Blog (español) : Link   Blog (português) : Link

Groupe Facebook (português) Shantilinaya : Link

Téléchargement (download) :  Audio MP3

Satsang 1
Vacances (20 au 25 Juillet 2022)

20 Juillet 2022

Bien. Allez, qui lance les débats, les questions, des choses à dire.

Alors je vais peut-être lancer le débat. J’ai déjà eu l’occasion d’en parler, je crois dans un Satsang avec toi, il n’ya pas longtemps, mais c’est très important. Aujourd’hui, au niveau des ondes, vous avez une modification extrêmement importante de la puissance qui est émise par les Bluetooth et les Wifi.

Je ne parle même plus de 5G là, je parle vraiment de ce qui se passe avec nos téléphones. Le Bluetooth est passé en 4,2 gigahertz. Ce sont des ondes millimétriques, ce sont des ondes toxiques pour le corps humain.

C’est-à-dire que, dès que vous avez le wifi ou le Bluetooth branché, même sans parler de 5G, vous êtes déjà touchés. C’est très important à comprendre, dernier exemple en date, c’est moi-même, je suis rentré à Aldi (magasin) là-haut avec mon téléphone allumé et le wifi, je suis rentré dans le magasin, j’en ai pris plein la gueule. Je suis ressorti en une minute, j’étais cassé pour toute la journée.

Donc il ya de plus en plus d’effets secondaires, même chez les gens qui ne s’en rendent pas compte, parce que ces fréquences là qui sont utilisées à la fois dans le Bluetooth, dans les box des maisons, émettent en 4 gigahertz. 4 gigahertz c’est l’équivalent de la 4G plus, plus. C’est à dire que vous êtes irradiés en permanence.

Les effets peuvent être compensés, bien sûr, et même en étant compensés, vous risquez d’avoir des atteintes assez importantes. Alors souvent au niveau pulmonaire, ça ressemble comme par hasard à une infection respiratoire, des maux de tête, des diarrhées, sentiment d’irritation, de picotements sur la peau qui sont absolument intolérables.

Et ça, tant que vous avez, même si vous n’êtes pas reliés à un réseau mobile mais que vous avez une box chez vous, un wifi allumé sur votre téléphone donc, ou même le Bluetooth simplement, vous en prenez plein la gueule. Et les effets sont constants, même si vous dites ‘’moi ça ne me fait rien, je ne sens rien’’, ce n’est pas vrai.

Ça va mettre un certain temps, quand on est hyper sensible comme nous, moi je sais que dès qu’une box est allumée, je ne peux plus boire, je ne peux plus respirer, c’est comme ça. Alors dans les moyens les plus simples de protection de ça, vous avez d’abord la limitation des ondes reçues et émises, par la shungite, vous avez aussi bien sûr des pendentifs en shungite, vous avez les bracelets de shungite, enfin la panoplie complète, en sachant que ça ne bloque pas tout sur ces fréquences-là, toutes les ondes ne sont pas arrêtées.

La seule façon de se protéger c’est, soit de contrer l’inversion des champs magnétiques qui sont créés par cette fréquence, alors ça, on en avait parlé l’année dernière, ce sont les fameux octaèdres de magnétite qui limitent quand même énormément l’absorption de ces ondes dites millimétriques.

Vous avez ensuite des molécules, des compléments alimentaires qui permettent aussi de protéger la cellule parce que, bon, ces ondes vont entraîner une perméabilité de la membrane cellulaire, donc une destruction de votre homéostasie avec libération de particules ARN, libération de ce qu’on appelle les protéines Spike aussi que vous avez chez les gens vaccinés et qui vont vous détruire. Et il ya de plus en plus de gens qui sont sensibles à ça.

Donc vous avez en complément alimentaire, vous avez le fameux NAC N acétylcystéine, qui ne coûte rien, qui va restaurer la membrane cellulaire. Bien sûr vous avez des tas d’autres produits qui restaurent les membranes cellulaires à long terme, mais là je parle vraiment des choses qu’on peut prendre quand on se sent vraiment attaqué par ça.

Le dernier produit dont j’ai parlé, c’est un antioxydant majeur dont je vous reparlerai s’il ya des questions là-dessus, qui est le transresveratrol, qui a la particularité d’être un anti-sénescence cellulaire, un antivieillissement cellulaire, et qui va restaurer la plasticité des cellules.

J’ai des amis médecins côté pays basque espagnol qui sont allés faire des examens des globules rouges, avec du sang de vaccinés, avec du sang de non vaccinés, avec du sang de gens qui prenaient du NAC, avec du sang de gens qui avaient la shungite ou la magnétite. Qu’est ce qu’on a constaté ? Tous les globules rouges sont empilés, pas seulement chez les vaccinés. Quand les globules rouges sont empilés en piles d’assiettes, bien il n’y a plus d’oxygénation, et c’est ce qui se passe avec ces ondes millimétriques.

Même avec le NAC, même avec ça, simplement les rouleaux de globules rouges sont moins longs par rapport aux gens vaccinés, aux gens qui ne sont pas vaccinés mais qui n’ont pas de moyens de protection

Donc de toutes façons, l’effet est constant, même si vous dites ‘’moi ça ne me fait rien’’, c’est impossible, l’onde agit systématiquement sur l’oxygénation du sang, sans parler des rayonnements cosmiques, des rayonnements telluriques, des rayonnements solaires, radiation d’ultraviolets et tout ça, qui ont exactement les mêmes effets.

Donc la montée vibratoire, à laquelle on assiste sur la terre déjà depuis quelques temps, n’est pas faite pour restaurer la santé, d’accord. Donc la montée vibratoire qui nous permettait d’accéder aux supra mental il y a encore quelques années, aujourd’hui est un facteur de déséquilibre. Bien sûr la finalité est la même pour tout le monde, qu’on le veuille ou pas.

Elisa : Et c’est ce que j’ai constaté finalement, plus il y avait de lumière plus on se sentait mal. Moi je ne comprenais pas très bien.

Et comme dit, comme je dis souvent, autant mourir en bonne santé que d’être affecté, et c’est vrai, c’est vrai. Pépère l’a dit dans la dernière cana et on le voit depuis un mois, le nombre de problèmes qu’ont les gens de tous les côtés, c’est hallucinant, entre ceux qui meurent, ceux qui se cassent des os, ceux qui ont des problèmes à tous les niveaux. C’est comme s’il y avait une rupture d’équilibre totale, mais qui est voulue encore une fois. C’est un mal pour un bien, mais là où je suis, entre guillemets, pas d’accord, c’est que je préfère vivre quelque chose sans que le corps soit trop affecté, même si effectivement la finalité est la même.

Il y avait un protocole que j’avais donné l’année dernière, de cristaux cette fois-ci, qui consistait à faire ce que l’on avait appelé le protocole anti Spike, qui marche de façon remarquable à condition de le faire régulièrement. Même moi je n’y pas pensé quand je suis arrivé avec mes ondes, là, à Aldi, je n’ai pas pensé à le faire. Comme quoi on oublie même quand on sait, et ce protocole que j’avais donné déjà l’année dernière a vraiment, d’après tous les témoignages qu’on a, un effet redoutable sur cette agglomération, agglutination des globules rouges.

Donc le but est de nous priver d’oxygène. Vous avez d’ailleurs de plus en plus de gens, vous regardez dans le milieu sportif, c’est normal ils sont vaccinés, de plus en plus de gens qui ont des problèmes pour avoir une respiration libre. Alors bon, il y en a qui habitent dans les forêts comme nous, donc là c’est génial, on va avec les arbres, tout va bien, mais dès qu’on rentre en ville, c’est de pire en pire.

Donc il ya une nécessité, non pas de se prémunir, mais de vivre ce qui est à vivre en n’étant si possible pas trop affecté. Le protocole Spike, je vous en reparlerai, mais c’est très simple, séance de cristaux pour ceux qui ne connaissent pas à la limite un soir, puisque le soir on travaille aussi un peu après le repas, un soir sera consacré à ça pour vous montrer la pratique. Comment on pose des cristaux ? Quels types de cristaux ? Comment ça fonctionne ? D’accord ?

C’est au niveau des protocoles cristallins que j’ai communiqués depuis plus d’un an, c’est vraiment le protocole qui a le plus d’effets. Malheureusement mes amis médecins au pays basque, qui sont allés faire des examens des hématies, des globules rouges en microscope à fond noir, n’ont pas non plus pensé à faire une séance anti-Spike pour vérifier après l’état des globules rouges.

