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O.M. AÏVANHOV
(En Direct)

2 Août 2022

Elisa s’adresse aux participant(e)s espagnols pour débuter.

Elisa : Eh bien, oui. On est toujours en vacances avec Jean-Luc, ici, à Malaga. Et on a le plaisir de passer en direct, le dernier jour de ce groupe, avec une canalisation pour clôturer donc le deuxième groupe de vacances, avec OMA. Donc, je vous laisse avec OMA et Jean-Luc. Voilà. Bonne cana !

Jean-Luc : Bien, bonjour à tous. Bien, je vais me préparer pour accueillir OMA, on attend que plus de gens arrivent, pour l’instant vous êtes vingt. Ça va rentrer au fur et à mesure.

(Jean-Luc rigole concernant la caméra, il ne la veut pas trop près pour ne pas voir les défauts du visage. (Rires))

Si tu as des questions, là (montant l’ordi), tu seras obligé de me retirer le micro et le remettre.

Bien, ça continue à rentrer et on accorde encore une à deux minutes.

Omraam va rester à peu près deux heures, deux et demie. Il a plein de choses à dire d’ailleurs. Et en particulier, par rapport à ce que j’avais demandé moi-même, par rapport à l’événement On Line.

Alors, ça continue à rentrer, encore une petite minute et je laisse la place à Omraam. Vous m’entendez bien, pas de problème, le son est bon ? Quelqu’un peut me dire si vous entendez bien, vous pouvez l’écrire en tout cas. Merci, le son est bon, merci Marilyne.

Alors, je vois qu’il y a des amis, des frères, des sœurs qui étaient là aussi pendant l’événement privé, comme on a appelé. Le On Line, je crois que Pépère a aussi des explications à nous donner par rapport à ça.

Alors, une fois que Pépère aura bien évidemment parlé, alors, vous pourrez, sur Youtube, sur le chat, poser des questions, quand le moment sera venu. S’il-vous-plaît, ne les posez pas maintenant de manière à ce qu’Elisa n’ait pas à les noter, mais à les lire au moment où Omraam demandera, donnera la parole pour les questions, d’accord.

Alors, bien, moi je vous dis à plus tard. Je vais me préparer pour Pépère. Tout est paré.

(Jean-Luc vaporise son truc dans sa gorge, au cas où.) Le verre, s’il a soif, est là.

Bien, allez, c’est parti.

O.M. Aïvanhov

Eh bien, chers amis, je suis extrêmement content de vous retrouver dans cet événement qui, cette fois-ci, est publique.

Alors, bien sûr, j’ai plusieurs choses à vous dire. La première est concernant l’événement privé. Et je sais que certains parmi vous, ont dû se sentir, peut-être frustrés ou mis à l’écart. Ce que vous devez comprendre, c’est que ces rencontres en ligne ont permis d’avoir un nombre extrêmement limité de frères et sœurs. Vous savez que quand je parle en direct, et en particulier sur Facebook, sur vos réseaux sociaux, vous êtes parfois des milliers, soit en direct, soit à écouter ou soit à lire les transcriptions. Il s’agit, bien sûr, d’événements publics.

L’événement privé que nous avions organisé durant cette semaine est conjoncturelle. Elle était liée à des circonstances particulières et Tête de Caboche a eu cette idée, que je lui ai inspirée, concernant un événement où vous ne deviez pas être beaucoup, pour une raison qui est très simple. Parce que vous étiez en direct pour ceux qui étaient là.

Vous étiez en ligne et nous étions, ce petit groupe, parce que nous étions, je crois, moins de cinquante, a permis de créer un champ informationnel du Temps Zéro. Et a permis aux frères et aux sœurs qui étaient en direct, de vivre au fur et à mesure des jours, l’installation dans le Temps Zéro et de vivre l’immensité de l’Éternité sans aucun effort.

Ça c’est possible quand vous êtes en petit nombre et que vous êtes tous attentifs à ce que je dis. Ce qui est profondément différent quand vous êtes des milliers ou des centaines, parce qu’à ce moment-là, c’est strictement impossible à obtenir. Bien sûr, parmi vous certains ont été à des rencontres physiques où là, en petit groupe, il est beaucoup plus facile de vivre cette Résonance du Cœur au Temps Zéro et d’installer les présences dans l’éternité et son immensité de la Présence et de l’Absence.

Voilà donc, je dirais, la justification essentielle de cet événement qui a été appelé, je crois, On Line ou En Ligne si vous préférez. C’est de fédérer un champ de conscience unifiée, afin que je puisse impulser, parce que j’étais le premier à parler après Tête de Caboche, le matin. Et donc, à instaurer réellement, un champ informationnel, qu’on appelle le Temps Zéro ou l’Ici et Maintenant, et de permettre à chacun qui était disponible, en ligne, de vivre exactement la même chose.

Et, un peu plus tard, quand je vous laisserai la parole, je pense que j’ai ici dans cet événement public, des frères et des sœurs, qui étaient présents durant cet événement qui n’avait rien de secret. D’ailleurs, je n’ai rien dit d’autre qui vous intéresserait. Nous n’avons fait que parler, les uns et les autres, de l’Instant Présent. Nous n’avons fait que témoigner, durant ces trois jours et demi, de ce qui se vivait au sein de l’Instant Présent, et bien sûr, tout cela avait été répété depuis des années.

Donc, il n’y a aucune information nouvelle qui est apparue, mais simplement un vécu nouveau et profondément différent de ce qui peut se passer dans un événement public, et que certains frères et sœurs vivent, je m’en rappelle, lors des rencontres physiques particulières.

Ça ne se produit pas à toutes les rencontres physiques, mais par exemple, ce que nous avons vécu quand je me suis retrouvé avec Tête de Caboche en particulier au Québec, où le même champ ultime acausal, si vous préférez, Ici et Maintenant, a été créé au sein d’un groupe. Bien sûr, il y avait des directs, mais ceux qui étaient à l’écran avec nous en direct, n’ont absolument pas vécu ce que nous vivions quand nous étions en direct.

Et l’événement qui a été vécu cette semaine, dont vous n’aurez d’ailleurs aucune trace parce ça doit rester privé, et même si on le diffusait, ça ne servirait strictement à rien. Parce qu’il y a eu beaucoup d’échanges, de témoignages de vécu. Et ce n’est pas parce que vous entendez du vécu que vous allez le vivre, bien évidemment. C’est parce que nous étions réunis, par ce fil conducteur à travers un réseau particulier, sur un endroit particulier et privé, que ça a pu se produire. Et ça ne peut se produire que dans une petite assemblée. S’il y avait eu cent personnes, il ne se serait rien passé.

Du fait que nous étions un petit nombre, ça a permis, effectivement, à beaucoup de frères et sœurs présents, de se rapprocher de ce qui était l’Instant Présent, et pas seulement d’entendre des mots, pas seulement d’entendre des témoignages, mais réellement de le vivre. Et ça, c’est fondamental aujourd’hui, parce que nous ne sommes plus dans le temps, et je l’ai déjà dit, des enseignements. Nous ne sommes plus dans le temps où il faut cogiter. Nous ne sommes plus dans les temps où il faut se raconter des histoires comme nous les avions racontées, voilà une dizaine d’années.

Le temps est au Grand Silence. Je l’ai répété suffisamment de fois, pour accueillir ce qui est en l’Instant Présent. Et cet événement On Line a permis aux frères et aux sœurs présents, et j’espère qu’ils pourront peut-être témoigner un peu plus tard par écrit, de ce qui a été vécu, bien sûr. Mais, ce n’est pas possible de vivre ça en le réécoutant si vous n’étiez pas présents. Ce n’est possible que pour un petit groupe parce que ce n’est pas possible à réaliser sur des milliers de personnes.

Parce que sur des milliers ou des centaines de personnes, chacun est préoccupé, chacun a des problèmes, mais n’est pas capable de s’isoler vraiment au sein de l’Instant Présent. Alors que, aujourd’hui en petit groupe, que ce soit physiquement ou dans un événement qui n’est pas retransmis en public, il y a donc une réelle possibilité et un réel quelque chose qui est vécu. Ce n’est pas simplement compris ou quelque chose que vous savez, c’est quelque chose qui est vécue.

Voilà, pourquoi vous n’aurez pas d’écho de ce qui s’est passé durant ces quelques jours parce que ça ne concerne que le vécu et que c’est quelque chose qui est profondément intime et personnel, non pas à l’égrégore d’un groupe quel qu’il soit. Ce n’est pas une question de secret ou de secte. C’est simplement une question d’être dans la même résonance, dans le même silence et dans le même vécu. Et en ce sens, comme les frères et les sœurs, peut-être qui sont présents aujourd’hui, en témoigneront, c’est exactement ce qui a été vécu et l’objectif a été rempli.

Voilà pourquoi, il y a eu ce côté un peu mystérieux. Alors bien sûr, après, les histoires d’argent, ça concerne les organisateurs et tout ça c’est indispensable parce que si c’était gratuit, vous auriez été des milliers à vouloir venir. Et l’argent, toutefois, ne doit pas être un frein à cet événement. D’ailleurs, ceux qui avaient des problèmes financiers, je crois, l’on dit aux organisateurs. Et il y a eu des actions qui ont été faites, en ce sens.

Mais je crois qu’aucun des frères et sœurs qui ont participé à cet événement avec Tête de Caboche, avec moi, avec Bidi, avec Abba, ne le regrettent, parce que c’était un moment, effectivement, très privilégié. Mais nous ne pouvons pas donner cet aspect privilégié, ces moments uniques, dans un groupe qui serait constitué de centaines de personnes. C’est strictement impossible parce qu’il y a des raisons énergétiques, parce qu’il y a des raisons surtout de conscience et d’attention à ce qui est dit dans l’Instant Présent par les uns et par les autres.

Voilà donc, ce que je voulais dire tout d’abord. Ensuite, autre chose d’extrêmement important avant d’échanger avec vous.

Pour ceux qui s’intéressent à ce qui se passe au niveau géophysique, et je crois que nous avons déjà eu l’occasion d’en parler la semaine précédente, nous sommes rentrés depuis quelques jours dans les événements ultimes de la scène de théâtre, objectivement et concrètement. Regardez la société, regardez le soleil, regardez les volcans, regardez les mouvements de la Terre, la rotation de la Terre commence à être altérée.

Il y a une phase réelle d’accélération de rotation de la Terre qui est le préalable au basculement des pôles qui, comme je l’ai déjà dit, est en cours. Cela peut survenir d’un instant à l’autre comme survenir seulement dans plusieurs mois. Mais, sans aucun doute possible, vous êtes dans les événements géophysiques, sociétaux, qui ont été décrits par tous les prophètes. Cela doit entraîner une seule chose en vous et une seule. Vous n’avez à vous prémunir de rien. Vous avez simplement à accueillir, dans le Silence, tout ce qui se passe, que ce soit dans vos rêves, que ce soit dans votre vie avec le conjoint, avec la société, avec votre travail.

Parce que la Vie vous met au défi d’être la Vie. La Vie vient vous bousculer dans vos dernières illusions, par exemple spirituelles, par exemple de vous croire soumis à un dieu, à un diable ou des informations que pourrait dispenser un être de Lumière, quel qu’il soit et même moi, qui ne suis pas un être de Lumière mais qui suis dans ma dimension en attendant comme vous. Vous voyez ? Donc, vous ne devez dépendre de personnes.

Tout ce que vous avez à vivre, les uns et les autres, dans cette période de basculement de la conscience, comme Uriel a pu l’exprimer voilà de nombreuses années, est le Grand Silence de l’Accueil, de l’Acceptation et, comme le dit Tête de Caboche aussi, de la résignation à ce qui est, parce que vous ne pouvez changer une virgule du scénario qui est en cours pour vous, à titre individuel comme à titre collectif.

Et la façon de vivre cela et la façon, je dirais, la plus sereine, la plus joyeuse n’est pas de discuter, de savoir si c’est vrai ou pas, bien sûr. Les preuves abondent de partout. Elles sont aussi présentes en vous qu’à l’extérieur, quels que soient le déni, la colère, que vous pouvez exprimer, cela ne changera pas ce que vous avez, et ce que nous avons, à traverser dans les heures, les jours, les semaines ou peut-être les mois, à venir. Comme vous le savez, personne ne connaît la date.

