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SATSANG
Partie 5

26 septembre 2018

Alors, Satsang 5 du 26 septembre 2018.

Donc là, tout-venant, vous n’hésitez pas à passer toutes les questions, de quelque nature que ce soit.

Ah oui ?

Ah oui.

Ah non, c’est pas possible.

(Rires)

Ben vas-y, je t’écoute.

Ben… je n’ai plus d’orgasmes, maintenant. C’est normal ?

(Rires)

Tu es en extase perpétuelle.

C’est ça.

Voilà. Mais il nous l’avait dit déjà.

De quoi ?

OMA, OMA.

De quoi ?

L’orgasme, qu’il perturbait le corps d’êtreté.

Oui

Très bien, chef. Très bien, Monsieur. C’est pas grave, docteur ?

(Rires)

Par contre, il y a quelqu’un qui a retrouvé… vous savez, hier ou avant-hier, on a beaucoup parlé de spontanéité, et il y a une cana entière d’un Ami de 2009 ou 2010 qui parle que de la spontanéité et ce que c’est. C’est intéressant, je l’ai relue ce matin, c’est quelqu’un qui l’a retrouvée. C’est juste pour citer une référence.

Ce sera partagé ?

Oui, je l’ai partagée, je l’ai mise sur mon mur, parce qu’effectivement je l’ai lue et c’est… c’est passionnant ce qu’il disait déjà à l’époque. Mais la compréhension ou le vécu qu’on en a aujourd’hui, n’a plus rien à voir.

Voilà. Eh ben on commence par les questions que vous voulez, sur n’importe quoi.

Ah oui ?

Alors, Gaétan.

Toutes sortes de questions ?

(Rire)

Toutes sortes de questions.

Je voulais savoir, parce que parfois, quand on fait certaines techniques, on parle de main dominante, pour…

Non, là, ça n’intervient pas. Tu prends bien la main gauche, parce que tu vois bien que quand tu mets la main gauche, tu croises, la main gauche elle va à droite, la paume de main à plat sur le chakra du foie et la main droite comme ça.

Ok, moi j’avais eu tendance un peu à faire le contraire.

Non, ça c’était… Toi tu connais pas, mais bon, pendant des années, il y a eu des postures qui étaient données par Anaël, où effectivement on mettait les mains sur deux portes.

Oui.

Mais ça, ça avait jamais été donné, je crois. Dans aucune des lectures d’Anaël, y’avait d’emplacement des mains.

Y’avait l’inverse. Y’avait les croisements.

Oui, y’avait des croisements, tout le temps, ça oui, c’était très fréquent, avec les plis de l’aine aussi d’un côté ou même comme ça, en croisé, mais jamais j’ai vu Anaël donner ce geste-là. Jamais, jamais, jamais.

Ok. D’accord.

Voilà. Mais là, c’est le sens qui est donné. Donc, c’est la main gauche, tu te fous de savoir si c’est la main qui émet ou qui reçoit, c’est la main gauche sur le chakra du foie et la paume de main droite sur le chakra de l’âme, donc au-dessus et en-dessous du sein.

C’est bien docteur ?

(Rires)

Bon, j’ai une question, j’allais chez les gnomes, j’étais sur le chemin, puis je me suis arrêté, puis après j’ai rencontré Daniel, et puis on a continué pendant un kilomètre et, c’est pas confirmé à cent pour cent, il y aurait un vortex de passage des Arcturiens.

Oui, Il y a un passage arcturien.

Je n’avais pas de pendule, mais j’ai pris ma montre, apparemment c’est..

Vous avez tout à fait raison, ça avait été détecté, c’est plus loin après, après les gnomes et après la pierre.

Oui, à un kilomètre, là.

Oui, c’est ça. C’est bien un portail arcturien.

Aah…

On en a pas parlé là, mais plein de gens y sont allés… (Rires)

Ah ouais ?

..dans les groupes qui sont pas là, effectivement.

Et y’a autre chose encore, parce que moi j’ai…

Ah oui oui, c’est vraiment arcturien. Mais là, on n’en a pas parlé pour pas surcharger.

Moi dis je redemande, y’a pas autre chose encore ?

C’est la stricte vérité

Y’a pas autre chose ?

Tu disparais complètement quand tu vas là.

Ah ouais, bon j’irai avec mes appareils.

Les gens qui ne connaissent pas, bon, qui entendent ça, ils ne vont rien comprendre. En fait nous avons autour de l’endroit où nous sommes, énormément de peuples élémentaires. Et en plus nous sommes sur une zone volcanique, puisqu’on est sur le deuxième stratovolcan d’Europe, à la limite, c’est le parc qui est là, avec derrière la Garrotxa, et effectivement sur les endroits volcaniques, ben comme vous les voyez sur toutes les webcams des volcans du monde, ben c’est essentiellement, soit des Dracos, soit des Arcturiens qui rentrent dans les volcans. Donc, ils ont nécessairement des portails à côté. Tu as un magnifique portail arcturien, par exemple, qui était taillé dans la pierre, en montant au Ventoux. Depuis le côté lyonnais, quand tu montes au Ventoux sur la gauche, y’a un immense portail arcturien, le même principe que celui qui est là.

Alors, on y va quand ?

Hein ?

On y va quand ?

(Rires)

Merci.

Voilà. Et d’ailleurs dans la région, faut le savoir et j’en parle surtout pour ceux qui sont là demain, la journée libre, il y a ce qu’on appelle le Lac de Darnius, sur l’autre vallée de l’autre côté, l’autre colline pardon, entre Darnius et Maçanet de Cabrenys, où on a quelque chose de surprenant. C’est-à-dire que dans la forêt de Maçanet de Cabrenys, on a plus de quarante ensembles architecturaux qu’on appelle des fontaines, mais qui en fait étaient des villages d’elfes. Avec toujours le même agencement qu’ici, c’est-à-dire que vous avez une source, toujours, vous avez des bancs pour accueillir les gens et un hôtel en pierre avec l’arbre maître à côté. Et à côté du lac, y’en a un qui est très très très puissant. Mais y’en a quarante. Rien que dans la forêt de Maçanet, y’a quarante endroits comme ça.

Ici, là ?

A côté, c’est à Darnius, c’est le lac de Darnius. Mais demain, il y en a qui vont aller en excursion, je crois, au Lac de Darnius, parce qu’il y a des énergies très particulières. Le lac de Darnius est un lac artificiel, où ils ont noyé un monastère franciscain, très très vieux, qui était vraiment très important. Donc je sais pas si c’est ça qui, dans cette vallée qui a été noyée, a… mais il y a effectivement une énergie très très particulière. Pourtant il y a pas de peuples élémentaux tout autour du lac, ils sont disséminés plus loin, mais il y a une paix incroyable. Alors c’est aussi la qualité de l’eau qui descend des montagnes et qui est extrêmement pure, mais il y a une ambiance, il y a quelque chose.

Il y a d’ailleurs deux ou trois villages d’elfes qui sont au bout du lac, avec des structures totalement identiques à celle que vous avez ici, là je vous avais envoyés chez Ériane, mais il y a trois villages d’elfes qui se touchent, là à côté. Vous avez, si vous regardez la colline, vous avez une ligne de faille, vous avez le village d’Éridan. Éridan, c’est simplement une constellation, le village d’Ériane. Éridan ça veut dire, « le lieu où le soleil ne se couche jamais ». En fait il se couche comme tout le monde, mais simplement effectivement la durée d’ensoleillement, été comme hiver, est exactement la même en cet endroit.

Voilà. Éridan c’est le nom d’une constellation aussi, et les autres je me rappelle même plus les noms. Mais c’est effectivement… Alors je pense que ça tient d’une part à la nature, on est quand même dans un environnement assez privilégié par rapport à l’homme, et aussi à la présence du parc volcanique où il y a des énergies effectivement, pour ceux qui viennent ici la première fois, des fois on a quelques difficultés à dormir à cause du tellurisme qui est profondément différent par exemple d’autres régions de France ou même du côté français. Ça c’est une réalité et ça, ça tient vraiment aux volcans. Il faut savoir que les volcans qui sont juste à côté, ils ont pas été éteints y’a des centaines de milliers d’années, eux. Le dernier en éruption, c’était y’a à peine trois mille ans.

Là vous avez le stratovolcan, donc le cratère immense avec les montagnes autour, et juste derrière c’est le parc volcanique de la Garrotxa où là vous avez une trentaine de cratères de volcan, où là y’a une énergie encore plus forte qu’ici. C’est après Olot, le lac, comment il s’appelle… enfin c’est une autre région de lacs, il y a beaucoup de lacs dans tout le massif du Gironès et de la Garrotxa. Ceux d’ailleurs qui allaient chez David à l’époque, il y a aussi des volcans là-bas, des cheminées volcaniques, d’ailleurs il y avait beaucoup de péridots, et dans le coin aussi d’ailleurs, il y a énormément de péridots.

Tu en as trouvé ?

Ici, non. Il faut aller du côté de la Garrotza où il y en a plein. De même que, j’ai été très surpris, à Lliançà, au bord de la mer, vous avez de la lépidolite dans laquelle sont incrustés des béryls d’aigue-marine. Mais bon il y a toujours des gardes, des gardes pas forestiers là, mais je sais pas comment y s’appellent, c’est pas des garde-côtes, eux ils sont en bateau, mais qui passent pour voir si tu casses pas la pierre. Parce que c’est tentant, tu vois les veines de lépidolite et tu vois affleurer des beryls d’aigue-marine. Mais bon, si tu arrives avec un marteau et qu’ils passent, tu es très mal. (Rires) C’est juste sur le phare de Lliançà.

Donc, c’est très très riche au niveau minéralogique. Vous avez par exemple, même ici à côté, à Sant Llorenç de la Muga, les mines qui servaient à faire de la poudre à canon, le salpêtre, et beaucoup de talc. Il y a des entrées de mines partout ici, partout, partout, entre ici et La Vajol, sur les montagnes là-haut, à Guilada, vous avez énormément d’entrées de mines, donc il y a beaucoup, beaucoup de cristaux, dans cette région.

Elles ne sont plus exploitées, les mines ?

Non, elles ne sont plus exploitées, surtout que dans la campagne napoléonienne, Napoléon avait bombardé le village et il avait cassé toutes les entrées de mines, parce que c’était là qu’on faisait toute la poudre à canon d’Espagne. Mais bon, c’est pas la seule région où y’a cette richesse minérale, mais c’est vrai qu’il y a des coins où il y a des minéraux très très particuliers, oui. D’ailleurs, on en trouve très souvent. Là, bon, par-contre, c’est argilo-calcaire, vous avez beaucoup de calcites, de l’aragonite aussi, il y en a beaucoup, et bien sûr des quartz, mais les quartz sont pas suffisamment transparents. Mais bon, le péridot, là, c’est la pierre classique sur les volcans.

Mais tu peux pas en ramener, là ?

Il faut que j’aille en chercher, oui. Voila, ça c’est le côté touristique du coin, bon, c’est surtout pour demain, ceux qui veulent aller se balader.

Autre question ? Nada.

Pour que je perde pas l’élan, de la Vie, je veux vraiment témoigner quelque chose.

Vas-y.

Alors déjà, j’ai le trac, bon. Voilà. Je suis spontanée, j’ai un peu le trac. Mais je vais quand même y aller.

(Chante)

I am Laugh, I am Light,

I am Life, I am Love,

I am Joyce, I am you are This

(*Traduction en français :

 Je suis Rire, je suis Lumière,

Je suis Vie, je suis Amour,

Je suis Joie, je suis vous êtes Cela)

C’est bien ? Non ?

(Explosion d’applaudissements)

Alors, je voudrais m’excuser à certains qui ont peut-être pas dormi… (Rires) …parce qu’hier, il m’est arrivé un élan, dans la nuit, qui était inarrêtable, mais grâce à ça, quelque part, je peux témoigner que rien ne vient du personnage, rien n’est contrôlable. Tout est la Vie qui se vit. Tout est Oui à la Vie. Sinon, je pourrais jamais témoigner ça, je pourrais pas être là.

J’ai toujours fait confiance, quoi qu’il se passe pour mon personnage. Tout se fait, tout se vit, tout est. Essayez de le comprendre, essayez de le vivre, c’est exceptionnel ! On ne peut pas contrôler. Je peux être jugée, je peux être condamnée, mais c’est comme ça. On m’a toujours brimée de ma spontanéité, de mon enfance, de mon innocence. Maintenant c’est fini, je ne me laisse plus faire.. Parce que, soi-disant, je suis folle. Mais qu’est-ce qui est plus beau qu’être folle ? Et alors ? Non ?

