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ABBA 9
31 OCTOBRE 2018
Bien-aimé cœur de l’Unique,
En résonance Abba au cœur du cœur installe son verbe et le silence, afin que chacun d’entre vous résonne en l’unité de l’Amour et en l’unité de la Vérité, en cet espace comme en tout espace.
Nous allons donc poursuivre simplement nos échanges, au travers de vos mots et des miens, au travers de vos témoignages, de vos questions, de ce que vous avez envie de dire, d’affirmer, de demander, de questionner.
Alors bien-aimé, nous pouvons commencer.
Question : Aujourd’hui, où pourrait-on encore porter nos mains, les poser utilement sur les portes type AL, Unité, foie, rate etc… Merci.
Bien-aimé, la période actuelle correspond, comme je l’ai dit, à l’allumage et à la mise à feu de la Merkabah interdimensionnelle personnelle. L’activation du lemniscate sacré permet de ramener et de rapporter l’ensemble des fragments de la conscience au cœur du cœur. Ceci se déroule bien évidemment au milieu de la poitrine.
Les points les plus importants sur lesquels vous pouvez placer vos mains est d’ailleurs ce qui a été donné, au niveau d’une forme particulière d’ostéopathie qui impulse le rythme à trois temps ou à quatre temps au niveau de la structure cellulaire, osseuse et au niveau du liquide céphalo-rachidien. Ceci a déjà été expliqué. Vous pouvez fort utilement utiliser vos mains en les plaçant comme cela fut donné voilà de très nombreuses années par un Ami, concernant à placer successivement vos mains à plat au niveau des paumes, tout d’abord sur les plis de l’aine, les portes nommées Précision et Profondeur. Ensuite, vous pouvez remonter vos mains au niveau des portes Attraction, Vision. Et enfin, dans un troisième et dernier temps, au niveau des portes AL et Unité ou si vous préférez les plis de l’aine, l’espace situé sous les seins gauche et droit, et enfin l’espace situé au-dessus des seins droit et gauche.
Tout en posant les mains sans intention et sans rien demander, c’est vos mains qui permettront au flux vibral et de la conscience de se diriger au cœur du cœur.
Vous pouvez donc non pas ouvrir le cœur, mais donner l’information idéale du temps zéro, permettant à celui qui reçoit cela de s’approcher au plus proche de la Vérité et de s’ouvrir lui-même à la Vérité ineffable de la Béatitude.
Je précise d’ailleurs que le mois de novembre commençant, vous êtes invités chacun non pas à la vigilance, non pas au recueillement mais bien, de manière importante, à laisser se dérouler tout ce que la vie vous propose de dérouler sur l’écran de votre conscience, en quelque circonstance, comme en quelque événement, comme en quelque révélation, en quelque souffrance ou en quelque joie, de ne rien arrêter, de traverser, de se mettre en position d’accueil afin que le Je éternel prenne tout l’espace.
Vous êtes innombrables à pouvoir dorénavant vous observer vous-mêmes.
Ainsi donc cette observation de vous-mêmes ne se fait plus depuis le point de vue de la personne, mais comme je l’ai déjà dit au niveau de l’observateur ou du témoin qui est aujourd’hui devenu le Je éternel. Car en effet, pour nombre d’entre vous le fait de voir que cela soit le paradis blanc, que cela soit vos structures vibrales ou énergétiques, est bien réellement vu.
Et la question qui se pose alors, c’est de se demander, si vous n’êtes pas dans votre corps ni dans aucun corps, qui voit ?
Celui qui voit est celui qui est au-delà de la forme, le Je éternel, se manifestant au travers de l’intelligence de la Lumière, de l’ensemble de la création, vous donnant à réaliser que ce que nous vous disons depuis d’innombrables années concernant la totalité de la création présente en votre espace intérieur sacré du cœur se révèle aujourd’hui à vous.
C’est ainsi que s’approche de manière évidente, pour un nombre toujours plus grand de sœurs et de frères, le moment de la Vérité ultime.
Vous êtes innombrables aussi indépendamment de toute perception et de toute vibration, à ressentir une forme de changement abrupt, présent au niveau de l’inconscient collectif de la Terre. Ceci est en accord total avec le déploiement des quatre cavaliers, comme cela fut nommé, qui tournent aujourd’hui à plein régime en d’innombrables endroits de la Terre et comme cela vous avait été expliqué par d’innombrables intervenants.
Si vous avez l’opportunité, car c’en est une, de vous trouver en un endroit où se trouve un dérèglement élémentaire important, qu’il s’agisse du vent, qu’il s’agisse de l’eau, de la terre ou des volcans, vous constaterez avec évidence comme l’ont déjà signalé nombre de sœurs et de frères, qu’à ce moment-là, au lieu d’être atteints par les éléments en furie, vous ne pouvez qu’éprouver une Joie indicible.
Ceci est une constante qui avait été annoncée aussi bien, et de différentes façons, par les Anciens, par les Étoiles que les Archanges. Ce moment est bien évidemment arrivé, c’est ce que vous vivez. Il signe de manière inéluctable l’approche de l’éther primordial, c’est-à-dire de Marie en sa révélation du paradis blanc, et de manière la plus simultanée possible, l’arrêt de rotation de la Terre, quels que soient les signes célestes et quels que soient les événements préalables.
Le fait que la résurrection ait eu lieu depuis le début de cette année, a ouvert bien-sûr d’innombrables portes, permettant à chacun au-delà de la vibration, de ressentir en conscience sans se poser de questions, l’imminence d’un changement majeur.
Ce changement comme vous le savez, nous l’avons dit, est en cours. Il va se poursuivre et s’intensifier chaque jour, cela aussi vous le savez. L’actualisation de l’événement a toutes chances de se produire durant le mois de novembre. Il se produit d’ores et déjà à l’intérieur de vous et il ne peut y avoir à un moment donné qu’une forme de simultanéité entre l’événement intérieur et l’événement extérieur.
J’avais parlé en début de semaine d’un nombre suffisant permettant de faire basculer l’ensemble du système et impliquant l’apparition du signe céleste, l’arrêt de rotation de la Terre et bien évidemment les 3 jours de stase. Ceci se produira dans un ordre qui comme vous le savez ne peut être connu. Je ne vous demande pas de rechercher ou de trouver quelque date que ce soit parce que quels que soient les signes et les prémices qui se produiront, l’événement se produira à l’emporte-pièce, afin que tout le monde, sans exception, ouvert comme non ouvert, vive l’élément de surprise tel qu’il avait été énoncé par Sri Aurobindo, voilà de très nombreuses années.
Comme toujours durant cette période, et cela sera répété à chaque minute, la seule façon de traverser les zones de résistance de la planète, mais aussi les ultimes habitudes qui sont en vous, est de surtout ne pas s’opposer, d’accueillir, toujours et de laisser traverser cela.
Vous allez constater comme ce fut le cas ce matin qu’il existe des moments, où une énergie lourde apparaît, le plus souvent sur le plexus solaire ou au niveau de la gorge. N’oubliez pas que cela ne vous appartient pas, ne correspond pas à quelque chose qui est en vous, mais qui est inscrit au niveau collectif. C’est justement les prémices du choc de l’humanité. Face à cela, que cela se soit produit ce matin, ou se reproduise, bien évidemment, dorénavant de manière de plus en plus fréquente, n’oubliez pas que la Joie est là et qu’il vous suffit, en l’occurrence, quels que soient l’intensité ou le côté désagréable de ce qui est ressenti, de simplement laisser traverser, d’accueillir et de constater immédiatement la réapparition de la Joie et la disparition de cette lourdeur.
Cela est valable aussi bien pour vos humeurs, pour ce qui pourrait rester de fluctuations de votre humeur, de votre mental, de vos émotions, et pour les derniers éléments éclairants se produisant dans votre vie. Vous le constaterez d’ailleurs, quelle que soit la violence de la réaction, celle-ci s’éteindra très vite pour relaisser la place à la Joie et à la Paix.
Cette gymnastique que j’ai déjà évoquée, vous permettra à chacun de vous, quel que soit votre emplacement actuel, de découvrir de manière plus intense, et plus véritable, et plus permanente, ce fameux Je éternel, en la traduction de la Joie, en la traduction de l’extase voire de la Béatitude, pour un nombre de plus en plus important parmi vous.
Il vous est demandé de ne pas chercher à comprendre. Tout ce qu’il se produit en vous, même dans ses aspects les plus délétères, n’a que pour résultante la révélation totale et intégrale de qui vous êtes en la Lumière et qui vous êtes antérieurement à la Lumière.
C’est ainsi que le mot que j’avais employé le mois précédent trouve toute sa signification au travers de la superposition de l’éphémère et de l’éternel, permettant à l’éternel de prendre le pas sur tout éphémère, par l’augmentation de la Joie, de la Paix, quelles que soient les problématiques existant en quelque domaine de votre vie où de votre corps.
