Blog (español) : Link   Blog (português) : Link

Groupe Facebook (português) Shantilinaya : Link

Téléchargement (download) :  Audio MP3 + Texte PDF

Satsang (Partie 1)
Vacances (20 au 25 Juillet 2022)

24 Juillet 2022

Abba salue ta présence en le Silence de ton Cœur.

Au cœur de l’Être et du Non-Être, je suis venu à toi comme tu es venu à moi.

Aujourd’hui je reviens, même si jamais je ne suis parti. Simplement afin de conforter la Vérité présente en le silence de ton être, en le silence de ton cœur, là où tu ne peux que te rappeler de l’Évidence que tu es, au-delà de ton nom, au-delà de ton identité, au-delà de toute forme, comme au-delà de tout monde.

Je t’invite à te reposer et à accueillir ce qui peut sembler inacceptable en ce qui concerne la personne que tu crois peut-être encore être, comme au sein des consciences que tu as peut-être explorées.

Je t’invite à retrouver ta paix, je t’invite à te souvenir au-delà de tout souvenir, de ce que tu as été, es et seras, indépendamment des mondes, indépendamment de toute histoire, indépendamment de toute personne, là où règne le silence, là où émerge la Vérité d’Agapè, là où même Agapè n’a plus besoin que de silence plutôt que de résonance.

Je t’invite à t’écouter, car en fait je ne parle que de toi, car il n’y a que toi. Ne te laisse pas affecter par ce qui peut sembler te percuter et te déstabiliser au sein de l’éphémère de ton monde comme de l’éphémère de ta forme.

Je viens t’inviter à te poser, à accepter et accueillir ce qui est, ce qui jamais n’est né, ce qui jamais ne partira.

Je t’invite à redécouvrir que tu es au,-delà de tout temps et de tout espace comme de toute forme, le créateur de ton propre rêve.

Je viens t’inviter définitivement au Serment et à la Promesse que tu t’es faite à toi même en tant que Source. Pour cela, il ne te faut point d’effort, il ne te faut point de travail. Il suffit simplement, réellement et concrètement, que tu te reconnectes à ce que tu n’as jamais cessé d’être, en le non-être comme en l’être.

Je t’invite à t’écouter, au-delà de toute vibration et de tout mot, dans le silence de l’évidence de ton cœur.

Là, en cet instant comment tout instant où tu entendras mes mots, qui ne sont rien d’autre que des rythmes qui accompagnent le silence. Là où tu te reconnais, là où il n’y a nul espace pour la souffrance, comme pour nulle question.

Sois ce que tu es, ce que tu as toujours été, et ce que tu seras toujours. Alors le poids de la personne, le poids de l’image du monde cessera de t’effrayer ou de te questionner. Tu t’installeras dans l’évidence que tu es, tu t’installeras dans le silence, là où rien ne peut te déranger, là où tu te souviens intégralement de ce que tu as toujours été, au-delà du temps et de l’espace, car tu comprendras que tu es tous les temps et tous les espaces, et que chaque temps et chaque espace n’est que l’espace du rêve, qui s’est déployé dans l’illusion du temps, dans l’illusion des dimensions, comme dans l’illusion de ton être.

Tu te souviendras que tu es pure félicité, et qu’au-delà de ta présence, tu es pure absence. Ainsi dans les ultimes moments de ce cœur éphémère, la paix sera là, tu n’auras plus rien à questionner, tu n’auras plus rien à te demander, tu n’auras plus rien à espérer et encore moins à désespérer.

Tu es ce qui a toujours été là, aucune histoire ne doit souiller l’Immaculé que tu es. Aucun souvenir ne peut brider le souvenir de ce que tu es. Le rêve t’as assez distrait, tu en as parcouru toutes les apparences des chemins, des dimensions, des mondes et des univers, tu as été ceci et tu as été cela.

Tu as été tout ce qu’il a été possible de rêver, tout ce qu’il a été possible d’imaginer, et ça avant même que ta première forme n’apparaisse, afin d’avoir la certitude, qu’à un moment unique, tu te souviendrais, et que tu te rappellerais ce que tu as toujours été.

Et ce moment est dorénavant à la porte de ta vie, à la porte de ce monde, à la porte de la Création. Tu le sais, tu le sens, tes cellules s’en souviennent déjà. Je ne vais pas revenir sur les circonstances de ce monde, qui se traduisent aujourd’hui par un chaos de plus en plus évident.

