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Direct avec Elisa Bernal et Jean-Luc Ayoun
« A quoi servent les Cœurs à Cœur avec Bidi, ABBA et Jean-Luc ? »
Jeudi 30 novembre 2023
Elisa s’adresse d’abord en espagnol pour souhaiter la bienvenue à tous et pour répondre à quoi servent les rencontres de Cœur à Cœur avec Bidi et Abba. Il y aura traduction en espagnol et français. Faisons entrer le Dr Jean-Luc Ayoun.
Elisa : Et bien, bonjour à tous. Aujourd’hui nous avons notre invité spécial Jean-Luc Ayoun qui est toujours très attendu. On va le faire entrer tout de suite et il va nous raconter des choses intéressantes, je suppose, on va le faire entrer.
Elisa : Bonjour Jean-Luc. Comment tu vas ?
JLA : Bonsoir Elisa. Bonsoir à tous les auditeurs. Tout va bien. Plus ça va mal, mieux ça va bien.
Elisa : Ça fait longtemps qu’on ne t’a pas vu. (Rire)
Bientôt. Bientôt. Alors, le but de cette vidéo – qui n’est pas un vendredi comme d’habitude sur les vidéos d’Elisa -, est d’essayer, d’essayer je dirais, de vous décrire un peu à quoi servent ces rencontres de Cœur à Cœur que nous faisons maintenant, assez régulièrement, depuis le début de l’année.
Dans ces rencontres, vous n’apprendrez strictement rien. Ce n’est pas fait pour apprendre quoi que ce soit, contrairement par exemple au dernier satsang sur les cristaux de protection. Le seul but de ces rencontres de Cœur à Cœur comme elles se nomment, et à travers les mots que nous échangerons, est de vous faire rencontrer avec vous-mêmes. Au travers de vos témoignages, de vos vécus, au travers de l’écoute active de chaque participant, nous aurons l’occasion donc d’échanger, mais d’échanger sur le Réel, sur la Vérité.
Le but n’est pas de se raconter des histoires ou une quelconque connaissance, mais bien de favoriser le souvenir de qui nous sommes réellement, au travers, encore une fois, ce que vous direz, ce que j’aurai à dire, à travers aussi la venue de Bidi, d’Abba. C’est une occasion rare, je dirais, de se rencontrer. L’échange est dans les deux sens. Il n’y a pas un instructeur et des élèves de quoi que ce soit.
Cela nécessite, bien sûr, que nous ne soyons pas plusieurs centaines ou plusieurs milliers comme quand je fais des interventions comme ce soir, mais bien d’être un nombre restreint de participants, ce n’est pas du tout élitiste, mais c’est une façon de limiter à un groupe effectivement, de pouvoir accéder au Réel, que ce soit avec les échanges que vous aurez avec moi, avec Bidi, avec Abba, et cela se termine, depuis déjà deux fois, je crois, depuis deux Cœur à Cœur, par une session de guérison particulière dans le Silence.
Bien sûr, ça aura lieu en français et en espagnol, en traduction simultanée par Elisa. Ce qui n’est pas du tout lassant ou fatiguant, bien au contraire, parce que ça laissera des espaces de silence et de recueillement, au travers de nos paroles, de nos échanges, que ce soit avec moi, avec Bidi, avec Abba, entre vous, entre nous. Comme j’ai eu l’occasion de le dire, le fait d’être en virtuel, comme on dit aujourd’hui, vous donne l’occasion de vous retrouver dans votre propre intimité, chez-vous, et du fait de la non-présence physique des autres participants, il y a une plus grande facilité à vivre l’Unité, à vivre l’Intimité du Cœur.
