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O.M. Aïvanhov
Parties 3
Vacances (20 au 25 Juillet 2022)

20 Juillet 2022

Eh bien chers amis, me voici de retour et nous allons poursuivre avec cette troisième partie de ces entretiens.

Je vous laisse donc d’emblée la parole pour vos questions ou vos témoignages ou ce que vous voulez.

Elisa : Une Sœur : On en est où ?

C’est une question très vague. On est là où on est ! Ici et Maintenant. Tout le reste n’a plus aucune importance. N’oubliez pas que, vu ce qui se déroule, vous êtes tous plus ou moins captivés par la scène de théâtre. Et c’est normal, parce que ce qui se déroule est quand même pour le moins inhabituel à tous les niveaux.

Donc, on en est dans un déroulement parfait de ce qui doit se produire, de ce qui a été écrit, de ce que vous avez écrit. Et nous suivons tous le scénario en nous préparant, je dirais, du mieux possible à l’Instant Présent, à la Simplicité et à la Vérité. Tout peut sauter d’une minute à l’autre. C’est tout ce que vous avez à vous dire, mais sans aucune notion d’urgence ou de précipitation en aucune façon. Parce que plus le temps avance, plus vous aurez l’occasion de vous retrouver avec vous, de vous souvenir de qui vous êtes avant ce personnage et avant cette conscience.

Donc, on en est là où on en est. Dans les étapes qui avaient été définies voilà fort longtemps par l’archange Anaël, je vous rappelle que, depuis de nombreuses années ces étapes se sont, en quelque sorte, télescopées, superposées, afin que tous les événements se déroulent dans une proximité immédiate. Mais vous n’avez pas besoin, ni nous d’ailleurs, et c’est impossible à faire, de donner une date. Sachez simplement que vous êtes dedans, que nous sommes dedans, et que vous vous apprêtez à vivre des moments absolument sublimes, terrifiants pour la personne, affreux pour la conscience, mais sublimes pour la Vérité.

Acceptez ce qui se déroule. Acceptez l’inacceptable et, encore une fois, comme vous l’a dit Osho, comme vous l’on dit d’autres maîtres, entre guillemets, ces dernières années, je pense en particulier à Eckart Tolle, accepter l’inacceptable est la délivrance. Vous n’avez pas d’autres choix.

Donc profitez-en pour peaufiner votre acceptation de l’inacceptable, parce que vous n’avez pas le choix. Mais si vous acceptez l’inacceptable, ce que nous avions nommé l’État de Grâce, est immédiatement accessible. La Vérité est immédiatement accessible. Voilà où on en est.

Elisa : Bien, une autre question. Bonjour Oma. Quel est le symbolisme de la roue ? La personne voyant le corps roulé sur lui-même et se transforme en roue et se voit voyager vers les mondes. Cela s’est produit à une époque de fusion. Pouvez-vous me préciser ? Merci.

Bien-aimé, j’ai bien peur que cela a été déjà évoqué, aussi bien les roues dans les roues d’Ezéchiel que le symbolisme de la roue. Ce que je tiens à te dire, c’est qu’aujourd’hui, te poser ce genre de question, t’éloigne encore plus de la Simplicité. Il n’est plus temps de s’occuper des symboles. Il n’est plus temps de s’occuper des diaboles. Il n’est plus temps de s’occuper des explications. Il est temps de s’occuper, j’aurais dit à l’époque, de ses fesses, aujourd’hui, de votre cœur. Je dirais, occupez-vous de votre Présence. Tout le reste est un obstacle.

Donc, je ne répondrai pas à cette question que tu retrouveras, bien sûr, dans l’historique des canalisations, parce que j’ai eu l’occasion d’exprimer en 2010-2011 beaucoup de choses sur les roues. Mais aujourd’hui, il n’est plus temps. C’est comme si tu me demandais de localiser les étoiles, les nouveaux corps. Je te dirais la même chose. C’est une énorme perte de temps.

Vous avez accès à la Vérité. Tout le reste vous en éloigne. Rendez-vous compte de ça, c’est ça qui est important.

Frère : Alors, je relaie une question d’une sœur : Je voulais savoir ce que c’est quand j’ai le cœur, au centre du centre, qui s’arrête et je n’arrive plus à respirer. Et ensuite, ça repart. Ça le fait depuis plusieurs mois.

Bien sûr, si on excepte un problème médical, pour lequel je ne suis pas habilité à répondre, les variations de rythme cardiaque, que ce soit dans le sens d’une accélération, d’une arythmie ou d’un ralentissement ou d’un arrêt, signe la transfixion du cœur. Je vous rappelle qu’à l’époque, il avait été fait état de l’archange Métatron, mais aussi du Christ, qui perforait par la Porte Ki-Ris-Ti, l’enveloppe du cœur pour libérer la Couronne Ascensionnelle.

Donc, s’il n’y a pas de problème médical et que tu as vérifié qu’il n’y a pas de problème médical, cela signe effectivement une accumulation de conscience et d’énergie vibrale au niveau des zones liées au cœur : que ce soit l’Étoile Ki-Ris-Ti dans le dos, que ce soit la Porte Unité ou la Porte de l’Âme, ou encore que ce soit la Porte du Cœur tout simplement. Les modifications du rythme cardiaque sont très fréquentes. Bien sûr, certains frères et sœurs en meurent. Ils sont libérés de cette façon. Ce n’est pas un drame.

Toute modification de votre rythme cardiaque, dans un sens ou dans l’autre, est à corréler à la transfixion du cœur, c’est-à-dire, à l’ouverture du péricarde. Bien sûr, si on élimine tout problème médical.

…Silence…

Autre question.

Alors bien sûr, entre les questions, on laisse le Silence. Et l’efficacité du Silence, peut-être que certains d’entre vous le ressentent déjà. Et je vais me mettre, en attendant vos questions, en le Grand Silence, afin de vous laisser vivre ce qui est à vivre. Mais vous n’hésitez pas à interrompre dès qu’il y a une question.