D’ailleurs si vous êtes affectés par les ondes, vous le vérifiez avec un oxymètre de pouls sans même parler de virus ou de n’importe quoi, dès qu’il ya une affectation, vous descendez à 95 qui est la limite inférieure de l’oxygénation. Après vous commencez à être très mal.

Elisa : Quel est le mieux comme numéro, par exemple 97, ce n’est pas beaucoup.

Si c’est bon, jusqu’à 95 ça va, si tu es à 95 tu commences à le sentir, que tu sois sensible ou pas, tu manques d’air.

Elisa : 95. 97  mais c’est…

(Bruit de toux)

95 à 100 c’est normal, de 96 à 100 c’est normal.

Elisa : Mais il n’y a que deux points de différence.

Oui, et à 92, 90, tu es en réa. Si la dé-saturation en oxygène atteint les 10%, c’est fini.

Elisa : Donc il y a très peu de marge en fait.

Exactement, la marge est extrêmement faible.

Elisa : 95, ce n’est pas bon.

Non, 95, tu commences à avoir une dé-saturation du sang

Elisa : Et j’ai toujours 97, neuf, sept.

(Bruit de toux)

Ça c’est parfait

Elisa : Mais ce n’est pas beaucoup, c’est deux points.

Ça suffit, 100%, t’es normal, 90, tu es en réa.

(Bruit de toux)

Et vous avez beaucoup de gens, tu as une amie d’ailleurs qui est morte comme ça toi.

(Bruit de toux)

Excusez moi, j’ai encore des effets, je rentre dans un lieu où il y a un Wifi, je tiens plus. Mon fils m’a fait le coup la dernière fois que j’étais à Paris, ça me fait tousser.

(Bruit de toux)

Voilà !

Frère : Mais les forêts, c’est quoi l’effet des forêts par rapport à l’oxygénation, le fait d’aller se promener en forêt ?

Non, tout simplement tu sais que dans les forêts de pins ou de chênes même, peu importe, de caduc ou de persistant, tu as une ionisation de l’air avec des ions eux positifs. Alors que les ondes, c’est exactement l’inverse. D’accord ? Et encore je ne parle même pas de la 5G, encore une fois, je ne parle que de nos téléphones et des box, alors les box c’est terrible !

(Bruit de toux)

Alors les box avant on mettait des, sur les compteurs pour ceux malheureusement qui ont des linky ou sur les box, on mettait des plaques de shungite, ça marchait bien. Mais comme maintenant les box émettent en ondes millimétriques, ça ne suffit plus.

(Bruit de toux)

La solution qu’on a trouvée, c’est d’installer, et beaucoup d’amis l’ont fait sous le lit et non plus sur l’émetteur, des blocs de shungite, soit vous …

(Bruit de toux)

On a coupé les climatiseurs.

Sœur : Oui.

Soit vous avez des cubes, soit des blocs tout simplement. Mettez ça sous le lit et les ondes vont être captées par la shungite plutôt que par votre corps, et ça c’est relativement bien efficace aussi.

(Bruit de vaporisateur)

Je te l’avais dit pour la…

Elisa : Tu ne veux pas ça ? Avec moi, j’arrête la toux avec ça.

Sœur : C’est quoi ?

Elisa : C’est du propolis. Je fais clic, clic.

Sœur : Moi aussi.

(Bruit de toux)

Il y a quelque chose qui me pique la gorge.

Sœur : Ça marche très, très bien ça.

(Bruit de vaporisateur)

(Rires)

(Bruit de déglutition)

Sœur : Ça marche.

Elisa : Moi, ça arrête automatiquement. Alors j’en achète toutes les semaines.

 (Bruit de toux)

Ah la vache !!!

Il n’y a pas de box là ?

Elisa : Non, ici il n’y a pas de box, il y a rien.

Bon.

Elisa : Si tu veux, on éteint le Wifi?

Elisa : Le Wifi, on n’a pas Bluetooth, moi je n’ai pas Bluetooth.

(Reniflement)

Elisa : Tu devrais arrêter de fumer.

(Rires)

Sœur : Voilà!

Donc c’est un effet qui est voulu.

(Bruit de toux)

Dès que vous parlez sur internet par exemple, soit facebook, You tube, n’importe où, dès que vous vous mettez à parler des effets des ondes, vous êtes censurés immédiatement.

Je vous rappelle que toutes les épidémies qu’il y a eues au 20e siècle, toutes sans exception, sont apparues au moment de l’apparition des nouvelles fréquences. Le télégraphe d’abord, ensuite 1G, la 2G, la 3G, 4G, 5G, à chaque fois. À chaque fois il ya des épidémies. Vous regardez les épidémies qui ont eu lieu, la grippe de Hong-Kong et tout ça, c’est toujours au moment de l’inauguration de nouvelles fréquences, toujours.

Frère : Et du coup c’est, c’est très convergent avec le fait que la montée vibratoire amène aussi à ça quelque part.

Aussi.

Frère : Ça c’est étonnant que …

De toute façon comme je dis toujours, on est dans un rêve. Quand le rêve n’est plus nourri, il s’arrête. Quelle est la meilleure façon d’arrêter le rêve, c’est de ne plus fournir du carburant. Du  carburant à la conscience et au corps, donc l’oxygène. S’il y a une raréfaction de l’oxygène aussi bien dans les milieux marins, qui est liée, pas uniquement aux saloperies qu’ils font, mais aussi aux rayonnements cosmiques qui rentrent maintenant, et le rayonnement tellurique, puisque les rayonnements gamma ils ne viennent pas seulement du ciel, ils viennent aussi du noyau de la terre.

C’est ce qu’on est en train de vivre de façon très intense en ce moment. Encore une fois, la finalité est la même pour tout le monde, mais je préfère le vivre en santé normale qu’en santé défaillante. Une question de confort tout simplement, pour le personnage.

Donc ça, cet aspect d’ondes, prend des reliefs extrêmement importants, ça a commencé à paraître bien effectivement, bien évidemment quand il ya eu soi disant le virus du covid, et ça s’est développé de plus en plus. Vous avez de plus en plus de sportifs qui n’ont plus d’oxygène, regardez le tour de France, théoriquement ils sont tous vaccinés donc ils sont tous atteints, mais il y en a aussi qui ont fait défaut.

Sœur : Oui, beaucoup ont fait défaut.

Mais eux aussi, ils sont touchés.

Donc on est vraiment dans ce processus d’ondes …

Elisa : Pourquoi les sportifs sont en train de crever ?

Comment ?

Elisa : Pourquoi les sportifs sont en train de crever ?

Mais parce qu’ils sont vaccinés.

Elisa : Oui, mais comment ils agissent dans, qu’est-ce qui se passe chez eux ? Est-ce que c’est tous, quand ils font des efforts ?

Alors, là on peut en parler, parce que ce n’est pas quelque chose … et ça continue. La dé-saturation en oxygène est beaucoup plus sensible chez un sportif. Regarde le nombre de gens qui meurent simplement en courant aujourd’hui, vaccinés ou pas d’ailleurs. Eux ils sont touchés en premier ceux qui sont vaccinés, parce qu’il ya de multiples raisons au niveau de ces vaccins, qui ne sont pas des vaccins d’ailleurs, tout le monde le sait.

Il ya des tas de molécules qui sont dedans. Bon, vous avez le graphène, on en a parlé déjà, en particulier l’oxyde et le dioxyde de graphène qui attaquent les vaisseaux, vous avez des parasites, des œufs de parasites qui ont été insérés dedans. C’est comme la série, comment elle s’appelle, Stargate  avec les goa’uld

Sœur : Ah oui je l’ai vue.

C’est exactement ça

Sœur : Ils appellent ça des hydres blancs. Ils ont des couleurs, des hydres ….

Comment ?

Sœur : Des hydres vulgaris.

Sœur : Les hydres.

L’hydravulgaris. C’’est pas tout, la Quinta Colonna, l’espagnole, a montré qu’il y avait aussi des nano routeurs. D’ailleurs quelqu’un qui est vacciné émet en 5G. Vous savez, ils ont tous des adresses MAC en Bluetooth repérables, donc ça veut dire qu’ils émettent du 4.2 gigahertz et c’est une réalité.

