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Jean-Luc Ayoun
Satsang Réponses aux questions posées
Sur les Groupes Agapè Facebook

Mardi 26 Octobre 2021

Voilà, nous allons donc commencer d’ici une petite minute. Je rappelle à nouveau que les questions auxquelles je vais répondre ne sont pas les questions que vous allez me poser maintenant, surtout pas. Ce sont les réponses aux questions qui ont été posées sur les différents groupes Agapè, Agapè Press Québec, Agapè Press Brésil, Espagne, et différents pays. Donc ce sont des questions qui ont été posées voilà déjà quelques semaines, voire quelques mois pour d’autres, et nous allons y répondre de cette façon, et je pense que ça permettra à des gens peut-être aussi d’avoir des informations.

Je vous rappelle que cet exercice, bon, on l’a appelé satsang si on veut, mais c’est plus une réponse aux questions qui ont été posées par écrit – se refera de temps à autre dès que nous aurons une vingtaine de questions, et ces questions sont à poser uniquement dans les espaces Facebook, Agapè Press, de quelque pays que ce soit.

Voilà. Il est donc vingt heures, bonjour aux nouveaux arrivants, et donc je vais commencer à lire les questions et y répondre.

Alors la première question a été envoyée par le groupe Agapè Press Québec, et elle m’a été envoyée cette fois-ci exceptionnellement par mail. Donc j’y répondrai en premier.

Voilà la question, d’autant plus que beaucoup de personnes que j’ai eu la chance de rencontrer au Québec posent la même question. Ces personnes aimeraient bien en savoir un peu plus sur le rôle du phare de l’Humanité, le Québec, et de tout ce contrôle qui est exercé sur les Québécois par ce gouvernement.

Quand je suis allé au Québec la première fois, vous vous rappelez pour certains d’entre vous, j’avais fait une vidéo annonçant la pandémie Agapè, et c’était en Juin 2019. Quelques mois après a eu lieu une autre pandémie qui était l’antithèse si je peux dire de la pandémie Agapè.

Donc, qu’est-ce qui se passe, pourquoi le phare de l’Humanité qui a été le Québec, comme il a été nommé par Omraam Michael Aivanhov, le pays en quelque sorte qui éclaire le reste par sa conscience, par son état d’Être, bien plus que par des actions, ou par une réussite sociale, économique ou autre. Il s’agit ici bien plus de l’âme québécoise si on peut dire, âme française au départ, et qui n’a pas été soumise à tous les aléas et tout ce qui s’est passé dans l’histoire de France, bien évidemment durant ces deux cents et quelques dernières années.

Bien évidemment, être le phare de l’humanité entraîne un certain nombre de conséquences, mais ces conséquences en elles-mêmes sont aussi la solution. Si vous voulez voir la Lumière, si celle-ci n’éclaire pas tout, vous avez plus de chance de la voir dans le noir.

Et plus vous allez exercer des forces de compression, de contrôle, d’asservissement, de noirceur on peut dire même dans tous les sens du terme, plus vous allez forcer en quelque sorte la Lumière à se révéler, à être vue, et par l’Intelligence de la Lumière de modifier les circonstances, par l’Intelligence de la Lumière et non pas par une réaction de ce qui se déroule actuellement sur la scène de théâtre mondial.

Donc bien évidemment, les mesures coercitives ne concernent pas exclusivement le Québec, il y a les autres pays qui sont bien servis, la France, l’Australie bien sûr, et d’autres que je ne citerai pas, qui sont à la pointe des thérapies si on peut dire, si on peut appeler ça thérapies.

Voilà, donc le Québec étant l’un des phares, et le phare premier de l’humanité, c’est-à-dire celui qui par son aspect conscience d’âme qui n’est pas marquée par la mémoire du peuple français depuis les temps de la révolution française, n’est donc pas soumise à cet asservissement qui a été progressif, comme c’est le cas en France.

Bien évidemment, le fait qu’il y ait noirceur comme je l’ai dit implique que la révélation de la Lumière se fait aussi de cette façon. Il en est de même pour chacun de nous dans ce que nous avons à affronter, à regarder, à traverser et à changer en nous, non pas par une quelconque volonté, mais par l’Intelligence de la Lumière, par ce que l’on a appelé l’accueil, l’instant présent, l’acceptation, le Oui du rêve, toutes ces choses là.

Au Québec, vous êtes donc emprisonnés, enfermés, contraints, de différentes façons. Mais il faut bien comprendre que c’est une incitation dans le sens le plus noble du terme à vous tourner encore plus vers l’intérieur. Parce que quand il n’y a plus rien à l’extérieur, quand vous êtes, on va dire, les parias de la société, les rebelles, ceux qui sont contre cette matrice et ce qu’elle veut nous imposer, dans un premier temps bien évidemment, on l’a dit, il y a le besoin de s’opposer, de combattre, d’être en colère, d’être dans le déni éventuellement.

Puis, petit à petit, comme dans la phase de la mort en quelque sorte du choc de l’humanité, vient une forme d’acceptation. Cette acceptation n’est pas une résignation. C’est vraiment le moment où un peuple entier, je parlais de l’âme du Québec si on peut dire, allait retrouver l’impulsion de ce « Je me Souviens » qui est la devise du Québec.

Donc avoir annoncé la pandémie Agapè au Québec n’est certes pas anodin, ça fait partie du script, il était écrit comme cela, et il était écrit aussi comme cela que la révélation et la conscientisation de la Lumière devait se faire à partir de certains foyers d’âmes, chaque pays effectivement est marqué à la fois par une histoire, mais aussi par une espèce d’égrégore d’âmes qui ont une polarité bien spécifique marquée par des éléments, marquée par des évènements bien sûr, mais aussi ce qu’on appelle l’âme des consciences qui sont incarnées et qui jouent le jeu de la conscience au sein de ce pays donné.