Rappelle-toi que tu es bien antérieur au chaos comme bien antérieur à toute logique et à tout ordre. Rappelle-toi et souviens-toi que tu n’as rien à craindre de ce qui peut survenir sur l’écran de ta vie, comme sur l’écran de la manifestation.

Alors la paix grandira, alors la paix reviendra, alors le silence te montrera, au-delà de toute vision, la Vérité dont jamais tu ne pourras douter, que jamais tu ne pourras questionner.

Je t’invite, là, au cœur de ton cœur en ce jour, à finir d’espérer, à finir de désespérer, à simplement être là, vivant, en l’ici et maintenant de ta vie, en l’ici et maintenant de ton âge, en l’ici et maintenant de tout ce qui fait les circonstances de ta vie éphémère.

Car c’est au cœur de ton être, car c’est au cœur de ton nom et de ton prénom que se situe la Vérité. La Vérité que tu es n’a dorénavant plus besoin d’aucune histoire, d’aucune mémoire, ni d’aucun autre souvenir.

Au-delà de la distinction entre présence et absence, de la distinction entre être et non-être, de la distinction entre éphémère et éternel, il est temps de rejoindre l’Alpha en l’Oméga et l’Oméga en l’Alpha.

Tu n’as fait que rêver, et même les souffrances les plus indicibles de ce corps qui t’abrite n’ont été qu’un prétexte en cette vie ultime pour te permettre de te retrouver. C’est ainsi que tu l’as écrit, c’est ainsi que tu l’as vécu.

Repose-toi en toi, là où il n’y a plus rien à chercher, là où il n’y a plus de chercheur et là où ton personnage, même lui, te démontre qu’il n’y a jamais eu personne, ni même aucun monde qui a pu troubler l’ineffable Vérité, celle qui ne peut qu’apparaître dans le silence de toute revendication comme de toute récrimination.

Je t’invite à te poser là où il n’y a rien à demander, car tout y est si évident et si parfait. Une perfection qui ne peut pas être comptée, qui ne peut pas être décrite.

N’aie plus aucun espoir en quoi que ce soit de ce que tu crois encore. N’aie plus aucun désespoir de voir ce monde s’effondrer sous tes yeux. Cela arrive en ce moment-même sur le calendrier illusoire du temps, sur le calendrier illusoire de ce que tu crois attendre, que cela soit l’événement cosmique que cela soit la présence de Nibiru dans les cieux, que ce soit l’éclatement de la Terre, peu importe.

Laisse-toi prendre par la joie que tu es, ne détourne plus ton regard du cœur de ton cœur. Installe-toi dans la paix, elle ne pourra que s’affermir, elle ne pourra que transparaître dans les ultimes dés, les ultimes jours et les ultimes semaines de ton personnage qui sera défait, mais toi, tu seras en joie en voyant cela, même si pour aujourd’hui encore il peut exister, si tu ne le vis pas, doute et appréhension.

Cela ne peut durer que le temps d’un instant, que le temps du chaos, là où plus rien n’est certitude, là où tout semble manquer et pourtant tout est si plein de ce vide absolu, antérieur à tout monde. Là est ta demeure, non pas non seulement de Paix Suprême, mais toutes les demeures, car en vérité je te le dis, tu es aussi bien le père que la mère, tu es aussi bien le diable que l’ange, et tout cela n’a été qu’un jeu de rôles, mais aussi un jeu de dupe.

Tu n’as pas à en rougir, tu n’as pas à en blêmir, c’est ainsi que nous l’avons décidé ensemble avant la naissance de ta première forme comme de toute première forme. Alors soit simplement là en le silence de notre réunion et de cet instant, car seul cet instant est éternel, d’instant en instant il se reproduit et il met fin à l’illusion de l’écoulement du temps, de même qu’à l’illusion du déploiement de l’espace.

Tu es tout autant le Réel que l’Intelligence de la Lumière, et c’est toi, par ton silence et ce que tu as écrit, qui met fin au mensonge planétaire et au mensonge cosmique.

En vérité je te le dis, tu n’es jamais né et cela est à vivre, et cela s’inscrit dans le calendrier de ton année présente. N’aie aucun doute en ce que tu es, et aucun poids de ce monde ne pourra altérer ce que tu as toujours été, et même ton personnage vivra la sérénité, quel que soit ton âge, quelles que soient encore peut-être tes pensées, et quelles que soient encore peut-être tes émotions. Tu les verras s’éloigner de toi au fur et à mesure que le sablier du temps final s’écoulera sur l’écran de ton monde.