Cela, on l’a déjà constaté au début d’année avec les premières résonnances Agapè que nous avions faites par Continent, si vous vous rappelez, pour ceux qui étaient là. Bien évidemment, c’est beaucoup plus long que les sessions Agapè qui duraient, si mes souvenirs sont bons, deux heures je crois Elisa. Nous sommes ensemble deux jours complets, ça doit faire plus de douze ou quinze heures, je crois, si on compte bien. Il y a quatre heures et trois heures, sept heures, quatorze heures, plus les séances de guérison, on est à peu près quinze heures ensemble, ce qui donne plus de facilité et plus d’opportunités de se retrouver et de vivre le Réel.
Durant ce direct, nous avons un ‘chat’ et si vous avez des questions à poser, bien évidemment, sur ce prochain Cœur à Cœur, nous y répondrons avec plaisir. C’est Elisa qui regarde le ‘chat’ sur Youtube. Je vais regarder aussi sur Youtube s’il y a des questions qui sont apparues, nous sommes nombreux. Non, pour l’instant je ne vois pas de question. Vous êtes déjà assez nombreux à être là.
Alors, nous avons beaucoup de sœurs et de frères qui s’inscrivent à chaque rencontre de Cœur à Cœur parce que, indépendamment de se retrouver, ce sont des moments très agréables et privilégiés d’échanger, bien sûr, qui sont un peu personnels et intimes entre chacun de nous. Et là aussi, le fait d’être à distance favorise justement cette intimité avec soi et avec les autres. On n’a pas peur du jugement, on n’a peur du regard de l’autre puisqu’on est dans sa bulle chez-soi.
Voilà, vous n’êtes pas sans ignorer, comme l’avait dit le Commandeur, que les choses s’accélèrent au niveau de la surface de cette planète. Plus grand-chose ne va comme d’habitude, je dirais. L’humanité dans sa totalité ressent bien que quelque chose est en train d’arriver. Alors bien sûr, pour ceux qui ne sont pas au courant ou qui ne vivent pas le Réel, ça peut occasionner anxiété, stress, angoisse. Et comme l’ont confirmé de nombreux participants des mois précédents, ces rencontres sont un moyen d’apaiser tout cela et de se recentrer. C’est un moment privilégié pour vivre l’Instant Présent, vivre le Silence et vivre l’Alignement, si je peux dire.
Voilà ce que j’avais à dire, bon, je suppose qu’il va y avoir des questions qui vont apparaître sur le ‘chat’, je vais regarder à nouveau.
(Elisa informe les auditeurs espagnols de poser des questions pour échanger avec Jean-Luc durant ce direct).
JLA : Il y a une question. Il y a une question de Nathalie, tout en dernier sur le ‘chat’.
Alors, question : Jean-Luc, mon oreille droite des sons d’alarme, mon corps vole par moment …
JLA : Ah, c’est parti le ‘chat’. Attends.
Question : … mon corps vole par moment, et quand je fixe quelque chose ça disparaît. Qu’est-ce qui se passe ?
JLA : Il se passe ce qui avait été déjà largement expliqué par Autres Dimensions il y a plus de dix ans maintenant, que plus l’humanité approcherait du point de bascule, de retournement ou si vous préférez, le Point Zéro, plus le Son de l’Âme et le Son de l’Esprit, pour ceux qui le perçoivent, deviendrait intense et puissant. Ce son, qu’on appelle aussi le Nada ou Chant de l’Âme, qui est lié à l’activation, simplement, à gauche de l’ampoule de clairaudience, et à droite de l’ampoule qui nous relie à l’Esprit, plus il deviendrait intense, plus il signerait l’approche électromagnétique et physique du corps céleste que nous nommons Nibiru ou Hercolubus.
L’amplification de ce son, pour ceux qui le perçoivent, est le témoin direct de l’approche de ce que Sri Aurobindo avait appelé le Choc de l’Humanité ou, si vous préférez, le Temps Zéro, processus qui avait été dévoilé et expliqué longuement aussi par l’Archange Anaël concernant le processus de la stase. Il surviendrait aussi, à l’approche de ce Temps Zéro, des mécanismes au niveau de la conscience un peu inhabituels. Cela va des processus de disparition de la conscience ou d’occultation de la conscience, que certains d’entre nous ont déjà vécus dans le passé.