Voilà ce qu’on peut dire, c’est-à-dire que l’éclairage est de plus en plus accentué malgré la noirceur, comme une espèce de retournement intérieur salutaire, si on peut dire, salvateur aussi, qui vous met face à vous-mêmes, face à ce « Je me Souviens », et à la réalité de ce que vous êtes.

Voilà ce qu’on peut dire de manière assez simple sur ce qui est en train de se passer sur la scène de théâtre, non plus au niveau des individus, mais au niveau de ce qu’on pourrait appeler les pays, bien évidemment.

Alors, je vais passer à la question suivante. Voilà la liste des questions. Alors je vais essayer de trouver la traduction en français, bien sûr. Donc c’est une question qui apparemment nous vient du groupe du Brésil, ou d’Espagne, non c’est du Brésil, c’est du Portugais. Voilà la question. Attendez, parce que c’est traduit dans toutes les langues, voilà c’est du groupe Agapè Brésil d’abord. La première question de Claudia D.

La traduction en français.

Question : Salut Jean. Est-il encore possible de faire l’accueil avec Bidi à dix huit heures. Je sais que le moment exige le silence intérieur, mais cet accueil nous fait-il sortir du silence ?

Bien évidemment, pour ceux qui ont suivi l’histoire, il y avait des rendez-vous de résonance Agapè, de résonance ou de contact en tout cas avec cette entité qui était Bidi, comme ça a été proposé voilà de très nombreuses années avec les radiances archangéliques en 2009, ça, ça remonte à très longtemps.

Alors bien évidemment maintenant on va dire l’aspect du scénario est un petit peu différent, parce que nous découvrons de plus en plus que le temps n’existe pas, excepté dans l’instant présent, et tenir compte d’un horaire aujourd’hui me semble tout à fait superflu. Parce que vouloir fixer les choses dans un horaire vous limite quelque part, alors que cette possibilité vous l’avez à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, avec Bidi, avec vous-mêmes, avec ce que vous êtes en vérité.

Donc, de plus en plus, on va aller vers une simplification, et c’est déjà le cas pour beaucoup d’entre nous de ne plus être liés à des horaires d’aucune sorte, les fameuses habitudes quelles qu’elles soient. Vous le voyez bien pour ceux qui n’ont plus beaucoup, je dirais d’obligations familiales ou dans la société, qu’il est beaucoup plus facile par exemple de manger uniquement quand on a faim plutôt que de manger au moment où l’horaire convivial ou l’horaire sociétal vous l’impose.

J’ai vu une question sur la qualité de l’image, ne vous inquiétez pas, il est tout à fait normal qu’il n’y ait pas d’image, comme je suis seul avec ma feuille de papier et mon téléphone, vous n’avez pas besoin de voir mon visage, mais plutôt d’écouter.

Donc, en ce qui concerne l’accueil de Bidi à 18 heures, oui bien sûr, tu peux le faire à 18 heures, mais je te suggère de le faire à l’heure que tu souhaites, au moment où tu le sens, et de ne pas dépendre d’horaire qui avait été donné voilà déjà quelques années.

Deuxième question du groupe Agapè Brésil, de Antonio S.

Question : Y a-t-il un moyen d’entrer dans l’état de néant sans Samadhi ? Merci pour votre réponse.

Alors, ce que notre frère appelle l’état de néant, c’est-à-dire l’état Absolu ou de Parabrahman, n’a rien à voir avec le Samadhi. Le Samadhi était la Demeure de Paix Suprême, c’est-à-dire le stade ultime que la conscience peut atteindre, c’est Shantinilaya, la Demeure de Paix Suprême, l’état de Béatitude, l’état Naturel, l’état Agapè. L’état de néant ne dépend pas de l’accès au Samadhi, c’est bien ça qu’il est important de comprendre.

Il n’y a pas de hiérarchisation ou de besoin de passer par tel niveau ou tel autre niveau pour se retrouver dans l’instant présent, et en même temps dans ce néant total de la personne. Il n’y a pas à s’opposer à quoi que ce soit, ni à, je dirais, dépendre d’un état préalable pour toucher en quelque sorte et vivre cet état Naturel. L’état Naturel comme il a été dit, le Parabrahman, est là, qu’on le conscientise ou pas.

Mais si on ne le conscientise pas pour quelque chose qui n’a rien à voir avec la conscience, donc qui se situe à la lisière de la Supra conscience et de la A-conscience, c’est-à-dire l’état de néant comme selon la terminologie de notre frère, la meilleure façon aujourd’hui de vivre l’état Naturel, encore une fois et je l’ai dit dans le dernier satsang avec Elisa, c’est vraiment d’être dans cet accueil. Accueillir, c’est simplement être dans l’instant présent, accepter est la conséquence de l’instant présent.

Donc tout ça si vous voulez, c’est la même chose, c’est-à-dire que ça vous donne une disponibilité pour ce qui est et non pas pour ce que vous voulez ou que vous appréhendez, ou que vous souhaitez. C’est la lucidité de cet instant présent qui crée la Plénitude et cette Plénitude est un vide, c’est-à-dire que c’est la mise à mort, réellement, concrètement, de la personne, qui vous libère de vous-mêmes, mais ce n’est pas à proprement parler une libération.

On est limité par les mots parce que c’est quelque chose qui est reconnu comme ayant toujours été là, mais qui n’avait pas été vu auparavant. Ce n’est pas quelque chose à conquérir par un quelconque Samadhi, par une quelconque vibration, par une quelconque ouverture de porte ou de chakra. C’est bien plus de l’ordre de cette notion d’accueil/acceptation, qui vous met dans le présent, et qui supprime en vous le monde de la mort, c’est-à-dire le monde des mémoires, le monde de la souffrance.