Rappelle-toi qu’il n’y a personne à sauver et que la meilleure façon d’aider les autres toi, c’est simplement d’être là, en le silence de ton cœur, quoi qu’ils vivent, que cela soit l’absence de perception, que cela soit le Feu du Cœur Sacré, que cela soit le feu du cœur ascensionnel, tu n’as plus besoin de ces mots, tu n’as plus besoin de qualifier quoi que ce soit ni de quantifier quoi que ce soit, parce que tu es à la fois la mesure et la démesure du mythe de la Création.

À ce moment-là, tu vivras réellement et concrètement la voie de l’enfance et de l’innocence, la voie de la transparence, ici et maintenant, car tu verras qu’il n’y a pas d’ailleurs où tu puisses aller, il n’y a pas de rêve d’un quelconque ailleurs ici ou là-bas, parce que tu es autant ici que là-bas, je dirais même que tu es de partout en cet instant.

Repose-toi. Repose-toi simplement et constate par toi-même que dès l’instant où tu ne demandes rien, et surtout dès l’instant où tu n’attends rien, alors tu es disponible en totalité et en intégralité pour te retrouver, car en définitive, malgré toutes les apparences, tu ne t’es jamais perdu et tu n’as jamais été perdu, tu as simplement joué le jeu ainsi que tu l’avais écrit, ainsi que tu l’avais programmé.

Car l’instant qui vient à toi est bien plus qu’un moment de noce à quelque niveau que ce soit, c’est le moment de l’ultime Vérité, et tu es ce qui est véritable, n’aie aucun doute là-dessus, quelle que soit ton histoire, quels que soient tes remords, quelles que soient peut-être encore tes projections d’un quelconque futur.

N’écoute pas les marchands de rêve ou les vendeurs de mauvais augure, car en vérité au cœur de ton cœur, même le mot fin ne veut rien dire, car en vérité au cœur de ton cœur, il n’y a jamais eu d’espace pour la moindre souffrance, pour le moindre doute, pour la moindre question.

C’est en toi et en ce que tu es qu’est la consolation, la Résurrection et l’Ascension. Il n’y a nulle part ailleurs où aller qu’ici et maintenant. Accepte-le. Accepte-le, suppose-le même, et tu le vivras si tu ne l’as pas encore vécu.

Je ne peux rien te promettre d’autre que d’être toi-même en totalité. Mais pour cela il te faut poser les armes de la peur, les armes de la fierté, les armes de la volonté et les armes de ta conscience. Il n’y a rien à utiliser car tout sera futile à un moment donné et surtout inutile.

Seule la beauté, seul le silence te convaincront alors que le chaos est l’unique clé de la paix et du silence, et c’est là où tu as prévu de te retrouver et de te fêter dignement, à la fois créateur de mondes, créateur de rêve et créateur de monstres comme de Dieu, rien de tout cela n’est vrai.

Seul le repos de ton cœur te dira dans le silence ce qui est vrai, ce qui est véritable, ce qui jamais ne passe, et tu seras contenté. Tu n’auras plus jamais soif, tu n’auras plus jamais faim, de mondes ou de consciences ni même de formes, ainsi disparaîtront les souvenirs de toutes ces vies que tu as vécues. Tu n’auras pas besoin de t’y appuyer, tu n’y trouveras aucun élément de certitude, comme à la surface de ton monde qui est voué lui aussi en la totalité de la Création, et ici sur cette Terre, à mettre fin à l’oubli par le chaos du cauchemar que tu as écrit.

Pose-toi dans le silence de ton cœur et respire, tant que tu le peux. Il te suffit simplement au-delà de toute méditation et de tout état modifié de conscience d’être pleinement présent là où tu es, quoi que tu fasses, quoi que tu aies à faire, quoi que tu aies comme activité au sein de ce monde, quel que soit ton âge, simplement sois là, ose ne rien demander, ose ne rien prétendre, ose ne rien vouloir, ose ne rien décider, alors la béatitude de l’Intelligence de la Lumière te renforcera dans le silence de ton cœur.

