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BIDI (Partie 2)
Vacances (21 au 27 Juillet 2021)
Animation par : Elisa Bernal

22 Juillet 2021

Eh bien Bidi est de retour avec vous. Et nous allons poursuivre notre avancée vers le Réel. Et j’écoute.

Elisa : En Absolu, on réalise qu’il n’y a personne. On est bien, on sait que ce qu’on l’on vit est la Vérité, mais il ne se passe rien. Alors, quel est l’intérêt à y rester, à moins qu’il n’y ait d’autre chose dans ce Réel ?

Ce qui passe concerne la conscience. Celui qui vit l’Absolu, effectivement constate qu’il ne se passe rien, et souhaite surtout qu’il ne se passe rien. Celui qui vit le Réel, le Parabrahman, l’Absolu, n’attend rien, n’espère rien, et n’attend rien de rien. Il est chez-lui. Il a mis fin à l’escroquerie de ce qui passe, et n’est plus du tout soumis à quelque attente que ce soit. Donc, il n’y a aucun désir de quelque manifestation que ce soit, comme de quelque conscience que ce soit. Et cela sera toujours la conscience qui attend qu’il se passe quelque chose. Et cela sera toujours la conscience qui attend de sortir du rien.

Et le retour à la Vérité, au Je Éternel qui a toujours été là et qui n’a jamais bougé, est la Félicité Éternelle, hors-delà du temps. Ainsi la question qui est posée relève bien évidemment de la conscience elle-même. En vivant le Réel, il n’y a pas la moindre trace de l’univers. Il n’y a strictement rien. Ce Rien contient le Tout et cela se suffit à lui-même puisque, bien évidemment, il n’y a ni temps ni espace ni dimension. Seul celui qui a vécu cela a mis réellement fin à l’escroquerie de la conscience, à la perversion de la conscience et cette question est donc issue de la conscience. La conscience ne peut pas connaître l’Absolu.

La conscience ne peut que rêver d’une conscience. La conscience est l’agent de la création du rêve. Et la conscience est l’origine de la destruction de la création. Elle se consume elle-même par l’expérimentation de ce qui passe dans l’illusion de l’espace et des dimensions.

Dans la Félicité, il n’y a rien à attendre, rien à espérer, c’est l’Ultime Demeure qui est la Première Demeure. C’est la jonction de l’Alpha et de l’Oméga, la Résolution de toutes les interrogations. Il n’y a rien qui est attendu, effectivement il n’y a rien qui se passe, et c’est justement cela la Paix et le Grand Silence. Il n’y a donc rien à redouter, rien à attendre, rien à voir, et rien à expérimenter.

Et cela est ce que nous sommes. Nous sommes antérieurs à la conscience, je le répète, antérieurs à la Lumière, antérieurs à toute manifestation. Et je vous garantis que celui qui retrouve cela à travers le personnage ici même sur cette Terre, n’attend rien de sa conscience, ne rejette rien du théâtre, parce qu’il a appuyé pour lui-même sur le bouton FIN. Il n’est pas dupe du jeu de la conscience. Il n’est pas dupe du rêve. Il a réfuté tout ce qui était illusoire. Il ne refuse rien et accepte tout. Là est sa Félicité. Là est le Jnani. Là est celui qui n’est qu’ignorance. Il se connaît lui-même comme Source et Origine. Il se reconnaît en l’ensemble du rêve.

Comme je le disais en mon incarnation : «La seule différence, entre vous et moi, c’est que je sais que je suis le Tout. Je sais que je suis l’Amour. Je sais que je suis la conscience. Et que ce corps s’éteindra», d’ailleurs il s’est éteint. Et comme je l’ai dit : «Je serai toujours là, du Moment Initial comme au Moment Final que vous vous apprêtez à vivre». Comme cela a été demandé lors de la dernière question de la première partie.

Autre interrogation.

Frère : Moi, je veux faire un témoignage.

On t’écoute. Attends, il faut traduire.

Frère : Alors, un témoignage, il y a vingt cinq ans maintenant, je méditais en discipline tous les matins, avec une musique, avec des gongs, et c’est là où ça va être drôle, et j’ai eu la… je suis passé dans une forme de tunnel et j’ai vécu une vie complète, de l’enfant jusqu’au vieillard. Et le deuxième gong m’a ramené dans ce corps et le temps passé n’était que de deux secondes. J’ai compris que le temps et l’espace n’avaient aucun sens, aucune matérialité dans l’Absolu. Alors, je suis quand même allé au travail et les gens me disaient bonjour et je ne savais pas quoi répondre. Il a fallu écrire mon nom et je ne savais pas.