L’aspect résolutoire est obtenu par cette Joie et cette Paix, et jamais par une moindre volonté que vous pourriez exercer, par une moindre connaissance, qu’elle soit énergétique, spirituelle ou autre, car en effet plus que jamais et durant ce mois de novembre, seul accueillir, seul le Je éternel, seul le silence… non pas des mots bien évidemment, puisque les témoignages sont encore plus importants que ce qu’ils ont été jusqu’à présent. Car chacun d’entre vous qui exprime ce qu’il vit, résonne à son tour sur l’ensemble de la création, au niveau du temps zéro. Et c’est ainsi que l’évènement se crée, et c’est ainsi que l’évènement se vit au sein de l’éphémère.
Ainsi donc la Joie, quels que soient les évènements vécus par la personne, par la société, par les pays, ne laissera aucun doute pour ceux qui acceptent et acquiescent pour vivre cette Joie avec une intensité inégalée.
Elle ne vient pas de vous, elle ne vient pas d’une demande, elle vient réellement et concrètement de l’activité élémentaire dans l’endroit où vous vivez, où vous vous trouvez quand cela se produit.
Quelles que soient les pertes pouvant exister au niveau vies humaines, au niveau des dégâts aux infrastructures, comprenez bien que c’est justement cela qui vous permet d’être libres, en dépit de ce que vous voulez, en dépit de ce que vous croyez, afin que la Vérité et l’Amour vous soient accessibles avec facilité.
Silence
Bien-aimé, poursuivons.
Question : Comment puis-je faire pour travailler ma présence dans l’instant ? Comment…
Bien-aimé, il suffit de comprendre qu’il n’y a rien à faire que vivre l’instant présent. Je te laisse terminer le bout de phrase qu’il reste.
Voix : Oui, il y a un autre petit bout qui va ensemble, qui va avec : comment puis-je savoir que ma conscience est réellement tournée vers le cœur?
Dès l’instant où tu laisses tout faire, dès l’instant où tu renonces à exercer une quelconque volonté par rapport à cela, que tu acceptes de rester tranquille, de déposer les armes des techniques, de déposer les armes de la spiritualité, et simplement d’être là, présent, et de laisser être ce qui est. Par toi-même, depuis la personne, tout ce que tu pourrais entreprendre est voué à l’échec et t’éloignera encore plus, durant ce mois de novembre, de la réalité nue, de cet Amour nu.
Il n’y a rien à faire, nous vous l’avons répété suffisamment longtemps. Vous allez être confrontés à cela dès maintenant. À vous de voir et de vous ajuster en fonction du jeu de la conscience et de la a-conscience, afin de laisser s’établir en vous la Joie du cœur, la Joie infinie et la Béatitude.
Tant que tu n’y es pas, dorénavant, puisque les lignes temporelles rejoignent toutes le temps zéro sans aucune exception, il convient simplement de se laisser porter par l’Amour et la Joie, de se laisser porter par l’Inconnu. Il n’y a pas d’autre choix, il n’y a pas d’autre possibilité, je l’ai dit et répété, c’est inexorable, inéluctable, c’est une fatalité totale.
Reconnaître cela met fin à la résistance, met fin à la projection de la conscience, et installe la conscience dans le silence, quels que soient ses fragments de conscience, au cœur du cœur.
Pour ceux d’entre vous qui perçoivent les énergies et les vibrations, cela est beaucoup plus facile, effectivement, en cette période qui s’ouvre. Car sentant ce qui arrive, vous pouvez tout à fait à ce moment-là, lâcher la tension, et rester en cette fainéantise particulière, en cette humilité de celui qui n’a aucune connaissance, et qui doit rentrer en l’ignorance de ses connaissances terrestres, qu’elles soient symboliques, énergétiques ou spirituelles, pour se retrouver en la nudité de qui vous êtes antérieurement au jeu de la conscience.
Si vous acceptez cela et le mettez en pratique, vous le vivrez de manière instantanée et fulgurante, vous permettant de vous habituer, durant ce mois-ci, à ce qu’il se produit sur les deux interfaces de la conscience, vous permettant alors de vous ajuster à ce qui est léger, à ce qui est évident, à ce qui est Amour, et non plus ce qui dépend d’une quelconque personne, ni d’un quelconque monde.
Il n’y a pas meilleure façon de réaliser ce que vous êtes que d’arrêter de faire, surtout en ce moment. Je ne parle pas d’arrêter vos activités quelles qu’elles soient, ni vos obligations, mais surtout d’arrêter de vous interroger par rapport à ce genre de questions. Il n’y a rien à faire, il y a juste à être. Il n’y a pas de comment, il n’y a pas de technique, il n’y a aucune connaissance qui vaille.
Il n’y a que votre présence qui permet de conjuguer présence et absence, le paradis blanc et le paradis noir, l’être et le non-être, indépendamment de toute volonté, indépendamment de toute connaissance et surtout, indépendamment de tout désir, mais aussi de toute frustration.
Car je vous le répète, personne ne peut-être laissé, puisqu’il s’agit de mettre fin au mythe de la création. Chacun de vous, chacun de nous, de partout sur cette planète, est partie prenante de ce mythe.
Ceci permettra de rompre les derniers éléments de l’habitude collective concernant la prise de forme et l’évolution d’un monde ou de ce monde en particulier, vous amenant à vivre la réalité de ce qui passe qui est illusoire, et la réalité de ce qui demeure au-delà de tout monde, c’est-à-dire l’apothéose de votre Béatitude.
En vivant cela ou en vous en approchant, vous constaterez parfois, ce que certains commencent à vivre, un sentiment d’irréalité, c’est-à-dire à la fois d’être présents, pleinement présents ici, et en même temps, pleinement présents ailleurs.
Je l’ai dit, la merkabah interdimensionnelle se déploie, le lemniscate sacré s’est allumé, et cela crée une interaction entre votre champ subtil, concernant les auras subtiles de ce monde, et le champ unitaire ultime acausal de la physique, le temps zéro, la félicité la plus totale ne dépendant d’aucun prérequis, d’aucune circonstance, d’aucune évolution, d’aucune croyance.
Vous avez donc entre les mains toutes les clés, en sachant qu’il n’y a ni clé, ni porte et que tout est déjà là.
C’est en réalisant cela que vous laisserez les choses se vivre, sans intervention de votre personne. Vous allez constater que la personne est un obstacle à la Vérité. Vous allez constater que toutes les histoires sont un obstacle à la Vérité et que toute demande exprimée au sein de ce monde, comme au sein des mondes plus subtils ou invisibles, ne fait que vous mettre en distance par rapport à la Vérité. Et je le répète, cela va être immédiat et est déjà immédiat.
À vous de voir ce que vous nourrissez, à vous de voir où vous vous placez, et à vous surtout d’en sentir les effets sur votre humeur, de votre personne, en premier.
Si vous acceptez ce simple conseil que je ne fais que répéter de façon extensive, vous ne pourrez que constater la vérité de ce que je vous ai dit. Vous êtes d’ailleurs déjà fort nombreux à l’avoir vécu cette semaine, de partout sur la planète.
La Joie grandit au fur et à mesure que le chaos s’établit sur la Terre, cela aussi vous avait été spécifié et cela, vous le vérifiez aujourd’hui, en ce que vous vivez, où que vous soyez sur cette Terre, quel que soit l’état antérieur, quel que soit l’état de votre conscience, quel que soit l’état de votre corps ou de tout aspect lié à ce monde.
Silence
Bien-aimé, poursuivons.
Voix : C’est un témoignage avec une petite question. « Bien-aimé Abba, je suis Abba, nous sommes tous Abba. Alors pourquoi ne pouvons-nous pas recevoir directement dans notre cœur tous les messages et les réponses, au lieu d’attendre que notre frère Jean-Luc nous les transmette. »
Bien-aimé, ce que tu parles est pour toi. Je te signale qu’il existe aussi d’innombrables frères qui sans même entendre mes mots, sans les comprendre, perçoivent la signature vibrale et la signature de conscience et de la a-conscience, présents en leur cœur.
Effectivement, il n’y a pas besoin d’entendre mes mots, il suffit simplement de vous laisser porter dans les moments où l’un des Abba s’exprime. Cela n’est pas spécifique à Jean-luc Ayoun, et je vous précise d’ailleurs que n’importe qui parmi vous, au-delà des mots bien sûr, peut avoir la même action, sans rien faire, en étant lui-même, c’est-à-dire Abba. Je n’ai été que l’intermédiaire, je n’ai été que la tête de pont, je ne suis rien d’autre que cela, ne cherchez toujours pas à travers de moi quoi que ce soit en rapport avec l’histoire, même si j’ai parcouru l’histoire de ce monde depuis toujours. Vous n’êtes plus dans l’histoire, vous êtes dans la vérité.
Ainsi donc, comme cela a pu être vérifié par nombre d’entre vous lors des soins de résonance planétaire réalisés voila quelques jours, vous n’avez pas besoin de mes mots, vous n’avez pas besoin de ma présence, vous avez besoin de votre présence.
Je ne suis que celui qui aujourd’hui comme chacun des Abba s’exprimant par exemple sur le bain d’amour perpétuel, relaie jusqu’à vous.
Les témoignages d’ailleurs sont les vôtres et ce sont les témoignages que vous écoutez qui vous éveillent, ce n’est pas mes mots. C’est la résonance qui se crée entre chacun de vous, permettant de créer une résonance et une reliance de liberté, entre chaque frère et chaque sœur présents à la surface de cette planète sur l’ensemble de la noosphère, quoi que vous en disiez et quoi que vous en pensiez.
