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O.M. Aïvanhov (En Direct)

17 Mai 2020

Eh bien chers amis, je me fais une grande joie d’être avec vous en ce milieu de mois de Mai, comme je vous l’avais dit. Je vous transmets, tout d’abord, toutes mes bénédictions et tout mon amour.

Alors, bien sûr, j’aurai des choses à vous dire par rapport à ce joli mois de Mai qui est bien entamé maintenant et j’espère que le scénario et le script de cette scène de théâtre vous convient parfaitement. Je sais que pour beaucoup parmi vous, c’est un cauchemar ce qui a été écrit par les guignols. Mais c’est justement, je vous le rappelle que c’est grâce à ce cauchemar que vous allez comprendre que vous êtes endormis et qu’il faut vous réveiller. Et que le seul réveil comme nous l’avons toujours dit est dedans, c’est-à-dire, à l’intérieur de votre corps où il y a toutes les réponses.

Et c’est dans ce Cœur, dans ce corps-là, éphémère, illusoire, qu’est votre seul réveil actuellement qui vous permet de vous retrouver en totalité, je dirais, avec de plus en plus de facilité au fur et à mesure que le script final du simulacre se déroule sous vos yeux même si vous avez l’impression d’y participer. Je vous rappelle que tout ceci n’est qu’un mauvais rêve, un cauchemar dont la seule finalité est de vous faire souvenir de qui vous étiez avant toutes ces formes et tous ces mondes. Ça a l’air simple comme ça, à dire, mais c’est encore plus simple à réaliser dès l’instant où vous l’avez accepté.

Que vous soyez partie prenante, je dirais, dans cette scène de théâtre selon vos occupations, vos activités, vos fonctions si vous voulez ou que vous soyez simplement le spectateur, l’observateur de ce qui se déroule dans ce script mémorable qu’on écrit les guignols mais aussi, je vous rappelle que l’autre côté de la pièce, c’est le Sacré, tel que Abba vous l’avait montré déjà voilà des années. Ça fait deux années que vous avez eu une espèce de synchronicité entre ce qui se déroule sur la scène de théâtre du simulacre et l’autre versant de cette pièce bien évidemment c’est le Sacré, c’est-à-dire, le Réveil à la Vérité.

Et cette Vérité, bien évidemment, il n’y en a qu’une et elle est commune à chacun, elle est présente avec la même intensité quel que soit l’état de votre corps, quel que soit ce que vous avez l’impression d’affronter ou de vivre sur cette scène de théâtre. Il est évident que tout est fait dans votre vie, dans votre intimité, dans votre profondeur, dans l’endroit où vous êtes sur cette planète comme aussi les agissements des guignols, ne sont là que pour vous réveiller définitivement afin que plus jamais vous n’ayez envie de rêver ou de projeter une quelconque conscience quelque part.

Vous êtes antérieurs à la conscience et vous avez aujourd’hui la possibilité à chaque minute, en chaque circonstance, de le vérifier avec de plus en plus d’aisance et de facilité. Acceptez-le simplement et cela deviendra la Vérité commune à chaque forme, à chaque conscience comme à chaque monde.

Alors, tout d’abord, avant de faire un point, justement sur cette scène de simulacre et sur la scène du Sacré, nous allons, si tu le veux bien, cher ami, avancer dans les questions que nous n’avions pas terminées la dernière fois, s’il y en a qui apportent quelque chose de nouveau. Alors, je t’écoute. Bien évidemment, si les questions renvoient à des choses qui ont été dites à d’innombrables reprises, je vous renverrai à ce qui a été dit pour ne pas me répéter et surcharger mon intervention. Alors, je t’écoute cher ami.

Frère : Bien, alors, première question d’une sœur. Nos cellules portent-elles l’information de notre devenir?

Et répète un coup … de notre devenir?

Frère : Nos cellules portent-elles l’information de notre devenir?

Ah, les cellules portent toute l’information. Mais quelles que soient les informations de toutes dimensions, de toutes physiologies, de toutes formes, il y a un point essentiel, c’est que vos cellules renferment bien évidemment l’information du Temps Zéro. Ça été la même chose aussi bien dans les cellules végétales, animales, qu’humaines. Et c’est ce principe du Temps Zéro, cette information du Temps Zéro qui est Agapè, qui est bien sûr inscrit dans toutes parcelles de la Vie. Nous vous avons dit que vous étiez l’Espace, vous n’étiez pas une forme. Mais vous êtes l’Intelligence de la Lumière et vous êtes Agapè.

Bien évidemment, d’un bout à l’autre de ce qui a été nommé la création et l’évolution depuis la cellule la plus primitive jusqu’aux cellules les plus évoluées qui n’appartiennent pas au monde carboné mais au monde silicé. Toutes les cellules vivantes, tout ce qui est vie est porteur de l’information du Temps Zéro, de la Bonne Nouvelle et donc, d’Agapè. Ça c’est une certitude et je redis ce que je viens de dire, il y a aujourd’hui une très grande facilité à rentrer dedans, à ne pas être abusé, violé, choqué par les circonstances de ce monde comme par les circonstances de votre vie.

Ce choc salutaire, qui a été nommé le Choc de l’Humanité, est aussi le moyen infaillible de vous réveiller même s’il vous faut pour beaucoup d’entre vous encore attendre le Signe Céleste de ce mois de Mai. Voilà ce que j’avais à dire par rapport à cette question. Toute la vie est porteuse de l’Amour, toute cellule est porteuse de l’Amour sans aucune restriction et sans aucune possibilité de retirer cela même par les ondes radars, les ondes millimétriques, les ondes néfastes qui ont été utilisées par les méchants garçons pour essayer de vous maintenir dans la cage.

Mais, y’a aucune cage qui tienne quand la Vérité du Temps Zéro émerge de vous parce que là vous vous souvenez de qui vous êtes et le cauchemar ne peut plus avoir la moindre prise sur vous. Je sais que Tête de Caboche et beaucoup parmi vous avez beaucoup partagé durant ces mois d’avril, et de mai surtout, les informations sur la mascarade de ce monde, sur le ‘’qui tient les ficelles? ’’ et ‘’quel est le but de ces guignols?’’, c’est-à-dire, l’asservissement total bien plus que l’enfermement au sein d’un monde dissocié, c’est-à-dire, l’asservissement comme ça avait été expliqué voilà plus de 10 ans, dans les circuits nommés et que vous nommez aujourd’hui, transhumanistes, c’est-à-dire, de faire pénétrer la conscience dans les circuits électroniques binaires. C’est ça la bête binaire.

La bête binaire, la première bête, c’est bien évidemment tout ce que vous nommez internet, tout ce que vous nommez vos réseaux sociaux qui font aujourd’hui la réalité. Nous avons parlé, voilà de nombreuses années de la co-création consciente. Aujourd’hui, il est question de re-créer dans cette co-création consciente le souvenir d’Agapè, du Temps Zéro ou de l’Amour avec un grand A si vous préférez. Et c’est exactement cela qui est en train d’émerger, c’est-à-dire, vous sortez du rêve et souvent il a été dit par Bidi, par d’autres, que toute cette création, que toute cette conscience, dans toutes ces dimensions, même supramentale, était une escroquerie et quelque chose qui ne faisait que passer. Vous, vous ne passez jamais.

Nous vous l’avons répété de toutes les façons possibles et imaginables. C’est à vous qu’il appartient de le vivre et de le vérifier encore une fois avec une aisance – dès l’instant où vous ne résistez pas, où vous accueillez l’innommable de tout ce qui a été révélé, vous vous apercevez que vous n’êtes pas concernés, que vous êtes en dehors de cette scène de théâtre et que c’est vous-mêmes, nous-mêmes tous ensemble qui avons créé ce rêve et cette scène de théâtre. Et comme je le rappelle pour les nouveaux, ça concerne toutes les dimensions, tous les mondes et toutes les consciences sans aucune exception. L’Alpha a rejoint l’Oméga et l’Oméga a rejoint l’Alpha.