Parce que, qu’est-ce que la souffrance finalement, si en définitive ce n’est pas une forme de résistance, inconsciente certes, à ce qui est, tout simplement. La douleur bien sûr existe et ça fait partie de notre condition, mais pas la souffrance. La souffrance est liée aux mémoires, la souffrance est liée aux appréhensions en ce qui concerne le futur, ce qui sera demain.

Mais dans ce qui est aujourd’hui, quand cela est pleinement accepté, intégré et vécu, alors à ce moment-là, il ne peut plus se poser la question du Samadhi, de la Kundalini, de la Shakti, du Samadhi ou pas du Samadhi. C’est tellement, effectivement, quelque chose qui dépasse tout ce qu’on a pu explorer ensemble, pour les plus anciens, que ce soit l’activation des chakras, des portes, des étoiles, la mise en action de l’Onde de Vie, des états vibratoires qui nous ont emmenés très loin dans l’expérimentation.

Mais en aucun cas l’état Naturel ne peut être issu d’une quelconque expérience ou d’une quelconque expérimentation. C’est uniquement la cessation de cela. Comme disait Ma Ananda Moyi, l’important n’est pas ce que vous faites, mais c’est ce que vous arrêtez de faire.

Et quand vous aurez compris que l’état Naturel ne vous met pas dans un état de légume, mais c’est la cessation du vouloir faire par soi-même qui induit l’action de la Grâce, l’action de l’Intelligence de la Lumière, et qui fait que votre vie devient cette résonance Agapè permanente, cet état où le personnage est accepté, où le personnage est vécu sans aucune restriction d’aucune sorte, mais où tout va se vivre finalement avec une fluidité extrêmement importante, et avec une facilité parfois déconcertante.

Je précise, quels que soient les problèmes de la personne, quels que soient les problèmes du corps, quelles que soient les difficultés sur quelque plan que ce soit, surtout en cette période.

La ressource, c’est vous-mêmes. La ressource, comme on a dit et répété durant toutes ces années, c’est le Cœur du Cœur, c’est le temps Zéro, c’est le point d’où naît la Vie, c’est-à-dire ce Néant et ce Tout que nous sommes dans le même temps. C’est-à-dire accepter notre limitation et notre illimitation, et ce n’est qu’au travers de cela que l’état Naturel se vit.

Le Samadhi est aussi, je dirais une forme quelque part de piège. Nous ne sommes pas tous destinés à vivre des Samadhi permanents comme Ma Ananda Moyi, mais bien plutôt à être totalement présents à ce que nous sommes, à ce que ce monde est et à la Vérité que nous sommes. Et tout ça dans le même instant, et tout ça dans le même présent, et tout ça dans le même accueil, la même acceptation, et finalement la même transcendance qui est, encore une fois, Naturelle.

Alors, nous allons maintenant passer à la question suivante. Alors attendez, que je me retrouve dans toutes les langues. Alors, question toujours du groupe Agapè Brésil, de Margarida A. Alors, attendez, je cherche la traduction en français, voilà.

Question : Bonjour cher frère Jean-Luc. J’ai appris dans un des satsans « Vacances en Espagne » avec Elisa que les octaèdres de fluorine ne doivent pas être mis dans l’eau. Et bien en apprenant les cristaux, j’ai fait cette erreur. J’aimerai savoir s’ils sont devenus inutilisables, si ce ne sont que les cristaux énumérés en ferreux ou bruts qui deviennent inutilisables.

Alors, si vous laissez tremper, ce qu’on appelle un octaèdre de fluorine plusieurs fois dans l’eau, oui, il va se dégrader. Si c’est trempé une fois, une ou deux fois de temps à autre, la fluorine ne se dégradera pas. Bon, bien évidemment, les métaux ferreux, si vous mettez une pyrite dans un verre d’eau, vous allez retrouver du sable le lendemain, du sable ferreux.

La question est très courte, la réponse le sera aussi, c’est-à-dire que pour la fluorine, effectivement, d’autant plus dans les formes non polies mais naturelles, que ce soit sous forme cubique, octaédrique ou rhomboédrique, naturelle, ne jamais les mettre dans l’eau ou le moins souvent possible.

C’est un petit peu différent si les octaèdres par exemple ont été repolis, à ce moment-là, l’eau ne peut plus s’infiltrer à l’intérieur. Mais si c’est une pierre brute, non, il vaut mieux, en tout cas pour la fluorine, il vaut mieux éviter de la laisser tremper dans de l’eau pendant plusieurs heures. Mais elle est toujours utilisable. Voilà.

Alors, nous allons passer maintenant aux questions du groupe Agapè France. La première, là je n’ai pas de traduction parce que tout est en français. On y va, la première de Marjolaine C.

Question : Bonjour Jean-Luc. Pourrais-tu élaborer sur la scène finale où iront les âmes qui n’auront pas encore été élevées dans l’Êtreté complètement.

On parle de 3D unifiée. Ça, ça faisait partie du scénario classique si on peut dire de l’Ascension. Mais depuis de nombreuses années, il y a eu quand même des découvertes qui ont été faites, qui ont radicalement changé la donne. Si je reprends ce que je disais juste avant, que le temps n’existe pas, il existe dans la personne, il existe pour le rêve, il existe pour la scène de théâtre, il existe pour les échéances de la société ou autre, mais il n’existe pas intimement.

Et quand cela est vécu, bien évidemment, quel est l’intérêt de rejoindre un monde quel qu’il soit, en tout cas un monde de la forme. Je vous garantis que quand on s’installe ou quand on découvre l’état Naturel, qui est vécu par de plus en plus de frères et de sœurs, et bien à ce moment-là, bien évidemment, on n’a absolument pas de désir de mondes, de formes, de corps ou de quoi que ce soit.