Il ne doit exister aucune forme de dépendance à moi-même, ni à vous-mêmes d’ailleurs. Simplement laissez le jeu de la vie, le jeu de la vérité, le jeu de la conscience et de la a-conscience, se réaliser.
Maintenez-vous dans l’observateur nommé maintenant le Je éternel et ne vous occupez de rien d’autre. Ou plutôt si, occupez-vous de ce que la Vie vous demande de faire en ces temps particuliers dans votre vie, en particulier au quotidien avec le plus d’Amour possible, afin de sortir des ultimes conditionnements et habitudes les plus routinières, les plus fastidieuses aussi, qui deviendront légèreté et bonheur. Et cela n’est possible que si auparavant vous avez effectivement compris et cessé de vouloir faire, de vouloir agir par rapport à cela et simplement d’accueillir.
L’emplacement de votre conscience n’est pas la même. L’action est projection, l’accueil est introjection et cessation de toute projection de conscience.
Ainsi est la Lumière, ainsi est l’intelligence de la Lumière, et ainsi est la Vérité. Et ainsi vous vivez le sacrifice, pour nombre d’entre vous, sans effort, sans douleur et sans aucune perte bien sûr. Car ce qui est perdu est uniquement ce qui passe, ce qui est né un jour et qui meurt un autre jour. Vous, vous n’êtes jamais nés, vous n’êtes jamais morts. Et c’est en traversant ce niveau de réalité enfermée nommée Maya, c’est justement au sein de l’illusion que vous mettez la Vérité, simplement par votre présence, non pas par une quelconque action ni réaction, mais simplement en étant là, ici et maintenant.
En étant ici et maintenant tout découle de là. Parce qu’en vous plaçant dans l’ici et maintenant de l’instant présent, il y a concordance entre l’instant présent et le temps zéro, le champ ultime acausal de la physique.
C’est ici que se réalise cette alchimie finale, c’est ici que vous retrouvez ce que vous êtes en Vérité, antérieurement à tout monde, à toute forme, comme à toute notion d’une soi-disant évolution.
Seul celui qui vit l’Amour en totalité comprend cela parce qu’il le vit.
Je demande à tous les autres qui ne vivent pas encore l’Amour, d’essayer autant que faire se peut, par rapport à la Lumière, de laisser être ce qui est, de cesser de jouer le jeu de l’énergie, de cesser le jeu des visions, le jeu de ce qui vous emmène et vous éloigne de la Vérité nue où je vous rappelle il n’y a aucun jeu et où il n’y a aucune vision, ni chakra, ni porte, ni étoile, ni corps d’éternité, ni monde, ni soleil, ni source, ni rien. Car vous êtes tout cela à la fois dès l’instant où vous n’êtes rien au sein de l’action au sein de ce monde, dès l’instant où vous accueillez, dès l’instant où le sacrifice permet la finalisation de votre résurrection par la Béatitude et par cette Apothéose.
Tout le reste n’est que du cinéma, tout le reste ne fait que passer, quelles que soient vos douleurs, quelles que soient vos souffrances, cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas s’en occuper, mais demandez à ce moment-là à celui qui se tient de manière plus aisée au sein de l’instant zéro et du temps zéro, demandez-lui de faire résonner votre cœur avec le sien et vous verrez à ce moment-là que le miracle sera permanent et quotidien. Je ne peux pas vous dire mieux, cela ne dépend pas de moi.
Ce que je fais au niveau des résonances de soin est tout à fait accessible à chacun de vous dès l’instant où vous ne compliquez pas les choses derrière un discours, derrière de l’énergie, derrière des histoires.
C’est la résonance nue là aussi, là où vous vous apercevez que définitivement il n’y a ni émetteur, ni récepteur, ni patient, ni sujet, mais qu’il y a que la résonance entre les deux, que vous devenez cette résonance, c’est-à-dire l’intelligence de la Lumière en action au niveau de ce monde qui ne dépend d’aucune action personnelle, d’aucune volonté personnelle. Et c’est ainsi que vous vivez non plus la Joie, mais la Béatitude et la félicité.
Ainsi donc vous vivrez votre véritable Apothéose, signant la fin de l’Apocalypse. Quelles que soient les circonstances qu’il reste à parcourir après l’événement, s’il en reste du temps, vous ne serez plus jamais affectés par les affres de ce monde, par les affres de votre corps, même si vous gardez votre corps à l’issue de l’évènement, quelle que soit la durée résiduelle.
Vous le savez, les 132 jours se sont passés dans des circonstances un peu différentes. C’est-à-dire que chacun d’entre vous a été le cercle de feu au milieu de sa poitrine, sans avoir eu besoin d’aller là où sont posées les copies conformes de l’archange Métatron ou Yerushalayim au niveau des cercles de feu. En effet, chacun de vous est devenu le cercle de feu, à travers de l’allumage de la couronne ascensionnelle et de la merkabah interdimensionnelle personnelle. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a plus d’utilité aux cercles de feu, mais celle-ci sera utilisée en toute fin.
L’ensemble des clés métatroniques vous ayant été délivrées depuis le 14 décembre 2017, celles-ci se sont métabolisées en vous, et je peux dire aujourd’hui qu’aucun de vous, même ceux qui n’y sont pas du tout, n’a besoin d’un quelconque apprentissage pour vivre la Vérité nue et se déplacer au dehors de tout monde, au cœur du cœur, là où l’être et le non-être se conjuguent avec évidence.
Cela est offert à chacun de vous, cela est un don, c’est une restitution, à condition que vous-mêmes vous donniez, donniez de vous-mêmes. Ce n’est pas donner de l’argent, ce n’est pas donner seulement un souhait ou un regard, c’est entrer en résonance. Vous n’avez pas besoin d’être l’un en face de l’autre, vous n’avez plus besoin de vous parler. La télépathie est active réellement et concrètement et vous êtes nombreux à vous en apercevoir. Par les mécanismes d’hyper synchronicité, vous pensez à quelqu’un, il vous appelle, et vous allez constater dans très peu de temps que les mots d’Abba résonnent en vous au-delà de la compréhension, en l’espace sacré de votre cœur, c’est-à-dire à la jonction de l’être et du non-être, et que ce n’est pas le sens de mes mots qui est important, mais l’espace entre mes mots et les silences entre mes mots, qui résonnent en vous à la Vérité absolue de qui vous êtes, avant d’être quiconque au sein d’un monde.
Là est le principe de résonance et de reliance, et c’est en ce sens que chacun d’entre vous a exactement la même capacité. Même si vous ne le croyez pas, même si vous ne l’avez jamais vécu, je vous rappelle encore une fois que la pensée est devenue la pensée christique, quoi que vous fassiez et quoi que vous disiez.
Tout ce qu’il se produit au niveau de nos frères et sœurs humains, je ne parle pas des portails organiques, mais de nos frères et sœurs humains qui ne vivent pas encore cela, eux aussi ont la même possibilité, car il n’y a pas de meilleure façon de débusquer si je peux dire le Je éternel de l’observateur, qui n’a pas besoin de la personne pour œuvrer. Ce n’est pas vous qui œuvrez, c’est la Lumière que vous êtes qui œuvre.
Et elle œuvre naturellement, spontanément, il n’y a pas besoin de compréhension de quoi que ce soit, ni de diagnostic de quoi que ce soit, ni d’aucune plainte. Parce que cette résonance est libre, elle ne dépend pas des circonstances de la personne, elle ne dépend pas de la volonté d’un émetteur ou d’un récepteur, mais elle est simplement la résolution de l’équation de l’un à l’autre et de l’autre à l’un, vous démontrant par le vécu qu’en définitive il n’y a ni l’un ni l’autre, mais qu’il reste juste l’Amour. À ce moment-là l’évènement est réalisé pour vous et se réalise aussi au niveau collectif. Et cela a démarré, et cela là aussi se fait sous la forme pandémique, la contamination est très rapide. Mais rappelez-vous que la contamination de la Lumière, la fatalité de la Lumière, n’a rien à voir avec une quelconque volonté, une quelconque compréhension ou une quelconque interprétation.
Dès l’instant où vous acceptez ce principe, vous le vivrez par votre expérience vous-mêmes. Vous n’avez effectivement pas besoin des mots d’Abba, même si ceux-ci sont encore pour l’instant la façon de résonner au plus proche de votre cœur et d’ouvrir vous-mêmes ce qui vous semblait être une porte jusqu’à présent et qui avait toujours été là, qui n’a jamais disparu.
Justement, c’est l’emplacement de votre conscience, ce qui avait été nommé par Bidi le point de vue, qui vous permet aujourd’hui plus que jamais, de manière de plus en plus simplifiée et évidente, de vivre ce Je éternel, de vivre la Joie, et de vivre le sacrifice.
…Silence…
Je précise d’ailleurs que la compréhension de quoi que ce soit au moment où l’activité élémentaire sera la plus forte, au moment des signes, au niveau de la rotation de la Terre, au niveau du ciel, au niveau des sons comme de l’appel de Marie, ne laisse aucune place pour la compréhension de quoi que ce soit, car dès que l’événement sera là chacun vivra sa propre apothéose, quel que soit son emplacement de départ. C’est ainsi que l’ensemble de l’humanité vivra la Béatitude qui met fin à la notion d’être une conscience, qui met fin à la notion d’être une forme ou de venir d’une dimension donnée.