C’est comme s’il y avait des absences de la conscience, en un instant, nous pouvons perdre le sens d’être une personne, nous pouvons perdre le sens de l’activité que nous étions en train de mener. Cela traduit un relâchement des liens entre la conscience et le corps. Comme l’a dit Bidi, nous ne sommes pas ce corps, nous sommes dans ce corps. Les rêves de vols que décrit Nathalie, font aussi partie de ce processus d’expansion de la conscience. Cette expansion de la conscience peut tout à fait – mais ce n’est pas une obligation -, tout à fait être le préalable à ce qu’on nomme la stase, c’est-à-dire à l’extinction de la conscience.
La stase correspond effectivement à un processus, comme disait Bidi, de a-conscience, c’est-à-dire ce qui est avant la conscience. Ça n’a rien à voir avec l’inconscience. Cette a-conscience est ce qui est, si je peux dire, juste derrière la Demeure de Paix Suprême, derrière Shantinilaya. C’est dans ces moments d’expansion ou de disparition au contraire, que l’on a le plus de chance de retrouver qui nous sommes et de vivre le Réel. Ce n’est pas quelque chose qu’on peut provoquer par une méditation ou une montée vibratoire. C’est quelque chose qui survient quand le moment est venu dans votre script, dans votre scénario, de le vivre et vous ne pouvez rien faire pour ça.
C’est le moment où vous pénétrez le Grand Silence, ce qu’on appelait le Réel. C’est le moment où vous vous rendez compte que toutes les histoires, celles de votre vie comme de tout ce qu’on appelle la spiritualité, les vies passées, n’étaient qu’un mauvais rêve. C’est le moment où vous pouvez vous dire, comme le disent aujourd’hui les physiciens, les neuroscientifiques, que tout ce qui se passe, tout ce que nous croyons vivre, n’est en fait qu’un rêve. Ou comme disent les physiciens, une simulation informatique. Ce qui a fait dire avec force à Bidi et Abba, que tout ce qui passe n’est pas vrai.
C’est le moment où vous découvrez que vous n’êtes jamais nés et vous n’êtes jamais morts. Cela n’a rien à voir avec la supra conscience ou une quelconque expansion de conscience, bien au contraire. C’est le retour à la Vérité, tout simplement, à l’Absolu, au Parabrahman.
Alors voilà pour cette question. Je regarde s’il y en a d’autres maintenant.
Donc, c’est tout à fait normal. Aussi bien le fait de ne pas être bien, de sentir un malaise profond par rapport à notre vie, par rapport au monde, que le fait de vivre ce genre d’expériences, amplification des sons, délocalisation, extinction, est un avertissement, en quelle que sorte, qui est donné à la plupart d’entre nous, qui nous dit que nous approchons de quelque chose d’inédit.
Dans le langage de l’intelligence artificielle, qui est la mode en ce moment, eux, ils parlent de singularité technologique. Nous sommes ici dans une singularité de la vie. Une singularité, c’est simplement quelque chose qui échappe au cadre de compréhension habituelle, c’est un événement qui surgit et qui vient, et qui change tout, absolument tout. C’est le Choc de l’Humanité de Sri Aurobindo tel qu’il l’avait si bien expliqué.
Et tout est fait dans la vie, dans notre vie, dans nos relations, dans notre vie personnelle, dans la vie de la société, pour nous amener à grande vitesse maintenant, à comprendre que nous ne devons tenir à rien, parce qu’en final, rien n’est vrai. Tout ce qui passe n’est pas vrai. Comme le disait Bidi de son vivant, cette phrase qui me plaît beaucoup, et que nous allons les uns et les autres vérifier bientôt, au moment du Choc de l’Humanité, il nous disait : ‘’L’univers est apparu, l’univers, les mondes, les dimensions disparaîtront, mais nous, nous serons toujours là.’’