Elisa : S’il-vous-plaît, avez-vous une suggestion concernant la cohabitation

Hey, tu es en train de parler, toi.

Elisa : Je suis en train de lire une question.

Ah, d’accord. Je t’écoute.

Elisa : S’il-vous-plaît, avez-vous une suggestion concernant la cohabitation de la juxtaposition de l’éphémère et de l’Absolu, car en moi, l’observateur voit la personne être accablée et stressée par exemple ? Quelle serait la prochaine étape sachant qu’il faut continuer dans …

Ça rejoint le principe …

Elisa : Attends.

Ah, ce n’est pas fini. Ça rejoint le principe de l’acceptation de l’inacceptable, qui est facteur de Grâce.

Elisa : … et dans ce cauchemar pour des besoins vitaux, se loger, se nourrir, payer les factures. Merci de votre éclairage Oma.

Le cauchemar, comme je l’ai dit malheureusement ou heureusement, ça dépend du point de vue, n’a fait que commencer. Il va se déployer de jour en jour, de semaine en semaine, et je vous l’ai laissé entendre, atteindra l’insupportable et l’inacceptable total avant la fin de cette année. Ce que tu vis, cher frère, ou sœur, n’est qu’une préparation à te réveiller du cauchemar. Comme je l’ai dit dans la première et la deuxième partie, quand vous n’avez plus de solution, nulle part, alors, la solution vous est donnée.

Mais la solution n’est pas faite pour résoudre quelque chose, mais pour vous donner le souvenir de qui vous êtes et vous libérer ainsi de votre personnage, de votre cauchemar, de votre âme, de votre habitude de la forme et de tout ce qui peut encore entraver ce que vous êtes. Et, je dirais que, quand vous êtes dans un cauchemar terrible, que ce soit lié à quelque situation que ce soit, le plus important est encore une fois l’acceptation. Je répète ce que j’ai dit, accepter l’inacceptable est la seule grâce possible en ce moment.

Il n’y a pas d’exception, quel que soit votre âge, quelle que soit votre situation à quelque niveau que ce soit, vous allez tous être, et nous aussi, confrontés à cet inacceptable. Parce que dans l’inacceptable vous êtes obligés de lâcher toute prétention à diriger une situation ou un événement. Et quand vous relâchez cela, quand vous lâchez cela, vous êtes réellement et concrètement inondés de Grâce. À vous de le vérifier. Mais ne cherchez pas de solution, faites-le après.

Je l’ai toujours dit, dans un premier temps, tentez, essayez l’acceptation. L’acceptation, je le répète, est l’accueil et la traversée, et vous conduit directement à la transparence, à l’humilité, à la simplicité et à la Vérité, et donc, au solutionnement. Vous n’avez pas d’autre choix, quel que soit votre état vibratoire, quelle que soit votre préparation, quelle que soit votre expérience des différentes vibrations, chemin spirituel ou état mystique. L’inacceptable est la seule façon de découvrir qui vous êtes maintenant.

Soit vous êtes libres déjà, mais vous aurez de toute façon à traverser l’inacceptable, où que se situe cet inacceptable. Soyez acceptants et soyez, à ce moment-là, résilients et tout se passera bien. Faites l’essai par vous-mêmes, dès maintenant. N’attendez pas que les choses empirent, parce qu’elles vont empirer du point de vue de la personne et de la société. C’est inéluctable. Le chaos va être total. Mais c’est dans le chaos que vous trouvez qui vous êtes. C’est dans les perturbations les plus intenses de votre vie que vous découvrez la Vie. Vous n’avez pas d’autre choix.

Vous demanderez à Tête de Caboche de vous lire deux textes. Un de Eckart Tolle, lui-même, et l’autre de Osho quand il était incarné. Et je pourrais multiplier les exemples à l’infini. Il n’y a pas de Grâce sans acceptation de l’inacceptable. Parce qu’accepter l’inacceptable, c’est à la fois reconnaître votre petitesse, votre incapacité à changer un iota de ce qui se déroule, mais c’est surtout découvrir et vivre la Liberté. Quand vous aurez tenté par vous-mêmes cela, eh bien, vous verrez. Vous ne pourrez que conforter et témoigner de ce que j’ai dit.

Elisa : J’ai une question. J’ai une difficulté à concevoir que toute la création peut s’arrêter à tout moment sans être allée au bout du scénario …

J’ai dit …

Elisa : … sans avoir à jouer le temps de la sixième puis de la septième race.

Mais, …

Elisa : Pourquoi avoir

Tu ne peux pas …

Elisa : … mis tant d’énergie à créer (…)   pour s’arrêter avant la fin ?

Mais parce que c’est la logique du scénario. Tu n’as pas à le concevoir. C’est inconcevable. Tu ne peux que le vérifier par le vécu. Alors, arrêtez avec vos pensées et vos concepts, et vos idées, qui sont issus de la personne ou de la conscience. Vous êtes antérieurs à tout cela. Et plus vous allez vous approcher de cet inacceptable, plus certains d’entre vous vont regimber, ruer dans les brancards, et dire que c’est impossible.

Vous avez, je l’ai dit en tout début d’intervention, des soi-disant channels qui vous annoncent une nouvelle Terre. Est-ce que eux ont vécu la Vérité ? À aucun moment. Ils sont encore dans le travestissement. Ils sont encore dans le rêve spirituel.

Aujourd’hui, je ne te demande pas d’accepter la fin de la création puisque de toute façon, elle n’a jamais commencé. C’est un leurre. Donc, ne voyez pas à travers l’Évènement Collectif, la fin de quelque chose qui n’a jamais existé. Quand vous pénétrez l’espace, le temps est figé. Ce qui veut dire que tous les scénarios de toutes les dimensions ont été écrits à l’Instant Initial.

