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Les infos sur Agapè On Line privé
7 novembre 2022
Je vais donner des infos concernant ce que j’avais annoncé au mois de septembre, concernant le mécanisme des rendez-vous ‘’Agapè on line’’ privés.
Nous attendons encore une minute.
Voilà, c’est bientôt l’heure.
Bonjour à tous.
Il est 18 heures.
Bien. Alors suite à ce qui avait été vécu par un nombre limité de personnes durant le mois d’août, lors des rencontres à Tarifa et Malaga, nous avions organisé une session « Agapè on line » privée pour un nombre restreint de personnes afin de faire « comme si » ils assistaient au stage. Donc c’est un événement qui a eu lieu avec une quarantaine de personnes, et vous allez comprendre l’intérêt d’être quarante dans quelques instants.
Vu les résultats du vécu et de la permanence du vécu des participants suite à cet événement, j’ai décidé de reproduire, début septembre, à partir d’octobre, de temps à autres ces cessions « Agapè on line » privées, en groupes restreints.
Bien évidemment il me paraissait difficile de faire trois jours d’affilée, d’autant plus que je me doutais bien qu’il y aurait plusieurs personnes qui seraient intéressées pour y participer. Et comme je l’ai dit, ce groupe est restreint pour les raisons que vous allez comprendre.
J’ai fait simplement une petite annonce sur Facebook, et j’ai commencé à recevoir des demandes d’informations. Tout allait très bien au début mais vous allez comprendre très vite ensuite pourquoi ça m’a posé, non pas des problèmes, mais une réflexion quant à l’organisation, si on peut dire, de ces sessions ‘’Agapè on line’’ privées
Première chose tout d’abord. Le fait de s’être retrouvé, non pas avec des stagiaires en présentiel, mais avec 30 à 40 personnes connectées sur Zoom. Donc on avait le retour audio et vidéo et la participation audio et vidéo, c’est important à comprendre.
Donc je me suis dit, vu ce qui s’est produit, et vu la persistance des effets de cette résonance de groupe en groupe limité, ce serait bien de refaire la même chose, avec une durée certes un peu moins longue – puisque durant ces trois jours, il y avait eu aussi bien mes interventions en satsang, des interventions des participants, mais aussi Bidi et OMA qui étaient intervenus -, avec toujours le même objectif, c’est de rapprocher les gens de l’Instant présent et du vécu de l’Ici et Maintenant et, si possible, de se rencontrer eux-mêmes au sein du grand Silence et de vérifier donc, par ce qui était vécu, la réalité de l’État Naturel et la réalité de la Grâce et de l’Acceptation de l’Instant Présent.
Donc c’était bien plus que des informations ou que des canalisations. Ça n’était pas dirigé vers des milliers de personnes comme c’est le cas en canalisation, mais vers un groupe restreint avec qui il y avait une possibilité d’échanger un petit peu comme si on était en présence les uns des autres, mais avec un avantage indéniable qui s’est profilé très, très vite; c’est que ces résonances ‘’Agapè on line’’ ont permis une plus grande facilité de mise en résonance du Silence.
C’est-à-dire que beaucoup, beaucoup de participants, si ce n’est pas la majorité, ont été capables de s’installer, de par leur participation, dans leur intimité, c’est-à-dire non plus en groupe – même en étant en connexion avec tous les autres participants -, puisque chacun pouvait s’exprimer au moment où il le souhaitait.
Il y avait une forme d’intimité comme je l’ai dit, mais aussi de réceptivité particulière et d’acceptation, c’est-à-dire que, quand on est chez soi, même si on est avec son compagnon ou sa compagne, on a une plus grande facilité de réceptivité parce qu’on n’est pas troublé ni gêné par l’énergie de l’autre, l’énergie de la personne, l’énergie de la mémoire des histoires que nous portons, ou même notre simple objectif que nous avons au sein d’un stage-même, de rencontre par exemple avec les cétacés.
Il y avait donc une disponibilité et surtout une résonance beaucoup plus facile à établir.
Que s’est-il passé ensuite ? Donc j’ai décidé de reproduire ces événements en petits groupes en me disant même s’il y a quelques centaines de personnes, 200 personnes, on pourrait faire quatre, cinq événements. Jusque là, rien de bien compliqué. Et vous allez comprendre que très vite j’ai été submergé, littéralement, c’est-à-dire qu’au lieu d’avoir, comme je le pensais naïvement, une centaine de personnes, voire deux cents ou cent cinquante personnes, participant à trois, quatre événements successifs dans le temps, je me suis retrouvé littéralement avec plusieurs centaines de personnes en attente d’un événement en octobre.