Soyez assurés que ces paroles ne sont pas des paroles pour faire joli, mais pour vous inciter, vous inviter, face à l’adversité telle que vous pourriez la nommer, face aux horreurs de ce monde et de cette création, de rentrer en vous pour voir réellement et de façon totalement véridique que cela n’a aucune substance et que toutes les émotions, toutes les pensées, tout l’écœurement, et les nausées que vous pouvez avoir sur l’architecture de la société et de ce monde, en fait, ne sont là que pour réellement et concrètement vous réveiller à la Vérité que vous êtes, qui je vous le redis, est antérieure à toute forme et à toute conscience.

C’est extrêmement simple. Il faut déjà avoir l’information. Alors, bien sûr, vous avez vu tout ce qui s’est révélé, j’en profite pour faire aussi mon exposé par rapport à cette question en partie. Vous avez vu tout ce qui s’est révélé, toute l’architecture, les liens de la résonnance sombre comme je le nomme qui voudraient vous empêcher de vous souvenir. Pour cela, il faut sortir le doigt de l’engrenage. Comme disait Frère K : Ce n’est pas vraiment un signe de bonne santé que de se sentir bien dans cette société, dans ce monde et dans tout monde.

Une fois que vous avez découvert la vérité, vous êtes libres de tout assujettissement à la conscience et à la forme, indépendamment même de ce monde. C’est ça qu’il vous faut cogiter, si je peux dire – posez l’équation à l’intérieur de votre tête et acceptez que la réponse est déjà connue. Elle est déjà sue, vous l’aviez simplement oubliée comme nous vous l’avons répété de façon insistante depuis plus d’un an. Les dernières clés, vous les avez eues, c’est le Nom et le Prénom. Vous avez eu beaucoup de choses qui se sont révélées et qui ont été vécues par un nombre toujours plus important de frères et de sœurs sur cette planète, n’est-ce pas.

Et vous constatez aussi que vous avez des frères et des sœurs, peut-être même dans votre famille, qui ne verront jamais la Vérité jusqu’au moment de l’Appel, si je peux dire, du Signe Céleste. Parce qu’ils ne sont pas équipés pour traverser, si je peux dire, pour accepter, pour accueillir. Accueillir la vie ne peut avoir aucune limite même au sein de la mascarade, même au sein de l’horreur qui vous est révélée. Je vous rappelle que dans tous les enseignements qui étaient nommés spirituels, il était toujours insisté sur le mental et sur les émotions, c’est-à-dire que si vous souffrez d’une émotion par rapport à ce que vous vivez ou ce qui se déroule sur la scène de la mascarade, c’est que vous n’êtes pas libres. Tout simplement, vous n’avez pas traversé.

Vous arrêtez les émotions et vous vous identifiez à elles. C’est exactement pareil pour vos pensées. C’est exactement pareil pour ce que vous voyez. C’est exactement pareil pour ce que vous ressentez, percevez, ressentez ou réagissez. Tant que vous êtes là-dedans, vous n’êtes pas disponibles pour accueillir l’Instant Présent et la Vérité d’Agapè dans l’instant. Tout le reste n’est que des chimères. Alors bien évidemment, les méchants garçons essayent de vous entraîner dans cette bataille finale. Mais cette bataille est un rêve.

La subtilité est de voir qu’il y a une bataille et que même si vous êtes impliqués dans cette bataille à titre personnel, à titre, comment vous dites, de celui qui va alerter les autres ou de celui qui a quelque chose à résoudre chez-lui ou dans sa vie, tout ça n’est que des prétextes. Acceptez-le et vous découvrez la Vérité et vous êtes la Vérité. Nous insistons et nous insisterons de plus en plus là-dessus. Tout le reste, tout ce qui passe, même ce qui se déroule sur le plan des guignols, est une mascarade totale. Et d’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’ils essayent de vous masquer, c’est-à-dire, mettre un autre masque sur l’égo.

L’égo, c’est quoi? C’est le masque, c’est l’identité, c’est la profession, c’est le rôle social, c’est tout ce à quoi on adhère dans cette vie et qui nous rend malheureux ; que ce soit l’argent, que ce soit un enfant, que ce soit un parent, que ce soit le mari ou la femme, même la flamme jumelle. Tout attachement est souffrance. Aujourd’hui, vous en avez la démonstration totale de ce qui a été répété pendant des milliers d’années dans tous les courants spirituels, illusoires certes, mais qui ont véhiculé une certaine forme de vérité. La Vérité Nue et Absolue ne peut pas s’encombrer d’émotions, de mental, d’évolution, de forme, c’est-à-dire que, quelle que soit l’horreur à laquelle vous allez assister, c’est justement cette horreur qui vous fait comprendre, en le vivant, que ce n’est pas vrai.

Et tout ça finira comme nous l’avons toujours dit, que ce soit Bidi, que ce soit moi, que ce soit Abba et que ce soient aussi d’autres intervenants, tout ça finira réellement dans un grand éclat de rire, parce que le scénario est parfait. Parfait dans la synchronicité et parfait dans l’horreur, dans la division, dans la séparation, dans la souffrance, qui ne sont que des simulacres.

Voilà cher ami, j’ai été un peu long à répondre mais si j’ai l’occasion de répondre à chaque question à ce que j’avais à vous dire, ça sera parfait comme ça. Alors, nous écoutons la deuxième question.

Frères : On nous a vendu le pouvoir de l’intention et le libre-arbitre. Pouvez-vous nous éclairer sur ces deux points actuellement?

Alors, voilà le genre de questions qui correspond à des dizaines de canalisations que ce soit de moi, des Anciens ou des Étoiles. Alors, permets-moi de renvoyer cette personne à faire la recherche elle-même dans les premières années de ce qui fut nommé Autres Dimensions où tout ça a été vraiment expliqué dans tous les sens et selon toutes les subtilités des personnages qui étaient incarnés, en tant qu’Étoiles ou Melchisédechs, ou même chez certains Archanges qui n’ont pas été incarnés mais qui l’ont exprimé à la perfection. Donc, nous passons, si tu le veux bien, à la question suivante.

Frères : Le basculement des pôles, c’est pour quand?

Vous êtes en plein dedans. Vous êtes dans le basculement final, nous employons ce mot final depuis deux ans. Bien évidemment, le final n’est pas un instant mais une succession d’événements et d’instants qui durent deux temps, un temps la moitié d’un temps, c’est-à-dire comme ça été dit dans Daniel et dans l’Apocalypse, mille deux cent soixante jours qui ont commencé, bien sûr, depuis longtemps déjà. Et il y a un compte long et un compte court qui correspondent pour le compte long à ce qui a été nommé la première bête dans l’Apocalypse de St-Jean et un temps court, c’est-à-dire la moitié d’un temps.

Non plus un temps de temps mais la moitié d’un temps qui correspond exactement à ce que vous vivez depuis quelques mois dans cette année nommée 2020 qui est l’année bien évidemment de la résolution du simulacre où vous devez traverser tous, individuellement, et nous tous, collectivement, par un certain nombre, je dirais, de paliers. De paliers de révélations, de paliers de découverte de la Vérité Absolue qui surgira immanquablement au fur et à mesure des jours pour ceux qui doivent encore se réveiller avant l’Évènement Céleste.

Et nous pouvons continuer, parce que si je répondais plus, ça renverrait encore une fois, à des choses qui ont été dites à d’innombrables reprises. Alors, poursuivons.

Frère : Question d’une sœur. Oma, que nous dites-vous sur les vaccins?

Ah, les vaccins, j’ai eu l’occasion d’en parler au mois de mars déjà, début mars. Je vous avais dit que les vaccins étaient des particules virales astrales. C’est des émotions, c’est des exsudats des cellules qui correspondent à l’intoxication des cellules. Alors, bien sûr, il n’est pas ici le moment venu de faire un cours de biologie ou autre, ou de microbiologie. Mais simplement de comprendre que le virus, quel qu’il soit, correspond à une composante astrale émotionnelle. Notre bien-aimé Steiner, parmi les Anciens, a eu l’occasion d’exprimer, de son vivant, d’innombrables choses sur les virus liés au terrain, liés à un certain nombre de modifications de la sensibilité personnelle.