Comme il disait : ‘’Nous ne sommes jamais nés.’’ Passé le choc, passé l’effroi, la peur, comprendre et accepter que nous ne pouvons rien changer à ce qui est, est à la fois un grand relâchement pour la conscience, pour le mental, pour les émotions, mais c’est surtout ce qui nous permet de sortir du rêve.
Finalement, vu de l’autre côté de la peur, il n’y a pas seulement la Joie, il y a bien plus que la Joie et bien plus qu’Agapè, ce qu’on nomme le Grand Silence, la Grande Joie, que Bidi appelait le Parabrahman. Et quand vous sortez du rêve, vous ne fuyez pas votre vie, et là vous comprenez réellement et fondamentalement ce que nous répète Bidi depuis deux ans, sans arrêt maintenant. Parce que, dès que nous Acceptons l’Inacceptable, comme je l’ai déjà dit, tout ce qui doit arriver arrivera, quoi qu’on fasse, et tout ce qui ne doit pas arriver, n’arrivera pas, quoi qu’on fasse aussi.
Et ce n’est absolument pas du défaitisme comme pourrait le croire l’ego ou l’orgueil spirituel, mais bien la plus grande des joies et la plus grande des lucidités. Se réveiller, comme je disais, passe nécessairement par un cauchemar. Alors bien sûr, beaucoup se projettent encore dans un nouveau monde, une nouvelle dimension, à devenir meilleur, les med-beds par exemple, les lits médicaux, parce que la conscience a besoin de survivre, de la même façon que l’ego se croit immortel, dans la persistance de l’âme, de vie en vie. Mais tout ceci n’est pas vrai.
Elisa : Il y a une question.
JLA : Alors oui, j’y suis.
Elisa : Alors, qu’est-ce qui se passe avec tant d’explosions solaires ?
JLA : Alors, oui. Je te laisse traduire.
Elisa : Alors, qu’est ce qui se passe avec tellement d’explosions solaires, et la NASA ne dit rien, et tout reste comme s’il ne se passait rien. Et pourtant, les explosions solaires…
JLA : La plus forte explosion solaire arrive tout à l’heure, je crois, vers minuit. D’après certains spécialistes, je ne suis pas un spécialiste des éruptions solaires, nous devrions atteindre le stade de tempête géomagnétique extrême, c’est-à-dire G4, et c’est en particulier, comme l’avait expliqué Anaël, une éjection de masse coronale du soleil, une éjection de plasma solaire, qui devrait donner le signal de l’approche de Nibiru et de son seuil de visibilité, mais devrait aussi entraîner beaucoup de mouvements, d’absence de mouvement sur Terre, l’arrêt de la rotation de la Terre par exemple.
Alors est-ce que ce sera ce soir à partir de minuit ou est-ce que ce sera une autre fois, je ne sais pas. Mais dire qu’il ne se passe apparemment rien est totalement faux. Beaucoup de frères et sœurs ressentent ces explosions solaires au plus intime de leur corps, de leur conscience. Bien sûr, il y a des effets aussi très nets sur l’importance des séismes, leurs fréquences, mais aussi sur les volcans bien sûr.
Donc cela induit des transformations importantes. Mais pour moi, si j’en crois l’histoire récente depuis cent ans, tous les événements importants de l’humanité ont toujours été accompagnés d’aurores boréales, c’est-à-dire de tempêtes géomagnétiques.
Les aurores boréales sont des signes célestes d’un changement à venir, cette fameuse singularité. Ce qui ne veut pas dire que ça se passera ce soir, personne ne peut le savoir, sans compter qu’il y a des effets, je dirais cumulatifs bien évidemment sur les couches isolantes de la Terre comme les nommait Omram Mikael Aïvanhov.
Bien sûr les vents solaires, les éjections de masse coronale, quand elles touchent la Terre, touchent avant tout la magnétosphère et l’ionosphère, les fameuses couches isolantes. La magnétosphère et l’ionosphère font aussi partie de nos corps subtils. Les corps subtils font autant partie du rêve que notre corps physique.