Mais il y a des marqueurs temporels, des marqueurs sociétaux, des marqueurs prophétiques qui sont, effectivement, en cours de réalisation et qui s’accélèrent, comme je l’ai toujours dit, de jour en jour. Et parallèlement à ça et je reviens là-dessus, vous avez des frères et des sœurs qui vous emmènent en dehors de vous en vous promettant, pour vous éviter la peur, que demain vous serez un Élohim, un être de Cristal, que vous allez ascensionner et que les souffrances vont toutes être guéries. Mais rendez-vous compte de l’escroquerie. Cette escroquerie va être de plus en plus présente plus les jours vont passer, parce que, bien évidemment, il y a une forme d’angoisse de l’inconnu.

Même chez les frères et sœurs qui vivent l’Absolu aujourd’hui, qui vivent l’État Naturel, il y a, bien sûr, cet égrégore monumental des peurs de l’inconnu qui va toucher tout un chacun sur cette Terre et dans l’ensemble de la création. Et retenez que vous n’aurez aucune autre solution que de vous taire, que de ne plus vous questionner et simplement d’être là, entièrement présents sans rien demander, sans rien attendre et vous rendre compte par vous-mêmes qu’à ce moment-là, comme dans l’événement que nous avons créé, privé, d’être dans l’Instant Présent. La clé, elle est là, même si vous ne le savez pas encore.

Et tous ceux d’entre vous qui se laissent emmener par des scénarios, des délires avec les archanges, avec les Melchizedeks, avec encore parler des Étoiles et de tout cet enseignement passé, sont, et je le répète avec force, des escrocs.  La personne qui ne vous parle pas de l’Instant Présent, aujourd’hui, n’a rien compris et rien vécu de ce qui est en train de se vivre. Ils sont dans un délire et cela va vous apparaître de plus en plus clairement. Alors, s’il-vous-plaît, vous aussi, ne soyez pas dans le délire de vous projeter dans un après, où que soit cet après. Il n’y a pas d’après.

Il est temps de vérifier par vous-mêmes tout ce qu’ont pu dire certains êtres et que nous vous disons nous aussi dans ce qui se déroule au sein du rêve, il n’y a pas de place pour un autre rêve. Il n’y a pas de place pour être ailleurs que là où vous êtes, Ici et Maintenant, dans la situation de votre corps, de votre vie à tous les niveaux. Si vous réalisez cela et que vous acceptez sincèrement cela, eh bien, vous vivez l’État Naturel. Vous n’avez rien à chercher et vous n’avez, comme je le dis et je le répète encore une fois, rien à vous prémunir. Celui, par exemple, qui ferait des provisions, celui qui chercherait un avantage quelconque sur les événements qui se déroulent, va souffrir.

Je l’ai dit depuis des années, l’Amour ou la souffrance. Mais bien sûr, la souffrance débouchera aussi sur l’Amour. Mais il faut être vraiment borné, stupide, idiot pour rester dans des croyances quelles qu’elles soient. Vous n’êtes rien d’autre que ce qui est présent. Arrêtez de parler de qui vous étiez ou de qui vous serez. Tout ça c’est un délire puisque la Vérité est accessible, le Réel est accessible dès que vous faites le Silence en vous, quelle que soit la situation que vous allez affronter, parce que vous allez tous affronter, sans aucune exception, des événements choquants, même dans votre vie, même ceux qui sont dans l’État Naturel aujourd’hui.

Vous devez être ébranlés dans vos dernières illusions de vous croire, quelque part, encore un personnage ou venant d’une histoire passée ou venant d’une origine stellaire. C’est fini tout ça. Et si vous acceptez que tout est dans l’Instant Présent, sincèrement comme je l’ai dit, alors vous le vivez. Vous ne pouvez pas vous échapper. Et si vous vous échappez dans des délires spirituels, de nouvelle Terre et je dirais même des Confédérations Intergalactiques des Mondes Libres, ou si vous essayez de vous projeter dans un monde où tout est lumière, je peux vous dire que vous êtes en train de vous mettre le doigt dans l’œil ou autre part d’ailleurs, mais que vous n’êtes pas dans le Réel.

Et que vous ne pouvez, dans ces circonstances, à aucun moment, bénéficier de la Grande Joie du Silence, de l’Instant Présent, de l’Acceptation, bref, de la Vérité et de ce qui est Juste. Et vous allez souffrir, chaque jour un peu plus, si vous lisez des délires, vous allez être emmenés dans les délires. Tout ça pour éviter de voir la peur de l’inconnu. Nous vous en avons parlé pendant des années. Rentrez en colère, si vous voulez, par exemple, ceux qui se sont fait avoir par des histoires spirituelles. Rentrez en colère si vous devez rentrer en colère. Mais juste derrière, il y a un grand éclat de rire cosmique.

Je vous assure que chacun d’entre vous peut le vérifier. Et ça, je le dis en public, vous n’avez pas besoin d’être dans un événement privé, si vous êtes honnêtes avec vous-mêmes, vous n’avez besoin de personne. Si vous êtes honnêtes avec vous-mêmes et que vous arrêtez de vous projeter dans je ne sais pas où, alors vous vivrez l’État Naturel. Et si vous ne le vivez pas aujourd’hui, vous ne pouvez-vous en prendre qu’à votre personnage que vous n’êtes pas. C’est-à-dire que vous n’avez toujours pas compris, et encore moins vécu, que vous n’êtes rien de ce personnage avec son identité terrestre.

Ça ne veut pas dire qu’il faut la refuser. Ça ne veut pas dire qu’il faut l’ignorer. Ça veut dire qu’il faut la traverser et accepter que, quelles que soient les tares, quels que soient les défauts de votre personnalité, si vous vous placez un tout petit peu en recul et que vous restez dans le Silence, dans le Grand Silence, alors, vous allez rire de tout ça. Sinon, vous allez vraiment pleurer et vous allez pleurer chaque jour de plus en plus parce que vous vous éloignerez de vous-mêmes. Et n’accusez pas les circonstances. N’accusez pas ce qui se passe dans la société. N’accusez pas votre mari, votre femme ou n’importe qui.

Vous êtes le seul responsable et il n’y a pas d’autre façon de découvrir l’Autonomie et la Liberté, et aussi, pour beaucoup, l’Humilité et la Simplicité. Arrêtez de vous prendre pour ceci ou cela. Soyez simplement l’identité éphémère que vous avez. Vous avez un nom et un prénom et vous avez tous la même possibilité d’être Ici et Maintenant. Et c’est très simple. Si vous avez l’impression de ne pas le vivre ou si vous ne vivez rien, à ce moment-là c’est que tout simplement, vous avez encore, en arrière-fond, l’idée d’être un personnage et vous êtes encore en train de rêver.

Mais, je répète, la Vie va vous taper dessus jusqu’au moment où vous serez en Silence. Il n’y a que le Silence qui vous permet de traverser ce qu’on a nommé le Grand Silence, ce n’est pas seulement le silence des mots, c’est une attitude intérieure, d’accueil inconditionnel de ce qui est et avant tout de vous-mêmes, avec l’âge que vous avez, avec l’identité que vous avez, avec les problèmes que vous avez parce que c’est la seule façon de vérifier que ce n’est pas vrai.

Et tout dans la vie, dans les jours, les heures qui viennent, que ce soit sur la scène de théâtre ou dans votre vie personnelle, va venir vous montrer et vous démontrer cela, jusqu’à ce que vous capituliez de toute prétention spirituelle, vibratoire, énergétique, de futur ou de passé. La Vie va vous ramener de toutes les manières possibles, surtout que les mouvements de la Terre sont, maintenant, de plus en plus perceptibles au niveau de ce qu’on appelle les oscillations de la Terre, la dérive du pôle magnétique, du pôle Nord, mais aussi les changements de vitesse de rotation de la Terre.

Voilà très longtemps, que nous avions dit, à un moment donné, la Terre va s’arrêter. Mais avant de s’arrêter en quelques jours, il faut d’abord qu’elle accélère pour que le pôle Nord magnétique atteigne le point de bascule. Vous êtes dans ce point de bascule et je dirais que personne ne peut échapper à ce qu’il a écrit. Mais encore faut-il voir que ça été écrit. Et pour cela vous devez arrêter de vous projeter quelque part. Il faut que vous soyez le plus possible dans l’Instant Présent, quelle que soit votre vie, que vous soyez en train de travailler, que vous soyez en train d’élever des enfants, quel que soit votre âge, il faut vous ménager des moments de Silence.

C’est-à-dire, des moments de disponibilité, quoi que vous ayez à faire. Et le plus important, je vous assure, c’est cela. Tout le reste est, comment vous dites, c’est du pipi de chat, ça ne sert strictement à rien, si ce n’est à vous éloigner de vous-mêmes et à vous emmener dans des zones de souffrance, d’inconfort et de mal-être. Alors que tout est disponible, absolument tout, l’État Naturel, l’Absolu, le Parabrahman, vous l’appelez comme vous voulez, il est là ! Nous vous l’avons toujours dit, au milieu de votre poitrine, au Cœur du Cœur. Et si vous ne le vivez pas aujourd’hui, vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-mêmes.

Il n’y a pas de stratégie qui dit : ‘’Ah mais je ne suis pas prêt. Ah mais je n’y crois pas.’’ Ça ne tiendra pas. Et vous ne pourrez jamais vous présenter à vous-mêmes ce genre d’excuses. Vous êtes, vous vous mentez à vous-mêmes. Quand vous êtes en train de vous projeter dans une nouvelle Terre, quand vous suivez des channels ou des médiums qui vous emmènent dans un lieu où il n’y aura plus de souffrance. Mais le seul lieu où il n’y a plus de souffrance, c’est quand vous êtes vous-mêmes. Vous êtes têtus pour beaucoup d’entre vous, vous êtes encore en train d’imaginer des scénarios spirituels.

Vous êtes encore soumis aux histoires qu’on vous raconte. Arrêtez d’écouter toutes les histoires. Il y a, réellement, dans l’illusion du temps, une urgence à vous taire. Une urgence à vous retrouver. Vous n’avez pas besoin de scénario, de costume et d’histoire, pour vous retrouver. Ce n’est pas vrai. Bien sûr, qu’à un moment donné, nous vous avons raconté des histoires pour mettre fin à l’histoire. Je l’ai dit et je le répète encore à nouveau, mais aujourd’hui, tout ça c’est fini. Il n’y a plus aucun scénario qui tienne.

Occupez-vous de votre cœur et non pas de ce qu’a dit Pierre, Paul, Jacques, et non pas de ce qui va se passer demain ou de ce qui s’est passé hier. Tout ça, ce ne sont que des stratégies du personnage et de l’ego pour vous empêcher de vous retrouver. Vous voulez vous retrouver ? Vous voulez vivre la Béatitude qu’ont vécue les frères et les sœurs durant l’événement privé ? Alors, fermez-la ! Fermez toutes vos écoutilles, sauf celles du cœur. Restez silencieux. Observez ce qui se passe dans le Silence. Observez même ce qui se passe, si vous avez une vie très active. Ménagez-vous des moments où vous n’avez rien à faire.

Je ne parle pas de méditer pour s’évader. Mais prenez des moments pour rentrer en relaxation, appelez ça méditation si vous voulez, mais prenez des moments où il n’y a rien. Rien de rien. Et là, vous verrez ce que vous allez vivre. Voilà le meilleur conseil que je voulais vous donner d’ores et déjà, parce que vraiment et encore depuis vingt-quatre heures, les choses se sont grandement accélérées. Il y a, bien sûr, des dates plus ou moins propices à l’Événement et vous allez le constater durant les jours, les semaines qui viennent. Mais l’événement le plus important, c’est vous-mêmes.

Et tant que vous êtes en train de délirer avec vos histoires spirituelles, vos histoires de vibration, vos histoires d’énergie, là vous n’êtes pas prêts de vivre la Béatitude et la Sérénité. Alors que cette Béatitude et cette Sérénité vous tendent le Cœur, vous tendent les bras, si on peut dire. C’est tellement évident, pour les frères et les sœurs qui le vivent. Et si pour vous, ce n’est pas évident, c’est que quelque part dans votre tête, vous êtes encore trop tordus. Vous êtes encore tellement dans le rêve, tellement dans l’illusion spirituelle, tellement dans les projections avec un quelconque futur, que vous n’avez pas vu que vous étiez déjà là.

