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Satsang 1
Agapè Online -Espagne

Avec : Jean-Luc Ayoun
Animation et traduction (espagnol)
Par : Elisa Bernal

30 Janvier 2021

Note : Nous avons rencontré certaines difficultés lors de la diffusion en direct.
La bande audio a été éditée afin de donner un résultat audio le plus acceptable possible.

Au tout début, chacun se salue et se cherche. Jean-Luc cherche Elisa.

Par contre Elisa, je ne te vois pas à l’écran, mais ce n’est pas grave.

Elisa : Tu ne me vois pas parce que dès que je parle tu me vois. Alors, voilà, parle et moi je te traduis.

Ok. Bon, bien déjà, bonjour à tout le monde.

Une participante : Mais je ne vois pas Jean-Luc.

Le fait est qu’ils ne nous entendent pas. (Rire de JLA)

Bon, alors, nous allons commencer ces deux jours. Le programme puisqu’il y en a qui l’ont demandé alors que ça avait été envoyé, c’est très simple.

Nous commençons en début d’après-midi par un satsang avec questions/réponses, c’est le jeu habituel, et nous aurons une coupure d’une heure aux alentours de 18h ou 19h.

Elisa : À quelle heure ?

Aux alentours de 18h à peu près, d’une heure, et nous terminerons la journée d’aujourd’hui par Omraam Michaël Aïvanhov, bien sûr. Et Omraam Michaël Aïvanhov, bien sûr, et Omraam bien sûr ce soir répondra à vos questions de la même façon.

La journée de demain sera sur le même schéma, sauf que dans la partie canalisation, ça sera Bidi. Et chaque soir à la fin des canalisations, nous réaliserons ensemble une Agapè, une Résonance.

Je crois qu’il y a plein de gens qui ont des problèmes de son apparemment, mais ils ont oublié d’activer le micro, pas uniquement dans la configuration mais sur le petit voyant à gauche en bas de l’écran Zoom.

Voilà Elisa, je crois que tu as reçu énormément de questions. Je me doute bien que vu ce que nous vivons en ce moment les uns et les autres, il y a énormément de questionnements qui surviennent, sur ce qu’on doit faire, sur ce qu’on doit entreprendre. Quand vous aurez épuisé toutes les questions et quand vous constaterez par vous-mêmes que tout ce qui est extérieur ne pourra pas vous apporter ni réponse, ni solution, quand on répète, les uns et les autres, que la seule solution est à l’intérieur, mais n’est pas la résolution de quelque chose à résoudre à l’extérieur.

C’est un engagement, en quelque sorte une invitation, à aller vérifier par vous-mêmes que la seule réponse est en vous, pas la réponse à vos questions personnelles, pour ça nous avons tous l’intelligence habituelle, mais par l’Intelligence de la Lumière.

Donc, en préambule, même à travers le jeu des questions/réponses, il suffit simplement comme on l’a répété d’innombrables fois, de se tourner au-dedans pour voir réellement la Vérité et la Vivre. C’est sûr que ça ne va rien résoudre à vos problèmes personnels, mais à ce moment-là, …

Un participant apparaît sur l’écran et essaie de comprendre comment se connecter. Il entame une demande à Elisa concernant l’activation du micro.

Je ne vois plus Elisa.

Elisa : On a dit que les micros doivent être en silence parce que dès que vous parlez,  nous on perd la connexion. Alors, s’il-vous-plaît, vos micros en silence.

Je signale pour tous les participants que vous avez, …

Un participant revient à l’écran car son micro est activé et aussitôt qu’il parle, la connexion Elisa-Jean-Luc se coupe.

Il faut que tout le monde coupe le courant, (Rire), non, il faut que tout le monde coupe le micro (Rire) et vous prendrez la parole quand on vous la donnera. D’accord? Sans ça, je ne peux pas m’exprimer. Et j’ai perdu Elisa parce que quand vous prenez le micro, Elisa disparaît. Elle ne peut pas traduire.

Elisa ?

Élisa traduit de bien fermer le micro pour le moment.

Elisa : Le micro éteint, s’il vous plait. Sinon, ça ne se fera pas.

Bien, vous prendrez le micro quand vous poserez directement des questions mais où je voulais en venir …

Elisa : Nous on ne peut pas éteindre tous les micros, parce que sinon Jean-Luc ne peut pas parler ni moi non plus. Alors donc, il faut que vous les éteignez durant tout le temps, sauf si vous avez à parler, quand on vous posera une question, mais sinon gardez vos micros éteints s’il vous plait. Alors, Jean-Luc, voilà.

Merci. Oui.

Donc, en fait, c’était simplement d’ores et déjà dans ces jeux de questions/réponses, il est d’ores et déjà question de vous dire que la seule réponse est vraiment en cet État Naturel que nous nommons Agapè, appelez-le comme vous voulez. Retenez bien, et ça sera en quelque sorte à la fois une introduction et une conclusion déjà. Bien sûr, on se pose tous des questions, mais que la vraie réponse n’est pas une réponse à une question donnée, parce que la réponse – sans aucun jeu de mots – Est Vous-mêmes, Vous êtes la solution.

Voilà un peu l’optique des questions que nous allons maintenant écouter ensemble.

Alors avant que vous posiez des questions en direct, je crois qu’Elisa a centralisé, a récolté beaucoup de questions.

Elisa : Si vous avez des questions, il faut les mettre sur le « Chat ». OK ?

Voilà. Donc Elisa, est-ce que tu as déjà reçu des questions par mail, ou est-ce que tu as déjà des questions par mail ?

Elisa : Alors, moi je vais te lire les questions que j’ai. Voilà, je viens de recevoir une question à poser à OMA. Voici la question :

Elisa : Si la vaccination devient obligatoire, est-ce que la refuser sera une réaction de l’ego ou le fait de se tenir entre les quatre piliers … Je ne sais pas trop ce qu’il veut dire. Tu as compris ?

Alors d’abord, sur un plan purement logique, ce qui est proposé ne peut pas s’appeler un vaccin. Vous savez, ce n’est pas Pasteur qui a inventé les vaccins. La vaccination antivariolique par exemple, existe depuis trois mille ans avant Jésus-Christ. Donc à partir de là, je ne suis pas contre les vaccins, mais on est contre tout ce qui est mis dedans !

Alors ceci étant dit, on va parler de thérapie, ce sera plus convenable. La thérapie ne peut pas être imposée. Aucune thérapie au monde ne peut être imposée à quiconque. À partir de là, la question qui se pose n’est pas de savoir si on doit accepter, refuser ou négocier.

Tout, absolument tout ce qui se produit en ce moment sur Terre, va vous emmener à un cauchemar, un cauchemar émotionnel, un cauchemar mental, parce que c’est leur plan. À partir de là, vous n’avez qu’une solution pour trouver la paix, pour trouver les solutions. La réponse est en vous.

Maintenant ce qui est proposé sur la scène de théâtre, c’est proposé ! Mais de quoi avez-vous peur, de quoi avons-nous peur ? La force, la décision, la lucidité, n’est pas dans le fait de discuter d’accepter ou de refuser le vaccin. Ce n’est pas un vaccin. Et vu les chiffres qui commencent à sortir, je dirais que c’est simplement un alibi dont le seul objet est la soumission et l’enfermement.

Steiner en a longuement parlé au début du vingtième siècle, nous en avons aussi longuement parlé à différentes occasions. Et rappelez-vous que, quels que soient encore vos questionnements par rapport à ça, par rapport à vos enfants, à votre travail, vous ne pourrez jamais obtenir de solutions, de moins en moins. Je vous rappelle que c’est leur but, que vous n’ayez aucune solution. En Neurosciences, ça s’appelle de l’ingénierie sociale.

Rappelez-vous que tout ce que nous vivons dans l’évènementiel, dans les évènements, de notre corps, de nos enfants, dans la société même, est un rêve, un cauchemar total.