Je sais que dès que je suis enfermé avec des gens de ma famille qui malheureusement ont été vaccinés, j’étouffe. En face d’eux, j’ai l’impression qu’on m’appuie sur la poitrine, eux ils ne le sentent pas. C’est malheureusement comme ça.

Mais encore une fois, c’est un processus qui s’inscrit dans le cauchemar qui réveille. Mais j’estime qu’on a le droit de, non pas de se protéger, mais de mieux encaisser tout ça. La montée vibratoire, comme tu l’as exprimé, que nous avons vécue depuis Autres Dimensions, ne sert plus à rien. Vous avez beau essayer de monter en vibration, vous avez des protocoles de cristaux, des méditations qui nous permettent de monter très, très loin en vibration, vous n’allez pas être mieux pour autant, encore une fois.

Le processus même de l’acceptation, qu’on décrit depuis deux, trois ans, va vous faire traverser les choses, mais le corps, lui, il ne traverse pas. La conscience oui, sans problème, mais le corps est affecté, et je pense que, avec ce qui se passe au niveau des rayonnements et de la magnétosphère et de la ionosphère terrestre, ce processus va s’accentuer et il s’accentue de mois en mois, de semaine en semaine, il n’y a aucune raison pour qu’il s’arrête.

Alors heureux ceux qui vivent près de l’eau, près des forêts, parce que bien évidemment quand il y a des forêts, il ne peut pas y avoir de 5G. Les arbres détruisent tout au niveau du rayonnement et s’acclimater à ça, je ne vois pas comment.

Pour moi, il n’ya pas de solution. Il y que des moyens qui permettent aux cellules de résister, que ce soit vibratoire avec les cristaux, avec des compléments alimentaires comme on a dit, mais on ne peut pas, on ne peut pas stopper complètement cet effet.

Vous le voyez tous au niveau des nuits, au niveau des fluctuations même de l’énergie, même si vous êtes en pleine forme. Il ya des fois des fluctuations qu’on n’explique pas, ni par une phase de lune, ni par un environnement, ni par quoi que ce soit.

Donc c’est un scénario, comme on l’a dit, qui a été écrit. Mais encore une fois, le personnage qui est dans le film, nous, on est en droit de trouver des moyens de, non pas de s’opposer parce que c’est un mauvais terme, mais de digérer ça un peu mieux.

Alors le protocole Spike et les cristaux, je vous le montrerai un soir, soit ce soir, soit demain soir, après le repas, mais voilà ce que je voulais introduire, c’est vraiment cette notion d’ondes, qui aujourd’hui, qu’on parle des ondes cosmiques, des ondes telluriques, des ondes militaires, des réseaux 5G, 4G, 6G, 4G+Wifi, Bluetooth, concourent tous au même phénomène.

Les rayonnements gamma, rayonnements cosmiques et ionisants, ça détruit les cellules, d’accord ? Mais tant qu’on est là, le personnage il a besoin d’être un minimum là, et d’être toujours présent, et ça devient assez pénible entre, un : les vaccinés, deux : les box, trois : les linky, et encore je n’ai pas parlé des antennes 5G. Et je vous signale que, même si votre téléphone … Alors j’ai trouvé aussi un moyen très simple parce que, au mois de février, j’ai cru y passer avec les Wifi et la 5G, et puis à un moment donné, alors que j’avais les bracelets en shungite, les trucs en shungite et j’approchais des antennes, j’étais pfff, je m’éloignais …

À un moment donné, j’ai éteint mon téléphone. J’ai éteint mon téléphone, la 5G ne me fait plus rien ! Pourquoi ? Parce que même si votre téléphone est 4G, la particularité de la 5G c’est de vous cibler, même si vous, vous n’avez pas la 5G sur le téléphone. Vous êtes repéré par la 4G, ils vous envoient un faisceau, c’est constant

Je suis hyper, hyper sensible, électro sensible maintenant, ce qui n’était pas le cas avant, donc je m’en aperçois tout de suite et en, fait l’erreur que j’ai faite à Aldi quand je suis allé faire les courses avant d’arriver, c’est d’avoir pris mon téléphone dans la poche, allumé. Je serais rentré sans téléphone j’aurais rien eu.

Donc le plus simple, surtout quand vous êtes en ville et qu’il y a de la 5G, c’est d’éteindre votre téléphone, et je vous le garantis, j’ai fait l’essai plein de fois, sans les bracelets de shungite, de me mettre face à une antenne 5G, d’éteindre le téléphone, ça s’arrête instantanément.

Frère : C’est ça, en fait, c’est une optimisation. C’est une optimisation qu’ils ont faite qu’ils ont rajouté sur la 5G. En fait, pour consommer moins d’énergie, ils ont mis en place ce système là qui va cibler les téléphones. Comme ça, quand il y a un téléphone qui a besoin en fait de la communication 5G, ils vont lui donner une priorité et, effectivement, les faisceaux en fait sont dirigés vers les gens…

Ils sont directionnels.

Frère : … qui ont un besoin entre guillemets en fait de consommation de la fréquence quoi.

Frère : Par contre, je ne savais pas ça que ça marchait même si on n’avait pas un téléphone en 5G. Parce qu’effectivement, il est obligé quand même d’échanger à un moment ou un autre pour savoir s’il y a un besoin ou pas.

Ah oui, oui.

Je te dis bon, là maintenant, ils sont tous, même ce que l’on appelle la 4G+, en fait ce sont des ondes millimétriques qui sont des armes létales. Et maintenant comme tu dis, il ya les 5G, bon les gros trucs, mais sur les plages par exemple tu verras, il ya des répétiteurs.

Frère : Oui, parce que ça va pas loin la 5G.

Donc même si tu n’as pas d’antenne à côté, tu as un répétiteur, tu es ciblé.

Frère : Tout à fait.

La seule façon effectivement c’est d’éteindre son téléphone, ou alors de le laisser quelques part. Et ça je l’ai constaté sur des antennes à côté de chez nous, qui sont extrêmement puissantes. D’ailleurs je ne sais pas comment les gens qui sont dans l’immeuble ne sont pas morts.

Quand j’ai constaté, j’étais sur le cul, c’est à dire que j’éteins mon téléphone, tout s’arrête. Pourtant je n’ai pas de téléphone 5G, le wifi, le Bluetooth n’était pas branché. C’est un problème de santé majeur, c’est vraiment ce qui a le plus d’effets néfastes sur la santé. C’est à dire que votre seuil de résistance est abaissé.

Tout ce qui pouvait être sous contrôle et sous régulation par votre propre homéostasie intérieure, est détruit. Alors il y en a qui vont trinquer au niveau respiratoire, d’autres ça va être directement sur la conscience. C’est ça ce qu’on appelait l’apocalypse zombie, des gens qui sont dans la Matrix quoi, et qui sont incapables, malheureusement, parce que leur conscience est (Bruit avec la bouche), de se rendre compte de ce qui se passe.

Frère : Et en ville, en ville c’est encore plus fort, parce qu’en fait les opérateurs, ils ont leur propre antennes.

Oui

Frère : Donc en fait, on a une redondance finalement d’antennes, parce qu’il y a aussi plusieurs opérateurs.

Peu importe l’opérateur.

La 5g est faite pour émettre un faisceau directionnel sur n’importe quel téléphone 4G normal, il n’y a même pas besoin de 5G, il y a même des gens qui ont des téléphones 5G. De toute façon, tout le monde s’est aperçu que si tu laisses ton téléphone, pour ceux qui ont des 5G, la communication ne passe pas, soit disant que c’est pour accélérer les débits. En fait, c’est exactement l’inverse. Il ya des fois maintenant, même en 4G +, ça ne passe pas. Quand tu veux regarder un streaming, un film, une vidéo, ça ne passe pas.

Et tous les gens qui ont des téléphones 5G, ils sont obligés d’enlever la 5G, le débit est plus faible. Donc ça a été vendu soit disant pour améliorer la connectique et tout ça, mais c’est faux, c’est totalement faux.

Frère : Heureusement que ça n’a pas une portée importante. En fait les antennes 5G, comme ce sont des fréquences qui sont très élevées, les fréquences ont une portée beaucoup moins importantes en distance …

Oui bien sûr.

Frère : …Que les autres. Et ça, entre guillemets, pour ceux qui ne sont pas dans un milieu où il y a énormément de densité, importante, c’est une chance.