On sait qu’on est complet, on a retrouvé le souvenir de Qui on était avant la conscience, et avant la création. C’est dans cet état là, dans cette certitude là qui est établie en nous qu’est l’état naturel Agapè. Donc, à ce moment-là, le scénario ne concerne pas seulement ceux qui aujourd’hui vivent l’état Agapè, mais concerne l’ensemble de la création.

L’homme, comme disait Bernard de Montréal, est à la position la plus haute et non pas la plus basse. Il a en lui toute la création. La seule chose que Bernard ne pouvait pas voir à l’époque, c’est que le temps n’existe pas, et le fait fondamental est là. Quand vous vivez le temps zéro, quand vous comprenez en le vivant, sans aucune explication, sans aucune raison, que cela est véritable, et ça ne peut pas être autrement, à ce moment-là, il n’y a plus de place pour une évolution d’une âme, d’un esprit ou de quoi que ce soit.

Le monde nous apparaît pour ce qu’il est, un rêve, un cauchemar même on peut dire en ce moment, mais en tout cas, ça n’a rien de réel. Tout ce qui est temporaire, tout ce qui naît, et tout ce qui meurt n’est pas vrai, absolument pas ! Et comme nous sommes de plus en plus nombreux à en témoigner, de différentes façons à le vivre, nous savons que c’est une imposture totale, et que, comme disait Nisargadatta, la conscience est la perfide, est une maladie.

Mais nous avons trouvé la source, non pas de la Lumière, non pas la source de la conscience, mais Qui nous sommes, c’est-à-dire ce qui est au-delà de l’Êtreté, au-delà de l’Être comme au-delà du Non-Être. C’est être installé dans cette Vérité, dans quelque chose « retour » au point de départ, c’est-à-dire l’alpha rejoint l’oméga, et l’oméga rejoint l’alpha, fin du mythe de la création.

Et donc là il n’est plus question de scénarios dimensionnels, il n’est plus question de nouvelle race racine ou d’une quelconque évolution. Fin du mythe involutif et fin du mythe évolutif. Tout ça n’était qu’une escroquerie, tout ça n’était qu’un rêve, et tout ça n’était surtout pas ce que nous sommes, même si nous y sommes, et il faut d’ailleurs y être pour le découvrir.

Et c’est pour cela que l’ensemble de la création a rendez-vous sur la Terre, l’ensemble des temps, l’ensemble des espaces apparents du rêve est prêt pour cette communion, ce « clap » de fin de ce qui n’a en réalité jamais commencé.

Donc les histoires d’âmes aujourd’hui, je vous conseille d’oublier tout cela. Oubliez les chakras, sauf si vous êtes thérapeutes et que vous méditez ou faites du yoga. Mais pour trouver ce que vous êtes, vous ne devez pas vous encombrer de tout ça.

C’est tellement simple que toutes les étapes vibratoires que nous les anciens avons vécues, l’ouverture des portes, des chakras, l’activation du corps d’Êtreté, la réactivation du Cœur d’Éternité, ce tetractys hexaèdre, tout ça nous l’avons vu, nous l’avons vécu, nous l’avons senti, nous l’avons perçu. Et nous sommes innombrables dans tous les pays du monde à avoir vécu ce processus, qui a permis de libérer la Vérité, mais qui ne nous permet pas de vivre la Vérité.

Parce qu’à un moment donné, il faut lâcher toutes les connaissances et comprendre, par le Vécu, que toutes les connaissances que nous avons eues, que nous avons traversées, que nous avons appliquées dans notre vie, ne sont que des succédanés de la Vérité. La Vérité n’est pas une connaissance, la véritable connaissance est l’état d’ignorance, celui où il n’y a ni conscience, ni lumière, ni ombre et surtout ni monde.

C’est la Demeure de Félicité Éternelle, celle qui ne peut être définie en mots, et qui pourtant aujourd’hui est vécue par un nombre toujours plus grand de frères et de sœurs.

Donc, il n’y a pas de scénario final. Le scénario final, c’est : Oh ! la grande bleue ou la grande blanche, la lumière flash galactique avec rotation de la Terre, visibilité de Nibiru, trompettes, basculement des pôles, on pourrait – et d’ailleurs ça a été fait – en faire des innombrables prophéties, mais au-delà de l’évènementiel, ce qui est fondamental, c’est que Nous Nous retrouvons. Nous savons qui Nous sommes, non pas dans le jeu du rêve de l’incarnation et des dimensions, mais En Vérité, c’est-à-dire bien antérieurs à tout cela.

Et quand je dis antérieurs, à la limite ce mot là même ne veut rien dire, nous sommes à la fois le Rien et le Tout, à la fois l’Ultime et le Premier, à la fois l’Alpha et l’Oméga. Nous sommes l’ensemble des rêves, nous sommes l’ensemble de la création, il n’y a qu’une conscience, et cette conscience Une est, elle aussi, une illusion.

Et ça, si vous voulez, c’est non négociable. C’est-à-dire que ce n’est pas quelque chose qui peut être prouvé, ce n’est pas quelque chose qui peut être mis en mots, mais c’est quelque chose qui est de plus en plus accessible si je peux dire.

Tournez-vous au dedans de vous, tournez-vous au plus intime de vous et le monde est fait pour vous amener, comme on disait tout à l’heure à propos de ce qui se passe dans certains pays, jusqu’au dégoût le plus profond, jusqu’au cauchemar le plus absolu, jusqu’au moment où vous vous réveillez et vous voyez que c’est un cauchemar.

A ce moment-là, vous êtes de retour dans votre corps présent, dans ce corps fini, dans ce corps peut-être souffrant, mais vous êtes libres. C’est-à-dire qu’à ce moment-là, vous avez vécu la Vérité, et cette Vérité ne peut plus vous quitter. Et vous ne pouvez plus être dupes d’une quelconque spiritualité, d’une quelconque énergie, d’un quelconque cristal.

