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Satsang 2
Vacances (20 au 25 Juillet 2022)

21 Juillet 2022

Alors, libre cours des questions, de ce que vous voulez.

De quoi voulez-vous parler ?

(Elisa et une sœur discutent entre elles concernant l’air climatisé.)

Si vous voulez, on peut mettre un peu l’air climatisé.

Ça va, ça fait de l’air. OK.

Bien, de quoi on parle ?

Elisa : De quoi on parle?

Vous ne pouvez plus parler.

Elisa : Ça va venir.

Sœur : Des vacances, c’est simple.

Elisa : On pose beaucoup de questions sur le fait que ‘’nous ne faisons pas’’. Il y a un livre de Bidi qui dit en espagnol : ‘’El no hacedad.’’ Ça veut dire ; ‘’Celui qui ne fait pas.’’ Et ça, c’est quelque chose qui est très, très difficile parce que si tu fais comme ça, …

(Soudain, un bruit très fort se fait entendre)

Elisa : … c’est moi qui l’ai fait. La canne, elle est tombée toute seule (Rires) mais moi j’ai … .Et alors non, ça c’était déjà également. C’est incroyable. Donc, on parle du livre, Albert Driot, le livre ‘’Arbitro’’. Dites-moi comment ça se dit en français.

Frère : Libre arbitre.

Elisa : Le livre ‘’ Arbitro ‘’.

Parce que quand tu parles, tu t’exprimes depuis l’État Naturel, effectivement, les choses se font. Ce n’est pas toi qui les fais.

Elisa : Oui mais, quand je veux manger du poisson au lieu de la viande, c’est moi qui choisit, non ?

Non. Le fait que tu crois que tu as le choix a déjà établi.

Elisa : C’est dingue, ça ! (Rires)

Non, c’est impossible à comprendre.

Elisa : Impossible avec le mental.

Comment ? Avec le mental ou l’intellect.

Elisa : D’ailleurs, quand tu essayes de l’expliquer, on te fout dehors…

C’est le deuxième

Elisa : C’est moi qui l’explique, j’ai du mal à ce qu’on me croit, mais j’ai du mal à le croire moi-même. (Rire)

Le deuxième texte que je lisais hier, de Nisargadatta, était exactement axé sur ça. Le sage ne fait rien. Les choses se font. C’est ce qu’on a appelé nous pendant des années, ‘’passer de sa vie à La Vie.’’ Ne plus être sa vie, mais La Vie. Et quand tu es dans La Vie, les choses se font. Tu es peut-être l’agent qui fait, mais ce n’est pas toi qui fais.

Elisa : Oui.

Tu es l’agent pas lequel cela se fait, mais ce n’est pas toi qui le fait.

Elisa : Si on arrivait vraiment à l’intégrer, ça soulagerait beaucoup.

Ça fait partie …

Elisa : Pour ceux qui se sentent responsable et puis aussi, ils ont ce poids de responsabilité et de prendre des décisions.

Le sage ne décide jamais rien. Le libéré ne décide jamais rien.

Frère : Mais son personnage décide quand même, non ? Enfin, je veux dire, même si le personnage croit que c’est lui qui décide …

Oui, bien sûr.

Frère : … le sage voit quand même son personnage …

Mais tu as toujours …

Frère :… prendre la décision et faire tout ça.

… le recul on va dire, parce que je n’ai pas de meilleur mot, un recul suffisant pour voir que ce qui se fait, se fait à travers toi. Oui, mais ce n’est pas toi qui le fait.

Elisa : Donc, cette histoire qu’on nous raconte, que quand tu viens, tu fais ton contrat d’âme et tu inscris tout ce que tu veux, …

Mais ça, ce sont les conneries des archontes. Je te signale que les, enfin je te signale, en 2012, fin 2012, j’ai reçu un truc que je n’ai jamais publié, qui s’appelait ‘’L’Évangile de Satan’’, qui authentifiait le contrat signé entre les Forces de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres et les archontes, et Yaldebaoth. Il y a eu un contrat entre la lumière et l’ombre.

Elisa : Et qu’est-ce qu’ils ont écrit ?

Ah, ils ont écrit des conneries.

(Rires)

Mais en tout cas, il y avait de chaque côté l’impossibilité de violer, ce qu’on appelle, le libre arbitre. En fait, toute l’escroquerie consiste à obtenir le consentement sans dire ce que c’est. C’est le cas pour la piqûre, c’est le cas pour beaucoup de choses. On vous amène à consentir en vous mentant.

Frère : Oui, sans donner les tenants et les aboutissants.

Elisa : Donc, ceux qui se sont fait piquer, ils n’ont pas eu le choix.

Ça fait partie de leur scénario. Ils devaient partir comme ça. Ils devaient souffrir comme ça pour être libres. C’est-à-dire, que d’un point de vue de l’Absolu, il ne peut pas y avoir de bien et de mal. Bien sûr, on voit le bien et le mal. Si je me tape, ça me fait mal. Mais en changeant de perspective, en étant vraiment dans l’État Naturel, tout ce qui arrive est écrit. Et en plus, tout ce qui arrive ne fait que passer. Et tout ce qui passe n’est pas vrai. À partir de là, tu suis La Vie, tu suis, ce qu’on appelait la fluidité, le ‘’flow’’ comme on dit aujourd’hui en psychologie, c’est-à-dire les lignes de moindre résistance.

Tu sais très bien dans la vie, soit les choses sont faciles, à quelque niveau que ce soit, soit elles te semblent faciles, soient elles te semblent compliquées. Et quand c’est trop compliqué, bien, ça veut dire que ce n’est pas facile, donc, ce n’est pas véritable, ce n’est pas vrai. Et le sage, entre guillemets, celui qui a dépassé le conditionnement de la personne, de l’âme et de l’esprit, est totalement libre de ça. Mais, quand on dit qu’il est libre, il est obligé de suivre ce qui est écrit. Donc, il n’y a plus de conflit. C’est la grande différence. Il ne peut pas y avoir de conflit. Que tu sois d’accord ou pas d’accord, ne change rien, de toute façon.

Et encore une fois, je le répète, c’est une grande liberté. C’est-à-dire qu’il n’y a pas besoin de justification, il n’y a pas besoin de combat, il n’y a pas besoin de discrimination. Les choses se passent telles qu’elles sont. C’est tel qu’elles doivent se passer.

Elisa : Donc, le libre arbitre est une escroquerie.

Bien, c’est-à-dire que c’est, tu es sage quand tu laisses tomber ce que dit ton mental, ce que dit ton ego, ce que dit ton désir. C’est pour ça que le sage ne peut pas avoir de désir. Ça ne veut pas dire qu’il ne mange pas. Ça ne veut pas dire qu’il ne fait pas l’amour. Ça ne veut pas dire qu’il ne va pas au cinéma. Ça veut dire que ce qu’il fait, se fait de lui-même. Et c’est vraiment une grande différence. Parce que dans un cas, celui de la personne qui est toujours en lutte, contre les événements, contre la société, contre toi-même, contre le mari, contre la femme, contre ceci, contre cela. Et dans l’autre cas, il ne peut y avoir de lutte. C’est impossible.

Et même s’il devait arriver un conflit ou une lutte, cette lutte étant vue comme faisant partie du faux et faisant partie de ce qui est écrit, n’entraîne pas de conséquence. C’est une différence essentielle. Il ne peut plus exister de tension, on va dire, de conflit entre l’âme et la personnalité, entre la personnalité et l’esprit. Tout est parfait. Et quand on dit que tout est parfait même l’imperfection est parfaite, même la souffrance est parfaite. Encore une fois, ce n’est pas une vue de l’esprit, ce n’est pas un concept. C’est réellement comme ça que ça se passe. Encore une fois, tant que l’on se pose ce genre de question, on n’arrive à rien.

Ce n’est pas en répondant à la question, que ça va changer quoi que ce soit. C’est vraiment être libre, pour moi, c’est un relâchement. C’est un relâchement, bon, il n’y a plus de recherche, il n’y a plus de chercheur. Il n’y a plus d’ambivalence, il n’a plus de conflit. Ça n’empêche pas, encore une fois, d’être en colère ou d’exprimer les sentiments, à un moment donné ou à un autre. Mais, tout ce qui est exprimé, appartient à l’illusion. Dès que tu parles, c’est de l’illusion. Dès que tu interagis avec un autre, c’est une illusion. L’autre, il est toi.

Donc, s’il est toi et qu’en plus, il n’y a personne, ça veut bien dire que tout ce qui est manifesté, projeté sur l’écran de la conscience, sur l’écran des sens, sur l’écran de l’âme, en définitive, n’existe pas. Donc, quelle importance ça peut avoir ? Donc, tout est relativisé, aussi bien la mort, que la souffrance, bien, quand tu souffres, bien tu le sens, tu as des douleurs, mais tu n’es pas affecté. C’est difficile à exprimer ce qui est affecté. C’est le corps, tu peux avoir une affectation de l’humeur, être agacé par ta toux, agacé par ta fièvre, agacé par ceci, mais néanmoins, il y a un centre immuable qui est toujours là. Ce n’est pas quelque chose que tu peux oublier. Ce n’est pas quelque chose que tu peux mettre de côté.