Frère : Et donc, il a fallu que je fouille mes poches pour trouver une carte (Rire) avec mon nom. Ce que je veux dire, j’étais dans la Béatitude, mais ça veut bien dire qu’au-delà de la forme, nous existons. Dix ans plus tard, et j’en ai témoigné avec toi, Bidi, il a fallu que le personnage abandonne ses projections et accueille la disparition de «mon» monde ; travail, famille, santé, etc… Mais à ce moment, lorsqu’on accepte d’être Rien, lorsqu’on accepte de passer notre attrait pour la forme et lorsqu’on traverse la Lumière, on arrive vraiment dans cet Absolu, cet État où nous sommes le Tout, et c’est accessible à tous.

Frère : Il suffit juste de traverser ses peurs et lâcher le goût du jeu, l’attrait pour jouer pour la forme, et la Béatitude libère et est la plus grande récompense.

Je te remercie. Et ce que tu as vécu remonte à de nombreuses années. Je ne peux que rajouter que, aujourd’hui, c’est encore plus facile, et que seule l’identification à la conscience vous empêche de le vivre, à toute conscience, que cela soit la conscience du personnage, la conscience du monde, et même la conscience du Soi. Le Soi est l’ultime escroquerie. C’est l’ultime piège, mais aussi, ce que l’on pourrait dire, l’ultime étape. Et effectivement, quand tu vis le Rien tu n’as plus besoin, entre guillemets, de parcourir le Tout. Tu acceptes ton incarnation dans le rêve. Tout devient plus simple.

Tout est traversé, comme tu le dis, avec facilité, parce que tout appartient au rêve. Vous ne tenez à rien, alors tout vous est donné. Sans demande et sans attente, vous êtes spontanément dans le service dans son sens le plus noble, et qui n’est pas un service à soi ou au Soi, mais vous êtes au service de la Vie. Vous n’êtes plus tributaire d’aucun rêve, d’aucune projection et vous êtes naturellement dans le Temps Présent, dans le Temps Zéro. Vous savez que c’est un rêve. Vous ne fuyez pas le rêve. Mais aujourd’hui encore une fois, le moment est arrivé de la fin du mythe de la création.

Et ce phénomène est collectif, concerne toutes les formes, tous les mondes et toutes les dimensions. Tout ce qui concerne la conscience a été vu et parcouru. Tous les chemins du possible et de l’impossible sont vécus. Vous n’avez pas besoin d’en avoir le souvenir, parce que littéralement le souvenir du Réel consomme et consume toutes les formes et toutes les particularités de la conscience.

Et ceci est une réjouissance qui ne peut être comparée à rien de connu et à rien d’expérimenté, parce que vous saisissez clairement que vous avez été l’ensemble des expériences, et que l’ensemble des expériences qui se sont déroulées, qui se sont passées, qui se passent et passeront, ne concernent en rien le Réel.

Ainsi est l’État Naturel. Vous êtes à l’interface de cet État Naturel, à l’extinction de l’Ultime Présence ou de la Demeure de Paix Suprême, le fameux Paradis Blanc, et la découverte totale du Réel. Cela se vit maintenant, en l’espace du chaos de la scène sociétale comme dans le chaos des éléments. Mais vous n’êtes pas ce chaos.

Vous n’êtes jamais apparus. Et vous ne disparaîtrez jamais. À ce moment-là vous constatez que vous n’avez pas besoin de conscience, que vous n’avez besoin d’aucune scène de théâtre, que vous n’avez besoin d’aucune dimension, que vous n’avez pas besoin de maître, et encore moins d’anges et d’archanges, et que vous êtes donc  le Souverain Intégral.

C’est cela qu’il faut affirmer, qui vous est peut-être encore inconnu, mais qui lors de cette affirmation franche et sincère, vous sera immédiatement connu. C’est l’acte ultime d’Acceptation, l’acte ultime d’Accueil et de Révélation du Réel. Et vous constatez à ce moment-là que les univers sont apparus, qu’ils disparaissent sans raison et que tout cela ne fut qu’un songe. Il ne peut exister la moindre réticence, le moindre questionnement. C’est la Félicité Totale. Vous restez tranquilles. Vous ne revendiquez rien. Vous ne projetez rien, parce que vous savez pertinemment que c’est justement ce que vous arrêtez de faire, qui réalise la solution.