Si tu te poses cette question, c’est simplement que tu es incapable, pour le moment, de sortir de cet aspect linéaire du temps. Tu es encore assujetti au temps. Tu n’as pas découvert l’espace illimité que tu es. Tu crois encore à quelque chose de futur. Et donc, tu n’es pas dans l’Instant Présent. Dès l’instant où tu emploies le mot ‘’je ne peux pas concevoir’’, je t’arrête tout de suite. C’est le mental qui conçoit. Ce n’est pas la Vérité.

Laissez tomber toutes ces illusions. Laissez tomber tous ces rêves stupides de prolongation de quelque chose qui est souffrance. Laissez tomber tous ces rêves stupides d’accéder à des mondes de lumière. Vous êtes la Lumière Originale! Et vous êtes antérieurs à la Lumière Originale. Ce n’est pas à concevoir. C’est ce que vous devez expérimenter par vous-mêmes. Je me tue à le répéter. Et c’est accessible à tout le monde, dès l’instant où vous cessez de cogiter, de penser, de vouloir voir, de vouloir comprendre.

Lâchez tout aujourd’hui ! Acceptez l’inacceptable de votre vie pour l’instant. C’est ce qui vous est demandé. Et après, vous vivrez l’inacceptable collectif avec Sérénité. Je ne peux pas dire mieux. Je ne cherche pas un débat d’idées. Je ne cherche pas à imposer un point de vue. Je cherche simplement à vous faire découvrir le Réel que vous êtes. Il n’est plus question de parler de chakras, d’énergie, de dimensions ou de quoi que ce soit.

La mise à jour du Mensonge Cosmique, qui est en cours, va vous révéler ce que vous êtes. Il n’y a aucun doute possible là-dessus, pour ceux qui le vivent déjà. Et ceux qui ne le vivent pas, c’est qu’ils sont encore attachés, quelque part, à quelque chose, peu importe. Vous n’êtes pas libres. Dès que vous êtes attachés à quoi que ce soit, vous n’êtes pas libres. La Liberté est un espace sans chemin, sans progression. La Liberté, elle ne dépend pas d’un concept intérieur ou extérieur. C’est votre État Naturel. Et dans cette Liberté, il n’y a aucun besoin d’un monde, aucun besoin d’une destinée, d’une histoire ou d’un futur.

Mais je ne peux pas vous l’imposer. Mais je répète que vous avez chacun la même possibilité de le vivre et donc de le comprendre. Il n’y a pas d’alibis qui tiennent. Vous ne pouvez pas me dire ‘’je ne suis pas prêt’’ ou ‘’je ne peux pas le concevoir’’. Ça prouve simplement que vous êtes arcboutés sur votre personnage, vos idées ou votre conscience ou votre âme. Rien de tout cela est vrai. Le Mensonge Cosmique est surtout à ce niveau et pas ailleurs.

(Oma demande un petit bout de papier pour moucher le nez de Tête de Caboche.)

Merci. Voilà ! Nous pouvons continuer.

Elisa : Bonjour Oma.

Bonjour.

Elisa : Quel conseil vous pouvez me donner lorsqu’on est marié à un portail organique ? Merci pour votre éclairage.

Et bien malheureusement vous êtes beaucoup dans cette situation. Qu’est-ce que vous voulez faire ? Rien. Déjà le voir, c’est bien. Et puis ensuite, bien, vous verrez bien ce qui se passe. Mais vous êtes innombrables à avoir, soit des parents, soit des enfants, qui sont des portails organiques. Il n’y a aucune solution. Ça fait partie de la scène de théâtre. Là aussi, le conseil, acceptez l’inacceptable. Là est la Paix, là est la Vérité, là est la Grâce. Ailleurs, c’est que du cinéma et du pipeau. Il n’y a pas de meilleur conseil.

Elisa : Alors. J’ai deux questions encore. Une qui m’est venue par Messenger, elle est longue. Vous m’entendez ?

Très bien.

Elisa : Bonjour Elisa. Vous ne me connaissez pas, mais j’écoute depuis plus de deux ans Oma. Ma question : Cette troisième guerre mondiale va créer un génocide. Il m’est difficile de rester indifférente à toutes les souffrances des sept milliards d’êtres humains. J’ai ressenti ces moments merveilleux et magiques de façon très épisodique. C’est un immense bonheur, un amour à distiller, un moment magique. J’ai compris par un profond ressenti le mensonge de ce monde. Comment maintenant aider et éviter la souffrance des enfants …

Tu ne peux pas l’éviter.

Elisa : … et tous les êtres qui vont basculer dans l’horreur de la fin de l’histoire ?

Alors là, je te rappelle, il n’y a aucune exception au basculement dans l’horreur. Ça devrait te satisfaire, il y en aura pour chacun.

Elisa : Un frère ou une sœur : Vous m’êtes apparu à ma gauche, alors que j’étais dans un profond désespoir. J’ai un grand amour immense pour vous Oma et une reconnaissance immuable. Je vous aime profondément.

La souffrance appartient à un niveau, il est, je dirais, logique et normal de ressentir la souffrance du génocide qui a été initié. Mais d’un autre point de vue, le génocide et la souffrance vous libèrent. Tout dépend du côté où tu regardes. Du côté du personnage, du côté de l’âme, c’est effectivement un train de souffrance gigantesque. Du point de vue de l’Absolu quand tu y es, ça n’a jamais existé. C’est comme ça que tu aideras le mieux, en étant toi-même dans l’Amour que tu es, sans rien vouloir changer à ce qui est.

Vouloir changer quelque chose, c’est déjà s’éloigner du Silence et de l’État de Grâce. Encore une fois, je le répète à chaque fois, ne me croyez pas mais vivez-le. Bien sûr que la souffrance peut vous paraître intolérable, vous serrer le cœur, vous serrer les tripes. Rappelle-toi notre frère ‘’Je suis la Voie, la Vérité et la Vie’’. Je suis antérieur à tout cela. Je suis Agapè. Je suis le Grand Silence. Et là, il n’y a plus qu’un Grand Éclat de Rire qui n’est pas une moquerie, qui n’est pas quelque chose d’éloigné de la Lumière, bien au contraire.

