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O.M. Aïvanhov (1ère Partie)
Vacances (12 au 17 Juillet 2021)
Animation par : Elisa Bernal
12 Juillet 2021
Jean-Luc : Nous allons accueillir Omraam Michaël Aïvanhov pendant deux heures. Nous ferons une pause d’une heure et nous reprendrons après pour la deuxième partie toujours de Omraam Michaël Aïvanhov.
Et bien chers amis, je suis extrêmement content de vous retrouver après cette grande période de Silence que vous avez pu vivre de notre part, pour vivre ce qui était à vivre à l’intérieur de vous, mais aussi sur cette scène de théâtre.
Je vous transmets tout d’abord toutes mes bénédictions et je vous remercie pour votre présence et aussi pour les questions que vous allez me poser.
Il y a toujours un temps de latence avant de commencer pour lancer la première question.
Elisa : Il y a des années on nous avait dit que nos esprits étaient enfermés dans le soleil…
Oui, ça fait très longtemps ça.
Elisa : … et maintenant le soleil il est blanc, avant il était jaune. Qu’est-ce que ça veut dire ?
Ça veut dire que le soleil est en phase de transformation. Mais j’avais dit aussi, il y a de nombreuses années là aussi, que vos esprits qui étaient enfermés dans le soleil, à travers et par le corps d’éternité, vous avaient rejoints. Donc, cette question, si tu veux, a déjà été résolue. Vos corps d’éternité sont redescendus, si je peux dire, progressivement ou brutalement déjà depuis de nombreuses années. Vous êtes nombreux à avoir retrouvé votre corps d’éternité. Bien sûr, certains d’entre vous en ont une totale conscience et d’autres pas encore.
Aujourd’hui vous avez la possibilité de porter votre conscience, comme nous l’avons dit, à l’intérieur de votre Cœur. Mais je vous assure que tous les êtres humains incarnés ont à disposition leur corps d’éternité, que vous sentiez le corps d’énergie, le corps vibral, ou pas. Votre corps d’éternité par l’intermédiaire des particules adamantines est effectivement descendu du soleil, si on peut dire, est venu épouser votre corps physique et éthérique, c’est-à-dire que le corps de fusion, comme disait Bernard de Montréal, est parfaitement disponible.
Il s’est, en quelque sorte, resynthétisé ou accroché à vous par l’intermédiaire des points de contact que nous avions nommés à l’époque les Portes et les Étoiles. Et depuis quelques années, il vous a permis d’activer, si je peux dire, la Couronne Ascensionnelle du Cœur, le Feu du Cœur Sacré et vous a approchés au plus proche de vous-mêmes, que cela soit par le Feu du Cœur, que ça ait été aussi par l’Onde de Vie ou encore je dirais par le retournement de votre conscience de l’extérieur à l’intérieur.
Quant à ta question sur la couleur du soleil, ce changement de couleur que vous avez tous observé, n’est pas lié nécessairement à la présence de vos corps d’éternité en vous et sur vous, mais avant tout à la dissolution des couches isolantes de la Terre, qui je vous le rappelle étaient la magnétosphère, la ionosphère et l’héliosphère. C’est ça qui vous fait apparaître le soleil soit jaune, soit blanc.
D’autres frères et sœurs, en vision intérieure, vous diront que le soleil est bleu, qui était la couleur de ce qui avait été nommé la sixième race-racine ou la race bleue. Mais vous savez très bien que le soleil n’est qu’un portail d’accès à votre multi dimensionnalité et dorénavant à la Vérité. Je rappelle que par ailleurs, encore aujourd’hui, vous pouvez vous aussi vous reconnecter à l’Esprit du Soleil et favoriser ainsi la fusion entre vos structures éphémères, les corps subtils, et le corps d’éternité. Le corps d’éternité qui est aussi une forme d’intermédiaire qui vous permet de franchir toutes les portes jusqu’à la Vérité au-delà de la forme.
Voilà ce que je peux dire. Autre question.
Elisa : Dans quel plan vous situez-vous aujourd’hui, si on peut parler de plan ?