C’est le moment où vous appuyez sur le bouton. Et c’est maintenant, hors du temps, et pourtant sur ce temps. C’est la Fusion de l’illusion et du Réel. Cette ultime friction et opposition qui créent la complémentarité et qui vous fait vous souvenir de la Félicité Éternelle que vous êtes en dehors de la conscience comme de tout monde.

Je te remercie de ce témoignage, qui montre effectivement que cela a toujours été là, et que cela ne t’a pas empêché de vivre le rêve, et que tu n’en as jamais été dupe. C’est l’État de Fluidité, l’État de Résilience, l’État d’Humilité et de Simplicité. La Vérité est humble et simple. La conscience, la perfide, …

Elisa : Je ne comprends pas ce mot.

… qui est la menteuse, vous emmènera dans toutes sortes d’expériences, vous emmènera toujours dans toutes sortes de rêves et d’illusions. Mais la conscience ne peut pas se maintenir face au Réel, face au Je Éternel.

…Silence…

Autre témoignage ou interrogation.

…Silence…

Frère : J’ai une question. Alors, c’est une interrogation. Les consciences qui aujourd’hui jouent la scène finale et clôturent donc l’illusion, ont-elles un lien …

Comment ?

Frère : … ont-elles un lien avec les consciences qui ont ouvert l’expérience au départ ?

La conscience initiale, la toute première manifestation n’est rien d’autre que la dernière manifestation. Le chaos primordial, après son organisation selon temps, espace et dimension, aboutit de manière illusoire au chaos final. L’instant final de la conscience n’est que le souvenir de son instant initial. Cela a été appelé l’Ouroboros, le serpent qui se mord la queue, les cycles du samsara ou de l’illusion. Et aussi l’Alpha qui rejoint l’Oméga, qui vous démontre et vous prouve, par le souvenir de ce moment initial, que la totalité du rêve est apparue et a disparu sans raison aucune.

Et qu’absolument tout s’est écrit et déployé dans cet état initial et final, où tout est en relation par l’Intelligence de la Lumière, par la Résonance de l’Amour, ayant permis l’exploitation et l’exploration en le même instant de l’Instant Zéro, de la totalité des plans et des dimensions et de la conscience Une, en ses innombrables fragments, tous porteurs de la même unité de conscience.

Il n’y a qu’une conscience. Nous sommes réellement et concrètement les uns et tous les autres, réellement les uns dans les autres, et ceci nous permet de comprendre et de conclure, en le vivant, que nous n’avons jamais bougé et qu’il n’y a jamais eu personne, une personne, et personne.

C’est une grande Joie, le Grand Silence de l’Évidence, la grande Paix, L’Amour et la Sagesse de celui qui vit le Réel et qui n’a plus de raison d’être au sein de quelque rêve que ce soit qui, effectivement comme je l’ai dit, consume et consomme l’ensemble des rêves de création. Vous êtes l’espace et vous êtes les temps, vous permettant de constater qu’il n’y a ni espace ni temps.

Et là la Paix est éternelle, il n’y a plus de question, il n’y a plus de possibilité de se tromper, il n’y a plus la moindre envie de conscience, la moindre envie de formes, de mondes ou de dimensions. Le Je éternel est retrouvé, vous ne pouvez que vous reconnaître, dans l’ignorance totale de toute connaissance et de tout vécu. Là est la fin, qui n’est rien d’autre que le début de ce qui n’a jamais débuté et jamais fini. Et qui ne présente strictement aucun intérêt.

…Silence…

Elisa : J’ai une question des gens du chat, du WhatsApp je veux dire : “Parle-nous du Paradis Blanc, même s’il fait partie aussi du jeu, c’est-à dire qu’il n’est pas réel.”

C’est très simple, le Paradis Blanc, c’est la lumière de la Source. C’est le lieu du Serment et de la Promesse, c’est le lieu de la première apparition, apparente, et de la dernière disparition, apparente. Il est blanc, de la couleur de la pureté, de la couleur préalable à toute forme et toute conscience, il est la supra conscience magnifiée, il est le lieu de la fusion et de la dissolution, il est la première manifestation de l’Amour, et la dernière.