Cela met fin à toute histoire, cela met fin à toute question et cela vous installe de manière pérenne et éternelle dans la Béatitude, quels que soient les éléments de ce monde et quels que soient les éléments de votre personne, comme de votre corps.
…Silence…
Vous le voyez, en ce moment même, avant de reposer une quelconque question ou un quelconque témoignage, voilà ce que donne le silence. Cela ne vient pas de moi, cela ne vient pas de vous, ça vient du silence entre chacun de nous, de la résonance, de la reliance, qui s’établit ainsi.
…Silence…
Et cela se produit maintenant. Et cela se produira à chaque instant quand vous lirez ou écouterez.
Encore une fois, Abba ne fait rien. Là aussi, c’est votre posture, votre point de vue, qui réalise cela en vous.
Abba ne fait rien, Abba n’émet rien, c’est vous, qui vous retrouvez en Abba, cet Abba qui est au milieu de votre poitrine et qui n’a rien à voir avec celui qui parle et qui pourtant est exactement le même.
…Silence…
Bien-aimé, continuons.
Voix : Ce frère ou cette sœur avait un petit témoignage simplement à dire en plus.
La même personne ?
Voix : La même personne. « Je vis ma vie éphémère avec simplicité dans la Paix et la Joie, je n’ai plus d’expériences extraordinaires, mais je continue à ressentir les vibrations dans tout le corps et le son de l’audition est de plus en plus fort. Merci pour le bain d’amour perpétuel, je reçois tout le monde dans mon cœur. »
Cela, ce que vous nommez bain d’amour perpétuel et l’absorption des essences, est en quelque sorte cet accueil permanent, parce que la Vie ne peut être qu’accueil, et vous êtes la Voie, la Vérité, et la Vie.
Ainsi donc tu exprimes la vérité. Il n’y a plus besoin, même si les vibrations sont présentes comme je le disais, d’expériences, de visions, d’accès à quelque connaissance que ce soit. Vous avez juste besoin d’être là, présents, d’être là en silence, quelles que soient vos activités, et de laisser être ce qui est.
Ceci n’est pas une utopie, si j’insiste avec insistance lourde sur cela c’est qu’il n’y a pas d’autre vérité. Tout le reste n’est qu’une déviation, tout le reste n’a rien à voir avec la Lumière.
La Lumière ne vous demande pas de comprendre l’organisation de vos mondes, cela a été expliqué voilà de nombreux temps, la lumière ne vous demande pas de connaître les chakras, elle ne vous demande pas de connaître les portes, les étoiles, les vibrations, elle ne vous demande pas de connaître la fin des temps, elle est là et c’est tout.
Elle ne vous demande rien si ce n’est d’être vous-mêmes, en définitive, au-delà de l’illusion de la personne, au-delà de quelque fonction ou rôle au sein de ce monde.
Tout élément spirituel que vous rajouterez là-dessus ne pourra que vous éloigner de la Béatitude et de l’Apothéose.
Il est plus que temps dorénavant de laisser toutes les armes de la compréhension, de l’explication et de vous fondre dans cette Vérité qui est là, parce que toutes les réponses y sont, et la réponse il n’y en a qu’une, c’est l’Amour.
Tout le reste ne sont que des réponses qui en définitive, peuvent vous aider pendant un temps, mais réellement et concrètement maintenant, ne peuvent que vous emmener dans la réflexion. Dans la compréhension, certes, mais pas dans le vécu.
Je l’ai dit et répété, c’est à vivre d’abord, vous le comprendrez après.
La Joie ne peut laisser aucun doute, la Paix non plus, et la Béatitude ne laisse plus rien si ce n’est cette Béatitude.
La stase, comme nous l’avions nommé depuis fort longtemps, deviendra de plus en plus cette Béatitude. Dès l’instant même, aux moments initiaux de l’évènement, où vous lâcherez toute prétention à sauver quoi que ce soit, toute prétention à expliquer quoi que ce soit, mais simplement en étant pleinement présents, vous serez à ce moment-là instantanément, même si aujourd’hui vous n’en vivez rien, la Voie, la Vérité et la Vie.
Plus vous vous approchez de cela, plus vous constaterez que votre humeur est linéaire, que tous les événements qui s’enchaînent dans votre vie ne vous dirigent que vers cela et vers rien d’autre, quoi que vous en pensiez.
Vous vous apportez donc la preuve à vous-mêmes de ce qui se vit, de ce qui est, et de ce qui n’a jamais bougé et qui a toujours été là.
Les jeux personnels, en quelque interaction ou relation que ce soit, ne pourront plus se jouer tels que vous les avez vécus jusqu’à présent.
Il ne peut plus y avoir de choses cachées, il ne peut plus y avoir de faux-fuyants, il ne peut plus y avoir de mensonges d’aucune sorte. Et je vous l’ai dit, même, il ne pourra plus y avoir la moindre erreur en ce qui est vécu, et même en ce qui n’est pas vécu.
…Silence…
Vous le revoyez encore en mon silence qui est aussi votre silence, je ne fais rien, strictement rien. Et pourtant pour ceux qui sont sensibles, vous sentez le déploiement de la merkabah interdimensionnelle, vous sentez la chaleur, les vibrations pour ceux qui les sentent, cette disparition pour ceux qui s’endorment, et ce retour, après, en la Joie, qui sera superposée comme un baume sur ce qui peut rester d’illusions de la personne, de souffrances, d’erreurs mentales, d’excès d’émotionnel ou de croyances spirituelles quelles qu’elles soient.
…Silence…
Bien-aimé, poursuivons.
Question : J’ai découvert les canalisations de Bidi et d’Abba il y a très peu de temps, deux ou trois mois, pas plus. Au début, j’ai été ébranlé par l’enseignement, mais petit à petit, d’écoute en écoute, je sens que ma vie se transforme et que je prends ce qui se vit en moi et autour de moi avec beaucoup plus de légèreté. J’aspire à vivre la Joie que beaucoup d’entre vous vivent, mais en attendant de la vivre, je me sens tellement plus en Paix avec ce qui est. Ma question est la suivante : doit-on renoncer à tout projet d’avenir, tel que l’achat d’une maison, mariage ou voyage, que penser du désir de vivre dans l’abondance, que penser des envies, des désirs, des rêves ? Merci pour votre réponse.
Bien-aimé, même si l’évènement était demain, aujourd’hui il te faut continuer à vivre, sans penser à demain. Simplement, comme tu le dis, cette Paix qui arrive et qui est nouvelle en toi, va déboucher inéluctablement sur cette Joie, cette légèreté et cet Amour.
Ne te sens pas bridé par ce qui arrive, ni par l’Amour, ni par la fin. Continue simplement à vivre ta vie, même tes projets, mais n’y sois pas attaché. Par contre, ne fais pas l’erreur de faire ce qu’ont fait d’innombrables frères en 2012, celle de croire qu’en 2012 il n’y aurait plus rien. Et d’ailleurs le commandeur l’avait dit, si vous pensez pouvoir échapper aux crédits, aux impôts, aux achats inconsidérés, vous vous trompez lourdement., non pas parce que cela va durer, mais parce que vous vous mettez vous-mêmes des poids. Mais les projets, quand ils sont faits dans la légèreté, ne doivent pas réfréner quelque intention que ce soit et quelque réalisation que ce soit.
Même s’il vous arrive de vivre cette Béatitude de façon de plus en plus extensive, la vie vous demandera quand même au sein de l’éphémère tant qu’elle est là, certaines actions, certaines réactions aussi, qui sont tout à fait justifiées.
Ne vous arrêtez pas de vivre, soyez au contraire chaque jour encore plus vivants. Et c’est ce que fait la Joie, c’est ce que fait la Paix et la Béatitude.
Celui qui envisagerait de tout arrêter, même s’il y avait une date, ce qui est impossible, se tromperait, lourdement.
Soyez vivants à chaque minute, soyez pleinement vivants, ne soyez pas attachés à quelque projet, mais ne les arrêtez pas.
C’est ainsi que vous êtes réellement vivants, en vivant l’instant, sans vous soucier de l’instant suivant, même si celui-ci, vous êtes de plus en plus nombreux à ressentir l’évènement qui arrive et qui est là.
Vous n’avez rien à anticiper, vous n’avez rien à arrêter, dans quelque domaine que ce soit, sauf si l’action de la Lumière en la Vérité que vous commencez à vivre, vous impose cela. Et quand cela est imposé par l’injonction de la Lumière, par ce que vous êtes en Vérité, cela ne laissera aucun doute. Même si vous ne le comprenez pas, juste derrière, vous en aurez la compréhension, dès l’instant où vous acquiescez, à quoi que ce soit.
Tant que vous n’êtes pas en stase, tant que la Béatitude ne prend pas tous les espaces de votre journée, il vous faut au contraire vivre avec intensité, avec plénitude et bonheur, parce que justement la Joie est là, ou la Paix, et c’est ainsi que vous vous rendez compte de l’efficience de cette Paix, de cette Joie dans le déroulement de votre vie.