Parallèlement à cela, au mois de septembre et octobre, ce dont parlait Omraam Mikael Aïvanhov, c’est-à-dire cette espèce de grand Silence où l’état d’Être prédomine sur l’état de faire, s’est installé de manière de plus en plus intense, pas seulement pour moi bien sûr mais pour d’innombrables. C’était des périodes, non pas d’introspection, mais de silence, d’accueil, et en même temps de transparence finalement à ce qui pouvait se dérouler dans la vie du personnage, comme si l’observateur dont on a tant parlé était magnifié.
Donc vous comprendrez bien que m’étant retrouvé avec plus de mille demandes, j’ai commencé à calculer en temps, et vous vous doutez bien qu’avec 40 personnes, même en montant à 50 ce qui me paraît beaucoup, mais en restant à 40 personnes par rencontre, vu le nombre de personnes, il allait falloir programmer entre 20 et 30 rencontres. C’est là où ça s’est trouvé confronté à un principe de réalité, en tout cas pour moi, qui n’est pas un problème ni de fainéantise, ni d’incapacité, mais bien plus littéralement de submersion par rapport à cette idée que j’avais lancée.
Et donc je me suis accordé plus de temps pour voir comment on pouvait réaliser cela, d’autant plus que j’ai eu des demandes, vous vous doutez bien, aussi bien du Brésil que d’Espagne bien sûr, mais de différents pays francophones, voire aussi anglophones, ce qui était tout à fait impossible à réaliser pour moi seul dans mon coin.
Voilà. Donc il a fallu réorienter un peu les choses. Au sein de cette réflexion, bien évidemment ces sessions ‘’Agapè on line’’ auront lieu. Maintenant, je ne peux pas donner de date ni d’échéance, et j’ai décidé de les regrouper par influence géographique; c’est-à-dire que, par exemple pour la France, cela sera réalisé quand ce sera le moment et quand je le déciderai.
‘’Agapè on line’’ privée payante, mais avec des sommes beaucoup moins importantes que ce que ce ne le fut cet été, mais payante, non pas selon un tarif établi parce que je ne me vois pas organiser une demande de paiement, même via Paypal, mais simplement selon votre désir de participation.
Alors c’est seulement à ce moment-là qu’il sera possible de me renvoyer un mail, parce que là je dois avouer que depuis de nombreuses semaines, je ne peux plus répondre parce qu’il y a trop de monde qui me demande à participer à ces événements.
Donc la manière de procéder va être littéralement différente et profondément différente, c’est-à-dire qu’il n’y aura pas de paiement au sens où on l’entend, mais un libre don de participation pour quelques personnes à chaque fois, et qui seront regroupées si vous le voulez bien. Par exemple, je commencerai le tout premier qui aura lieu pour les Québécois, ça me semble logique, et donc il n’y aura que les Québécois. Le deuxième aura lieu par exemple qu’avec des Espagnols, le troisième qu’avec des Brésiliens, le quatrième avec des Français.
Ces ‘’Agapè on line’’ privées ne dureront pas plus d’une après-midi, c’est-à-dire l’espace de cinq à six heures, afin de vous immerger totalement dans ce qui est présent ici et maintenant et dans rien d’autre, c’est-à-dire que c’est le moment où nous poserons tous nos fardeaux pour essayer réellement de nous retrouver en totalité.
Et c’est quelque chose, comme je vous l’ai laissé entendre, qui est extrêmement facile à réaliser, parce que la disponibilité de ceux qui écoutent, de ceux qui entendent, de ceux qui échangent, est beaucoup plus facile, est beaucoup plus aisée quand il n’y a pas d’aspect présentiel, c’est-à-dire quand il y a cette intimité que nous générons spontanément quand nous sommes chez nous, chez nous dans notre intimité, dans notre fauteuil, dans notre atmosphère si je peux dire.
Et paradoxalement ce n’est pas un isolement, mais c’est quelque chose qui va permettre de retrouver son intimité, de retrouver ce que l’on est réellement, et ce avec un minimum d’efforts en fait, avec un relâchement, et simplement par le principe de l’Acceptation et de la Grâce.