C’est le point de jonction de l’illusion et du Réel. C’est le yin dans le yang et le yang dans le yin, là où se résout tout principe de dualité, là où le mal et le bien se résolvent d’eux-mêmes. C’est la promesse du retour à l’Éternité. C’est le Serment de la Source, celui de ne jamais vous perdre dans le rêve, malgré les apparences, malgré les expériences, malgré l’infinité des formes et des mondes. C’est le point de jonction, c’est le point de résolution, et c’est l’antichambre du Réel et de la Félicité Éternelle.

Sur la scène de théâtre de ce monde, cela correspond à la consumation totale de cette Terre, qui a été nommée pendant un temps l’Ascension, qui était en fait la phase ultime conduisant à la dissolution apparente du rêve. C’est le moment du souvenir où il n’y a plus de place pour quelque mémoire que ce soit. C’est l’instant de la rencontre avec vous-mêmes, au-delà de tout habit, de toute forme, de toute conscience, de toute projection et de tout désir.

C’est l’antichambre de la pure Félicité en tant qu’ultime demeure de la conscience, et sur cette Terre la rencontre du personnage avec lui-même par le mécanisme de la stase, nommée le moment collectif, quelle qu’en soit l’apparence sur la scène de théâtre, on peut dire que c’est la révolution totale du Réel, nommée par d’autres la fusion, là où vous êtes partout, et en définitive vous n’êtes nulle part.

…Silence…

D’autres questionnements ?

Elisa : J’ai une autre question d’une personne, je vais la lire “C’est plus une curiosité, même si je sais que c’est dans le rêve, mais j’ose le demander : Marie va nous appeler, comme elle nous l’a dit il y a longtemps, par notre nom, ou ça ne sera plus nécessaire ?”

Marie avait prévu de vous appeler, non pas par votre nom tout d’abord, mais par votre prénom. Cela a été expliqué longuement, que l’événement collectif, de l’appui sur le bouton fin ou avance rapide, pouvait prendre l‘apparence de la présence visible de Nibiru, de l’action simultanée du flash galactique, et de l’appel de Marie, et de la stase elle-même, tout cela de façon de plus en plus rapprochée, je dirais dans le même espace de temps qui ne dépasse plus une semaine.

Il a été dit de nombreuses années auparavant, à partir du moment où l’année 2017 s’était écoulée, que plus l’apparence du temps durerait, plus l’événement serait rapide afin de permettre aux rêveurs de traverser toute souffrance, de même que toute résistance, avec de plus en plus de facilité; mais que plus l’illusion du temps apparaîtrait au fur et à mesure des années, plus le chaos serait fulgurant et brutal.

L’épuration, le réveil, l’accès au Réel ont permis en quelques sortes d’amortir ce que l’un des Anciens avait nommé «le choc de l’humanité», afin que le déni, la colère et la négociation ne durent qu’un temps réduit, vous permettant en quelques sortes d’accéder à la Paix et la Félicité, là aussi de manière brutale, inopinée et rapide sur la scène de théâtre.

Nous sommes exactement aujourd’hui dans cette configuration, l’Amour balayant les peurs, les réticences, hésitations ou résistances de façon de plus en plus importante, de façon de plus en plus éclatante et, je le répète, de façon de plus en plus fulgurante. Si je peux me permettre cette expression : «Vous êtes chacun au bout du bout du rêve, au bout du bout de la souffrance quelle qu’elle soit».

Il peut exister effectivement encore des sentiments d’impatience, ou comme le disait le Commandeur, de dégoût de ce cauchemar, qui posent en quelque sorte les fondations les plus solides de l’établissement du Paradis Blanc, et donc de la fusion de l’illusion et du Réel. Ceci est en cours, et visible par l’action du chaos, par l’action des éléments, et bien sûr par votre Présence et notre Présence.

…Silence…

D’autres choses ?

Elisa : Je crois qu’on est en train d’écrire une autre question. On a encore dix minutes avant 9h. Si elle se dépêche d’écrire !

Sœur : J’ai un témoignage. À la fin du voyage au Pérou, j’ai décidé de rester un peu plus. Je me suis retrouvée confinée sur une durée assez longue. Je n’ai donc pas pu travailler, et depuis je me suis laissée porter par la Lumière, et depuis ce moment je vis des expériences totalement imprévues, mais la vie s’est arrangée pour me donner les moyens financiers dont j’ai besoin, et ma présence ici n’était pas du tout prévue, ça a été organisé par la Lumière on peut dire.