Et que tout ce qui nous arrive en ce moment, que vous soyez à la rue, sans logement, que vous soyez malades en train de partir, n’a qu’un seul but : vous réveiller et in fine, en finalité, s’il vous faut un vaccin pour vous tuer à la croyance en ce rêve, en ce que vous êtes, alors le vaccin est aussi une thérapie extrêmement efficace pour vous réveiller, même si vous devez mourir. Je vous rappelle que vous n’êtes jamais nés, et que tout ça est à la fois une scène de théâtre, une illusion, un rêve, un cauchemar, et que aujourd’hui quel que ce soit votre état, état de santé, affectif, émotionnel, par rapport au vaccin même, ça veut dire que vous n’êtes pas encore réveillés du cauchemar.

Maintenant comprenez bien que même quand vous êtes entre guillemets réveillés, c’est-à-dire dans l’État Naturel, le cauchemar continue de se dérouler. Vous êtes dedans, mais la grande différence c’est que vous vivez réellement que c’est un cauchemar, et aucun cauchemar ne peut toucher ce que vous êtes. Et que même si vous deviez être vaccinés de force, par l’armée, vous êtes quand même au courant tous de la Bonne Nouvelle. Et si vous devez mourir d’une façon ou d’une autre pour vivre la Vie, alors il n’y a plus aucune souffrance possible.

Certes, on a tous le droit d’en avoir marre, d’être enfermés, de ne pas pouvoir faire ceci ou cela, mais chaque jour qui passe la Vie va vous demander, que vous le vouliez ou non, que vous l’acceptiez ou pas : «Veux-tu faire, faire quelque chose, ou veux-tu Être ?» En fait, c’est la seule question. Voulez-vous rêver, voulez-vous cauchemarder ou voulez-vous être dans l’État Naturel ?

Je l’ai dit et je le répète, aucune conduite morale, aucune vibration, aucune énergie, aucune décision, ne peut vous rendre libres aujourd’hui. Vous êtes déjà libres, nous sommes tous déjà dans l’État Naturel, et même quand nous disons pour certains d’entre nous que nous ne vivons pas Agapè, alors que ceux qui le vivent vous disent, sans exception, que ça a toujours été là. Il n’y a pas d’effort à faire, il n’y a pas de résolution de quoi que ce soit. Maintenant sur un point de vue plus humain, personnel, au sein du rêve et du cauchemar, il y a énormément de moyens pour traiter la grippe, des moyens très simples.

Et aujourd’hui ce qui se joue dans l’humanité, dans ce choc qui monte graduellement, l’Intelligence, la Vie, ce que nous avons écrit nous-mêmes, n’est là que pour nous montrer que nous n’avons pas le choix.

Maintenant si vous voulez traiter la grippe qu’on appelle Covid-19, qu’on appellera au mois de Février Covid-21, c’est toujours la même chose depuis la nuit des temps. C’est ce qu’on appelle l’état général, l’état de vos pensées, l’état de vos émotions, qui créent les conditions du système immunitaire. Je vous renvoie aux remèdes qui ont toujours existé dans l’histoire de l’Humanité, mais surtout en votre état intérieur.

À quoi nous ramène ce vaccin, cette thérapie puisque ce n’est pas un vaccin ? En définitive, à la Liberté. Que ce soit un vaccin qui est en fait un génocide, que ce soit Nibiru, que ce soit une guerre civile, quand nous serons morts, nous serons vivants. À un moment donné, nous n’avons plus le choix. Le monde de la mort comme disait Bernard de Montréal ne peut plus rien. Mais nous devons accepter aussi que dans ce scénario de la création, au moment où nous en sommes, certains d’entre nous doivent partir, quitter le rêve, quitter le cauchemar.

En fait, toute notre situation personnelle, affective, familiale, professionnelle et sociétale, nous renvoie en définitive au vécu de la Vérité et de la Liberté. Peu importe les moyens, peu importe l’agent du crime si je peux dire, que cet agent du crime soit votre mari, votre corps qui vous trahit, la thérapie, le génocide, ou Nibiru, ça ne change rien.

Tout ce qui passe comme disait Bidi, tout ce qu’il se passe, n’est pas vrai. Vous imaginez bien qu’une boule qu’on appelle la Terre, qui tourne autour d’un Soleil, toutes ces étoiles, ces planètes, ces dimensions, ces peuples, ces entités, Yaldebaoth, Marie, les Archanges, les Abbas que nous sommes, ne sont pas vrais ! Parce que ça passe. Et le scénario est quelque chose qui est écrit dans le temps. Mais nous avons tous oublié que nous sommes le scénario, dans sa totalité et en finalité.

Mais à l’inverse de ce que pensent les guignols, leur devise vous la connaissez, c’est «Ordo ab Chaos», c’est-à-dire l’ordre par le désordre, est absolument fausse. Ce que nous vivons les uns et les autres, c’est la Vérité par le désordre.

On a répété pendant d’innombrables années : «Tout ce à quoi tu tiens te tient, tout ce à quoi tu résistes se renforce». Si vous ne résistez plus à ce qui est, ce qui ne veut pas dire accepter la thérapie du vaccin, mais vous allez voir le scénario, vous n’en serez plus affectés.

Ah bien sûr j’aurais aimé prendre l’avion pour être avec Elisa, ou pour aller au Canada ou au Brésil, parce qu’il nous manque effectivement cette dimension humaine, de contact et d’échange direct, mais tout ce que nous vivons, même là, n’a qu’un seul objectif : nous Réveiller.

Alors pour vous donner quand même des moyens pratiques par rapport à cette question du vaccin, j’ai parlé du système immunitaire, la connaissance est accessible à tout le monde. Quand vous avez la grippe, vous prenez de la vitamine C, de la vitamine D, du zinc, un grog (je ne sais pas comment on dit en espagnol), un vin chaud.

Nous avons tous encore un minimum d’intelligence humaine, même sans être médecin ou thérapeute, pour prendre ce qui est nécessaire. Et puis la chose toute simple quand vous avez un virus quel qu’il soit, il faut s’aérer, dans tous les sens du terme. Voilà.

Donc le vaccin, pour l’instant il y a un scénario que vous racontent les médias, mais nous n’en sommes pas du tout là.

Je dirai que ce qui se passe sur la scène du monde n’est qu’un cauchemar pour se réveiller, mais se réveiller DU monde, et se réveiller de soi-même, de se croire un corps, un karma, une âme, un esprit. Tout ça, ça passe. Vous, vous ne passez jamais.

Quand vous vivez cela, quand vous arrivez à ce cauchemar, à un moment donné vous étouffez tellement, vous manquez d’air, vous pouvez même vous laisser mourir, rentrer dans une dépression, ou être pris d’une frénésie de vouloir faire, de vouloir entreprendre.

Je vous rappelle que la seule façon de se retrouver, la seule façon de se retrouver en Vérité, c’est réellement comme on l’a dit d’accepter, et c’est quand vous êtes dans cet état d’esprit – cet état d’esprit peut même être une tristesse, une colère, pourquoi pas, mais c’est le moment où vous capitulez, c’est le moment où réellement vous arrêtez de croire à ce qu’il se déroule. Là vous êtes disponibles à la Vérité.

Autrement dit, quand vous aurez touché le fond, vous découvrirez la Vérité. Certains ont la tête plus dure que d’autres. Et donc, à ce moment-là, quand vous êtes au bout du bout …

Je crois qu’il y a beaucoup de gens qui ne t’entendent pas Elisa, ton micro est beaucoup trop faible. Il y a de plus en plus de messages qui passent, ils ne t’entendent pas quand tu traduis. Tout le monde m’entend très bien.

(Ajustement du volume du son avec Elisa)

Bien, en tout ca, ça c’était la première question par rapport au vaccin.

Donc, on va continuer à avancer.

Une autre question.

Elisa : Oui, il m’arrive une autre question.

Frère : Aurons-nous un replay de tout cela ou pouvons-nous nous enregistrer ? Merci.

Oui bien sûr. C’est tout enregistré. D’ailleurs toi tu l’enregistres Élisa, là ?

Elisa : C’est enregistré sur canal.

Bien sûr.

Alors quelle est la question ? Là, on t’entend très bien d’un coup, ton son est parfait.

Frère : J’ai bien compris que l’on est UN, les uns les autres. Mais tous nous vivons cela. Comment cela s’articule pour chacun ?