Et ça, il n’y a personne d’autre de responsable que vous, ça été écrit, j’ai le droit de vous dire ça. Arrêtez de souffrir. Arrêtez d’imaginer des choses. L’imagination fait très mauvais ménage avec le Réel, surtout maintenant. L’imagination, l’imaginaire, l’astral, vont vous emmener à des souffrances colossales, si ce n’est déjà fait pour certains d’entre vous. Alors que vous avez des frères et des sœurs qui vivent spontanément l’État Naturel. Et ils savent ce que c’est réellement que la Paix, la Sérénité, l’Instant Présent et la Vérité de ce qu’est l’État Naturel.

Si vous êtes en train de gamberger, si vous êtes en train d’avoir peur, si vous êtes en train d’imaginer je ne sais quel scénario de bombe nucléaire à tel endroit ou tel endroit, vous n’êtes pas disponibles pour vous-mêmes, vous vous mentez à vous-mêmes et vous ne le savez même pas. Vous êtes encore sous l’influence de votre personnage, de votre mental, de votre ego et le pire, bien sûr dans ces cas-là, c’est l’ego spirituel, celui qui se croit ceci ou cela et qui ne vit pas le millième de ceci ou cela. Et qui, bien évidemment, va souffrir. Parce que plus vous vous mentez à vous-mêmes, par rapport à l’Instant Présent, plus vous allez souffrir.

À un moment donné, vous en aurez tellement marre de souffrir qu’à ce moment-là vous lâcherez tout. Et à ce moment-là, vous découvrirez avec un grand éclat de rire, comme nous l’avons toujours dit, que vous avez toujours été là, qu’il n’y a personne. Comprenez que quand nous disons ça, ce n’est pas un jeu de mots. C’est le Réel du vécu de l’État Naturel et que tout le monde peut vivre, sans aucune exception. Il n’existe aucune barrière de temps. Il n’existe aucune barrière évolutive ou aucun voile, qui aujourd‘hui peut vous masquer le Réel. Il n’y a que vous qui vous masquez à vous-mêmes.

Et vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-mêmes, à votre personnage. Mais il faut aussi le transcender, et c’est la meilleure façon de pardonner, là aussi, de vous pardonner. De pardonner à ceux qui vous emmènent dans des chimères, qui vous vendent je ne sais quoi, pour acquérir je ne sais quoi. Riez de vous-mêmes, c’est une farce cosmique. Vous n’avez pas d’autre façon de vous en sortir que de voir que tout ce qui se déroule ne concerne que le rêve et l’éphémère. Mais c’est comme ça que vous vous réveillez. Le rêve se termine par un cauchemar.

Nous l’avons toujours dit et ce cauchemar concerne aussi bien votre vie personnelle, dans votre corps, dans vos relations avec n’importe qui, que sur la scène de théâtre collective du monde, de ce monde, comme de tout monde. Soyez tranquilles. Prenez pour habitude de ne rien faire. Accordez-vous du temps, quelles que soient vos soi-disant occupations professionnelles ou familiales. Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ? Posez-vous la question. C’est d’aller au restaurant ? C’est de prendre du bon temps ? Ou de vous retrouver ? Soyez honnêtes. Ou de délirer avec des concepts spirituels ou autres ?

Vous ne pouvez pas vous trouver tant que vous vous cherchez ailleurs que d’être Ici et Maintenant. Et ça, ça va devenir de plus en plus marquant et, je dirais, de plus en plus fort. Il faut arrêter de vous mentir avec ces histoires de bien, de mal, de moralité, et d’empathie, et de charisme, de sentir l’énergie ou de ne pas sentir l’énergie. Nous vous avions dit et nous vous confirmons que, aujourd’hui plus que jamais, vous n’avez pas besoin d’avoir les chakras ouverts ou de vivre la Couronne du Cœur. Vous avez besoin uniquement d’être dans le Silence, pour vous retrouver.

Tout le reste, je dis bien, absolument tout le reste, aujourd’hui, c’est du mensonge, même le Supra mental que nous avons évoqué, et bien avant nous d’ailleurs, d’autres Melchizedeks qui vous parlaient du Supra mental, de l’accès au Supra mental. Aujourd’hui c’est une perte de temps. Ce sont encore des définitions, ce sont encore des expériences, c’est encore quelque chose qui vous fait souffrir en vous faisant miroiter que vous allez vous trouver, ce n’est pas vrai. Vous ne vous retrouverez dans aucune vibration, vous ne vous retrouverez que dans le Silence.

Alors bien sûr j’ai dit que ce n’est pas que le silence des mots, mais aussi dans votre vie quotidienne. Arrêtez de nourrir les histoires, regardez les frères et les sœurs, mari, femme, enfant, ennemi dans les yeux, dans les yeux directement en silence, et vous allez vivre l’état naturel, et l’autre va le vivre.

C’est tellement simple que vous ne pouvez pas y croire, c’est tellement là depuis toujours que vous rirez de vous mêmes quand vous le découvrirez, et vous verrez que le seul obstacle, c’était le personnage, vous-mêmes, dans vos conduites, dans vos habitudes, dans vos habitudes spirituelles,  dans l’habitude de la conscience à habiter une forme.

Tout cela je l’ai dit depuis des années, mais je le répète aujourd’hui avec un aspect d’urgence et une solennité nouvelle, parce que les événements comme disait Abba, les événements à l’horizon sont maintenant plus qu’à l’horizon, ils sont dans votre cœur, ils sont dans votre vie, ils sont dans la société, ils sont dans le réveil des volcans, à nuls autres pareils de ce qui a existé sur la Terre jusqu’à présent.

Et vous êtes effectivement dans les jours d’événements géophysiques dont j’ai parlé depuis de nombreuses années. J’avais parlé, je m’en rappelle très bien, d’événements liés au vent qui allait atteindre des vitesses absolument insensées, qui n’avaient jamais existé sur Terre, ça s’est produit.

Vous allez voir des vagues qui n’ont jamais existé sur terre. Vous allez voir la folie de l’humain comme ça n’a jamais existé sur Terre, vous allez le voir dans votre propre famille, vous allez le voir avec vous-même, avec votre mari, dans la société, dans votre travail, à tous les niveaux d’organisation de la société, c’est comme on dit ‘’le grand bordel’’ et ça va être de plus en plus le grand bordel.

Et vous aurez le choix uniquement d’être dans le grand bordel ou dans le grand Silence, et quand vous verrez que le grand bordel fait de plus en plus souffrir, quelles que soient vos activités, vous constaterez qu’il n’y a plus d’obligations qui tiennent, de crédit, de nourrir sa famille, ça ne voudra plus rien dire à un moment donné, non pas parce que vous ne pourrez plus, mais parce que vous vivrez le Réel.

Et à ce moment là, il n’y a aucune obligation morale, sociétale, énergétique et de quelque niveau que ce soit, qui tienne, et là vous serez libres, et vous saurez que vous êtes en train de vivre l’événement collectif et plus seulement individuel, quels que soient la chronologie et les symptômes de cette stase, que vous a communiqués je crois Abba la semaine précédente.

Voilà ce que j’avais à dire en préambule et maintenant, chère amie, s’il y a des questions, je veux bien avancer dans notre présence commune vers ce que vous demandez, ce dont vous voulez aussi témoigner, et que donc là, tu vas être obligée de lire parce que je crois que là, avec les moyens techniques dont nous disposons, ils n’ont pas les moyens de parler, mais ils peuvent l’écrire, n’est-ce-pas ?

Et aussi bien sûr dans la salle, parmi les auditeurs, mais je rappelle que c’est moi qui ai le micro et donc il faut prendre le micro ici pour s’exprimer.

Je vous laisse encaisser ces mots bien sûr, mais croyez que je ne veux aucunement vous faire souffrir, mais appuyer, si on peut dire, là où ça fait mal, c’est-à-dire dans vos rêves, dans vos délires, dans vos illusions, dans vos croyances quelles qu’elles soient, parce qu’il n’est plus temps de délirer aujourd’hui, il n’est plus temps de se mentir, il n’est plus temps de penser à demain, à quelque niveau que ce soit, quelle que soit votre vie, quel que soit votre âge.

Vous allez constater par vous mêmes que la Vie va rentrer en interférence avec votre vie, avec votre petite projection de voyages, d’affaires, de quoi que ce soit, afin de vous démontrer par le vécu où est le plus important. Est ce que c’est de gagner à manger ou est ce que c’est de vivre l’Éternité ? À vous de voir. Est-ce que vous nourrissez la peur ou est ce que vous nourrissez l’Amour que vous êtes ? À vous de voir.

Vous constaterez, comme je l’ai dit et je le répète, même pour vous, la sagesse ou la folie. Il n’y aura plus d’équilibre, un juste milieu si vous préférez, soit vous serez sages, soit vous serez fous et vous deviendrez de plus en plus fous ou de plus en plus sages, et ça ne tient qu’à vous et seulement à vous.

Alors as tu des questions écrites déjà, ou pas, ou est ce qu’il ya des questions dans la salle ?

Elisa : Il y a des questions.

Alors je te donne le petit truc là. (Le micro) Alors je sais que ça ne va pas être facile, mais je vais le tenir moi aussi

Elisa : Et bien oui, il y a des questions sur le tchat, alors il ya des questions en espagnol, je vais le dire en espagnol.

Et après tu traduis.

Elisa : Une sœur. Question : Lorsque je vais dans le cœur, je ne trouve pas le silence, j’y trouve de l’agitation. Comment accéder à ce silence ? Doit-on traverser les turpitudes ou turbulences de cette agitation pour accepter ce silence ?

Je reprends mon micro.

Mais par rapport à ce que tu dis toi-même, dans le cœur, il n’ya que le Silence, et si tu dis que, quand tu plonges dans ton cœur, il n’ya que de l’agitation, c’est très simple, ça veut dire que tu ne plonges pas au bon endroit, et que tu crois encore être une personne, et tu crois encore que cette personne va être libérée, c’est impossible.

Ça veut dire que, inconsciemment, que tu le veuilles ou pas, il y a encore la croyance en un personnage, que tu le veuilles ou pas, il y a encore un orgueil spirituel qui est sur le devant de la scène.

Voilà ce que ça veut dire. Il n’y a pas de comment, il n’y a pas de technique, si tu es réellement en Silence, alors tu es dans la Vérité et tu ne peux que l’éprouver. Si quand tu fais silence, il y a agitation, tu le dis toi-même, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que ton mental, ton ego, ton personnage est là et que tu n’as pas encore saisi ce qu’est le Réel.

Et je parle bien, quand je dis saisi, c’est intellectuellement, tu ne t’es pas encore sacrifiée. Il y a encore des peurs non identifiées, il y a encore adhésion à l’idée d’être un personnage ou une personne, il y encore l’idée de sauver quiconque, toi ou d’autres, il y a encore la croyance en des visions, il y a encore la croyance en un avenir et ça concerne tout un chacun.

Si vous me dites que, quand vous plongez, il y a agitation, ça veut dire que vous ne plongez pas dans le cœur, vous plongez dans l’égo, c’est aussi cru et véridique que cela et ça concerne surtout les frères et les sœurs qui ont été dans la spiritualité depuis très, très longtemps et qui sont surchargés encore aujourd’hui de croyances, de visions, d’espoir ou de désespoir.

Il n’y a rien de tout ça dans le cœur, et les frères et les sœurs qui étaient durant l’événement privé, qui l’ont vécu, l’ont parfaitement compris, mais pour le comprendre, encore faut-il le vivre ! Et dès que vous demandez s’il y a une technique pour vivre le Silence, je ne peux que vous renvoyer à ce que je viens de dire : ‘’vous vous mentez à vous-mêmes’’. Et fondamentalement et archétypiellement, vous avez peur tout simplement, même si vous ne le reconnaissez pas.

Et fondamentalement, vous confondez être libéré de la personne et vous croyez encore que vous êtes une personne qui va être libérée. La personne ne sera jamais libérée, d’accord ? C’est Vous qui êtes libérés de la personne. Une personne ne peut pas être libérée, une personne elle est soumise au rêve, elle ne sait pas qu’elle est le Réel, elle ne sait pas qu’elle est dieu comme disait Bidi, elle ne sait pas quelle est au delà de toutes les souffrances, de toutes les formes et de toute conscience.