(Explosion d’applaudissements)

Et par rapport à ce lieu, ici, je suis profondément d’accord que, c’est un peu perturbant, peut-être pas très connu mais, quelque part, on a fait tomber des murs qui tenaient, de ce sérieux, de ce lourd, de ce, de ce pas vibrant. Maintenant ça y est, tout le monde qui viendra ici le sentira, le vivra et le sera. Merci à vous, je vous aime.

(Explosion d’applaudissements)

La version encore plus légère de l’abandon à la Lumière version Nada.

(Rires)

Mais ce que dit Nada est tout à fait vrai. Vraiment, vraiment, quand on essaye de laissez être ce qui est, surtout aujourd’hui, on en a qui ont ça de façon innée depuis fort longtemps, mais on nous a tellement appris à réagir, dans tous les secteurs de la vie, en nous disant que la vie ce n’était que réaction… Mais que dès l’instant où on fait le premier pas vers cet abandon, c’est-à-dire, il n est pas question d’être un légume, ou de ne pas réagir ou quoi que ce soit, mais simplement d’accueillir, comme ça a été dit sans arrêt cette semaine, vraiment, si vous êtes dans cette posture d’accueil, et ben c’est fini. C’est fini.

Tout le discours, par exemple si vous prenez un livre très connu comme Dialogues avec l’Ange de Gitta Mallasz qui a été tellement lu, ne parle que de ça. Et d’ailleurs si vous lisez attentivement aujourd’hui Dialogues avec l’Ange, vous remarquerez qu’il ne parlait que de cette époque qui arrivait. Ça s’est déroulé pendant la seconde guerre mondiale, mais ça concerne, et comme d’ailleurs beaucoup de canalisations d’AD de l’époque, qui à l’époque nous semblaient bon, on lisait on comprenait, mais aujourd’hui sont vivantes.

Là je parlais, par exemple, de la spontanéité, hier. Il y a une cana d’un Ami qui ne parle que de ça pendant une heure et demie avec tous les développements possibles sur cette notion de spontanéité. Et on rejoint, comme disait Nada, cette notion d’Accueil. Alors bien sûr, il faut tenir à rien. Parce que vous prenez la vie comme elle vient. Ça veut dire que vous ne pouvez pas planifier, rigidifier. Le cadre habituel occidental, c’est-à-dire la maison, la famille, le boulot, les impôts, la société. Bien sûr, je ne dis pas que c’est facile à vivre au début, mais dès l’instant où vous lâchez réellement et concrètement… Et y’en a, je sais, ici, qui le vivent depuis déjà fort longtemps. Qui sont, je dirais, à côté du système plutôt que d’être dedans. Mais effectivement aujourd’hui, il n’y a pas plus de Liberté que de ne plus être accroché, si je puis dire, par toutes ces structures fossilisées, archaïques qu’on appelle la société.

Alors je sais bien que ce n’est pas facile pour tout le monde. Parce que vous allez me répondre, il y a des obligations, il y a le mari, il y a femme, il y a ceci, il y a cela, mais je vous répondrai que ce n’est pas vrai. Ça, ce n’est qu’un point de vue qui est le point de vue de la personne. Mais si vous êtes vraiment, si vous plongez dans cette spontanéité et cet Accueil, même si au début ça peut vous paraître dur, même si effectivement le premier problème qui va survenir, c’est les problèmes bien évidemment financiers, d’argent. Mais c’est pas un problème d’argent ou d’être pauvre, c’est un problème de circulation. Dès que vous comprenez ça et que vous acceptez ce principe. Et d’ailleurs Marie l’avait parfaitement expliqué, bien avant AD, dans une de ses toutes premières canas, dès l’instant où vous thésaurisez… et ça c’est valable.

Moi je l’ai vécu, puisque quand j’étais jeune en tant que médecin, je gagnais beaucoup d’argent et j’ai eu l’idée de jouer en bourse. Bon, le premier truc où j’ai joué, j’ai gagné, gagné beaucoup, beaucoup d’argent. Et ça m’a semblé tellement, tellement monstrueux que j’ai tout de suite arrêté. Je préfère encore aller m’amuser à jouer à un jeu, un loto, une loterie, un casino parce que là, je décide de le perdre. Mais prendre de l’argent par ce qu’on appelle le libéralisme, le capitalisme… D’ailleurs la meilleure définition, et même mon fils, en école de commerce, c’est la définition qu’il a eu par son prof, le capitalisme néolibéraliste n’est rien d’autre que l’exploitation de l’homme par l’homme. C’est la définition officielle, qu’on le veuille ou pas. Ça ne vient pas de Marx. C’est ce qui est enseigné en école de commerce aujourd’hui.

Donc bien évidemment, dès que vous rentrez dans ce système, je parle pas de son travail, mais dans le système où vous allez prendre de l’argent à travers de l’argent, eh ben c’est fini, vous ne pouvez pas être libres. C’est comme l’histoire des crédits, dans l’autre sens. Alors bien évidemment, je sais bien que dans le monde tout est fait pour qu’on prenne un crédit, tout est fait pour qu’on soit obligé de gagner, comme on dit, sa vie. Mais quand on est dans la Vie, on n’a plus à se soucier de cela.

Si je regarde mon cheminement depuis le tout début d’AD, ben c’est très simple. Moi j’étais médecin, j’étais très heureux, je gagnais très, très, très bien ma vie et du jour au lendemain il n’y avait plus rien. Pareil quand AD s’est arrêté, du jour au lendemain il n’y avait plus rien. Et à partir de là, quand la foi en la Vie est née, même en étant libéré, parce que être libéré c’est une chose, mais on l’a bien vu avec plein de frères et sœurs, même ici, qui ont vécu l’Absolu mais qui n’ont pas fait la jonction avec ce plan, ça restait deux plans séparés.

Mais, si… Vous ne pouvez pas tricher, c’est-à-dire qu’à un moment donné, quelle que soit votre vie, quelle que soit la pauvreté, la richesse, les liens, les relations même les plus harmonieuses, il y a un moment donné où la Lumière va vous enjoindre. C’est pas un problème de morale, c’est pas un problème de conscience, c’est bien plus subtil que ça… où tout va être fait pour élaguer, pour votre Liberté. C’est pour ça aussi que je répétais sans arrêt durant cette semaine, et d’autres fois aussi, que quel que soit l’événement qui survient, il n’est jamais là pour votre mal, même s’il vous fait mal et surtout s’il vous fait mal. À une seule condition. À une seule condition, c’est d’accepter de le traverser. Ça veut dire ne pas s’en détourner, ne pas réagir. Ça veut pas dire ne pas être non plus proactif. Il y a des choses où on va être obligé d’agir, mais pas de réagir, c’est différent. C’est-à-dire, de laisser les choses arriver permet déjà de les traverser. Mais dès que vous entrez en posture de confrontation, d’opposition, de vouloir régler, ben vous perdez énormément de liberté.

C’est vous qui devez vous en rendre compte, ça sert à rien de se l’imposer de l’extérieur, mais le jeu de la Vie vous montre ça. Dès l’instant, je dirais où vous avez, à l’intérieur de vous, une démarche. Cette démarche elle est très simple, c’est « qu’est-ce que je suis ?». C’est même pas par rapport à la spiritualité. C’est, vous êtes là, vous vous sentez mal, ou vous vous sentez bien, peu importe, mais vous demandez même pas « qu’est ce que je suis », dans la vie, dans la société.

D’ailleurs, quand j’ai parlé de la structure de la personnalité, on va pas revenir dessus, puisque c’est des systèmes de psychologie sur lesquels j’ai travaillé, puisque j’ai bâti des méta-modèles de compréhension de l’être humain au niveau psychologique. C’est des livres que j’ai refusé de sortir d’ailleurs malgré le contrat d’édition, parce que ça emmenait gens trop dans la personne. Et quand vous connaissez trop, trop bien la personne, même parfaitement, on le voit très bien dans le coaching, dans ce qu’on appelle le développement personnel, vous ne trouverez jamais l’Amour, jamais, jamais, jamais. Parce que ce n’est pas un problème de personnalité à comprendre, à résoudre, et Dieu sait que j’en ai compris des choses, avec tout ce que j’ai mis au point comme systèmes et comme médecines, mais ça, ça ne vous fera pas vivre l’Inconnu. C’est pas possible.

C’est pour ça que tout ce qui est développement dit personnel ou connaissance dite de soi, est une étape, peut-être nécessaire dans la construction, mais tant que tout n’a pas été déconstruit par la Vie, vous ne pouvez pas être libres. C’est-à-dire que vous êtes tenus par ce à quoi vous tenez, ça a toujours été dit. Et traverser les problématiques, comme disait Nada, aujourd’hui, c’est surtout cette notion de confiance, d’accueil, même si cela paraît invraisemblable pour la personne, et ça le sera toujours. À partir du moment où le mécanisme à l’intérieur de votre cerveau, ça se passe au niveau cérébral, dès l’instant où vous relâchez l’idée d’être une personne, surtout avec ce qui se passe maintenant, ben vous transcendez la personne. Mais rappelez-vous, ça a été dit par d’innombrables voix, vous ne pouvez pas transcender votre personne, depuis la personne. C’est impossible.

Vous pouvez l’améliorer, votre personne. Vous pouvez même être très bien dans votre vie, mais certainement pour vous, il manque la question primordiale, « qui je suis ». Alors bien évidemment, c’est souvent des problèmes affectifs, des conflits dans la famille, des problèmes psychologiques, qui soit donnent le besoin de comprendre la psychologie, soit antérieurement à cela, il y a eu en vous, quand vous étiez jeune ou à beaucoup de moments, « mais bon Dieu, qu’est ce que je suis, qu’est ce que je fous là ». À partir de là, c’est gagné. Parce que quand vous êtes dans cet… dans ce tempérament-là, l’ouverture par rapport à l’abandon à la Lumière, le sacrifice et tout, se fait réellement tout seul, surtout maintenant. Maintenant qu’il n’y a plus d’anomalie primaire, maintenant que la blessure du féminin sacré a été libérée au niveau du conscient, il n’y a plus, il y a beaucoup moins de difficultés.

Et c’est comme ça que la Vie vous teste. Est-ce que vous avez confiance. Non pas en vous, parce que si vous avez confiance en vous, vous travaillez sur quoi, sur le deuxième chakra. Ce que je vous expliquais par exemple. J’ai soigné énormément de moines tibétains qui vivaient en France dans des centres comme Karma Ling et comme Kagyu Ling, je suis désolé, ils ont tous des problèmes sur le deuxième chakra. Je n’en ai pas vu un qui n’a pas de problème sur le deuxième chakra. Pourquoi ? Ils travaillent sur l’enracinement, sur le OM, qui est très bien. Mais il n’y a pas que ça. Le cœur, y’a rien.

Et c’est pareil dans toutes les religions. Et bien évidemment malgré cela, vous l’avez tous vu et lu, c’est au travers de ces religions que certains sont devenus des Saints. Mais aujourd’hui tout ça est terminé. Tout ça appartient aux structures archaïques d’enfermement. Mais même si au départ elles n’étaient pas enfermantes, elles nous ont enfermés. Elles nous ont enfermées dans un connu ou dans un connaissable. Or la Vie ne peut être ni connue, ni connaissable. Elle ne peut être que vécue. Et vivre la Vie, ça ne peut être qu’en dehors de toute organisation, tout mouvement spirituel, toute religion.

Bien sûr, là on se réunit librement. Chacun est libre de faire ce qu’il veut. On n’est pas structuré comme on l’était à l’époque encore avec AD. Tout se fait selon une certaine fluidité. Et effectivement, quand vous arrivez à lâcher ce qui est nécessaire dans le monde sociétal actuel, ce qu’on appelle la confiance en soi et la volonté, ben vous trouvez quoi, vous trouvez une autre confiance. C’est bien plus que la foi. C’est quelque chose qui est une confiance en la Vie. On ne vous demande pas d’avoir confiance en votre vie, puisqu’on est tous passés par des épreuves x ou y, tout le temps, et c’est infini.