De la même façon que nous étions tous les Melchisédechs réunis dans une sphère, si vous préférez, un vaisseau de Lumière, qui a été intercalé depuis la neuvième dimension au début dans le haut astral. Mais depuis notre espace de résolution à nous, Anciens, nous demeurons dans notre vaisseau de Lumière proche du soleil, comme les vaisseaux de Marie, attendons avec vous la visibilité de Nibiru et l’Événement Collectif en même temps.
Nous avons eu l’occasion à de multiples reprises de vous dire que nous étions tous, Anciens, Étoiles, Archanges, l’Ensemble de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres, autour du soleil mais aussi autour de la Terre. Voilà quelques années, je vous disais que nous étions cachés dans certains nuages. Mais vous constatez qu’aujourd’hui, depuis déjà plus d’un an, beaucoup de vaisseaux apparaissent à l’œil nu indépendamment des camouflages dans les nuages.
Il y a une espèce d’acclimatation des vaisseaux de la Confédération Intergalactique à l’atmosphère de la Terre, attendant le moment propice de nous manifester en totalité pour vivre avec vous l’Événement. Tous les prérequis, toutes les conditions qui devaient être accomplis l’ont été. Et nous sommes comme vous dans notre vaisseau, nous sommes en Silence le plus souvent afin d’offrir le moins de résistance à l’Événement Collectif.
Événement Collectif que j’avais dit aussi l’année dernière que vous aviez commencé à vivre. Et c’est ça qui a précipité quelque part le chaos de ce monde, afin de vous restituer à votre Liberté. Ce n’est pas l’action directe de la Confédération Intergalactique, mais la disparition progressive de la distance entre nous tous et la Vérité. L’État Agapè, l’État Naturel, le Parabrahman comme disait Bidi est, quelque part, de plus en plus proche de vous. Nous vous avions dit aussi que durant cette période, qui date maintenant de plus de trois ans, que rien ne pouvait vous être caché et que tout allait se révéler.
Vous êtes de plus en plus lucides sur les secrets cachés des méchants garçons. Que cela concerne les affaires médicales de ce monde mais aussi la révélation de tous les cultes secrets opposés à la Lumière. Et je le dis aujourd’hui et de manière encore plus forte que l’année dernière que vous n’avez pas encore tout vu. Vous devez traverser toutes les zones d’ombre restantes, les vôtres comme celles de ceux que nous nommons vos prédateurs. Et ce processus quelque part va aller crescendo avant la fin de cette année, afin que nul ne puisse ignorer ce qui s’est déroulé dans les coulisses de la scène de théâtre.
Je vous rappelle par ailleurs, que vous n’avez rien à juger et à condamner, que vous avez juste à voir clair, à accueillir, à accepter, et que c’est ça qui va transmuter de manière alchimique le faux en vrai. Et j’avais toujours dit que ce monde finira dans un grand éclat de rire, quels que soient vos pleurs, quelles que soient vos larmes aujourd’hui. Vous n’avez réellement rien à craindre et rien à perdre. Parce que dès que vous acceptez, vous traversez toutes ces zones d’ombre et d’incompréhension, et vous vous réveillez du cauchemar.
Et chacun d’entre vous se réveille de différentes façons possibles, que ce soit dans votre histoire personnelle, mais aussi dans l’histoire de la société et du contrôle de la société. Rien ne doit demeurer caché. Tout doit être vu, dedans comme dehors. Et c’est ainsi que vous êtes libres. Quelle que soit l’horreur de ce qui est perçu, vu ou éprouvé, ça débouche immédiatement après sur la Joie. Il n’y a rien d’autre que la Joie. Quelle que soit la difficulté que vous éprouvez aujourd’hui, plus c’est difficile, plus la libération sera joyeuse.
C’est comme ça dorénavant que la plupart d’entre vous vont se souvenir de qui vous êtes et de ce que vous êtes en Vérité, au-delà de toute forme et de tout monde. Et en résumé, ne jugez rien et acceptez tout ce que vous voyez et vous vivez. Bien sûr, il y a des problèmes à résoudre et il y en aura de plus en plus. Mais c’est au travers de ce que vous pourriez nommer des épreuves que vous dépasserez toutes les illusions et que j’ai toujours dit que vous en rirez après.