Ce qui ne veut pas dire par exemple que je ne vais pas utiliser des cristaux pour soigner la personne, bien évidemment, ça j’ai même donné des protocoles cristaux ces derniers mois, un certain nombre d’informations je dirais de santé, parce que bien évidemment il faut aussi continuer ce rêve, il faut l’accepter. Parce que s’il y a le moindre rejet, à ce moment-là, vous vous placez en-dehors de vous-mêmes, puisque c’est le scénario que nous avons écrit, que chacun de nous a écrit.

Autrement dit, vous ne pouvez pas être à une autre place que celle où vous êtes aujourd’hui, et il n’y a pas de meilleure place pour vous retrouver.

Allez, on va passer à la question suivante du groupe Agapè Press, Paula D.

Question : Bonjour Jean-Luc. Ma question concerne la scène de théâtre. Certes, la pièce est écrite depuis l’origine, les acteurs sont en place, mais toutes ces émotions que nous procure malgré nous ce rôle assigné, me semblent ajouter une couche supplémentaire de temps au déroulement de la pièce. Est-ce un peu cela ?

Alors, oui, tout à fait, parce qu’à partir du moment où il y a une contrainte, à partir du moment où il y a une souffrance, qu’elle soit physique, qu’elle soit sociétale, qu’elle soit psychologique, peu importe, à partir du moment où vous ressentez une souffrance, bien évidemment la logique va vous faire rechercher une solution à l’extérieur de vous.

Alors que toutes les circonstances de notre scénario, de notre script personnel comme collectif, comme au niveau des pays, nous emmènent directement à accepter les choses telles qu’elles sont. C’est un mécanisme à la fois mystique et scientifique, je ne vous donnerai pas les fondements neuroscientifiques ce soir, ce serait un peu long, mais réellement, quand il y a une acceptation, il y a une transcendance.

Cette acceptation comme je l’ai dit vous place dans l’instant présent et donc qui est une forme d’acceptation et d’amplification de l’accueil. C’est le moment où vous ne vous posez plus de question sur le pourquoi du comment, vous constatez simplement que cela Est.

Bien sûr, vous avez le droit de ressentir que ça vous gêne, vous avez le droit de ressentir une douleur, vous avez le droit de ressentir une contrariété. Il n’est pas question de bloquer quoi que ce soit, encore une fois là aussi, mais il est question de le traverser. C’est-à-dire d’accepter ce qui est, ne vous posez pas la question de savoir comment vous allez faire, parce que c’est justement quand vous cessez de faire, par rapport à un évènement qui vous arrive, à quelque niveau que ce soit, que la solution va apparaître.

C’est-à-dire que les circonstances de nos vies, les circonstances de la société, les circonstances de la création dans sa totalité, nous amènent aujourd’hui collectivement et individuellement à cette résilience ultime de l’acceptation de l’inacceptable. Et cela, je dirais de manière quasiment synchrone, en tout cas, pour l’ensemble des humains, que ce soit le flash galactique, que ce soit la visibilité de Nibiru, que ce soit le basculement des pôles, que ce soit un évènement sociétal, ça n’a aucune espèce d’importance.

Mais nous le sentons pour la plupart, nous sommes à l’aube d’un évènement. Alors ce qui est intéressant, ce n’est pas le pré-évènement, de bâtir un nouveau monde, ou de bâtir une nouvelle conscience. L’important, c’est de sentir en soi cette aptitude à l’instant présent, cette aptitude à la fois à la Joie, mais aussi au Silence, c’est-à-dire le Silence qui est en quelque sorte l’acceptation totale de ce qui est. Ce n’est pas la fin des pensées. Le Silence, je dirais, est une forme de magnificence de l’accueil et de l’acceptation, une sublimation.

Parce que c’est là que vous allez être en quelque sorte le plus disponible à vous-même, le plus disponible à ce que vous êtes en Vérité, et que vous ne pouvez que reconnaître même si cela vous est inconnu l’instant d’avant.

(Petite parenthèse)

Je réitère ce qui a déjà été dit parce que je vois passer sans arrêt : « Je ne parviens pas à vous voir, c’est normal ? ». Il s’agit d’une audio, pas d’une vidéo, donc il n’y a pas d’image, il y a juste du son.

(Fin de la parenthèse)

Alors, quant à la personne qui pose cette question, bien sûr elle parle d’émotions, et pour elle, elle a l’impression que les émotions vécues par rapport à elle, par rapport à la société ou par rapport à n’importe quoi, semblent rajouter comme elle dit une couche supplémentaire de temps, c’est-à-dire l’impression que cela dure au déroulement de la pièce.

Alors non, pas du tout, pas du tout, parce que plus il y a souffrance, plus il y a cette impression d’émotions importantes, plus cela va vous engager à ce retournement intérieur salutaire, c’est-à-dire à laisser être finalement ce qui est. C’est ça accepter le scénario. Et comme Bidi l’a dit, comme je l’ai dit aussi, vous ne pouvez rien changer au film, le film, il a été écrit.

Alors bien sûr, vous allez me répondre : « Mais elle est où la liberté de choix ? ». Mais il n’y en a pas ! Et c’est justement le fait de comprendre que vous n’avez pas le choix que d’être que ce que vous êtes, quelles que soient les circonstances, et c’est la suppression de tout ce qui est extérieur de toutes les manières possibles qui vous amène à vous-mêmes. Il y a moins de distractions, il y a moins d’occasions d’être dans la société, qu’on devrait appeler la matrice aujourd’hui, c’est plus une matrice qu’une société.

Mais voyez toutes les opportunités qui vous sont offertes par les circonstances même de cet aspect dramatique de notre époque, qui sont justement les moteurs de votre résilience, de votre résurrection, mais aussi de vous retrouver en toute simplicité au-delà de tous les alibis psychologiques, mémoriels, liés à la forme, liés à votre incarnation, liés aux mémoires, liés aux projections, c’est-à-dire là aussi vous allez découvrir l’immensité de l’instant présent.