Quand vous voyez clair dans ce mensonge, vous ne pouvez plus être dupes d’une quelconque souffrance, parce que vous êtes au-delà de la souffrance. Et c’est ainsi que vous aidez les frères et les sœurs, en étant dans l’Instant Présent, au Cœur de vous-mêmes, au Cœur de votre Cœur, dans le Silence et dans l’Accueil de ce qui Est. Tout le reste est perdu d’avance. Tout le reste vous renverra, inexorablement, à la dualité et à encore plus de souffrance. Et quand vous en aurez marre de souffrir, alors vous arrêterez, tout simplement.

Mais il n’y a pas de recette. La seule recette, c’est d’accepter l’inacceptable maintenant, et pas seulement ce qui vous traverse ou ce qui arrive.

Il va me falloir un peu de votre eau. Merci beaucoup.

Alors, le Silence. Alors la prochaine question.

Frère : Une question Oma. Il y a de plus en plus de frères et de sœurs qui se refusent, en fait, à suivre les informations par exemple. Comment on peut voir ça? Est-ce que ce sont des phénomènes de fuite de cette réalité-ci ou est-ce que, au contraire, c’est une sorte de retour en soi ?

Les deux à la fois, cher ami. Si tu en as marre des informations, il te suffit de débrancher le courant de ton écran ou de ta télé. C’est aussi simple que ça. Et de t’intéresser à ton jardin ou à tes passe-temps ou à ta famille, à ce que tu veux. Et de couper littéralement avec ce qui se passe dans le monde. Et vous verrez que pour beaucoup déjà, ça sera un grand soulagement. Je l’ai dit en début d’intervention.

Vous allez être tellement écœurés, tellement bouleversés que, à un moment donné, vous ne pourrez plus regarder tout ça. À ce moment-là vous vous tournerez vers la Simplicité. Mais vous ne pouvez pas lutter contre un tel niveau de souffrance individuelle et collective par vous-mêmes. La meilleure aide que vous puissiez apporter, c’est de vous retrouver.

Et si les informations vous gênent, mais dites-vous que n’avez qu’à éteindre votre télé et toutes les infos pendant une semaine et vous occuper de votre travail, de votre famille, de votre jardin, peu importe. Et vous verrez que très vite – et d’ailleurs, j’ai parlé qu’à un moment donné tout ce qui est média disparaîtra – et j’ai même dit que, quand il n’y aura plus ces ondes, vous serez installés dans la Béatitude, sans aucun effort.

Donc, qu’est-ce qui vous empêche aujourd’hui, de limiter cette exposition aux informations détestables qui se déroulent? Réfléchissez bien. Pourquoi ne fermez-vous pas vos écrans ? Pourquoi vous acharnez-vous à être captivés par ceci ou cela sur les écrans? Plutôt que d’être captivés par ce que vous êtes ? C’est la seule chose qui devrait vous occuper. Parce que, de toute façon c’est la seule chose qui restera. Pourquoi ne pas le faire dès maintenant ? Prenez des vacances médiatiques. Éloignez-vous de toutes sources de pollution de l’esprit et de la conscience.

Allez dans la nature, je l’ai expliqué pendant des années, et vous vous retrouverez. Mais vous ne pouvez pas lutter contre le flot absurde de cette violence, de cet écœurement. C’est fait exprès. Les méchants garçons pensent vous entraîner dans la peur, dans la souffrance. Mais vous n’avez pas à être entrainés nulle part par cela. Vous avez à vous retrouver.

Alors coupez les informations s’il vous plaît, accordez-vous une semaine sans rien regarder et vous verrez que votre vie ne s’en portera que mieux. Rendez vous compte que l’écran, et l’image comme disait Sri Aurobindo déjà il y a plus de dix ans, est le pire de la magie cérémonielle. Parce que ce que vous regardez, même en disant c’est faux, s’imprime dans votre cerveau, dans votre conscience, et aussi dans votre cœur.

Aujourd’hui, la vie va vous demander de plus en plus de vous détourner de la marche du monde, quel que soit votre âge. Et dès l’instant où vous vous détournerez de cette scène de spectacles cauchemardesques et affreux, vous verrez que la Joie est là.

Si vous n’êtes pas capables d’accepter l’inacceptable, rien ne vous oblige à vous tenir informés, non ? Vous n’êtes pas obligés de savoir qu’il y a un génocide, vous n’êtes pas obligés de savoir que les forêts brûlent, vous n’êtes pas obligés de savoir que les vagues vont envahir les terres, vous n’êtes pas obligés de savoir que le ciel va vous tomber sur la tête.

Si vous vous occupez de ce que vous êtes, dans votre simplicité de vie, quel que soit votre âge, tout se passera bien. A un moment donné, je l’ai dit, soit par la nausée et l’écœurement que vous vivrez, vous serez obligés d’éteindre et de jeter par la fenêtre vos radios et vos écrans et, de toute façon, dès l’instant où les signes cosmiques deviendront tellement évidents, ils couperont tous les moyens de communication.

Vous serez dans l’ignorance la plus totale, sans plus moyen de vous raccrocher à aucune image, à aucun discours, à aucun moyen de communication moderne. Qu’est-ce que vous faites à ce moment-là ? À vous de voir.

Quand je dis que le cauchemar va s’accentuer, ce n’est absolument pas pour vous faire peur de quoi que ce soit. C’est quelque part pour vous entraîner vers vous-mêmes, là où il n’y a besoin de rien, ni de monde, ni d’argent, ni de nourriture, ni de communication. C’est là, c’est à votre porte, à la porte de votre Cœur.

Et ça a été dit aussi, plus vous serez écœurés dans le vrai sens du terme, plus vous trouverez votre cœur, et donc ce que vous êtes.

Observez dans les cinq phases du choc de l’Humanité, rappelez-vous ce qu’a dit Sri Aurobindo. La première étape, qui est aujourd’hui très présente, c’est le déni, même des frères qui ont vécu les processus vibratoires. Et ensuite la colère bien sûr. Ce sont des étapes extrêmement difficiles. C’est vrai.