Il faut déjà l’accepter à l’intérieur de soi. Sans ça effectivement, comme l’a dit ce frère ou cette sœur, vous allez vous retrouver avec une agitation intérieure extrême mais ça, ça montre simplement, effectivement et concrètement, que vous n’y êtes pas, et ça vous invite à vous regarder avec plus de lucidité, et peut-être, certainement, et je vais être de plus en plus cru, avec une forme d’humilité que vous ne connaissez pas.

C’est-à-dire qu’inconsciemment ou consciemment, il y a encore une perspective d’avenir, il y a encore une croyance en le personnage, il y a encore une croyance en une histoire, tout cela est faux et la question que tu poses en est la parfaite illustration.

Tant que vous croyez dépendre d’une technique – alors oui, il ya des techniques pour les résonances Agapè, il ya des techniques pour les montées vibratoires, tout ça nous l’avons expliqué – mais aujourd’hui la seule technique, c’est ‘’Fermez-la !’’ N’écoutez rien de ce que dit votre personnage, n’écoutez rien de ce que vous disent vos éventuelles vibrations que vous percevez, n’écoutez aucune des visions, soyez silencieux et le grand Silence se révélera de lui-même.

Tout le reste n’est que du pipeau, tout le reste, ce ne sont que des mensonges que vous professez envers vous-mêmes. Il n’ya pas d’autre alternative, vous vous mentez. Alors c’est une invitation non pas à trouver des défauts, mais c’est une invitation à se taire, à laisser être, comme nous vous l’avons dit, Ce qui Est. Vous ne pouvez pas être ailleurs que là où vous êtes, ici et maintenant.

Je te rends le micro peut-être parce que je pense qu’il ya d’autres questions ?

Elisa : Il n’y a pas d’autre question.

Alors c’est la seule question. Ce n’était pas pour vous demander de vous taire pendant mon intervention bien sûr, profitez au contraire de ces moments pour vous mettre à nu, et je vais d’ailleurs vous déshabiller, même si nous sommes en public, les uns et les autres, qui portent trop de costumes d’illusions, trop de voiles, qu’ils ont eux-mêmes construits.

Acceptez de voir vos peurs, acceptez de voir l’insuffisance de votre personnage, acceptez de voir que ce personnage vous a emmenés dans des délires spirituels, dans des délires vibratoires, dans des délires d’histoires, tout simplement.

Ah, moi qui croyais que j’allais vous donner le micro tout le temps, eh bien! Est-ce que nous avons ici des frères et des sœurs qui étaient présents durant l’événement privé, si je peux dire, et qui peuvent exprimer en quelques mots, ou quelques lignes, ce qu’ils ont vécu, afin d’en faire profiter le public. Ou si quelqu’un dans la salle veut s’exprimer, je donne aussi le micro bien sûr.

…Silence…

Ils ne se précipitent pas beaucoup.

Elisa : (S’adressant à un frère) Allez, lève-toi.

Alors je mets le micro devant moi et celui qui doit parler le prend. Je ne peux pas faire mieux. Vous m’obligez à tenir un micro, ce n’est pas un outil de chez moi ça.

Frère : Merci.

Ça y est le micro est pris, ah!

Frère : Alors, dans cette, dans ces derniers échanges, ce qui est, ce qui est fondamental, c’est l’accueil du Réel, pas seulement vivre son absolu, sa paix, sa béatitude, mais réellement le manifester et l’incarner dans son corps, dans chaque cellule.

Exactement. C’est l’humilité la plus essentielle. Redescendez sur terre, redescendez dans votre corps, vous êtes ailleurs. Vous êtes dans la tête, vous êtes demain, vous êtes dans la vibration, mais vous n’êtes pas ici dans l’humilité la plus simple. Ne cherchez rien, ne demandez rien.

Peux-tu me tenir le micro pendant qu’on me donne à boire. Merci beaucoup. Il fait très chaud dans cette pièce n’est ce pas ?

As-tu des questions écrites ?

Elisa : Je vais voir.

Échange de micro. Nous passons notre temps à nous donner le micro.

Tu m’as donné le micro pour que je parle ou pourquoi ?

Elisa : Je suis déjà en maillot de bain à la plage presque nue, le cœur libre et l’état naturel dans la plus grande simplicité.

Je te remercie, mais c’est qui, qui parle ?

Elisa : Alors c’est, une sœur qui a été …

Qui était avec nous. Très bien.

Celui qui est dans l’État naturel, je vous assure, ne se pose plus de question sur quoi que ce soit, il est tellement absorbé dans ce qu’il fait, ou dans ce qu’il ne fait pas.

Elisa : J’ai une question.

Ah je te donne le micro alors.

Elisa : Je la traduis.

Elisa : Il y a beaucoup de fatigue dans ce rêve.

Je ne t’entends pas du tout.

Elisa : Il y a beaucoup de fatigue dans ce rêve, d’être avec beaucoup d’activités, c’est difficile. Comment devons-nous assumer de poursuivre, si on sent que vraiment c’est de l’éphémère ?

Elisa : Vous avez compris ?

Tout à fait.

D’après toi, c’est très simple, à un moment donné, il y a un conflit entre ce qui est à assumer, je l’ai dit, les obligations quelles qu’elles soient, et le Réel. Je l’ai déjà exprimé depuis quelques années, mais maintenant vous y êtes confrontés. Qu’est ce qui est important pour vous ? Les objectifs de la personne ? Les obligations de la personne quelles qu’elles soient ? Ou ce que vous êtes ?

Réfléchissez deux secondes. Bien sûr, c’est l’État Naturel, et si l’Intelligence de la Lumière vous montre que vous ne pouvez plus assumer vos enfants, votre travail, la société, peu importe, qu’est ce que vous faites ? Vous vous suicidez ou vous vivez le Réel ? Soyez logiques !

Et je l’ai dit et je le redis : chacun d’entre vous va se trouver confronté, où qu’il soit, devant cette évidence. Est ce que c’est plus important de gagner sa vie, ou est-ce que c’est plus important de se retrouver ? D’ailleurs je l’ai toujours dit, à un moment donné, cette société va s’arrêter totalement.

Qu’est ce que vous allez faire quand vous n’avez plus d’écran ? Qu’est ce que vous allez faire quand vous n’avez plus d’électricité ? Qu’est ce que vous allez faire quand vous n’avez plus à manger ? Et bien vous vous tournez vers l’essentiel, c’est-à-dire vers vous-mêmes, et c’est ce qui arrive. Et donc vous en avez parmi vous qui sont épuisés à force de lutter, épuisés à force de faire face à leurs obligations morales, familiales, etc…

Mais ne voyez vous pas que c’est l’Intelligence de la Lumière qui vient vous dire ’’stop’’. Qu’est ce qui est important pour toi, de faire face à ce que t’impose la vie ou ce que tu t’es imposé toi-même, ou de vivre ce que Tu Es. Vous n’avez pas le choix et c’est ce que vous avez écrit. Et plus vous allez souffrir, plus vous allez être dans une forme d’incompréhension de pourquoi vous êtes fatigués, pourquoi vous n’arrivez pas à faire.

Tout simplement parce que vous n’avez pas compris que vous avez juste à Être et non pas à Faire. Et pour être, il faut être dans l’immobilité, il faut être dans le Silence. Et aussi maintenant, il faut être dans le sacrifice des soi-disant obligations financières, familiales, sociétales, affectives, à quelque niveau que ce soit et je vous assure que la vie va vous le démontrer avec fracas.

Il n’est plus temps de poursuivre un quelconque objectif moral, sociétal ou vital, quel qu’il soit. Occupez vous de votre cœur, écoutez le et tout ce qui se produit dans votre vie. Et vous allez être de plus en plus nombreux à ne pas vivre le Réel et à être fatigués, à être en colère, à être dans la peur. C’est votre scénario, c’est ce que vous avez écrit. Tant que vous n’arrêterez pas d’alimenter le rêve, et aujourd’hui ça passe même par les obligations, vous voyez bien que ce n’est pas le discours que nous tenions il ya encore quelques années, où nous vous disions que vous deviez mener à bien ce que la vie, dans ce monde, dans le rêve, vous demandait.

Aujourd’hui, ce n’est pas du tout la même chose, c’est exactement l’inverse que l’Intelligence de la Lumière vous demande. Voulez-vous être vous-mêmes et être en paix ? Ou alors voulez-vous nourrir encore le personnage, l’histoire même de votre vie et de vos obligations, et vous serez de plus en plus mal, même à déclencher des maladies, et je ne plaisante pas.

Vous aurez des problèmes cardiaques, quel que soit votre âge, et je parle pas non plus de ce qu’on vous a injecté, et vous aurez des problèmes vasculaires et vous aurez des problèmes de santé de plus en plus graves, qui touchent de plus en plus votre physique, jusqu’à ce que vous compreniez, jusqu’à l’événement collectif, que tout ça c’est du cinéma !

Et je répète, si aujourd’hui vous êtes affectés, c’est que quelque part vous croyez encore au cinéma. Celui qui a vu que c’était du cinéma et qui vit l’État Naturel ne peut que rire de cela, parce qu’il a compris et vécu que ça a toujours été là, et que bien évidemment c’est la seule chose qui compte, c’est la seule chose qui est Réelle.

Et il n’y a aucune obligation, je le répète aujourd’hui, familiale, professionnelle, sociétale, qui soit plus importante, que ce que vous êtes. L’éternel prend la place de l’éphémère, nous vous l’avons dit et raconté de toutes les façons, et cela se passe maintenant.

Croyez-vous que celui qui vit le Réel d’un coup, peut continuer à vendre des armes, ou à nourrir la matrix d’une façon ou d’une autre, ou à jouer avec la matrix ? Non, l’authenticité fait partie de l’humilité et de la simplicité. Vous ne pouvez pas être authentiques avec vous mêmes si vous croyez que vous avez encore des obligations aujourd’hui, quelles qu’elles soient, parce que la vie va vous rappeler très, très vite ce que vous êtes.

Et ça n’a rien à voir avec ce que vous faites, ça n’a rien à voir avec vos objectifs, ça n’a rien à voir avec vos obligations, même de mère de famille avec des petits enfants.

Alors bien sûr c’est, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, ça ne veut pas dire qu’il va falloir abandonner vos enfants ou quoi que ce soit, mais qu’il faut accepter le Réel, le vivre, et après vous comprendrez, et vous verrez qu’il n’y aura plus de fatigue, et vous verrez qu’il n’y aura plus de question, et vous verrez qu’il n’y a personne, et à ce moment là, que les choses se font sans vous mais au travers de vous.

Et quand nous vous disons ça, encore une fois, ce ne sont pas des concepts, ce ne sont pas des idées, c’est le Réel qui est à vivre pour chacun de vous, pour chacun de nous où que nous soyons dans les dimensions.

Il n’ya pas d’autre alternative, il n’y a pas d’autre possibilité, à vous de le comprendre et à vous de le vivre. Quand vous en aurez marre d’avoir peur, de souffrir ou de vous projeter, alors vous serez disponibles pour le Réel et pas pour une obligation, même justifiée jusqu’à présent.

Il n’y a aucune obligation qui tient devant le Réel, mais vivez le Réel et vous verrez que les obligations et vos enfants ne vont pas disparaître, mais ça ne sera plus du tout la même chose, parce que vous traverserez tout ça dans un bonheur et une joie que ceux qui ne le vivent pas ne peuvent même pas imaginer.

Et donc si vous n’êtes pas dans cet état-là aujourd’hui, encore une fois, ne cherchez pas midi à quatorze heures, le seul responsable c’est votre personne, pas ce que vous êtes je précise, votre personnage, ce à quoi vous croyez encore dans vos espoirs, dans vos désespoirs, dans vos souffrances. Vous n’êtes pas prêts encore pour l’état présent, l’état Réel.

Ce n’est que quand vous avez tout sacrifié, objectivement, concrètement, sans faux-fuyants, sans vous mentir, alors vous vivez le Réel, pas avant. Et maintenant, je suis peut-être encore plus virulent que les semaines précédentes, parce que quelque chose est en train de se produire sur Terre en ce moment-même où je vous parle.