Bien évidemment, dans ce monde et vous le voyez même quand vous voyez le cauchemar ou la scène de théâtre, c’est effectivement des états horribles, des émotions horribles qui peuvent être véhiculés par l’air. Le virus est aussi dans l’air et il correspond, comme analogie si vous voulez, à ce qui se passe réellement en l’homme qui découvre la Vérité et le simulacre. C’est-à-dire, le Sacré et le simulacre qui sont les deux versants de la même pièce, non pas pour en faire un symbole ni un diabole mais pour retrouver cette unité perdue, que nous avons tous passé notre incarnation, nos incarnations à chercher de toutes les façons possibles, que ce soit dans l’argent, dans la posture sociale, dans la recherche spirituelle, dans la recherche de la flamme jumelle, de l’âme sœur. Bref, tout ce qui composait cette quête qui ne pouvait jamais se terminer parce que la quête, elle-même, est une illusion.

Donc, tout ça, si vous voulez, est en train de se vivre. Chacun le vit à sa façon mais le résultat est toujours le même, c’est la découverte de la Vérité et le vécu de la Vérité et la compréhension. Je vous répète cette chose qui est essentielle : tant que vous vous interrogez en vous de façon importante avec réaction émotionnelle ou mentale, vous n’êtes pas disponibles à 100% pour vivre la Vérité du Temps Zéro de l’Instant Présent et devenir l’Espace et ne plus être assujettis à aucune forme, à aucun scénario que vous avez pourtant écrit. Nous avons tous écrit ce même scénario final pour toutes les dimensions ici même sur cette Terre. Et c’est ce que vous vivez déjà depuis un moment.

Cette année 2020 est réellement l’année de ce que vous pourriez nommer le jugement final ou le jugement dernier. Mais vous riez de tout ça quand vous découvrez la Vérité. Il n’y a rien à juger. Il n’y a personne à condamner. Il y a juste à reconnaître la Vérité, c’est-à-dire que c’est un rêve et rien d’autre, parce que ce n’est pas immuable. Alors, le point de vue de l’observateur au Cœur du Cœur, à Shantinilaya, à la Demeure de Paix Suprême est très exactement ce qui vous permet de demeurer dans cette immuabilité qui n’est pas une indifférence comme disait Bidi ni même une Divine Indifférence, c’est la Vérité.

Toute la stratégie de l’égo, de la société, de la spiritualité, c’est de vous entretenir en permanence dans le rêve par la réaction, par la recherche du bien et du mal, par savoir ce qui est vrai ou ce qui n’est pas vrai. Comment voulez-vous trouver la moindre once de vérité dans quelque chose qui ne fait que passer? Et les guignols sont en train de passer, quelles que soient les apparences et quel que soit votre point de vue. Alors bien sûr, on vous parle de vaccin pour tuer le méchant virus mais vous savez très bien que c’est une manipulation totale. Vous avez suffisamment d’éclaireurs avec des faits réels, concrets, qui ne sont pas là pour vous faire entrer en guerre ni en rébellion ni en acceptation de l’inacceptable. Mais de vous accepter vous-mêmes, de vous accueillir vous-mêmes au-delà de tout rôle.

À partir de là, votre montée vibratoire, ce que nous avions appelé à l’époque, le Supramental avec les Couronnes, avec le Chant de l’âme dans l’oreille gauche le Nada, avec les Siddhis, les pouvoirs de l’âme, avec les Couronnes qui sont actives avec les réceptions d’énergie, de vibration d’Amour et de Temps Zéro, ne sont là que pour vous démontrer que ce cauchemar n’a aucun poids malgré sa dureté apparente. Et, soyez certains, que tout ce qui a été écrit ne peut pas être changé et doit se dérouler là, maintenant. Quand je vous ai pris l’exemple de la projection d’un film et que vous pouviez appuyer sur le bouton ARRÊT, AVANCE RAPIDE ou RETOUR RAPIDE, c’est votre conscience qui fait ça selon comment vous jugez, comment vous observez et comment vous vous comportez à ce qui se déroule dans votre vie, là où vous êtes maintenant mais aussi à l’échelon de la planète et à l’échelon des univers.

Quand le Signe Céleste va débouler, bien sûr, vous ne pourrez plus à ce moment-là, faire comme la grande majorité de l’humanité dormir encore et espérer un vaccin ou porter des masques. Cette particule astrale, qu’on nomme virus, n’est rien d’autre que la conséquence de l’adhésion au rêve. Cette adhésion au rêve que vous l’appeliez avidité, besoin d’argent, besoin de mari ou femme, besoin d’enfant, besoin d’un rôle social, ne sont que des chimères. Bien sûr, il vous faut l’assumer, vous l’avez créé, mais il vous faut réaliser que ça n’a aucune réalité. C’est justement en jouant le seul réel accessible là où vous êtes que vous découvrez que c’est un script, un scénario qui n’a aucune substance réellement et qui est simplement l’agent de votre Réveil.

Alors, oui les virus, les masques, ce que vous appelez, ce que nous appelons le nouvel ordre mondial, ne sont là que pour rétrécir, je dirais, les murs de la prison, vous faire souffrir réellement jusqu’au moment où vous comprenez qu’il n’y a pas plus de prisonnier que de prison que de murs, tout simplement. C’est une opportunité exceptionnelle mais qui a été écrite. C’est pour ça que les méchants garçons, comme pour ceux qui vivent Agapè, qui sont Agapéens, eh bien, pour ceux-là, ils savent pertinemment qu’il faut juste assister à ce Réveil, au Réveil de ce cauchemar.

Donc, ne luttez pas contre le virus, même si effectivement Tête de Caboche et d’autres vous ont parlé d’innombrables remèdes qui existent effectivement dans la nature avec des choses très simples, c’est seulement (…) est responsable en quelque sorte de cette anomalie. Je vous demande trente secondes parce que je crois qu’il y a eu une sonnerie… non c’est bon. On peut repartir sans problème. Il y a quelqu’un, un guignol qui a dû s’amuser à téléphoner sur ce téléphone pendant la canalisation, ça c’est comique n’est-ce pas, on cherche à distraire ou à perturber mais ça c’est aussi l’Intelligence de la Lumière vous voyez. Il n’y a pas, même un appel comme ça, impromptu, est quelque chose qui est prévu et prévisible.

Voilà donc je n’irai pas plus loin sur les particules virales, Steiner en a beaucoup parlé de son vivant, j’ai eu l’occasion d’en parler voilà très peu de mois donc je ne vais pas revenir dessus. Je vous rappelle que beaucoup d’informations vous ont été apportées, que ce soit par les médias des guignols, par vos réseaux sociaux, il a fallu encaisser littéralement, digérer, acquiescer à toutes ces horreurs, pour enfin vous découvrir libres et véritables, au-delà de votre forme, de votre scénario, et de votre script individuel que vous avez écrit.

Et rappelez-vous que même si vous trouvez le script que vous avez écrit, absolument horrible, mais c’est exactement ce que vous avez voulu pour vous réveiller. Parce que peut-être qu’il y avait trop d’intérêt pour la forme, pour la matière, pour l’argent, pour la société, pour votre famille, pour vos enfants, pour vos parents, pour vos amis, pour vos frères, pour vos sœurs. Il n’y a personne, je vous le répète, il n’y a que vous qui rêvez. Et ça ce n’est pas un point de vue philosophique, c’est la stricte vérité, qui est à portée de cœur, qui est là, pour tous, parce que vous jouez, dans ce qu’on vous impose, dans la façon de réagir, dans la façon de vous débrouiller en quelque sorte, avec tous ces éléments, qui effectivement sont de plus en plus contraires à la liberté même amputée, que vous aviez à vivre en ce monde. Et c’est comme ça que vous vous réveillez, donc ne rechignez, ne regimbez contre rien, voyez plutôt, qu’est-ce qui motive vos réactions; assassiner un enfant c’est horrible, le satanisme c’est horrible, mais tout cela est fait pour vous ébranler, littéralement, afin que vous ne puissiez pas vous appuyer sur quelque élément narratif ou visible de ce monde ni d’aucun monde.