Mais après vient la négociation, c’est-à-dire que vous essayez d’arranger les choses. Et enfin disait Sri Aurobindo vient l’acceptation. A vous de voir où vous vous situez. Il n’y a pas d’autre possibilité, c’est comme ça et pas autrement, quoi que vous en pensiez, quoi que vous en disiez. Encore une fois, je ne cherche aucunement à vous imposer un point de vue, mais à vous mettre face à ce qui se passe, dedans comme dehors.

À vous de voir. Est-ce que vous préférez avoir des nausées et vomir, ou est-ce que vous préférez vivre la paix du Cœur ? Ce qui se produit n’est pas un obstacle, c’est une aide. Je l’ai dit et je le redis.

Elisa : Bien, j’ai une autre question. Bonsoir Elisa et Jean-Luc. Merci de votre présence. J’ai une question pour OMA. Quelle différence y a-t-il entre le rôle des méchants garçons et le rôle d’un portail organique ? Merci OMA pour votre réponse.

Alors, je te répondrai qu’il n’y a aucune différence à l’heure actuelle entre un archonte, entre Marie, entre un portail organique, entre un diable et entre un ange. Ils font partie de la même illusion, tout simplement. Et tout concourt à vous rendre compte de cela. Et tout ce qui se manifeste dans vos pensées, dans vos perceptions, dans vos contacts réels, n’est là que pour vous aider à vous retourner vers vous-mêmes.

Que ça passe par le diable qui vient vous tirer les pieds la nuit, ou par un ange qui vient vous adombrer de sa présence, ou d’un évènement catastrophique dans votre vie, ou au contraire très heureux, c’est la même finalité, il n’y a pas de différence. Voir une différence, c’est déjà s’éloigner de la vérité, c’est déjà s’éloigner de l’acceptation, c’est déjà s’éloigner du Silence.

Il y a un moment donné où vous ne pouvez plus être dupes du diable comme de dieu, où vous ne pouvez plus être dupes de ce monde comme de tout monde, et ça c’est la vraie Liberté.

…Silence…

On profite des moments de silence et de communion.

…Silence…

Elisa : Donc tout a été une grande mascarade ?

Comment ?

Elisa : Tout a été une grande mascarade ?

C’est une mascarade. Autrement, j’avais déjà appelé ça, si vous vous rappelez, le simulacre. Simulacre de sacré, simulacre de lumière, simulacre des rites, simulacre des religions sans aucune exception, tout est simulacre et effectivement mascarade. Rien n’est vrai, rien n’est réel, sauf Vous.

Elisa : Je pense que c’est le point de départ, c’est de se positionner là pour pouvoir voir le monde alors d’une autre façon, parce que si c’est à l’envers, c’est difficile.

Je n’ai rien compris.

(Rires)

Si c’est à l’envers …

Elisa : Je dis que, si on se positionne là, dans cette mascarade, et de là on voit le monde, c’est plus facile à comprendre. Mais si on se positionne de différentes façons, est-ce que, en quittant un peu le jeu ou la mascarade, est-ce qu’elle a une explication la mascarade … Alors, c’est là qu’on n’accepte pas.

Accepter de ne rien comprendre de cette mascarade, accepter que c’est complètement illusoire, accepter tout ce qui est, et vous découvrez la vérité toute nue.

Je répète encore une fois, je sais que je l’ai répété beaucoup aujourd’hui, vous n’avez aucune autre solution. Toutes les solutions que vous pourrez envisager seront de plus en plus vouées à l’échec. Et c’est normal. Mais tu n’es pas obligée de regarder, encore une fois, la mascarade. Tu as plus de chance de te retrouver en regardant les fleurs dans ton jardin, en communiant avec un arbre, ou en restant tranquille, et en silence.

Le monde est fait pour vous détourner de la vérité. Les images sont faites pour induire la peur, une appréhension de quoi sera fait demain, qu’allez-vous manger demain, comment allez-vous vivre. Si vous êtes dans cet état, je vous en supplie, de grâce, arrêtez de regarder les nouvelles, plongez en vous-mêmes, ne soyez pas hypnotisés par le drame de la société, par le drame de la Terre, ou même par le drame cosmique.

Parce que, le drame cosmique, le mensonge cosmique, comme le mensonge planétaire et le drame planétaire, n’ont réellement aucune substance par rapport à ce que vous êtes. Soyez heureux, soyez simples selon ce qui vous est attribué, comme âge, comme fonction, et c’est tout. Il n’y a pas de meilleure simplicité et en même temps de meilleure efficacité que cette conduite là. Essayez, vous verrez.

Elisa : Question d’une sœur. Bonjour OMA. Notre chat Darma passe tout le temps dans le jardin, alors qu’il était auparavant toujours dans la maison. Ce changement de comportement est-il dû au besoin d’intégrer les particules adamantines ou pour vivre la transsubstantiation ? Merci de votre réponse.

Pas du tout. Éteins ton Wifi, éteins tes téléphones portables, et tu verras que le chat redeviendra fainéant et restera à l’intérieur. Réponse claire et concise.

Essayez de garder plusieurs heures par jour, ou votre box, ou votre téléphone, vos écrans, coupés. Vous verrez la différence, je ne peux pas vous dire mieux là aussi. Donc le chat qui lui est très sensible bien sûr ne supporte pas les nouvelles fréquences. Je ne parle même pas des compteurs électriques, nouveaux, connectés, je parle simplement des box qui ont été « upgradés » comme vous dites sur des fréquences de la mort. C’est la vérité.

…Silence…

Je dirais même, éteignez tous les appareils électroniques, parce certains sont très vicieux. Même en étant éteints mais branchés, ils émettent des ondes. C’est incroyable le niveau de pollution électromagnétique que chacun d’entre vous endure dans son propre domicile ou sur son lieu de travail. Ça vous anesthésie la tête, ça vous coupe la lucidité, ça vous fatigue, c’est réel.