Mais la confiance en la Vie passe par l’apprentissage. Et l’apprentissage, c’est être aussi disponible dans l’instant, parce que trouver la Vie et se laisser trouver par la Vie, c’est-à-dire être en confiance totale non pas en soi, mais en la Vie, c’est aussi s’abandonner à ce qui se présente. Et c’est pour ça que tant qu’on reste dans ce principe d’action-réaction… Mais c’est valable pour n’importe quoi. Je ne parle pas de l’action-réaction psychologique, quand on vous insulte, quand on vous dit quelque chose. Mais ce principe d’accueil vous met en disponibilité pour la Vie. C’est aussi simple que ça. Et a ce moment-là, quelle que soit votre profession, les problèmes, les maladies, tout ce qui peut se produire, n’est plus vécu de la même façon.

Ça veut pas dire, entre guillemets, que ça fait pas chier quand il y a une merde qui arrive. (Rire) Mais votre posture à ce moment-là, vous prendrez, je dirais, une autre forme d’habitude. Et c’est cette autre forme d’habitude qui va vous permettre de vous faire confiance en vous, non pas en vous en votre personne, parce que tout ça, ça correspond, mais alors on l’a étudié parfaitement, on l’a démontré, surtout avec les systèmes de neurosciences que j’ai mis au point, la confiance en soi qu’on cherche à valoriser de partout, même dans le développement personnel, est une hérésie. Vous verrouillez votre deuxième chakra. Et à ce moment-là, ben vous rentrez dans la prédation même sans le vouloir. C’est-à-dire le sexe, le pouvoir et l’argent.

Tandis que quand tout ça, quand vous n’avez pas travaillé sur cette confiance en soi, ni sur la volonté personnelle dont on se sert pourtant aussi en psychologie du sport… Mais on s’est aperçu que même en psychologie du sport, vous pouvez avoir une volonté de winner, de gagnant, vous pouvez avoir une confiance en vous, une maîtrise technique parfaite, si vous n’avez pas ce qu’on appelle le flow, c’est-à-dire l’efficacité neurobiologique maximale… Et le flow n’est rien d’autre que le moment où tout est harmonieux. Et on sait parfaitement que le moment où tout est harmonieux ne dépend pas du personnage, ni de la personne, ni de la technique, ni de la confiance, ni de la volonté. L’efficacité neurobiologique maximale, c’est pareil dans ce qu’on vit actuellement. C’est l’alchimie des différents neuromédiateurs de la personne, par exemple l’adrénaline, la noradrénaline, la sérotonine, la dopamine. Tous ces neuromédiateurs qui dictent les comportements au niveau du cerveau, se mettent en harmonie. Et l’harmonie, elle se découle, je vous l’ai dit, dès l’instant où hic et nunc est actif et où les étoiles attraction, répulsion changent et qu’il y a une inversion du rapport.

Ça, je vous l’ai dit, ça se voit en neurosciences. L’éveil, la liberté, la libération, c’est pas un processus qui se passe dans le vent, quelque part dans une vision ou dans des expériences. C’est un processus qui est ancré au travers de ce corps. On sait pertinemment aujourd’hui, avec des recherches ont été faites, je l’ai évoqué mais je rentrerai pas dans les détails aujourd’hui parce que j’en ai tellement parlé, de la neuroéthologie, la neuroscience du comportement et dans la neurothéologie qui est une branche connue et reconnue des neurosciences, que ce qu’on appelle les processus mystiques, tous les pouvoirs de l’âme, tous les états transcendantaux, ne peuvent exister que si c’est réellement inscrit dans le cerveau, et aussi dans le cœur comme je vous l’avais dit. Mais c’est jamais quelque chose qui se passe dans la pensée, ou dans les visions, ou même dans la vibration. Sans ça, c’est pas acté, c’est pas incarné et c’est du vent. (Rire) Et c’est vraiment du vent. (Rire) Et ces gens-là, bien sûr, ne peuvent être que mal, ils ne peuvent pas vivre la Joie.

Donc, la confiance en la Vie fait partie de la disponibilité, de la voie de l’enfance, de l’humilité et surtout de… aujourd’hui ce qui est possible parce qu’il n’y a plus d’anomalie primaire. Quand il y avait l’anomalie primaire, vous vous rappelez, j’avais expliqué que c’était les énergies du foie, on dit d’ailleurs « se ronger les foies » ou se « ronger les sangs », c’est pas pour rien. Et on sait très bien que l’anxiété lèse le foie. La colère lèse le foie. L’avidité lèse le foie aussi, et que le foie, ben il est extrêmement important. En occident, on en parle beaucoup, mais il a des fonctions qui sont pas seulement organiques. Ça, la médecine chinoise, tibétaine, ayurvédique, nous en parlent tout le temps. Parce que c’est l’organe de la prévision et du plan, « le général des armées qui gagne la guerre sans livrer bataille », disent les chinois. Mais cette prévision et ce plan, rappelez vous, à l’époque, Ma Ananda Moyî et Frère K en avaient parlé, le foie c’est aussi le miroir de l’âme. On dit d’ailleurs que c’est le logis de l’âme végétative.

Mais surtout, c’est lié au mythe de Prométhée. J’avais déjà évoqué cette histoire. C’est le moment où vous vous recréez chaque nuit, entre deux et quatre heures du matin. C’est l’horaire énergétique du foie, ce qui explique qu’il y ait des gens qui se réveillent entre deux et quatre heures, parce que quelque part, ils sont incapables de se recréer. Et cette recréation, elle ne doit pas se faire selon les schémas passés. Parce que dans le mythe de Prométhée, on ouvre le ventre de Prométhée et toutes les nuits, il y a un aigle qui vient manger le foie, tous les jours pardon, et la nuit il se reconstitue. Donc avoir un sang frais et un foie tout neuf, bien évidemment, ne doit pas s’accompagner d’une anxiété. C’est à dire que vous vous recréez à neuf, chaque nuit, dès l’instant où vous lâchez la prétention à vouloir contrôler, à vouloir diriger, à vouloir régenter et à vouloir comprendre.

Et ce dont parlait Nada est la stricte vérité. Bien évidemment qu’on a tous des conditionnements et moi le premier. Déjà le réflexe, dès qu’il y a une douleur quelque part, toute la mécanique causale se met en place, parce que c’est ce que j’ai travaillé pendant des années, des dizaines d’années. Mais ça ne sert plus à rien. Ça sert à la personne. Mais aujourd’hui, il y a une telle… d’ailleurs elle est collective et personne ne peut en être exclu… mais il y a une telle facilité pour être dans cette Joie que ce serait dommage de s’en priver. Mais, vous ne pouvez pas vivre cette Joie tant qu’il existe au niveau de la personne le moindre élément de résistance. Or on a tous des résistances, jusqu’au moment où on accepte, quand on dit « on lâche », c’est ça le sacrifice. C’est accepter déjà qu’il y a peut-être quelque chose qui ne nous est pas connu et qu’on ne vit pas, qui va venir à bout de tout. C’est pas de la foi ou être cul-cul les petits oiseaux, c’est au contraire être pleinement présent, pleinement ancré et vivre la Liberté de l’instant présent.

On le voit bien si on est dans l’instant présent. On a pas besoin… bon, il y a eu des tas de discours sur hic et nunc, moi le premier, Anaël en a parlé pendant des semaines, toutes les nuits.. Mais, réellement et concrètement, quand on n’y est pas, on se pose toujours la question de ce que c’est. Parce qu’on croit qu’en ayant des concepts, on va y arriver. C’est faux. Ça marche réellement et concrètement quand on est dans l’accueil. Cette notion d’accueil est fondamentale.

Alors je ne vais pas rentrer dans des données complexes sur les neurosciences, mais c’est quelque chose, si vous voulez, qui déclenche. Et même en entreprise on le sait puisque qu’aujourd’hui il y a des techniques de coaching qui sont basées sur les fréquences cardiaques, par exemple, sur ce qu’on appelle le biofeedback, où en enregistrant non pas seulement le rythme cardiaque, qu’on peut mesurer au pouls, mais en voyant le temps entre deux battements qui n’est jamais constant. En fait, bon, on a le rythme cardiaque, on vous dit c’est quatre-vingt par minute, mais en fait, l’espace entre les sinusoïdes n’est jamais le même. Ça fait des… ça monte et ça descend, ça monte et ça descend. Ce qu’on appelle, c’est des prémices de ce que j’ai appelé la «respiration cardiaque». Et on est capable, par exemple avec des technologies de biofeedback, avec des appareils qui ne coûtent pas cher, où on a le pouls qui est pris au niveau d’un doigt ou de l’oreille, où on voit son propre rythme cardiaque. Et en le voyant, en suivant la technique respiratoire, on arrive à passer… Et ça avait été parfaitement développé, par celui qui est mort, qui a eu le cancer dans la tête là, Servan-Schreiber… on rentre, ce qu’on appelle, en cohérence cardiaque.

Dans les pays anglo-saxons, dans les techniques de coaching professionnel, ils sont en train de laisser tomber toutes les techniques de coaching traditionnelles pour les remplacer par les techniques de cohérence cardiaque. Parce que dès l’instant où vous rentrez en cohérence cardiaque, et ça c’est un apprentissage qui est très bref, vous allez être optimal dans vos performances. Bon, en entreprise, on parle de performances. C’est-à-dire que l’intuition va apparaître, le stress va disparaître, le burn-out n’existe plus. Le seul problème de cette technique, c’est que dès que vous arrêtez l’entraînement, ça disparaît.

Or aujourd’hui, quand je parle de respiration du cœur, ce n’est rien d’autre que de la cohérence cardiaque au sens scientifique. C’est-à-dire que spontanément, par l’abandon à la Lumière, vous rentrez dans cette respiration du cœur qui n’est rien dautre que la cohérence cardiaque qu’on essayait de déclencher à travers des technologies. Simplement, par les technologies, ça ne tenait pas. Mais là, comme on a déverrouillé le péricarde, l’anomalie primaire et la blessure du Féminin Sacré, et ben si vous le trouvez, c’est fini. Vous ne le perdez plus. Même s’il y a des moments où il disparaît, mais naturellement et spontanément, il revient. Et c’est exactement ce dont avait parlé Servan-Schreiber.

C’est-à-dire que dans le cerveau, vous avez trois cerveaux, plus le cerveau du ventre, mais là j’en parle pas. Vous avez le néocortex qui est lié à tout ce qui est anticipation, analyse, synthèse, accès dans le temps, le lieu de l’intelligence, mais aussi le lieu d’accès, je vous l’ai dit hier, à la multidimensionnalité à travers les étoiles hic et nunc. Vous avez le cerveau limbique qui est le cerveau intermédiaire, si on peut dire. Et vous avez surtout ce fameux cerveau archaïque qu’on a appelé, comme par hasard, le cerveau reptilien, qui est à la fois le siège de l’identité, c’est-à-dire se croire une personne, et à la fois le lieu de tous les automatismes. Pas uniquement les réflexes de respiration ou de battement cardiaque, mais même les automatismes de la personne.

Donc, ça va très loin. C’est même l’apprentissage d’une profection. C’est la façon que vous avez de prendre quelqu’un dans vos bras ou de le regarder quand il vous parle, parce que tout ça se fait à l’insu de notre plein gré. On croit que c’est nous qui décidons, mais on ne décide de rien. Et d’ailleurs, c’est prouvé en neurosciences. Parce que par exemple, chez tout être humain normalement constitué, le circuit de la punition est toujours plus fort que le circuit de la récompense. C’est-à-dire que l’étoile répulsion est toujours plus forte que l’étoile attraction. Alors qu’est ce qu’il va se passer, ben vous allez être dans la dualité. Parce que quand vous allez être en face de quelque chose, alors si c’est dans la spiritualité, c’est encore pire, vous parlez d’unité mais tout ce que vous exprimez est duel, en permanence. Parce que votre cerveau dicte vos comportements. Cela ne se passe pas au niveau conscient. Vous croyez que c’est conscient.

Par exemple quand vous décidez d’acheter une voiture, vous croyez que vous décidez, même si vous avez lu la fiche technique… pas du tout, pas du tout. La décision elle se ferait à un seuil subconscient qui est d’ailleurs parfaitement utilisé dans les techniques marketing qu’on appelle d’ailleurs le neuromarketing. On sait que, par exemple, si on vous met telle couleur sur un site, vous allez acheter. Vous croyez que c’est vous qui avez décidé. C’est faux. C’est archifaux. Et ça, on le sait. C’est pas des trucs spirituels que je vous dis. C’est des mécanismes de fonctionnement qui sont parfaitement élucidés, parfaitement connus. Malheureusement par ceux qui sont dans les neurosciences et en particulier dans le neuromarketing.