C’est quelque chose qui est sur le devant de la scène, quoi que tu fasses, quoi que tu dises, quoi que tu entreprennes.

Elisa : Ton mental te mènerait donc à ne rien faire.

Nisargadatta disait d’ailleurs : ‘’Le mental crée l’abîme, le cœur le traverse.’’ C’est tellement évident en le vivant, que plus jamais tu ne peux être dupe de ton mental. Tu te sers de ton mental comme un outil mais ce n’est pas le mental qui te dirige. Tu te sers de ta conscience mais ce n’est pas la conscience qui te dirige. Parce que tu sais que tu n’es ni le mental, ni la forme, ni la conscience, ni l’âme, ni l’esprit. Tu n’es rien de tout ça. Et en l’exprimant, je le vis. Je ne peux pas l’exprimer en mots mais c’est un état de fait. C’est un état de fait. Et c’est quelque chose qui est tout le temps là, quoi que tu dises. Même si tu ne voulais plus le voir, il est toujours là.

Donc, nécessairement étant toujours là, quoi qu’il se produise d’agréable ou désagréable, ça ne va rien changer à cette présence.

Sœur : Mais c’est comme si tu mettais, c’est comme si tu te mettais en pilotage automatique, c’est ça?

Oui.

Sœur : Tu es là, tranquille …

Tout se fait sans toi.

Sœur : Et tout le reste …

Ou à travers toi, si tu veux. Mais, à aucun moment, quelle que soit l’action qui est faite, tu ne te considères comme impliqué ou acteur. Tu es simplement l’outil, mais toi, qui demeure un point d’observation, on va dire, un point focal, qui n’est lié ni au mental ni à la conscience ni au corps. C’est un état permanent. Une fois que l’État Naturel a été vécu, il ne peut plus partir. Ce n’est pas une expérience, je le rappelle, que l’État Naturel est un état de fait. Ce n’est pas quelque chose qui peut, le Soi, oui, tu peux vivre une expérience du Paradis Blanc et après revenir, comme dans une NDE, tu vis le Paradis Blanc, tu vis l’extase, tu reviens. Mais ce n’est pas pareil quand tu vis l’Absolu.

Elisa : Donc, tu te découvres en train de faire des choses.

Hein ?

Elisa : Donc, tu te découvres en train de faire des choses.

Oui. Oui. Et ça change tout au niveau des conséquences, des implications. C’est-à-dire, Osho avait parlé de la fainéantise et après, Bidi avait parlé de la divine indifférence. C’est ça. Pour celui qui est dans l’État Naturel, rien de ce qui arrive sur la scène du monde ne peut être choquant. Même la question que l’on a eue hier, par rapport, à la souffrance du monde. Bidi d’ailleurs, même dans ses différents ouvrages qui sont sortis, il l’expliquait très bien. Oui, on constate la souffrance. Oui, on peut voir la souffrance. Oui, on peut compatir à la souffrance. Mais on sait que ce n’est pas vrai.

Elisa : Mais tu peux te voir aussi dans une scène de colère, de colère, par exemple.

Oui, mais si tu as une colère ou tu as un rejet, c’est que tu n’as pas traversé. Tant que la souffrance t’affecte, du monde, tu ne peux pas être libre. Tu crois que c’est vrai. Si tu souffres, c’est parce que tu crois que c’est vrai. Or, ce n’est pas vrai.

Frère : Mais ton personnage, lui, il peut souffrir.

Le personnage peut souffrir.

Frère : Tu peux le voir souffrir, vivre le tout, tout le truc.

Oui.

Frère : Puisque ton regard, à toi, est passé, de façon à accepter que c’est le personnage qui est en train de souffrir,  que c’est lui qui est en train d’être (…) …

Ce qu’a appelé Bidi pendant des années, ‘’le point de vue de l’observateur, du témoin’’, c’est exactement ça. Il y a, là par exemple je parle, mais fondamentalement, il y a quelque chose qui est en silence, on peut dire il est là, au milieu de la poitrine, si tu veux, mais il est partout en fait, qui observe ce qui se passe et c’est tout. C’est-à-dire qu’il n’y a plus d’implication. N’ayant plus d’implication, il ne peut pas y avoir de souffrance. C’est pour ça qu’on l’appelle la Divine Indifférence. Alors bien sûr, du point de vue de celui qui est dans la personne, c’est une aberration totale. Donc, c’est incommunicable. Mais tu ne peux pas y échapper.

Dans l’État Réel ou l’État Naturel, le Parabrahman, enfin, tu l’appelles de multiples façons, c’est quelque chose qui est là que tu ne peux pas nier. Mais bien sûr, pour celui qui est à fond dans son personnage ou à fond dans un développement personnel ou spirituel, on est des fous furieux. De leur point de vue, ils ont raison. Ils ont totalement raison. Mais rien, absolument rien, ne peut te faire dévier ou changer, quand tu vis l’État Naturel. C’est quand il est vécu, c’est un phénomène permanent qui ne peut, en aucun cas, disparaître quoi que tu dises, quoi que tu fasses. Ça rejoint, bon, ce qu’on disait sur le Grand Silence.

La Résonance Agapè, l’Agapè Résonance, – comment on appelait ça déjà, je ne sais même plus -, sont des phénomènes qui apparaissent mais, même dans ces moments-là, le Grand Silence est là. Bien sûr que quand tu vois certaines souffrances, bon on parlait des tunnels, des enfants et tout, tu peux ressentir une émotion. Tu n’es pas privé d’émotion pour autant. Simplement, les émotions sont immédiatement transmutées par l’État Naturel, par l’observateur, par le témoin, par l’Absolu.

Eh bien évidemment, ça change toute ta vie, puisque tu n’offres plus de résistances à la Vie, tu n’offres plus de résistances à ce qui est, parce que tu sais, fondamentalement, que ce qui est, ne peut pas être autrement. Et que tout se passe Ici et Maintenant. Il n’y a plus aucun désir de fuir dans des visions, dans des projections, dans des dimensions. Il y a le courant de la vie, le temps, et bien tu y es soumis, bien sûr, en tant que personnage et tu le sais parce que tu le vis, que c’est une illusion totale, qu’il n’y a pas plus d’espace que de temps que de dimensions.

Et ce discours est unanime, que ce soit encore une fois Jean Klein, que ce soit Bidi, que ce soit des tas d’autres auteurs qui se sont exprimés et qui s’expriment aujourd’hui. C’est d’ailleurs toute la différence entre les falsificateurs, on en a évoqué ce matin, ceux qui pompent le travail des uns, qui essayent de le revendre à leur façon mais qui n’ont rien compris et rien vécu. Et ça transparaît dès la première phrase. On parlait d’un personnage tout à l’heure, qui est-ce qui me parlait …, au Québec, mais c’est tellement évident. Alors bien sûr, les mots sont très jolis. Les mots sont faits pour captiver, pour attirer.

Moi je ne cherche pas ni à attirer ni à séduire. Je cherche à être en conformité avec ce que je suis. Les gens ne sont pas d’accord, bon, ils ne m’écoutent pas, c’est tout. Mais il n’y a aucun désir de séduction ou quoi que ce soit.

Frère : Justement, dans ce cas-là, qu’est-ce qui fait que le personnage n’essaie pas de s’approprier ça ? La personnalité, par exemple, la personnalité de quelqu’un qui vit le Réel ?

Oui.

Frère : Qu’est-ce qui fait que cette personnalité ne s’approprie pas ça pour justement le vendre, se placer, enfin toutes ces choses en fait, qui arrivent finalement …

Parce que tout simplement, tu ne peux pas tricher avec le Réel. Tu peux faire un mensonge à quelqu’un pour quelque chose, mais tu ne peux pas tricher.

Frère : C’est-à-dire que la personnalité finalement, elle est, entre guillemets, soumise au Réel, quoi.

Quatre-vingt-dix pour cent de l’humanité, et encore aujourd’hui, est persuadée d’être cette personnalité. À partir de là, mais l’avantage de celui qui vit l’État Naturel c’est qu’il ne peut pas être affecté par tout ça. Il voit le jeu des uns et des autres. Ils respectent, comme je disais, ‘’laissez les rêveurs, rêver’’. Maintenant, ceux qui sont trompés par ces discours, par n’importe quoi, c’est qu’ils doivent aussi passer par là. Tu vois ? Il n’y a aucune erreur. Il n’est pas question de s’opposer. Il est question de clarté et de précision et de lucidité.

Maintenant, ça ne t’empêche pas de te planter dans la vie du personnage pour n’importe quelle raison, comme tout le monde. Mais cette différence essentielle, c’est que cette Paix, tu la ressens. Cet Amour Indicible est toujours là, même quand tu es en colère, même quand tu dis que tu en as marre parce que tu as le droit d’en avoir marre comme tout le monde, pour n’importe quelle raison. Mais, encore une fois, ça ne peut pas disparaître.