Quand vous en aurez marre de rechercher en dehors, je ne sais pas, un sauveur, un appui, une aide, par rapport à un manque, quel qu’il soit, quelle que soit sa nature, alors à ce moment-là, quand vous arrêtez de vous agiter survient le grand silence. Et vous allez déjà constater au fur et à mesure de l’avancée des jours de ce mois de Mai, qu’absolument toutes les manipulations de ce monde ont été révélées. Il en reste une à révéler mais qui elle sera réservée au moment du signe céleste, quelle que soit sa nature, durant ce mois de Mai, c’est de voir qui tient les ficelles derrière les guignols, c’est-à-dire de voir qui a finalement fait œuvre de salut public en enfermant la conscience au stade où vous en êtes dans les mondes enfermés, qui permet le réveil comme une espèce de sursaut final, tout cela n’est pas vrai.

Tout cela n’a aucune substance – même les émotions les plus justifiées, même les cris d’horreur de ces horreurs qu’on vous montre et qu’on vous dit, sur ce qui se passe dans ce monde, doivent être effectivement vus, mais traversés et digérés ; juste derrière, comme toujours, vous êtes libres. Et dès que vous êtes libres bien sûr de vos propres émotions, de vos propres affects, de vos propres souffrances, alors à ce moment-là, et c’est très facile, vous vous tournez tout naturellement vers le cœur du cœur, vous vivez Agapè, vous vivez le trou noir, vous vivez le paradis blanc, et je sais que vous êtes innombrables à voir ce paradis blanc, autour de vous, dans votre lit, la nuit en regardant dehors, et parfois en journée, c’est la vérité.

Il y a une autre réalité qui se superpose à l’ancienne réalité. Mais cette nouvelle réalité n’a pas d’avenir, même si vous en avez des visions, elle est la joie pure et nue de l’instant présent en Agapè. Tout le reste ne peut plus interagir, ne peut plus vous dévier, que vous soyez souffrant, que vous soyez dans votre jardin, que vous soyez enfermé, terrorisé avec un masque, tout ça vous n’en êtes plus dupes. Bien évidemment vous le savez, et là ce n’est pas une question d’égrégore, c’est plus une question de masse de consciences. Bien évidemment le nombre qui était nécessaire au basculement, puisqu’on parle du basculement, a été atteint depuis déjà de nombreuses années. Mais il y avait, et j’en ai déjà parlé, pas au niveau des éveillés cette fois-ci mais au niveau de toute la Terre, il y a une espèce de masse critique de consciences qui doit voir la vérité. Ça ne veut pas dire l’accepter ou être capable de le traverser et de vivre l’absolu, mais d’ouvrir les yeux. Parce que quand, et le nombre est atteint déjà en ce mois de Mai, quand suffisamment d’êtres humains ont ouvert les yeux, le mensonge, le simulacre, ne peut plus tenir debout. Ce n’est pas une question d’aller s’opposer comme ils voudraient les guignols, de lutter contre eux, mais d’avoir vu la vérité derrière toutes les apparences.

Oui, le basculement de la conscience, le basculement des pôles, géomagnétiques et physiques, bien sûr est en cours. Et bien sûr a commencé déjà depuis de nombreux mois de nombreuses semaines, et s’amplifie de jour en jour. Vous le voyez, ça avait été expliqué aussi longuement par l’activité des éléments, vous voyez bien le feu, l’eau, l’air et la terre qui remuent de partout, c’est aussi les émotions, les quatre émotions primaires de l’être humain qui s’expriment à plein, que ce soit la peur, que ce soit la joie, que ce soit la colère, peu importe, ou la tristesse, peu importe. Ces quatre émotions quand elles sont jouées en vous de façon intense débouchent nécessairement sur la vérité que vous le vouliez ou pas, que vous vous en doutiez ou pas.

Donc le basculement est en cours, il est acté, tout se déroule et se précipite dans ce plan physique. Vous voyez bien comme nous vous l’avions dit depuis plusieurs mois la quantité de vaisseaux de toutes dimensions qui sont au-dessus de vos cités. Vous voyez bien qu’on vous parle de plus en plus des civilisations ou en tout cas d’extraterrestres, parce que c’est inéluctable. Alors au-delà de tout ce qui se joue sur la scène, que ce soit extraterrestre ou cauchemar des méchants garçons, des satanistes, ça n’a aucune importance, parce que tout ça ce sont des éléments du réveil. Alors le basculement est déjà bien entamé si je peux dire, il est au point d’oscillation si vous voulez et il y a un moment donné, vu la masse critique de frères et sœurs mais aussi de portails organiques qui ont ouvert les yeux, qui permet à cette oscillation de franchir le point de basculement, presque de façon permanente. Mais pour cela, il faut attendre la totalité de la conjonction des signes tels qu’ils ont été écrits par les prophètes, mais aussi dans l’apocalypse de Saint Jean, mais aussi dans tous les livres dits sacrés, et bien évidement tout ceci se déroule en ce moment-même.

Personne, à condition d’avoir regardé au moins une fois l’apocalypse ou au moins quelques fois des prophéties ne peut que s’apercevoir que nous sommes, et vous êtes, tous ensemble dans le même bain; dans ce même bain de révélations, dans ce même bain d’horreurs qui débouche sur Agapè. Voilà, c’est inexorable, inéluctable, et c’est en cours. Alors encore une fois pour ceux qui ne le vivraient pas, c’est que vous n’avez pas accepté, et attention sur le sens de l’acceptation, accepter, ça veut dire être présent, ça ne veut pas dire réagir, vous pouvez réagir parce que c’est horrible quand on vous apprend des choses de la teneur dont on vous expose maintenant, que ce soit dans votre vie personnelle mais je parle plutôt et surtout de l’aspect collectif, n’est-ce pas? Quand vous voyez ça, c’est horrible, mais c’est justement l’horreur qui vous conduit à Agapè.

Alors bien sûr c’est un mystère, tant que vous cherchez à comprendre, vous ne pouvez pas le vivre complètement. Il y a d’abord ce que nous avions nommé pendant des années le sacrifice qui permet la résurrection. Mais la résurrection, elle est dans l’instant, elle n’est pas dans un monde futur, elle n’est pas dans l’événement qui arrive à grands pas dans le ciel, mais c’est quelque chose qui est là de façon globale, dans tous les secteurs et tous les pans de votre vie, par rapport à vous-même, au fonctionnement de votre corps, au fonctionnement de vos pensées, au fonctionnement de votre signe astrologique de naissance, voyez et voyons tous comment nous avons été conditionnés par les astres, comment nous avons été dirigés, comment ça a été écrit pour nous amener jusqu’à ce point de résilience totale.

Alors oui, vous allez basculer de plus en plus à tous les niveaux, dans vos derniers attachements, dans vos dernières peurs, dans vos dernières identifications, à un personnage, à une histoire, à un rêve, à ce que vous voulez, tout ça n’existe pas. Et plus ça va être horrible ou plus ça va être joyeux, le résultat sera le même, vous allez découvrir la liberté que vous êtes. Et vous voyez, même les oiseaux sont d’accord avec ce que je dis. N’est-ce pas?

Alors cher ami nous pouvons poursuivre les questions.

Frère : Eh bien il a été largement répondu je crois à la dernière question que l’on peut, si vous le souhaitez, poser pour le plaisir.

Alors autre question

Frère : Je répète. Je pense qu’il a été largement répondu à la dernière question

Oui oui

On peut poser cette question néanmoins si vous le souhaitez pour le plaisir

Allons-y

Frère : Alors voilà question d’un frère, “pourquoi avoir choisi une fin de film aussi tortueuse alors qu’il aurait été si simple de finir en douceur et en éclats de rires, en étant tous en catalepsie et sans choix possibles?”