On a aussi un cerveau dans le cœur, non ? J’avais entendu ça.

Oui oui, bien sûr, c’est là où est l’influx cardiaque, bien sûr. Mais le cerveau le plus important effectivement, et ça je l’ai dit quand on parlait beaucoup des champignons et des thérapies, si vous avez le cerveau du ventre qui fonctionne… parce que c’est pareil. Par exemple, on parle d’addictions aux sucres. Je sais, j’en avais une. Mais c’est pas votre cerveau qui décide. C’est les bactéries que vous avez dans votre ventre. C’est pour ça qu’on parle beaucoup des probiotiques et tout ça. Et d’ailleurs, il est parfaitement connu, indépendamment de la naturopathie et autres, même par les neuroscientifiques, on sait qu’en changeant l’alimentation, on va modifier le comportement des êtres humains. C’est parfaitement connu, même par certains nutritionnistes. Si vous prenez certains aliments qui sont riches en sérotonine, comme le fromage, vous allez modifier le tempérament de la personne.

Or là, on ne parle plus de modifier le tempérament ou la personnalité puisque justement, tout ce qui bloquait au niveau de l’enveloppe du péricarde, au niveau même… mais là, bon, malheureusement je ne suis plus dans ces milieux-là pour vérifier ça, mais je suis certain, certain, indépendamment des modifications qu’on observe au niveau électrique et au niveau des petscans sur le neocortex, je suis absolument certain que la liberté qu’il y a maintenant, que certains vivent, que beaucoup de frères et sœurs vivent, doit être actée et visible au niveau du thalamus central. C’est évident. Ça peut pas être autrement. Je vous avais expliqué d’ailleurs et je vous le redis que la salvinorine et la DMT sont des produits, l’ayahuasca aussi dans une certaine mesure, il y a des dangers, ce sont pas des drogues. Ce sont des enthéogènes. Ce sont des produits qui modifient la conscience et qui entraînent des essaims de lucidité.

C’est-à-dire, tout ce que l’on vous a présenté comme des drogues… même le LSD, faut pas oublier que celui qui a trouvé le LSD, il en a pris quand même beaucoup. Et tous les grands chercheurs pharmacologues des années soixante-dix, quatre-vingt étaient tous sous LSD. Parce que c’est comme ça qu’on a des informations multidimensionnelles. Parce que vous ouvrez instantanément les portes hic et nunc. Alors bien sûr, il y a aussi une certaine dysharmonie parce que vous accédez d’abord, bien sûr, aux enfers personnels, ce que disait Carlos Castaneda. Mais aujourd’hui, avec tout ce qu’on a vécu comme énergies, même si on est pas totalement Lumière, je vous garantis qu’il n’y a aucun risque. Maintenant c’est pas pour ça que je vous dis qu’il faut vous amuser avec ça…

(Grands éclats de rire)

Je peux témoigner, j’ai… C’est des substances que j’ai prises depuis un certain nombre d’années. Et il n’y a pas longtemps, après le shift de conscience total, ben j’ai repris en Australie et j’ai en effet vu totalement que la substance te positionne directement en fait, dans une désidentification totale. Ça peut faire vivre des choses dures pace que si y’a des résistances au niveau de la personne. Mais en l’occurence là, j’ai juste eu un éclat de rire. Y’avait rien sur l’écran de la conscience. Et voilà.

Et aujourd’hui vous constaterez qu’il n’y aura rien. Bon, moi j’ai pas envie de toucher à ça parce que je le vis spontanément, tout seul, dès que je ferme les yeux ou même là. Mais c’est vrai que quand, pour ceux qui sont verrouillés dans la personne, le fait de découvrir, alors on a aussi des cristaux aussi qui font ça, je parle pas uniquement des enthéogènes, mais vous avez la possibilité, effectivement, de transcender toutes les sphères. Par exemple, avec la psilocybine qui contient de la DMT dedans, vous vous retrouvez vraiment, mais ça maintenant, je l’ai fait pour voir si c’était vrai, mais c’est vrai.

C’est-à-dire, simplement, maintenant, c’est spontané. Je n’ai jamais eu besoin de rien. Là j’avais pris de la salvinorine et de la psylocibine pour voir, mais c’est exactement la même chose. C’est à dire que vous retrouvez ce point de conscience qu’on a appelé la jonction de l’être et du non-être. C’est-à-dire que votre conscience se rétrécie, se rétrécie, se rétrécie tellement et maintenant y’a plus peur de disparaître, c’était pas le cas en 2009, vous devenez un point de conscience. Ce point de conscience n’est plus une forme. J’emploie le mot point de conscience, c’est léquivalent de la conscience nue. Mais vous êtes à cheval entre l’être et le non-être. C’est à dire que l’Être a rejoint le non-Être puisque qu’il n’y plus d’anomalie primaire.

Et quand vous êtes là, vous voyez tous les possibles, comme le décrivait Castaneda. Vous voyez aussi bien les enfers, les sphères les plus proches et les sphères les plus lumineuses. Et tout ça par transparence. Et c’est sur une sphère tout autour de la conscience. Et vous savez pertinemment que vous êtes tout ça. Simplement si vous êtes attractés, la première fois où j’ai pris la psilocybine, j’ai été attracté par des trucs, les fameux Ouroboros et tout, j’ai joué cinq minutes avec ça puis salut, je me suis dit qu’est ce que je vais faire avec ça, et instantanément ça s’est replacé au centre.

Et tout le reste, à ce moment-là, comme je savais que c’était moi et que ça avait été vécu dans tellement de lignes temporelles, puisqu’on a tous exploré toutes les lignes temporelles, sans exception, si on est là. C’est pour ça qu’on réabsorbe les mondes. Parce qu’on connaît tout ça. On l’a déjà vécu même si on en a pas le souvenir. Et c’est ça qui fait disparaître l’illusion de la création, rien d’autre. Mais non plus au niveau individuel, à titre collectif. Et quand vous vivez ça, vous ne pouvez plus être dupes, ni d’une société, ni d’un système organisé, religieux, spirituel ou autre. C’est la vraie Liberté.

Alors bien évidemment, la vraie Liberté, dans l’ancien monde qui est encore un peu présent, c’est tellement mal toléré et supporté. Mais ça, vous êtes libres. Il n’y a aucune loi, si ce n’est la morale, de vous-mêmes, ou des autres, ou de votre famille, qui vous empêche d’être libres. Bien évidemment, les peurs, peur de manquer, où je vais dormir, où je vais manger, je ne gagne plus ma vie, sont inscrites au niveau collectif. Mais celui qui a réellement vécu la liberté, à un moment donné, nécessairement, ne pourra plus tricher avec lui-même, ni avec le monde. Quel que soit le prix à payer. Parce qu’y a pas de prix à payer en définitive. Cette Liberté-là et cet Amour-là, ne peut s’accompagner d’aucune contrainte.

Alors attends, on va laisser Ophélie parler parce qu’elle est devant.

Mais non, je te laisse finir…

Ah non, t’es pas venue parler, bon alors…

Je te laisse finir…

Participante : Je voulais juste faire le lien, depuis le début de la semaine, quand à un moment donné, tu as parlé du chakra de la rate qui fait qu’on pouvait être à un endroit et si le chakra de la rate va bien, que ça reste bien en nous.

Oui.

Ok, si j’ai bien saisi.

Oui.

Mais je me dis, avec les rires qu’on a eus cette semaine et qu’on sait que ça dilate la rate (Rire), je me dis…

(Brouhaha)

C’est un proverbe. J’ai la rate qui s’dilate, j’ai le foie qui s’contracte…

(Rires)

Non mais, sur moi ça a eu un impact… et ça permet aussi ce que tu décrivais au début.

Mais ça s’explique d’autant mieux qu’on nous dit que la Lumière est partout. Vous l’avez vu pour ceux qui utilisent les cristaux, la puissance des lépidolites par exemple, dont je parlais, par rapport à il y a quelques années, est décuplée. Mais ça, je l’avais annoncé déjà, tout au début où j’avais travaillé avec les cristaux que, au fur et à mesure que la Lumière reviendrait, les cristaux retrouveraient de plus en plus de puissance. Et c’est la vérité. Maintenant, on le voit complètement. Bon, c’est dommage maintenant je soigne plus, mais bon, les cristaux, moi déjà à l’époque où… la puissance est extraordinaire. Et là aujourd’hui je vous dis, ils sont décuplés.

Et effectivement, la rate c’est l’axe attraction, vision. Donc si le chakra de la rate qui est le lieu de vie, en médecine chinoise, qui est lié à la mère, à la maman, aussi, bien sûr, de ce côté gauche, le côté féminin. Or comme par hasard, c’est le féminin sacré qui a été enfermé. Et quand vous riez, que ce soit avec n’importe quoi, le yoga du rire, vous déclenchez le rire, vous regardez un spectacle marrant, même si vous n’avez aucune idée préconçue ou aucune volonté d’action, de façon physiologique, la rate, effectivement, se dilate.

Or je vous rappelle que c’est par la rate que rentrent les énergies vitales, que rentrent les énergies vibrales, bon bien sûr il y a la tête et les centres d’énergie, mais que c’est l’endroit où se conjuguent à merveille dorénavant, la Lumière, le prāna, et les particules adamantines. Donc si vous avez une rate coincée, ben vous allez le sentir très vite. Vous n’arrivez pas à vous lever le matin. Vous avez des coups de pompes à onze heures et cinq heure. Vous êtes fatigués au printemps et à l’automne. Là, vous avez une rate en insuffisance. Seulement dans ces moments là. Quand c’est très grave, c’est tout le temps.

Mais, la rate, bon et en plus, comme par hasard, c’est lié à… aux énergies féminines, puisque c’est lié à la mère en tant que notre maman et nous en tant que mère quand on est femme. Et bien évidemment, c’est un centre extrêmement important. Et comme l’enfermement, vous savez qu’on parle attraction, vision, c’est-à-dire foie, rate, et en médecine chinoise, le foie et la rate, ou rate, pancréas, si vous préférez, sont extrêmement liés. Parce que c’est eux qui interviennent dans la digestion. Mais pas seulement la digestion des aliments, mais aussi la digestion du monde. Donc, c’est une logique, mais, imparable. Depuis les médecines énergétiques, depuis tout ce qui a été dit à AD, et depuis toutes les connaissances neuroscientifiques qu’on a maintenant depuis vingt ans.

Je veux juste compléter là-dessus, parce que c’est en plein ce que je vis. C’est que, au début quand je suis arrivée, quelques jours après, je me sentais comme un feu de Bengale mais à l’extérieur de moi. Et on m’a donné, j’ai vu l’image que le feu de Bengale finit par arrêter, puis on a la tige de métal, puis y’a plus rien. Et qu’avec le soin de Isabelle sous la direction de Bidi, c’était rentré à l’intérieur de moi et là, je me sens un feu de Joie, tellement que, incapable d’être en état de… non, je déborde de Joie, je déborde, je déborde…

(Rires)

Et le soir, quand je me couche, comme je disais hier, j’ai pas un milliardième de seconde de sommeil en moi. J’ai beau me coucher, mais je me suis dit qu’est ce que je vais faire, ça veut pas. Mais comme je suis pas chez moi, que les gens dorment autour… bon ben, hier, à un moment donné, j’étais avec Nada et ben, j’avais comme envie que ce corps-là se repose et reste là pendant que moi, je me promène. Et je lui ai donné un comprimé, il s’est couché puis je me suis promenée.

(Rires)

Parce que sinon, je suis dans le lit, puis tellement envahie de Feu que, pour le corps, c’est comme si ça devient plat parce qu’il commence à disparaître, mais il y a des parties, en fait moi, ben je trouve le moyen d’ici peut-être à me rendre chez moi où la nuit, je pourrais faire les choses que je sentirais dans moi si c’est… mais pour le moment, parce qu’autour de moi ça dors, ben j’ai pris un comprimé. Lui est resté immobile pendant six heures puis moi je me suis promenée. Mais je déborde, déborde…

(Rire)

Mais c’est comme ça, quand il est dit que c’est la Joie ou tout le reste, c’est tellement évident pour ceux qui commencent à le vivre que vous ne pouvez plus rater ça, c’est-à-dire que c’est… vous voyez clairement qu’il y a que ça. Y’a rien d’autre, rien. Tout le reste ne tient plus, même les histoires spirituelles, même la conscience nue, même tout ça… parce que vous être réellement Libres. Notre nature est la Joie. Elle est pas de souffrir.