Il y a dans le scénario du rêve une urgence, une urgence phénoménale, et je mesure mes mots, à vous retrouver, et pour vous retrouver, il faut arrêter de chercher. Pour vous retrouver, il faut être Ici et Maintenant dans l’instant présent. Tout le reste, ce ne sont que des mensonges sans aucune exception, que ce soit par quelqu’un qui vous entretienne dans le mensonge ou que vous vous mentiez à vous-mêmes.

Je te le redonne le micro.

Elisa : J’ai plein de trucs à lire, je vais voir … Parce que … Comment on va faire pour lire tout ça. Je vais remonter si vous me le permettez …

Ah oui, ça t’oblige à chercher dans ce qui a été écrit.

Elisa : Parce qu’il y en a plein.

Ce n’est pas très commode. Alors, arrêtez d’écrire pour l’instant et on vous dira quand il faudra écrire. Il faut déjà que l’on retrouve, que notre amie retrouve tout ce qui a été écrit. Parce que plus vous écrivez, comment on dit, plus l’écran défile, et plus il faut remonter en arrière pour trouver.

Elisa : Une sœur, qui a été avec nous, donne un témoignage. Oui j’étais à l’événement en ligne, vous entendez ?

Oui, oui, très bien.

Elisa : J’ai vécu la simplicité du cœur, la vérité de l’instant présent, la révélation de l’évidence. Merci.

Elisa : Ça, c’est un témoignage, mais il y en a plein.

Ça c’est un témoignage de quelqu’un qui était présent.

Elisa : Après il y en a un autre.

Écoutons

Elisa : Alors il y a des mots que je ne comprends pas, ils sont dans une autre langue. ‘’Je vois beaucoup de synchronicités, comme des bulles qui m’apparaissent, et je vois aussi des signes dans nos appareils électroniques comme Youtube, et bien d’autres signes”.

Elisa : Et après il y en a d’autres … Une Sœur : “ Et pourtant nous n’avons rien cherché, nous étions silencieux, sans réfléchir, c’était doux, c’était extrêmement tranquille, ça s’est installé tout seul. Amitiés à vous.” Ah oui parce qu’elle a écrit un bout et puis elle a écrit l’autre bout. Alors cette sœur, elle a fait, bon elle a donné quelque chose sur deux parties.

On t’écoute

Elisa : “Est-ce l’œuvre de l’Intelligence de la Lumière ou la chose de “miha cabeza” ?

La chose de quoi ?

Elisa : Ça doit être du portugais, de “miha cabeza’’ (ou mia cabeza). Alors, la question : C’est l’œuvre de l’Intelligence de la Lumière ou c’est de sa tête ?

Dès que vous trouvez ce que vous êtes, ça ne vient pas de votre personnage, ça ne peut pas venir de votre personnage, parce que vous vous trouvez quand le personnage n’est plus là. Donc ça ne peut pas venir de la tête, ça vient de ce qui est présent, ici et maintenant, toujours. Vous ne pouvez pas recréer, par le personnage, le Grand Silence et vivre le Réel, cet état de silence où, encore une fois, vous ne pouvez que vous reconnaître à deux-cent pour cent.

Quand vous le vivez, vous savez que c’est ça. Si vous ne le vivez pas, vous ne pouvez que supposer et vous interroger pour savoir si c’est ça, mais tout être humain qui le vit sait que c’est ça. Parce que c’est tellement évident, ça aussi ce ne sont pas des concepts, c’est le Réel et ça se passe toujours comme ça, et jamais, jamais autrement.

Le personnage se dissout devant le Réel qu’il est, et ce n’est jamais quelque chose qui se passe dans la tête. Alors bien sûr, c’est lié à (coupure) et à Shantinilaya. Shantinilaya et le Grand Silence sont les deux versants si vous préférez d’une même pièce. Et quand vous le vivez vous le savez, totalement, intégralement. Et quand vous l’avez vécu et que ça vous semble s’éloigner, ce n’est jamais perdu, parce que ce n’est pas une expérience encore une fois, ce n’est pas un état mystique quel qu’il soit, c’est l’État Naturel, c’est l’état du Réel, c’est ce que vous êtes, ce que nous sommes, et ça ne peut jamais, jamais disparaitre.

Ça peut vous sembler occulté si vous privilégiez votre personnage, par exemple vous vivez le Réel et puis après vous avez l’impression que vous avez une responsabilité quelle qu’elle soit, et sans vous en apercevoir, peut-être que vous mettez un peu de distance par rapport au Réel, et là vous allez souffrir, encore plus qu’avant, et automatiquement vous serez replacé par vous-même au-delà de la personne, non pas dans le souvenir de l’instant présent, mais dans le Réel de l’instant présent.

Parce que ce n’est jamais un souvenir dont il faut se rappeler, c’est quelque chose qui est constamment neuf, constamment présent, dès que, encore une fois, vous arrêtez toute prétention à autre chose que le Réel. Surtout si vous l’avez approché, si vous l’avez vécu, ce n’est pas quelque chose qui est de l’ordre d’une expérience.

Ce que vous avez retrouvé ne pourra jamais être oublié ou disparaître. Vous pouvez peut-être, à cause des habitudes, à cause de ce que vous nommez obligations, légales, morales, sociétales ou peu importe, que vous avez l’impression que ce n’est plus là, mais bientôt vous comprendrez si ce n’est déjà fait que vous n’avez pas le choix. Là est la véritable liberté, là est la véritable joie, de comprendre que vous n’avez pas d’autre choix que la joie.

Alors bien sûr l’ego qui entend ça est très en colère, et c’est très bien ainsi. Plus vous échaufferez votre ego, plus vous serez dans le déni, la colère, plus vous allez consumer toutes ces dernières scories de votre personnage. Il faut être en colère, il faut vous rebeller. Par quoi ? Non pas en devenant un guerrier de la Lumière, mais en devenant quelque part un guerrier du silence, c’est à dire de l’accueil et de l’acceptation. Vous ne pouvez rien faire d’autre pour être ce que vous êtes, c’est à dire cette pure béatitude de Shantinilaya ou de l’Absolu. Encore une fois ce sont les deux versants d’une même pièce.

Je te donne le micro à chaque fois parce que je ne sais pas quoi en faire (S’adressant à Elisa).

Elisa : “Je me suis réveillée quand j’étais au repos, et quand j’ai ouvert les yeux je ne pouvais rien voir, c’était comme un cercle noir au milieu qui s’est peu à peu éclairé.

Qui s’est peu à peu quoi ?

Elisa : “Qui peu à peu a éclairé ma vision et j’ai pu voir après (parce que je traduis). Est-ce que mon corps est en train de se désintégrer ? “

Mais bien évidemment que votre corps est en train d’exploser, de se désintégrer, il n’y a aucune raison que le rêve se poursuive. Je vous l’ai dit, les événements sociétaux de la Terre, de l’humanité, comme les événements géophysiques de la Terre et les événements cosmiques sont là. Je ne sais pas comment il faut vous le répéter bien sûr que vous allez être désintégrés, c’est une farce cosmique ! C’est ça qu’il faut, avoir la lucidité, qu’est-ce que vous voulez encore, retourner dans le personnage, retourner au rêve ? Non c’est impossible, il n’y aura plus aucune possibilité de rêver, vous ne pouvez que vous réveiller à ce que vous êtes, quoi que vous en pensiez.

C’est la fin de toutes les illusions qui ne servent à rien, c’est la fin, je l’ai dit, de toutes les obligations quelles qu’elles soient. À vous de voir, mais vous serez obligés de constater, si ce n’est déjà fait, que ce que je vous dis est stricte vérité. Je ne vous raconte pas de mensonges, je ne fais pas comme avant, la carotte et le bâton, il n’y en a plus besoin, parce que vous y êtes, tout simplement. Vous êtes au nœud de l’Evénement, vous êtes à l’horizon de l’Evénement, vous êtes dans le moment où l’Éternité et la Vérité se révèlent entièrement et mettent fin aux rêves. Et votre corps est un rêve, et votre mental est un rêve, et votre personne est un rêve.

Il n’y a de place que pour le Réel, pas pour votre personnage, pas pour la société, pas pour un monde, et cela se produit, je le répète, en ce moment-même.

Elisa : Je vous lis un témoignage, je n’ai pas très bien compris. Une sœur : “ Bonjour j’ai un témoignage, mon fils de 13 ans est en centre d’accueil, car il est par moments très violent. Ce scénario que j’ai écrit permet d’être dans l’État naturel et d’être en paix.” Mais ce n’est pas une question, elle met deux cœurs après, alors elle le donne comme témoignage, pas comme question

Tout à fait, ça veut dire simplement que même si vous êtes à l’article de la mort, même si vous avez un enfant qui est dans ce cas-là ou dans tout autre cas, quelle importance ça a, réellement et concrètement, quand vous découvrez ce que vous êtes, quand vous découvrez l’État naturel et le Réel ? Aucune. Et ce témoignage vous le confirme. Et vous allez en avoir de plus en plus.

Alors vous allez voir autour de vous des frères et des sœurs qui se battent contre des moulins à vent, ils tiennent à leurs obligations, ils tiennent à leurs devoirs, ils tiennent à leurs responsabilités, mais les obligations les devoirs et les responsabilités sont issus du rêve, pas du Réel, et votre vie va vous le montrer.

Si vous êtes dans le Réel comme je l’ai dit, plus rien du rêve ne peut vous affecter, vous ne cherchez pas à fuir le rêve parce que vous savez que vous ne pouvez pas être ailleurs. Mais ça change tout à l’intérieur de vous, vous êtes libre, la légèreté est là, vous vous souvenez parce que vous le vivez, de qui vous êtes. Et vous savez que, quelle que soit la dureté de la scène de théâtre, ce n’est qu’une illusion à traverser et c’est une grande paix qui se manifeste.

Alors, quel que soit le problème, et même que vous soyez en train de mourir, et même si vous êtes dans une situation, à quelque niveau que ce soit, que ce soit dramatique, le drame lui aussi devient un grand éclat de rire cosmique. Si vous êtes sérieux, si vous êtes trop sérieux, le drame vous apparaît comme un événement traumatisant de votre vie. Alors que si vous vivez le Réel, vous vous apercevrez que tout est à sa place et que ce drame n’a été que le moyen de vous réveiller. Mais pour cela il vous faut aller à l’intérieur, dans le silence.

Elisa : Là j’ai un témoignage et une question. Une sœur qui était avec nous ‘’online’’ fait un témoignage. Et après, une réponse d’une autre sœur, à qui vous aviez répondu avant. La première dit : “S’en tenir à l’immédiateté immédiate simplement, il n’y a rien avant, rien après ce qui se vit sur l’instant, quel soulagement !”

Je remercie de ce témoignage, vous en aurez de plus en plus, et vous aurez aussi de plus en plus de frères et sœurs qui ne comprennent rien.

Et la seconde répond que vous lui avez répondu qu’elle était dans le personnage avant, et maintenant elle dit : “Vous me venez de me dire que je crois être mon personnage, oui, mon mental le croit, comment dépasser cette croyance ?”

Je ne peux que répéter mais ça peut se répéter, là ce n’est plus le mental qui tourne sur son petit vélo, c’est la conscience qui tourne sur son petit vélo ou son grand vélo. (OMA crie) Il n’y a pas de technique, Il n’y a pas de comment, c’est ça qui est à voir. Arrête de demander une solution alors que c’est toi la solution. La solution n’est pas une technique de respiration ou de je-ne-sais-quoi, ou de cristal, de cailloux, ou de n’importe quoi, la solution, c’est d’être toi-même.

Contente-toi de voir le personnage sans vouloir agir dessus, tant que tu voudras agir sur le rêve, le rêve t’explosera à la figure. Contente-toi d’observer et de ne rien demander, c’est pourtant simple ce que je dis, non ? Mais le mental et la conscience ne peuvent pas le comprendre, nous en avons ici l’illustration parfaite.

Je crois qu’il me faut plutôt mon truc pour mettre au fond de la gorge de tête de caboche, le truc qu’il met là, il y a une tige, je crois

Frère présent : Il faut appuyer.

Ah oui

Elisa : Alors …

Merci beaucoup.

Elisa : Un frère dit : “J’ai assisté à la rencontre et il s’est produit en moi un décrochage, un basculement, je me replace plus facilement en le cœur, en le silence, le même effet en réécoutant la cana d’Oma”.