La douceur ne permet jamais de se réveiller du rêve. Nous connaissons tous des rêves, nous voudrions qu’ils durent tout le temps, et la conscience ne peut jamais s’arrêter d’elle-même. Elle dit être confrontée à des choses terribles, à des choses qui vous font sortir du cadre de référence habituel, qui doit vous faire sortir de vos pulsions, de vos désirs, de vos projections, de vos mémoires, de vos traumatismes comme de vos joies. Et pour certains c’est très facile et pour d’autres c’est très dur. Mais tu as raison, nous l’avons suffisamment expliqué dans tous les sens possibles que je ne vois pas quoi rajouter par rapport à cela.

Tant que vous croyez que ce qui vous arrive individuellement à votre corps, à votre vie ou en ce monde est réel, vous ne pouvez pas être libre. Et pourtant, c’est la seule réalité que vous avez à accepter. Acceptez que c’est un rêve et le cauchemar prend fin. Acceptez que le cauchemar ne fait que passer et vous êtes libre. C’est vraiment une mécanique, c’est de la mécanique pure et simple. Dites oui comme disait Abba et vous êtes libre. Ce oui-là n’est pas un oui à l’horreur, c’est un oui à l’inconsistance de l’horreur, parce que ça ne fait que passer. C’est ce point-de vue-là qui vous met face à la vérité, et pas vos histoires, pas votre passé, pas la résolution de quelque élément de votre personnage, pas une quelconque interprétation de rêve, ou projection dans je ne sais quel futur, de nouvelle Terre, de nouvelles dimensions, ou de nouvelle vie, le cauchemar s’arrête. Et toutes vies au sein de la forme, même dans les dimensions les plus agréables, les plus vibrantes, les plus élevées, ne sont en définitive que quelque chose qui passe. Comme disait Bidi, l’univers disparaîtra, que vous vous serez toujours là. Et c’est exactement ce qui est en train de se produire.

As-tu d’autres questions?

Frère : Euh non

Alors si nous avons terminé les questions, je vais survoler votre panorama : vous êtes sur la Terre quand vous êtes incarné, à la veille de l’instauration de ce que vous nommez une dictature, c’est-à-dire un asservissement total aux idées, aux pensées, aux volontés de ceux qui pensent diriger le monde par l’argent, par les réseaux particuliers, par des mouvements occultes, par l’argent surtout, par la contrainte de l’autre et par la souffrance de l’autre. Bien évidemment cela est réel dans le cauchemar, mais ce cauchemar est ce qui vous réveille définitivement de tout sommeil, de tout rêve. Acceptez-le et vous le vivez, c’est instantané. Et vous êtes d’ailleurs nombreux à vous rendre compte de cela. Ça ne veut pas dire qu’il faut rester et ne rien dire, j’ai dit que vous allez trouver que le silence est bien plus profitable que d’énoncer ces vérités sordides. Mais néanmoins parmi vous certains continuent à afficher ces nouvelles par rapport – je parle des vaccins, satanisme, par rapport aux ondes, par rapport à tout ce qui se révèle maintenant. Parce que il est important que vous soyez choqués, et vous allez être choqués, je dirais de plus en plus au fur et à mesure des jours qui vont venir durant ce mois de Mai.

Bien évidemment les conditions matérielles de vos vies, après une pseudo-accalmie, vont bien sûr se dégrader, jusqu’à temps que vous vous réveilliez, jusqu’au moment où le signe du ciel, quel qu’il soit, viendra vous cueillir, vous sidérer, afin que plus jamais vous ne soyez dupes du rêve. Mais ce n’est pas encore le matin et la fin du rêve, c’est simplement : vous savez et vous saurez tous que vous rêvez et il vous restera très peu de temps, je dirais, pour vous désidentifier, pour vous désengager de ce que vous croyez encore vital ou essentiel au sein de ce monde.

Ce monde est une supercherie totale. La création est une escroquerie comme disait Bidi, totale. Nous avons fait nous, Anciens, avec je dirais les moyens du bord et ce qui était accessible lors de notre incarnation. Vous le savez, nous en avons parlé longuement il n’y avait que Bidi, d’ailleurs qui viendra s’exprimer après moi, qui a été le seul à faire autant de bruit par rapport à l’Absolu, au Parabrahman, et à Shantinilaya, et à dire que tout était une escroquerie, que l’évolutions, les vêtements spirituels, les mouvements spirituels étaient tous viciés depuis le départ, étaient tous faux. Mais nous n’avions pas les moyens, quand j’étais encore incarné à la fin, au milieu des années 80, de nous rendre compte de ça, même si parmi les Anciens et surtout les Étoiles, certaines en avaient une espèce de prescience, de prémonition, que tout ça n’était rien de réel.

Alors, ça c’est la première partie de ce joli mois de Mai, ça a été les révélations dans tous les sens. La deuxième partie de ce joli mois de Mai va consister au dernier pan de révélations, c’est-à dire ce qui ne vous était pas accessible selon vos médias, vos réseaux sociaux, mais au niveau de l’invisible, quelle était cette force que l’on nommait les Archontes, Yaldebaoth, qui ont maintenu l’enfermement. Je ne reviendrai pas sur les notions historiques des accointances, si je peux dire, entre les Mères Généticiennes et les Dracos, falsificateurs, je vous rappelle que les Dracos il y en a qui sont très lumineux, mais tout ça, tout ça, en définitive n’a servi qu’un seul but, la scène finale, le cauchemar du rêve, afin de sortir du rêve, et de ne plus jamais dormir ou rêver.

Le rêve, c’est la conscience, elle vous emmène, elle se croit immortelle, elle croit toujours à une pseudo-individualité, il n’y a aucune individualité puisqu’il n’y a personne, il n’y a que l’Amour, tout le reste n’est que des maladies sans aucune exception, même dans les dimensions les plus hautes. Mais il fallait poursuivre le scénario, il fallait emprunter tous les chemins possibles et inimaginables dans ce monde comme en tout monde.

Nous vous avons toujours dit que nous étions à l’intérieur de vous, c’est la stricte vérité, vous êtes tous les personnages, toutes les formes, toutes les dimensions, toutes les consciences sans aucune exception. La conscience ne vous appartient pas en propre, ceux qui rêvent encore de cela n’ont rien compris, ils ne se sont pas restitués à eux-mêmes, ils sont encore dans le rêve d’une nouvelle race, d’une nouvelle Terre, d’un nouvel âge d’Or, mais le Christ vous l’avait dit : mon royaume n’est pas de ce monde. Et les guignols voudraient que le Christ revienne pour leur dire que leur royaume est dans ce monde. Et comme le corps biologique est trop fragile, on va rentrer la conscience dans l’immortalité des circuits électroniques, mais tout ça, ça ne peut pas exister; un circuit électronique s’use de lui-même bien sûr, vous, vous ne pouvez pas vous user, vous n’êtes jamais nés, vous n’êtes jamais morts. Ce n’est pas un jeu de mots, c’est la stricte vérité qu’il vous appartient de vivre, à ce moment-là vous verrez que progressivement les révélations de l’horreur de ce monde ne vous concerneront plus du tout.

Et vous êtes effectivement, à travers cet enfermement que vous vivez , dans les meilleures conditions possibles, non-pas pour avoir du temps et faire ce qui vous plaît, ou alors avoir l’impression au contraire de perdre votre temps, parce que le temps c’est de l’argent, ou parce que vous avez l’impression de ne pas pouvoir aller sur la plage, ou dans les airs, mais tout ça c‘est encore le rêve, tout ça c’est encore de l’illusion, même les nouveaux mondes, même la nouvelle Terre dont certains se gargarisent encore en disant qu’elle est là, mais je crois que ceux-là ne voient pas clair, parce que si vous voulez voir le cauchemar tel qu’il est dans son architecture et surtout comme je disais dans son aspect invisible c’est-à-dire qui tient les ficelles, qui sont les Archontes.