Mais sûrement qu’à un moment donné, l’équilibre se fait, le corps s’adapte…

Oui, ne t’inquiètes pas, ça va pas durer tout le temps. Au bout de quinze jours, trois semaines, y’a une autre normalité qui est là.

Non, c’est des… de vingt-quatre heures, sinon… Ok, merci.

Non, c’est les premières phases de découverte qui sont comme ça. Ça dure par éternellement. Et moi, en 2012, pourtant c’était pas le même stade si je peux dire, quand il y a eu l’onde de Vie qui est apparue en mars 2012, j’étais un des premiers à la vivre comme d’habitude, j’ai passé des mois en tremblements. Je dormais plus du tout, du tout, du tout, du tout. Mais j’étais en pleine forme. Puis au bout d’un moment, bon, bien évidemment, tu te dis, oui c’est génial de vibrer toute la nuit, mais au bout de trois semaines, un mois, tu commences à en avoir un peu marre. Et à ce moment là, une autre physiologie se met en place. Mais c’est évident, c’est évident. Mais quand vous vivez ça, il ne peut plus y avoir le moindre doute de quoi que ce soit. Plus aucune dualité ne peut apparaître, même si vous voulez penser comme avant, vous ne pouvez plus. C’est impossible. Et c’est la seule réalité, il n’y en a pas d’autre.

Et vous voyez bien quand vous vivez ça, que tous les scénarios spirituels, de voyages ailleurs et tout, ne font plus sens. Parce que vous n’en avez pas besoin. Vous vous êtes retrouvés. C’est ça le serment et la promesse. Et toutes les histoires antérieures que beaucoup ont suivies, de par le monde, ont permis simplement de se rapprocher de ça. C’est tout. Mais il faut oser. Et de toute façon la Vie va vous y contraindre d’une façon ou d’une autre. Déjà par la stase, parce que là, vous ne pourrez pas faire quoi que ce soit, ou par l’événement collectif qui sera une telle sidération que…

Mais voilà, y’a effectivement rien de plus simple. C’est pour ça que… Bon, à l’époque, ça avait fait bondir tout le monde quand Bidi avait dit que la spiritualité c’est une escroquerie, mais c’est une escroquerie organisée planétaire. Et la conscience aussi, mais ça c’est un autre stade. Mais profitez de cette supraconscience et de cette conjonction, si je peux dire, de l’être et du non-être. Parce que c’est la conjonction de l’être et du non-être qui déclenche ici-bas cette Joie, rien d’autre. Rien d’autre. Et certainement pas les processus vibratoires. Les processus vibratoires vous emmènent à la supraconscience. La conscience est vibration. Ça, ça a toujours été valable et ça sera toujours valable. Mais vous n’êtes pas la conscience. Aucun de nous n’est la conscience. On est éventuellement une conscience, parce que c’est comme ça qu’on rejoint l’Unité, par le bain d’Amour, par l’échange, par le regard, par tout ce que vous voulez, mais nous sommes antérieurs à la conscience.

Et c’est pour ça que ceux qui se sont posés un jour la question, « mais qui je suis » ou « qu’est ce que je fais dans ce bordel, familial ou autre, où je me sens pas à ma place, où je trouve pas ma place »… Bon bien évidemment, y’a des refus d’incarnation qui eux sont réels, mais y’a cette angoisse intérieure ou ce questionnement intérieur, surtout quand vous n’êtes pas insérés dans la société. Parce que quand vous êtes insérés dans un rôle, dans une fonction, c’est très valorisant, parce qu’il y a une forme, effectivement, de sécurité.

Et vous voyez bien que le monde occidental a joué sur ça à outrance. C’est pour votre bien, c’est pour votre sécurité. (Rire) Pour votre sécurité, vous n’aurez plus aucune Liberté. Et ça marche, les gens sont en demande. Or la seule sécurité réelle, c’est la Joie. Il y en a pas d’autre. Parce que quand je dis et qu’on nous a dit que ça prenait tout, ça prend réellement tout. Ça consume tout ce qui est en saillie, on va dire, tout ce qui résiste. Et ça se fait tout seul. Et vous êtes innombrables, ici et de partout, à en témoigner chaque jour.

Tu sais, moi je suis au carrefour de tout ces gens qui sont sur Facebook ou ailleurs d’ailleurs, de tout ce que ces gens veulent bien me montrer, je le vois autour de moi, dans ma famille, de partout. Même des gens qui, je prends un exemple fort simple, de quelqu’un de très proche, qui lui sait, parce qu’il le sait depuis qu’il est tout jeune, il a vécu l’état mystique, que c’est la fin des temps. Il attend même depuis 2012. Il attendait tellement que maintenant, il s’est lancé dans le business. Mais même dans ce business, ça ressort.

C’est-à-dire que les formations qu’il a faites, alors en technologie on parle de disruption, on parle pas d’apocalypse. La disruption, c’est le moment où on fait éclater, même au niveau du système informatique, la prédation. C’est le moment où les petits n’ont plus, comme aujourd’hui, besoin de passer par les marketplaces par exemple, Amazon, E-Bay et tout ça. C’est le moment où on prend conscience, en tant que petit entrepreneur avec son petit site et sa petite société, on n’a pas à dépendre de ces géants. Et ça, c’est ce qu’on appelle la disruption. Et cette disruption, c’est un terme technique, informatique est en train de se généraliser. Et ils le savent très bien. C’est-à-dire que même les gros ténors du net, YouTube, Facebook, tout ça, vont être démolis…

C’est comme un mouvement naturel de ce qui était soumis vers l’indépendance.

Oui. Exactement. Exactement. Et cette disruption qui est liée, là en l’occurrence, à la technologie, même ceux qui sont dans la technologie s’en sont aperçus. Et qu’est ce qu’il font en ce moment dans les processus de marketing justement disruptifs, c’est éviter la prédation. C’est-à-dire éviter qu’il y en ait un qui se goinfre sur le dos de tout le monde. Comme Amazon quoi, un mec qui devient en dix ans le plus riche de la planète. C’est totalement illogique, c’est totalement prédateur. Or même sur le net et comme par hasard ça sort, le bouquin est sorti il y a à peine un an, les gens qui travaillent sur la disruption technologique, ils travaillent dessus, même… puisque c’est mon fils, pour pas le cacher, il a créé sa boite de disruption marketing.

C’est-à-dire que même en ayant vécu son expérience mystique avec le Christ à quatorze ans, en ayant attendu, parce qu’en plus mon père qui était mort lui avait dit que c’était la fin en 2012, après être mort, donc il y croyait dur comme fer lui aussi, ben il s’est aperçu que cette disruption, il peut la mener tout en gagnant sa vie. Mais en abordant même son fonctionnement pas avec avidité, contrairement à ce qu’on lui a enseigné en école de commerce, le libéralisme, c’est la prédation de l’homme par l’homme, non, c’est avant tout servir l’homme. On inverse le processus.

Donc même si c’est fini, le fait d’avoir eu ces idées et il est pas seul, ils sont plein, même des gens qui sortent de Facebook, qui sortent de… Vous savez qu’il y a des trucs qui sont terribles en informatique et on dit et on le vit pour ceux qui ont été sur les écrans comme nous pendant des heures et des heures, y’a rien de plus prédateur qu’un écran. Parce que qu’est que font les gens ? Ce qu’on appelle aujourd’hui… vous avez que le plus gros business en informatique, c’est ce qu’on appelle les données, data. C’est ça qui a le plus de valeur. Et, ça s’appelle du crédit temps. Vous n’avez pas remarqué que toutes les applications qu’on vous crée, pour n’importe quoi, il y a des notifications. Parce que ça vous piège, c’est un système piégeant. Dès l’instant où vous avez une notification, vous répondez. Dès qu’on capte votre attention, mais pas seulement, votre conscience, votre regard, votre énergie, vous êtes foutus.

Même les créateurs de Facebook, ils parlaient qu’en fait, c’était développé pour créer de la dopamine et que, du coup…

Bien sûr. Ce n’est fait que pour ça.

Du coup, tu perds ta conscience…

Complètement.

Fin tu… t’es en permanence dans un désir de créer la dopamine et de satisfaction à court terme.

Oui, c’est ça. Mais, ils le savent. Ces gens qui sont dans ce qu’on appelle cette-fois ci, non pas le neuromarketing ni le psychomarketing, ça a été interdit même aux États-Unis, ils ont rebaptisé ça le technomarketing. Et on sait pertinemment que celui qui devient riche, c’est celui qui capte du temps.

Qu’à cela ne tienne, les lois ont été démontrées, dans la disruption digitale, qu’est ce qu’on fait maintenant… on inverse le processus. C’est-à-dire qu’on ne capte pas l’attention et le temps mais on donne et on restitue à l’autre du temps et de l’attention. Et c’est fini, le système est mort. Et comme par hasard, ça coïncidait exactement, tout ce mouvement de la disruption avec des livres qui étaient sortis il y a à peine un an, ce qui a fait le tour du monde là, depuis mai. Et vous voyez même dans le milieu des geeks et de l’informatique, ce changement de mentalité où ils ont compris qu’en fait, ils nourrissaient la bête.

Et là maintenant, ils inversent le truc, c’est nous qui allons nourrir la bête. Et c’est en train de changer à une vitesse sidérale. Et ça marche. Et ça marche. Et là, l’écran qui était effectivement, comme l’avait dit Krishnamurti, un piégeage de la conscience, qui l’est encore, est en train d’être bouleversé par tous ces jeunes qui rentrent dans la disruption, c’est-à-dire d’inverser la vapeur. Et c’est très simple. Dès l’instant où vous débarrassez de votre tête l’idée de prédation ou même de gagner aux dépends de l’autre, vous inversez la vapeur au niveau technique, vous lui rendez son temps, vous lui donnez de l’attention. Pas pour l’hameçonner, mais au contraire pour le rendre libre. Et ça fonctionne.

Mais tout ce que tu dis là, tu sais ce que je vois, que ce qui se passe dans l’activité que j’ai moi, quand je reçois des personnes en formation, c’est exactement ça.

Bien sûr.

Toutes ces personnes qui sont dans un processus de recherche ou de boulimie de la spiritualité, de tout un tas de trucs comme ça, il se passe tout le mouvement inverse.

Exactement. Et en psychologie, c’est exactement la même chose.

Et ils retrouvent complètement ça. Totale autonomie, ils sont conscients complètement que…

 Exactement.

Mais c’est évident, je me suis fait niquer avec toutes les conneries à me noyer dedans…

Et aujourd’hui, c’est très facile.

Et paf ! ils retrouvent le mouvement inverse, et… et en un claquement de doigts, quoi. Ils comprennent tout et hop, ils repartent complètement…

Il y a moins d’un an, j’ai parlé d’un mouvement de psychologie, j’ai oublié le nom, (…) peu importe le nom, mais c’est une technique qui va consister, dans toute technique de psychologie, d’accueillir l’autre dans ce qu’il est. C’est-à-dire qu’il vient pour exprimer… comme les curés… il vient pour être absout. Il ne vient pas pour que vous lui expliquiez, c’est ce qu’on a cru, pour le renvoyer au passé, lui dire c’est la faute de ta mère, c’est la faute de ton père…

La maïeusthésie.

Parce que là, vous augmentez la culpabilité. Mais d’accueillir l’autre dans son vécu, qui est réel même s’il est faux d’un point de vue objectif, parce que quand vous avez été médecin et que vous avez suivi des générations, vous voyez bien que le même événement n’est jamais décrit de la même façon par ceux qui l’ont vécu.

Complètement.

Ça c’est impossible. Donc déjà c’est biaisé quand en psychologie vous allez dire ça vient de ton père, ça vient de ta mère, vous appuyez là où ça fait mal. Or en neuroscience, dès que vous appuyez là où ça fait mal, ça fait encore plus mal, contrairement à ce que vous dit votre mental. Et ça, c’est une loi neuroscientifique qui ne souffre aucune exception, contrairement à ce qu’on croit. C’est-à-dire que dès l’instant où vous allez évoquer un souvenir, vous allez croire que vous allez l’éliminer, c’est logique. C’est faux. Vous l’éliminez de votre tête, mais il descend dans le corps. À tous les coups. Et pas immédiatement, c’est souvent des années après et vous n’avez aucun moyen de le repérer.