Dès que vous admettrez, et les conditions de vie vont vous y contraindre quelque part, dès que vous admettrez ce que vous traversez, immédiatement après, vous verrez l’illusion de tout cela et l’instant d’après, vous rirez. Vous serez en Joie. Et pour tous les sœurs et frères qui aujourd’hui ont l’impression d’être enfermés ou de subir quoi que ce soit, je peux vous assurer que le rire de la Vérité vous saisira et vous constaterez par vous-mêmes que, quelles que soient je peux dire, les erreurs, les illusions, quelles que soient les souffrances peut-être à endurer, vous découvrirez la Vérité.
Vous rirez de tout ça, réellement, surtout si aujourd’hui vous pleurez. Vous êtes de plus en plus nombreux chaque jour, chaque semaine, à vivre l’État Naturel comme dirait Tête de Caboche, à vivre Agapè, et à vivre ou à avoir le pressentiment de quelque chose à vivre qui n’a jamais existé, peu importe les éléments de la scène de théâtre qui voudrait vous faire croire l’inverse, qui voudrait vous saisir par la peur ou le contrôle. Vous verrez et vivrez par vous-mêmes que la scène de théâtre des guignols est devenue le grand guignol. Rien de tout ça n’est vrai.
Et tout cela est destiné uniquement à vous faire redécouvrir qui vous êtes avec certitude, avec évidence, et contrairement aux apparences, avec beaucoup de sérénité. Si vous ne vivez pas encore cela, il vous suffit d’accepter pour le vivre. Parce que plus les semaines et les mois vont s’écouler et moins il y aura d’issue autre que la Joie d’Agapè, quoi que vous en pensiez encore aujourd’hui. Il vous faut juste accepter que tout se déroule Ici et Maintenant, sur la scène même de cette société, partout, mais aussi dans votre Cœur.
C’est un espace de résolution inouï et insensé qui s’est ouvert. Acceptez cela et vous le vivrez d’autant plus vite et facilement.
Autre question.
Elisa : Si on est ce qu’on a toujours été, à quoi et à qui a servi tout ce jeu et cette scène de théâtre ?
On est bien d’accord, à strictement rien du tout. Quand vous êtes dans l’État Véritable, si je peux dire, vous ne pouvez que constater que tout ça n’a servi à rien. Ce sont des histoires que nous nous sommes tous racontées pour nourrir et alimenter le rêve. Donc, effectivement et en vérité, rien ne peut servir à rien, parce que la Vérité a toujours été au Temps Zéro, en dehors de toute forme et de toute dimension comme en dehors de toute conscience. Rien n’est utile. Et c’est en cela que vous allez vivre, je dirais, l’inutilité du rêve de la création.
Surtout quand vous vivrez qu’il n’y a jamais eu de temps, jamais eu d’espace et que vous n’avez jamais été séparés de vous-mêmes, malgré l’enfermement de certains systèmes solaires. Donc, c’est parfaitement risible. Cela n’a été qu’une forme de jeu morbide, une activité strictement inutile. La perfection est votre nature et votre essence. Tout le reste ne fait que passer et n’a rien de solide, si je peux dire. Parce que tout ce qui passe n’est pas vrai, seule la Vérité ne passe pas.
Elle a toujours été là. Elle a toujours été immuable, échappant au temps et à l’espace, et dans le même temps, parcourant tous les temps et tous les espaces. C’est comme ça que vous vivez la Résolution, si je peux dire, nous avec vous. Donc, ça ne sert strictement à rien, mais faut-il encore vous en rendre compte. Faut-il encore le vivre pour l’accepter. La conscience ne peut pas l’accepter, le personnage non plus. Mais encore une fois, ne croyez pas non plus en mes mots, mais je peux vous assurer que nous y passerons tous, sans aucune exception.