Vous allez le voir, vous allez le vivre, là, très très très prochainement durant ce joli mois de Mai, et vous ne pourrez pas bien évidemment, et là bien évidemment je ne parle pas du signe céleste mais aussi de ce qui va se produire dans votre conscience, qui se produit déjà, où plus rien ne peut avoir de sens, et pourtant vous n’êtes pas déprimés, et pourtant vous n’êtes pas tristes non-plus et vous n’êtes pas non plus dans une joie exubérante, mais vous constatez que le rêve se déroule et que vous ne pouvez rien y changer, et que toute stratégie d’adaptation que vous pourrez mener ne fera que renforcer le cauchemar, ça c’est écrit et ça fait partie de l’Intelligence de la Lumière, n’y voyez aucune ombre ni aucune dualité.

L’éclairage de la Lumière, son Intelligence, de cette Lumière, doit être totale. Il ne doit plus rester le moindre coin d’ombre, le moindre coin qui ne soit pas éclairé. Et c’est l’éclairage qui est la compréhension, ce n’est pas de décortiquer la chaîne des Archontes, la chaîne des commandements ou qui sont ceux qui dirigent dans l’invisible même terrestre tout ce cinéma tout ce micmac comme vous direz, que vous observez de partout. Vous découvrez la Vie, et vous découvrez que vous n’êtes pas votre vie ni cette vie au sein de ce monde ni d’aucun monde et là vous êtes libres. Avant vous n’êtes pas libres, vous êtes encore conditionnés, par l’espérance d’un futur, par l’espérance d’une amélioration, par l’espérance de la fin et les événements apocalyptiques prophétiques que vous vivez, mais tout ça ne sont que des prétextes.

Encore une fois si vous ne le vivez pas pour l’instant, vous allez le vivre quand ça sera la guerre, quand ça va être la famine, quand ça va être les horreurs invisibles, des démons qui hurleront dans la nuit comme c’est écrit dans l’apocalypse de Saint Jean et chez nombre de prophètes dans toutes les cultures religieuses ou spirituelles. C’est comme ça que vous vous réveillez, et comme je l’ai dit, même si pour l’instant ça vous semble tragi-comique si je peux dire, tout cela finira par un grand éclat de rire. Certains d’entre vous ont déjà ri, parce qu’ils ont vu la mascarade, ils ont vu la Lumière, mais ils ont surtout vu et vécu qu’ils sont antérieurs à la Lumière et donc à toute forme. Vous voyez, il n’y a pas besoin d’évoluer, bien sûr pendant dix ans nous avions parlé de montée vibratoire et cette montée vibratoire même si nous n’en parlons plus, est effectivement ce qui vous immunisera des radiations létales qui vont être branchées sur la Terre, de la guerre, du virus, de l’animosité, des conflits, du manque.

Dès que vous êtes réveillé, vous êtes libres, même s’il vous semble manquer de liberté au sein de ce monde. La vraie liberté n’est pas de se déplacer dans ce monde ou de gagner de l’argent, ou de se faire plaisir, ou de faire l’amour, c’est d’être Amour. Et être Amour n’a aucune composante à voir, à faire, à comparer, avec ce monde comme avec tout monde. A partir de là vous jouez votre rôle, que vous avez écrit mais vous n’en êtes plus affectés, vous êtes comme disait Bidi, là, dans cette divine indifférence où tout est vous, réellement et concrètement, et comme tout est vous, vous ne pouvez pas vous juger vous-même, vous ne pouvez pas vous condamner vous-même, parce que tout ce qui est visible à l’extérieur est aussi à l’intérieur, c’est-à dire que les sacrifices d’enfants, le satanisme sont aussi en chacun de nous – dans notre constitution la plus basique, au niveau de l’ADN bien sûr.

Nous parlions tout à l’heure de l’ADN, de la cellule, en disant qu’il y avait aussi bien le temps zéro, l’information d’Agapè, que l’information du cauchemar, à parts égales, vous voyez.

Il n’y a personne à juger ou à condamner.

Il faut voir clair et traverser tout cela, même les choses les plus horribles, car c’est comme cela que vous aimez, que vous pardonnez – et c’est comme ça.

Comme le Christ le disait « si on te donne une gifle, tend l’autre joue », parce que la deuxième gifle va, elle, te réveiller définitivement du fait d’avoir cru recevoir une gifle puis deux gifles. Il n’a pas d’autre alternative. Je prends cette image et cette représentation parce que ce n’est pas nécessairement une métaphore ou autre, mais c’est très réel.

Quand vous en aurez marre de prendre des gifles, quand vous en aurez marre de voir les murs de la prison rétrécir, les fenêtres avec les barreaux disparaître, quand il ne restera plus rien, quand tout sera détruit du rêve, il ne restera que vous.

La destruction n’est qu’apparente. Elle met à nu la vérité, que ce soit la destruction de votre corps, la destruction de la société, la destruction de ce monde. Comment est-ce que ce qui n’est jamais né pourrait être détruit? Réfléchissez un peu. Si vous croyez être né, alors vous croyez mourir, c’est aussi simple que ça. Si vous acceptez que vous n’êtes jamais né, alors vous ne mourrez jamais. C’est logique, c’est imparable et c’est l’unique vérité.

Alors durant les jours, les quelques petites semaines qui vous restent jusqu’à fin mai, je vous invite, d’ailleurs vous le faites spontanément, après cette période exubérante de révélations, il convient de rentrer de plus en plus dans cette joie intérieure qui ne dépend d’aucun monde, ni de vous ni de votre personnage, ni de vos mémoires, ni de votre futur. C’est comme ça que vous vivez l’instant présent et le temps zéro. C’est dans le tohu-bohu, dans le chaos du monde que vous ont promis les guignols, que vous vous retrouvez. Il n’y a rien à juger, il y a juste encore une fois à accepter et à traverser.

Je dois dire que la partie exubérante de la révélation de ces dernières semaines va se faire avec plus de facilité maintenant, c’est-à-dire que vous n’y réagirez plus, vous n’aurez même plus envie d’en parler, parce que, je dirais, la coupe est pleine. Et quand la coupe est pleine, il faut la vider, il faut la boire. C’est la coupe amère, c’est celle qui précède effectivement la résurrection, cette fois-ci au niveau collectif et non plus individuel.

Soyez sereins, soyez tranquilles, que vous soyez enfermés dans votre appartement, que vous soyez immergés en pleine nature, ne fait aucune différence dorénavant. Il y avait certes des circonstances que vous aviez écrites, différentes pour chacun, mais aujourd’hui tous ces scénarios se rejoignent au temps zéro.

Le temps zéro dans cette année 2020 bien sûr et à partir du temps zéro, eh bien il n’y a plus rien parce que, qui voudrait encore jouer avec la conscience en vivant la Demeure de Paix Suprême ? Personne.

Ceux qui sont encore en train de projeter dans une nouvelle terre ou une nouvelle dimension n’ont pas vécu Shantinilaya. Ils ont vécu les vibrations, ils ont vécu le Feu du Cœur mais ils n’ont pas vécu la Paix de la conscience, c’est-à-dire la « a-conscience ».

Ils refusent la « a-conscience » comme toute conscience la refuse tant qu’elle ne s’est pas trouvée elle-même dans la supra-conscience et dans la « a »-conscience » elle-même.

Donc encore une fois, ne jugez rien.

Tout ce qui se déroule pour chacun, et même chez vous dans votre famille pour celui qui souffrirait le martyre ou qui serait dans une maladie mortelle pour l’éphémère, ça n’a aucune importance. Vous êtes exactement à la très bonne place pour le vivre, vous êtes exactement là où vous l’aviez écrit.

Ça répond aussi à la question, une des dernières questions « Pourquoi on n’a pas écrit un scénario plus sympa ? »

Mais le rêve est sympa et quand vous rêvez de quelque chose de sympa, vous le prenez pour réel. Par contre quand ça devient un cauchemar et qu’il y a des réactions, bien malgré vous ça participe à votre réveil.