C’est-à-dire, il y a ceux qui croient qu’ils sont encore le personnage, qui croient qu’ils contrôlent leur vie, qui croient qu’ils contrôlent leur décision. Ils vont te parler de libre arbitre. Et bien moi, je parle de la liberté de la Grâce, ce n’est pas du tout la même chose. Je n’ai aucun libre-arbitre. Aucun. La Grâce, c’est ça.

C’est comprendre et vivre que tu n’as aucun choix. Et paradoxalement, le fait de n’avoir aucun choix te rend encore plus libre, parce que tu sais que rien ne dépend de toi. Donc, ça ne sert à rien de s’opposer à quoi que ce soit. Donc, la Vie coule, comme disait Bidi, ‘’Quand je vois que je suis Amour, je suis le Tout, je vois que je suis Rien, je suis la Sagesse, et entre les deux, ma vie s’écoule’’. Et c’est une vie qui ne différencie pas d’une vie d’une personne qui est une personne. Mais simplement, il y a cette lucidité, il y a cette clarté intérieure qui ne te quitte jamais.

Et ne comprenez pas les mots clarté intérieure comme une clarté du médium qui voit clair dans les événements de ce monde. C’est bien plus que cela.

Frère : Celui qui vit la permanence de l’État Naturel, il vit chaque instant comme une perfection. C’est-à-dire il n’y a rien à rajouter, rien à soustraire.

Exact. Exact. Tout est à sa place et tu ne cherches même pas à comprendre pourquoi, c’est comme ça ou pas comme ça. C’est quelque chose qui s’impose.

Frère : C’est un peu ce que vivent les enfants, non ?

Répète.

Frère : C’est un peu ce que vivent les enfants, quand on est enfant.

Quelque part, oui. La voie de l’enfance. Il y a quelques similitudes.

Frère : Quand on est enfant, on ne se pose pas de question, quoi, …

Exact.

Frère : … la vie, on la vit.

Exact. Et le grand avantage, c’est que tu n’as plus à te poser de question. C’est un soulagement et un relâchement. Quand je dis que c’est un relâchement total, c’est effectivement ça. Encore une fois, ça ne t’empêche pas d’être malade, d’avoir des souffrances, d’avoir des problèmes à résoudre comme tout être humain. Mais la façon de voir les choses est profondément différente. Et tu ne peux pas y échapper ! C’est-à-dire que ce n’est pas un choix. Ce n’est pas, tu te dis : ‘’Bon, là maintenant, c’est le personnage qui commande.’’ Non tu ne peux pas, tu ne peux pas. Et tous les gens qui le vivent, disent la même chose.

Ce n’est pas quelque chose d’extraordinaire. C’est carrément l’ordinaire. La Vie est ainsi. Le rêve est ainsi. Le temps qui passe est ainsi. Puis a posteriori, donc tu t’aperçois que, une fois que tu es dans l’État Naturel, que même les choix que tu as portés dans le passé : de décider de te marier, de faire telles études, de vivre telle chose, de vivre dans tel pays, dans telle région, étaient déjà écrits. À partir de là, tu ne peux plus avoir de tension. Et surtout, tu ne cherches pas à connaître l’instant suivant. Ça c’est très important. C’est qu’il n’y a plus de besoin de se prémunir ou de connaître ce qui va se passer.

Parce que tu es tellement, que tu le veuilles ou non, immergé dans l’Instant Présent, que tu ne peux pas être autrement. Alors, bien sûr que ça énerve ceux qui ne sont pas dans cet état-là, parce que c’est totalement illogique par rapport au fonctionnement de la personne, le fonctionnement de la société, aux règles et aux conventions sociales et morales. Mais tu ne peux pas passer outre. C’est-à-dire que tu ne peux pas changer pour faire plaisir à l’autre. Tu ne peux pas t’adapter pour te conformer à… Alors au début, bien sûr, il y a des périodes d’ajustement, de conflit, parce que bien évidemment les autres te voient comme un extra-terrestre un peu fou, quoi.

Et pourtant, tu ne parles plus de spiritualité, tu ne parles plus de quoi que ce soit. Tu es simplement là. Et c’est effectivement, je répète, un grand soulagement, un très grand soulagement. Tu n’as plus besoin de comprendre l’instant, tu n’as plus besoin de te prémunir de l’instant suivant ou de quoi que ce soit. Donc, oui, c’est ça, tu es entièrement présent, tu n’es pas ailleurs qu’Ici et Maintenant. Pendant des années, l’archange Anaël a répété, et même la première fois où il est venu me voir en 2009, en 2008 pardon, avant de commencer les Noces Célestes, toutes les nuits, il me répétait ‘’Hic et Nunc’’, en latin.

Hic et Nunc, Hic et Nunc, et moi je ne comprenais pas. Il disait ‘’Ici et Maintenant’’. Je disais : ‘’Oui, ça va, j’ai entendu’’. Je vois que ma réponse de l’époque, correspond à quelqu’un qui n’avait rien compris à ce qu’il disait. Et quand tu le réalises, ce n’est pas grave, mais tu comprends ce que ça veut dire. C’est comme Bidi, disait Elisa, il y a des gens qui vont lire Bidi, qui vont te reproduire Bidi, mais dans les mots qu’ils emploient, ça se voit qu’ils n’ont rien vécu, ils ont adopté des concepts. Mais encore une fois, ce n’est pas grave.

Parce que, ayant lu, ayant entendu, au moment de leur transition, c’est ce qu’on appelle la mort qui n’existe pas, ils se réveilleront, sans même parler du Paradis Blanc, du Flash Galactique et de tout ce qui est prévu. Donc, si tu veux, il y a une liberté, cette liberté, elle est totale parce que tu n’es plus soumis à ce qui se produit. Cela se produit, c’est comme ça, soit la maladie, la souffrance, la mort, les problèmes, mais que de toute façon, tu n’y peux rien changer. Et que plus tu lâches, plus tu lâches toute prétention à vouloir diriger, contrôler, maîtriser quelque part la situation, plus tu t’aperçois que les choses se passent bien.

Parce que l’Intelligence de la Lumière, l’Intelligence du Réel, comme disait Bernard de Montréal, va être totalement efficace. Et c’est un soulagement, parce qu’à ce moment-là, tu n’as plus effectivement d’effort à fournir. Tu n’as plus de justification à fournir. Tu n’as plus d’explication à trouver.

Frère : C’est revenir à une extrême simplicité.

Ouais. Tout se résout dans le Silence. Ce fameux Silence dont je parlais, qui est aussi la Présence Silencieuse à l’intérieur, à la fois Présence et Absence d’ailleurs, mais qui est toujours là en toile de fond. Tu ne peux pas l’oublier, tu ne peux pas dire que ce n’est pas vrai quand tu le vis. Encore une fois, quand vous découvrez l’État Naturel, vous savez que c’est ça, à tout le monde ça fait la même chose. Vous savez que ça c’est vrai. Que ça, ça ne peut pas être sujet à interprétation, ça ne peut pas être sujet à projection, à discrimination. C’est ça. Et ce phénomène-là est constant chez les frères et sœurs qui le vivent, quand ils sont dans l’État Réel.

On dit tous la même chose. Alors, après chacun a sa terminologie, sa phraséologie, bien sûr. Mais c’est la même chose. Fondamentalement, c’est la même chose. Et effectivement, dans ces moments-là, vous voyez le temps qui s’écoule, bien évidemment, mais comme vous, vous êtes installés dans le non-temps, il y a cette Paix et ce Silence qui sont là en permanence. Même si le personnage d’un coup décide d’être en colère pour une raison ou pour une autre, cette espèce de Paix, de Silence, de Présence, d’Absence, est toujours là. Donc, bien évidemment, il y a certains reliefs du caractère, du comportement, du tempérament, qui vont se modifier.

Mais tu resteras toujours, à la fois cette personne, à la fois ce corps, qui est là. Bidi, toute la stratégie de Bidi de son vivant, comme quand il est venu en 2012 dans les premières canalisations, c’était de dire que ‘’Vous n’êtes pas ce corps !’’. Le problème, c’est l’esprit occidental tordu, il y a plein de gens qui ont fait le syndrome psychiatrique, dans les années ’80 à la suite de ça, qui sont rentrés dans ce qu’on appelle une déréalisation, une dépersonnalisation où ils arrivaient à dire ‘’Ce corps va aller prendre un café’’ !

C’étaient des syndromes psychiatriques, de déréalisations et de dépersonnalisations, parce qu’il y avait une incompréhension, et que les gens ont cherché à s’emparer du concept et de conceptualiser la chose. Ils ne l’ont pas vécu. Quand tu le vis, il ne me viendrait jamais à l’esprit de dire que ‘’Ce corps va aller prendre un café !’’. Non, je vais prendre un café et ce corps me sert à aller prendre le café. Je ne sais pas, ça me paraît, c’est toute la différence entre un syndrome psychiatrique et le Réel. Ah ça, c’était dans les années 80, du temps de Jean Klein, du temps des premiers ouvrages de Nisargadatta. Depuis, ça bien changé. Ça fait quand même quarante ans maintenant.