Et c’est là que vous découvrirez, avec un bonheur extraordinaire, que rien de cela ne s’est jamais passé. Seules la personne et l’âme y croient encore parfois mais c’est juste, encore une fois, des histoires que nous nous sommes racontées, les uns et les autres. La Joie, Agapè, le Silence, n’ont pas besoin d’histoire, n’ont besoin de personne et ça tombe bien car nous sommes personne. Tout ça n’a été qu’un jeu et d’ailleurs nos frères orientaux appellent ça les Leelas du Seigneur, les Jeux du Seigneur.
C’est en ce sens et comme je l’ai dit, et je le redis encore aujourd’hui, tout cela finira dans un éclat de rire cosmique quand vous constaterez qu’il n’y a jamais eu de cosmos. Et vous savez que vos scientifiques y arrivent aujourd’hui, ils disent que la Terre est une simulation informatique. Mais en quelque sorte, la totalité de la Création, des dimensions et des mondes n’est qu’un jeu de simulation qui nous a permis les uns et les autres de nous éprouver nous-mêmes, de voir, en quelque sorte, jusqu’à quel point nous étions tous ridicules de croire pouvoir exister en dehors du Réel. Il n’y a rien de tout cela.
Je vous avais expliqué à l’époque que nous Anciens, nous devions aussi nous libérer de nos croyances, de nos créations parce qu’effectivement, nos créations n’avaient aucun sens, de la même façon que la vie n’a aucun sens. Elle est ! Elle est apparue, elle disparaîtra sans raison aucune et le vivre réellement est un grand soulagement. C’est une grande jouissance et une grande liberté. Mais, il est vrai qu’aujourd’hui, nombre de frères et sœurs persistent à être accrochés à leur histoire, à leur corps, à leur conscience. Et si vous êtes attachés, vous souffrez. Et si vous êtes attachés, vous avez peur.
Voilà pourquoi depuis de nombreuses années, j’ai parlé que ça ne pouvait être que la peur ou l’Amour. Quand vous en aurez marre d’avoir peur de quoi que ce soit et surtout de l’inconnu, alors vous rirez de vous-mêmes parce que vous serez libres de tout ce à quoi nous avons cru les uns et les autres, de toutes les distances artificielles que nous avons créées, entre la Vérité et nous.
Autre question.
Sœur : Tu as dit, tout à l’heure, que quand on est dans le silence, ça évite la résistance.
Tout à fait.
Sœur : Est-ce que ça veut dire que pour ne pas avoir de résistances, il faut être toujours dans le silence ?
Le Silence intérieur n’est pas le silence des mots. C’est le silence de ne plus adhérer à quoi qu’il se déroule, …
Elisa : Je n’ai pas traduit en espagnol, la question.
Parce que le Silence va amplifier, dans un premier temps, la perception de ce qui est. C’est une perception subtile, au-delà des apparences. Et en maintenant ce Silence intérieur, alors la perception s’évanouit elle-même, la conscience s’éteint d’elle-même et vous découvrez, à ce moment-là, qui vous êtes. Tant que vous n’avez pas …
(Coupure de l’Audio)
… d’Eriane, la Fée des elfes du village d’Eridan, que ce soit avec Erilim le dragon, ou encore Fenouil, le gnome, tout cela était pour ouvrir vos voies de communication et de résonance avec les peuples qui avaient gardé le plus de reliance à la Vérité. Et aujourd’hui, plus que jamais, durant cette année 2021, plus que jamais, il faut vous accorder ces moments parce que vous ne vous retrouverez jamais dans une activité de société, affective ou professionnelle.
Encore une fois, ce n’est pas pour fuir quoi que ce soit, mais vraiment pour vous retrouver. Il n’y a rien à fuir mais il est recommandé de vous offrir des plages de Silence et de Communion. Voilà quelques années, les peuples de la nature ont été un prétexte pour vous retrouver, pas seulement pour vivre des cérémonies de pleine lune avec les elfes, ou pour le côté merveilleux des rencontres avec un dragon ou une fée, mais vraiment pour vous approcher du Réel.