Or la démarche de cette technique, ça a été d’accueillir l’autre dans son histoire, pas pour juger, pas pour diagnostiquer, mais pour créer justement cet accueil, tel qu’il est. Et surtout de ne pas le renvoyer à un élément causal, mais justement lui montrer, à travers cette nouvelle technique d’accompagnement, qu’effectivement il y a une cause, mais que cette cause, comme on l’a toujours dit, elle est d’abord à l’intérieur de soi. Et que ça a été un élément de dépassement et non pas de souffrance. Et c’est toutes les démarches depuis Freud, malheureusement, qui ont induit cette culpabilité, et bon… regarde, avec tout ce qu’il a créé, Œdipe et tout ça qui sont des divagations totales d’un esprit cocaïnomane… y’a rien de plus net que ça. Sachez qu’aujourd’hui, tous les principes élaborés par Freud et ceux qui ont été à sa suite sont invalidés de manière formelle par les neurosciences.

Mais malheureusement, c’est un technique qui est restée. J’ai un problème, c’est parce que j’ai vécu ça avec mon père, donc ça vient de mon père, donc ça vient de ma mère.

Question: Mais Jean-luc, le Ho’oponopono… est-ce que quelque part est dans cette approche-là aussi…?

Oui. Mais la pluspart des gens considère qu’opo… nonono…

(Rires)

Je sais plus comment vous dites, là… est utilisé comme un grigri, ça marchera pas.

Je confirme. Moi qui ai pu essayer rapidemment pour deux, trois bricoles, sans être vraiment trop trop dedans…

Tu sais moi j’ai vu des gens déjà à l’hôpital, opononono enfin je sais plus quoi là.

(Rires)

«Je vais bien, je vais bien», ils sont en train de mourrir d’un cancer, quoi.

Mais moi pour l’avoir fait après être allée à Hawaïi…

Toi oui.

C’est qu’à l’intérieur de moi…

Oui.

Je dis pas que… mais disons que…

Ouiii…

C’est juste que c’est entré un peu sur le marché de la spiritualité, mais c’est comme tout, ça dépend de…

Ça dépend de toi, pareil… toujours pareil.

Et en attendant, les gens ont tendance à le prendre comme un… une espèce de truc qui va…

Oui. Ça ne marchera pas. C’est comme un cristal. Tu prends un grigri… Effectivement, moi-même, je vous dit, il y en a qui ont acheté des staurotites, c’est la pierre de protection, mais parce que je connais votre niveau de conscience. Par-contre, si vous prenez cette pierre en vous disant ça va me protéger, ou vous la portez en disant «je vais être protégé», vous êtes déjà en dualité, vous y êtes déjà. Oui.

Ho’oponopono… c’est comme… moi, ce que j’ai pu voir de l’histoire du médecin qui a fait ça, c’est comme… bon, je dirais peut-être une forme de réabsorbtion aussi… Parce qu’il disait que l’homme, si l’homme vit seul, ben lui, quelque part… il y a quand même quelque chose à faire avec le patient…

Et oui, hélas, c’est… Mais malheureusement, c’est comme ça pour tout. Ça a toujours été comme ça. Ça dépend pas de ce moment particulier de l’humanité. Mais par contre, ce qui a été démontré par cette technique, là, j’ai oublié le nom précis (*la maïeusthésie), enfin, le fait d’accueillir l’histoire de l’autre, sans y mettre de culpabilité ou sans y mettre de causalité, libère déjà l’autre. Parce que vous l’avez accueilli tel qu’il est. Y’a pas de jugement, y’a pas de diagnostic et y’a cette notion d’accueil. Et à ce moment-là, vous pouvez faire n’importe quoi, vous pouvez faire du Reiki, faire «coucoucourou» comme ça (Rire), utiliser les cristaux, et ça marchera.

Parce que comme je vous le disais, ce qui est important, c’est pas l’émetteur, c’est-à-dire celui qui va envoyer l’énergie, mais c’est la rencontre des deux. Et cette rencontre, elle ne peut pas se faire tant qu’il y en a un qui est dans une position de supériorité. C’est-à-dire, tant que vous remettez pas l’autre à sa simplicité naturelle, qui est au-delà de toutes les histoires, de tous les traumatismes et tout, ben vous vous plantez. Et alors, pire, vous emmenez l’autre vers une cristallisation dans le physique, surtout quand vous faites travailler le mental, les souvenirs et les mémoires, qui va cristalliser.

Mais vous le voyez pas, sur le moment ça va aller mieux. Les gens vont vous dire, ça y’est, c’est plus dans ma tête. Ah ouais, c’est où, ça s’est réparti dans l’univers… non. Soit c’est parti dans quelqu’un d’autre, c’est les thérapies de groupe, on parlait en particulier des constellations familiales ou dans d’autres techniques, soit c’est en vous, mais ça va générer quelque chose de bien plus grave, mais de nombreuses années après. Parce que vous étiez sur le plan mental, vous aviez quelque chose qui emérgeait dans le mental, ou qui venait même du causal, peut-importe, vous l’éliminez de votre mental et vous vous dites, ça y’est c’est dissout, j’ai compris. Mais ça sert à rien. C’est en train de… Plus vous comprenez, plus vous avez réactivé ça et plus ça va descendre dans le corps physique au fur et à mesure des années. C’est imparable et c’est à tous les coups comme ça.

Alors, moi je le disais déjà depuis très longtemps parce que je l’avais vu avec l’effet Kirlian, les enregitrements des énergies. Mais quand ça c’est sorti au niveau neuroscientifique, qu’on l’a démontré, ben c’est la preuve formelle. Pourquoi est-ce qu’il y a aujoud’hui tant de gens qui se battent contre la psychanalyse et autre. Parce que c’est la pire des saloperies qui existent sur Terre. Dès l’instant où vous vous penchez sur vous et vous vous penchez sur le passé, vous acceptez de ne pas être libres.

Même Freud ?

Oh ben oui, ben c’est le pire de tous, lui.

Ah oui ?

Mais bien sûr… bien sûr.

Ça se voit hein, si autour de nous…

Oui, même dans la vie courante, oui.

Des personnes entre cinquante et soixante ans qui ont eu quelquefois des années de psychanalyse, des gros paquets bien tout ce que tu veux, qui ont eu des moments, des phases où ça va mieux, j’ai l’impression que ça y’est, j’ai compris, je comprends donc ça va mieux, et puis tu te retrouves dix ans après et c’est le pfffff…

Ah c’est la panade, c’est… c’est de pire en pire, oui. Oui, oui. Mais c’est la stricte vérité. En plus, je vous le dit, c’est démontré en neurosciences de manière formelle. C’est systématique, c’est ce qu’on appelle la théorie de la plainte. Vous ne pouvez pas… encore plus aujoud’hui qu’il n’y a plus d’anomalie primaire, il ne sert strictement à rien d’aller chercher dans le passé. Bien évidemment, dans l’instant vous savez que votre souffrance, elle vient du vécu que vous avez eu. Mais il faut vous sortir de la tête que c’est l’autre qui est responsable même s’il l’est réelement. Mais cette responsabilité que vous lui mettez dans l’instant présent, elle n’a pas à être dans l’instant présent. Elle est passée. C’est votre conditionnement qui fait que vous le manifestez dans le présent, c’est tout, rien de plus.

Et donc, cette forme de psychothérapie qui a été mise au point, c’est justement d’accueillir. La maïeusthésie, ça y’est j’ai trouvé. Ça s’appelle la maïeusthésie. Qui est validée. C’est-à-dire que maintenant, il a formé des centaines de thérapeuthes à ça et bien évidemment ça change la vie des psychologues. Parce que vous n’êtes plus formatés selon le modèle causal, mais sur un modèle de liberté. Et pourquoi, vous pensez bien, pourquoi les travaux de Skinner… B.F. Skinner, sur le comportementalisme, il a été interdit de traduction en français jusqu’à il y a quelques années. Il y avait qu’en Belgique qu’on pouvait trouver ses ouvrages. Parce qu’il donnait toutes les clés de ça. Quand vous maitrisez le comportement de l’être humain avec des inductions, visuelles ou autres, vous maîtrisez l’humanité.

C’est du MK-Ultra, non plus appliqué au sévices sexuels, enfin pédo-satanistes, mais appliqué à l’ensemble de la société. Ça s’appelle de l’ingénierie sociale. C’est parfaitement connu. Et on se sert et on abuse de ça aussi bien dans la politique, dans le commerce, dans tous les secteurs de la vie. Et tant que vous ne l’avez pas vu, vous êtes dupes. Et vous êtes persuadés que ça marche. Je vous disais l’exemple d’aller acheter une voiture. Vous savez, ce qui déclenche l’achat d’une voiture, c’est pas, pour un mec, de regarder la puissance, la vitesse maxi, même si vous croyez ça, c’est l’odeur de la voiture.

Et on travaille avec des… enfin, on a travaillé avec l’Université de Lausanne, sur un professeur qui s’occupait du goût et des odeurs, parce qu’on sait que si on remet certaines odeurs qui évoquent l’enfance et les souvenirs heureux de l’enfance… Il y en a pas beaucoup. Le pain d’épices, le chocolat chaud, le linge propre… Parce que quand vous vous couchez le soir dans du linge propre, il y a une odeur particulière… Ça, c’est qui est le plus inscrit dans l’être humain, l’olfaction. Et donc, il a suffi de créer des voitures, où on a mis subreptissement dans le tissu ou le cuir ou autre, ce parfum… (Rires) …de chocolat chaud… (Rires) …qui évoque inconsciemment votre enfance. Et là, vous achetez tout de suite. (Rires) Et vous êtes persuadés d’avoir décidé. C’est ça qui est merveilleux.

Mais Jean-Luc, moi j’ai vécu l’expérience, au mois de mai, j’avais, comme on a déjà dit, j’avais une grande insécurité en moi, puis l’insécurité a disparu… la confiance. Et ma voiture est à changer. Une nuit, en me plaçant dans mon coeur et en dormant, j’ai vu la voiture. Une Yaris grise, puis pas usagée, rien… une neuve et, dans la semaine, je l’ai trouvée et je l’ai achetée. Mais j’ai vraiment l’impression qu’elle est venue d’ailleurs, par exemple là. Parce que c’est elle qui…

Oui, exactement. C’est pareil pour les objets, c’est pas uniquement rapport à… c’est valable pour tout, c’est valable pour tout. Si vous laissez venir les choses à vous, elles viendront pour tout. C’est pas possible autrement. Oui.

(Rires)

Témoignage : Je change de sujet, parce qu’après, j’ai envie d’aller me rasseoir. Je voulais revenir sur la discussion qu’on avait tout à l’heure sur les substances qui étaient utilisées, qui amenaient parfois sur certains plans, pour cetaines personnes, tout ça.

Oui.

Je voulais apporter une nuance parce que dans les personnes, soit que je côtoie dans le quotidien ou que je rencontre par l’activité, il y a, par rapport à l’état dans lequel on est sur le moment, dans une consommation, le tempérament de la personne et l’intention qui est mise dans la consommation, quand c’est une consommation qui va être plutôt utilisée comme un refuge, voire comme un catalyseur pour des personnes qui sont en recherche d’expériences, on est dans quelque chose là qui est vécu complétement différemment. Pour les personnes qui étaient un peu… la conversation qu’on avait tout à l’heure… attention, il y a quand même une nuance où… voilà.

Bien évidemment.

Il y a des… il y a des vécus…

Je ne dirais jamais à quelqu’un qui est au plus mal de prendre des enthéogènes. Comme le font beaucoup d’occidentaux avec l’ayahuasca en pensant que c’est la solution miracle et ils se choppent tous des entités de merde, parce qu’elles sont déjà en eux mais ils les ont réactivées. Il faut quand même un minimum, non pas de travail personnel, mais un minimum d’équillibre, effectivement, pour que ça ne soit pas un refuge ou un fuite, mais bien une quête.