Mais ne nourrissez pas les réactions.

Je vous dis tout ça par rapport à ce qui va se présenter à partir de la deuxième quinzaine de mai dans laquelle vous êtes et nous sommes rentrés, parce que nous sommes bien évidemment au plus proche de vous, ça vous le voyez partout, vous avez des informations partout sur notre présence dans les vaisseaux, que ce soit les vaisseaux mères de la dimension Mariale, que ce soit notre vaisseau des Melchisédech ou de toute la Confédération Intergalactique des Mondes Libres, qui viennent pour la résolution du rêve et de même que les archontes sont aussi là pour la résolution du rêve.

Et aucun rôle n’est supérieur à un autre parce qu’ils ont tous été écrits par et pour la même finalité, qui est le réveil au temps zéro et à la vérité, qui ne dépend d’aucun monde, d’aucune forme, d’aucun concept, d’aucune conscience et d’aucune vie passée au sein du rêve.

Il est temps de vous réjouir, oui.

Et cette réjouissance qui vous est promise deviendra de plus en plus évidente au fur et à mesure que vous vous aménagerez (et je crois que c’est facile dans cette période, même pour ceux qui ont des enfants) des moments d’intériorité. Je ne parle pas de méditation, je ne parle pas de prière, je ne parle pas de montée vibratoire comme nous avions fait voilà quelques années pendant de nombreuses années, mais simplement de ce silence, de cette acceptation totale de ce qui est, parce que vous ne pouvez rien y changer quoi que vous y fassiez.

Mais par contre, vous pouvez vous y retrouver. Et c’est pour ça que c’est comme ça et pas autrement.

Donc oui, chaque jour qui va se dérouler, je dirais pour ce mois de mai, mais ensuite le temps que durera cette année 2020, qu’elle aille jusqu’au 31 décembre ou que le temps zéro final arrive avant, ça n’a aucune espèce d’importance parce que vous voyez clair. Et plus vous voyez clair et plus vous êtes dans cette félicité, cette béatitude qui ne dépend d’aucune vision, d’aucune projection, d’aucune conscience, d’aucun personnage, et d’aucun monde. C’est extrêmement facile.

Vous voyez, si vous deviez retenir quelque chose de tout ce que je dis aujourd’hui, rappelez-vous, c’est extrêmement simple. Plus ça vous paraît compliqué, plus c’est simple. C’est le mental qui vous susurre cela. C’est les circonstances de votre vie, de votre corps, de ce monde, qui essayent de vous attirer, avec de moins en moins d’efficacité d’ailleurs, vers le sombre, vers la limitation, vers la souffrance, vers la douleur, vers l’horreur.

Mais tout ça n’est fait que pour éveiller, pour vous réveiller et participe comme vous le savez, avec l’exemple que j’avais pris du film dont on accélérait le défilement, ou on faisait marche arrière, on reculait le film si on n’était pas synchro. Aujourd’hui vous avez tous envie d’appuyer sur stop, c’est-à-dire fin du film. Alors la fin du film vous l’avez accélérée, vous continuez à l’accélérer sans bouger, sans rien demander, sans rien attendre, sans rien espérer, c’est-à-dire en étant parfaitement présents à ce que vous vivez dans l’instant où vous le vivez, ni plus ni moins. Que ce soit en allant faire vos courses, que ce soit, même si ce n’est pas la saison, en taillant vos rosiers, en écoutant le chant d’un oiseau, en écoutant un frère une sœur … soyez vrais.

Vous n’êtes rien de tout ce qui se dit, vous n’êtes rien de tout ce qui vous traverse, vous n’êtes aucune forme que vous voyez, vous n’êtes aucun monde que vous voyez. Vous êtes libres. Réellement et concrètement. Il vous reste simplement à l’accepter et c’est quand même curieux que ce soit dans ce monde – où bien évidemment, ce que j’ai nommé l’asservissement des méchants garçons et les plus patents les plus visibles, les plus contraignants – que vous avez et que vous devez, parce que vous n’avez pas d’autres possibilités, vous tourner vers vous-mêmes et vivre la vérité.

Donc ne jugez pas les apparences, ne jugez personne parce que celui qui sacrifie un enfant, c’est aussi vous dans une autre vie, à un autre moment, dans un autre espace-temps, dans un autre agencement de l’Intelligence de la Lumière. Vous voyez, c’est réellement comme cela. Alors bien sûr, une fois passés les premiers effrois, les premiers faits d’être offusqués, d’être ébranlés, vous comprenez que plus rien ne peut vous ébranler parce que vous avez toujours été là, indépendamment de ce que joue votre personnage, indépendamment de ce que joue ce monde.

C’est un jeu, certes morbide, mais c’est un jeu.

Ça n’a aucune substance, je répète, ça n’a aucune prolongation. C’est le moment où la scène finale, comme dirait Tête de Caboche, se dessine chaque minute chaque heure chaque jour un peu plus, et vous renvoie bien évidemment, comme je l’ai dit, aux prophéties, mais avant tout, vous renvoie à vous-même au-delà de toute responsabilité, au-delà de toute culpabilité. C’est ces événements, ces faits réels qui se déroulent en ce moment, qui se sont déroulés sur cette terre à l’abri de la lumière, qui sont éclairés. Et c’est une grande joie. Ce qui veut dire par là que, même si vous souffrez de façon extrême, de par les révélations, de par votre vide, de par votre corps, de par vos relations, cette souffrance extrême ne peut que se terminer, se solutionner, par Agapè.

Et c’est comme ça pour tout un chacun et vous l’avez constaté peut-être autour de vous et vous le verrez de plus en plus. Alors bien sûr, l’agencement de cette moitié de temps des deux temps un temps la moitié d’un temps et l’émergence de ce qui est nommé dans l’Apocalypse de Saint-Jean la deuxième bête, est exactement ce que vous jouez en ce moment.

La bataille qui est décrite de tous contre tous dans l’Apocalypse de Saint-Jean a démarré. Pour l’instant elle n’est pas encore à son acmé, mais c’est ça qui est en train de se dérouler durant ce mois de mai. Mais c’est aussi l’acmé de votre redécouverte, c’est l’acmé de la possibilité de vous retrouver, d’être ce que vous êtes en vérité au-delà de la forme et de la conscience. Vous voyez, c’est dans ses aspects les plus sombres, les plus lugubres de la prédation de la conscience que vous découvrez que vous n’êtes pas la conscience, et que vous êtes antérieurs à elle, et vous le vivez. C’est ça qui va vous êtes promis.

Alors soyez toujours dans cette acceptation, cet accueil.

Et maintenant, je crois que beaucoup de choses ont été éclairées sur ce monde. Il n’en reste qu’une, vraiment, c’est je dirais la tête pensante, ce qui est nommé « la bête », la première comme la deuxième, de l’Apocalypse. C’est les rouages intimes machiavéliques et totalement anti-vie et anti-rêve de ce cauchemar. Mais le cauchemar met fin au rêve, le rêve ne met jamais fin au rêve. Bien sûr vous vous réveillez le matin, mais là il ne s’agit pas de se réveiller le matin.

Il s’agit de se réveiller de toutes ces histoires d’alternance, jour et nuit, homme et femme, c’est l’androgynat primordial.

C’est le retour à l’unité vécue intérieurement, quoi que dise le personnage, quoi qu’il gesticule, quoi qu’il souffre ou quoi qu’il ait comme argent ou comme mari ou femme, peu importe.

Vous voyez, c’est comme ça que vous allez vraiment le vérifier à chaque minute de votre vie et donc, c’est une invitation au recueillement, à rentrer en soi, qui n’est ni prière ni méditation ni demande, mais qui est don de soi, c’est-à-dire acceptation de se donner intégralement et de se livrer à la Vérité, afin d’être délivré de l’illusion.