Je ne suis pas sûr d’avoir compris la question. Nous sommes Un n’est pas à comprendre, ni à accepter, ça ne sert à rien.

Elisa : Alors Jean-Luc, tu dis … toi ?

Répète ta question en français maintenant.

Élisa: J’ai bien compris qu’on est tous Un, les uns dans les autres …

Oui, d’accord, d’accord.

Je disais comment ça s’articule, mais il n’y a pas d’articulation. Nous sommes Un, on peut le comprendre intellectuellement, on peut l’accepter énergétiquement, mais il faut le vivre. Mais en fait, lorsque nous vivons le «nous sommes un», juste derrière ça, le je suis, le soi, le je suis Un, une conscience, c’est une maladie ! Il n’y a jamais eu personne.

Donc «nous sommes Un» est un processus énergétique, vibratoire, et quand cela est vécu, vous débouchez immanquablement sur la Demeure de Paix Suprême, sur l’État Naturel, sur le Grand Silence, et vous réalisez que vous n’avez rien à faire. Cela s’articule tout seul. C’est le scénario, le jeu vidéo, la scène de théâtre comme disait Bidi.

Donc se poser la question de l’articulation montre simplement que les concepts d’unité, l’unité vibratoire, énergétique, sont liés à la conscience, mais n’est pas la Vérité. Quand vous le vivez, vous ne pouvez plus être dupes d’une quelconque articulation, d’une quelconque explication ou preuve.

Et d’ailleurs, chacun d’entre nous repère ces moments, le moment où ça se produit. Elisa, tu m’en parlais encore, je crois avant-hier, des moments où on ne se sent pas déconnectés, pas ailleurs, mais justement où on est d’une lucidité sans failles. Tout ça n’est pas vrai.

La matière n’a aucune substance. Notre identité, vous vous rappelez il y a deux ans, on avait dévoilé l’utilisation du nom et du prénom, c’était une clé. Mais aujourd’hui on est tellement nombreux à vivre cet état, qu’on n’a pas besoin de savoir comment articuler tout ça, comment mettre en relation tout ça. C’est une résonance, c’est une relation qui se fait d’elle-même.

Mais attention, dans les jours qui se sont déjà écoulés, dans les jours qui vont continuer à s’écouler, vous ne pourrez plus tricher, et Bidi l’a dit d’une manière particulièrement violente je crois fin octobre. Quand vous êtes dans l’État Naturel, ça ne m’empêche pas de m’intéresser à ce qui se passe sur la scène du monde, on est au spectacle, on est un observateur. Toute la pédagogie de Nisargadatta, de Bidi, est axée là-dessus.

Et la question sur le vaccin, sur l’articulation, on en revient toujours à la même chose. Si vous êtes toujours en train de vous questionner, comment voulez-vous être disponibles pour la Vérité ?

La Vérité n’est d’aucun monde, la Vérité n’est d’aucune personne, voilà … Donc cette question-là, là aussi … Laissez être ce qui est. Laissez les rêveurs rêver. Laissez les méchants garçons créer leurs cauchemars. Et c’est justement en regardant cela, si vous le regardez, que vous pouvez vous tester vous-mêmes.

Soit vous regardez cette scène de théâtre, soit vous cherchez à interagir avec la scène de théâtre. La scène de théâtre, c’est aussi bien la scène sociétale que votre propre scène de vie, à vous-mêmes, de tous les jours, de chaque instant.

À quoi accordez-vous de l’importance, là, aujourd’hui ? À ce que vous Êtes ou à ce que vous voulez faire, quel que soit votre âge, que vous soyez en âge de procréer, en âge de vous marier, en âge d’être à la retraite, ou de mourir ? C’est du cinéma. Mais vous ne pouvez pas le croire, vous ne pouvez pas me croire et vous ne devez absolument pas me croire. Mais vous devez vous le prouver à vous-mêmes.

Alors je ne vais pas revenir sur les quatre piliers du cœur, sur le Silence, sur la fainéantise d’Osho. D’ailleurs les guignols vous le disent ce week-end-même, au Forum Économique mondial.

Il n’y aura jamais, jamais, jamais, de retour en arrière.

À partir de là, vous faites quoi ? Ou vous Etes Quoi ? À vous de choisir … Tant que vous croyez choisir… Mais le cauchemar va vous rattraper. Pas pour vous faire peur, pas pour nous faire souffrir, mais pour vomir réellement le cauchemar de la création, le cauchemar des mondes et le cauchemar de se croire une entité.

C’est accessible à tout le monde, que vous soyez en train de mourir, de souffrir, ou que vous soyez en pleine joie.

Et si vous voulez, tout ce qui se déroule dans nos vies, les uns et les autres, nous emmène à cette résilience. Ce n’est pas la résilience personnelle, ça ne s’appuie pas sur une quelconque volonté ou sur un quelconque désir, mais ça s’appuie sur le sacrifice dans le sens le plus noble. Mais le sacrifice de quoi ? De l’illusion. Ce n’est pas un grand sacrifice. Ce n’est un sacrifice que pour celui qui n’a pas vécu la Vérité de ces paroles. Vous n’avez pas besoin d’effort. Vous n’avez pas besoin de résolution. Vous n’avez pas besoin de volonté.

La Lumière demande votre reddition, que vous vous rendiez. Parce que vous êtes la Lumière, vous êtes antérieurs à la Lumière. Et vous vous rendez à vous-mêmes. Ce n’est pas une perte, bien au contraire. Mais l’ego, l’âme, va toujours nous trouver des justifications : pourquoi, comment, que faire par rapport au cauchemar …

On a été prévenus, que ce soit par Bernard de Montréal, par Bidi, par OMA, par moi, que ça va être de plus en plus cauchemardesque. Je crois que la dernière fois Omraam avait dit que vous n’avez encore rien vu.

Au jour d’aujourd’hui, je vous le dis encore, vous n’avez rien vu. Et c’est justement tout ce chaos, toute la mise à jour de la supercherie, la supercherie aussi bien des médias sociaux, la supercherie de la société, mais notre propre supercherie. Et comme je le dis et le répète, on n’a encore rien vu !

Le mensonge cosmique, oui, Omraam nous a dit que nous sommes enfermés depuis trois cent mille ans. Mais le mensonge cosmique, c’est quoi ? Ce ne sont pas les mondes enfermés seulement, c’est toute la création.

Vous êtes la Félicité Absolue. Tout le reste passe. Et la Félicité Absolue, cet État Naturel, ça ne peut pas passer, avec corps ou sans corps, dans ce monde comme dans tout monde.

Donc vous voyez, ce n’est pas une histoire de dire nous sommes Un. Alors je sais que c’est à la mode, non seulement du côté spirituel, mais aussi sur la scène des guignols : «Where we go one, we go all» comme disent les américains, Q-Anon, Where we go all, we go one – Comme nous allons tous, nous sommes un … en gros !

Ah, on a perdu Elisa. Allo… Ah, j’ai l’impression d’être tout seul. On va attendre qu’Elisa revienne, je m’absente trente secondes de l’écran.

On reprend.

Elisa : Parfait. Je suis là. Il y a eu une coupure courant. Il y a la lumière qui est partie.

Une autre question peut-être ? J’en ai vues qui sont passées devant l’écran.

On peut aussi prendre quelqu’un au micro, Élisa si tu veux, qui veut exprimer sa question directement en vidéo ou en audio.

Élisa : Il y a deux pages.

Sœur : Tous les monolithes qui ont apparu dans le monde entier, est-ce que ça a à voir avec quelque chose pour prolonger le jeu, ou quelle signification peuvent-ils avoir ?

Ce qui est apparu dans quoi ?

Elisa : Les monolithes qui ont apparu dans le monde entier. Des trucs en métal qui ont apparu dans tout le monde entier.

Oui, oh des monolithes, il y en a eu plein qui ont été créés par des artistes, il y en a eu certainement des vrais.

Elisa : Mais est-ce qu’ils ont une fonction spéciale ?

Ceux qui sont attentifs au ciel ou à ce qui est visible, vous voyez bien tout ce qui se modifie dans votre environnement, pas seulement dans la société.