Alors ne ratez pas cela, ne rejetez rien.
Effectivement, même si ce monde est Maya, est illusoire, vous n’avez ni à vous en extraire, ni à le fuir, ni à le condamner, mais bien â l’absorber, bien l’aimer, et le laisser vous traverser. Tout le reste est voué à l’échec. Et vous vous repositionnerez chacun aisément en cas de premier échec, et vous arriverez tout seul, effectivement, sans Abba, sans mes mots, et par Abba en vous, et par l’intelligence de la Lumière, qui n’a rien à voir avec votre personnage, avec votre histoire, ou un quelconque prérequis spirituel, bien au contraire.
Silence
Bien-aimé, continuons.
Voix : Je n’ai plus de questions là pour l’instant, écrites.
Alors nous allons écouter ce que nos frères et sœurs ici présents ont à dire.
Et si toutefois, puisque nous sommes en direct, si l’un d’entre vous qui voit des questions apparaître dans les commentaires du direct, il pourra effectivement, si elles sont courtes, les lire et les transmettre.
Mes nous vous écoutons déjà pour ceux qui sont présents physiquement ici.
N’hésitez pas, tant que nous pouvons encore parler (Rires), échanger.
Participante : Alors oui, je vais parler. (Rire) Je crois que c’est la première fois, d’une canalisation, ici, que je suis dans un état tout à fait particulier, comme si j’étais en stase quelque part, tout en écoutant Abba. C’est quelque chose de très étonnant parce que, à la fois j’entends tout à fait ce que tu dis et à la fois, mon corps n’est plus là, quelque part, c’est… voilà… C’était juste ce témoignage-là, de l’instant.
Je te remercie de ces mots, mais je suis sûr que si nous interrogeons ici autour de nous.
Levez la main ceux qui vivent cela depuis ce matin ou hier et vous allez voir que vous n’êtes pas seuls.
Voix : Beaucoup. Beaucoup.
Et vous êtes de la même façon, dans le même état, partout sur la planète. Renseignez-vous, ce n’est pas une illusion quand je vous dis que l’évènement est maintenant.
Vous vivez la Joie, au travers de quelque circonstance douloureuse de la personne. Vous vivez l’éternité, vous donnant à conjuguer, comme je l’ai dit, l’être et le non-être. En Cela, tu ne peux plus jamais avoir soif, en Cela il ne peut rien manquer, et en Cela est la stricte vérité.
L’impression cotonneuse au niveau de la tête, qui a été précédée pour nombre d’entre vous, même ne sentant pas les énergies, par des maux de tête, correspond à l’activation du triangle de feu, situé sur le front. Le triangle de Terre est lui très actif depuis fort longtemps, permettant de diriger les flux vibraux au niveau de Ki-Ris-Ti, c’est à dire la cinquième vertèbre dorsale, dans le dos.
Aujourd’hui, c’est le triangle de feu et l’ensemble des quatre triangles élémentaires, liés à vos quatre origines stellaires, qui se conjuguent dans le déploiement avec les quatre Hayot Ha Kodesh, ou les quatre éléments archétypiels entourant le point central de la tête ou, si vous préférez, pour ceux qui ne connaissent pas cette terminologie, le point le plus haut du crâne, ou si vous préférez le 20 VG ou Bai Hui (le point aux cent réunions), là où la fontaine de cristal a pénétré pour se retrouver au niveau du cœur.
Cet état que tu as décrit à la perfection au niveau des mots, vous êtes la quasi-totalité ici à le vivre, et pas seulement aussi ceux qui écoutent. Renseignez-vous autour de vous et vous verrez que ce processus est planétaire.
Chaque jour, il va se renforcer. Chaque jour, il va vous amener à cette Béatitude, dès l’instant où vous décidez de ne rien faire, éventuellement d’observer, sans agir, en tant que Je éternel ou même simple témoin ou observateur.
Dès que vous demeurez silencieux, immobile, intérieurement, au niveau des pensées, au niveau des émotions, vous ne pouvez que le vivre. Et c’est ce que tu décris.
Alors bien sûr, il peut exister d’autres descriptions. Si l’un ou l’une parmi vous veut l’exprimer à sa manière en ce qu’il vit, ce n’est pas pour nous ni pour vous, ici, mais pour ceux qui le vivent. Parce que cela peut donner des points de repère. Alors qui veut exprimer en quelques mots comme cela, son vécu par rapport à cela, parmi ceux qui ont levé la main ?
Quels que soient les mots, n’ayez pas peur d’être maladroits ou pas assez précis. Je vous rappelle que quels que soient les mots que vous employez, même s’ils sont faux, la vibration est celle du Verbe, et donc elle est réelle et elle est véritable.
Voix : Voilà, quelqu’un s’approche, une sœur s’approche…
Et d’ailleurs pour ceux qui écoutent, ici comme partout, vous allez voir que les mots de ce frère ou de cette sœur, même si ce n’est pas l’intonation d’Abba, c’est aussi la voix d’Abba. Parce que cela déclenche en vous la même chose que quand je parle ou je me tais.
Vas y nous t’écoutons.
Participante : Je suis là depuis ce matin… Bien sûr je suis toujours bien…
Là je crois que c’est mes oreilles qui n’entendent pas. Le micro entend très bien, mais pas moi.
Voix : Parle plus fort…
Participante : Ah pardon. J’ai la voix enrouée. Bon, je fais un effort. Depuis ce matin je me sens à la fois là, très présente et… comme… comme coupée en deux, quelque part. Besoin aussi d’être un peu plus seule par moments… pour… comme m’imprégner de tout ce que je ressens. J’ai même plus le désir de comprendre ce qui se passe, j’ai juste envie de le vivre et je me dis que c’est merveilleux, parce que ne plus se poser de questions, quelque part, c’est… c’est la Paix, quoi. Voilà. C’est tout.
Bien-aimée, au-delà des mots que tu emploies, si tu devais définir cela en un mot, parlerais-tu de Paix, d’irréalité, de souffrance, quel est le qualificatif qui conviendrait à cela ?
Participante : Paix et Joie.
Je te remercie. Es-tu quelqu’un qui perçoit les énergies et les vibrations ou pas ?
Participante : Oui.
Alors je souhaiterais maintenant, et je te remercie, que quelqu’un qui n’a… qui est nouveau, qui n’a jamais senti les énergies, les vibrations, ou de façon très annexe, vienne nous dire dans quel état il se sent.
Apparemment tout le monde ici perçoit les énergies ?
Voix : Oui. Oui, apparemment oui.
Bien, alors ceux qui sentent les énergies faiblement.
(Rires)
Ça n’existe plus… Bon.
(Rires)
Alors de manière générale je vous demande simplement, non pas pour moi, ni pour vous, mais, pour l’ensemble de nos sœurs et frères qui écouteront, simplement, de dire en un mot, rapidement, il n’est pas question de développer, puisque vous sentez tous les énergies, quel est le qualificatif qui correspondrait le plus à votre état de l’instant présent, si vous le voulez bien, chacun votre tour, très rapidement.
Voix : Alors moi je vais le dire. Même en faisant plein de choses, je suis là, dans toute chose. Donc c’est la présence pour moi.
Merci. Ensuite.
Participante : Toute ma poitrine est emplie de cette énergie… une énergie extrêmement forte. C’est comme si ça me déchirait. J’ai de la peine à écouter la canalisation, mais je suis très bien, très bien, je me sens très bien, ça me prend des pieds à la tête.
Parfait.
Je ne commenterai pas bien sûr, je vous laisse exprimer. Parce qu’en exprimant vous libérez, vous ne mettez rien en avant, et vous le constatez, pour tous ceux qui sont ici et ailleurs, dès que l’un d’entre vous s’exprime, la merkabah est joyeuse, elle se déploie de plus en plus.
Vous voyez, Abba, Jean-Luc Ayoun, tout cela n’est rien. Chacun de vous l’est, dorénavant, en totalité. C’est-à-dire antérieur à la création. Et c’est cette découverte-là qui vous met en ce que vous vivez maintenant. Vous voyez, cela se passe d’explications, de visions. Bien sûr, apparemment vous sentez tous les vibrations et les énergies, mais ce qui est important effectivement, même si nous pouvions retracer, comme je l’ai dit, tous les circuits vibraux qui existent en ce moment, vous constatez que le plus important c’est pas ça. C’est cet état dans lequel vous êtes.
Alors je vous prie de bien vouloir continuer ne serait ce qu’en un mot, d’éclairer nos frères et nos sœurs.
Hic et Nunc.
Merci.
La dissolution.
Comment ?
La dissolution.
Merci.
Le rien.
Merci.
Disparaître.
Tu peux répéter pour ceux qui sont loin, pas pour moi, mais pour le micro.
Oui. Disparaître.
Participant : Malgré les soucis personnels, la Joie les recouvre, et puis sentiment que, quand je regarde les frères et sœurs, je me dis, mais il n’y a personne, ou alors nous sommes tous un. C’est fugace, mais quand ça prend, ça fait un drôle d’effet. Merci.