S’il ya des arbres, déjà, ça limite considérablement, puisque les arbres absorbent les rayonnements. Là on était à Argelès avant de venir ici avec la famille, ils ont mis des faux palmiers 5G, comme à Marrakech. Alors à Marrakech c’est très marrant, parce que nous, on y est allé la dernière année, ils ont installé tous les dix palmiers un faux palmier. Le seul problème c’est que les palmiers, les vrais, eux, ils sont tous morts. Les palmiers supportent encore moins que les pins ou les chênes, n’importe quel arbre, les rayonnements.

Et en plus avec les rayonnements cosmiques, ce qu’on appelle, à l’époque l’archange Michael appelait la radiation de l’ultra violet, le rayonnement de la Source, et puis un autre je sais plus lequel, ces trois types de rayonnements qui nous ont permis de monter en vibration, de constituer les nouveaux corps, le corps de lumière et tout, et bien maintenant entraine la destruction de tout ça.

Mais c’est voulu, ce n’est pas quelque chose de négatif encore une fois. Ce que je veux dire par là, c’est que l’important c’est d’assumer, entre guillemets, le corps assume et la conscience aussi, ce qui est en train de se passer. Et les moyens dont je vous parle là – il y en a certainement d’autres, je n’ai pas la prétention de tous les connaître -, c’est un moyen aussi de renforcer l’acceptation, et que la conscience ne soit plus soumise à ces trains d’ondes qui sont absolument dévastateurs.

Frère : Du coup, ceux qui sont montés en vibration, ils sont plus sensibles à ça, ils sont plus soumis entre guillemets à ça ou pas ?

Tout doit ?

Frère : Ceux qui ont fait les montées vibratoires.

Oui, oui,

Frère : Est-ce qu’ils sont plus soumis à cette problématique ?

Le paradoxe oui, c’est ce que l’on disait.

Frère : Oui c’est ça.

On est encore plus sensible que les autres, c’est comme ça.

Elisa : Oui, Parce qu’on est moins sur la 3D, on est plus élevé, on vibre plus haut. Et la 3D on n’est pas, on n’a plus les pieds sur la Terre.

Et voilà.

Elisa : Alors on a plus de problème. Finalement les pieds sur la Terre, c’est l’énergie vitale, et ça on le perd.

Il ya une raréfaction de l’énergie vitale, ça fait partie du processus.

Elisa : Oui, parce que moi je vois que, quand je me mets plus en énergie vitale, je me sens mieux, et plus je m’éloigne, du coup je me sens pire. Je vois comme une partie de moi qui n’est plus là. Si tu veux être à l’aise il faut que tu sois là. C’est contradictoire parce que …

Si, si. C’est ce que disait Anaël, bon, c’est ici et maintenant, c’est l’instant présent, mais plus tu es dans l’instant présent, plus tu es soumis à ça. C’est un paradoxe effectivement.

Elisa : Ah ouais c’est vrai.

Et ça depuis un an, c’est de plus en plus clair. Alors que les gens qui n’ont jamais, comment dire, jamais fait de travail vibratoire, ou spirituel ou intérieur, appelez ça comme vous voulez, il y en a qui pour l’instant ont l’air de très bien assumer tout ça.

Sœur : Oui, complètement.

Vous avez des gens vaccinés, bon à part ceux qui sont tombés malades et qui sont morts, vous avez des gens vaccinés même avec trois doses, qui ont l’air de n’avoir rien eu.

Elisa : Rien.

C’est, c’est surprenant.

Elisa : Mais ils sont très terre aussi. Ils sont très dans les projets, très ici et ils vivent dans un autre monde.

Ah oui complètement. C’est ce que Pépère avait dit à l époque sur les deux humanités.

Elisa : Je ne sais pas si on n’est pas mieux dans l’autre.

(Rires)

Sœur : Oui, il y a des moments où c’est à se demander effectivement.

Alors voilà ce que je voulais dire en préambule sur les ondes. Maintenant on peut passer à la suite de ça ou ce que vous voulez, j’attends des questions.

Elisa : Oui, la mémoire. La mémoire, par exemple, j’avais une question et puis elle est partie, la mémoire tu vois, je veux faire quelque chose, deux secondes après, je ne sais plus.

Ça, c’est affreusement fréquent, mais ça avait déjà été signalé depuis plusieurs années, mais là ça prend une acuité particulière, ça nous est tous arrivé. Vous avez un truc à faire, vous vous levez pour le faire, vous faites trois pas et vous ne vous rappelez plus ce que vous alliez faire, et c’est constant.

Elisa : Ça ne vous arrive pas ?

(Les gens si, si)

Elisa : Incroyable !

Ça, ça me rend dingue, je me lève parce que je veux faire quelque chose, je fais trois pas, je ne me rappelle plus.

Sœur : Mais si je reviens en arrière je m’en rappelle.

Exact, donc ce qu’il faut, c’est que je revienne à ma place.

(Rires généralisés)

Non, non, mais c’est tout à fait vrai.

Mais c’est exaspérant parce que tu te lèves, tu es en train de faire quelque chose, tu décides d’aller faire quelque chose, ça disparaît. Donc tu es obligé de revenir à la phase d’avant et là ça se restaure et parfois ça re-disparaît vite.

Elisa : J’ai retrouvé des messages, quantité de messages que j’écrivais aux gens et qui n’ont pas été terminés, envoyés peut-être de deux jours. J’y vais, mais, je n’ai pas terminé le message, je n’ai pas envoyé, mais ça m’est arrivé souvent. Alors je dis toujours à tout le monde, rappelez-moi les choses, parce que je ne m’en souviens plus.

Donc, comme dirait l’autre, on a le cul entre deux chaises, et on a de plus en plus le cul entre deux chaises. Donc il faut s’adapter et on s’adapte comme on peut. Alors il y en a qui vont s’adapter en…,  ma sœur qui habite à Paris avec une antenne 5G en face de chez elle, c’est l’enfer. Elle est obligée de passer une à deux heures dans le parc à côté de chez elle pour aller prendre des arbres dans ses bras, c’est la seule façon d’aller mieux.

La dernière fois aussi, j’ai dormi chez ma mère en février, j’ai cru crever ! Le matin je dis : ‘’mais maman tu te rends compte, ça fait des picotements partout’’. Elle me dit : ‘’Je sais mon fils qu’est ce que tu veux qui j’y fasse, ils ont mis une antenne sur le toit et c’est comme ça’’.

Alors paradoxalement aussi, je disais qu’on est protégé quand on vit près de la mer, en montagne dans les forêts, mais dès qu’on retourne dans … sur la plage, c’est … (Rire). Je pense sincèrement que ce n’est pas pathologique, même s’il faut s’accompagner là-dedans, ça fait partie du processus d’extinction du rêve quoi.

Le problème, c’est que si ça dure encore longtemps, on va finir complètement neuneu. Souriant, béat, mais neuneu (niais, un peu bête).

Sœur : Heureux, heureux sur le canapé.

Autre sœur : Pourquoi pas finalement.

Frère : Et le bord de l’eau, qu’est ce qu’est ce qu’il y a au bord de l’eau qui …

Je n’entends pas.

Frère : Au bord de l’eau …

Oui

Frère : Qu’est ce qui est, au bord de l’eau qui est, qui est favorable plutôt …

Oui bien sûr, si tu rentres dans l’eau, l’eau va capter le rayonnement à ta place.

Frère : D’accord, c’est ça, c’est-à-dire que l’eau récupère …

Oui, oui, bien sur. Toutes les atmosphères si tu veux où il ya beaucoup de d’ions négatifs, le bord de mer, les forêts, les montagnes, l’altitude, te protègent, entre guillemets, mais la contrepartie c’est que plus tu es dans cette atmosphère là, plus tu es sensible après. Ceux qui sont immergés en permanence, ma mère, bon ma sœur elle est hypersensible comme moi, mais ma mère, elle a des maux de tête, ‘’Mais qu’est ce que tu veux y faire’’ me dit-elle. Donc elle vit avec des maux de tête en permanence. Ça fait vraiment comme un casque sur la tête en plus. Soit ça prend ici, ça comprime, soit le bide, ceux qui sont sensible du bide.

Elisa : Moi c’est le bide.

… soit le bide ou alors carrément le truc, comme si tu avais un truc qui te …

Frère : Le casque, le casque moi j’ai ça depuis des années, des années quoi. Vraiment une sensation d’avoir une chape permanente sans raison.