Je remercie ce frère de s’exprimer, c’est exactement comme cela. Et des témoignages comme ceux-là, vous en aurez de plus en plus, mais vous aurez de plus en plus de frères et sœurs, malheureusement ou heureusement, qui vont vous parler de : “Comment je peux faire ?” Ils n’ont toujours pas compris, ils cherchent encore une solution. Vous ne pouvez pas chercher une solution parce que vous êtes la solution.

Allô, il y a quelqu’un au bout du fil ? Vous comprenez cela ou pas ? Et bien non, tant que vous n’avez pas compris ça, eh bien vous tournez sur vous-mêmes, ce n’est pas tourner sur un petit vélo là, là c’est la conscience qui est complètement dans l’illusion totale de se croire réelle. Mais c’est très bien parce que, plus vous allez vous échauffer en disant comment, comment, comment, comment, comment, comment, à un moment donné, vous allez rire de vous-mêmes, et là, l’État naturel sera là.

Voilà ce que je voulais à travers vos témoignages, vos questions, c’est très clair, non ? C’est très clair pour celui qui le vit, c’est très clair pour celui qui a compris, et c’est la confusion pour celui qui n’a toujours pas compris. Vous cherchez ce qui ne peut pas être cherché. Je répète, il n’y aura plus jamais de comment. Quand vous dites : “Comment je peux”, vous n’avez rien compris, et vous ne le vivez pas, parce que l’obstacle c’est celui qui dit comment, c’est à dire la personne.

Voyez cela simplement, acceptez cela simplement, et vous êtes libres de vous-mêmes, de vous croire ce personnage ou ce mental, ou cette agitation. Il y a une mauvaise identification, vous n’avez toujours pas compris que vous n’êtes pas ce qui demande ‘’comment’’, vous êtes antérieurs à cela et c’est pour ça, je ne ris pas des questions, au contraire et j’en demande, mais à chaque fois, c’est une leçon pour tout le monde.

Regardez, vous avez d’un côté les témoignages de ceux qui ont vécu cet événement privé et de l’autre ceux qui se demandent comment, mais ils vous donnent la réponse, soyez présent ici et maintenant dans l’instant, ne demandez rien, n’attendez rien, ne cherchez rien. Parce que quand vous demandez, quand vous attendez quand vous cherchez, vous mettez une distance entre le Réel et votre personnage que vous croyez être, c’est ça qu’il faut voir, c’est fondamental.

Je l’ai dit et je le répète, il y a une urgence vitale, parce que si vous posez encore la question comment, je ne parle pas à moi puisque là ça nous sert dans l’échange, dans ce que je vous transmets, dans ce que vous transmettez. Mais si dans votre vie vous vous comportez comme ça, vous allez vraiment beaucoup souffrir. Je l’ai dit, l’Amour ou la souffrance. Or vous ne pouvez pas chercher l’Amour, c’est ce que vous êtes déjà, tout le reste n’est qu’un mensonge.

Vous êtes la perfection, pas ce personnage bien sûr, mais ce que vous êtes. Voyez clairement que vous vous considérez encore quelque part, quand vous posez ce genre de questions, comme une personne. Et vous allez me répondre : “Justement, je suis une personne, je veux sortir de ma personne” Et je vous répondrai, vous n’avez rien compris, vous n’avez rien compris de mes mots, vous êtes encore dans le personnage qui veut comprendre. C’est le personnage qui veut comprendre, pas ce que vous êtes, ce que vous êtes n’a rien à comprendre, c’est à redécouvrir, et c’est dans le silence. Je ne peux pas vous dire mieux. Est-ce que vous vous rendez compte de ça ?

Elisa : Alors j’ai un témoignage, une question de (x) : “Je vis le Réel, ma femme et mes enfants non”, et plus tard on voit qu’il dit : “Comment les aider ?”

Laissez les rêveurs rêver, ça a toujours été dit, vous ne pouvez rien changer à ce qui est écrit, sauf qu’il vous suffit, non pas de faire une résonance Agapè, mais simplement de regarder avec ce regard de celui qui vit le Réel, celui qui ne le vit pas, regardez-le dans les yeux, vous n’avez pas besoin de discours. Parfois il y a des mots qui sortiront, qui vont ébranler l’autre. Si vous êtes dans l’État naturel, vous n’allez pas vous poser la question si l’autre va souffrir ou pas, parce que quelle que soit la souffrance qu’il ressente de vos mots ou de votre regard et surtout dans un couple, vous allez l’ébranler dans ses illusions.

Le grand Silence, parfois des mots qui sortent spontanément, qui ne sont jamais violents, même si l’autre le perçoit ainsi, mais qui sont justes. Regardez-le dans les yeux, parce que le feu de votre cœur n’a plus à se traduire par des résonances Agapè, même si cela se produit, il se produit par le feu du Réel qui est dans vos yeux, il est très clair de remarquer si un frère ou une sœur aujourd’hui est dans le Réel ou dans le rêve. C’est bien plus que l’éclat du regard ou la fraîcheur du regard parce que c’est un regard de lucidité.

Contentez-vous de regarder votre mari, votre femme ou n’importe qui, en silence, sauf si des mots sortent. Bien sûr que dans certains cas va se produire une résonance Agapè, mais préférez le silence, préférez vous taire, parce que l’Intelligence de la Lumière, par votre regard et par le silence, agira. Vous n’avez pas de meilleure façon, et pas d’autres façons, que d’aider celui qui rêve. Laisser les rêveurs rêver, mais le simple fait de le regarder avec le regard lucide de celui qui vit le Réel, sans rien attendre, suffit à consumer ses propres illusions.

Que vous le vouliez ou pas, c’est l’Intelligence de la Lumière qui agit, ce n’est pas la résonance Agapè interdimensionnelle spatiale, c’est l’effet direct de ce que j’ai appelé le temps zéro dès le début de mon intervention d’aujourd’hui, et quand j’ai insisté dans la différence entre un événement privé en petit groupe, et un événement où vous êtes des centaines ou des milliers. Et c’est essentiel maintenant, parce que vous pouvez le faire tout seul, parce que vous pouvez le faire avec votre banquier, avec votre patron avec votre enfant, regardez- le en silence, sans rien attendre, sans rien vouloir émettre, simplement regardez-le.

Aussi, et ça a été dit, absorbez-le, il est en vous. Et l’autre, vous renvoie finalement, même si vous êtes dans le Réel, si vous avez un frère, une sœur, un mari qui vient vous titiller, ne répondez pas, soyez vous-même, soyez ce qui est antérieur à la forme, et ce qui est antérieur à la forme ne passe pas par les chakras ou par le feu du cœur, ça passe par l’authenticité de votre silence et l’authenticité de votre regard silencieux.

Si des mots doivent sortir, ils sortiront, mais ce ne seront plus vos mots, ce seront les mots du Verbe venant directement du silence et ils seront justes, quels que soient ces mots, et vous ferez parfaitement la différence, pour ceux qui vivent le Réel, entre les mots qui viennent du mental et les mots qui viennent du Grand Silence. C’est imparable pour vous qui le vivez.

Et quand vous comprendrez cela, quand vous comprendrez la puissance de ce qui est émis par le fait de regarder, c’est bien plus que recevoir une image sur la rétine, c’est bien plus qu’une émission d’énergie ou de vibration, c’est la transmission directe du Grand Silence et du Réel. Je vous donne-là une clé essentielle et que beaucoup d’entre vous ont déjà découvert d’eux-mêmes, quand vous regardez quelque chose si vous regardez une fleur, si vous regardez un oiseau, vous vous laissez absorber, ou vous absorbez, l’oiseau ou la fleur, ça revient au même.

Et quand c’est un frère ou une sœur qui rêve, c’est la même chose, vous allez littéralement absorber son rêve, vous allez littéralement faire exploser son personnage ridicule sans vouloir faire quoi que ce soit, simplement en étant vous-même et en ouvrant les yeux, parce qu’à ce moment-là ce n’est pas quelque chose que vous regardez, c’est la lucidité et la précision qui sortent de vos yeux, où il n’y a aucun jugement, aucun reproche, mais simplement le feu de la justesse et le feu de ce qui est vrai, c’est à dire le Réel.

Ah tu ne veux pas reprendre le micro.

Elisa : Si, il y a beaucoup de choses, je suis en train de m’organiser. Alors attends, il y avait quelque chose d’un frère.

On n’entend rien là, tu parles à qui ?

Elisa : Je parle à moi.

Ah si tu parles à toi, alors c’est normal qu’on n’entende rien.

Attends je cherche Éric, j’avais lu sa question et je ne la retrouve plus maintenant. Alors Éric, où est-ce que tu es maintenant ?  Il a disparu ? Juliette alors “Depuis le stage, présence et absence s’installent dans le silence sans errance, l’évidence s’invite à la danse. Merci.”

Je crois, et je te remercie Juliette pour ton témoignage, mais comme vous le constatez pour les autres, vous voyez bien que nous ne vous racontons pas des bobards. Vous avez déjà eu je crois presque dix témoignages de frères et sœurs qui étaient là, et qui sont encore là aujourd’hui, ils ne sont pas là pour m’écouter seulement, ils sont là aussi bien sûr, et ils le savaient avant de venir, pour témoigner de ce qu’ils vivent.

Donc quand vous allez vous rendre compte que vous avez autour de vous d’innombrables frères et sœurs qui le vivent, je ne parle pas seulement bien sûr de ceux qui étaient là online, mais spontanément, vous allez vous sentir vraiment ridicules, et de plus en plus en colère, et je vous répondrai que c’est très bien parce que la colère fait exploser le personnage, fait exploser vos rêves, fait exploser votre désir de vous trouver ou de vous demander comment faire.

Je répète, il n’y a rien à faire, Il y a juste à être ici et maintenant, avec authenticité Et si vous ne le vivez pas à ce moment-là, eh bien ça veut dire simplement que vous n’êtes pas ici et maintenant, vous êtes ailleurs. Acceptez aussi cela, je ne vous condamne pas et je ne vous juge pas, je vous éclaire sur vous-même, sur vos comportements, sur vos errances, sur les choses qui sont fondamentales et celles qui sont futiles.

Votre personnage est futile, il est apparu, il disparaîtra un jour, votre âme est futile, elle n’est pas immortelle. Vous voyez, c’est ça qui est important à saisir, à comprendre même intellectuellement, il n’y a pas de comment, le comment est un obstacle au Réel, le comment était très important pour le vibral, pour le corps de Lumière, pour l’ouverture des portes, des étoiles des chakras, des nouveaux corps, pour vivre l’onde de vie, le Lemniscate Sacré, la couronne ascensionnelle, l’Antakarana, la corde qui vous relie à Marie, etc …

Aujourd’hui tout ça, même si vous le vivez, n’a plus aucune espèce d’importance, c’est justement parce que vous avez vécu cela, que vous avez reconstruit le corps d’éternité, que même le corps d’éternité ne représente plus rien.

Seul le silence est le Réel, parce que ça vous rapproche du sans forme et surtout du sans-conscience, c’est-à-dire à l’état antérieur à la naissance de la conscience, ce que la conscience pourrait appeler le néant, le vide, mais le néant et le vide contiennent tout, tous les rêves, c’est cela que vous devez vous rendre compte, c’est cela que vous devez vivre, et il n’y a pas de comment encore une fois.

Rendez-vous compte, le Réel comme disent les frères et les sœurs qui témoignent, c’est tellement évident, c’est l’évidence-même, c’est justement quand disparaissent tous les comment et tous les pourquoi que vous êtes libres, pas avant.

Alors, avons-nous d’autres témoignages ou d’autres questions ?

Elisa : Il y a plein de trucs là

Ça va très vite, ils continuent à écrire

Elisa : Ouais, et moi je …

Eh bien tu attrapes au vol ce qui doit être attrapé.

Elisa : Éric dit “Après la consumation de l’âme, nous avons réintégré la vérité, donc nous avons réintégré un autre corps sur une ligne de temps ou seule la vérité existe ?” C’est une question.