Elisa : Cher OMA. Se peut-il que – ça c’est moi qui poses cette question, je ne suis pas en train de la lire -, se peut-il que notre personnage, le corps du personnage physique, puisse s’adapter aux circonstances des ondes … bon, parce qu’il y a eu des mutations quand même …

C’est mathématiquement impossible. Vu les fréquences qui sont émises, c’est impossible pour le moment. Et je ne parle même pas des ondes des antennes. Je parle spécifiquement des téléphones, des appareils connectés quels qu’ils soient. Éteignez tout, quelques heures, et vous constaterez, mais dans les cinq minutes, la différence. Là aussi, c’est pratique, faites l’expérience et vous me raconterez ça la prochaine fois, voyons !

Elisa : Et les bébés qui naissent, ils ne sont pas déjà adaptés à ce monde pollué ?

Non, c’est impossible. Mais ça dépend quels bébés, encore une fois. Parce que vous avez des bébés qui naissent aujourd’hui, qui ne sont même pas des portails organiques ! Ce sont des machines avec une apparence humaine.

Mais bon, ne rentrez pas dans ces détails sordides, ça fait partie du cauchemar.

Elisa : Donc, c’est fini.

C’est fini quoi ?

Elisa : Le jeu.

Le jeu est complètement fini, c’est évident. Il n’y aura ni prolongation, ni troisième mi-temps, ni quoi que ce soit. A vous de le découvrir.

(Une sœur pose une question)

Quelqu’un a parlé ? On … Quoi ?

Elisa : On garde nos corps physiques ?

Pour faire quoi ? Quelle idée saugrenue ! Comment veux-tu, quand tu vis la Liberté, être encore attachée à ce corps, fut-il le plus jeune et le plus magnifique qui soit ? C’est une hérésie. Regardez que même ce genre d’interrogation ne fait que traduire l’attachement au corps, l’attachement à la forme, l’attachement aux images, aux reflets, mais pas à la Vérité.

Un frère : J’ai une question. Bonjour OMA, par rapport à la nature du Silence et la sensation que ce silence d’où tu regards toute chose, s’établit, pour moi comme une évidence, et que toutes les composantes de ma vie peu à peu semblent aspirées dans ce silence, comme si tout retourne dans ce silence, c’est ça le Grand Silence dont vous parlez ?

Tu as tout-à-fait raison, tu as entièrement raison. À un moment donné, comme je l’ai dit je crois dans la première partie, vous ne pourrez plus continuer votre vie, vous deviendrez La Vie. Il n’y a pas de prix à payer, c’est une grande Liberté.

Quand vous avez vu le faux, quand vous avez vu la Vérité, vous vous détournez du faux, tout simplement. Ça ne vous empêche pas d’être créatifs, de travailler, d’avoir des idées, de penser aux vacances, mais vous le faites en toute légèreté. C’est ça qui est différent.

Mais effectivement il y a, progressivement ou brutalement, un désintérêt total de toute vie extérieure, et vous n’y pouvez rien. C’est dans l’ordre des choses. Pour l’instant, on vous a toujours dit qu’il fallait assumer ses responsabilités, si vous étiez parents, si vous aviez une profession. Mais à un moment donné, vous ne pourrez plus, et c’est très proche, pour beaucoup d’entre vous.

Qu’est-ce que vous faites à ce moment-là ? Vous vous rendez malades, malheureux, souffrants, ou vous acceptez la Joie ? Le choix est simple pour tout le monde je crois.

Il n’y a rien qui soit important. Même les choses les plus importantes de votre vie ne représentent strictement rien par rapport au Réel. D’autres ont dit : Tout ce à quoi vous tenez vous tient. C’est totalement vrai. Et quand vous ne tenez à Rien, vous vous retrouvez. Il n’est pas question de fuir les responsabilités pour trouver la paix, mais bien plutôt que, à un moment donné, la Paix et le Silence prennent tous les espaces et tous les temps de votre vie, et vous n’y pouvez rien. Et plus vous acceptez cela, plus vous êtes légers, et plus vous êtes joyeux. Et ça vous ne pouvez que le constater bien sûr. Tous, sans exception.

Ah, il va être l’heure d’une autre vodka, ouais. Merci beaucoup.

(Quelqu’un tend une tasse à JLA)

Ah, c’était prêt, merci.

Mes paroles doivent brûler plus, parce que ça brûle vraiment quand je parle. Je ne sais pas si vous ressentez … Je crois que mon Hayot Ha Kodesh de feu s’exprime avec virulence. Vous vous rappelez comment il s’appelle ? Bon allez, c’est juste un clin d’œil au passé, il s’appelle Vehuiah. Mais bon, ne vous penchez pas là-dessus, ça ne sert à rien, c’est juste une plaisanterie, une boutade en passant.

Un frère : Y a-t-il un lien avec les incendies qu’on a en ce moment, et les températures très élevées dans des régions qui n’ont pas l’habitude …

Oui, bien sûr. La magnétosphère est détruite, elle est perméable, la ionosphère est complètement ravagée, et donc l’impact des rayonnements cosmiques et solaires se fait de plus en plus intense chaque jour. Regardez la résonance de Schumann, regardez les pics de rayonnements et les cartes ionosphériques, vous comprendrez. La Terre est perforée de part en part par ces rayonnements, et bien évidemment ils ont un effet, au même titre que les ondes nocives. Mais en définitive, que ce soit les ondes lumineuses ou les ondes nocives, elles ont exactement le même effet sur la matière. Ça met fin à la matière, tout simplement.

Allez, vodka pour tout le monde. Merci beaucoup.