Ah je crois qu’on a reperdu Elisa, elle ne traduit plus …

Elisa : Non, je suis là.

Ah si, tu es là. Tu ne m’as pas entendu ?

Elisa : Si, je t’ai entendu. Tu disais : Il y en a qui ont été créés par des artistes tu as dit.

Des artistes de quoi ? Je ne comprends pas ce que tu dis Elisa.

(Mauvaise qualité de la connexion).

Elisa : Je te traduis alors.

Par rapport aux monolithes, comme je disais, nous sommes tous conscients, qu’on le veuille ou pas, alors pour employer un langage moderne, il y a un changement total de paradigme.

J’ai dit et je répète : Si vous croyez que le monde, ce monde, va revenir comme avant, c’est impossible. Que ce soit à cause des guignols, à cause des virus, à cause des aspects planétaires, à cause du Centre Galactique, mais aussi à cause de nous, il n’y a aucun retour en arrière possible, aucun. Que ce soit le plan des guignols, que ce soit l’Intelligence de la Lumière, il y a une rupture ontologique avec l’habitude, avec ce qui était avant. On a été préparé à accepter l’Inconnu.

Accepter l’inconnu, c’est accepter l’instant. Ce n’est pas se projeter dans ce que sera demain. Demain est une illusion. Il n’y a pas de demain. Il n’y a que l’instant, la Félicité, elle est là.

Ce qui ne vous dispensera pas d’avoir des merdes à résoudre dans votre vie bien évidemment, mais vous, vous serez différents. Si vous êtes disponibles pour la Vérité, vous serez aussi disponibles pour votre vie. Mais si vous n’êtes pas disponibles pour la Vérité, votre vie va devenir un chaos total à tous les niveaux.

Ça va toucher de plus en plus de couches de la population, ça va tous nous toucher de plus en plus. Ce monde est mort, il n’a jamais été vivant, c’est nous qui sommes vivants. Tout ce que l’on peut voir, toucher, percevoir, ressentir, à quelque niveau que ce soit, n’est pas vrai parce que ça passe.

Le Silence, l’immuabilité, l’état Agapè, met fin avec évidence à tout ce fatras de formes, d’identités, de mondes, et ça fait une grande différence. Vous ne fuyez pas le monde malgré son chaos, mais vous le laissez vous traverser. Ça été dit d’innombrables façons, ce qui doit arriver arrivera quoi que vous fassiez et tout ce qui ne doit pas arriver n’arrivera pas quoi que vous fassiez.

Attention, ce n’est pas une démission de la Vie, mais c’est réellement la compréhension de la Vie. Autrement dit, une phrase que j’ai entendue quand j’étais très jeune : «Aime et fais ce qu’il te plait.» Mais si tu fais ce qu’il te plait sans aimer, tu n’es pas véridique, tu n’es pas authentique.

L’authenticité, elle est dans la spontanéité, dans une acceptation totale, non pas d’aller se faire vacciner, je n’ai pas dit ça, mais dans l’acceptation totale que tout cela n’a aucun sens, aucune utilité, c’est du vent.

La seule façon d’être vrai, c’est d’accepter que tout ça n’est que du vent. À ce moment-là, vous le vivez. Vous n’avez pas besoin de lutter contre votre personnalité, contre une souffrance, parce que vous savez que le baume, la guérison, ne peut venir que de cet État Naturel et pas d’autre chose. Alors bien sûr, ça n’empêche pas de s’intéresser à ce que vous voulez, mais à condition de ne pas y être accroché, si je peux dire.

Rappelez-vous ce qu’a dit Bidi au mois de … fin octobre, si nous sommes liés à ce monde, si nous résonnons à ce monde d’une manière ou d’une autre, ça ne change rien, ça signifie que vous n’en êtes pas encore libres totalement, mais chaque vécu est essentiel, c’est le chemin de chacun. Certains se réveillent, d’autres descendent de plus en plus dans un cauchemar, mais la finalité est la même pour tous. La finalité, c’est la Vérité qui ne dépend d’aucune forme, d’aucun scénario et surtout pas de vous.

Je le répète à chaque fois, ce n’est pas quelque chose à croire, ce n’est pas quelque chose à accepter intellectuellement, c’est à vivre. Mais pour ça il faut relâcher toute prétention. Je ne parle pas d’ego là, je parle d’une quelconque prétention à demain. J’entends par demain aussi bien la journée de demain qu’un autre monde, un autre corps, une autre dimension. Tout ça c’est la même chose, c’est du vent. Vous n’avez pas besoin de vous interroger.

Comme je l’ai toujours dit, quand vous êtes dans l’état Agapè, vous ne pouvez que Vous reconnaître. Si vous vous ne vous reconnaissez pas, même si vous vivez des résonances, des états du Feu du Cœur, même si vous vivez le Feu du Cœur, même si vous avez une foi à déplacer les montagnes, même si vous conversez avec les anges, ça ne vous est d’aucune utilité, c’est un obstacle.

La Vérité elle se trouve dans l’instant, dans l’instant de ce que vous vivez, même à travers les interrogations, le vaccin, les monolithes, parce que c’est les deux premières questions que nous avons eues. Tout ça ne vous apportera rien. Si, ça va satisfaire la curiosité. Il n’est pas interdit d’être curieux, mais il ne faut pas en être dupe, et surtout il ne faut pas que ça vous affecte comme disait Bidi fin octobre.

Je ne sais pas si vous vous rappelez ce qu’il disait, plus on allait être attachés, troublés, troublés par ce monde, par ce qui s’y déroule, plus on allait souffrir. Par contre si vous regardez ce monde avec le regard de la Vérité, vous voyez les évènements, vous pouvez en rire ou en être contrariés, mais vous ne pouvez pas être dupes, vous ne pouvez plus être dupes, ça fait toute la différence.

Avec Agapè, avec l’État Naturel, vous ne pouvez pas vous mentir à vous-même, vous pouvez mentir aux autres, mais ça aussi c’est une cause de souffrance, et rassurez-vous, quand on vit l’État Naturel, on reste un être humain totalement. On peut avoir des maladies, on peut avoir des problèmes d’argent, des problèmes de couple; on peut perdre toute sa vie comme les autres, mais la grande différence, c’est que l’on n’est pas dupes, et que l’on ne peut pas en être troublés ou affectés au-delà d’une simple réaction humaine.

Elisa : J’ai une autre question, qui a été posée pas mal de fois.

Oui.

Elisa : Alors je te la pose en français après en espagnol. Le personnage de Trump, est-ce qu’il a quelque chose à voir dans tout ça ? Qui est ce personnage ? C’est un être humain ? Il y a beaucoup de …

De qui vous parlez ? De qui vous parlez ?

Elisa : Du président des États-Unis.

Ah! Trump.

Elisa : Oui. Oui alors qu’est-ce qu’il a à voir avec cette fin du jeu ? Est-ce que Trump peut changer quelque chose à ce rêve ou à ce cauchemar ? Voilà. Qui est Trump ? C’est une question qui a été faite par beaucoup de gens de différentes façons.

Oui, oui, mais il me semble que Omraam y avait déjà répondu. C’est bonnet blanc et blanc bonnet.

Elisa : Ok.

Qui tire les ficelles ?

(Interruption) Inaudible…

Donc la question n’est pas de savoir si c’est bien ou pas bien, ça fait partie du même guignol, mais, quand je regarde le guignol, j’aurais quand même tendance à préférer le guignol de Trump au guignol de Bill Gates. Mais la finalité est la même, vous distraire, vous occuper, et si vous êtes libres, je dois dire que ça me distrait beaucoup, ça m’occupe beaucoup, mais je m’en fous complètement ! La finalité est la même, détourner votre regard de vous-mêmes, mais avant le scénario final, je préfère largement le guignol (inaudible) que le guignol des satanistes. Mais c’est la même scène de théâtre.