Oui, c’est une question j’ai bien compris. La vérité est sans corps et sans conscience. N’imaginez pas remplacer un corps par un autre corps. Le corps d’éternité a été retrouvé, voilà déjà de nombreuses années, lors de la libération du noyau cristallin de la Terre, et du corps d’éternité qui était enfermé dans le Soleil. Le corps d’éternité est un médium qui permet de rétablir le Serment et la Promesse, c’est-à-dire le souvenir que vous êtes. Poser une question de se dire que vous allez être dans un nouveau corps vous éloigne déjà du Réel. Il n’y a pas plus de corps d’éternité que de corps physiques, que de corps subtils, que de mondes.

Il n‘y a pas plus de conscience que de dimension. Le Réel est sans personne. Le Réel est sans monde. Le Réel est l’Instant présent, et c’est tout.

Elisa : Il n’y aura plus de formes, seulement un grand tout.

Mais il n’y a jamais eu de formes; c’est un rêve. Vous ne comprenez pas que ce qui n’a pas de début ne peut pas avoir de fin. L’Alpha se conjugue à l’Oméga dans l’illusion du temps. Il n’y a pas plus de temps que d’espace. Il n’y a pas plus de corps physique, que de corps subtil, que de corps d’éternité. Il n’y a aucune dimension; tout ceci n’était qu’un rêve.

Pourquoi projeter un autre corps ou un autre monde ? Ça montre que le Réel n’est pas vécu, tout simplement, encore une fois. Et encore une fois, ce n’est pas une critique ou un jugement, c’est un état de fait. Écoutez le témoignage de vos frères et sœurs qui vivent le Réel. Est-ce qu’ils parlent de corps ? Est-ce qu’ils parlent d’archanges ? Est-ce qu’ils parlent de demain ? Est-ce qu’ils parlent de chakras, même s’ils les vivent les chakras ? Non, quand vous vivez le Réel, vous ne pouvez parler que du Réel, c’est-à-dire du grand Silence, de cette vacuité, c’est-à-dire de cette plénitude, de ce vide plein si on peut dire. Tout le reste éloigne.

Ne supposez rien. Encore une fois, il n‘y a pas de comment et surtout, il n’y pas de pourquoi. La création est apparue, elle disparaîtra; elle fait partie du rêve, elle n’obéit à aucune logique, elle n’obéit à aucun karma. La Vie est apparue spontanément, elle se résoudra dans la Vie mais pas dans votre vie. C’est tout. Acceptez que c’est simple et que vous n’avez rien à comprendre. Acceptez surtout que vous ne pouvez pas comprendre. Vous ne pouvez que le vivre. Ça été dit et répété : la compréhension est issue du vécu et absolument pas d’une quelconque compréhension intellectuelle ou vibratoire. Ça c’est du pipeau intégral.

(OMA s’adresse à Elisa)

J’aime bien ce mot ‘’pipeau’’, je l’emploie souvent. Le pipeau, c’est le joueur de flûte qui nous emmène à réveiller ces forces lucifériennes pour nous raconter des histoires au son de la flûte de Pan par exemple, qui n’est rien d’autre que le diable !

Elisa : (Venant du chat) Elisa, vous vous êtes trompée en lisant mon témoignage. Il était en deux parties, mais je n’avais aucune question. Ce décrochage dans le Silence est permanent, c’est vrai, il est tellement simple. Voilà.

Merci d’avoir compris.

Elisa : Le fait de sentir son corps physique tellement lourd, c’est dû à la chaleur ou c’est dû aux changements ?

C’est dû bien évidemment aux changements. Certains d’entre vous peuvent percevoir une espèce d’explosion, de dislocation, des pensées, de la logique, de tout ce qui faisait vos habitudes. Pour d’autres, ça va être simplement, effectivement, un alourdissement du corps, ça avait été expliqué. Ce sont les préparatifs de la stase; ce sont les préparatifs du temps zéro; ce sont les préparatifs de la révélation du Réel dans la totalité du rêve, et dans la totalité dans la totalité des consciences de cette Terre, mais aussi de ce que nous appelons extra-terrestres. Ils ne sont que nous-mêmes.

Quand nous vous disons qu’il n’y a personne, c’est exactement cela. Et que le corps se sente lourd, alourdi, bien sûr que ça peut être lié à la météo, parce que vous voyez bien que la météo, où que vous soyez dans le monde, n’est plus comme d’habitude. C’est un bouleversement. D’ailleurs, qu’est-ce que ça veut dire bouleversement ? La boule qui verse. Qu’elle est la boule qui verse ? Votre tête d’abord, vos énergies, le retournement comme l’archange Uriel l’avait évoqué, l’archange du retournement, mais aussi la Terre.

Boule versée, la boule qui verse. Qu’est-ce qu’il est en train de faire le pôle Nord actuellement ? Il perd le Nord. Lors des basculements des pôles magnétiques qui précèdent le basculement des pôles physiques, il y a passage de : un pôle Nord à un pôle Sud, à deux pôles Nord et deux pôles Sud. Tout ça est réalisé sur la Terre, là, ces jours-ci, depuis le 26 juillet, vous voyez, ça fait moins d’une semaine. Ce n’est pas du pipeau, ce sont les éléments du rêve qui sont réels. Vous êtes en train d’être ‘’boule-versés’’, à tous les niveaux.

C’est réellement ce qui est en train de se produire. Alors que vous ayez l’impression de perdre votre corps, de perdre votre tête, de perdre quoi que ce soit, c’est normal, vous devez tout perdre et pas seulement métaphoriquement ou symboliquement, maintenant, avant de vous retrouver. Et c’est ce que réalisent les événements du rêve collectif, par les bouleversements, par le choc collectif.

Le rêve collectif devient le cauchemar total et absolu, révélant le mythe de la création, l’illusion de la création, l’illusion de la forme, l’illusion d’un corps quel qu’il soit, planétaire ou de lumière. L’illusion est le mensonge de la conscience. Aucune conscience n’est vraie, le Réel n’a pas de conscience, c’est pour ça qu’il a souvent été dit, que ce soit par Nisargadatta quand il était incarné ou d’autres, que vous ne pouvez qu’être ignorants de l’État naturel.

Par contre, une fois que l’anomalie a été supprimée, à ce moment-là, il devient très facile de voir, à la fois d’où vous venez, l’absence de conscience, l’absence de forme, de corps, de vous maintenir à la lisière du paradis blanc et de l’Absolu, et de voir les deux faces de la même pièce. C’est ça le serment et la promesse, c’est ça qui vous rétablit dans la certitude de qui vous êtes, au-delà de l’Être et au delà du Non-Être.

Donc c’est quelque chose d’extraordinaire, puisque même ceux qui ont vécu l’Absolu, qui l’ont vécu et ils sont peu nombreux jusque dans les années 80, ont tous dit la même chose, sans aucune exception. Mais c’est à vivre, ce n’est pas à comprendre, et si vous le vivez, vous le comprenez. Et tant que vous ne le vivez pas, vous ne pouvez pas le comprendre, vous ne pouvez qu’imaginer des choses ou fantasmer des choses, c’est tout.

As-tu d’autres choses qui sont écrites ou dans la salle ?

Élisa : Témoignage d’une sœur. Récemment, j’ai constaté le feu du Silence dans mes yeux. Je regarde mes proches dans les yeux, en silence, parfois avec des mots du cœur. Hé oui, ça les ébranle et les ouvre à la Vérité. Merci beaucoup.

Bien sûr ce que j’ai énoncé aujourd’hui, vous êtes déjà quelques-uns, voire nombreux, à le vivre. Cette histoire de feu des yeux, de regard de lucidité, à continuer le rêve de l’autre dans le silence, vous allez être de plus en plus nombreux à le constater. D’ailleurs, vous l’avez déjà peut-être constaté, vous ne faites rien, vous ne dites rien, vous regardez votre mari ou votre enfant, il se met à exploser de colère ou à vous fuir, parce qu’il ne supporte pas, et pourtant vous n’avez rien dit, mais le simple fait de vous regarder lui fait éprouver ce malaise.

Alors, ne vous inquiétez pas si autour de vous, quand vous regardez quelqu’un, il va se mettre en colère, même si vous n’avez rien dit et rien fait, parce qu’il est ébranlé et réellement vous l’ébranlez, vous l’ébranlez dans ses certitudes de personnage. Vous l’ébranlez dans ses croyances, vous l’ébranlez même dans son vécu. C’est ça, ce n’est plus le feu du cœur, ce n’est plus le feu de l’âme, c’est le feu du Paraclet, c’est l’esprit de Vérité, c’est l’esprit de Liberté et d’Eynolwaden, qui passent par vos yeux et par le grand Silence.

Laissez les rêveurs rêver, mais regardez-les rêver. Ça va leur faire tout drôle, si je peux dire, et vous allez le voir de plus en plus clairement cela. Vous ne pouvez rien changer aux rêveurs et à ce qui a été écrit, mais vous pouvez augmenter la Lumière tout simplement en les regardant, sans jugement bien sûr, et sans vouloir changer quoi que ce soit. Et ce qu’a dit notre sœur, vous êtes certainement très nombreux à l’avoir déjà remarqué.

Personne ne veut le micro par ici ? C’est la première fois que je m’exprime en tenant un micro.  Bon, ça m’empêche de faire des gestes, mais ce n’est pas grave. C’est le silence coté écran ou tu cherches ?

Elisa : Et bien je fais beaucoup de choses à la fois. Je réponds, je fais, mais il y a d’autres choses. Je vous lis les prochains.

D’accord. Je te donne mon micro.

Elisa : Alors. Un frère. Bonjour Oma. Depuis l’annonce de la fin de ce rêve, cette année, je me sens soulagé de ne plus continuer dans ce cauchemar, je constate que chaque fois que je suis immobile, j’ai des fourmis dans les bras et les jambes. Vous voulez répondre ou je continue ?

Mais je crois qu’on a déjà dit la semaine dernière en public que les phénomènes électriques, picotements et autres qui se passent quand vous êtes immobile avec votre corps font partie du processus d’établissement du Réel, si je peux dire. Donc, je confirme que ces phénomènes peuvent être pour ceux qui le vivent strictement normaux. Bien sûr, vous ne passez pas tous par là.

Je te rends le micro.

Elisa : Une sœur. Je suis ravie de savoir que je n’aie rien à comprendre, alors quand je suis dans Réel, je suis. Quand je me lève le matin pour aller travailler, je vis quoi, je suis qui ? Merci beaucoup Oma.

Merci du témoignage, tu peux garder le micro pour la suite, je n’ai rien d’autre à rajouter là.

Elisa : Merci Beaucoup OMA. Et alors, un frère dit : Bernard de Montréal parlait de sixième et septième race. Nous y sommes en ce moment ?

J’en ai parlé à d’innombrables reprises aussi, mais bien sûr, vous ne pouvez pas tout suivre et connaître tout ce qui a été dit. Bernard de Montréal n’a jamais eu accès au Réel. C’est-à-dire au fait qu’il n’y a ni évolution, ni involution, parce qu’à ce moment-là son enseignement devait vous extirper des croyances spirituelles et surtout de l’astral. Mission accomplie.

De la même façon, quand j’étais incarné, je me doutais qu’il y avait quelque chose derrière le soleil, mais je ne l’ai jamais vécu, bien évidemment. Sans ça, je n’aurais jamais pu maintenir la Fraternité Blanche Universelle, je n’aurais jamais pu accepter qu’on m’appelle maître, parce que nous ne pouvions pas le vivre à ce moment-là, parce que ça correspondait à ce qui était écrit. Ce n’est pas une erreur de notre part ou une fausseté de notre part. C’est parce que c’était ainsi.

Arrêtez avec les enseignements de qui que ce soit. Rendez-vous compte que quand vous parlez de sixième race ou de septième race racine, vous ne faites que traduire ce que vous avez lu, et pas ce que vous vivez. Si vous le vivez, il n’y a pas plus de cinquième race, que de sixième race, que d’archontes, que d’archanges, que de diables, que de dieux. Il n’y a personne. Encore faut-il le vivre !

Donc, j’attire votre attention, je l’ai déjà dit la semaine dernière. Dès que vous êtes en train de vous questionner sur ce que vous avez lu, même si c’est il y a vingt ans, ça veut dire que vous ne vivez pas le Réel. C’est aussi simple que ça. Celui qui vit le Réel n’a pas besoin de se poser la question, encore une fois, des chakras, des races racines, ou de quoi que ce soit de l’histoire.