Et c’est en ce sens que je vous dis et vous redis encore aujourd’hui que, plus la société des hommes va s’effondrer, se disloquer, que vous allez perdre vos dernières habitudes, et que vous allez avoir de très grandes facultés à vivre le Réel, parce que tout simplement il n’y aura plus rien à l’extérieur : ni écran, ni communication, ni voyage, ni nourriture. Alors, à ce moment-là, vous ne pourrez que vous retrouver. Il ne s’agit aucunement d’une punition, ni d’un quelconque karma de quoi que ce soit, mais je le redis, une véritable restitution à vous-mêmes.
Parce que quand nous sommes dans un corps, ici comme ailleurs, nous avons l’illusion que nous devons courir après le bonheur, après l’argent, après la Vérité, après l’Amour, d’avoir une mission à accomplir. Ça c’est la même chose, même pour les missions les plus hautes, mais c’est aussi une illusion. Acceptez que rien ne sert à rien. Acceptez que vous n’êtes Rien et vous vivrez le Tout. Ne revendiquez rien parce que tout est déjà là. Et si vous revendiquez quelque chose, vous créez une distance qui n’a plus lieu d’être.
En fait, comme disait Osho dans sa dernière intervention voilà déjà maintenant quatre ans ou cinq ans : «La façon la plus simple de retrouver qui vous êtes, c’est la tranquillité et la fainéantise», mais certainement pas le fait de vous exciter et de vous agiter, parce que ce sont les circonstances actuelles de la Terre. Ceci n’aurait pas pu être dit il y a encore dix ans. Mais aujourd’hui, c’est la stricte vérité qu’il vous appartient de vivre. Vous ne pouvez pas être au four et au moulin et être prêt. C’est un mensonge. Et comme disait Osho : « Plus vous êtes fainéant, plus vous êtes proche de la Vérité.» Ça rejoint quelque part l’Humilité, la Simplicité de la petite voie ou la voie de l’enfance de Thérèse.
Vous n’êtes plus dans les temps de l’expérience de la conscience, mais vous êtes dans le temps de la résolution. Alors oui bien sûr, il y a une forme d’urgence temporelle, sur cette scène de théâtre de guignols, de vous retrouver en totalité. Il n’est plus temps de pratiquer des exercices. Il est bien au contraire le temps de mettre fin à toute recherche concernant qui vous êtes. Ce qui ne vous dispense pas de rechercher au niveau humain, comme vous le verrez bientôt, de la nourriture ou des conditions de survie, si je peux dire.
Mais quelles que soient les circonstances de votre vie, ne perdez jamais de vue que vous êtes la Vie, que vous êtes la Voie et que vous êtes la Vérité. C’est la seule chose qui n’a pas besoin d’effort. C’est la seule chose que vous pouvez faire avec facilité : «acceptez de ne rien faire». Trouvez le temps d’être fainéant. Trouvez le temps de vous tenir en Silence pour vous retrouver, parce qu’aujourd’hui c’est extrêmement facile, dès que vous tournez sincèrement au-dedans de vous, vous vous retrouvez entièrement. Tout le reste n’est que gesticulations du mental et de la conscience.
Vous n’aboutirez nulle part ailleurs que dans la souffrance. C’est le moment où vous croyez que vous avez tout perdu, à quelque niveau que ce soit, que vous découvrez la plénitude que vous êtes. À ce moment-là, vous n’êtes Rien et vous constatez que vous êtes le Tout et il n’y a plus de place pour une histoire, un scénario de quoi que ce soit. C’est ça la véritable Liberté et la Vie va vous y contraindre, là dans les semaines et les mois qui viennent, de toutes les façons possibles, quoi que vous en disiez encore aujourd’hui. Chaque jour l’Événement Collectif est de plus en plus prenant, si je peux dire. Chaque jour vous vous rapprochez de vous-mêmes, même et surtout s’il vous semble vous en éloigner.
