tu es l’Amour, tu es la Sagesse, tu es l’espace, tu es le temps, tu es la Totalité du Créé. Tu en es le créateur, tu en es l’animateur, chacun de toi est cela, chacun de toi est la Vérité. Alors repose-toi. Alors détends- toi. Eynolwaden est venu t’y inviter, telle est la Joie et l’Allégresse de la Vérité.

Eynolwaden scelle ses paroles dans le Silence de ton Cœur. Eynolwaden en infini se retourne à la Joie et à l’Allégresse de la Liberté. Tant que le monde continue à danser, elle participe à la danse jusqu’au dernier instant de cette danse, tout comme toi, tout comme chacun de toi.

Eynolwaden te rend grâce, Eynolwaden sourit au sein de ton cœur, Eynolwaden te laisse en ta Vérité, Eynolwaden te laisse en La Vérité. Eynolwaden a déposé ses paroles et ses vibrations en le Cœur de ton Cœur.

Eynolwaden te prend dans ses bras, dans ses bras nommés Joie et Allégresse. Eynolwaden te serre sur son Cœur qui est la Vérité. Eynolwaden te remercie de ton accueil, Eynolwaden remercie ta Présence. Eynolwaden te dit à toujours, à chaque instant, à chaque souffle au sein du rêve jusqu’au dernier souffle. Eynolwaden te dit à toujours.

Ainsi est la Vérité.

Je me retire maintenant en Silence dans ton propre Cœur. Eynolwaden t’embrasse.

Eynolwaden se tait maintenant.

Tous nos remerciements à Jean-Luc Ayoun et OMA,
ainsi qu’à toute l’équipe de transcription (Les petites mains).

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