Et il y a des gens, des frères, des sœurs qui sont dans l’État Naturel sans même savoir qu’ils sont dans l’État Naturel. Mais tu le vois tout de suite. Ils n‘ont pas besoin d’alibi, de spiritualité, d’ange, d’archange, ou de parler d’énergie ou d’autre. Ça transparaît dans les mots qui sont écrits ou prononcés. Ça transparaît aussi dans la vie de la personne. Dans les lieux de Cœur à Cœur, tu vois si une personne est entrain de jouer un personnage, quel qu’il soit ou s’il est dans son État Naturel, dans la spontanéité, si tu préfères. On connaît des gens, qui ne se doutent absolument pas de la fin des temps ni d’une quelconque spiritualité, mais ils sont dans cet état d’alignement.

Parce qu’ils ne trichent pas, ils sont incapables de tricher. Ils sont eux-mêmes. Ils sont réellement eux-mêmes. Ils sont au plus proche de l’État Naturel. Et pourtant, ils ne savent même pas ce que c’est que l’État Naturel, l’état de la personne, la personnalité, l’âme, l’ego. N’oubliez pas que toute démarche spirituelle, et ça je l’ai dit depuis longtemps, ne reflète que la peur de la mort, la peur de l’inconnu. Tu rentres toujours dans une démarche de développement personnel, spirituel, parce qu’il y a fondamentalement en toi, même inconscient, une peur de la mort, une peur de la disparition, peur de l’inconnu.

Et la spiritualité va t’apporter des réponses, mais ces réponses ne te libèrent jamais, jamais, jamais, jamais, jamais. La spiritualité peut même te faire vivre des phénomènes mystiques tout à fait authentiques même parmi les Siddhis, ce qu’on appelle les Siddhis, les pouvoirs de l’âme les plus élevés, la bilocation entre autres, la lévitation. Tout ça c’est du cinéma. C’est encore luciférien. La spiritualité est le plus grand, les religions d’abord, bien sûr, et la spiritualité sont les plus grands pourvoyeurs d’illusion, qui t’empêchent d’être dans cet État Naturel. Parce que, tu dois obéir à des visions, à des vibrations, à des conceptions, à des recherches, à des espoirs.

Dans l’État Naturel, rien de tout ça n’existe. Même si ça existait avant, ça n’existe plus. Encore une fois, comme disait Pépère hier, il le redit d’ailleurs depuis plusieurs mois : ‘’Plus on va avancer dans le temps, plus on va avancer vers l’Événement dont personne ne connaît la date, plus ça va devenir simple, parce qu’il n’y aura rien d’autre.’’ Et l’être humain n’est jamais aussi bon que quand il est au plus profond du trou. C’est là où apparaît la résilience. C’est là où ce qu’on appelle ‘’rebondir’’ , quand l’être humain est obligé de se surpasser, au-delà de son cadre de vie naturel, tu es obligé de trouver des solutions, quelles qu’elles soient d’ailleurs, pour se chauffer, pour manger. À ce moment-là, l’être humain s’ouvre.

L’être humain ne peut pas s’ouvrir dans le bonheur, la joie et l’équilibre. L’être humain ne peut découvrir le Réel que dans le déséquilibre, dans le traumatisme, parce que c’est une explosion, fragmentation totale de tous les acquis. Tout ce qu’on croyait acquis, en fait, n’est rien.

…Silence…

C’est quelque chose … Ça m’a bien séché le nez, ton truc-là !

(Jean-Luc s’adresse à une sœur)

Elisa : Je ne parle pas, j’écoute.

Ah, écoute !

Sœur : Il a séché !

Comme quoi des fois, ce sont les choses les plus simples, qui fonctionnent, encore une fois.

Sœur : Quoi ?

Et bien, ce qu’elle m’a donné là, ce matin, son jus de citrons bourré de je ne sais pas quoi, du miel… Elle m’a donné un cocktail ta belle-fille parce que je toussais, j’avais le nez qui coulait. Ah, et bien, ça a tout séché d’un coup. (Rires) Je ne sais pas si ça va durer, mais pour une fois, c’est sec.

Elisa : Oui, j’ai vu passer une boisson. Je pensais qu’elle te donnait un whisky ou quelque chose.

Ah non, elle m’a donné un truc, Ouf !

En fait, quand vous êtes dans l’État Naturel vous prenez les choses comme elles sont parce qu’elles ne peuvent pas être autrement. C’est pour ça que je l’appelle aussi une résignation. À l’époque, on parlait de sacrifice, d’abandon à la Lumière, de fluidité de l’unité, d’Intelligence de la Lumière, d’Intelligence du Réel. Encore une fois, parce qu’on essaie de mettre des mots, qui essayent d’approcher de ce qui est vécu. Mais aucun mot ne peut, véritablement, rendre compte de ça puisque la seule chose qui rend véritablement compte de ça, c’est le Silence. Ce n’est même plus l’exubérance d’Agapè. Agapè est toujours là mais elle est silencieuse.

Elisa : Et si on revient au jeu, un petit peu. Oma avait dit qu’il allait y avoir une troisième guerre mondiale …

Elle a déjà commencé.

Elisa : Oui, mais on n’a pas encore des bombardements.

C’est toujours comme ça que ça commence. Ça a déjà commencé, bien sûr. Ce n’est pas parce qu’on n’a pas pris une bombe en Europe que ça n’a pas commencé. La guerre est à un autre niveau, aujourd’hui.

Sœur : Tu as l’air déçue Elisa.

Elisa : On disait que Poutine(Rires)

On disait quoi ?

Elisa : On disait que Poutine est un chapeau blanc.

C’est bien plus qu’un chapeau blanc, Poutine. C’est celui qui est cité dans les prophéties de Fatima. C’est le ‘’sauveur de l’humanité’’, entre guillemets.

Elisa : Attends, explique-moi ça. (Rires d’Elisa)

(Tout le monde parle en même temps.)

Dans la troisième prophétie de Fatima, bon, là, Fatima. Alors, attention, pour moi, Fatima, ce n’était pas la Vierge, mais dans la prophétie de Fatima qui, elle est réelle …

Sœur : Ah bon.

Elisa : Ah, cette fameuse prophétie qui ne sortait pas.

Mais ce n’était pas la Vierge qui est apparue, c’est une escroquerie.

Elisa : Non. Ça, je le sais bien. Mais je veux dire, …

Mais la prophétie de Fatima annonçait la troisième guerre mondiale …

Sœur : Ah bon.

Sœur : Oui.

… et qu’on serait sauvé du satanisme, du pédo-satanisme, par la Russie.

Sœur : Oui.

Sœur : Ah bon.

Elisa : Ça ce n’est pas faux.

Oui. Ah bien, si. Et Marie-Julie Jahenny, j’avais cité Marie-Julie Jahenny, je l’ai cité hier, la prophétie de La Fraudais, comme les prophéties Quiérysiennes d’ailleurs, en Bretagne. J’ai eu la chance dans mon jeune temps, d’avoir étudié toutes les prophéties. Et c’est maintenant que je m’aperçois qu’effectivement, parce qu’à l’époque quand on disait, quand tu regardes les cartes d’invasion de la France, une invasion russe et chinoise et arabe, ils disaient, il y a encore dix ans, mais comment ça peut exister. Mais maintenant, on comprend mieux.

Il y a deux forces, Gog et Magog. Les forces du mal, c’est nous, c’est l’Occident …

Elisa : Oui, ça je sais.

… en totalité. Les forces du bien, sur la scène de théâtre, c’est la Russie.

Elisa : Ça, je l’ai aussi senti.

Voilà, donc c’est la Russie et c’est écrit dans la prophétie de Fatima et dans La Fraudais aussi, ce sont les russes, porteurs des valeurs chrétiennes orthodoxes, authentiques, qui mettent fin à l’élite pédo-sataniste occidental.

Elisa : Mais, est-ce que ça va se voir comme ça dans le jeu?

Ça va plus que se voir, quand tu vas recevoir un ‘’Satan 2’’ sur la tête, tu vas comprendre ce qui va se passer.

Elisa : Va avoir quoi?

Satan 2, le missile qui détruit tout un pays. Quatre-vingts survivants dans tout Paris. Ce n’est pas une blague, c’est la réalité.

Elisa : C’est ça qui va …

Avant la fin de l’année.

Elisa : C’est ça que la Russie va balancer sur l’Europe.

Ah oui.

Elisa : Nous, on est Européen.

Oui.

Elisa : On va avoir ça sur la tête. (Rires)

Sœur : Mais, toi tu es loin de Paris.

Paris sera détruit, Lyons sera détruit, Troie sera détruit. Par la Méditerranée, il y aura un tsunami et l’envahissement par les chinois et les arabes. C’est fini. L’Europe est terminée. On est allé, en Europe, le plus loin possible dans le travestissement, dans le satanisme. Poutine l’a dit, la première cible c’est Londres, la City, deuxième cible, Paris.

Frère : Ce ne sont pas les États-Unis.