C’est tout ça que vous allez jouer dans les jours et les semaines qui viennent. Alors bien sûr, je reviendrai, je ne sais pas quand encore, mais après ce mois de mai courant du mois de juin, en fonction du scénario qui s’est joué bien sûr et Bidi viendra après moi aujourd’hui pour vous dire je pense la même chose, mais de façon différente n’est-ce-pas. Mais soyez assurés que plus ça va devenir horrible, et c’est le cas, plus ça va devenir horrible dehors, que ce soit l’activité élémentaire, que ce soit l’activité de la société et de ceux qui pensent contrôler encore un peu la société, ça va être catastrophique. Mais ce catastrophique vous renvoie à la légèreté d’Agapè.

Quand vous en aurez marre de souffrir, eh ben à ce moment-là vous vous tournerez vers la vérité.

Quand vous en aurez marre de projeter des instants meilleurs plus tard, vous vous tournerez vers la vérité.

Quand vous en aurez marre de manquer de quoi que ce soit, vous vous tournerez vers la vérité.

Quand vous en aurez marre de vous battre contre votre mental, votre ego, vos histoires, vos personnages et ce qui est révélé, vous vous tournerez vers la vérité. Elle sera là d’elle-même. C’est ça aussi ce basculement.

C’est bien plus qu’un retournement dehors-dedans ou haut-bas et droite-gauche, c’est bien plus que cela. C’est voir qu’il n’y a jamais eu dedans ni dehors, qu’il n’y a jamais eu horrible et qu’il n’y a jamais eu joie, qu’il n’y a jamais eu peur, qu’il n’y a jamais eu tristesse, mais que tout ça ne faisait que passer, réellement et concrètement.

Alors je vous invite dans ces quinze derniers jours de mai à rentrer le plus possible en ce silence intérieur, qui n’est pas le silence des mots, qui n’est pas le silence de vous renseigner sur ce qui se déroule, mais qui est un silence d’acceptation, un silence qui vous conduit à la béatitude de l’instant, vous voyez. Et plus ça va être chaotique, et je vous assure que ça va l’être, plus vous allez être joyeux, plus la mascarade finale et de ceux qui tirent les ficelles va vous être révélée, plus vous allez en rire, parce que c’est effectivement quelque chose de très risible dans tous les sens du terme.

Alors je vous dis, moi, quant à moi, je viendrai vous voir après ce mois de mai, encore une fois en fonction des signes célestes et des signes humains, afin de vous démontrer par ma prochaine venue que, effectivement ce que je vous dis aujourd’hui est en train, réellement, concrètement dans ce plan, en train de se passer.

Alors ne me faites pas dire que j’ai donné une date, parce que chaque jour dorénavant est LA date, pour chacun de vous, en chaque minute, vous avez toutes les possibilités de vous tourner dedans à condition de ne plus nourrir quoi que ce soit d’extérieur.

Bien sûr il faut nourrir ce corps, si vous le pouvez, bien sûr il faut vous nourrir aussi de ce que vous avez comme fonction dans votre famille, dans votre vie, dans la société.

Mais vous savez que votre royaume n’est d’aucun monde, ni de ce monde, parce que vous êtes véritable, et qu’à partir de là, toutes les explications qu’on pourrait vous soumettre, que ce soit sur les rouages de l’univers, des dimensions, ou les rouages de l’occulte au sein de ce monde, ne font aucune différence.

Vous demeurez im-mu-ables dans ce silence intérieur qui est pure extase et pure béatitude.

Vous êtes d’ailleurs nombreux à le vivre, comme vous l’a abondamment dit, écrit, Mâ Ananda Moyî, elle vous l’a expliqué ou encore Gemma Galgani. Tout ça, ça a été expliqué que la façon d’y arriver c’était la petite voix, c’est-à-dire l’humilité totale. Vous ne pouvez rien changer à ce qui est et c’est comme ça que tout ce qui s’agite vous fait découvrir l’immuable que vous êtes.

Vous êtes la Voie la Vérité et la Vie. Vous êtes au-delà de ce monde comme de tout monde. Et vous êtes surtout antérieurs à tout monde et vous êtes à la fois tous les mondes et toutes les consciences.

Ce n’est pas un concept, c’est une compréhension et un vécu qui va se faire de plus en plus – prenant je dirais, par rapport à votre vie quelle qu’en soit l’importance affichée ou la futilité affichée, si vous êtes sans travail, sans profession, sans activité, peu importe. C’est exactement ce en quoi vous participez, à la fois au rêve mais aussi à la co-création consciente qui vous permet de ne plus être dupe de la création elle-même.

C’est Shantinilaya, c’est cette unité et c’est cet état christique qui ont été tant décrits par certaines étoiles que vous êtes, et nous le voyons, de plus en plus nombreux à toucher, à vivre et à installer.

Retenez que plus vous acceptez de voir, plus vous acceptez cette horreur, ce qui ne veut pas dire consentir, ce qui ne veut pas dire simplement ne pas réagir, mais c’est réellement digérer toute cette mascarade, un petit peu comme vous le faisiez avec les bains d’Amour Perpétuel, avec les Agapè Résonance Spatiale Interdimensionnelle, ou les Agapè de Cœur à cœur, comme cela a été expliqué par Abba, à un moment donné il n’y a pas d’émetteur, il n’y a pas de récepteur.

Vous êtes l’espace entre l’émetteur et le récepteur, et vous englobez l’émetteur et le récepteur puisqu’il n’y a personne.

Tout est prétexte dans votre vie, tout est prétexte sur l’écran du monde, que ce soit à travers vos médias officiels qui ont tous des nez rouges, ou que ce soit les vraies informations de vos réseaux sociaux. À un moment donné, et vous êtes à ce point-là, vous ne pourrez plus trier, je dirais, le vrai du faux, parce que ce qui est faux comme ce qui est vrai n’est pas réel.

À ce moment-là vous comprendrez que ça ne sert à rien. Le travail que vous aviez mené, qui a été utile, aujourd’hui ne sert plus à rien. Tout le monde qui devait être informé de la mascarade l’est. Ceux qui ne veulent pas le voir, dorénavant attendront le signe céleste de ce mois de mai, je précise 2020, ce signe céleste qui est déjà visible devant vos yeux mais qui va s’amplifier bien sûr.

Bien sûr, tout ça va être accompagné de tout ce que je vous ai dit au niveau de l’activité des éléments, mais aussi des symptômes particuliers au sein de vos corps, de votre cœur, ça brûle.

D’autres ne brûlent plus, ils ont déjà tout consumé. Ceux-là sont en paix totale, quoi qui leur arrive, quoi qu’il arrive au monde, quoi qu’il arrive aux signes célestes. C’est à vous qu’il appartient de, non pas vous juger, mais de vous apprécier et de vous mesurer sans juger, à l’intensité de votre quiétude, à l’intensité de votre tranquillité. Vous mesurez la vérité que vous vivez.

La vérité est une et absolue. Bien sûr elle apparaît d’un coup mais il y a effectivement une gradation entre ce à quoi vous adhérez encore en ce monde, quel que soit ce que vous voyez, et la vérité qui n’est d’aucun monde. Et en chacun de vous, ça se joue en ce moment-même de façon intense je dirais et surtout dans les deux dernières semaines qui vous restent à parcourir durant ce mois de mai.

Voilà ce que j’avais à dire. Je ne vais pas m’éterniser avec vous et je crois que derrière moi, mais après une petite pause, vous aurez Bidi qui va venir vous souffler dans les oreilles et dans les cœurs.

Quant à moi je vous transmets toutes mes bénédictions, tout mon accompagnement et toute ma paix pour traverser ces quinze jours de mai qu’il vous reste.

Je vous transmets aussi la bénédiction de l’ensemble de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres en tant que grand Commandeur des Melchisédech.

Soyez en paix, soyez assurés que tout ça est un rêve, et vous allez en avoir l’assurance tout simplement durant ces quinze jours de mai effectivement, très intenses intérieurement comme extérieurement.

Je vous dis à bientôt, au mois de juin …

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