Parce que, ce qui se produit, est inarrêtable et inéluctable. Comprendre que vous n’avez aucun moyen d’action, vous met dans le Réel, vous place dans l’Acceptation et vous rend à la Légèreté et la Liberté. Mais certains d’entre vous, d’entre nous, ont besoin de se démener, de croire devoir agir par soi-même. Et quand vous en aurez marre de souffrir, alors, vous vous relâcherez vous-mêmes et vous vivrez la Vérité. Il n’y a pas d’autre voie possible. Toutes les autres voies sont des voies de garage qui vous emmènent à un cul-de-sac.
Je ne vous demande pas d’être d’accord avec moi, mais je peux vous assurer que vous vous en rendrez compte très vite maintenant. Encore une fois, ce n’est pas une invitation à la démission de vos responsabilités, mais une invitation à voir et à vivre les choses autrement.
C’est ça qui met fin aux attachements et aux dernières croyances. C’est ça qu’il vous faut comprendre. C’est ça qu’il vous faut accepter. Et c’est ça qui vous le fera vivre.
Autre question.
Sœur : Est-ce que ça veut dire que tous les êtres qui sont encore sur cette Terre incarnés, à un moment donné, ils vont devoir soit se nourrir de prāṇa, soit mourir ?
Ah, vous serez morts avant de vous poser ce genre de question. Vous aurez disparu de la scène de théâtre et vous serez dans le Réel. Je vous demande, par rapport à cette question, qui veut survivre à quoi qui n’existe pas ?
Sœur : Mais moi je réagis juste à ce qu’il a dit à un moment donné dans le cauchemar. Dans le sens, dans le cauchemar, on n’allait plus avoir à manger, par exemple.
Ah mais c’est clair. Que cela soit par les radiations cosmiques et telluriques, que ce soit par les scénarios des guignols, toutes sortes de privation vont s’établir. C’est une certitude absolue. C’est tellement proche, que de là où nous sommes, nous le voyons clairement. C’est une certitude. Alors, qu’est-ce que vous voulez préserver? Le ventre plein ou le Cœur plein ?
Sœur : Mais je me permets d’insister, dans le sens où tu viens aussi de répondre qu’on ne sera plus là pour le voir. On sera mort avant.
Non, vous serez morts en même temps. N’oubliez pas que l’approche de Nibiru, n’oubliez pas que l’expansion de la Terre et du magma terrestre génèrent une augmentation sans précédent des rayonnements cosmiques et surtout des rayonnements gamma. Je ne connais pas beaucoup de corps carbonés qui résistent aux rayons gamma, n’est-ce pas ? Je vous rappelle que ce n’est pas une mort. C’est une Résurrection totale. Qui s’affole, si ce n’est le personnage ? Je vous dis les choses très clairement.
Sœur : Il est question que la Terre est, enfin pas la Terre, mais que tous les êtres sur la Terre vont mourir donc…
Mais ce n’est pas une mort. C’est une Résurrection. C’est la fin de la croyance en la forme. Et ce n’est pas seulement sur la Terre. C’est la Résolution du drame cosmique. Ça concerne toutes les dimensions, tous les univers et tous les multivers. Et si vous voyez la Vérité, si vous vivez la Vérité, ce n’est pas une peur, c’est une grande Joie. C’est une peine seulement pour l’ego, pour la personne, mais vous ne perdez rien. Vous vous retrouvez en totalité.
C’est un événement et nous vous l’avons toujours dit, nous ne vous l’avons jamais caché, depuis les Noces Célestes, depuis l’année 2009, que c’était un processus global. La fin du mythe de la création. L’Alpha a rejoint l’Oméga. Il n’y a plus de case pour le moindre rêve de la conscience. Vous n’avez rien à préparer ou à anticiper. Vous avez juste à vous reconnaître en la Vérité. Tout le reste, sans exception, ce ne sont que des tergiversations, des hésitations ou des peurs de l’ego ou de la conscience. Heureusement, vous n’êtes rien de tout ça.
Personne ne connaît la date et l’heure. Personne ne peut vous donner le jour. Mais tout le monde peut constater ce qui se déroule, que ce soit dans la société, dans l’activité des volcans, dans l’activité du ciel et de tout ce qui se produit dans cet univers que vous connaissez. Quand j’ai pris l’image de la simulation informatique ou, comme disait Bidi, la scène de théâtre ou encore Abba avec le jeu vidéo, il n’y aura plus d’électricité pour alimenter tout ça. Et vous serez libres. L’appréhension ne vient que de celui qui croit à son corps, à sa conscience, qui quelque part est encore identifié à sa personne.