Hein ?

Frère : Il ne parle pas des États-Unis parce que les États-Unis, c’est quand même …

Les États-Unis, ils ont le New Madrid, eux, qui est en train de péter, ça c’est réel.

Elisa : Mais alors, ce Trump là, qu’est-ce qu’il vient faire, là?

Qui ?

Elisa : Trump.

Sœur : Trump.

Trump ! Il fait partie de la scène de théâtre, quoi.

Elisa : Oui, mais je veux dire, il est comment ? Il appui Poutine ou pas?

Alors. Trump, Poutine, Xi Jinping font partie de ce que tu appelles les chapeaux blancs. Mais maintenant si tu pousses la logique cartésienne jusqu’au bout, pourquoi est-ce que ces salopards de chapeaux blancs ont laissé, quand même, laissé mettre en œuvre le génocide ? Ils n’auraient pas pu faire avant leur truc là ?

Elisa : Ça aussi, je l’ai aussi pensé.

Donc, chapeaux blancs, chapeaux noirs, bonnets blancs, bonnets noirs, c’est la même chose.

Elisa : Oui, mais peut-être, ils n’ont pas pu. Ça met du temps et les autres se sont bien accrochés quand même à la partie du jeu.

Écoute, avec les armes qu’il y a actuellement, même de l’autre côté, ça aurait été très facile de mettre fin à tout ça. Une impulsion électromagnétique, il n’y a plus d’internet. C’est fini.

Elisa : Mais il y a les gens qui sont contre Poutine, tout à fait, et personne ne comprend ce qu’il fait. C’est le Satan sur la Terre. Même quand on prononce …

Ça prouve simplement, que ce qui a été écrit, se réalisera comme ça été écrit. Je te dis, pour avoir étudié, que ce soit les prophéties de Mélanie à La Salette, que ce soit, même les prophéties musulmanes, que tu as dans le Coran, c’est évident, c’est ce qu’on est en train de vivre. D’ailleurs, tous les musulmans sont au courant que c’est la fin des temps, ils le savent. Ils le savent tous. Alors que les occidentaux chrétiens, enfin, le peuple occidental a été tellement lobotomisé qu’il continuera sa vie comme si de rien n’était.

On a laissé, ça été le cas, j’en avais parlé en 2017, avant l’élection de Macron. J’avais dit que les français allaient voter pour l’antéchrist. Ils l’ont fait. Ils l’ont même réélu. À partir de là, qu’est-ce que tu veux qu’un peuple qui, même s’il a été trompé, vote pour son propre tyran, soit épargné?

Elisa : Mais ce sont des élections qui ont été faussées.

Hein ?

Elisa : Mais ce sont des élections qui ont été faussées.

Oui, oui, mais peu importe. Personne ne s’est levé contre ça. Aucun homme politique ne s’est levé contre ça. Donc, nous sommes tous coupables. Absolument tous. Parce que personne n’a été capable de s’opposer à ça. Alors peu importe que l’on ait été hypnotisé pas la télé, qu’ils aient trafiqué les élections et autres, le résultat est là.

Et maintenant, quand tu regardes les cartes des prophéties de Marie-Julie Jahenny, de ce qui allait se passer, c’est exactement ce qui est en train de se passer. Quand tu regardes la couverture des Centuries de Nostradamus, qui montraient le Parlement qui a été construit que deux cents ans plus tard, complètement détruit avec le pont, là, qui est en face, avec quatre-vingt-un survivants dans tout Paris. C’est la stricte réalité. Et c’est maintenant.

Là, ça ne dépend pas de l’horloge céleste avec Nibiru ou le Flash Galactique quand on sera aligné avec Sagittaire A, c’est-à-dire, à partir du dix-neuf novembre, je crois. Tous les ans on est aligné avec ça, mais c’est aux alentours du dix-neuf novembre, oui, dans cette zone-là.

Mais là maintenant, les événements terrestres, humains, sociétaux sont là. Si tu veux survivre, à ce qui va se passer en Europe, faut pas rester en Europe, faut partir en Amérique latine.

Elisa : Et l’Espagne ?

Moi, je m’en fous de survivre ou pas survivre. Ça n’a aucun sens puisque je ne suis jamais né.

Elisa : Moi aussi. Mais l’Espagne aussi va être …

Et comment !

Elisa : … avec son chef …

Et comment ! Elles sont où les bases de l’Otan ?. Il y en a beaucoup quand même, aussi ici en Espagne. Dans les Bardenas, c’est une des plus grandes bases aériennes de l’Otan. Pendant la première guerre mondiale, quel est le pays qui a accueilli les contingents américains ? L’Espagne.

Elisa : Je ne sais pas.

Le plus gros karma, c’est la France, juste après, il y a l’Espagne, en Europe, je parle. Juste après, il y a l’Espagne.

Frère : Et en Amérique Latine, eux ils n’ont pas de …

Qui ?

Frère : … en Amérique Latine, ils n’ont pas de …

Ça dépend des pays. Mais effectivement, quand tu vois que tous les filous- là ont acheté les terres en Amérique Latine, parce qu’ils savent qu’il y a des pays qui seront préservés. Mais, préservés de quoi ? Des bombes, oui. Mais, même dans les bases souterraines, quand il y a un Flash Galactique, ils ont créé les ‘’Deepand DarkWorm and Military Bases’’, partout sur la planète, les tunnels. Mais qu’est-ce que tu veux que ça résiste à un rayonnement gamma ? Ils sont fous. Le rayonnement gamma, il traverse de part en part la matière. Donc, ils mourront sous terre au lieu de mourir à l’air libre. C’est tout.

Sœur : Qu’est-ce qui va créer le tsunami de la Méditerranée ?

Qu’est-ce qui va déclencher le tsunami ? C’est la déchirure, tu sais qu’il y a une faille au fond de la Méditerranée. D’abord, il suffit de regarder ce que disent les Zetas, sur la suite des événements, c’est exactement ça. La faille de New Madrid est en phase finale d’ajustement, ça c’est clair, ça peut être d’un instant à l’autre, mais vraiment d’un instant à l’autre. Là, ce n’est pas dans des années, c’est en ce moment. Ça peut être là. Ils sont en surveillance, toute la ligne a pété. La Nouvelle-Orléans a pété. Le long du Mississipi, ça s’est propagé. Quand ça va remonter, quand la ligne de faille va remonter pour toucher le Québec, c’est fini.

Les États-Unis se séparent en deux, tsunami Atlantique et après, tsunami Méditerranée, parce qu’il y a une faille au milieu de la Méditerranée. Et ça, c’est déclenché en ce moment. C’est lié aux modifications de la magnétosphère, de l’ionosphère, des compressions. Quand vous regardez les diagrammes, de ce qu’on a appelle la magnétosphère, vous voyez bien qu’il y a le soleil avec son vent solaire et qu’il y a des poussées par l’arrière, par quelque chose qui est beaucoup plus gros que le soleil. Ça c’est en cours.

Les Russes de toute façon l’ont dit, ils ont des armes supersoniques qui sont en avance de trente ans sur les autres pays et ils utiliseront leur arsenal nucléaire. C’est évident. Ils ont décidé de mettre fin au pédo-satanisme. Pour eux, c’est l’inverse des valeurs chrétiennes. Donc, sur la scène de théâtre, ils ont raison.

Elisa : Donc, mais ils savent toute cette histoire de Nibiru. Par exemple, Poutine sait qu’il existe Nibiru.

Mais bien sûr, Poutine, il sait qu’il est investi de cette mission. C’est évident.

Sœur : Ah bon !

Elisa : Et il sait qu’il y a Nibiru?

Il sait aussi qu’il y a Nibiru. La grande différence par rapport à l’occident, c’est que lui, il a construit des bases souterraines pour protéger de l’impact. Et donc, ça ne servira à rien quand il y aura le Flash Galactique. Mais au moins, ils avaient agi pour le peuple.

L’Europe, ce qu’on appelle l’Europe, c’est une construction nazie. On parle toujours de l’extrême droite comme des nazis, regarde en France avec Marine Le Pen. Le vrai facho c’est qui ? C’est Macron.

Sœur : Oui.

Les gens ne voient pas. Il y a en a qui sont complètement endormis. Le mec, il est pédo-sataniste, il est marié à un travesti de soixante-dix ans.

Elisa : Oui, ça je le sais.

Il a tué deux personnes, pendant ses études, dans des crimes rituels en Allemagne. Tout ça, ça va sortir.

Elisa : Tu ne vas pas être censuré?

Bien, je m’en fous. Je l’ai déjà dit en 2017, de toute façon, ça ne change rien.

Sœur : C’est beaucoup maintenant, c’est beaucoup ça.

En 2017, je m’en rappelle très bien dans les élections, j’avais prévenu tout le monde. On était à Can Mas là, c’était entre les deux tours. On nous dit : ‘’Vous allez signer votre contrat de mort.’’ C’est écrit, c’est écrit. On n’y peut rien. Simplement, il faut être lucide sur ça. Donc, Nibiru ou pas Nibiru, je vais te dire, avec ce qu’ils nous préparent, là, avant la fin de l’année. Le missile Satan avec seize têtes nucléaires, c’est toute la France qui est détruite.