Alors, ça aura lieu un peu plus tard parce que, comme je vous l’ai dit, il y a eu cet aspect de masse qui m’a un peu handicapé quelque part et parce que cela nécessitait d’organiser la Lumière. Or pour moi, il est très important de rester dans cette simplicité même au niveau organisationnel, c’est-à-dire que les choses doivent se passer de manière fluide et évidente pour tout le monde.
Donc j’ai sélectionné cette idée, c’est-à-dire de décider que ça aura lieu à telles dates, pour telles personnes, mais je communiquerai les dates au fur et à mesure. Ce n’est plus la peine de m’envoyer de mails, je ferai les annonces uniquement sur Facebook parce que, pour l’instant, c’est le lieu où tout le monde regarde. Donc, ça sera pour moi beaucoup facile, ça me simplifiera la tâche.
À partir du moment où je déciderai qu’il y aura une ‘’Agapè on line’’ pour les gens de tel coin de France ou de tel pays, à ce moment-là, vous pourrez m’envoyer un mail pour vous inscrire. Bien évidemment, je ne pourrai pas en prendre plus de quarante, si on veut vraiment avoir quelque chose qui soit non seulement efficace et bénéfique pour tout le monde. Et aussi avec ce que je viens de dire, c’est-à-dire qu’il n’y aura pas de paiement imposé, infligé ou déterminé par moi, mais simplement un don libre en conscience, qui me semble le plus approprié à faire les choses de la manière la plus fine possible.
Voilà ce que j’avais à dire, c’est très court, c’était juste une annonce par rapport à ces informations. J’ai eu par ailleurs l’occasion de discuter avec de nombreux formateurs durant la période de confinement, donc qui travaillaient aussi en vidéo sur Zoom ou sur d’autres serveurs, peu importe, mais on s’est aperçu qu’il y avait une disponibilité extrêmement importante de ceux qui étaient par exemple en formation, là il ne s’agit pas de formation, ou en tout cas pour des élèves dans l’enseignement, mais là, on touche à un domaine qui est vraiment lié à l’intimité et à la profondeur de la personne.
Et c’est le moment où quand on est comme ça à distance, mais où on peut s’entendre et où on peut se voir, mais chacun chez soi, où on arrive le plus facilement à, on peut appeler ça, puisqu’il faut bien donner des mots, créer un champ de cohérence subtile qui se propage tout naturellement en chacun pour vivre cet État Naturel. Donc c’est vraiment une forme de facilitation.
Et j’espère avoir l’occasion bientôt quand la période de Silence et quand l’aspect organisationnel deviendra parfaitement lucide en moi, de vous permettre de vous inscrire si vous le souhaitez bien sûr, à cette Agapè on line.
Je précise d’ailleurs, durant cette intervention, que pour les différents secteurs géographiques, comme vous le savez, nous avons ce que nous appelons des ‘’petites mains’’, les transcripteurs qui seront présents dans de nombreux pays. Ceux-ci seront cordialement invités, comme vous le savez, il ne peut pas y avoir de retranscriptions puisque c’est quelque chose d’intime, mais ils pourront avoir le loisir peut-être de retranscrire quelques petits passages qui éclaireront un peu plus ce qui se produit durant ces événements qui auront lieu, je l’espère, avant la fin de l’année.
Vous serez prévenus de toute façon sur Facebook, ce n’est pas la peine de m’envoyer de mails parce que j’en ai tellement que là c’est mathématiquement impossible, sauf à avoir une organisation et un secrétariat permanents, ce qui est loin d’être le cas et ce que je ne veux absolument pas.
Voilà. Je vous remercie pour votre attention. Je vais publier bien évidemment ce message et nous nous retrouverons dans un peu plus d’une heure et demie pour accueillir Omraam Michaël Aïvanhov, donc à vingt heures.
Voilà les infos sur ces ‘’Agapè on line’’ privées qui auraient dû avoir lieu en octobre. Je vous rassure, pour l’instant il n’y en a eu aucune, en fonction de ce que je viens de dire et je laisse encore maturer un peu les choses, mais ça tend vers cette organisation géographique pour diverses raisons, pas uniquement de langues, mais aussi parce que souvent les gens, après, je l’ai vu pour les amis Québécois cet été, les gens avaient la volonté de se retrouver peut-être plus physiquement, ou de continuer à échanger à l’intérieur de leur région de manière plus personnelle.
Voilà. Je vous remercie et je vous dis à dans un peu plus d’une heure et demie pour Omraam. À tout à l’heure.
Tous nos remerciements à l’équipe de transcription.
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