Un frère : Une question OMA. Il me semble qu’il y a quelques années vous disiez que la France était marquée par la terre et le feu. Est-ce que cela est toujours d’actualité aujourd’hui avec les phénomènes …

La France, si tu regardes les prophéties de Bença Deunov, en particulier quand il était Nostradamus,  – Nostra Adamus -, a parfaitement décrit le destin de la France. C’est d’être rasé en totalité par des missiles russes, ça sera le cas. Préparez-vous à brûler. Et ça sera, vous le verrez, une grande joie. Et vous ne serez même pas informés puisque les médias seront coupés à ce moment-là.

C’est une grande réjouissance qui arrive, c’est un grand feu sacré de joie qui met fin au rêve, qui met fin au cauchemar, qui met fin à la souffrance. Ce qui est écrit a été écrit. Vous ne pouvez pas changer un iota des prophéties qui ont été données. Je parlais de Nostradamus, mais il y en a plein d’autres, bien sûr, aussi bien dans la mystique orientale, dans la mystique perse, arabe.

Ou encore dans les mystiques plus proches de nous qui ont essaimé de messages la Bretagne, par exemple avec Marie-Julie Jahenny, la prophétesse de la Forêt, ou les cœurs unis et sacrés de Marie et de Jésus réunis, ou encore les prophéties de La Salette. Et dans bien d’autres endroits encore, elles vous disent toutes la même chose. Et vous vendre le fait que si vous devenez meilleurs ça va s’arrêter est un mensonge.

C’est pour ça que l’urgence aujourd’hui, c’est l’Instant Présent. C’est l’humilité, la simplicité, de vous débrouiller pour accepter l’inacceptable, de trouver le silence en vous. Tout le reste est superflu, tout le reste ne représente plus rien.

…Silence…

Un frère : Mais d’ici là, on peut se permettre de faire la fête ?

Ah, carrément, oui.

(Rires)

Vous pouvez faire la fête, c’est la seule chose qu’il vous reste à faire. Sourire, rire et profiter. C’est comme ça que vous serez légers, pas en regardant les infos. Ça va être de plus en plus catastrophique, bien évidemment. Soyez légers, restez légers, occupez-vous de vous, occupez-vous de vos proches. Et si vous avez la chance d’avoir une certaine liberté, servez-vous de cette liberté pour accueillir le monde, l’univers, la vie, la souffrance. Allez dans la nature, allez dans l’eau, allez près de l’eau. Allez dans les forêts, s’il en reste. Et vous verrez le changement instantanément.

Elisa : Question d’une sœur. Bonsoir. Alors on se dissout dans le néant, on ne sera que Un ou on gardera une conscience et une mémoire de tout ça ?

Vous avez du mal à comprendre. Pourquoi vous conceptualisez ? Dans l’Absolu, il n’y a ni forme, ni conscience, ni individualité, ni rien. Il n’y a Rien. Le Néant. L’horreur pour la personne et la conscience. Et pourtant, c’est l’unique Vérité. Vous n’êtes jamais nés, vous ne mourrez jamais. L’Univers n’a fait que passer, la création n’a fait que passer dans l’illusion du temps.

Et encore une fois, ce ne sont pas des paroles en l’air. C’est à vous de le vivre. J’ai parlé pendant ces trois heures de choses extrêmement simples. Relisez Eckhart Tollé, relisez Nisargadatta, de son vivant. Relisez Jean Klein, relisez Christiane Singer. Et vous verrez qu’ils disent tous la même chose, avec plus ou moins de poésie, certes, plus ou moins de précautions.

Mais il n’est plus temps aujourd’hui de prendre des « baguettes ». Il n’est plus temps de vous caresser dans le sens du poil. Il est temps de vous ébranler dans vos dernières convictions que je qualifierai d’illusoires et stupides.

Elisa : Question d’une sœur. Énorme souffrance à l’épaule gauche 2019, comme une mâchoire qui me bouffe (mange) l’os. Plusieurs mois, ma tension – vingt (20) – chaque jour. J’étais comme morte vivante, plus d’énergie, j’ai survécu je ne sais comment. Mais depuis, je ne m’énerve plus et je suis bien.

Où est la question, je ne vois pas de question moi.

Elisa : (Elle relit) Donc elle a lâché prise, quoi.

C’est un témoignage simplement.

Elisa : Oui.

Plus vous lâchez, plus vous êtes libres, même par rapport à votre survie, même par rapport à votre souffrance …

C’est un témoignage simplement.

Elisa : Oui.

Plus vous lâchez, plus vous êtes libres, même par rapport à votre survie, même par rapport à votre souffrance.

Silence …

Apparemment vous êtes tous cuits.

Elisa : OMA, je sens que les animaux sont de plus en plus intelligents … je ne sais pas … conscients, c’est peut-être le mot.

Disons que c’est simplement toi qui t’es approchée de ta nature essentielle et les animaux le reconnaissent.

Elisa : Ils n’ont pas changé, alors c’est moi ?

Non, bien sûr c’est toi qui as changé. L’impression que les animaux ont changé, c’est simplement parce que vous êtes plus disponibles à ce qu’ils sont. Bien sûr les comportements animaux peuvent aussi changer.

Elisa : On est assommé par la chaleur.

Laquelle ?

Elisa : Je ne sais pas. On a la climatisation, mais …. Alors c’est quoi qui assomme ? Moi je suis assommée.

Je t’ai dit que j’irradiai du feu.

Elisa (en riant): Ah c’est peut-être ça, parce que là j’ai le bras qui me brûle.

Ce n’est pas quelque chose que j’ai décidé, ça se fait tout seul.

Elisa : Parce que justement le bras qui est là, il est en feu mon bras là.

Mais si vous êtes trop saturés, on peut aussi arrêter maintenant, il n’y a pas de souci ou d’obligation. Je reviendrai de toute façon bien sûr.

Frère : On peut se rapprocher de ce feu ?

On peut savoir quoi ?

Frère : On peut s’approcher de ce feu ?

Elisa : Eh bien tu peux te mettre là.

Viens t’asseoir à côté, tu vas voir.

Elisa : J’ai le bras en feu.

Ou simplement devant.

Et je rentre en Silence.