Sœur : Comment, je posais la question, comment on meurt avec le nucléaire, en fait?

Comment on ?

Sœur : On meurt avec le nucléaire, comment?

Quelle importance.

(Rires)

Sœur : C’est une curiosité.

Ça dépend de ta distance par rapport au lieu d’explosion. Tu peux mourir du souffle, tu peux mourir de l’irradiation, …

Sœur : Oui.

… Tu peux mourir, dans un second temps de la radioactivité. Moi, les images que j’avais eues il y a très longtemps, ce n’était pas très beau. Il y avait des gens qui erraient en loques, puisqu’il n’y avait plus d’habitat, il n’y avait plus rien, avec la peau brûlée, les zones noires sur la peau liées à la radioactivité. Parce que ça, c’est l’événement humain. L’événement humain, ce n’est pas l’Événement Collectif. Et que de toute façon, l’événement humain, ce que j’appelle l’apocalypse nucléaire, elle survient dans la semaine précédant le jugement dernier, comme on dit, c’est-à-dire le Flash Galactique ou de Nibiru.

Et là, ça ne peut pas être une projection pour vous donner des dates puisque, comme Nibiru avance et recule, sa vitesse est relative, on ne peut pas savoir quand c’est. Par contre, les événements humains, eux, ils sont programmés depuis longtemps. Il suffit de regarder l’Agenda 2030. Il suffit de lire Le Grand Reset de Klaus Schwab et vous comprenez que tout ce qui se fait, est exactement ce qu’ils veulent. Pénurie alimentaire, vous allez voir que dans quelques mois vous aurez des passes pour le carburant, vous aurez un certain nombre de litres selon votre travail. Si vous ne travaillez pas, bien, vous n’aurez plus d’essence ou alors, il faudra le payer à quatre fois le prix.

La pénurie alimentaire est annoncée dans toutes les prophéties, que ce soit Alois Irlmaier, le prophète russe, que ce soit Baba Vanga, la mystique aveugle bulgare, tout ça, ils décrivent tous la même chose. Les gens sont ignorants de ça. Vous voyez, moi j’ai eu la chance d’étudier toutes les prophéties quand j’étais jeune, à l’époque je ne comprenais pas pourquoi, mais aujourd’hui, ça fait sens, quoi, c’est exactement ce qui se passe. Et ce n’est pas l’année prochaine, ce n’est pas dans deux ans, c’est maintenant.

Elisa : J’ai chaud.

(Rires)

Ça va être très chaud. Ça va être très, très chaud. Mais encore une fois, ça sera la meilleure occasion de se rendre compte, pour ceux qui ont encore peur de ça, que c’est une scène de théâtre. C’est tellement gros, tellement énorme.

Elisa : Moi, je n’ai pas envie de bouger d’ici même si …

Sœur : Mais non, ce sera pareil.

Elisa : Si l’eau monte jusque-là, et bien, je ne peux plus…

En tout cas, tu es aux premières loges pour le tsunami Méditerranéen.

Elisa : Oui.

Moi, je m’en fous parce que je déménage, je veux aller vivre en bord de mer, pour être plus proche de la mer.

Elisa : Moi, je vais avoir l’eau ici, là tout près.

(Rires de Jean-Luc.)

Elisa : C’est bien, je n’ai plus besoin de descendre.

On ne saura plus où se tourner, on ne saura plus quoi penser. On sera complètement perdu. Mais c’est justement le fait d’être perdu qui va te libérer.

Elisa : En tout cas, je ne veux pas courir.

Tu ne peux pas mourir puisque tu n’es jamais née !

Elisa : J’ai dit, je ne veux pas courir.

Ah. Non, mais tu ne peux ni courir, ni mourir. C’est ça la grande farce. C’est qu’à l’occasion de cet Événement Collectif ou humain, même si ce ne sont pas les mêmes, même s’ils sont à peu près semblables, les gens vont se rendre compte qu’ils ne sont jamais nés.

Elisa : Tout le monde va courir de tous les côtés. Moi, je ne peux pas courir. (Rires)

On va tous mourir mais comme on n’est jamais né, on ne peut pas mourir. C’est le grand paradoxe. Mais c’est exactement ce qui en train de se passer.

Elisa : Donc, Poutine, c’est intéressant ce que tu dis, parce que moi, je n’avais pas de raison concrète, mais ce gars il m’a toujours surprise, je ne savais pas, je ne pouvais pas le… Alors que Macron par contre, on voit très clairement son énergie. Et même Sanchez. Mais il n’y avait pas de raison spéciale pour que je dise qu’un russe pouvait me laisser un petit peu, pas indifférente, mais, je me disais, il y a quelque chose-là. L’intuition.

C’est la guerre de tous contre tous et le combat est eschatologique de la fin des temps, le bien contre le mal. Et le bien, n’est pas les pays que l’on croit. Le bien, c’est vraiment la Russie. C’est le seul pays qui a gardé l’orthodoxie.

Elisa : Mais pourtant, le maître du monde c’est l’Amérique.

Quel maître du monde ? Ils ne sont plus maîtres de rien du tout.

Elisa : Oui, mais ils étaient.

Attends. Sur le plan géopolitique, aujourd’hui, tu as les Brix qui s’opposent au G-7 et ils sont tous en train de rejoindre les Brix. C’est fini, l’occident est mort au niveau économique, au niveau financier, il n’existe plus. Ça fait partie de la troisième guerre mondiale. L’occident a déjà perdu. Il y a qu’on a tellement été privilégié, quelque part, depuis le début du vingtième siècle avec le développement technique, notre argent, qu’on a oublié l’essentiel, collectivement, je parle. Aussi bien moi que tout le monde.

Elisa : Puis on a appelé les peuples de l’Amérique, le tiers monde, quoi. (Elisa fait référence à l’Amérique du Sud.)

Oui. Il ne faut pas oublier que les américains, quand même, sont des européens au départ, qui ont tué et massacré les Autochtones. Ça aussi au niveau karmique, ce n’est pas très bon. Comme les espagnols avec …

Elisa : Ils se sont mélangés aussi avec les gens de là-bas.

Le karma, il existe sur la scène de théâtre, il est réel. Donc, il y a un karma individuel et il y a surtout un karma collectif. Et le karma de l’Espagne, il n’est pas très bon non plus.

Elisa : C’étaient des conquistadores.

Sœur : Là, il n’y a plus de karma.

Tout ça est en train d’arriver sous nos yeux. C’est pour ça qu’il y a urgence, je dis, à essayer de profiter des moments de paix, des moments où on peut être dans la nature, des moments où on va être à El Camino Del Rey, sur le bateau à visiter, être vraiment dans la vie de l’instant, quoi. Beaucoup parmi nous encore travaillent et ont peu de temps. Moi, j’ai tout mon temps. Je passe mon temps sur ma terrasse, assis sur ma chaise à ne rien faire. Mais il y a encore des gens qui sont très pris par leurs activités. Mais ils auront le temps, quand il n’y aura plus rien, ils auront tout leur temps.

Elisa : Mais c’est ça qui va être dangereux. Parce que les gens ne savent pas ne rien faire.

Oui.

Sœur : Surtout, s’il y a des enfants, on ne peut pas ne rien faire.

En plus, vous allez voir à quel point les occidentaux sont spéciaux. Il y a des livres qui sont sortis, officiellement, Le Grand Reset de Klaus Schwab, qui explique, page par page sur trois cents pages, tout ce qui va arriver. C’est le plan qu’ils suivent. Il y a plein de gens qui ne veulent pas le lire, ils l’ont offert à des gens, ils ne veulent pas le lire. Alors que c’est exactement le plan. Le covid a été créé en labo, il devait émerger à telle date, etc., etc… Tout ça, ils l’ont programmé. Et ça fait tellement peur aux gens, qu’ils ne veulent même pas le lire. Pourtant c’est accessible à tout le monde. Ce n’est pas un ouvrage secret ésotérique.

Sœur : Oui, mais à quoi bon, puisque de toute façon, on n’y peut rien.

Exact. Oui mais je parle pour ceux qui sont incrédules, je ne parle pas pour nous. Mais il y a encore plein de gens, moi, je le vois même dans ma famille, qui pourtant vivent des choses, sentent des choses, ils sont persuadés que … c’est effarant, à tel point que ça sert à rien de communiquer ou d’échanger…

Les gens ont tellement peur qu’ils refusent de voir le réel.

Elisa : Il y a eu des explosions autour du Vatican.

Oui. Les tunnels souterrains du Vatican ont explosés. Êtes-vous déjà allés au Vatican?

Sœur : Non.