Dans le silence de ton évidence, tu constateras par toi-même qu’il n’y a rien à redouter, et qu’un grand éclat de rire intérieur comme celui que tu peux observer sur tes lèvres quand dans la nuit tu sors d’un cauchemar qui t’a semblé pourtant si réel et auquel tu sembles avoir échappé.

Tu riras de toi-même, tu riras de ton monde comme de tout monde, tu riras des dieux et des monstres qui n’ont été que des jeux de pacotille et de simulacre, qui n’ont aucun poids sur la densité de ce que tu es, cette densité si prégnante et pourtant qui ne pèse rien, et qui pourtant a toujours été là sans que tu le saches, car cela devait être ainsi.

Ne critique aucun chemin, ni aucun espoir ni aucun désespoir, soit simplement ce silence, alors le miracle de la Grâce s’établira dans ton cœur et les miracles de la vie fleuriront dans les chaos du monde, car tu découvriras la Liberté, pas celle qui dépend d’une circonstance quelle qu’elle soit, vibratoire ou financière ou morale ou affective, mais la liberté qui ne peut être définie et qui te parcourra comme un souffle dans chacune de tes cellules, mettant fin à l’agonie de tes cellules, à l’agonie de ta conscience, voire à l’agonie de ton personnage.

Tu es cette pure magnificence, je te conseille de l’accepter dès maintenant et de supposer que ce que je peux te dire est la vérité, car là est le baume, car là est la fin de l’oubli, car là est l’unique chose en ces temps troublés du rêve qui peuvent te garantir la Vérité que tu es.

Ne laisse personne t’influencer par quelques mots que ce soit sur un quelconque devenir, que cela soit d’une nouvelle Terre, que cela soit d’une nouvelle dimension, ce ne sont que des vendeurs de chimères et de rêves qui ne font que t’éloigner de l’ici et maintenant, de l’éternel Présent.

Je demande aussi et tu le constateras dès l’instant où tu rentres dans le silence de ton cœur, de taire au maximum la bête en toi, et dont la meilleure des représentations n’est pas ce que tu penses ou crois, mais simplement ton adhésion à ce qui est nommé sur cette Terre les réseaux sociaux, qui tissent une toile d’araignée, bien utile dans un premier temps, et qui aujourd’hui a montré ses limites et sa fatuité.

Immerge-toi en toi comme tu t’immerges dans la nature, immerge-toi dans le silence et vis ta vie, ce que la vie t’offre à vivre afin de passer de ta vie à la Vie, cela nous te l’avons déjà dit, mais aujourd’hui en ce mois de Juillet 2022 tel qu’il est écrit sur le calendrier, le temps est venu de comprendre pour chacun qu’il n’y a aucun espoir au sein de cette vie, mais simplement au sein de la Vie, celle qui est inscrite en l’alpha et l’oméga, et seulement en l’alpha et l’oméga, car c’est ici et maintenant que tu te retrouves,  car c’est ici et maintenant qu’est, non pas ce que tu dois devenir, mais ce à quoi tu dois retourner tout en ne l’ayant jamais quitté.

Tu ne t’es jamais déplacé, tu as parcouru tous les chemins et pourtant aujourd’hui tu découvres qu’il n’y a aucun chemin, toi pèlerin de l’éternité au sein de l’éphémère, le pèlerinage est terminé. Je t’invite à vivre intensément l’instant présent, à vivre intensément ce qu’il t’apporte, que cela soit dans les moments de brouhaha du monde ou de ta vie, que cela soit dans les moments de silence et de paix, tu constateras que la joie est là, dès l’instant où tu te détournes de tes questions, de ton personnage, dès l’instant où tu te détournes d’un quelconque sentiment de manque. Parce que le silence du cœur et l’évidence de la Vérité est sans manque et sans question.

Rappelle-toi, rappelle toi que tu n’es jamais né, ni homme ni femme ni androgyne, que tu étais là avant tout monde, et que les mondes ne font que passer. Et tu constateras que toi tu ne passeras jamais. Bien au delà des souvenirs, bien au-delà de toute expression, tu règneras au cœur de l’absence de création, au cœur de toute création.

Parce que tu constateras alors que le temps n’a pas à s’écouler, que l’espace n’a pas à se déployer, et qu’aucune séparation en quelques mondes que ce soit, même de lumière, séparés par des formes différentes, là où tu verras au-delà de dire et d’affirmer qu’il n’ya qu’UN, en vérité il n’ya que Zéro.