Quand vous êtes dans le réel, il n’y a aucune histoire qui tienne. Il n’y a aucun écrit que vous avez lu qui tienne. Il n’y a aucune connaissance de l’extérieur, un copain, un médium, qui va vous dire que vous aviez été ceci ou cela. C’est encore un alibi. C’est encore un mensonge, un gros mensonge que vous vous faites à vous-mêmes. Et, en définitive, quand vous vivrez le réel, alors, à ce moment-là, vous comprendrez ce que c’est quand je dis que vous êtes dans l’orgueil spirituel. Vous êtes dans l’illusion luciférienne.

L’énergie, la forme, appartiennent à Lucifer, n’appartiennent pas au réel. Le réel est sans monde, sans dimension, sans race racine, sans énergie, sans corps, sans chakra, sans soleil, sans planète, sans rien. Il n’y a personne, il n’y a jamais eu personne. Tout ce qui est manifesté appartient au rêve, à quelque chose qui passe et qui n’est pas vrai. Encore faut-il le vivre pour le comprendre.

Mais vous ne pouvez pas l’accepter, vous ne pouvez pas y croire. D’ailleurs, je ne vous demande pas d’y croire, mais de supposer que cela peut être réel. Faites silence, taisez-vous, restez au cœur du cœur dans le silence, dans l’accueil de l’inacceptable. Accueillez ce qui est là, c’est-à-dire vous-même, et rien d’autre. Et tout le reste s’évanouira, vos croyances, vos questions sur Bernard de Montréal, ou sur ce que j’ai pu dire quand j’étais incarné. Vous n’aurez plus de référence à quoi que ce soit, vous serez clairement dans l’instant présent.

Dans l’instant présent, il n’y a pas de connaissance, vous savez que vous êtes ignorants. Toutes les connaissances sont vaines, toutes les expériences sont vaines face au réel.

Personne ne veut de mon micro dans la salle ?

Elisa : On n’en veut pas de mon micro.

Personne ne veut prendre la parole. Je crois que nous avons encore un peu de temps, non …

Elisa : Attends, je vais regarder.

Quelle heure est-il ?

Elisa : Sept heures quarante huit.

Oui. Vous avez encore minimum douze minutes, à moins que je vous ai, comment on dit, cloué le bec.

Elisa : J’ai une anecdote.

Comment ?

Elisa : Une anecdote.

Alors une anecdote, c’est gentil aussi ça, j’adore les anecdotes.

Elisa : J’ai une personne qui était dans le groupe qui m’écrit qu’elle n’arrive pas à revoir la vidéo parce qu’elle ne veut pas de technologie, et que si je n’ai pas un autre moyen. Je lui ai proposé de venir à la maison pour voir les vidéos directement. Parce qu’on veut voir la vidéo, mais on ne veut pas la technologie. Et alors, comment faire ?

Elisa : Moi non plus je ne veux pas la technologie, je peux la jeter par la poubelle, mon micro et tout, mais alors je n’ai pas l’information ou la vidéo, ou le … C’est qu’on est obligé de rêver ce cauchemar. Alors des fois, on veut fuir, mais il y a des conséquences d’être là déjà. Vous comprenez ce que je veux dire. Je ne sais pas si je m’exprime …

Très, très bien. L’évènement on-line est passé par la technologie, il me semble.

Elisa : Et Bien oui.

Alors soit vous faites le silence définitif, vous éteignez tous vos réseaux sociaux, vous vous éclairez à la bougie, et vous vivez dans votre coin et vous serez parfaitement heureux. Mais si vous êtes encore un minimum dans le rêve, communiquer et échanger est beaucoup plus efficace à travers la technologie. Nous l’avons démontré pendant ces quatre jours de l’évènement on-line il me semble, je l’ai expliqué.

Maintenant effectivement, c’est un problème je crois, comment vous dites, de replay, mais vous êtes obligés, comment vous voulez faire ? Ou alors vous allez vous repasser le film.

Mais je vous rappelle que le plus important encore une fois, et je le dis pour tous ceux qui n’étaient pas là, n’est pas dans ce que j’ai dit, ou les uns ou les autres ont dit, mais est dans la capacité d’avoir été présents à vous-mêmes et à l’instant présent et de l’avoir vécu.

Bien sûr que vous pouvez le revoir, mais ça passe par la technologie. Ou alors, tout seul comme un grand, vous vous mettez en silence, dans l’accueil de ce qui est, sans rien demander et là, effectivement, vous n’avez pas besoin de replay, parce que finalement et en définitive, vous avez bien vu pour ceux qui étaient là durant ces quatre jours, qu’on a très peu évoqué des choses qui seraient soi-disant secrètes et que le public n’auraient pas à connaître. Pas du tout.

C’était une expérience de l’instant présent et un vécu de l’instant présent. Comme je l’ai expliqué, ce n’était pas possible à travers de milliers de consciences qui étaient branchées quand je parle comme aujourd’hui. Parce que ça part trop dans tous les sens. Et quand ça part trop dans tous les sens, même dans les questions que je vous demande, alors vous n’êtes pas disponibles pour l’instant présent. Tandis que quand vous étiez dans l’évènement privé, en petit groupe, en communion les uns avec les autres, alors tout est possible, et surtout l’instant présent.

C’est ce que nous avons vécu encore une fois, et je remercie tous ceux qui étaient inscrits à cet évènement. Les autres, et bien, peut-être qu’il y en aura d’autres, peut-être que vous n’en avez pas besoin. Comment puis-je le savoir ? Mais vous avez eu aujourd’hui en public des témoignages, et puis la semaine prochaine nous aurons aussi d’autres directs publics, où nous serons peut-être plus les uns et les autres encore plus incisifs pour découper en confettis votre rêve, vos illusions, vos croyances, en quoi que ce soit.

Vous n’avez rien à croire, vous avez juste à vivre. Et la meilleure façon de le vivre, c’est d’être comme je l’ai dit dans LA vie. Et si la vie vous demande de mettre fin à votre vie, à quelques domaines que ce soit, vous ne pourrez pas vous y opposer, parce que le fait de retrouver, de vivre l’état naturel sans contraintes deviendra de plus en plus important par rapport à tout le reste. Et ça, vous allez le vivre, je l’ai dit, c’est une certitude si ce n’est déjà fait. Vous êtes déjà beaucoup en train de le vivre.

Tout ce qui est superflu vous sera ôté, que vous le vouliez ou non. Tout ce qui fait entrave au Réel va fondre comme neige au soleil. Si vous croyez à votre personnage, il va exploser. Si vous croyez à l’histoire, l’histoire va vous exploser à la figure. Si vous croyez à une nouvelle terre, vous allez voir très bientôt qu’il n’y a pas de terre. Tout ça c’est réel. Et ça fait partie du scénario, ça fait partie de ce qui a été écrit, nous l’avons dit depuis de nombreuses années.

La seule façon de sortir du rêve, et de voir que c’est un rêve, c’est de vivre un cauchemar terrifiant. Vous n’avez pas d’autres choix. Vous n’avez pas le choix de rien d’ailleurs et nous n’avons pas le choix de rien. Et ça en le vivant, vous comprenez que ça a toujours été là et que vous ne pouvez pas faire autrement. Et d’ailleurs à partir du moment où vous le vivez, vous n’avez surtout aucune envie que ce soit autrement, parce que c’est une telle bénédiction, c’est une telle béatitude cet état naturel ! Alors qu’attendez-vous si je peux dire ? Si vous attendez le messie, vous pouvez attendre longtemps !

Elisa : Là je n’ai pas de questions.

Comment ?

Elisa : Je n’ai pas de questions.

Alors s’il n’y a pas de questions, y a t-il quelque chose à dire dans la salle parce que nous approchons doucement de l’horaire ?

(À un Frère) Alors je te donne le micro.

Frère : Merci. Un tout petit résumé en quatre phrases, si on peut résumer à ce qui a été vécu, c’est :

Je me reconnais

Je m’accueille

Depuis l’Absolu

Fusion dans le Réel.

Oui, retenez ces mots. C’est simple, c’est tellement simple ! Je dirais que c’est comme le nez au milieu de la figure, vous y êtes tellement habitués que vous ne le voyez plus, sauf en louchant. Vous comprenez ? C’est la même chose pour l’état réel, l’état naturel.

Alors bien sûr, on l’a appelé jonction de l’Être et du Non-Être, la a-Conscience, le Parabrahman, plein de mots, mais parce qu’il fallait bien s’en approcher d’une manière ou d’une autre. Mais quand vous le vivez, tout s’éclaire vraiment. Il n’y a plus de comment, il n’y a plus de pourquoi, il y a ce qui est là, ici et maintenant, et rien d’autre.

L’archange Anaël, au tout début des Noces Célestes, vous avait déjà donné la clé, Hic et Nunc. Il a fallu combien d’années pour le réaliser ? Rendez-vous compte. Qu’est-ce que c’est que douze années par rapport à l’Éternité ? Rien du tout.

Il y a eu énormément d’acteurs, que ce soient les Anciens, les Étoiles, les spectateurs, les transcripteurs, les traducteurs, dans toutes les langues … Nous n’avons fait qu’obéir les uns et les autres à ce qui était écrit. Et ce n’est pas notre scribe international, Louis je crois, qui nous contredira.

Vous savez tous quand vous êtes transcripteurs, traducteurs, éditeurs, peu importe, que vous êtes à votre place, parce que nous vous aidons. Vous êtes remplis de ‘’play’’ déjà depuis de nombreuses années dès l’instant où vous le savez. Pour certains, c’est moi, pour d’autres, c’est Bidi, pour d’autres encore, c’est Abba, ou encore d’autres ‘’entités’’ si on peut dire, qui vous procurent quelque chose. Ils vous installent simplement dans l’instant présent comme nous l’avons fait durant l’évènement privé, mais de manière peut-être plus proche, plus intime, plus convaincante aussi. Et des témoignages vous en avez eus.

Je répète et je terminerai par ces mots si vous n’avez pas d’autres questions : Tout est du pipeau, on vous a joué du pipeau, vous vous êtes joué du pipeau. Il est temps de voir qu’il n’y a pas de pipeau. Il n’y a que le Grand Silence.

Et je vous remercie, à moins qu’il y ait d’autres choses à dire, et j’étais extrêmement content de vous retrouver en finalité quelque part de cet évènement privé. La semaine prochaine, ce sera un évènement public en totalité, et vous verrez qu’il y a d’autres choses, en fonction du déroulement du scénario de la Terre et du Cosmos, qui vous seront données.

Retenez aussi l’élément nouveau, parce que je n’avais jamais attiré votre attention jusqu’ici sur cela, c’est la puissance du Silence et du regard sur le rêve de l’autre. Ça aussi c’est nouveau. C’est apparu progressivement et ça va se renforcer énormément dans les jours qui viennent. Vous allez le constater dans vos familles, vous allez le constater, je l’ai dit, avec votre banquier, avec votre pire ennemi. Ne vous inquiétez pas des réactions, soyez vous-mêmes.

Si vous sentez cette espèce de feu qui sort de votre regard, vous savez ce qui se passe ici, au niveau du cœur. Vous l’avez vécu pour beaucoup qui étaient là durant l’évènement, mais aussi bien avant peut-être, spontanément, tout seul.

Acceptez qu’il n’y a que vous, acceptez qu’il n’y a pas d’autres possibilités que ce qui est là maintenant et vous êtes libres, c’est tout, rien de plus et rien de moins.

Permettez-moi d’abord, en final, de vous transmettre toutes mes Bénédictions, tout mon Amour, et je ne peux que vous dire ’’Bon Réel de ce que vous êtes’’ et je vous dis aussi, bien sûr, ‘’À bientôt’’, c’est-à-dire à dans quelques jours !

(À Elisa) Je te rends définitivement ce micro qui m’a encombré la main.

Elisa : Et bien moi je vous dis merci à tous, et puis on se voit la semaine prochaine. Là ce sera donc traduit simultanément en espagnol, durant une semaine il y aura du boulot (du travail) pour moi.

Oui. Et donc il y aura moins de choses qui seront dites parce qu’il faudra attendre les traductions. Mais il y aura des petites nouveautés, vous verrez. Alors là comment nous disons en espagnol ? Hasta luego, Hasta mañana, je ne sais pas.

Elisa : Hasta pronto.

Hasta pronto … À bientôt !

Elisa : À bientôt tous.

Au revoir.

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