C’est ça, c’est ça.

Sœur : Moi j’avais beaucoup quand j’habitais en ville mais depuis  que je suis à la montagne, terminé, je n’ai plus rien moi.

Elisa : Tu t’y fais, ça devient de plus en plus normal, moi j’ai une pression là depuis des années, dans le ventre tu vois, n’importe quoi il gonfle, il enfle, même sans manger, j’ai tout le temps le troisième chakra, dans le quatrième et là ça me … Et puis je ne sais pas là, parce qu’en fait, c’est peut-être déjà normal et je n’y prête plus attention. Mais je ne me sens pas comme avant et moi, ça a coïncidé avec l’accident. Alors j’accuse tout, c’est l’accident, mais ce n’est peut-être même pas ça, parce que ça a coïncidé et j’ai tous les symptômes là, partout. Alors on vit dans un corps comme un zombie.

Mais ça fait partie du scénario. Ça fait partie du scénario, ça fait partie des choses qu’on a à traverser, c’est comme ça.

Sœur : C’est pour cela que beaucoup se suicident, les gens ne supportent pas, beaucoup se suicident en ce moment. Ils ne supportent pas le scénario.

 Sœur : Ils mettent fin à leur vie, ils ne veulent plus vivre.

Bon on sort des ondes.

(Rire)

Voilà il ya des ondes en plus avec mon appareil qui sonne.

Sœur : Je l’entends.

Elisa : … ton appareil aussi …

Il est sensible aux 5G. Voilà c’est comme ça.

Autre question, enfin première question, vous n’avez toujours pas posé de questions

Elisa : Moi j’avais plein de questions.

J’imagine.

Elisa : J’ai oublié.

(Rires)

Elisa : On aurait dit, attend ça va venir. Il faut rentrer en, comment on dit, il faut rentrer en chaleur, on dit en espagnol. Il faut se réchauffer les moteurs.

Elisa : À quatre heures du matin, tous les jours, je me réveille, trois, quatre heures du matin.

Sœur : Moi j’avais une question sur les scénarios de vie. Pourquoi …

Je ne comprends pas du tout, il y a un problème.

Sœur : J’avais une question sur les scénarios.

Je ne t’entends pas non plus.

(Rire)

Sœur : Les scénarios de vie.

Ah c’est un scénario de merde !

Sœur : Alors ma question sur les scénarios de vie c’est, le scénario a été écrit.

Bien sûr.

Sœur : Il a été écrit.

Bien sûr.

Sœur : Mais pourquoi … comment dire ?

Mais parce que le rêve est tellement séduisant que s’il n’y a pas de traumatismes extrêmes, collectifs, comment veux tu arrêter de rêver. La conscience est très séduisante comme disait Nisargadatta, et donc je l’ai vécu, donc je sais ce que ça veut dire. La conscience est une escroquerie totale, mais quand tu es dans la conscience dans un corps je ne parle même pas de supra conscience ou de  visions et autres. Comment veux-tu y échapper ?

On est ici et maintenant, même si tu voyages dans  les autres dimensions, même si tu as accès à n’importe quel monde. Comment tu veux faire ? Donc la seule façon de vivre de ce que Sri Aurobindo a appelé le choc de l’humanité, c’est un scénario collectif, dramatique, de cauchemar total. Et là, même sans parler de Nibiru ou de rayonnement cosmique ou de flash galactique, avec ce qui nous est prévu cette année, là, c’est le scénario de l’horreur !

Mais c’est la seule façon que l’être humain a de comprendre qu’il n’est rien de ce qu’il vit, qu’il n’est rien de ce qu’il croit, qu’il n’est rien de ce qu’il pense, qu’il n’est aucune mémoire, qu’il est la parfaite félicité. Mais comme la conscience t’entraîne, – tu as une douleur dans le corps, quelle qu’elle soit -, la conscience est entraînée vers la douleur. Tu es amoureux, la conscience est entraînée vers cet état d’amour. Tout va drainer la conscience vers ce qui apparaît sur l’écran de la conscience.

Donc à partir du moment où il n’y a aucun moyen avec la conscience comme avec la supra-conscience de vivre le Réel, et bien il faut bien qu’il y ait quelque chose qui vienne mette fin au rêve. Et les méchants garçons, comme disait OMA, travaillent eux aussi dans le même sens, qu’ils le veuillent ou pas. Avec tout ce qui nous est promis avant la fin de cette année, réellement, ce ne sont pas des trucs de prophéties, c’est le plan, eux aussi ils ont leurs plans. Qu’est ce que tu veux faire ?

Le moment où tu ne peux plus te tourner vers quoi que ce soit d’extérieur, le moment il n’y a plus de solution à l’extérieur, même si ça s’appelle la mort, qu’est ce qui se passe ? Tu rentres à l’intérieur il n’ ya plus rien. Ce que disait Christiane Singer qui est morte d’un cancer, qui était une écrivaine, qui disait dans son dernier entretien téléphonique : ‘’Quand il n’y a plus rien, quand vous avez été laminés’’, elle pesait 20 kg, elle était à l’article de la mort, elle a dit la chose la plus merveilleuse : ‘’On est les uns dans les autres’’. Quand tous les sages nous ont dit que le monde est en nous, dieu est en nous, l’autre est en nous, c’est la stricte vérité.

Mais tant qu’on ne s’en est pas rendu compte, c’est à dire que tant qu’on y adhère sans le vivre c’est un drame. Par contre dès que tu le vis, parce qu’il n’y a plus de solution dans la conscience, même si ça passe par la mort, ça n’a aucune importance, tu te réveilles. N’oubliez pas qu’on est dans un rêve.

La création dans sa totalité est un mythe, que soit cette dimension, la dimension de, toutes les dimensions, les archanges, les mondes, les univers, les multivers, n’existent pas. Tout ce qui passe n’est pas Réel, mais ça on ne peut pas l’accepter, c’est inacceptable pour la conscience, c’est inacceptable par la personne, ça fait partie du mythe de la création.

Mais tant que ça n’a pas été vécu, ça ne sera jamais vrai pour toi, même si tu l’acceptes intellectuellement, ce n’est pas pour ça que tu vas le vivre. Les seuls moyens d’accepter, on l’a dit, c’est d’être dans l’ici et maintenant, dans l’instant présent, dans le silence, dans l’accueil, dans l’acceptation. Je dirais maintenant dans la résignation, comme je te disais hier, parce qu’on n’a plus le choix.

À ce moment là, qu’est ce que tu découvres, tu découvres qui tu es, et qui tu es n’a rien à voir avec une vie passée, avec l’âme, avec l’esprit, avec la lumière même.

Sœur : Mais au fond de nous…

On est antérieur à tout ça.

Sœur : On le sait au fond de nous.

Comment ?

Sœur : On le sait au fond de nous.

Il ne faut pas le savoir, il faut le vivre.

Sœur : On l’a peut-être déjà vécu ?

Oui, mais on a tous la possibilité de le vivre.

Sœur : Voilà !

Mais tant que la conscience est là, tant que la conscience ne s’est pas éteinte, littéralement.

Sœur : Mais elle s’est déjà éteinte la conscience, on le connait.

Et on est encore dans un corps donc on a besoin de manger, on a besoin de créer, on a besoin …

Sœur : Pourquoi on est revenu dans ce corps pour vivre cette expérience ?

Parce que ça doit se vivre dans ce plan, on est le premier rêve et le dernier rêve. Nous les humains, Bernard de Montréal l’avait dit, on est à la fois les êtres les plus hauts de l’univers, tant qu’il y a encore l’Être, et les être les plus bas, et on fait la jonction. C’est l’humain qui fait la jonction. Donc il n’y a pas d’autre solution.

La joie, même Agapè, résonance Agapè, vivre cet état d’amour indescriptible, ne te permet pas de vivre le Silence, c’est encore une manifestation de la conscience,

C’est encore quelque chose qui est extériorisé, et tant qu’il n’y a pas de cessation totale de l’extériorisation, je ne parle même pas des désirs, des plaisirs ou des besoins de la vie normale, tant que ce processus là n’est pas arrêté, et bien on continue à rêver. On sait qu’on est dans un rêve, pour ceux qui l’ont vu, mais ce n’est pas pour ça que le rêve s’arrête.

Sœur : Là il doit s’arrêter pour tout le monde.