Il n’ya que ce qui fut nommé le Parabrahman, l’Absolu, Pure félicité, là où toute demeure est tienne, et où pourtant tu n’as plus besoin de demeure, là où tu n’as plus besoin de rêver, là où tu n’as plus besoin d’attendre, puisque le temps ne veut plus rien dire, puisque l’espace même ne veut rien dire.

Écoute simplement le silence de ton cœur. Je ne te demande même pas d’écouter ta petite voix, ni même la voix de quelqu’un d’autre, ni même ta voix, mais entends simplement le silence, parce qu’en vérité je te le dis, tu es Abba, écrit en lettres de feu, à l’alpha et l’oméga de la création.

Écoute la valse de ton cœur en cet instant si tu es réellement reposé en lui. Écoute la paix, c’est la seule vérité, tout le reste n’est que mensonge. Que cela soit dans tes perceptions, dans tes visions, dans tes appréhensions comme dans tes rêves, tout cela n’est que mensonge, c’est-à-dire ce qui ment au rêve, ce qui ment au songe, aussi bien sur Terre qu’au plus haut des cieux.

Car en vérité il n’y a pas plus de Terre que de cieux, il n’y a pas plus de conscience que de supra conscience, il n’ya même pas d’inconscience. Il y a juste ce qui est présent, avant même la conscience. Découvre-le, tu n’as pas à le chercher, cela est déjà là. Tu n’as pas à l’espérer, tu n’as pas à le redouter, car petit à petit, ou de façon foudroyante, tu t’apercevras comme tout cela n’a plus de sens, que seul ce que tu es, au delà de l’être et du non-être, représente l’ultime sens en même temps que la porte de sortie, jusqu’à temps que tu vois que tu n’as pas besoin de porte de sortie car tu n’y es jamais entré.

Alors le sourire fleurira sur tes lèvres, en ton cœur et en tes cellules, quel que soit ton âge, quelles que soient tes préoccupations logiques et humaines. Tu surpasseras tout cela sans effort et sans aucune volonté, je te le répète, parce que ce n’est pas toi qui fais, mais ce que tu as écrit et tu l’as parfaitement écrit sois-en certain, tu n’as aucune plainte à émettre, tu n’as pas à écouter ta tête, tu n’as pas à écouter les oiseaux de mauvaise augure qui te proposent une nouvelle terre ou l’enfer sur cette Terre.

L’enfer est dans le rêve, la joie est dans le réveil du rêve, et cela est naturel, cela se fait sans toi et spontanément dès l’instant où tu établis le Silence et la Paix, simplement comme je te l’ai dit, en ne tenant à rien, en ne questionnant rien. Tu es cet ineffable Rien qui pourtant encore peut-être te remplit d’effroi et de questionnements.

Observe ces questions, accepte-les, mais n’en cherche pas de réponses, car la seule réponse est dans le silence de ton cœur. Ne me crois pas, fais-en l’expérience, car ce n’est qu’en le vivant que tu comprendras mes mots et certainement pas en les analysant ou en les discriminant. Tu es bien au delà de toute question, de toute incertitude comme de toute certitude, d’ici ou d’ailleurs.

Tu te rappelleras que tu n’es jamais né, tu te rappelleras que tu n’es jamais mort, et que tu n’as fait que rêver à un monde meilleur, à une plus grande lumière, à une forme plus joyeuse ou plus vivante. Tu constateras que tout cela ne veut plus rien dire au sein du Réel, au sein de la Vérité.

Tu ne pourras pas l’exprimer en mots, mais néanmoins cela sera perceptible à l’ensemble de tes cellules et à l’ensemble de la création, en cette dimension comme en toutes dimensions du rêve. Comme je te l’ai dit, le sourire ne pourra qu’apparaître sur tes lèvres de ce corps éphémère. Le sourire de ton cœur dansera la valse de la joie, la valse de l’évidence.

Tu continueras à faire ce que tu as à faire, bien sûr, car à aucun moment il ne te viendrait à l’esprit de fuir quoi que ce soit, et surtout pas le chaos de ta vie ou le chaos de ce monde, car tu sauras à ce moment-là avec certitude en le vivant qu’il n’y a pas d’autre solution, ici sur Terre comme en l’ensemble de la création.