Eh oui. Quand je vous dis que c’est maintenant… Ne cherchez pas le jour, soyez dans l’instant présent, Hic et Nunc, et vous vivrez exactement la même chose. Quand je vous disais voila des mois, que chacun d’entre vous était Abba, c’est la stricte vérité.
Il n’y a personne. Il n’y a jamais eu personne. Il y a juste la Béatitude.
La dissolution de l’éphémère, vous la vivez en direct dès cet instant.
Qui veut exprimer ne serait-ce qu’un mot, ou une phrase ou plus long ? Quelqu’un qui perçoit les énergies par exemple, qui les perçoit depuis longtemps, peut venir nous dire, en se penchant sur ces énergies qu’il faut oublier, ces vibrations, de nous dire ce qu’il ressent, aussi, indépendamment, au niveau vibratoire je prends, indépendamment aussi du qualificatif que j’ai demandé. qui veut l’exprimer?
Je me sens complètement ralentie et je sens que toute la place est occupée. Et j’observe.
Pour moi c’est bon, cela a été bon pour le micro ?
Voix : Oui elle avait le micro.
D’accord.
Eh bien moi, je ressens la Béatitude et la Joie.
Moi, tout au long de ces journées : sérénité, calme, Amour.
Un grand calme et une grande expansion au niveau du cœur du cœur.
Alors moi c’est tantôt le rien, tantôt le tout, et la Béatitude, et la Joie.
C’est tout ou rien.
Hein ?
C’est tout ou rien.
Beaucoup, beaucoup d’Amour, Amour avec un grand A. Enfin.
(Rires)
Silence
Voyez-vous, si je vous fais témoigner, c’est que l’action vibrale par le Verbe est efficace. Et pour ceux d’entre nos frères et sœurs qui écoutent et qui ne le vivent pas, cela ne peut être que, comme je l’ai dit, une contamination immédiate. Dès l’instant où vous lâchez.
Dès l’instant où la Joie vous recouvre, vous ne pouvez que lâcher, tout scénario, toute prétention spirituelle. Vous n’êtes qu’Amour et vous n’êtes rien d’autre. Tout le reste passe. Et c’est Cela. Il n’y a rien d’autre. Et Cela est tout.
Voyez donc bien, ici et maintenant, en ce que vous vivez, pour certains, qu’il n’y a pas besoin de mondes, qu’il n’y a pas besoin de justifications, qu’il n’y a pas besoin de faire disparaître toutes vos difficultés personnelles, qu’il n’y a pas besoin de s’opposer, qu’il n’y a pas besoin de comprendre.
Certains parmi vous n’ont jamais suivi toute l’histoire et toutes les histoires que nous avons échafaudées ensemble concernant les vibrations, les portes et les étoiles, parce que cette Joie est bien plus importante que tous les enseignements. Même si c’est elle qui vous y a conduit, à un moment donné, il vous faut tout lâcher. À un moment donné il vous faut réellement et concrètement éprouver la liberté et l’autonomie. Et dès cet instant, tout est accompli pour vous, surtout maintenant. Tout se fait automatiquement et vous allez le constater chaque jour et vous constaterez à chaque heure que plus vous résistez, plus vous aurez l’impression de perdre cette Béatitude ou cette Joie. Mais elle n’est jamais très loin parce que dès l’instant où vous vous réajustez dans le non-agir, en l’être et le non-être, alors à ce moment-là c’est de retour, cela ne peut jamais disparaître.
C’est ainsi que ce qui appartient à l’histoire, à la personne, à un monde quel qu’il soit s’éteint définitivement en vous. À ce moment-là, vous serez tous en stase, dans l’évènement.
Je dois préciser d’ailleurs qu’en ce mois de novembre il ne faut vous laisser abuser par aucune demande de prière collective.
Vous savez que les Guignols, comme vous les avez nommés, ceux qui n’ont pas encore vécu cette Joie ineffable de ce qu’ils sont, sont comme des bêtes blessées, vous le voyez d’ailleurs dans leur comportement devenant de plus en plus anarchique au niveau des gouvernements, des banques, du système sociétal.
C’est pour cela, ne vous inquiétez pas de ces frères et ces sœurs, ils vivront exactement la même chose que vous, même s’ils s’y opposent et je dirais qu’à un moment donné c’est, comme je l’ai expliqué déjà, c’est leur propre opposition à la Lumière et à la Vérité qu’ils sont, qui les consumera en intégralité dans le feu d’Amour.
Nous ne laissons personne parce que chaque personne, chacun est présent avec la même intensité dans tous les autres, sans aucune exception.
Cette résonance et cette reliance qui se déploient maintenant, débouchent inexorablement sur la Béatitude et sur l’Apothéose, c’est-à-dire la totalité de la révélation, la totalité de l’Amour nu et de la Béatitude.
Que peut-il rester comme demande, comme manque, comme souhait, comme besoin, comme désir, dès l’instant où vous êtes là. Et cela est accessible sans restriction et sans condition dès l’instant où vous lâchez ce que vous croyez supporter ou ce que vous croyez tenir. C’est une posture de votre conscience, bien plus que des actes au sein de votre monde. Tout découle de l’intérieur, toute action extérieure est vouée à l’échec, qu’elle fasse appel, dorénavant, à la spiritualité, à l’énergie, aux projections, afin que chacun s’immerge en l’instant présent, le seul endroit où est la Joie, le seul endroit où est la Vérité, là où se trouve ce que vous vivez maintenant. Et comme vous le constatez depuis 15 heures, avec de plus en plus de force et d’intensité, n’est-ce pas ?
Oui.
Oui, oui.
Cela n’est pas Abba qui le fait, ce n’est aucun de vous qui le fait, c’est la résonance de l’intelligence de la Lumière entre nous ici et l’ensemble des frères et des sœurs qui écoutent, mais aussi ceux qui dans un futur proche le liront ou l’écouteront, parce que nous sommes reliés au temps zéro et qu’il n’y a plus, ni passé ni avenir, et que l’information du temps zéro est accessible à n’importe quel moment et à n’importe qui.
Nous sommes ici ensemble, en ce lieu, comme ceux qui écoutent, simplement pour résonner à cela ainsi que je l’ai expliqué durant cette semaine parce que c’est nous effectivement, qui créons l’évènement. Et ne cherchez pas un nombre qui serait situé entre des milliers, des millions ou des centaines de millions. Le peu que vous êtes ici, comme le peu que vous êtes à écouter, suffit. Et vous en avez la preuve à l’instant, dans votre vécu.
Ce qu’il se produit là, en cet instant, est la démonstration parfaite et l’aboutissement de tout ce que vous avez peut-être suivi comme enseignement à l’époque, qui fut nommé Autres Dimensions, et c’est donc un achèvement. C’est bien une Apothéose, un feu d’artifice d’Amour qui vient brûler et consumer les dernières résistances inconscientes, les derniers doutes, les dernières interrogations.
Vous voyez, là est la simplicité, là est la Vérité.
Vous ne pouvez être dans la Vérité aujourd’hui dès l’instant où vous projetez quelque fonction, quelque rôle, quand vous pensez que c’est vous qui allez ouvrir quoi que ce soit, ou déclencher quoi que ce soit en l’autre.
Vous n’êtes que la résonance, le témoin, qui à travers même ses silences, ses mots, son regard suffit à déclencher la Vérité en l’autre. Mais vous n’avez pas agi pour cela, vous vous êtes vous d’abord placés en cette Paix, en cette Béatitude ou en cette Joie, et c’est la résonance qui agit. Tant que vous croyez agir par vous-mêmes, vous êtes encore leurrés.
Vous ne pouvez pas vivre l’Amour, quelle que soit la justesse de vos actions, quelle que soit la justesse de vos perceptions, parce que vous n’êtes pas libres, dès que vous pensez que c’est vous, par une action quelle qu’elle soit, qui réglez les événements.
C’est l’Amour qui règle les événements et pas un acte énergétique, pas un mot, pas Abba. Et plus vous vivez en nombre et en intensité cette qualité de Paix, plus il y a de l’Amour, plus il y a spontanéité et plus vous le sentez.
Est-ce que quelqu’un parmi vous ici, aurait peur de ce qu’il se produit en cet instant ?
Non.
Comment voulez vous avoir peur face à l’Amour. L’Amour met fin à toute peur, il ne s’agit pas d’un amour projeté au conditionné, cet Amour a été nommé Agapè par les Grecs, parce que c’est un amour qui ne dépend de rien. Il est spontané, et il est en chacun parce que c’est ce que vous êtes. Tout le reste passera et d’ailleurs a presque fini de passer.
L’ensemble de la Confédération intergalactique des mondes libres, comme vous le savez, est de plus en plus présente et visible et se démasque à vos yeux de partout de par le monde. Chaque jour, cette présence va se renforcer et n’y voyez pas des sauveurs, des sauveteurs ou des dracos comme le disait le commandeur, qui viendraient remplir leurs frigos, parce que c’est la fin du jeu.
C’est la fin, comme je l’ai dit avec cette expression un peu forte de mythe de la création.
La fin du mythe de la création, comme je vous l’ai expliqué, n’est pas à proprement parler une décréation.
Ce mot que j’ai employé voila plusieurs mois, a effectivement été destiné à vous choquer.