Voilà pour ce que je peux savoir en tout cas de Trump, tout ça c’est du cinéma, c’est du cinéma, que ce soit Q-Anon qui vous donne depuis trois ans exactement ce qui va se passer sur la scène de théâtre, que ce soit le forum économique mondial ou le plan Rockefeller, c’est le même scénario. Soit vous le regardez d’un côté un peu plus léger, soit d’un côté un peu plus obscur, mais tout ça c’est de la distraction. Alors je m’y intéresse, non pas parce que j’en attends quelque chose personnellement, mais je dois dire que j’adore le spectacle, mais c’est un spectacle, et comme tout spectacle il se termine toujours par un mot fin.

Voilà ce que je peux en percevoir et en vivre.

Elisa : Là on est en train de me dire que le réseau est faible mais ça, ça ne dépend pas de nous, ça dépend de la Wifi générale de la planète terre, c’est-à-dire nous faisons ce que nous pouvons avec les moyens que nous avons.

Je vous rappelle que depuis plus de dix jours, bon d’accord, il n’y a plus de lumières la nuit sur la maison blanche, mais il y a des pannes de réseaux et de fournisseurs d’internet absolument phénoménales, la scène de guignols, la scène de théâtre est en guerre, et rappelez-vous que, quel que soit le côté où vous regardez, ce n’est qu’un spectacle, et je préfère que le spectacle soit plus léger que trop lourd, mais comme tout le monde ! Pour ceux qui sont curieux, le programme qui est suivi est…

(Inaudible…Interruption)

Elisa : Tu as un réseau très faible paraît-il.

Chez qui ? Moi ça passe très bien.

Elisa : Oui, mais la voix s’entrecoupe, la voix des fois elle s’entrecoupe.

Je disais simplement que c’est un spectacle et que je préfère assister à un spectacle un peu plus léger qu’assister à un spectacle un peu trop lourd, mais ça reste un spectacle.

Ça passe ? Vous ne m’entendez pas quand je parle ?

Elisa : Si, il y a eu un petit problème.

Ok.

Alors, autre question peut-être ?

Elisa : Il y a deux pages.

(Discussion en espagnol)

Elisa : Il y a une personne qui demande si les lignes temporelles ont été changées pour rallonger le jeu.

On a eu quoi ?

Elisa : Si les lignes temporelles ont été changées pour allonger le jeu ? Pour rallonger le jeu ?

Mais le jeu, quand on pose ce genre de questions, quand on pose la question, il est évident qu’il n’y a pas de date. Seul celui qui est soumis au spectacle, j’ai bien précisé que j’assistais au spectacle, ce n’est pas pour autant que vous y êtes soumis, intérieurement; donc ce scénario va à la vitesse qu’il veut. Comme on l’a dit, le déroulement du film se fait selon le réveil. Nibiru avance et recule selon le point de vue de la Terre, le point de vue de la Terre, de la conscience collective de la Terre mais le film est écrit.

Comme l’a dit OMA la dernière fois, déjà depuis plusieurs mois, il n’y a pas plusieurs lignes temporelles. Il y a simplement des évènements qui s’agencent et ces situations qui s’agencent ne sont pas des lignes temporelles différentes ou des choix différents, c’est la vitesse, c’est la vitesse de défilement du film qui change.

Elisa : Mais je crois qu’il y a beaucoup de confusion avec cette question.

Oui.

Elisa : Parce qu’on parle beaucoup sur d’autres médias des lignes temporelles et là ça confond. Alors il y a des gens qui me disent : «Je me mets sur une autre ligne temporelle et hop je vis une autre réalité». Alors qu’est-ce que tu en penses de ça?

Mais toute ligne temporelle est liée au temps. On est d’accord ? Mais de quel temps parlez-vous ? Le temps n’existe pas en Vérité, quand vous le vivez. Le temps s’écoule, le film se déroule. Oui, là, il y a du temps.

Mais vous êtes hors du temps, pas votre corps, pas votre conscience, mais ce que vous êtes en Vérité. Donc, lorsqu’on parle de lignes temporelles, ça prouve simplement que ceux qui emploient ce discours pensent encore avoir le choix, ils rêvent, ils continuent à rêver, à nourrir le rêve et à nourrir leurs propres illusions.

Elisa : Un point très important qu’on vient de développer.

Toutes les visions, d’une nouvelle terre, d’une nouvelle race, d’une nouvelle dimension, appartiennent au rêve, rien de plus, et quand vous ne rêvez plus, quand vous êtes dans l’État Naturel, vous y croyez, mais quand vous êtes dans l’État Naturel, vous ne pouvez plus être dupes !

Alors comme dirait Bidi, arrêtez de perdre du temps avec ce genre de questions. Vous avez plus de chance de vous réveiller en regardant l’horreur de ce monde qu’en regardant des lignes temporelles. Ce n’est qu’une fuite de l’instant présent, et un espoir en un quelconque avenir ou devenir, qui ne sont que la perpétuation du rêve, la continuation du rêve.

Donc là, aujourd’hui, maintenant, je suis obligé quand il y a des frères et des sœurs de répondre ainsi. Ça ne m’empêche pas de m’intéresser aux monolithes, aux vaccins, mais de la même façon qu’un observateur regarderait l’objet de son observation, le sujet de son observation.

Il y a une loi de la physique que l’on retrouve dans la physique quantique, l’équation de Schrödinger. Quand vous observez une scène de théâtre, une réaction chimique, l’observateur modifie par son observation la scène de théâtre, la réaction chimique. Ça a été tout l’enseignement de Bidi en 2012. Ne croyez pas qu’être observateur ou silencieux, c’est ne rien faire ou être complètement ailleurs. C’est exactement l’inverse. Plus vous êtes présents, plus l’observateur est là. Or vous n’êtes pas non plus l’observateur, mais l’observateur modifie la réaction chimique ou la scène de théâtre.

C’est toute l’optique de Bidi à l’époque. Aujourd’hui c’est la transparence, la résilience, la capacité à laisser traverser tout ce cauchemar, qui vous rend à vous-mêmes, à la Liberté que vous êtes. C’est là où l’Intelligence de la Lumière est à l’œuvre, c’est là que vous vivez Shantinilaya, la Demeure de Paix Suprême. Mais tant que vous croyez que vous allez changer un iota de ce qui est, vous ne pouvez que nourrir la souffrance.

Alors bien sûr, il y a des besoins élémentaires : avoir de quoi manger, se nourrir, avoir un toit, se déplacer quand on n’est pas confiné, mais si vous acceptez la Vérité plutôt que de lutter contre ce qui est, vous allez avoir un sourire énorme sur vos lèvres, vous allez vivre la Vérité. Tout ce à quoi vous allez vous opposer va se renforcer. C’est une loi physique, c’est une loi biologique, c’est une loi de la conscience même.

Tout est aujourd’hui un prétexte pour vous faire découvrir ce que vous êtes, alors ne résistez pas mais ne comprenez pas de travers. Par exemple pour le vaccin, pour moi à titre individuel, il est hors de question d’accepter la moindre injection de quoi que ce soit, à quelque endroit que ce soit. Mais cette décision individuelle et personnelle ne me met pas, ni en réaction ni en opposition au rêve ou au cauchemar. Ça me permet de le traverser encore plus aisément.

Attention à ce que vous nourrissez aujourd’hui, à ce que vous alimentez aujourd’hui si vous n’êtes pas encore dans l’État Naturel.

La situation est différente pour ceux qui sont, je dirais, en État Naturel stable, parce que je vois bien que quand j’analyse la scène de théâtre, Trump, le covid, enfin toutes ces…, tout ce à quoi nous assistons, n’a aucune répercussion sur moi, aucune, même si effectivement je préfèrerais être à des milliers de kilomètres de là ou être avec des amis au Brésil, au Canada, à Malaga ou ailleurs. Parce que je sais pertinemment que le fait de nous enfermer, que ce soit le confinement ou quoi que ce soit d’autre, est le meilleur prétexte, la meilleure occasion pour être vrais.

Quand vous n’avez plus les cartes pour tricher ou pour établir une espèce d’équilibre ente la société et vous, vous n’avez plus d’effort à faire. Vous avez juste à vous tourner au-dedans de vous et attendre que le temps s’arrête, dans l’instant présent, et là vous êtes libres.

Autre question.

Elisa : Il y en a beaucoup.