L’ionosphère représente en quelque sorte le corps astral et la magnétosphère correspond au corps mental. La couche la plus lointaine, qu’on appelle l’héliosphère, elle, elle correspond au corps causal de la planète Terre, mais aussi de nos corps subtils à nous.
Ceux qui connaissent la résonnance de Schumann et les schémas aussi, les dessins de la magnétosphère, les schémas qui montrent la magnétosphère, nous montrent quelque chose qui est beaucoup plus bousculé, impacté.
Donc il ne se passe rien sur le plan physique apparent, mais il se passe plein de choses dans la société des hommes et dans les corps subtils. Et que quelque chose, avant de se manifester sur le plan tangible, physique, matériel, bien évidemment touche d’abord les plans subtils, invisibles, mais je ne vous apprends rien, c’est la même chose pour les maladies qui naissent au niveau du corps astral, du corps mental, du corps causal.
Elisa : Il y a une autre question de Nath.
JLA : Attends, je cherche mon téléphone, je vais la lire en même temps. Alors le tchat il est là, non ce n’est pas ça … je cherche … j’avais perdu le tchat, voilà.
Elisa : Question : Jean-Luc, plus de famille, on me dit que je ne suis pas normale. Comment faire ? Je n’en peux plus de ce rêve. Tout mon corps est impacté mais je suis dans l’acceptation. Plus d’amis, je suis seule.
JLA : Je te laisse traduire en français.
Elisa : En français ? Non, en espagnol.
JLA : En espagnol, oui.
Bon, écoute, il suffit de voir comment ont été traités les mystiques de tous les temps, indépendamment des événements collectifs que nous vivons en ce moment.
Le réveil du rêve, du cauchemar, les fait sortir des histoires illusoires de la famille, des amis.
… Ah on a perdu … Ah on est revenu. Il y a eu une coupure.
Elisa : Oui, ce n’est pas normal non plus. Tu sais que l’on m’a enlevé, je te disais ça au début, on m’a enlevé beaucoup, beaucoup de mes vidéos sur You tube, ils les ont enlevées carrément et je ne parlais de rien d’extraordinaire.
JLA : Pourtant on ne parle pas de choses interdites là, on n’évoque pas les maladies, épidémies, tout ça. C’est bizarre …
Elisa : Non, mais moi on m’a enlevé au moins cinq vidéos ces derniers mois. Des vidéos anciennes, alors c’est quand même incroyable. Ça ne m’étonnerait pas qu’on nous coupe parce que …
JLA : J’étais en train de répondre à Nathalie en disant que, même avant les événements actuels que nous vivons, tout cheminement à la découverte de ‘’qui on est’’, met dorénavant fin à tous les liens. Tous les gens qui se qualifient de normaux vont profondément nous trouver totalement anormaux. Le Réel est un chemin de grande solitude, parce qu’on sait que rien ne peut égaler la Vérité du Silence.
On a de plus en plus de mal à jouer le jeu comme on dit, faire semblant d’être impliqué dans la société, dans les obligations, et à l’heure actuelle pour beaucoup de frères et de sœurs, c’est exactement ce qui est en train de se passer. Sortir du rêve nous oblige malgré tout à continuer le rêve, on ne peut pas sortir du rêve tout seul.
Et effectivement, on peut ressentir à la fois une grande liberté, une grande libération et, tout en même temps, en se sentant ne plus faire partie de ce monde, ni d’aucun monde. Ça peut donner le sentiment réel d’être tiraillé entre le Réel et le rêve.
Quand on se souvient de qui on est, c’est-à-dire qu’on n’est jamais né, qu’on n’est jamais mort, tout ce qui appartient à l’histoire nous fatigue. Nous savons clairement que la conscience est une escroquerie, que la spiritualité est un mensonge total et, par-dessus tout, nous savons qu’il n’y a jamais eu personne. Et malgré tout, nous savons que tout ce qui se déroule, tout ce que nous devons vivre a, non seulement déjà été écrit, mais a déjà été vécu.