Bon, ça l’est pour beaucoup de personnes qui sont encore dedans. Ils le voient très clairement. Ils voient que ça les emmène dans quelque chose où ils vont essayer de revivre un truc qu’ils ont déjà vécu par ce que c’était très, très très très, très très fort. Ils sont… ils voient qu’ils tombent complétement prisonniers de tout ça et que ça les perd complétement et que, voilà. Donc, Il y a des moments où ça permet pas de découvrir des choses qui nous élèvent, on va dire. Même si c’est… ça… je vois ça comme quelque chose qui est vécu pour eux qui est adapté entre guillemets. Il y a des gens qui ont besoin de passer par ça…

Oui. Et tu vois c’est pareil que pour le tabac et l’alcool. C’est exactement la même chose. Moi j’ai été obligé d’arrêter de fumer quand y’a eu les montées vibratoires, avant de commencer AD parce que je tirais sur une clope, je me payais des maux de têtes, des nausées, des trucs terribles. En plus d’arrêter le café, d’arrêter le pain, d’arrêter des tas de choses, ce que j’ai pas décidé, qui était lié…

Ça s’est imposé.

…aux présences qui étaient là. Et puis, à un moment donné, quand est arrivé Bidi, je me suis aperçu que toutes ces choses qui étaient nécessaires à un moment donné n’avaient plus aucune utilité. Et bien évidemment à ce moment-là, j’ai refumé mais en faisant attention à prendre du tabac plus ou moins sain, et je n’avais plus aucun effet secondaire du tabac.

Parce que tu fumais pas de la même façon, dans la même dynamique.

Voilà, dans le même état.

Complétement.

Et c’est exactement pareil pour l’alcool.

Pareil pour manger.

Pareil. Moi l’alcool me supporte mal, mais…

(Rires)

T’est trop lourd.

(Rires)

Mais une fois que j’ai compris ça, ça ne m’empêche pas, si j’ai envie de boire une bière, de boire une bière ou boire un verre de vin. Mais…

Le rapport n’est pas du tout le même.

Le rapport n’est pas du tout le même, c’est un rapport qui est libre, qui n’est pas un rapport de dépendance ou de substitution. Mais ça, ça dépend comme tu dis du point de départ. C’est pareil avec le cannabis. Quelqu’un qui est mal au départ s’il fume un cannabis, il croit que ça va le mettre bien mais ça fait des dégâts. Par contre, celui qui est très bien et qui fume son petit joint de temps en temps, il y a dix fois moins de dégâts qu’autre chose. Mais encore une fois, comme tu dis, c’est pareil pour les enthéogènes. Ceux qui essaient de se prendre de la salvinorine comme récréatif, ils vont être surpris. Parce que perdre le contrôle du corps et voir son propre corps disparaître comme je l’ai vécu avec l’absolu, si tu n’es pas prêt, moi les premiers temps où je l’ai vécu, et encore c’était pas l’absolu, c’était juste le paradis blanc, je hurlais toutes les nuits, de ne plus voir mon corps, d’être dissous dans ce blanc. Parce que bien évidemment, c’étaient mon point du vue et mon vécu de l’époque qui n’étaient pas les mêmes.

Donc effectivement, il faut relativiser cette notion d’enthéogènes ou de quoi que ce soit. Mais retenez que cette notion d’accueil, même pour la psychothérapie, est essentielle. C’est-à-dire que… Et ça, on l’avait déjà démontré. Je vous l’avais montré au Kirlian. Le simple fait de rédiger une ordonnance, même pour des antibiotiques, a déjà une action. Mais tout dépend dans quel état d’esprit le médecin le donne et dans quel état le patient le demande. Si c’est pour lutter contre, il y aura une action qui sera pas très positive. Mais si c’est présenté dans la façon d’aider… c’est tout con. Je vais pas tuer, par les antibiotiques, vos germes, mais on va aider votre corps à se défendre dans cette période-là. Ça change tout. Donc, vous voyez comment même, on est conditionné, dans tous les actes de la vie, à s’opposer à, à lutter contre. C’est systématique. Dans la médecine, dans la pharmacologie, dans le marketing, dans le phénomène de disruption digitale qui existe maintenant.

On a compris, et d’ailleurs même les ingénieurs Facebook qui travaillaient sur voler du temps aux gens… Parce que c’est comme ça qu’on devient riche, en volant du temps, ce qu’on appelle de l’audience, et surtout du temps à cette audience. Et c’est prouvé, c’est une loi mathématique et c’est aussi validé en neurosciences, quand vous captez l’attention du temps, plus vous captez de l’attention, plus vous êtes riches. Ben c’est exactement ce qui s’est passé avec Facebook. Pourquoi maintenant vous avez vingt-six pour cent des Américains qui désertent Facebook, parce que… C’est même pas des histoires de surveillance, de toute façon ils surveillent tout depuis toujours. On est tous surveillés, même sans téléphone, ne vous inquiétez pas. Puis maintenant avec les caméras de surveillance… les caméras de surveillance qui vont toutes être munies de logiciels de reconnaissance faciale et d’intelligence artificielle, en temps réel, toute la planète sait où vous êtes.

Donc ça, c’est même pas la peine de s’inquiéter, mais c’est l’attitude. C’est-à-dire que maintenant, même ceux qui ont créés ces systèmes de predation digitale, s’en aperçoivent. Et que, bien évidemment, là-dedans, il y a des informaticiens qui sont plus malins que les autres, qui ont décidé de faire exactement l’inverse et en démontrant que ça marchait dix fois mieux, en plus. C’est ça la disruption digitale, qui est aussi une forme d’apocalypse. Parce que l’apocalypse, elle est pas seulement dans l’électronique, dans la société, dans le coeur, dans les relations… elle est partout. Et ça participe du mouvement de libération, en passant, là aussi, par la technologie. Comme on l’a fait avec l’anomalie primaire et depuis d’ailleurs le début, quand Pépère, Omraam Mikhäel Aïvanhov, nous avait dit qu’il fallait publier, sur internet. Ce qui était pas notre but. Nous on voulait rester secret, faire des stages, écrire des livres, c’est tout. Mais ça devait passer par là. On comprenait pas pourquoi à l’époque. Nous on s’est plié à ce qu’il avait demandé.

Est-ce que je peux juste faire une parenthèse concernant Omraam? C’est que hier, notre ami qui après son partage, quand, les yeux fermés, j’ai entendu les intonations d’Omraam quand lui, sur la Terre, il parlait là dans les videos qu’on a. Et lorsque j’ai ouvert mes yeux, c’est Omraam que j’ai vu, dans notre ami, Antoine.

Ah oui, oui, oui…

Oui, c’est pas impossible. Tu sais, c’est vrai qu’ayant tellement canalisé d’entités différentes, il arrive souvent que les gens me voient avec un autre visage. Mais… c’est logique.

Avec la voix aussi… Parce qu’on l’écoute parler et on sentait le bulgare, on sentait Omraam…

Mais vous savez qu’il y a… il y a beaucoup de gens à l’heure actuelle, il y en a un qui travaille beaucoup en ce moment, même si il ne parle plus à travers moi, c’est Bidi. Le nombre de frères et de soeurs qui, d’un coup, se retrouvent avec Bidi, même sans avoir rien demandé, ou qui passe à travers de certains thérapeuthes, c’est impressionnant. Et puis alors quand Bidi est là, ça dépote… ça dépote, ça dépote. Il implique une transformation immédiate chez les gens. C’est immédiat, immédiat. Oui.

Je termine encore avec un autre sujet, rien à voir, mais qui était le sujet initial, que je voulais mettre en évidence. Par rapport aux discussions qu’on avait tout à l’heure sur le lieu, sur la particularité de ce que certains vivent ici, etc., surtout pour les personnes qui nous entendent, qui ne sont pas là, par rapport à mon vécu à moi. Donc là, c’est la première fois que je participe, présente physiquement ici. Ça pourrait donner, je pense, pour certains… Quand j’écoutais avant chez moi, c’est pas quelque chose que j’ai ressenti mais que je pense, peut être parfois ressenti par d’autres, d’avoir une espèce d’aspect d’être privilégié ici, d’avoir accès à des choses que chez soi on peut pas partager, vivre, etc.

Dans mon cas, par exemple, sur tout ce qui est très spiritualité, alors que ce soit les dragons, les gnomes tout ça, tous ces… pour moi personnellement, tous ces délires-là entre guillemets, j’ai jamais trop accroché à ça, même si je suis toujours restée très curieuse et où j’écoute toujours avec beaucoup d’attention les gens qui vont parler de leur point de vue, de leurs expériences. Même si, donc ici, avec qui je suis là, même si c’est évident que le fait de se rendre sur le lieu, je dirais que l’endroit fait que ça se produit tout de suite. Y’a pas, quand je me couche dans mon lit, j’attends un peu que ça se pose, que je me calme et puis sans chercher quoi que ce soit, il se passe des choses. Le lieu provoque un certain… une certaine facilité, c’est vrai. Mais par exemple, mois qui ne suis pas du tout dans les délires à aller chercher à faire des choses, etc., avec des expériences avec des dragons par exemple, y’a, moi, des expériences que j’ai vécues chez moi toute seule, sans chercher quoi que ce soit de particulier, sans être à fond dans des trucs comme ça, où j’ai pu vivre des choses absolument extraordinaires, alors que j’étais chez moi, dans mon lit, je faisais rien, etc. Et ça date d’il y a très très longtemps, avant même de t’écouter.

Et donc du coup, voilà, ce qui peut être entendu, perçu comme des choses très fantastiques, c’est des choses qu’on peut vivre en étant complètement, un peu en dehors de tout ce délire-là, en étant chez soi, même en ayant des moments où on est pas bien du tout, etc. Comme la Joie qu’on a ici, par exemple, quand je suis dans des moments où on peut avoir l’impression que c’est plus la peine qui prend toute la place plutôt que la Joie où on se dit, ben tiens, je sais pas trop si en étant ici, est-ce que ça peut être différent, etc. La Joie que je peux vivre quand je suis chez moi, même quand tout est un peu catastrophique, elle est exactement la même, même si ici on est tous dans une ambiance un peu différente et qu’il y a le cadre, etc. Ça n’a absolument finalement aucun poids. C’est juste qu’un décor qui fait qu’intérieurement, ça ne change rien du tout.

Et donc finalement… voilà, on est dans cette espèce d’effervescence où on est tous comme ça là, très wooh wooh wooh (Rire), mais voilà, pour tous ceux qui sont chez eux, peut-être quelquefois voilà, c’est très compliqué, ce qui m’arrive souvent quand je suis chez moi en train de vous écouter, c’est partout pareil quoi. On est vraiment… voilà, la Joie est vraiment la même partout, que ce soit vécu comme de la Joie ou pas.

Tout à fait. Oui, oui, dans les premiers stades. Oui, oui, tout à fait. Mais c’est pour ça que, sans arrêt, même Bidi dans les derniers entretiens disait, c’est la Joie ou tout le reste. Mais quand il y a la Joie, tout le reste est magnifié. C’est évident. C’est évident, en plus, là vous l’avez vu sous l’aspect spirituel par les canas, par les Satsangs et tout, mais sachez que, au niveau neuroscientifique, c’est une des bases fondamentales qui a entraîné d’ailleurs le phénomène disruptif  global de l’humanité au même titre que la Lumière qui est arrivée. C’est l’éclairage de la Lumière qui fait ça. Et cette disruption, maintenant, elle est… alors ils aiment pas employer le terme d’apocalypse parce que ça fait peur aux gens, mais le phénomène de disruption, il est entamé, il est bien entamé. Et cette disruption technologique, elle est totale.

C’est vraiment ça. Tu vois en plus comment, si on prend vraiment ce que le personnage met sur son tapis, comme ce qu’il perçoit comme de la joie, ou ce qu’il perçoit comme de la peine ou de la souffrance, tu vois vraiment comment l’un vient sublimer l’autre et comment l’autre vient sublimer l’un. Donc finalement, y’a ce… Tout est là et rien n’est là, quoi.

Oui, oui. Voilà. Ça rejoint effectivement le fait de ne pas juger comme ça a été dit, donc peut-être sur un côté plutôt judéo-chrétien, mais qui est la stricte vérité. Parce que dès l’instant où vous jugez, c’est vous que vous condamnez, c’est pas l’autre. C’est aussi simple que ça. Et ça, en neurosciences aussi. Dès que vous portez un jugement, c’est vous qui souffrez. Même si vous avez l’impression que vous vous êtes vengés ou que vous avez dit la vérité, il y a que vous qui souffrez. Parce que ça s’imprime dans votre cerveau, ça s’imprime dans vos circuits, ça s’imprime dans les neuromédiateurs. C’est aussi simple que ça. Et quand vous acceptez ce principe de base, ben vous ne pouvez plus, avec cette Joie, rentrer dans des inversions de l’humeur, dans des tristesses, dans des revendications, des rancœurs de quoi que ce soit, c’est impossible. Impossible.