Oh, putain, moi, j’y suis allé. À un moment donné, j’ai pénétré dans la crypte en dessous. Oh, la, là. (Rires de Jean-Luc)

Elisa : Les égrégores …

Ah mais c’est monstrueux, monstrueux. J’ai vécu la même chose dans une chambre funéraire en Égypte, dans la Vallée des Rois, là. Je rentre dans une tombe, tout tranquillement, putain, des entités qui t’assaillent de tous les côtés. Je suis sorti en courant, j’ai été malade pendant trois jours. Et tu as la même chose sous le Vatican. Voilà la religion catholique, voilà ce qu’est l’Occident. Le pédo-satanisme à outrance, la disparition du sexe, le travestissement. D’ailleurs, vous aussi, vous avez Begoña, la femme de Pedro Sanchez …

Sœur : Oui, qu’est-ce qu’elle a?

Ce n’est pas une femme.

Elisa : Bien, ça c’est incroyable.

(Rires)

Ah, tu trouves que c’est une tête de femme, toi, Begoña?

Elisa : Non.

Begoño, on l’appelle. (Rires)

Sœur : C’est qui ?

Elisa : C’est le chef d’état.

C’est la grande mode. Ça a commencé avec Barack Obama, avec Michèle Obama qui est un mec.

Sœur : Ah, Michèle Obama, c’est un mec !

Mais tous les chefs d’état ! Tu n’arrives, en tant que chef d’état ou à un quelconque poste de pouvoir, que si tu es pédo-sataniste. Sans ça, tu ne seras jamais connu, ni à la télé, ni ailleurs. Aujourd’hui, c’est la règle. Tant que tu n’as pas sacrifié un enfant, tant que tu ne l’as pas sodomisé et bu son sang, tu ne fais pas partie de l’élite. C’est contre ça que se bat Poutine.

Alors, vous avez dans toutes les mairies, en Espagne comme en France, sur l’autoroute, ‘’Bienvenue aux ukrainiens’’. Alors nous, en Catalogne du Nord, on a deux villes, Llançà et Empuriabrava, où il y a les ukrainiens qui sont arrivés. Mai eux, ils sont arrivés dans des voitures à deux cent mille euros !

Et sur les plages, les femmes ont toutes la croix nazie tatouée sur la fesse. Voilà ce qu’on a accueilli. Et les gens croient œuvrer pour ces pauvres gens. Il y a un travestissement, bon, mais c’est inimaginable, inimaginable. Le mensonge est permanent. Et on a fait confiance à ce mensonge. Quand je vois encore aujourd’hui que les gens ne voient pas, quand tu vois que Brigitte Macron est un trav (travesti), j’hallucine, quoi. Alors qu’elle chausse du quarante-trois (Rires de Jean-Luc) pour un mètre soixante.

Sœur : Et moi je me posais la question, pour le premier ministre, comment elle s’appelle, Borne, …

Qui ?

Sœur : Elizabeth Borne.

Sœur : … moi, je me demandais si ce n’était pas un gars, quoi.

Ah, elle est spéciale, elle. Pour la faire rire, je ne sais pas ce qu’il faut faire. Ce sont des machines, ce sont des machines. Ce sont des maîtres du mensonge. Tu ne peux pas être dans un gouvernement, si tu n’es pas un maître du mensonge, si tu ne sais pas mentir avec aplomb. Et regardez l’autre dans les yeux, et continuer à mentir et à jouir de ton mensonge. Regardez Dupont-Moretti. Franchement. Ministre de la justice. (Rires) C’est vrai. Tout est comme ça.

Sœur : Il y a Olivier Véran, ministre de la santé.

Sœur : Sinon les Chinois.

Sœur : Elle n’aime pas les Chinois !

Ils ont la même chose en Espagne.

Frère : Une question, là. Tout à l’heure on parlait des tunnels au Vatican.

Oui.

Frère : Qui ont explosé ? C’est quoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?

Ils ont fait sauter tous les tunnels du Vatican.

Frère : Qui a fait sauter ça ?

Et bien, les chapeaux blancs. Il y a la mafia casares à …, qu’on appelle, la mafia casares qui est tout ce qu’on appelle ceux qui règnent sur les élites, qui s’appellent eux-mêmes les élites, qui sont des pédo-satanistes et qui sont obligés de faire certains rituels pour accéder aux postes clé. D’accord ? Et de l’autre côté, tu as les plus gentils, on va dire, ceux qu’on appelle les chapeaux blancs. Mais qu’ils ne cherchent qu’une seule chose, c’est le pouvoir.

Frère : Et eux aussi, ils veulent le pouvoir.

Dans un cas comme dans l’autre. Simplement, il y a en a qui sont ‘’soft’’, ils vont te tuer très lentement, mais sans te le dire et les autres qui sont très ‘’hard’’. Il y en a qui adore Molok, le dieu Molok, et d’autres qui adorent Lucifer. C’est une merveilleuse scène de théâtre. Et tout ça pour montrer à l’être humain simplement une chose, que tant qu’il remet son pouvoir à une autorité extérieure quelle qu’elle soit ; religieuse, politique, familiale, professionnelle, il ne peut pas être libre.

Frère : Mais là, on l’a senti avec tout ce qui s’est passé avec le covid. Tous les choix qui ont été faits, tous les verrous qui étaient censés exister pour limiter les choses, et aucun verrou n’a fonctionné.

Oui, oui, tout à fait.

Frère : À tous les niveaux, quoi.

Oui. Mais bon, ça fait partie du jeu, on va dire. C’est un jeu morbide, mais c’est un jeu. Et toutes les prophéties s’éclairent ainsi, que ce soit les prophéties antiques ou modernes. Et là, par contre, autant au niveau cosmique, personne ne connaît la date, autant au niveau sociétal humain, les dates sont parfaitement connues.

Elisa : Quoi, pour la guerre ?

Pour la guerre, pour la pénurie, la famine, les famines qui arrivent. La pénurie de tout.

Sœur : D’ici à la fin de l’année. Tout ça, c’est à la fin de l’année.

Ah oui. C’est avant la fin de cette année, bien sûr. Ça commence dès la rentrée.

Sœur : D’accord.

Vous verrez. Ce n’est pas une prédiction ni une prophétie. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est ce qu’ils ont écrit eux-mêmes. Je vous le dis, regardez sur Google, Agenda 2030. Procurez-vous le livre en PDF, je l’ai, je crois d’ailleurs, de Klaus Schwab, The Great Reset. Vous verrez, tout y est. Disparition de soixante-quinze pour cent des restaurants. Pourquoi est-ce qu’en Espagne, par exemple, ils mettent le train gratuit pour septembre ? Tous les trains deviennent gratuits en septembre. Et bien tout simplement, parce que vous ne pourrez plus prendre votre voiture, il n’y aura plus d’essence. Sauf pour les travailleurs.

Et c’est déjà commencé. Ils l’ont instauré au Sri Lanka, le ‘’passe carburant’’. Il y a le passe-carbone, le passe-carburant, le passe alimentaire, le passe ceci, le passe cela. C’est ce qui est en train de se déployer.

Frère : Mais ça, là, c’est sur la partie occidentale, ils ne vont pas avoir la main sur…

Ah, ça commence en septembre.

Frère : … l’Afrique, l’Amérique du Sud, tout ça.

Alors.

Frère : Ils ne vont pas créer des pénuries …

Non. Eux, ce qui les intéresse, ce sont les pays du bloc occidental. Les pays du G-7. Tu vois ? C’est-à-dire, l’Angleterre, l’Europe de l’Ouest, l’Australie, certains pays de l’Amérique Latine, et bien sûr, les États-Unis. Ça c’est le bloc nazi, c’est le clan du mal. Mais, de toute façon, les autres, ils ne vont pas être mieux lotis, parce que, même s’il n’y a pas de troisième guerre mondiale, la plus grande prophétie d’avant l’apparition de Nibiru qu’avait donnée Anaël et qui est toujours valable, c’est que l’île de Java va s’enfoncer sous les eaux, d’un coup.

Sœur : La Corse aussi.

Comment ?

Sœur : La Corse aussi.

La Corse ?

Sœur : J’ai entendu dire qu’elle sera engloutie elle aussi.

Je ne sais pas. Il faut bien imaginer que s’il y a un tsunami en Méditerrané, la Corse, elle est mal barrée.

Sœur : La Sicile, La Sardaigne, tout ça.

Là, encore une fois, je ne connais pas la date par rapport au cosmique, parce que personne ne peut la connaître. Mais là, les événements humains. Il suffit de lire. Et puis quand tu vois que depuis trois ans, ils suivent, mois pour mois le plan, tout est prévu. Il y a comme par hasard les cent plus grandes usines alimentaires du monde qui ont brûlé. Maintenant, le fait de jeûner, c’est très bon pour trouver la Vérité.

Elisa : C’est ce que j’allais dire.

(Rires)

Le groupe parle en même temps.

Sœur : C’est un jeûne forcé.

Le jeûne forcé.

Elisa : On va avoir la ligne pour partir.

Frère : Il va y avoir des révoltes parce que s’il n’y a plus à becqueter …

Toutes les circonstances, …

Frère : Et vu comme on est entassé en ville, ça va être des révoltes, quoi.