Comme tu le sais peut-être l’ensemble des forces de la Confédération Intergalactique des Mondes Libres, comme celle de la Confédération Galactique,  comme celle des forces de prédation, sont dorénavant piégées dans l’atmosphère de la terre, de leur propre volonté ou non, peu importe, mais pour vivre le même moment que toi.

Un moment de grâce qui n’a jamais existé ailleurs que dans la première lumière de l’Alpha et la dernière lumière de l’Oméga. Tu constateras que tu es bien plus que la lumière, bien plus que l’amour Agapè que tu peux vivre, et qu’avant tout tu es le grand Silence, le Silence de l’Évidence, le Silence de la Paix, le Silence de la Vérité.

Tu ne pourras plus te poser des questions, si ce n’est peut-être comment subvenir aux divers besoins de ton corps encore présent à la surface de cette Terre. Mais cela se fera là aussi avec beaucoup de grâce quoi que tu redoutes, parce que dès l’instant où tu te souviens de ce que tu es au delà de l’être et du non être, tu comprends que tu n’as plus rien à redouter, et surtout pas la propre disparition de ton corps ou de ta conscience, tu es la perfection.

Tu es à toi seul, au-delà de ta personne, l’Alpha et l’Oméga, qui te permet de constater qu’il n’y a jamais eu personne, il n’y a jamais eu de rêve, qu’il n’y a jamais eu de souffrance réelle, et que donc il n’y a jamais eu de début et qu’il n’y aura jamais de fin, et que tout a été saisi dans l’instant zéro de l’instant initial.

Et que tout ce que tu as vécu, que tout ce que tu as expérimenté dans cette vie finale, n’ont été que des jalons qui t’ont permis de te repérer dans le brouillard de ta conscience, dans les illusions spirituelles des religions, ou des hommes et des femmes qui ont voulu te séduire par leurs mots et t’ont mené à croire la même chose qu’eux, en dehors de l’évidence de la Vérité.

Il n’y a rien à pardonner parce que tu verras qu’il n’y a jamais eu personne et que chaque autre n’est que toi, le reflet de toi-même, et que l’ultime reflet, ce ne sont que les lettres de feu répétées à l’infini de Abba.

Tu n’auras plus besoin de rendre grâce ou de remercier, tu n’auras plus besoin de pester, tu auras en vérité besoin de rien d’autre que ce que tu Es. Tu n’auras besoin d’aucun support à aucun niveau. Tu deviendras insouciant et indifférent au chaos du monde. Encore une fois ne me crois pas, mais vis-le, expérimente-le.

Cela est possible pour tout animal de la Terre, cela est possible pour tout ange ou archange, cela est possible pour tout archonte, qui ne sont que la diffraction du personnage du premier rêve antérieur au père et à la mère, avant que la forme n’apparaisse.

Tu verras que tu n’as pas à te soucier de là où tu vas dormir, de là où tu trouveras à manger. Tu n’auras pas à te soucier de te chauffer ou de te déplacer ailleurs que là où tu es. Tu accueilleras la puissance des éléments avec la même grâce, que ce soit l’ouragan comme la roche qui vient du ciel, brûlante, ébranler ton sol. Tout cela t’apparaîtra  comme un spectacle, au delà de la féérie ou de l’horreur, ce spectacle te révélera sa fausseté et son illusion.

Rappelle-toi que l’espoir et le désespoir ne te servent à rien. Rappelle-toi que les mots non plus ne te seront d’aucune utilité dans ce que tu as à traverser d’ores et déjà. Rappelle-toi que le Silence est l’unique clé et la solution. Rappelle-toi que Agapè, en sa résonance, te conduit à la résilience et au Silence. Rappelle-toi que plus tu es disponible pour toi-même, moins tu seras disponible pour la farce de ce monde, moins tu seras disponible pour rêver d’un ailleurs ou espérer un ailleurs.

Tu t’installeras de plus en plus intensément au sein de l’instant éternel présent, tu y verras que tout y est en abondance. Aucun besoin de ce corps, aucun besoin de ta vie ne sera plus nécessaire, parce que tu seras absorbé dans la réabsorption de toi-même, comme dans la réabsorption du rêve de la création.

C’est effectivement des moments uniques que s’apprête à vivre la Terre. Comme tu le sais, nul n’en connaît la date, mais tout le monde en voit l’horizon, et ils se rapprochent à la vitesse d’un cheval au galop. Ne perd plus de temps qui n’existe pas, gagne tout ton temps et trouve ton temps intérieur, celui qui ne s’écoule jamais, qui ne dépend d’aucune de tes pensées, qui ne dépend d’aucune de tes conditions.