Ça passe à la fois par la conjonction et la réunion de la personne, de ce qu’on appelle la lumière, mais aussi de ce qu’on appelle le néant qui est à l’origine de la lumière. Et ce néant n’est pas vide, ce néant est plein et vide en même temps. Il comprend tous les aspects de la vie, il comprend tous les particularismes de la conscience Une, tous les jeux de la création, toutes les scènes de théâtre, et jusqu’au mélodrame de cette Terre.

Et donc le mélodrame entre guillemets, puisque cela n’a jamais existé, comme disait Bidi : « Le théâtre n’existe pas, ce n’est qu’un rêve », mais il faut, pour sortir du rêve, quelque chose de désagréable. Et quoi de plus important que justement de vivre un cauchemar pour vous réveiller. Il est très difficile de se réveiller quand on rêve de façon agréable d’autres mondes, d’avenir, de supprimer son passé. Ce n’est pas du tout la même chose.

Par contre, quand vous acceptez que tout cela est un leurre, que tout cela est un rêve, certes votre personnage est toujours là, certes votre histoire est là, mais vous n’êtes plus cette histoire, vous n’êtes plus cette personne, mais vous le vivez consciemment. Ça ne vous empêche pas de vous exprimer par cette personne, ça ne vous empêche pas d’avoir une vie familiale, peut-être encore sociétale même, mais vous êtes lucides, vous êtes totalement lucides.

Donc, même cette notion comme le dit Paula de voir une couche supplémentaire de temps avec les émotions, non, ce n’est pas une couche supplémentaire, c’est un éclairage, c’est aussi une consumation, et cette consumation bien évidemment au début elle peut entraîner une impression de durée, une impression de quelque chose qui n’en finit pas, mais c’est justement comme cela que ça va, je dirais se consumer le plus facilement.

C’est encore le fait d’être soumis à la pression du temps qui crée la souffrance. Bien évidemment, le corps lui est soumis au temps, on ne peut pas le nier, mais ce que nous sommes, nous ne sommes pas ce corps, nous ne sommes pas non plus les émotions que nous devons traverser et vivre, nous ne sommes pas nos pensées, nous ne sommes pas nos corps passés, nous ne sommes pas plus ces corps du futur qu’on appelle la race bleue.

Nous sommes simplement ce que nous sommes, là, aujourd’hui, simplement dans l’instant, et en allant vers cette simplicité, bien évidemment, et bien ça va être effectivement, concrètement, de plus en plus simple à vivre, à comprendre, à exprimer, mais aussi à faire le silence en soi, et à privilégier le monde de la Vacuité au monde de la forme et au monde de la manifestation.

Nous sommes à la source de la manifestation, nous découvrons le mystère de la création, nous vivons le mystère de l’alpha et de l’oméga. Dit en termes simples, nous vivons cet instant présent.

Bien sûr, les contrariétés de la personne, les devoirs, les obligations, voire les douleurs, mais qui ne sont plus des souffrances, sont vues, elles ne sont pas travesties, elles ne sont pas interrogées, et c’est justement ça qui est un baume même pour ces souffrances parce que la Joie effectivement d’Agapè, de l’état Naturel, va recouvrir toutes ces souffrances, toutes ces blessures, toutes ces mémoires, toutes ces projections, et vous placer de manière de plus en plus claire chaque jour, chaque semaine, chaque mois, chaque année, dans cette espèce de naturel, dans cette espèce de facilité.

Oui, c’est une facilité, et plus c’est compliqué à l’extérieur je dirais, plus c’est quelque chose de facile parce que nous ne sommes pas justement distraits, parce que nous ne sommes pas occupés à autre chose que ce que nous sommes. Et effectivement, ce qui se vit en ce moment, est une opportunité inespérée, même si elle a été écrite pour vivre ce que nous avons à vivre, c’est-à-dire nous retrouver.

Alors, j’essaie de passer à la page suivante. Alors c’est une question toujours du groupe Agapè France de Yvette.

Question : Combien de temps porter les magnétites ?

Alors je rappelle que ce qu’on appelle porter les magnétites, c’est ce qui avait été donné voilà quelques mois, l’octaèdre de magnétite qui est une pierre naturelle qui se présente donc sous forme octaédrique spécifiquement, qui est une pierre qui génère un champ magnétique unipolaire et qui va s’opposer aux distorsions des champs magnétiques.

Il avait été recommandé de porter cette magnétite pour différentes raisons, que ce soit par rapport à ce qu’on appelle la cinquième vibration – il ne faut pas dire le mot sans ça ils vont nous couper, enfin vous voyez ce que je veux dire – et qui palliait aussi les effets secondaires de certaines particules de certains médicaments qu’on vous mettait avec une aiguille. Bref.

Alors la question était de savoir combien de temps porter ces magnétites. Personnellement, moi je la porte quasiment tout le temps, certains ont besoin de la porter deux, trois jours, de la retirer, de la remettre ou de l’enlever pour la nuit. Là je crois que vraiment il n’y a pas de règle, chacun fait comme il le sent avec les octaèdres de magnétite.

Alors, nous avons ensuite une dernière question du groupe Agapè France, de Marina C.

Question : Bonjour à Jean-Luc, bonjour à tous. Ma question concerne le protocole Spike. En plus de la lithothérapie, quel soin énergétique est compatible. Merci d’avance.

Alors pour ceux qui entendraient parler pour la première fois du protocole Spike, je précise simplement que c’est un protocole qui utilise des cristaux très précis, vous retrouverez ça sur mon mur, avec des séances où les cristaux sont placés sur le corps, qui vont permettre de neutraliser les effets de cette fameuse protéine. Nous sommes innombrables aussi à avoir échangé entre nous, soit sur Facebook ou directement, pour constater que quelqu’un qui a reçu son injection, « pique » quand on est avec eux en milieu un peu fermé. Et le protocole Spike bien évidemment permet de supprimer totalement les effets néfastes de cette protéine pour ce qui est « respire » !