Toutes les circonstances qu’on pourrait juger dramatiques, guerre nucléaire, pénuries et tout, en fait, sont des opportunités extraordinaires. Tant qu’on ne l’a pas vécu, ça fait peur. Mais quand on sera dedans, je vous garantis que ça ne sera pas la même chose. De toute façon, on n’aura plus d’internet, donc déjà, on sera débarrassé de beaucoup d’ondes. Et on retournera, qu’on le veuille ou non, à l’État Naturel et là, il n’y a rien, (Rires de JL) sauf la nature.

Sœur : À un moment donné, on disait que les galactiques aimaient la Terre et qu’ils viendraient sauver, entre guillemets, la Terre, les humains.

Je n’ai pas compris.

Sœur : Les galactiques, ils ne laisseraient pas tomber la Terre parce qu’ils aimaient la Terre, mais là, ils ne viennent pas nous aider, enfin, aider, entre guillemets, si je peux dire.

Elisa : Que les galactiques vont venir nous aider.

Nous aider ?

Sœurs : Oui.

(Éclat de rire de Jean-Luc)

Sœur : C’est ce qui avait été dit.

Mais ils viennent là, pour vivre la même chose, pour vivre la dissolution dans le Paradis Blanc. Il y en a qui le savent, d’autres qui ne le savent pas dans la Confédération Intergalactique. Mais, aussi bien les frigos des dracos là, les cigares dracos qui viennent remplir les frigos de bouffe humaine, eux, ils ne sont pas au courant que c’est le Flash Galactique. Et les forces Arcturiennes, les forces Végaliennes et tout, savent très bien ce qui va se passer : la réabsorption du mythe de la création.

Elisa : Les cigares, ce sont des dracos, alors.

Alors, les cigares renflés, ce sont les archontes, les cigares tout droits, ce sont les Arcturiens.

Elisa : Les cigares renflés, ce sont des archontes. J’avais vu un truc, un film donc, un drame, pendant le covid, quelqu’un qui s’était, la nuit, parce qu’il ne pouvait pas sortir, puisque c’était complètement défendu de sortir, eh bien, celui-là est sorti, comme il n’y avait pas de contrôle ni rien, et qui avait enregistré avec son appareil comment sortaient des hôpitaux des gens qui bougeaient encore, qui étaient à moitié vivants et ils les mettaient dans … Je ne me rappelle plus …

C’est au Chili, ça.

Elisa : Je ne sais plus, mais, on voyait, je ne sais plus si c’était une navette spatiale …

Ce sont les Végaliens qui viennent chercher, surtout les enfants et qu’ils les emmènent dans les profondeurs du lac au Chili pour les soigner.

Elisa : Non mais ça c’étaient des gens qui étaient encore vivants, mais des vieux. Et ils les mettaient dans des, je ne sais pas si c’était des autobus, ou je ne sais pas, et j’avais l’impression, comme s’ils les emmenaient pour les manger, quoi, c’était peut-être les dracos qui les ….

Les reptiles et les insectoïdes mangent les humains. Oui.

Elisa : Ils les sortaient des hôpitaux à moitié morts …

(Rires)

Elisa : … pour les bouffer.

Le Christ disait ces paroles prophétiques : ‘’Ce n’est pas celui qui mange qui est gagnant, c’est celui qui est mangé.’’

Sœur : Oui.

Parce que celui qui est mangé fait passer son information.

Elisa : Moi j’ai pensé qu’ils remplissent les frigos.

Sœur : Par rapport aux enfants, … ils étaient emportés, les enfants, tu disais ?

Hum?

Sœur : Les enfants, que tu disais, qu’ils étaient emmenés dans des navettes ?

Oui, ça c’est au Chili. On avait, comment elle s’appelait la journaliste chilienne qui venait, … à l’époque. Elle était une amie, à l’époque, et elle était spécialisée dans les soins des enfants, qui étaient emmenés par les Végaliens. Ils venaient, les petits-bonshommes-là, dans les hôpitaux, ils rentraient, ils prenaient un enfant et l’emmenaient dans le vaisseau. Ils plongeaient dans le lac, je ne sais plus comment il s’appelle le lac là-bas au Chili, et ils ramenaient les enfants le matin, guéris. C’était très connu à l’époque, plein de reportages sur ça.

Et en fait, quand tu disais, la Confédération vient nous sauver, mais c’est justement la fin qui nous sauve. C’est la destruction de ce qui est faux. C’est ça qui nous sauve. Sans ça, on aurait tourné perpétuellement dans le rêve. Tu ne sors jamais d’un rêve quand tu es en train de rêver, il est exceptionnel, sauf un rêve très intense, où tu te réveilles. Par contre, quand tu fais un cauchemar, c’est très fréquent de te réveiller, la même analogie.

Sœur : … temps à dormir.

La même chose. Quand tu rêves et que c’est agréable, il n’y a aucune raison pour que tu te réveilles.

Elisa : Les dernières nouvelles que j’ai lues, mais sans vraiment approfondir, je crois que Poutine, il y a quelque chose, il a lâché les gaz pour l’Europe. Ça veut dire qu’il va rallonger l’agonie ?

Non, pas du tout. Il livre trente pour cent, il a remis Nord Stream 1 avec une livraison à trente pour cent, qui ne correspond même pas au tiers des besoins. On est totalement dépendant du gaz russe. Donc, il n’y a plus de gaz russe, il n’y a plus de vie, il n’y a plus d’économie.

Elisa : Mais il en a envoyé un petit peu, quand même.

(Rires)

Sœur : Elle voudrait l’adoucir un peu. (Rires)

Juste de quoi rentrer un peu d’argent pour fabriquer, en série, ces Satans 2, là.

Elisa : … commencer à monter le prix.

Ah bien, tu vois déjà ce qui se passe avec l’essence et l’alimentation. Ce n’est rien !

Elisa : L’alimentation, c’est horrible. Tu achètes trois fois rien et ça te coûte une fortune. Mais paraît-il, dans d’autres pays, c’est encore pire. En Colombie, c’est très cher l’alimentation.

Frère : En Colombie, ils ne produisent pas leurs propres aliments parce qu’ils sont …

Elisa : Ils ne sont pas préparés parce qu’ils exportent.

Frère : Oui, c’est ça, c’est que toutes les …

Et je pense sincèrement que pour l’instant, on n’a encore rien vu du show !

Elisa : Elle m’a dit, Patricia, que comme ça a tellement augmenté, quand elle était là, qu’elle voulait acheter des lentilles et les trucs pas chers, il n’y en a plus. Il n’y a pas de lentilles, il n’y a plus les choses …

En France, vous n’avez toujours pas de moutarde ?

Sœur : Non.

Nous, il y en a partout dans les magasins, ici.. Et tu vas sur internet, bon, à part les rigolos qui te mettent soixante-dix euros pour le pot de moutarde, tu peux acheter de la moutarde Maille au prix habituel !

Sœur : Oui. Mais oui.

Il n’y en a plus, mais il y en a sur internet.

Sœur : Mais oui, bien sûr.

(Les sœurs se parlent entre elles.)

En fait, c’est pareil quand ils annonçaient les pénuries d’huile de tournesol, en France. Nous, en Espagne, on avait des palettes d’huile française qui arrivaient.

Elisa : Oui, à trois euros et quelques le litre.

Hein ?

Elisa : Alors, que c’était à zéro quatre-vingt-dix centimes, là, à trois euros.

Trois euros. Multiplié par trois. Mais ça, ce n’est pas la pénurie organisée. Ce sont simplement les commerçants qui en profitent un max.

Sœur : C’est du racket.

Donc, pour l’instant on est dans une hyper inflation, mais on n’est pas encore dans les pénuries, vraiment.

Frère :  Ils spéculent.

Elisa : On va bien s’amuser, alors.

L’avantage c’est quand tu es libre, dans l’État Naturel, tu fais un repas tous les trois jours, ça va.

Elisa : Tu quoi ?

Moi, je fais un repas, un vrai repas, tous les trois jours. Autrement, je mange des proportions … ridicules.

Elisa : Là aujourd’hui, on va avoir un BBQ poissons. Comment on dit ?.

Sœur : Un BBQ de poissons.

Elisa : Donc, de poissons.

Oui.

Elisa : BBQ de poissons.

Ah, c’est bon ça !

(Rires)

Sœur : J’ai vu, ils nettoyaient les sardines.

Elisa : Et puis aussi, des salades. On va bien manger aujourd’hui. Profitons-en ! Peut-être après, on ne va plus pouvoir.

Frère : C’est ça.

Est-ce que tu préfères que j’annonce cet après-midi Bidi sur Youtube que sur Facebook. Pour toi, c’est plus facile ou pas ?

Elisa : Sur Youtube. Pour moi, c’est plus facile parce que là, je sais comment ça fonctionne.

Bon, alors j’annonce sur Youtube sur le Canal Elisa Bernal Esenios Youtube.

Elisa : Voilà. Et alors, ‘’Voilà Elisa Bernal’’.

Elisa Bernal, tout court.

Elisa : Et bien oui, là c’est Elisa Bernal.

Je vais mettre le lien de ta chaîne YouTube.

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