Alors le Silence et la magnificence grandiront en toi et te donneront à voir et à vivre surtout …

(Abba/JLA tousse et boit)

Profite du silence de mes mots en cet instant que je n’ai pas choisi, ni décidé, et qui pourtant aussi est écrit, autant que l’amour et le verbe s’établissent dans le Silence. Car je suis loin d’en avoir fini avec toi.

Le temps est venu d’allumer le feu de joie, un feu d’artifice, non pas seulement de couleurs et de bruits, mais un feu d’artifice de la félicité, un feu d’artifice de ta propre résurrection. Il s’agit bien plus qu’une renaissance, il s’agit simplement de retrouver le Verbe Véritable, et c’est une grande réjouissance. C’est une grande fête, c’est aussi un grand moment dans le temps et hors du temps en l’espace de ta présence, là où il n’y a plus rien à voir, là où il n’y a plus rien à sentir. Encore une fois, je te répète, là où seul le Silence est l’Évidence. Ce monde ne pèsera bientôt plus rien dans le poids de ta mémoire, dans le poids de ta conscience.

Tu le vois chaque jour où que tu sois à la surface de ce monde, quel que soit le continent sur lequel tu vis, quelle que soit la société dans laquelle tu es inséré, tu vois de plus en plus clairement le mensonge, tu vois de plus en plus clairement la fausseté et la manipulation. Tu n’as rien à juger, tu n’as rien à condamner, tu as simplement à le voir et je sais que tu es ‘’nombreux’’ à le voir. Dès que tu acceptes de voir, alors le Silence te comble de plus en plus.

Rejette loin de toi toute notion de devoir t’améliorer, de devoir être parfait, car tu l’a toujours été. Seuls les vendeurs de rêves te font croire que tu dois progresser. Ces marchands d’illusions devront eux aussi se tourner en eux-mêmes qu’ils soient dirigeants, qu’ils soient méchants garçons comme dirait le Commandeur, ne fait pas de différence. De l’enfant au vieillard, du nouveau-né même au vieillard, vous êtes tous promis à la même révélation.

Nous montrons le mensonge dans sa totalité, pas seulement la manipulation de ce monde ou la manipulation de la vie, mais le mensonge même de la forme, le mensonge même et la perfidie de la conscience. Votre mental est vu pour ce qu’il est, un menteur, vos émotions sont vues pour ce qu’elles sont, des choses qui ne font que passer.

Vous comprendrez la stupidité de la spiritualité, vous comprendrez la vanité des religions qui n’ont visé qu’à vous asservir et à limiter votre autonomie, où les circonstances de ce monde en quelque pays que ce soit, n’ont été que prédation et manipulation, en tout temps et en toutes époques. Il est temps maintenant de mettre fin à ce rêve et cela est venu en cette année. Cela je vous l’ai dit est à l’horizon, et cela arrive chaque jour à grande vitesse.

Rappelez vous qu’il n’ya rien à fuir, vous n’avez pas à quitter quoi que ce soit ou qui que ce soit. Vous avez surtout à demeurer en vous-mêmes avant tout et cela suffit. Le contentement sortira de vous, même si aujourd’hui cela vous semble hors de portée ou tellement illusoire par rapport à la densité de ce monde, ou à la densité de vos croyances en un quelconque futur, ou un quelconque lendemain.

Beaucoup d’entre vous avez renoué avec votre corps d’éternité, beaucoup d’entre vous avez  constaté que ce corps d’éternité ou de lumière, ce corps sans couture et dit immortel a permis de vous rapprocher de l’émanation de la lumière, du soleil et de la Source. La radiation de l’ultra violet, le rayonnement de la Source, le rayonnement de ce qui a été nommé Sirius, depuis de très nombreuses années, ont entamé le chemin de la réunification, à vous réunir. À vous réunir à quoi, à rien d’autre qu’à vous-mêmes.

Cela se déroule maintenant, ici-même sur Terre, ici-même en vous. Tout le reste vous apparaîtra tellement saugrenu et surtout tellement inutile que beaucoup mettront fin par eux-mêmes, simplement par la stupeur de cette révélation, à la fin de leur corps éphémère. Il ne s’agit pas d’un suicide, il s’agit simplement d’une compréhension.