Ça doit être un processus à la fois collectif, et quand je dis collectif, ce n’est pas seulement ici sur Terre, c’est dans toute la création, et dans toutes les dimensions. Et ça a dû être nécessairement écrit avant. Mais il n’y a pas d’autre moyen de sortir de ça que de vivre un cauchemar total.

Elisa : Donc, en fait les méchants garçons nous rendent un service.

Ils nous rendent service. C’est pour ça que Pépère a toujours dit de ne pas juger les méchants garçons parce que chaque chose est à sa place. Il n’y a pas de place pour le hasard. Il n’y a pas de place pour l’inconnu dans tout ça.

Elisa : C’est quand ils veulent, par exemple éliminer, tuer tout le monde, en fait…

Ils participent au plan

Elisa : Comment ?

Ils participent au plan.

Elisa : Oui.

Et encore une fois, c’est inacceptable pour la conscience, c’est inacceptable pour la personne. C’est logique, c’est logique.

Elisa : Donc, on devrait se faire vacciner !

(Rires)

Sœur : Finalement, au lieu d’agoniser.

Elisa : Parce qu’on résiste, nous !

Sœur : Voilà, en fait on résiste, effectivement.

Sœur : Et pourquoi on résiste au fait ?

Elisa : Bonne question.

Sœur : Moi je suis bien comme ça, pourquoi je résisterais ?

Sœur : Mais tu vas quand même …

Sœur : Oui, mais tant pis.

En fait, par rapport à quelques années en arrière, même les années 2010, 2015, maintenant ce qu’on pourrait appeler l’ancrage, le recentrage, la résonance Agapè, le feu du cœur, tout, ça ne te  permet plus d’être bien.

C’est comme si on n’avait aucun espace de conscience ou extérieur.

(Discussion entre les sœurs présentes)

Sœur : Celle-là est allumée.

Elle est allumé celle-là

Sœur : Je le sens fort moi.

Sœur : Je n’avais pas vu que tu avais une …

Ha !

Sœur : C’est mieux là.

Elisa : Vous avez froid ?

Sœur : Je sentais vraiment l’air froid là.

Ah non, mais ça fait mal à la gorge.

(Discussion liée à la climatisation)

En fait, Bidi disait d’accepter l’inacceptable. L’acceptation crée la traversée, la découverte du Réel, c’est exactement ce qu’on est en train de vivre, qu’on le veuille ou pas.

Elisa : On voulait vivre ça, non ?

Elisa : On voulait vivre la fin.

C’est plus une fin, c’est une agonie.

(Éclats de Rire)

Une sœur : La fin ne me déplaît pas, mais l’agonie ne me plaît pas.

Elisa : Moi toute petite, je me disais, je vais venir pour la fin du monde. Et bien voilà.

(Rires)

Elisa : Je ne savais pas ce que ça voulait dire. Voilà.

Frère : Moi, il y a quand même un truc en termes d’acceptation, pour le personnage, dans ce qui est en train de se passer là. Je trouve que c’est plus facile d’accepter la montée vibratoire, tout ce qui vient de la Terre, qui vient de l’espace, du cosmos, que d’accepter quelque chose en fait qui est manipulé entre guillemets, en fait par des consciences quoi ! Même si la finalité est la même, je trouve ça en gros, si je ramène ça à une conscience classique, …

(Bruit de toux)

Frère : … Je trouve que c’est plus facile de mourir d’un accident, je n’en sais rien, que de mourir par la manigance de quelqu’un d’autre quoi, une autre conscience.

Mais …

Frère : Mais ça reste au niveau du personnage, je suis dans une forme, mais quand même !

Fondamentalement le plus grand manipulateur, c’est nous-mêmes, puisqu’il n’y a personne. Donc, qui est-ce qui manipule l’autre ? Nous-mêmes manipulons le monde, manipulons la création et c’est comme ça depuis toujours. Quand tu découvres l’espace sans temps, sans espace et sans personne, bon, Shantinilaya, au delà du paradis blanc, c’est à dire vraiment dans l’Absolu, qu’est ce que tu peux être dupe de quoi que ce soit ? Tu ne peux pas être dupe, ni d’un archange, ni d’un archonte, ni d’un monde, ni de la Lumière, ni de l’ombre, ni de quoi que ce soit. Et paradoxalement, ça crée un état de liberté.

On n’a jamais été aussi libre que maintenant, même si on est de plus en plus contraint, par les lois, par la société, par les ondes entre autres, les chemtrails, enfin toutes les saloperies qui existent, qui nous compriment, on le sent !

Quand tu parles des ondes qui compriment la tête, qui compriment ici ou le ventre, on est comprimé, on est de plus en plus comprimé, et paradoxalement, c’est dans cette non expansion – parce qu’on a travaillé pendant des années sur l’expansion de conscience, la bilocation, la bi-localisation de la conscience, l’accès aux autres dimensions -, paradoxalement, on nous renvoie de plus en plus à Ici et Maintenant, dans l’Instant , dans ce corps étriqué qui n’est pas nous, dans lequel nous sommes, le monde que nous voyons, qui est aussi en nous, puisque ce n’est qu’une projection, il n’y a pas d’autre solution si tu réfléchis bien.

Qui c’est qui a parlé de l’Absolu, à part Bidi, à part Sankara, même Jésus …, où tu prends les prophètes … – Sankara, c’est Huitième siècle, c’est le fondateur de l’Advaita Vedanta dans le tantrisme cachemirien -, ce sont les deux seuls êtres ! Bon après il y en a eu d’autres, Christiane Singer, également Jean Klein, qui ont laissé des bribes comme ça, mais on a tous été embringué dans des histoires de conscience, de spiritualité, parce que, bon il fallait bien s’occuper, il fallait bien rêver.

Mais aujourd’hui, il n’y a plus d’espace pour le rêve. Aussi bien sur l’écran de ce monde, parce qu’on rentre dans une société transhumanisme qui est plus en plus claire, mais ce qu’on appelle la bête, l’intelligence artificielle, nous conduit aussi à ça. C’est-à-dire que tant que la conscience n’est pas rincée, essorée, comprimée, tant qu’elle n’a pas vu et qu’elle ne s’est pas acceptée comme une illusion totale, il n’y a aucun espace de liberté.

Et là je parle ni de liberté intérieure, ni de liberté extérieure, c’est ce que Bernard de Montréal appelait  l’accès au Réel, être dans le Réel. Tout ce qui passe disait Nisargadatta n’est pas vrai, tu nais, tu meurs. Alors tu te rassures avec l’âme, la réincarnation, la mémoire puisque l’âme n’est faite que de mémoire. On a créé les lois du Karma, Bouddha en a bien parlé, mais tout ça, ça n’existe pas.

Ça n’a aucune teneur, mais néanmoins on est soumis de par la présence de ce corps, de par la présence de notre conscience, à l’irréel. Et quand cet irréel se casse la gueule, c’est le moment, c’est le moment de se retrouver. C’est ce qu’on disait quand on était au Québec, c’est un problème de se souvenir, non pas de se souvenir des vies passées ou des autres dimensions, mais de se souvenir de qui on est avant d’être.

Bon, alors c’est toute la dialectique entre l’être et non être, mais même ça, ça veut rien dire, ce sont des mots qu’on emploie parce que le Réel n’est pas traduisible en mots. Le Réel ne permet pas d’être dans cette joie qu’on avait, par exemple dans l’état Agapè, l’état naturel, où il y avait ce rayonnement du double tore, qui est toujours là, mais qui est comprimé de toute part.

Il y a l’espace de découverte, il ya un espace de compréhension, la compréhension du Réel, c’est-à-dire qui est le vécu, qui n’est pas du tout une vision ou une perception puisqu’il n’y a rien, et la conscience ne peut pas accepter le néant, c’est l’horreur pour elle ! Or c’est notre demeure.

Que ce soit Bidi, que ce soit, plus proche de nous, vous avez le docteur Eben Alexander, dont j’ai parlé pendant des années, qui a vécu ce truc là. Il a eu le cerveau mangé, il s’est retrouvé dans l’Absolu après avoir traversé toutes les strates astrales et liées à la forme. Toute forme est une escroquerie.

Sœur : Il est quand même revenu pour le dire.

Sœur : Il est quand même revenu pour le dire, pour l’exprimer.

Oui, oui, oui.

Sœur : Ça n’a pas du être évident pour lui.