La création, elle est déjà achevée depuis fort longtemps, elle n’a jamais commencé, elle s’est produite dans le même temps en le cœur de chacun, indépendamment de tout espace et de toute dimension, avant même que le cœur n’existe. C’est cela que vous retrouvez.
Comment voudriez-vous ne pas vous reconnaître, comment voudriez-vous ne pas vous aimer, au-delà de toutes les imperfections et les souffrances, comment voudriez vous faire la moindre différence en quelque frère ou sœur que vous regardez.
Vous voyez, cela est maintenant, en totalité, cela se vit.
Et vous voyez bien que vous n’avez pas besoin de supposer quoi que ce soit, de rechercher quelque date ou de construire quelque scénario d’intervention où que ce soit.
L’Amour n’a besoin de rien, l’Amour n’a pas besoin de preuve, l’Amour est ce qui est dorénavant, pour un nombre toujours plus grand, à chaque heure, à chaque minute.
…Silence…
Constatez-vous la progression de cette dissolution et de cette Paix ?
Oui.
Elle ne s’arrêtera plus.
Est-ce que le fait de tousser, parce que nous sommes plusieurs à tousser, en tout cas ce que moi je ressens, c’est comme une compression au niveau de la gorge, est-ce que ça participe à cette libération ?
Tout à fait, cela a été dit, la gorge est le lieu de passage, c’est l’accouchement de qui vous êtes.
Tout se déroule dans le cœur, et par analogie nous pourrions dire que vous ressentez les contractions de la délivrance. Elles ne sont pas dans le ventre comme pour une femme qui accouche, parce que là c’est vous qui accouchez de vous-mêmes, et cet accouchement bien évidemment se fait au travers du corps causal qui est en train d’être brûlé. Ce que vous sentez au niveau de la gorge ne vous appartient plus en propre. Ne cherchez pas de mémoires, ne cherchez pas de blessures, contrairement à voilà encore quelques mois, mais là aussi, en ce que tu ressens au niveau de la gorge, accueille et laisse passer. Mais c’est effectivement un accouchement et c’est plutôt même je dirais une délivrance parce que vous êtes déjà nés, depuis le 14 décembre 2017, et bientôt vous serez tous renés de nouveau.
Donc oui, il est tout à fait logique de pouvoir ressentir cela. Cela ne durera pas dès l’instant où tu lâcheras la compréhension là aussi, et laisseras la Joie prendre toute la place. Et d’ailleurs tu ne peux que laisser la Joie prendre toute la place, rien en toi ne peut s’y opposer, personne ne peut être exclu de Cela, personne ne peut s’exclure lui-même de Cela.
Je l’ai dit et je le redis, personne ne pourra être laissé en arrière. Et je m’adresse cette fois-ci, à ceux qui semblent être dans les souffrances, de quelque nature que ce soit, je vous dis simplement, votre tour viendra. Non pas dans un cycle prochain, mais aujourd’hui, demain, dans les quelques jours qui viennent, dès l’instant où vous faites le silence de vos revendications, dès l’instant ou vous acquiescez même au fait de ne pas le vivre dans l’instant. Et c’est fini, Cela est là.
…Silence…
Comme tu le dis, ça fait des choses bizarres à la gorge. Je t’ai dit, c’est les dernières contractions de la délivrance. Mais la Joie étant là, au minimum la Paix, elle sera le baume qui sera appliqué et ce baume est de l’Amour.
Laissez passer tout ce qui passe, vous n’êtes rien de ce qui passe. Vous êtes ce qui se déroule en l’instant, mais pas ce qui passe.
…Silence…
Est-ce que quelqu’un à l’instant présent veut dire quelque chose sur son vécu, sur ce qu’il se déroule depuis 15 heures, ici comme partout ?
Alors je vais, oui je vais parler de ce que j’ai vécu là tout de suite, enfin tout à l’heure, à propos de la gorge, justement. C’est vrai qu’il y a quelques années, il y avait eu un protocole de fait où on avait dit que la gorge avait été dégagée ou je sais pas quoi, et moi j’avais rien ressenti, je pensais que ma gorge était coincée, enfin bref, que les énergies y passaient pas.
Et là tout à l’heure en fait j’ai… dans cette dissolution où j’avais l’impression… en fait mon corps c’était comme une poupée de son, il n’y avait plus rien. Et au niveau de ma gorge en fait il y a eu une grande aura lumineuse, vraiment une très belle lumière blanchâtre et j’ai ressenti une grande fraîcheur, et vraiment comme quelque chose qui s’ouvre mais complètement, je ne sais même pas expliquer avec des mots, parce que… C’était très clair, très léger, très vaporeux, et comme… oui, une grande délivrance de je sais pas quoi. Voilà. Et… ben merci.
Merci à toi, merci à la résonance de tous les Abba, et merci surtout, même pas à Abba, ni à aucun de vous en tant que personnes, mais merci à l’intelligence de la Lumière que vous êtes avant toute chose.
Le passage de la gorge, pour ceux qui suivent depuis longtemps si je peux dire ce qui est dit et qui le vivent, le premier passage a commencé à la Noël 2010. Et il y en a eu un chaque année, accompagné par l’Archange Uriel. Aujourd’hui il ne s’agit plus ni d’un retournement, mais comme cela a été nommé, le basculement. Ce basculement, qui amène la fontaine de cristal au niveau de votre cœur afin que l’être et le non-être s’y conjuguent effectivement, va mettre fin à cette notion de passages incessants au niveau de la gorge.
Ce que vous ressentez, ou ressentirez, ou avez ressenti, n’est simplement, que les ultimes contractions, si je peux dire, de la délivrance.
…Silence…
Bien-aimé, poursuivons.
Voix : Pour l’instant aucune question ni témoignage. Ah je crois que si.
Participante : Oui, je voulais rajouter un complément à ce que j’ai dit tout à l’heure, en nous écoutant les uns les autres, j’ai ressenti un sentiment de liberté que je ne pensais pas possible.
Eh oui. La liberté a commencé à être intérieure, le libéré vivant. Il restait les circonstances de ce monde, il y a eu ensuite le libéré tout court, et maintenant il y a la Liberté qui n’a besoin ni de libération ni de liberté et qui a toujours été là. C’est ça la Béatitude. Et cela est très vaste. Et je répète, cela ne fait que commencer, vraiment.
Et cela est en ce jour, en ce 31 octobre 2018, dernier jour du mois d’octobre.
Ne vous laissez pas abuser durant ce mois de novembre, par les dernières tentatives de ceux qui résistent par peur, de recréer des éléments de peur ou de fédération au travers de la peur.
Contentez vous de cette Liberté que vous avez déjà, de cette Paix, de cette Joie et de cette Béatitude, car tout découle de là. Vous n’avez rien à faire, juste être présent, juste être là.
Le déroulement du déploiement de la Vérité dépend uniquement de ce que je viens de dire, pour chacun de vous, individuellement et collectivement.
Tout le reste, sans exception, n’est que distraction.
(Rire)
Alors vivez votre vie avec Joie, avec légèreté. Constatez ce qu’il se déroule, mais n’interrogez pas ce qui se déroule. Témoignez-en, bien sûr.
Voix : Il y a un fou rire qui se déclenche.
(Rires)
Cela est la vérité de la Liberté. Vous voyez, que pouvez-vous faire à part rire ? La conscience est un grand éclat de rire, un jeu qui passe. Et vous le vivez, malgré la présence de votre corps, malgré la présence encore de votre histoire, bien sûr, en ce monde, selon vos circonstances personnelles, individuelles. Et même cela comme vous le dites, vous ne pouvez qu’en rire. Parce que l’Amour est le rire, aussi. Et que le rire conjugué à la Joie, que cela soit le sourire intérieur où les rires qui s’expriment ici, vous conduisent, là aussi, spontanément, à cette Béatitude.
Il n’existe aucune circonstance de vos vies qui puisse entraver cela, sauf bien sûr si vous y adhérez.
Pépère, le commandeur, le croûton, je crois, que vous l’appeliez… le vieux crouton..
(Rires)
…vous disait « la peur ou l’amour », « mettez l’amour devant ». Aujourd’hui, il se met tout seul devant. La peur ne peut plus exister. Certes il peut rester quelques interrogations encore, quelques bribes de questionnements, mais vous allez tous constater sans aucune exception que tout ce qui est lié à la peur, aux blessures passées, aux mémoires qui ne sont plus là, mais aux habitudes alors… Vous allez être comme Ma Ananda Moyi, saturés de Joie, saturés de Béatitude, cela a commencé.
(Rires)
Voix : C’est communiquant.
C’est… je dirais même contaminant. Il ne s’agit plus en terme médical d’une épidémie ou d’une pandémie…
(Rires)
Je n’ai pas de mots.
(Rires)
C’est la Joie.
(Rires)
Il n’existe aucun traitement…
(Rires)
Aucune possibilité de fuir cela…
(Rires)
Aucune possibilité de vous y soustraire.