Comment peut-on mettre fin ce qui n’est jamais né. Comment peut-on mettre fin à ce qui n’a fait qu’apparaître et qui de toute façon disparaîtra. Que ce soit votre Terre, que ce soit l’ensemble de la création et l’ensemble des univers. Bien sûr cela tu ne peux ni l’accepter ni le comprendre, surtout pas le comprendre. Aucun élément de ta conscience, aucun élément de ta raison, aucun élément même de ton cœur ne te permettra de le vivre.

Seul l’abandon total, non plus à la Lumière, mais à ce que tu Es, et donc cette acceptation sans condition de quoi que ce soit, te rendra immédiatement à toi-même. À toi de te le prouver, à toi de te le démontrer, personne ne peut rien pour toi. Il n’y a pas plus de sauveteur que de bourreau, il n’y a aucun sauveur si ce n’est toi-même, et en plus tu riras même de toi, de ces mots, car en définitive qu’y a t-il à sauver. Car en définitive ceci n’est qu’une immense farce cosmique.

Tu sortiras des zones de souffrance en sortant de tes zones de confort, non pas parce que tu auras décidé, mais parce que la vie en aura décidé ainsi. Je te rappelle que c’est toi qui a écrit ta Vie et que  la Vie est en toi. Je te rappelle que nous sommes tous, ici et ailleurs, les uns dans les autres, emboîtés littéralement.

Les mondes sont emboités les uns dans les autres, les être, ici et d’ailleurs, sont emboîtés les uns dans les autres. Tu verras que toute séparation ou discrimination par les mots ou par la distance, par les dimensions, ne veut plus strictement rien dire et tu comprendras à ce moment-là, l’essence même de mes mots d’aujourd’hui.

La vie va demander ta disponibilité de plus en plus grande, disponibilité à la Vérité, disponibilité au Réel, toutes tes dernières résistances tomberont, qu’elles soient celles de tes habitudes, celles de tes peurs, celles de tes projections.

Rien ne pourra tenir devant le Réel, rien ne pourra se maintenir au sein du rêve. Ce que je t’annonce est pure allégresse et pur amour, mais aussi pure sagesse. Tout le reste n’est que fatuité de la conscience et orgueil spirituel de ceux qui se mentent à eux-mêmes, espérant échapper au Réel et à la Vérité. Or personne n’échappera au Réel et à la Vérité, quoi que vous en pensiez, quoi que vous en disiez, rien ne peut éviter l’inévitable moment de votre rencontre totale avec vous-mêmes.

Nul délai ne peut être supporté, le temps a assez duré en son illusion. L’approche de ce signe céleste, peu importe le nom que vous lui donnez et peu importe sa représentation, est à l’horizon de votre conscience, je vous le dis. Ne cherchez pas la date, considérez que cela est déjà pleinement là, pleinement accessible au dedans de vous. Qu’attendez-vous alors pour vous trouver, pour vous retrouver, et aussi pour vous fêter et pour vous honorer.

Plus vous vous honorerez tôt dans le temps qui s’écoule, plus vous serez comblés de grâce, il ne s’agit pas de grâce matérielle ou de grâce spirituelle, mais de la vraie Grâce, qui justement ne dépend d’aucune circonstance, d’aucune récompense.

En le Silence de mes mots aussi, mes paroles auront (…) afin que ce que j’ai déposé en vous, au-delà même du sens de mes mots, s’embrase à l’intérieur de vous, parce que c’est un embrasement de joie, d’un feu qui dévaste tout et qui pourtant ne brûle pas. Les éléments sont à l’œuvre plus que jamais sur cette terre. Ils participent à votre réveil du rêve, ils participent à votre vie et au Réel.

Il va être temps pour moi de ralentir les mots et d’entrer en ce Silence en vous. Je reviendrai  compléter ce que j’ai à vous dire dans le Silence de votre cœur dans une heure. Si vous en avez l’occasion ou si vous dormez, restez dans cet état, il vous sera propice.

Je dépose en votre Cœur le Feu de Vehuiah et, par trois fois, je scelle mes mots.

Vehuiah, Vehuiah, Vehuiah.

Abba vous dit, à dans une heure.

NOUS SUIVRE

Tous droits réservés 2022 © Apothéose.live

Politique de confidentialité