Et le problème c’est que, quand tu accèdes vraiment au Réel, c’est-à-dire au delà de tous les processus dimensionnels ou vibratoires de la conscience, et bien tu es obligé de redescendre, comme je disais dans l’humilité, la simplicité. Tu es obligé d’accepter ce qui est là, tu ne peux pas faire autrement. Sans ça tu te mets en opposition. Alors c’est tout ce qu’on a dit :’’Vous n’êtes pas votre vie, vous êtes la Vie.’’

Mais la Vie maintenant, et de plus en plus, c’est de plus en plus clair, va nous malmener, c’est-à-dire nous essorer de plus en plus, jusqu’au moment où toute velléité de la conscience, des automatismes de la conscience, soit complètement mise hors d’usage. Ça passe par les phénomènes mémoriels, quand tu te lèves, tu sais plus ce que tu dois faire.

Donc ça passe par une disparition de toutes les mémoires, de toutes les habitudes, on en parlait  aussi en neurosciences, c’est fondamental, et c’est un processus qui est inéluctable, qui est en cours. Après chacun se débrouille avec ça, il y en a qui essaye de continuer dans leur matrice, d’autres qui vont exprimer une activité créatrice, toi tu peins, elle fait des toiles magnifiques, – tu as raison, elle n’est pas là d’ailleurs, je cherchais (en parlant d’Elisa) -, d’autres vont faire des puzzles, d’autres vont aller dans la nature, parce qu’on ne peut pas s’opposer à la Vie. C’est la Vie elle-même qui se trouve, et qui se montre à elle-même que tout ce qui est forme, tout ce qui est temps, tout ce qui est espace, est un leurre.

Mais on n’a aucun moyen intellectuel ou vibratoire, encore une fois, de l’accepter. Alors tant que c’était Agapè, oui ça va, on sent le double tore, on fait des résonances Agapè, on est l’état naturel, c’est merveilleux. Mais au delà de l’acceptation et de la traversée, il ya cet espace, aujourd’hui j’ai tendance à l’appeler ‘’la résignation’’, mais sans le côté négatif, tu vois, parce c’est inéluctable.

Donc c’est comment on t’apprend, les cinq stades élucidés par Elizabeth Kübler Ross, quand on t’apprend qu’on va mourir, qui correspondent aussi aux chocs de l’humanité. C’est les mêmes stades, le refus, la colère, la négociation, l’acceptation, mais c’est un processus vraiment collectif. Et tous les gens, je pense qu’il n’y a pas beaucoup de gens branchés ou pas branchés, peu importe, qui échappent à ce processus en ce moment. Et il y en a qui s’accrochent à fond encore plus à la Matrix, à des projets, à un avenir, parce que c’est le propre de la conscience. C’est ce en ce sens que j’ai toujours dit : ‘’Laissez les rêveurs rêver‘’. Qu’est ce que vous voulez faire ?

On disait, c’est la conclusion qu’on a, surtout après avoir enseigné pendant des années les soins, qu’est ce que vous voulez aller convaincre quelqu’un de la fin de la conscience ou de la fin du rêve, ce n’est pas possible, c’est impossible à accepter. Il n’y a que le vécu qui le fait comprendre mais ce vécu sera imposé.

Alors pour l’instant, il y a des voies de …, on essaye de s’évader, encore une fois, ça peut être la peinture, ça peut être aider les autres, ça peut être n’importe quoi, mais c’est un dérivatif, parce que tant que la conscience est là, elle a besoin de se manifester, c’est tout.

Mais au bout il y a la grande Joie. Une fois qu’on a accepté, une fois qu’on a traversé, une fois qu’on a compris en le vivant, et bien, ça ne veut pas dire qu’on va mieux.

(Rires)

La preuve, je suis de plus en plus affecté par les ondes, tu es de plus en plus affecté par les ondes, tu es de plus en plus affecté par même ce monde, tu vois, puisque tu sais fondamentalement que ce n’est pas vrai. Alors bien sûr, quand tu oublies tout ça, tu rentres, pas en méditation, à l’intérieur on va dire, tu revis le feu du cœur, tu revis tout cet état de plénitude et de vacuité en même temps, mais ça ne supprime pas pour autant l’extérieur.

Et il y a plus en plus d’opposition je dirais, entre le Réel et l’illusion.

Elisa : Finalement pour vivre cette fin, les ignorants vont le vivre mieux.

Et quoi ?

Elisa : Pour vivre la fin de tout ça, les ignorants vont le vivre mieux.

Ils le vivront de la même façon

Elisa : Non ils le vivront mieux. Parce qu’ils sont ignorant, ils ne sentent rien.

Et peut-être que ceux, alors c’est une supposition, je n’ai aucune idée, peut-être que ceux qui sont à fond dans la matrice, dans leurs projections, dans leurs trucs, peut-être qu’ils le vivront plus facilement.

Elisa : Oui c’est sûr. C’est ce que je dis.

On n’a aucun moyen de savoir.

Sœur : On le voit autour de nous.

Sœur : Ceux qui ne sont pas vaccinés, ils ont leurs petites vies, tout va bien.

C’est pareil dans les familles, c’est pareil chez tout le monde, dans tous les environnements, on a tous ces gens qui sont soit tous comme nous, soit complètement à l’opposé. Puis là avec les histoires de vaccins et tout ce qui s’est passé…

Sœur : On a réussi à mettre les gens les uns contre les autres, diviser pour mieux régner, c’est ce qu’ils ont réussi à faire.

Sœur : Oui, mais c’est leur travail.

Sœur : Ah oui ?

En fait, que ce soit aussi bien pour les gens entre guillemets ‘’ouverts’’, et les gens entre guillemets ‘’fermés’’, ce qui ne veut rien dire non plus, c’est le principe même de ‘’la confrontation’’ entre guillemets, qui va créer, qui va créer la résolution quelque part.

Sœur : Oui, parce que quelque part, on n’a pas à les juger, comme ils n’ont pas à nous juger.

Le plus dur c’est pas de jugement, n’est-ce pas !. En plus, si tu veux, quand tu as réellement vécu que tout cela n’existe pas, comment tu peux justifier ? Tu ne peux pas lutter contre quoi que ce soit. Il faut être lucide. Oui par exemple l’histoire des ondes, c’est une question de lucidité. Si on m’avait dit, avant 2012, qu’au fur et à mesure des radiations cosmiques, qu’on serait de plus en plus destroy !

(Rire)

Je crois qu’on n’aurait pas vraiment accepté, non ? Maintenant l’acceptation se fait, mais retenez que dans tous les secteurs de la vie, intérieure comme extérieure, on le voit dans les familles, dans les couples, dans les rapports à la société quels qu’ils soient, que c’est plus en plus complexe on va dire. Parce qu’il faut en permanence jongler, je ne parle pas intellectuellement mais même au niveau vibratoire, au niveau perceptif, entre ce que l’on sait être vrai, qu’on vit, soit en permanence en cet état Réel ou état naturel, soit par moments, et le reste, qui est tout effectivement sauf naturel.

Tous ces mouvements apparemment de conflits, de luttes, d’opposition, n’en sont pas, ce ne sont que des éléments qui ont déjà été écrits sur notre réveil, et là je ne parle pas d’éveil spirituel, je parle de réveil du rêve. C’est pour ça que pendant des années Bidi avait parlé de l’état sans conscience, appelé Turiya, c’est-à-dire qu’au moment où on dort, on est parfait. Pas le moment où on rêve, mais le moment où on n’est plus ouvert à ce monde, là où il n’y a plus de souvenirs. C’est ça l’état naturel. Mais va faire accepter ça à la conscience, va faire accepter ça à la personne, ce n’est pas possible.

L’acceptation de l’illusion aussi permet de vivre le Réel. C’est pour ça que l’acceptation aujourd’hui, c’est une forme aussi de résignation, quand tu te rends compte que tu ne peux rien changer à ce qui se déroule, qu’est ce que tu veux faire. Comme disait Christiane Singer la veille de sa mort : ‘’Quand tu abandonnes tout, tu découvres le Réel‘’. On est dans un mécanisme ontologique extrêmement puissant.

Sœur : Elle l’a vécue en conscience.

Comment ?

Sœur : Elle l’a vécue en conscience.