Et, on voit encore, on constate encore le même circuit que tu donnais tout à l’heure où, quand l’intention est portée sur quelque chose qui va nous préoccuper, ça va alimenter et du coup, que ça remonte tout de suite ou que ça remonte un peu plus tard, comme dans le cadre de la thérapie, on voit le mouvement.

Bien sûr. Bien sûr, mais ça c’est… avant d’avoir les neurosciences, ce qui m’avait démontré ça de façon plus formelle, c’est les techniques de visualisation des énergies par l’effet Kirlian. On a découvert des choses avec ça y’a trente, trente-cinq ans, absolument… sidérantes. Alors on avait fait par exemple… et ça c’est pas moi qui l’avait fait, c’est mon ami Georges Hadjo, à l’époque, qui aimait beaucoup le Canada, qui allait souvent avec sa machine au Canada. Et on a eu la surprise à un retour de ses voyages où y’avait un prof de yoga très connu au Canada, il faisait un effet Kirlian avant, après le stage de yoga. C’était deux jours en intensif. Et il faisait l’effet Kirlian avant, après de tous les participants et du prof de yoga. Le prof de Yoga avait une anomalie sur ses champs énergétiques. Il lui manquait le pied droit… bon, il avait pas connu son père donc il avait pas d’énergie sur le pied droit. Et ben à la fin du stage, tous les participants n’avaient plus de pied droit.

(Rires)

Et ça, c’est im-pa-rable. Dès que vous… et au niveau spirituel, au niveau politique et au niveau, Quand vous êtes, entre guillemets, meneur ou en tout cas en quelque chose qui est là pour nourrir, a priori, pas pour prendre, et que vous avez un défaut, ben vous l’avez transmis à tout le groupe. C’est normal.

Mais c’est comme… tu sais le… je sais plus comment ça s’appelle. Y’a une expérience qui avait été faite où y’avait des photographies de molécules d’eau, où y’avait des choses qui dépassaient… voilà, ça diffuse certaines… et c’est magnifique.

C’est Masaru Emoto, la mémoire de l’eau. Vous l’avez avec la mémoire de l’eau, vous l’avez avec ce qu’on appelle les cristallisations sensibles qui est un examen extrêmement fiable, où on prend une goutte de sang qu’on fait cristalliser avec une solution de chlorure de cuivre, où on voit les radiations de la cristallisation. Et où au travers de ça, en France, ça a été interdit malheureusement depuis peu de temps, vous pouviez demander un examen de cristallisation sensible. D’ailleurs en Allemagne, ils s’en servent tout le temps, c’est-à-dire qu’avec une goutte de sang, comme avec l’effet Kirlian, vous voyez toute la personne, toutes les sphères, le physique. Ce qui prouve bien qu’on est un hologramme et que même un globule, une goutte de sang, contient tout ce que vous véhiculez, sans aucune exception.

Ah oui, en parlant d’hologramme…

Moi j’aimerais partager quelque chose qui s’est passé hier. C’est que je montrais à Nada… est-ce que vous entendez bien ?

Oui.

Oui, des photos que… je dirais de l’invisible, qui étaient prises sur le terrain chez moi, voilà trois ans. Et, ça faisait un petit moment que je les avais pas regardées. Un peu comme pour une que je t’ai montrée, mais il y en avait d’autres. Ben, je les regardais mais, ce qu’il y avait sur les photos, dans les formes qu’il y avait là, n’étaient plus les mêmes. C’est autre chose qu’on voyait. Mais le beau petit clin d’œil qu’il y a eu, c’est qu’à un moment donné, il y a un gnome qui est apparu, là. Qui était pas sur la photo d’il y a trois ans. On le voit très bien, avec un petit bébé dans ses bras, mais ça c’est chez moi… Et ça m’a fait penser quand j’étais allée visiter les gnomes et que j’avais amené les petits gâteaux, j’avais dit, j’amène les graines pour les petits bébés. Et là, j’ai, sur une photo, chez moi, le gnome avec un petit bébé.

(Rires)

Le contact que j’ai pris avec… après, j’étais à la maison, c’était en global. Les peuples de la nature. Je les prenais globalement. Mais là, j’ai trouvé que c’était tellement un beau clin d’œil, ah, tellement, là, que ben je vais continuer le contact avec eux. Mais c’est de voir que quelque chose qui était pris dans une forme de… dans pas une photo matière, c’est complètement transformé maintenant avec l’instant présent dessus.

C’est normal. Vous allez avoir des preuves de partout. Simon, tu voulais dire quoi ?

Oui, par rapport à l’aspect hologramme dont tu parlais par rapport au sang, j’avais vu une expérience qui avait été faite avec l’ADN où en prélevant de l’ADN d’une personne et en l’éloignant d’elle, à n’importe quelle distance, on sait que quand y’a une émotion qui est vécue, l’ADN se dilate ou se contracte, et la personne quand elle vit une émotion, l’ADN qui est séparé d’elle, peu importe la distance, vit la contraction de la même manière.

Bien sûr. C’est ce qu’on appelle les champs morphiques ou les champs morphogénétiques de Rupert Sheldrake. Ça va même très, très loin. Vous savez, la grande phrase que j’ai employée aussi et que j’ai fait que piquer à Mme Singer qui est morte, qui était « on est les uns dans les autres », c’est la stricte vérité. C’est pas un concept philosophique ou énergétique. On est réellement les uns dans les autres. Mais pas seulement de ce monde, dans toutes les créations. Et c’est impossible autrement. Sans ça y’aurait pas de reliance. Or on nous a toujours dit que cette reliance, elle avait toujours été là. Même si elle avait été enfermée, dans ce monde. Et quand vous conscientisez, quand vous avez la preuve par votre vécu qu’on est réellement les uns dans les autres, dès que vous jugez, dès que vous émettez quoi que ce soit, c’est à vous que vous faites du mal, à personne d’autre. Mais ça, en plus, je vous dis, toutes les lois neuroscientifiques qu’on redécouvre, et tous les ans y’a des découvertes là-dessus, c’est absolument phénoménal.

Alors, que vous l’abordiez par l’astrophysique, par Nassim Haramein, par les neurosciences, par ce que je vous dit là ou ce que je dis dans certaines cana, oui, c’est la vérité. C’est une vérité imparable parce qu’elle est inscrite. C’est pas une vue de l’esprit. C’est la stricte vérité. Et on ne peut pas transiger avec ça. On est réellement les uns dans les autres, totalement. Donc, bien évidemment, dès que vous jugez, même si vous avez raison, et surtout si vous avez raison, à ce moment-là, vous vous faites du mal à vous-mêmes. Et en plus, maintenant, ça se voit de plus en plus. Et de plus en plus rapidement. Parce que ça ne peut pas être autrement. Là, je parle, ce n’est plus… Jean-Luc Ayoun, c’est vraiment les données de la science. C’est aujourd’hui prouvé. C’est pas prouvable, c’est prouvé. Totalement prouvé.

Donc, tout ça, on l’a prouvé. Bien évidemment, ceux qui on trouvé ça ont gardé ça plus ou moins pour eux, justement pour manipuler plus encore les foules. Parce que dès qu’on connaît ce principe-là, vous imaginez bien que c’est extrêmement facile de manipuler les foules. On l’a vécu en France avec les élections. Il suffit que vous mettiez l’image de quelqu’un pour que les gens votent pour lui, même si il raconte n’importe quoi. Simplement, parce qu’il y a plus de gens qui l’ont vu. C’est du temps. Et rappelez-vous ce que je disais pour Facebook, pour Amazon, pour Ebay, pour YouTube, pour tout, c’est le temps. Quand vous volez du temps aux gens, vous vous enrichissez. Ben au niveau politique, quand vous mettez la gueule de quelqu’un tout le temps, même si il raconte que des conneries c’est lui qui va être élu. C’est aussi simple que ça. Et vous croyez que c’est vous qui avez décidé. Et puis on s’aperçoit, deux ans après, en France, qu’on se dit mais comment il est arrivé à la tête de l’état, celui-là. (Rires) Ben, eh ho les copains, c’est vous qui avez voté pour lui.

(Rires)

Et alors les gens disent maintenant, ah oui, mais on votait surtout contre. Mais vous êtes débiles. Vous votez contre… Et vous voulez pas voter, donc du coup vous admettez que vous avez voté contre tel autre, et vous reconnaissez (pas) que vous avez voté pour lui pour voter contre. Enfin ça veut plus rien dire.

On est vraiment dans cette situation-là au Québec.

Mais partout, au Brésil pareil.

Les gens votent pas ce parti-là, mais d’autres partis où le pourcentage est plus… on voudrait voter parce que, ça dépend, mais, si on le fait, celui qu’on veut pas, il va être encore là parce qu’il va être réélu… Qui fait qu’il faut quand même voter pour l’autre en-dessous afin de permettre que lui s’enlève, même si notre intention, elle serait de voter pour ceux qui sont à peut-être dix, quinze pour cent… Pour pas que ceux à tente, trente-et-un…

De toute façon, je pense pas que ça soit la quantité de votes pour quelqu’un qui fait vraiment qu’il est élu parce que… est-ce qu’il y a vraiment un comptage de ça… c’est des…

Un quoi, un…?

Est-ce qu’ils comptent réellement? Est-ce que celui qui est élu, c’est vraiment celui qui a eu le plus de bulletins… je pense pas.

Nous oui. Nous… et c’est pas un…

C’est décidé bien avant.

Ben ça a été décidé avant les élections, par les principes d’ingénierie sociale. Il suffit simplement de mettre la gueule de quelqu’un plus de temps que l’autre pour qu’il soit élu. C’est aussi simple que ça.

C’est un système qui nous coince.

Hein ?

C’est un système qui nous coince.

Oui, le système d’ingénierie sociale et de…

Et quand il y avait Coluche et qu’il a fait peur aux gens, il avait plus le droit du tout à l’écran, hein…

Oui, oui, je sais. Je sais.

Quand il voulait se présenter…

Mais il a été assassiné, je pense…

Non, mais ça c’était… oui, après, mais sur le coup, il avait plus le droit aux écrans, rien du tout.

Alors Gaëtan, et on arrête après parce qu’il est une heure.

Ah oui, ok, je voudrais peut-être juste revenir sur… ben c’est sur la notion un peu de chaos. Bon, j’ai eu cette référence-là lorsque Nada parlait. Et puis aussi j’ai peut-être un peu expérimenté dans la société, où j’étais dans un cadre… bon, un cadre où les gens, c’est très formel. Et puis parfois tu arrives avec des idées, je me dis bon, laisser aller puis on va voir qu’est ce qui… Et puis là, les gens… ça fonctionne vraiment pas parce que pour eux, c’est presque impossible de fonctionner dans un laisser-aller ou dans une certaine forme de chaos.

Puis je me dis, ben moi à l’intérieur, je me dis, bon, si les gens ont la moindre considération, je dirais peut-être un peu d’amour pour le voisin ou quoi que ce soit… Maintenant les choses… chacun doit pouvoir jauger et puis dire, bon on va faire ci, on peut faire ça, et puis l’interaction du groupe se fait à ce moment-là. Et on peut peut-être faire aussi un certain rapprochement avec… comme ils disent, de vivre la Joie, parce que quand les gens vivront la Joie eh bien, à ce moment-là, même si y’a un chaos, ben les choses vont quand même…

Le chaos est toujours extérieur.

Oui.

Même si tu as l’impression de le vivre, quel que soit le chaos. Le chaos n’est lié qu’à l’interfaçage d’un événement, d’une situation, d’une relation ou d’une relation même à son propre corps, mais c’est pas toi.

Mais en vivant intérieurement certains diamètres, certains…

C’est obligatoire.

C’est ça. L’Amour… On peut appeler ça la Joie. Donc à ce moment-là, le chaos extérieur devient… Il n’y plus de chaos, parce que…

Toute cette dynamique que nous vivons maintenant, que ce soit les anciens, en particulier Omraam ou Anaël, ont passé leur temps, dans toutes les canas, à expliquer ce qu’on vit maintenant. Où que tu regardes en arrière dans ce qui a été dit, tu vas t’apercevoir que c’est exactement ce qui se passe. Que ce soit pour la spontanéité, que ce soit pour n’importe quel domaine.

Alors, on va arrêter là parce qu’il est l’heure de déjeuner.

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