(Rires)
Nous avons tous passé nos vies à éviter la souffrance ou à la combattre, à rechercher des satisfactions… Et là, il y a cette dissolution et cette Joie sans objet et sans sujet. Nous ne pouvons que rire de nous-mêmes, rire de la vie. Parce que nous sommes la Vie. Et c’est juste ce qu’il se produit maintenant. Tout le reste passe. Mais votre rire ne passera plus. Que vous ayez un corps ou pas, d’ailleurs.
Vous voyez, nous vous avons toujours dit les uns et les autres, que quelle que soit l’histoire que nous avons bâtie avec vous, tout était fort simple. Vous avez construit des fondations, vous avez finalisé la construction. Vous pouvez maintenant la détruire. Parce que rien n’a été construit. De la même façon, rien ne peut être détruit. Vous serez toujours là, indépendamment de toute notion de monde, de création, d’univers ou d’histoire quelle qu’elle soit.
Vous voyez, le rire, la Joie, la Béatitude, se suffisent à eux-mêmes, et comme je l’avais déjà énoncé, qui peut encore avoir envie en vivant cela d’aller où que ce soit et de faire évoluer quoi que ce soit.
Voilà l’Évidence dont nous parlons depuis un an. Les mots n’ont jamais été choisis au hasard, ils étaient adaptés à ce que vous alliez vivre. Et nous avons balisé, les uns et les autres, tout au long de ces années, ce que vous alliez vivre. Vous en perceviez à l’époque la Lumière, la vibration, vous le compreniez, mais vous ne le viviez pas comme cela se vit maintenant.
…Silence…
Poursuivons.
…Silence…
Voix : Le rire s’est intériorisé.
…Silence…
Vous voyez, même dans le silence, le déploiement de la merkabah interdimensionnelle se poursuit.
(Rire)
Je vous l’ai dit, il ne s’arrêtera plus.
Jacques Brel est avec nous.
Comment ?
Voix : C’est une sœur qui nous apporte quelque chose… un cadeau, comme un cadeau.
Merci.
C’est une réalité, Jacques Brel est avec nous.
Voix : Elle apporte la chanson où il est dit « Quand on n’a que l’amour, mon amour toi et moi, pour qu’éclatent de joie, chaque heure et chaque jour ». Voilà.
Vous savez, quand Abba, dans les instants initiaux de la création, avait, comme je vous l’avais dit, préparé la période actuelle en chansons, il est bien évident que cette chanson de Jacques Brel est certainement la plus proche de la Vérité. Alors je t’invite à la lire.
Voix : Oui. Alors…
Quand on n’a que l’amour
À s’offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu’est notre grand amour
Quand on n’a que l’amour
Mon amour toi et moi
Pour qu’éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour
Quand on n’a que l’amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d’y croire toujours
Quand on n’a que l’amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs
Quand on n’a que l’amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours
Quand on n’a que l’amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours
Quand on n’a que l’amour
À offrir en prière
Pour les maux de la Terre
En simple troubadour
Quand on n’a que l’amour
À offrir à ceux-là̀
Dont l’unique combat
Est de chercher le jour
Quand on n’a que l’amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
À chaque carrefour
Quand on n’a que l’amour
Pour parler aux canons
Et rien qu’une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien
Que la force d’aimer
Nous aurons dans nos mains
Amis le monde entier
Merci.
Merci… Merci…
Voilà. Merci. Presque soixante ans après, vous y êtes. En totalité.
…Silence…
Ceux qui sont sensibles, même sans la voix de Jacques Brel, vous avez perçu ce que cela fait.
Cela a été préparé bien avant la création.
C’était la conclusion logique de l’interaction de la conscience au sein des jeux dimensionnels quels qu’ils soient.
Vous le réalisez maintenant, il n’y a que l’Amour. Tout le reste n’est que vanité, tout le reste n’est que projection, tout le reste n’est que circonstanciel.
…Silence…
Bien… tout le monde…
Voix : Notre sœur a quelque chose à dire.
Alors nous écoutons, bien sûr.
Participante : Est-ce que je pourrais savoir, quelle est la raison d’être de ces dessins qui apparaissent au bout de mes doigts, de mon crayon, depuis très longtemps déjà… Bon alors, pour les frères et sœurs qui sont pas là, c’est un peu… frustrant… Je peux en parler un peu ?
Je ne comprends pas, il s’agit de dessins ?
Voix : Elle a fait des dessins qui expriment quelque chose dont elle va nous parler.
Participante : Parce que j’ai beaucoup… Ça a dessiné à travers moi beaucoup cette semaine.
Voix : Elle a beaucoup dessiné cette semaine.
Participante : Ça dessine depuis plusieurs années, j’en ai des cahiers, mais… je pensais que c’était fini d’ailleurs… Eh non. Donc, alors pour les frères et sœurs qui ne sont pas présents, c’est rarement figuratif, quelquefois, et le plus souvent c’est un enchevêtrement de lignes, de courbes, de spirales, enfin voilà, alors ça a certainement une raison d’être.
Oui, manifester l’Amour, rien d’autre. Ne cherche pas d’autre sens, ni énergétique, ni vibratoire, surtout dorénavant. Tout ce qui émane de vous est Amour, que cela soit par la cocréation consciente, que ce soit par vos larmes, que ce soit par les ultimes conflits ou résistances, peu importe. Vous, vous allez, vous vous dirigez, quel que soit ce que vous croyez vivre, vers l’Amour, que vous êtes.
Et tout est prétexte. Ne cherchez pas de sens, ne cherchez pas d’explications, mais vivez ce que vous avez à vivre avant tout. Plus vous êtes en l’instant, plus vous êtes en Béatitude.
…Silence…
Là où vous constatez, effectivement, que plus jamais vous n’aurez soif, mais qu’en Vérité, vous n’avez jamais eu soif, que c’étaient simplement les voiles et les habitudes qui vous empêchaient de le vivre.
Comme je l’ai dit, il n’existe plus d’obstacle, car même ce qui vous paraît aujourd’hui comme un obstacle insurmontable à quelque niveau que ce soit, n’est que le tremplin de cette Béatitude.
…Silence…
Bien-aimé, nous reste-t-il…
Voix : Il nous reste, disons, vingt minutes à peu près.
Une sœur à une question, ou un témoignage.
Participante : C’est pas une question, non. En fait, je souhaitais juste dire que depuis effectivement une dizaine d’heures, une douzaine d’heures, je ressens en moi une douceur… j’ai de la difficulté à exprimer, à expliquer plutôt cette douceur, mais c’est une douceur qui prend tout mon corps et qui me… presque qui a envie de sortir en larmes, mais en larmes de… d’Amour intense, de Joie, de… de Béatitude, quoi, comme si quelque part aussi c’était tellement énorme… En fait, j’ai envie d’adresser ça à tous les sœurs et frères que j’aime et qui sont dans mon cœur de toute manière et… tellement c’est bon à vivre, tellement c’est beau à ressentir, tout simplement.
Le manteau bleu de Marie s’est déposé sur vos épaules. De façon beaucoup plus intense que ce qu’il fut le cas voilà de nombreuses années parmi les plus anciens. Et cette douceur dont tu parles, qui accompagne l’Amour, est bien évidemment l’Amour d’une mère… Au-delà de l’archétype de cette lignée nommée Marie.
C’est bien plus que le féminin sacré, je dirais simplement que c’est la féminité dans son sens le plus noble, pas seulement sur cette Terre, mais la féminité au-delà de toute notion sexuelle, mais dans ce qui pourrait être appelé la magnificence de l’accueil. Car qui peut mieux accueillir, même en ce monde, qu’une femme, qui a accueilli la vie et l’a développée en son sein.
Elle sait, même sans l’avoir affirmé, même sans l’avoir démontré, que la vie est en elle, et nulle part ailleurs. Et cette douceur, c’est bien plus que le féminin sacré ou la cocréation consciente. C’est l’intégralité du féminin que vous retrouvez. Et effectivement, il peut y avoir des larmes, ce frissonnement qui… périphérique, en même temps que la merkabah se déploie.
D’ailleurs certains parmi vous, en cet instant, vont ressentir ou ressentirons une espèce de frémissement sur le haut de la joue gauche, parfois à droite, ce n’est pas une constante. Mais parmi les plus sensitifs d’entre vous, en cet instant, ce que vous recevez est le baiser de Marie, qui précède son appel. Alors soyez en Joie, annoncez la Bonne Nouvelle, non pas par des discours et des mots, même si vous le pouvez, mais surtout par cet Amour que tu viens de décrire et qui est la seule Vérité.
…Silence…
Alors je vais terminer cette intervention, même si nous avons encore du temps. Maintenant. Pour vous quitter sur ces mots avant de revenir après votre pause, parce que par rapport à ce que vous vivez en cet instant, je pense que le silence est nécessaire.
Permettez-moi simplement de communier avec vous, en la résonance et la reliance de Cela, où que vous soyez. Et chacun de vous fait la même chose…
…Silence…
Abba vous dit simplement à tout à l’heure.
Continuez à laisser se déployer ce qui se vit.
Je vous le redis, vous n’avez rien à faire.
Si vous voulez l’observer, le sentir, pour ceux qui le sentent, sans poser de questions, vous pouvez lors de ce déploiement, observer, bien sûr, vous avez toute latitude pour le faire.
Je vous dis quant à moi, à tout à l’heure.
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