Allez votre vie simplement. Vivez ce que la Vie vous propose ou vous impose et vous trouverez la Vérité. C’est la Vérité qui vous trouve. Et le sourire sera sur vos lèvres. Tout le reste n’est que du cinéma. Vous ne devez pas vivre d’espoir ou d’espérance mais vous devez vivre de Vérité maintenant. La Vérité est dans l’Instant Présent. La Vérité est dans la prise de conscience de ce qui se déroule à tous les échelons de la création qui vous sont accessibles. Et je vous répète que c’est une grande Joie. Ce n’est pas une fin. Ce n’est pas non plus un début. C’est juste le Réel.
Sœur : C’est angoissant quand même.
C’est angoissant seulement pour la personne. C’est angoissant pour celui qui ne vit pas la Vérité. C’est angoissant pour celui qui a peur de l’inconnu. C’est angoissant pour la personne, pour l’âme, c’est-à-dire qu’il y a encore une soumission et non une liberté. Ça prouve simplement qu’il y a encore une adhésion à ce qui n’est pas réel et qui n’est pas vrai. Celui qui est libre accueille cela avec une grande Joie, un grand Silence, mais je répète ce que vous ont dit Abba et Tête de caboche : « Le Réel met fin à vos rêves. »
Le Réel vous ramène en la Vérité de qui vous êtes qui n’est certainement pas une angoisse de quelque fin que ce soit. Celui qui est libre ne craint pas sa mort, ni la mort de personne. Le monde de la mort c’est le monde où vous êtes. Le monde de la mort c’est le monde de la forme. Là où la Vérité est, il n’y a besoin d’aucun monde. Là où est la Vérité, il n’y a aucune histoire et ça tombe bien parce que c’est exactement ce que tu es.
… Silence …
Et encore une fois ça, ce que je viens de dire, ne peut pas et ne doit pas être cru. Mais vous avez la possibilité de le vivre.
… Silence …
Elisa : On est à cinq minutes de notre temps.
Elisa : Elle veut donner un témoignage.
Alors, on écoute.
Elisa : Il y a quatre ans et demi, j’ai eu une expérience avec ma fille, …
(Une autre sœur demande à Elisa de parler plus fort pour entendre ce qui se dit.)
Elisa : Elle avait dix-sept ans, elle est arrivée très tard la nuit, à une heure du matin et moi j’ai eu très peur. Et quand elle est arrivée, je me suis fâchée. Et quand j’ai essayé de parler avec elle, je suis allée dans sa chambre. Elle n’y était pas. Il y avait son téléphone, ses clés, ses chaussures. Je ne la voyais pas. Je l’ai cherchée partout, même à l’intérieur des tiroirs. Je ne savais pas où aller et à qui téléphoner. J’ai vu que ma fille n’était pas là mais ses choses étaient là. Je suis rentrée au moins trente fois dans sa chambre et je ne la voyais pas.
Elisa : Et une des fois où je suis rentrée dans sa chambre en pleurant, je l’ai vue, étirée sur son lit. Elle a commencé à parler. Je ne savais pas trop ce qu’elle me disait. Elle me disait qu’elle devait aller au plus loin de son mental, plus loin de ses cinq sens et plus loin du monde des idées. Je me suis approchée d’elle en pensant qu’elle me blaguait et elle continuait à me parler. Et puis alors, je me suis rendue compte que ce n’était pas elle qui parlait. Alors finalement, on était trois personnes à parler. Et donc, ce message était pour moi. Alors, est-ce que ce message était pour moi? Et cette voix m’a répondu à travers ma fille que oui, que c’était pour moi.
(Une autre sœur demande à Elisa de parler plus fort pour entendre ce qui se dit.)
Sœur : Plus fort s’il-te-plaît, la voix a répondu à travers ta fille que ?