Alors, elle me demande quel soin énergétique est compatible, je ne vois pas, alors bien sûr au niveau des produits, on avait parlé du L-Glutathion, on avait parlé de la N-acétylcystéine. Maintenant, les soins énergétiques, quels que soient les soins énergétiques, ils me semblent compatibles quels qu’ils soient.

Le point qui est à préciser aussi pour le protocole Spike, là je parle des cristaux, c’est que beaucoup ont constaté au bout des six semaines, c’est-à-dire qu’au départ il était préconisé de faire deux séances par semaine pendant trois semaines, et après les gens se sont aperçus que quand ils faisaient ça, soit tous les quinze jours, soit tous les mois, ça redonnait un coup de fouet et ça re-diminuait l’insensibilité dans les lieux clos, en tout cas par rapport à ceux qui respirent du Spike.

Voilà, donc les soins énergétiques, ils sont tous compatibles, il n’y a pas de type de soins énergétiques plus compatibles qu’un autre avec le protocole Spike en cristaux.

Alors, nous allons passer maintenant aux questions du groupe Québec. Alors la première, on y a déjà répondu, alors là c’était Bidi 23 heures et pas 18 heures comme au Brésil, en France c’était 23 heures.

Question : Est-ce que la résonance de Bidi à 23 heures est encore présente ?

Oui, elle est présente, mais sortez, alors je le répète très brièvement, ne vous limitez pas dans le temps. Il y avait effectivement des rendez-vous qui ont été donnés durant de nombreuses années, pour en quelque sorte amplifier l’effet de la conscience de groupe si je peux dire, ça n’a rien à voir avec des égrégores émotionnels ou astraux, c’était simplement pour avoir un aspect sur un focus d’un ensemble de consciences qui permettait d’amplifier tout simplement le processus de la résonance.

Alors, une question un peu bizarre aussi dans le groupe Agapè Québec, de Didier S.

Question : Bonjour, N-Acétylcystéine 200 mg – un par jour, urgent, pour quel usage ?

Ah, ça c’était simplement parce que j’avais dû mettre sur mon mur avant d’expliquer simplement de prendre la N-acétylcystéine 200 mg ou 300 mg plutôt maintenant, avant d’expliquer pourquoi.

Simplement la N-acétylcystéine est le précurseur du L-glutathion, qui est l’antioxydant le plus efficace du corps humain, qui est présent dans le corps humain. Donc en renforçant l’effet antioxydant, on va limiter l’oxydation à ce qui est lié, à tout ce qui est présent, à toutes les bêbêtes (petites bêtes) qui sont présentes dans ce qu’on appelle une injection thérapeutique.

Voilà, donc la N-acétylcystéine est un moyen préventif aussi des effets des protéines Spike, par exemple, par son effet antioxydant.

Bien, voilà donc pour cette question dont la réponse est aussi très brève.

Alors, je tourne la page. Il y en a dix huit, je ne sais pas combien j’en ai passées encore. Une question qui est posée par écrit là.

Question : Est-ce que 500 mg de N-acétylcystéine est aussi OK ?

Oui, vous aurez beaucoup de difficulté à trouver du 300 mg, parce qu’en général la N-acétylcystéine ou la carbocystéine, en général se trouve dans des sachets de poudre de un gramme huit. Il y a des formats 600. Donc à ce moment-là si vous avez du 600 mg ou du 500, il vous suffit de prendre simplement un comprimé sur deux, mais de prendre ça au long cours. D’ailleurs, la N-acétylcystéine ne coûte rien.

Alors, autre question, on est toujours dans le groupe … Alors attendez. Là il y a une question, je ne comprends pas bien.

Question : J’aimerais avoir des informations quant au prix et où je peux me procurer …..

Il n’y a pas de suite. Donc je suis désolé, mais pour la question de Jeannine, là, je ne peux pas répondre.

Ensuite, une question toujours dans le groupe Agapè Press Québec, de Steve.

Question : Bonjour Jean-Luc. J’ai des octaèdres de magnétite de dix à quatorze millimètres. Est-ce que c’est correct de percer un petit trou au travers pour passer un petit anneau pour le suspendre à un collier ?

Et la deuxième question par rapport à ça.

Question : Est-ce que un seul octaèdre de magnétite de cette grosseur suffit ?

Oui. A partir de dix millimètres, un seul octaèdre monté en pendentif autour du cou suffit largement. Est-ce qu’on peut effectivement le percer ? Oui, vous ne détruisez pas l’onde de forme si je peux dire qui est émise par l’octaèdre en perçant un trou sur un des sommets pour placer un petit anneau effectivement.

Vous pouvez aussi l’entourer avec du fil d’argent ou aussi simplement le coller sur un support spécial avec une colle forte, il n’y a aucun problème.

Alors, encore une question du groupe Agapè Press Québec de Paul.

Question : Bonjour Jean-Luc. C’est après avoir reçu une ou deux … de l’injection, y a-t-il une colonisation potentielle de nouvel ADN en voie de gestation, amenant ainsi la naissance, croissance d’une substance hybride, peut-être prenant place au sein même du corps physique ? Si oui, de combien de temps dispose la personne pour se débarrasser, nettoyée de la présence de cet envahisseur, avec les protocoles ?

On parle bien évidemment de ce qui préoccupe tout le monde en ce moment. Alors, oui, la réponse bien évidemment, il y a modification bien évidemment de l’ADN, mais bien plus grave de ce qu’on appelle le système immunitaire acquis, c’est-à-dire une disparition extrêmement rapide de défenses immunitaires tournées vers les germes que pourtant nous avons affrontés et connus.