(Un frère lit une question)

Elisa : Bon attends, je traduis. Bonjour. Quand Bernard de Montréal dit : …

(Le frère continue de lire)

Elisa : Écoute, non, non, attends, je dois le dire, alors va doucement.

Elisa : Quand Bernard de Montréal, quand l’âme ne sera plus quoi ? Asservie, au service de l’esprit…

(Le frère continue de lire)

Elisa : Écoute tu vas devoir… non attends, attends. Viens ici, parce que moi, je ne peux pas, je ne peux pas le répéter comme ça, je ne suis pas une machine, alors dis-le toi, s’il te plait. Allez.

Frère : Alors, bonjour, quand Bernard de Montréal dit : «Ça fait que, quand l’âme ne sera plus asservie au service de l’esprit, l’ego ne sera plus asservi au profit de sa pensée, l’homme ne sera plus victime existentielle sur la terre, donc il pourra graduellement renverser les lois vibratoires de son incarnation». J’avais cru comprendre que l’esprit se situait grosso modo au niveau du Paraclet mais d’après ce que dit Bernard cela ne semble pas être tout à fait ça. L’esprit sera-t-il encore un leurre de plus ou une marche virtuelle qui nous a permis d’avancer ? Pourriez-vous nous dire quelque chose à ce propos? Merci.

Elisa : Tu as compris ?

Oui, oui.

Elisa : Moi pas, ça va être compliqué.

Alors l’âme… Pourquoi est-ce que ce frère ou cette sœur qui questionne s’intéresse à l’âme, l’âme est une illusion. L’âme est le facteur de l’enfermement, alors je sais bien que tout le monde parle de corps, âme, esprit mais personne n’est d’accord sur les définitions.

Ce que je veux dire simplement c’est que, dans l’État Naturel, on n’en a strictement rien à faire de l’âme, du Paraclet ou de l’esprit, il n’y a que l’Amour, et quand on commence à me parler d’âme, d’esprit, d’évolution, non. Rendez-vous compte, il n’y a aucune animosité là-dedans, mais rendez-vous compte du ridicule aujourd’hui de se poser la question de l’âme, de l’esprit, ou de quoi que ce soit.

Nous avons tous une voie directe immédiate, instantanée, pour être véritables. Arrêtez de vous poser des questions sur l’âme, sur l’esprit, sur les réalités temporelles. C‘est à la fois une perte de lucidité et une installation dans le temps.

Vous êtes indépendants de l’âme, vous êtes indépendants de l’esprit, vous êtes indépendants de la Lumière et indépendants de l’ombre. Tout ça, c’est un théâtre, ce n’est pas vrai. Saisissez, comprenez et vivez que vous vous éloignez et vous souffrez. Le temps est à la simplicité.

Regardez, si je prends la notion d’énergie, d’énergétique, j’ai travaillé pendant 25 ans en énergétique, j’ai travaillé pendant 10 ans à contacter les entités, à leur permettre d’agir sur les gens, de les soigner, tout ça c’est du cinéma.

Aujourd’hui, il y a des gens qui me demandent des résonances Agapè, je n’ai pas besoin d’énergie, je n’ai pas besoin de conscience, je n’ai pas besoin de vibral, je n’ai pas besoin de résonner par le feu du cœur, j’ai simplement besoin d’aimer celui qui demande, pas aimer affectivement, pas émotionnellement, pas seulement de dire «on est Un», et pourtant, le miracle a lieu.

Je ne publie plus de témoignages parce que l’on a dépassé le temps du témoignage qu’il y avait il y a deux ans. Et croyez vous que cela se fasse par une quelconque connaissance ? Par un quelconque pouvoir occulte ? Non, ça se fait uniquement par la simplicité, la gentillesse et l’acceptation. Je ne fais rien, j’écoute et j’accueille, non pas le descriptif d’une maladie, mais j’accueille et j’écoute le nom et le prénom, c’est tout, et ça se fait tout seul. Je n’ai aucun mérite, mais c’est la même chose pour chacun de vous.

Si vous aviez la foi à soulever une montagne, j’ai dit que je ne parlais plus de références livresques mais là celle-là, elle est trop puissante. C’est la première épître de St-Paul aux Corinthiens : «Tant que vous croyez être à l’origine, tant que vous croyez être importants quelque part, vous n’êtes pas libres.»

C’est la Liberté qui guérit, c’est l’humilité, la simplicité, les quatre piliers du cœur. Mais ce n’est pas une leçon à apprendre. C’est quelque chose qui doit se vérifier naturellement et spontanément dans votre vie, même quand vous êtes en train de crier ou de dire merde à n’importe qui ! Vous n’êtes pas dupes et ça crée un état de disponibilité, d’efficacité et de joie incroyable.

Aujourd’hui, il faut élaguer, il faut couper les branches. Tout ce que nous avons construit, pour ceux qui suivaient AD par exemple, Autres Dimensions, toute cette construction vibratoire des portes, des étoiles, des nouveaux corps, nous permet aujourd’hui, même sans prérequis, de vivre la Liberté.

Mais si aujourd’hui, vous vous tournez vers un archange, vers Marie, vers Jésus, vers Abba, vers qui vous voulez, ça prouve simplement que vous ne vous êtes pas tournés vers vous-mêmes. Vous ne vous êtes pas retrouvés, donc on cherche à l’extérieur.

Il n’y a pas de maître, il n’y a pas de gourou. La Vérité, elle est sans personne, sans âme et sans esprit, et pourtant elle est localisée ici au milieu de ce corps illusoire, dans la poitrine.

Ce que j’ai envie de dire, c’est aujourd’hui, ne perdez pas de temps ! Le temps n’existe pas mais l’usure du temps auquel vous croyez, oui. Mais l’usure du temps auquel vous croyez, oui !

Elisa : L’usure c’est quoi ?

L’usage, l’usure.

Aujourd’hui, il y a des choses  qui sont simples et il y a des choses qui dépendent du temps. L’âme dépend du temps. L’énergie, la vibration, les chakras dépendent du temps.

Et j’en profite pour faire un aparté parce que j’ai une personne qui pose une question très précise, qui dit : Alors finalement, si je fais de la thérapie énergétique, ça veut dire que je suis dans l’erreur ? Pas du tout. Quand j’ai mal quelque part, soit je me mets une aiguille d’acupuncture, je prends de l’homéopathie ou je prends de la chimie, ou je cherche, je cherche à comprendre ce qu’il y a, mais tout ça est superflu dans l’Intelligence de la Lumière. Mais si vous êtes thérapeute énergéticien, je n’ai jamais dit qu’il fallait arrêter l’énergétique.

J’ai encore fait avec toi Elisa une formation cristal, il y a un an et demi, oui c’est ça un an et demi. C’est une question de lucidité. Je peux utiliser l’énergie, les cristaux, la vibration, le vibral, mais quand vous vivez l’efficacité du temps zéro, de l’Absolu, du Parabrahman, vous savez que c’est une illusion, l’énergie, la vibration, les chakras, mais comme je l’ai dit dans la question précédente, on est la Vérité dans l’illusion. Mais l’illusion elle est là, le rêve il est encore là.

Donc soyez lucides qu’aujourd’hui l’énergie, la vibration, les pensées sont un obstacle à la Vérité, à la vôtre. Mais comment vous faites pour soigner quelqu’un qui ne croit en rien ? Qu’est ce que je fais dans ces cas-là, j’utilise un cristal, la chimie comme tout le monde, je ne suis pas dupe.

Quand vous voyez l’illusion, quand vous savez concrètement que c’est une illusion, un rêve, un cauchemar, dites moi quand on dort la nuit, on est capable dans certains cas d’agir sur le rêve ou sur le cauchemar ? Et comment on sort d’un cauchemar? On se réveille le matin. Il n’y a plus de cauchemar. C’est exactement la même chose, c’est exactement la même chose dans ce monde, dans votre vie.

Elisa : C’est bon, c’est bon.