Voilà ce que je peux dire. Donc effectivement, on est à cheval entre deux choses, et ça fait partie de l’avènement du choc de l’humanité, de la singularité.
Alors il y a une question en espagnol. (JLA lit la question en espagnol)
Je te laisse traduire en français.
(Elisa relit la question en espagnol, mais la question n’est pas traduite en français, il s’agit certainement de la session de Cœur à Cœur)
Mais rien n’empêche de vous relier à nous de vingt heure à vingt heure trente, vous n’avez pas besoin d’être en ligne à ce moment-là, avec nous, ni d’avoir payé.
C’est évident que cette résonnance Agapè interdimensionnelle que nous réalisons en ligne ensemble sera ressentie et vécue par tous ceux qui se joignent à nous, sans pour autant être en ligne.
Et d’ailleurs à ce moment-là, même ceux qui sont en ligne, la plupart coupent la connexion pour s’allonger tranquillement. Je dirais même plus, il y a des gens qui demandent une remise pour pouvoir participer, et il y a toujours des gens qui paient pour d’autres personnes. Ça, c’est déjà arrivé plein de fois.
Mais indépendamment de ça, il y a des frères et des sœurs qui ne sont pas en ligne avec nous, mais qui se relient à nous depuis chez eux, sans être connectés, qui vivent la même chose. Simplement, pour des raisons pratiques, nous ne pouvons pas être deux cents personnes en ligne, ce n’est pas possible.
C’est déjà beaucoup, beaucoup de temps pour organiser ces rencontres, sans compter les moyens techniques qui sont mis en œuvre, qui coûtent aussi de l’argent. Le temps des intervenant et ceux qui ne sont pas devant l’écran, vous avez Miguel qui est derrière en train de gérer les mails. Tout ça, c’est quelque chose qui se paie, qu’on le veuille ou pas.
Mais encore une fois, indépendamment de cette somme d’argent, vous avez tout à fait la possibilité de vous relier à nous, sans pour autant être connectés à nous via Internet. Vous serez connectés à nous par le Cœur.
Elisa : Il y a quelqu’un, Patrice, qui parle.
JLA : Je la lis en français d’abord. À l’occasion d’une tâche bénigne, mais toutefois inédite dans ma vie quotidienne, … (ah voilà) cela m’a fait rappeler une information, qui je crois vient d’un rêve, comme quoi à ce moment où j’effectuais cette tâche, alors je serai tout proche d’un événement final.
JLA : Oui, c’est tout à fait vrai. Nous sentons tous, nous pressentons tous, ce n’est pas de l’intuition ou de la clairvoyance.
Je te laisse traduire d’abord.
(Traduction par Elisa)
Même si beaucoup d’entre vous ne le vivent pas encore, je vous rappelle que nous sommes sur une scène de théâtre comme disait Bidi, un film ou un jeu vidéo. Que le scénario a été écrit à l’instant initial de la création, création qui, dans sa totalité, est un rêve.
Et bien évidemment, quand l’ensemble de la création se rapproche de son réveil (du réveil de ce rêve), comme le temps et l’espace n’existent pas, pas plus que les dimensions d’ailleurs, quand nous approchons du Temps Zéro, de la singularité, quelle que soit la façon dont on le vit, il y a des perceptions qui se font en nous, quelle que soit notre ouverture, et qui nous font redouter ou espérer, peu importe, un événement singulier qui est en train d’arriver.
Mais comme c’est un scénario que nous avons déjà écrit et donc déjà vécu, nous débouchons sur des mécanismes qui sont bien plus que la fluidité de l’unité, comme disait Maître Ram …
Elisa : Là je n’ai pas compris. Quoi ?
JLA : Nous sommes bien plus proches d’autre chose que la fluidité de l’unité, nous sommes bien plus proches que des mécanismes de synchronicité ou d’hyper-synchronicité, plus nous avançons dans cette illusion de temps et donc cette illusion de fin, plus il y a des rêves, des événements, des circonstances qui se manifestent et qui, quelque part, nous préviennent que quelque chose est en train d’arriver, en train de se produire.