Elisa : On va cramer ! (Rire).

Silence…

Elisa : Il y a un témoignage, je peux le lire ?

Alors on y va, on écoute.

Elisa : D’une sœur. Il y a quelques semaines, je me suis retrouvée dans un vaisseau métallique des archontes. J’ai vu comme dans un film Matrix que mon corps était branché dans ce vaisseau pour leur servir d’énergie. En voyant cela, je leur hurlais de me débrancher car je n’avais pas donné mon consentement. Les deux archontes coiffés de leurs perruques semblaient statiques et sans répondre. À ce moment là, je le leur ai hurlé et je criais tellement fort que s’ils ne me débranchaient pas, mon hurlement briserait les miroirs qui cachent leur vaisseau de notre vision. Je suis remontée quelques jours plus tard et j’ai vu mon corps débranché.

Tu as eu de la chance, ils ne t’ont pas mangé. Je ne parle pas de ton énergie, mais je parle de ton corps physique.

Elisa : Parce qu’ils mangent aussi le corps physique ?

Bien sûr. Vous mangez bien des animaux.

…Silence…

La viande humaine qui a subi un stress important est à leurs yeux un grand met. C’est ce qu’ils font avec les enfants, mais c’est ce qu’ils peuvent faire aussi avec les adultes.

Elisa : C’est comme si on les mettait en macération avec de la sauce quoi …

(Rires)

Elisa : En réalité ça fait rigoler tout ça. C’est tellement absurde.

Ah c’est totalement absurde, je te l’accorde. Et je te rappelle quand même que rien de tout cela n’est réel.

Elisa : C’est pour ça que ça me fait rire.

Tu n’as pas fini de rire alors !

(Rires).

Frère : OMA, pourquoi le feu que tu rayonnes …

Elisa : Qui brûle bien !

Frère : … on le ressent plutôt comme chaleureux que brûlant, mais plutôt comme quelque chose de connu entre guillemets ?

Ça dépend pour qui, je ne crois pas que ce soit le cas pour tout le monde ici ou parmi les spectateurs. C’est ta façon de le vivre, à toi, qui t’est spécifique.

Silence…

Elisa : Il va être huit heures.

Eh bien si vous n’avez plus de questions, on va peut-être s’arrêter, non ?

S’adressant à Elisa : La cuisson est bonne ?

Elisa : je crois qu’on a bien cuit, on est bien au point.

(Rires)

Alors chers Amis, chers Frères et Sœurs, je vous transmets tout mon Amour et je vous dis à bientôt, parce que comme je l’ai annoncé, je reviendrai un peu plus tard durant vos vacances.

Je vous transmets tout mon Amour et je vous souhaite la plus grande des joies et de réaliser ce que vous êtes. C’est déjà là.

À bientôt.

Tous : À bientôt.

Avec tout mon Amour.

———–

Jean-Luc : Alors, avant de couper le micro, on va le faire en ligne, comme ça ce sera aussi simple.

J’ai sélectionné tout à l’heure trois textes qui vont montrer qu’il n’y a pas que Pépère qui parle de ça et que c’est vraiment universel.

Je vous demande deux secondes. Alors on met les lunettes, voilà, hop.

Alors :

Ça, c’est de Nisargadatta Maharaj officiellement quand il était vivant :

‘’L’essence de la Sagesse est l’acceptation totale du moment présent, l’harmonie avec les choses comme elles se produisent. Un Homme sage ne veut pas que les choses soient différentes de ce qu’elles sont. Il sait, compte tenu de tous les facteurs, les choses sont inévitables.

Soyez amis avec l’inévitable et ne souffrez donc pas. Vous connaissez peut-être la douleur mais elle ne vous changera pas. Si vous le pouvez, soit vous ferez le nécessaire pour rétablir l’équilibre perdu, soit vous laisserez les choses courir.’’

Ça, c’est Nisargadatta.

Après j’ai pris Eckhart Tolle dans un ouvrage assez récent :

‘’Accepter l’inacceptable est la plus grande source de grâce en ce monde.

Un bien profond se cache même dans la situation la plus inacceptable et la plus pénible en apparence et tout désastre renferme le germe de la grâce. Au cours de l’histoire, des hommes et des femmes ont, devant une grande perte, une maladie, une incarcération ou une mort imminente, accepté ce qui semblait inacceptable, découvrant ainsi la paix insondable.

Accepter l’inacceptable est la plus grande source de grâce en ce monde.

Dans certaines situations, toutes les réponses et explications échouent. La vie n’a plus aucun sens. Ou quelqu’un en détresse vous demande de l’aide et vous ne savez pas que faire ou dire.

Lorsque vous acceptez pleinement de ne pas savoir, vous cessez de lutter pour trouver des réponses dans les limites du mental, et c’est alors qu’une intelligence plus vaste peut agir par votre intermédiaire. Même la pensée est susceptible d’en bénéficier, car l’intelligence plus vaste, ce que l’on appelle nous l’Intelligence de la Lumière, peut y affluer pour l’inspirer.

Parfois, lâcher prise, l’abandon à la Lumière, signifie cesser de comprendre et de se sentir à l’aise dans le fait de ne pas savoir.’’

D’accord ?

On prend un troisième, un peu plus ancien, Osho … non il n’est pas là … Ah celui-là je ne l’ai pas enregistré apparemment.

Vous avez ces deux là déjà. Il y a un texte d’Osho mais j’ai oublié de l’enregistrer.

Donc vous voyez, ce n’est pas quelque chose de nouveau. C’est quelque chose qui est répété depuis des dizaines d’années, des centaines d’années, par des centaines de personnes. Il n’y a rien de nouveau, rien, rien, rien de nouveau dans ce que nous dit OMA, c’est simplement le moment de passer réellement à l’acte. Vous verrez bien par vous-mêmes, je ne peux pas vous dire mieux.

Si je retrouve le texte d’Osho …

On va arrêter maintenant. Merci.

Bon, ‘’bon appétit’’ à tout le monde.

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