Voilà, là je faisais l’aparté par rapport à la demande et je sais que cette question elle est essentielle pour beaucoup de thérapeutes, d’énergéticiens et autres, mais rien … Faites bien la distinction entre ce qui est agir dans ce rêve et cette illusion qui est nécessaire, parfois indispensable, et la Vérité, elle qui ne passe pas du Silence intérieur et de l’action d’Agapè.

Je sais qu’il y en a parmi vous beaucoup qui ont vérifié ce qu’avait dit OMA et Bidi. En résumé ils disaient : «Plus ça va être le chaos dehors, et plus vous accepterez de rentrer dedans, et plus vous serez bien.» Par contre, si à l’inverse, vous mettrez trop d’engagement, trop d’énergie, ou trop de conscience pour obtenir quelque chose, là, vous vous opposerez au rêve et le rêve se transformera en cauchemar, vous allez souffrir.

Alors bien sûr, beaucoup de frères et sœurs qui ne vivent pas encore Agapè vont me dire : Oui, mais j’ai mes enfants, oui, mais j’ai mes responsabilités, oui, mais je dois payer ceci, cela. Je dis simplement que ce sont deux choses différentes, mais quand vous vivez le Vérité, réellement, rien de ce qui est illusoire, rien de ce qui est du rêve ne peut se transformer en cauchemar. Vous n’en avez pas besoin puisque vous êtes réveillés.

Par contre, pour les frères et les sœurs qui ont encore un attachement aux évènements du monde, bah, vous n’êtes pas prêts d’arrêter de souffrir. C’est comme si on se trouvait face à un mur et qu’on sait pertinemment qu’il suffit de se retourner de ce mur, à l’intérieur de soi-même, en quelque sorte d’accepter le mur, et vous constaterez juste après que le mur ne vous gêne plus, qu’il ne vous empêche pas de passer.

L’image est parfaitement ce que j’observe aujourd’hui chez d’innombrables frères et sœurs qui vivent les énergies, qui vivent les vibrations, qui ont les couronnes activées, le feu de l’éther, le feu du cœur, le feu de la Kundalini, et pourtant ils ne sont pas libres.

Je dis et je répète : la Liberté est sans énergie, sans vibration, sans vision et sans conscience.

Elisa : Là, j’ai perdu le fil.

La Vérité est sans vision, sans conscience, sans énergie et sans forme, et sans monde, et sans personne, ni Un ni multiple, ni unité ni multiple. Acceptez-le et vous le vivrez. Mais si vous ne l’acceptez pas, vous ne le vivez pas, C’est ça l’acceptation, c’est ça la résilience par la Lumière et pas par votre volonté.

Voilà un peu résumé cet État Naturel. Vous ne pouvez pas le chercher. Je ne vais pas revenir sur tout ce qu’a dit Bidi en 2012 et les autres après.

Le cauchemar actuel et qui n’est pas fini, mais par contre c’est fini pour nous, ceux qui vivent Agapè. Alors bien sûr qu’on se pose des questions. Est-ce que c’est les gentils garçons qui vont gagner ? Ou est-ce que c’est les méchants garçons ? Est-ce que ça va être un rêve ou un cauchemar léger ? Ou est-ce que ça va être un cauchemar terrible  Ça dépend de vous. D’où regardez-vous ? Où est-ce que vous êtes sur la scène de théâtre ?

(S’adressant à Elisa)

Ah, il y a quelqu’un qui t’a piqué le micro, là. Il y en a un qui a branché son micro, donc quand il branche le micro, tu disparais (de l’écran).

Donc voilà où on en est. Voilà exactement la teneur de ce qui est, entre guillemets, en jeu, parce qu’il n’y a pas de jeu, le trophée d’aujourd’hui il est là. Est-ce que vous êtes en train de vouloir faire vivre ou revivre ce qui est mort ou en train de mourir ? Est-ce que vous êtes en train de vous projeter dans demain, une autre société, un autre monde, une autre dimension ? Si c’est l’un de ces états, vous n’êtes pas prêts d’être heureux.

La seule béatitude est dans l’instant, et quand vous le vivez, c’est le seul endroit où tout est vrai ! C’est là où vous ne passez jamais.

J’aimerais vraiment que, au cours de ces entretiens, vous savez la dernière rencontre physique, charnelle, elle a eu lieu … chez toi ! Maintenant la façon de se connecter passe par des écrans.

Mais ce qui est important c’est que les quelques mots que j’essaie de vous donner de façon simple, soient simplement actifs en vous, pas maintenant, mais quand vous allez rencontrer qui que ce soit dans votre vie, tout à l’heure, demain, c’est à ce moment-là qu’il faut se rappeler que c’est un rêve, que vous n’êtes pas l’acteur, que vous n’êtes pas le spectateur ou l’observateur, pour comprendre qu’il n’y a jamais eu de théâtre. Il n’y a que la Félicité absolue.

On a eu suffisamment de descriptions par les Étoiles, à l’époque, de ce qu’est Shantinilaya, ce qu’est la Paix, ce qu’est l’Unité. Tout ça, c’étaient des étapes qui nous ont permis de nous rapprocher de cet instant, et cet instant il est à chaque minute maintenant. La fin du monde elle est en vous à chaque minute. Et si vous vivez la fin du monde en vous, c’est-à-dire des illusions, c’est à ce moment-là que vous faites le plus pour le calendrier illusoire, par l’éclairage, par l’acceptation, par la traversée.

Donc aujourd’hui, j’ai vraiment envie de vous dire, si vous n’êtes pas libres, de laisser tomber ces histoires de monolithes, ces histoires de Trump, de Q-Anon, de vaccins, et de garder votre lucidité, votre perception, dans ce qui se passe dans l’instant que vous vivez, pas sur les écrans, et là chez-vous, dans la rue, dans la nature, partout, pensez à ce que vous voyez, et à ce moment-là vous vous apercevrez qu’il est beaucoup plus facile de s’installer dans cette Liberté et cette Vérité.

Je vois bien tous les frères et sœurs qui aujourd’hui ne sont pas encore libres si je peux dire, qui sont quelque part soumis à ce qui se déroule sur la scène du monde : les vaccins, la guerre, le basculement des pôles, Nibiru, la guerre civile …

Rappelez-vous que tout ce qui se déroule sur la scène de théâtre n’est fait que pour vous faire cauchemarder. Vous rêvez, à demain, à la nouvelle Terre, à l’investiture du Président Trump, etc… à l‘élection de Trump…Tout ça, pour ceux qui ne sont pas libres, c’est un enfermement. Quand je joue à l’observateur, ça m’amuse et je commente le film, je fais des commentaires sur le film, mais à aucun moment, je ne me sens impliqué dans le film.

Elisa : C’est bon que tu dises ça, parce que des fois, on ne comprend pas. On croit que tu es impliqué dedans.

Non, pas du tout, pas du tout. Le fait de donner des informations, d’ailleurs justes ou fausses, parce que je n’ai pas la prétention de savoir tout ce qui est juste, d’accord ? Je dirais que je suis, comment dire, captivé si on peut dire, sur le plan sociologique, sur le plan de l’histoire, mais de la même façon que je jouerais au Sudoku ou que j’irais au cinéma, je ne sais pas, c’est un jeu. Mais j’ai toujours parlé de ce préambule, je m’intéresse au théâtre, pas parce qu’il y a une issue, mais parce que ce théâtre de guignols, ne peut, malgré lui-même, que nous conduire à la Vérité.

Même si pour beaucoup, effectivement, la période est très désagréable. Mais ce qui est désagréable nous réveille et ce qui est agréable nous endort. La Vérité n’est ni agréable, ni désagréable. Elle Est. C’est ça qui réveille. A ce moment-là, vous n’êtes plus jamais dupes, vous sentez, vous percevez en vous de façon claire que le théâtre s’écroule, la scène se joue, mais que pour vous ça n’implique rien. Et là vous êtes libres, vous le constatez chaque jour.

Sincèrement, pensez-vous que quelqu’un, qui vit Agapè, a une quelconque crainte de quoi que ce soit ? La mort, le vaccin ? Au pire, c’est la Liberté. Je l’ai déjà dit je crois lors de notre dernier entretien, je l’ai répété toute l’année précédente, à un moment donné vous n’êtes plus affectés, ou plus exactement, la scène de théâtre n’affecte plus ce que vous êtes. Et à ce moment -là, vous le voyez, vous le vivez tous les jours, que vous le vouliez ou pas.