Rappelez-vous que comme disait OMA, c’est une bonne nouvelle, même si ça vous paraît comme disait Nathalie quelque chose d’horrible à vivre, la finalité c’est une très grande nouvelle. Comme disait OMA, tout ça finira par un grand éclat de rire cosmique.
À la hauteur à laquelle vous souffrez aujourd’hui peut-être, sera exactement à la hauteur de votre rire cosmique. Et justement ces rencontres de Cœur à Cœur sont l’occasion unique de se rapprocher de ça et de le vivre.
Je regarde s’il y a une dernière question puisqu’on approche de l’heure. Alors, il y a deux questions.
Il y a deux questions, une qui est très marrante effectivement, qui concerne la France, ça n’existe pas en Espagne, je ne crois pas. Les agriculteurs sont en train de mettre tous les panneaux d’entrée de ville et de sortie de ville à l’envers.
C’est bien plus effectivement une manifestation des agriculteurs en colère. C’est un clin d’œil de la vie qui nous dit qu’effectivement dans ce monde tout est inversé. Il suffit de voir à la tête des États Européens par exemple, tous les couples transgenres qui sont à la tête des États, en Espagne, en France.
Après il y en a qui attendent à la toute dernière minute pour poser plein de questions malheureusement on ne peut pas répondre à tous puis ce n’est pas le but …
Oui, je reviendrai sur une question, qui elle me semble essentielle par contre.
C’est celle de Nathalie qui dit : ‘’Je ne supporte plus les portails organiques, il y a comme un barrage, c’est incroyable, pourquoi ?’’
Pour paraphraser ce qu’avait dit OMA, à la fin nous devions vomir le monde, vomir la création. Autrement dit, il ne devait rester aucune attraction pour le monde de la forme, le monde de l’expérience.
Pour la question de Patrick par rapport aux animaux, ces questions étaient évoquées très largement, comme pour les enfants, dans les canalisations des années 2012 à 2017, en particulier, que va-t-il se passer pour les enfants, que va-t-il se passer pour les animaux ? Donc je vous invite à aller lire ce que disait Omram durant ces années parce que c’est très clair.
Pour résumer une réponse un peu brutale de Omram Mickael Aïvanhov, qui concluait ces innombrables interventions sur le devenir des enfants, des portails organiques, des animaux – et cette réponse est profondément mystique et réelle – : ‘’ Occupez-vous de vos fesses et tout ira bien, l’important est dedans …’’ Bien sûr.
Voilà, on va arrêter là, parce qu’après il y a d’autres questions, sur la faille de New Madrid, etc…, tout ça, je vous invite à aller lire les réponses sur Internet, il y a suffisamment de gens qui s’intéressent aux aspects géophysiques pour avoir toutes les réponses, vous n’avez pas besoin de moi pour ça.
Voilà donc, nous disons à certains d’entre vous au week-end du neuf et dix décembre. Bien évidemment, il y aura une intervention de Omram Mickaël Aïvanhov, non pas le neuf et le dix, mais entre le dix et le vingt et un décembre. Ce qui est assez paradoxal parce qu’en général Omram Mickaël Aïvanhov ne parle jamais pendant la période de Noël, ni le mois de décembre, ni le mois de janvier.
Voilà, merci à vous tous pour votre présence et votre écoute.
Elisa : Ça été un plaisir de t’avoir ce soir dans mon canal, et on te dit qu’on te reverra bientôt.
JLA : À bientôt, merci, au revoir.
Elisa : Merci à tous d’avoir assisté à ce … (Elisa continue en espagnol et termine en espagnol).
Tous nos remerciements à Elisa Bernal et Dr Jean-Luc Ayoun.
Nous remercions également toute l’équipe de transcription
pour leur merveilleux travail.
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