Elisa : Elle a répondu, que le message était pour elle.
… pour les deux.
Elisa : Qu’elle devait plus s’intérioriser.
Qu’elle était…?
Elisa : Qu’elle devait plus s’intérioriser.
Je pense que c’était un message pour les deux. Quand il y a une interaction de ce genre, les mots, l’expérience, s’adressent aux deux. Il y a de l’information qui est passée pour chacune des deux, ….
… Silence …
Tu me diras quand tu en auras marre, n’est-ce pas ?
Elisa : Ça fera deux heures dans une minute.
Combien ?
Elisa : Ça va faire deux heures dans une minute.
Et voilà, c’était le temps que je sentais que tu commençais à fatiguer.
(Rires)
Sœur : Tu peux lui demander si sa fille a eu un souvenir ?
Elisa : Non. Sa fille ne se souvenait plus après.
En tout cas, il est resté, non pas les mots mais l’impression. Et l’impression et les changements qui surviennent après, sont beaucoup plus importants que les mots, les discours.
Sœur : Est-ce qu’au moment où sa fille a répondu et qu’elle a dit qu’on était trois, est-ce que c’était une entité qui était rentrée dans son corps, ou quelqu’un…, un être de Lumière qui était là ?
Elisa : C’était une entité qui est rentrée dans son corps ?
Mais aucune entité ne rentre ou ne sort en réalité. Et il faut que vous compreniez définitivement que vous êtes la totalité du créé et la totalité de l’incréé. C’est valable pour chacun de nous. Et cela fait partie de l’ultime révélation, le passage par ce qui était nommé à l’époque – la stase et le paradis Blanc – . C’est le moment où vous perdez tous vos repères et où il vous semble être abandonné de tout et de tous. Les paroles du Christ sur la croix : « Eli Eli Lama Sabachthani ? »
« Père pourquoi m’as-tu abandonné ? » Mais personne n’abandonne personne. Tout a toujours été là, en totalité. Nous l’avions tous oublié, même nous, les Anciens. Et maintenant, vous allez vous souvenir. Se souvenir n’est pas un acte de mémoire. Vous allez vous souvenir de la Vérité. Bien évidemment en le vivant, et la Vérité ne sera jamais dans une forme ou dans une histoire ou dans un monde. La Vérité est pure Béatitude. Et je vous garantis que tous les frères et sœurs qui le vivent cet État Naturel, cet État Agapè, il y a eu suffisamment de témoignages pendant les canalisations, sur les réseaux sociaux, entre vous.
Quand vous le vivez, il ne peut plus exister la moindre angoisse ou la moindre question parce que vous avez la solution et parce que vous êtes la solution. Il n’y a personne d’autre que vous. Et c’est la stricte vérité. Ce qui est à vivre, grâce au Paradis Blanc et grâce à l’Événement, mettra fin à toutes les mémoires, à tous les rêves, à tous les cauchemars et à tous les mondes. Et vous avez la possibilité de le vivre à titre individuel, dès maintenant, bien avant l’Événement Collectif à son maximum. Ça fait un an que je vous dis que vous êtes rentrés dans l’Événement Collectif.
Ça fait un an que je vous dis que le chaos de la société et de cette Terre allait s’amplifier. Ce n’est pas une prophétie ni une prédiction. C’est la réalité de ce que nous voyons et vivons, vous comme nous, depuis plus d’un an. Vous ne pouvez pas le nier. Alors, soit vous êtes dans la fuite en espérant des jours meilleurs, ou dans un nouveau monde ou une nouvelle dimension, soit vous affrontez le Réel et vous vivez que vous êtes le Réel. Tout le reste, ce ne sont que des fuites ou des peurs.
Je crois que tu as dépassé les deux heures. Non ?
Elisa : Oui, Pépère.
(Rire)
Alors, si vous le voulez bien, je vais vous transmettre toutes mes bénédictions et je vais vous laisser vous rafraîchir, vous désaltérer. Et si vous voulez bien, nous nous retrouvons à nouveau dans une heure pour la suite.
À bientôt !
Groupe : À bientôt ! Merci.
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