Avons-nous d’autres questions avant de faire une pause, on fait une pause à six heures. C’est ça Elisa, de six à sept ?

Elisa : Oui.

Il y a encore plein de questions, je m’en doute, mais on a encore demain, mais si vous avez des questions rapides…

Frère : Comment va s’opérer le nettoyage de cette humanité corrompue ? Quand vous parlez de ce Paradis blanc, est-ce donc que la Terre va exploser ou que le monde va finir par s’éveiller ici-bas dans nos corps de chair ?

Elisa : Tu as entendu Jean-Luc ?

Non, non, non. C’était haché. J’ai entendu un mot sur deux. J’ai entendu un homme qui posait une question avec …

Elisa : Alors répète.

Oui, alors répète, parce que la voix que j’entends elle est très lointaine, comme toi (Elisa) tout à l’heure.

(Le frère répète la question)

Non, l’image que j’en donne c’est la même que quand on se réveille le matin, vous avez rêvé, vous avez cauchemardé, vous vous réveillez, et c’est fini. Alors ça passe par le phénomène qu’on appelle le Paradis blanc, qui est une émission …

Elisa : Attends un moment, la question n’a pas été traduite en espagnol.

Elisa : Voilà, la question est posée en espagnol, maintenant tu réponds.

Ça va être comme le réveil le matin, quand vous sortez d’un rêve ou un cauchemar, peu importe, même en pleine nuit, le rêve ou le cauchemar s’éloigne de vous et disparaît, en quelques minutes, quelques heures ou quelques jours.

Alors dire que la Terre va exploser montre simplement qu’on n’a pas compris encore, et on n’a pas vu que c’était un rêve. Le rêve ne s’écroule pas. Les lignes temporelles ne s’écroulent pas. Tout a été écrit, et c’est nous qui nous déplaçons, en vérité dans un décor qui est totalement immobile.

Donc, qu’on explique ça par l’augmentation du diamètre de la Terre, par le flash gamma du centre galactique, par la dissolution complète des couches isolantes de la Terre, je répondrai qu’aujourd’hui ça n’a aucune espèce d’importance. Vous avez juste à sortir du rêve ou du cauchemar, et vous n’aurez aucune envie après de savoir ou de comprendre comment vous êtes sortis du rêve, ou comment ça va se passer, même si vous avez toutes les connaissances pour l’expliquer, ça ne sert à rien. Ça ne ferait que nourrir le rêve.

Je répète ce qui a toujours été dit par les intervenants, que je répète aussi sans arrêt : Vous avez simplement à être là, disponibles, sans question, à traverser les illusions, ce n’est pas un effort, mais à les laisser vous traverser, tous ces êtres qui s’agitent sur le plan de la conscience, mais vous, comme vous n’êtes plus « malades », vous n’êtes plus soumis à l’escroquerie de la conscience, et vous ressentez cette béatitude à l’intérieur à chaque minute, même quand vous faites, entre guillemets, la gueule, même quand le naturel de la personnalité peut réapparaître, vous n’êtes pas dupes, vous savez que c’est un jeu.

Alors, bien évidemment, moi aussi je me suis posé cette question déjà depuis 2009, et même 2008, avant les noces célestes. Et je vous garantis qu’à l’époque quand Anaël me faisait sortir du rêve par le Paradis blanc, eh bien ce n’était pas Agapè à l’époque ! C’était un cauchemar terrible de voir mon corps disparaître, de voir cette Terre disparaître !

Mais aujourd’hui je Sais, et que, en le vivant chaque minute de ma vie, dès que j’y pense, dès que je ferme les yeux, dès que quelqu’un me demande quelque chose, là c’est Agapè. En termes neuroscientifiques, j’avais parlé de ce qu’on appelle le mythe d’immortalité, et là je vois paraître une question extraordinaire, juste à l’instant, qui me dit :

« Mais comment faire pour continuer dans ce système quand on vit la Vérité, puisqu’on sait que tout est faux, on l’a vécu. »

Et bien justement, quand vous êtes réellement libres, il y a aussi une disponibilité. Ce qui doit se faire se fait, et c’est vous qui le faites bien sûr. Et ce qui ne doit pas se faire ne se fera pas, même si vous vous investissez, même si vous vous y impliquez. Et c’est justement grâce à ça qu’on voit la différence entre le Paradis Blanc qui détruit la forme, comme je l’ai vécu pendant d’innombrables semaines avant les noces célestes, où là j’étais terrorisé, c’est là où on voit la différence essentielle avec aujourd’hui.

C’est que là, quand je m’éteins à ce monde, quand je m’éteins à cette forme, à l’animation de cette forme, la Béatitude est là, mais aussi, comme je l’ai dit, les activités quotidiennes se font. Mais après c’est un problème de responsabilité personnelle et de choix si je peux dire personnel. Là il y a un dialogue qui s’établit en vous, et ça peut aller très loin.

Imaginez, vous gagnez votre vie de manière confortable, en vendant je ne sais pas, que ce soit des armes ou des fruits et légumes de toute façon, et puis vous vivez la Vérité. Mais cette Vérité elle se confronte à votre histoire personnelle, parce que votre histoire personnelle elle est là jusqu’au dernier jour du rêve.

Dans un cas, encore une fois, c’est un choix personnel, mais ce choix personnel n’est pas une décision, c’est une décision de la Lumière. Vous voyez, il y a toute une espèce d’apprentissage, oui, entre la découverte et le vécu d’Agapè, les résonances inter-dimensionnelles ou de Cœur à Cœur, et avec l’habitude, le Grand Silence qui remplit tout.

Ce Grand Silence n’est pas se taire, c’est le Grand Silence comme je l’ai évoqué, par exemple, dans les pratiques Agapè, où le Silence agit bien plus. Dans les résonances Agapè, c’est le Silence qui agit, ce n’est ni le Feu du Cœur, ni la vibration, ni l’intention. C’est l’Intelligence de la Lumière qui agit.

Alors bien sûr, cela ne se fait pas instantanément comme je l’ai dit, on passe de l’exubérance de la manifestation d’Agapè à la Félicité du Grand Silence. Les réponses d’ailleurs arrivent dans le Silence, les solutions arrivent dans le Silence, mais absolument pas d’une quelconque prétention de la personne ou de l’âme.

Bien sûr, c’est à l’inverse et à l’opposé de ce qui nous est demandé dans le développement personnel, dans la spiritualité, et même dans la vie.

Je terminerai cette première intervention sur ces quelques mots : Tant que vous croyez avoir le choix, à quelque niveau que ce soit, vous n’êtes pas libres, la Liberté n’est pas un choix, c’est une évidence, et tant que vous croyez avoir le choix, vous n’êtes pas disponibles pour Agapè. Les intervenants ont essayé d’expliquer ça très longuement, même encore l’année dernière, que ce soit par Ma Ananda Moyi sur le lac Titicaca, voilà juste un an, que ce soit dans l’intervention de Bernard de Montréal, tout converge vers ce Grand Silence.

Je terminerai donc ce premier satsang en vous disant que les questions/réponses elles vont, elles viennent, et que le but est le Grand Silence. Ça ne veut pas dire rester comme ça ensembles, reliés sur un réseau Internet, sans parler, mais c’est dans l’intervalle des mots, dans l’intervalle des questions et des réponses, que se produit le Grand Silence.

Voilà Elisa, donc si tu es d’accord, il est dix-huit heures quatre, nous prenons notre heure de repos et nous reprenons dans une heure, à dix-neuf heures c’est ça ?

Elisa : Vous pouvez rester connecter ou bien sortir.

Moi je vais être obligé de déconnecter pour recharger le téléphone, parce que je suis sur le téléphone, et si vous avez la possibilité chez vous de rester connectés, oui, c’est beaucoup mieux, c’est ça que tu voulais dire ?

Elisa : Nous revenons dans une heure.

À dans une heure. Merci à tout le monde.

Merci, Au revoir, Gracie …

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