Plus tu acceptes de lâcher, plus tu vois que tu n’as pas le choix, plus tu t’aperçois que la Lumière, la Grâce, l’intelligence du Réel conduit bien mieux que toi ta vie afin de te faire vivre la Vie. Tu n’es plus possédée par le personnage, mais tu es possédée par la Vie. Tout ce qui doit arriver arrive, tout ce qui ne doit plus arriver n’arrivera pas.

Ainsi est ce que vous avez nommé la fluidité de l’Unité, le don de la Grâce, l’évidence du Réel, dès l’instant où vous lâchez, où la Lumière vous fait lâcher ce à quoi vous croyiez auparavant tenir, alors plus tu es libre, même sur la scène de théâtre. Le Christ disait “Est-ce que l’oiseau se soucie de ce qu’il va manger demain ?”

C’est l’action de la divine Providence qui te permet de vivre la liberté où il ne peut exister d’obligation, où la seule obligation finalement est d’être présent à toi-même, présent en l’instant. Alors la vie s’écoule librement, même sur la scène de théâtre, t’ayant donné à vivre que c’est quand tu ne possèdes plus rien que tu n’es plus possédée, et là est la Vérité, et là est la Liberté.

Tout ce que vous croyez posséder, sans aucune exception, en réalité vous possède. Tout ce à quoi vous tenez, vous tient et vous lie. La Liberté est sans rien, la Vérité est sans possession, la Vérité est la Liberté, qui ne peut plus dépendre d’une circonstance extérieure, ni d’une circonstance intérieure. Tu t’es donc offerte la Liberté, je te rappelle que c’est toi qui as écrit ce scénario. Ainsi est l’action du don de la Grâce. Ainsi est le Réel, même au sein de ce personnage, dès l’instant où tu vois que tu n’as pas le choix, dès que tu vois que l’ensemble des obligations tiennent de moins en moins devant l’évidence du Réel.

C’est justement pour cela qu’aujourd’hui j’ai insisté sur cela. Il a toujours été dit que vous deviez faire face à vos responsabilités, à ce que vous avez créé, mais en ce moment précis de la résolution du rêve, plus vous lâchez, plus vous recevez. Plus vous acceptez que vous n’avez pas le choix, plus vous êtes libres, plus vous laissez les choses s’écouler, et quand vous voyez que la vie s’écoule, cela se nomme la Sagesse, et cela ouvre grand les vannes de l’Agapè. Et aussi de la fusion.

Je te remercie de ce témoignage et ceci est une invitation pour chacun de vous à laisser être ce qui est, à ne pas tenir outre mesure à ce qui vous est ôté, car ce qui semble vous être ôté, à quelque niveau que ce soit, n’est que la restitution de votre Liberté. Si vous ne le voyez pas, vous le vivrez et ceci mettra fin à toute résistance au flux de la vie, au flux du Réel et au flux de la fusion.

C’est en ce sens que mes paroles ont été très fortes dans la première partie, afin d’attirer votre attention et votre conscience sur cette lucidité qui apparaît quand vous pensez être dans la confusion, dans le chaos de cette société, et dans le chaos de ce qui vous semble imposé par l’autorité. C’est la consumation de l’autorité extérieure, et non pas l’instauration d’une quelconque privation de quoi que ce soit. C’est en ce sens qu’il vous faut rendre grâce à ceux que le Commandeur a appelé les méchants garçons qui, bien malgré eux, vous restituent à vous-même, à ce que j’ai nommé aujourd’hui – et ce n’est pas un hasard, le Souverain Intégral.

Vous comprendrez mes paroles, vous en serez pénétrés au-delà de tout intellect, comme de toute mise en doute. Cela est une certitude, quoi que vous puissiez en penser encore en ce jour. Le déroulement des journées suivantes, ici-même en ce lieu, en ce mois que vous nommez le mois d’Août, vous apportera pour beaucoup la preuve absolue de mon discours.

Je vous remercie de votre écoute, je vous remercie de vous être laissés traverser par ma voix. Grâce et bénédictions à chacun de nous dans la fusion avec le Réel.

Je vous dis à un jour prochain, peut-être, mais en tout cas, à toujours dans le Cœur de votre Cœur, et en le temps Zéro de notre Présence et de notre Absence.

Bidi vous salue.

Tous : Merci Bidi.

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