C’est-à-dire ce qu’on appelle les lymphocytes Natural killer disparaissent sur les moindres prises de sang qui sont faites. Je ne parle même pas des dimères et tout ça, il y a suffisamment de documentation là-dessus. Il est peut-être facile de s’en débarrasser au début je dirais Paul, mais je dirais que la limite est vraiment à brève échéance. C’est-à-dire que si rien n’est fait au bout de trois à quatre mois, je crains que l’aventure ne se termine, de la même façon que les autres d’ailleurs, mais par la fin de ce corps.

Donc on peut enrayer les dégâts, oui, dans une certaine mesure. Bien sûr entre là-dedans le scénario même de celui qui a reçu ça. Rappelez-vous ce que disait Bidi et qu’il nous appartient de vérifier, à nous, quand nous vivons l’état Naturel, à savoir que ce qui doit arriver arrivera quoi qu’on fasse, et ce qui ne doit pas arriver n’arrivera pas, quoi qu’on fasse.

Quant à la substance hybride, oui, ça ressemble à ce qu’on appelle un symbiote, un peu comme dans la série à l’époque, comment s’appelait-elle, Stargate, c’était la bêbête qui prenait le contrôle de l’esprit. Oui, c’est exactement ça, ça fait partie de ce qu’on appelle le transhumanisme, et aussi l’humain amélioré, enfin ils appellent ça comme ça, l’humain amélioré, c’est-à-dire celui qui a un ADN modifié.

Alors attendez parce qu’après j’ai des remerciements, des remerciements. Alors nous allons passer maintenant au groupe Agapè Espagne. Excusez-moi, là il faut que je retrouve la traduction, voilà. Donc pour le groupe Agapè Espagne, question de Peppa P.

Question : Si tout est écrit, n’est-il pas contradictoire que nous soyons co-créateurs ? Merci beaucoup.

Et bien non, justement, c’est nous qui l’avons écrit. Donc si on l’a écrit, nous jouons notre propre script, si tout est écrit, ça a été écrit par nous, et ça va justement avec ce qui avait été expliqué durant les années 2017/2018, avec la co-création consciente, avec le Féminin Sacré. C’est justement parce que nous sommes les rêveurs que nous sommes les créateurs, et ça c’est une prérogative, je dirais de l’humain, ici, présent sur cette Terre, et non des archanges ou des maîtres, ou de je ne sais quelle hiérarchie un peu bizarre.

Nous sommes le Souverain Intégral, nous sommes l’Éternité, nous sommes à la fois les créateurs, et c’est nous qui avons écrit cela, personne d’autre. Et c’est en cela qu’on se reconnaît aussi dans l’état Naturel.

Alors, après nous avons une question du groupe espagnol aussi de  J. (…) qui demande :

Question : Est-ce qu’un enfant de six ans peut faire le protocole Spike ?

Aucun problème, si vous arrivez à le faire tenir tranquille vingt minutes, les yeux fermés. Voilà, c’est la plus grande difficulté qu’on rencontre chez les enfants, c’est de les faire tenir tranquille au moins les dix premières minutes. Protocole Spike, protocole cristal en général, ça dure une vingtaine de minutes. Chez un enfant, si vous dépassez dix minutes, surtout avec ce protocole là qui est un protocole qui je dirais est très énergisant, très stimulant, ce n’est pas du tout du quartz rose ou de l’aigue-marine qui va endormir l’enfant, mais qui va plutôt le réveiller.

Donc si l’enfant est capable de rester immobile dans le noir et de fermer les yeux avec les pierres sans bouger, pourquoi pas. Sinon, amusez-vous bien.

Alors, encore une question du groupe Agapè Espagne. Alors, c’est une question qui remonte apparemment au mois d’août.

Question : Le 12 août dernier, Jean-Luc a posté un QR code sur Facebook. J’ai appliqué le lecteur de code, et il me montre quelque chose à propos d’un anti virus standard. Si quelqu’un sait ce que cela signifie, merci de l’expliquer.

Euh, non, j’avais mis simplement un code QR qui était le QR code de mon compte VK. Pour quelle raison, je ne sais pas, comme tout le monde parlait beaucoup de QR code, donc je pouvais montrer que n’importe qui pouvait avoir un QR code à propos de n’importe quoi. Il n’y avait rien de plus.

Alors, nous allons continuer. Attendez, je tourne les pages, mais je reprends le groupe Espagne, il n’y avait que ces deux questions, je vérifie, accordez-moi deux minutes.

La question concernant Jeannine, où je n’ai pas pu répondre sur les informations quant au prix et où je peux me procurer … alors c’est soit pour les cristaux, soit pour la N-acétylcystéine. Pour la N-acétylcystéine, vous tapez ce nom sur n’importe quelle boutique diététique ou de complément alimentaire, évitez simplement de l’acheter en pharmacie, il vaut mieux une forme vegan naturelle que une forme pharmaceutique. D’ailleurs en pharmacie, vous ne trouverez qu’un dosage qui est à, comme je l’ai dit, 1800 mg, un gramme huit, qui est beaucoup trop.

Si c’est les cristaux, je vous renvoie à Elodie, sur Cristal-en-vie.com, sur Facebook.

Voilà, je crois qu’on a répondu a priori à toutes les questions que nous avions.

Alors, si vous aviez bien évidemment des questions à poser par ce biais-là, vous pouvez les poser donc par écrit sur les différents groupes Agapè, notre sœur Keyza se charge de les collecter si je peux dire, et ensuite me les transmet, et dès qu’on en a, je dirais une bonne vingtaine, à ce moment-là, nous annoncerons aussi le prochain satsang de réponses aux questions.

Voilà, je vous souhaite à tous une bonne soirée, avec beaucoup d’Agapè et beaucoup de Paix.

A une prochaine fois.

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