Oui

Sœur : Elle a pu mettre des mots …

Alors c’est agréable dans les phases de supra conscience où là, il y a les visions, les voyages, toutes les manifestations de la supra-conscience, du supra-mental, comme disait Sri Aurobindo, mais même ça, c’est un leurre, c’est une étape, c’est comme nous avec Autres Dimensions, on a constitué le corps de lumière, activé les nouvelles portes, les nouveaux chakras et tout.

Sœur : C’est ce que fait Marie Odile avec le Christ.

Ce qui n’empêche pas aujourd’hui, même moi, de me servir des chakras, en sachant que ça n’existe pas, pour soigner. Accepter le Réel n’est pas renier ce qui est présent

Donc ce qui est présent, c’est ce qui est en toi. Donc, soit tu es créatif, soit tu es dans le service, soit tu travailles n’importe où, soit, peu importe, mais il ya vraiment cette espèce de, ce n’est même pas de la transcendance, transsubstantiation qui est là, qui se fait d’elle-même, qui est à la fois un acte d’acceptation qui crée la traversée, c’est l’instant présent, qui est aussi un acte de résignation quelque part. Mais pas une résignation passive, c’est une résignation hyperactive qui te fait retourner vers toi même et qui permet de se souvenir. Quand tu n’as plus de solution, tu lâches, c’est aussi simple que ça.

Et on est conduit strate par strate, chacun à son rythme, vers ça. Et c’est un rite comme j’ai toujours dit, qui est de plus en plus une espèce de goulet d’étranglement, vers lequel se dirige en tout cas la Terre, sans même parler d’ailleurs. C’est la fin du dernier rêve.

Alors je sais que dans les enseignements ésotériques du début du 20e siècle, on parlait du cinquième rêve et du sixième rêve, même Bernard de Montréal en parlait avec l’avènement de la race bleue, mais on Est la race bleue. À partir du moment où tu réalises qu’il n’y a pas de temps, qu’est ce que ça veut dire la notion d’histoire d’évolution, d’involution, ça ne veut rien dire.

Mais toute cette révélation s’est faite progressivement depuis des centaines, voire des millénaires. Du temps de Jésus, tu imagines si Jésus leur avait dit : ‘’Moi et mon père sommes UN, mais nous n’existons pas !’’

(Rire)

Sœur : Même encore maintenant, beaucoup s’accrochent à ça. Beaucoup, beaucoup.

Comment veux-tu accepter ça, ce n’est pas possible, donc il ya une espèce de, oui, de gradation, d’amplification, qui suit les rythmes cosmiques. Ce n’est même pas le fait que la Terre tourne autour du soleil ou que le soleil tourne sur le bras de la galaxie, et on est là, on est là.

Sœur : Et le processus de création et décréation, il peut à nouveau se reproduire.

À la limite, ça ne veut rien dire, il n’y a jamais eu de création, il n’y aura jamais de décréation puisque le temps n’existe pas et qu’il n’y a jamais eu personne. C’est, cela ne peut pas être appréhendé par le mental et par la conscience, mais on est obligé d’adopter une optique linéaire quand on le décrit, même Nisargadatta l’a fait, mais il le disait à la fin de ses textes : ‘’Mes mots ne servent à rien’’. C’est pour ça, de plus en plus, on s’aperçoit les uns et les autres que le meilleur espace, non pas de résolution mais d’allègement, on va dire, se situe dans le Silence.

À partir d’un certain moment, qu’est ce que tu veux dire, à toi-même ou aux autres. Il n’y a plus que le silence et c’est ce que disait même un frère quand il vient ici, il ne vient pas pour parler, il vient pour être en Silence.

Elisa : Moi ça m’énerve.

(Éclats de rire)

Et c’est vrai que, aujourd’hui, plus …

Sœur : … Et bien oui, tant qu’on est là, on a besoin de temps en temps d’être dans l’échange avec l’autre.

Parce que la conscience a besoin d’échange, de communication.

Sœur : Bien oui, bien sûr.

Oui, mais la meilleure communication, c’est le Silence.

Frère : Même la conscience, enfin tout, revient peu à peu vers le Silence.

Oui, ah oui.

Le meilleur état de la conscience, c’est le silence.

Sœur : Bon tant que tu es dans le théâtre, de temps en temps, tu as envie de …

Et c’est vrai qu’on le constate je pense pour beaucoup parmi nous, même ceux qui aiment beaucoup parler, que le Silence est préférable à tout. Le Silence vous conduit à la paix. Dans le Silence, il n’y a pas besoin de cogitations, il n’y a pas besoin de vibrations, il n’y a pas besoin de visions, il n’y a pas besoin de perceptions. Le Silence est complet à lui-même.

Sœur : Mais alors pourquoi être encore dans un corps, autant ne plus être là du tout

Pourquoi, quoi ?

Sœur : D’avoir un corps si tu veux être mieux dans ton Silence, tu n’as pas besoin de ton corps. Ça n’a plus de sens, ne participer à plus rien, ça sert à rien. …

Parce que, je te répondrai, parce que ce corps est là.

Sœur : Voilà.

Et tu es obligé de l’accepter. Le monde est là, le rêve est là, on est tous dans le rêve, on est tous le rêve de l’autre sans exception. Quand Christiane Singer, elle disait que : ‘’Nous n’avons même pas besoin d’être reliés.’’ Même pas besoin d’être reliés, puisque nous sommes les uns dans les autres, l’univers entier c’est nous.

Donc à partir de là, qu’est ce que …, effectivement à part le Silence, je ne vois plus quoi. Aller expliquer des vibrations, des chakras ? Si, on a fait des formations cristal, parce qu’il fallait bien soigner les corps, mais sur ce que tu es, il n’y a pas besoin de tout ça.

Sœur : Non d’accord.

Sœur : Quand même, le corps qui est là …

Et chacun exprime ce qu’il a à exprimer dans son univers.

Sœur : Tout à fait.

Ça peut être des peintures, ça peut être de faire des mandalas, mais je dois dire qu’aujourd’hui, les moments les plus pleins sont les moments où il n’y a rien, il n’y a plus de mots, il n’y a plus de pensées, il n’y a plus d’objectifs, et tu t’aperçois progressivement, ou brutalement, que la solution elle est là.

Sœur : Tant que le corps est en souffrance, on a du mal.

C’’est bien pour ça que je …

Sœur : … pour moi c’est le massage.

Pour tout le monde, même, regarde Nisargadatta à la fin de sa vie avec son cancer de la gorge. Quand le corps te gêne, il te gêne !

Sœur : Exactement.

Que t’es Absolu ou pas, ça ne change rien. Donc c’est pour ça que dans ‘’ma philosophie’’ entre guillemets, j’ai toujours essayé de poursuivre, de donner des moyens d’améliorer un petit peu les choses dans ce qui est à vivre. Parce que quand la conscience est entraînée par une souffrance quelle qu’elle soit, c’est terrible, et c’est même encore plus terrible pour celui qui est libre !

Sœur : Oui, oui, complètement !

C’est logique, fondamentalement c’est logique.

Sœur : Quand on est libre et qu’on bien dans son corps, effectivement !

La tranquillité, la fainéantise dont parlait Osho, c’est vraiment pour ceux qui ont la chance de le vivre, c’est extraordinaire. Parce que tout dans la société, dans la vie sociale, affective, familiale, amicale, te renvoie au besoin d’action, au besoin d’expliquer, au besoin de communiquer. Mais quand tu es en communion avec toi même avec le Réel, à part le Silence, je ne vois pas. Et paradoxalement, tout est fait dans la vie de nos corps et de notre société, les uns et les autres, pour nous sortir du Silence, ce n’est pas banal !

Et le but c’est, malgré ça, de maintenir le Silence, sans que ça devienne un effort. Et ça c’est quelque chose qui est, qui va et qui vient et, à un moment donné, bah ça s’établit et, effectivement, ça s’établit d’autant plus facilement que tu n’es pas gêné par une douleur du corps.

Sœur : Ah oui.

Regarde, Sri Aurobindo par exemple qui est mort d’une insuffisance rénale, donc dans des souffrances aussi pas très joyeuses, et il a régénéré son corps quand il est revenu, et qu’il s’est adressé à Mère, et Mère lui a dit : ‘’Puisque tu peux régénérer ton corps, pourquoi tu ne reviens pas‘’  Il lui répond : ‘’Mais jamais de la vie je ne reviendrai dans un corps !’’

Frère : Pourquoi souffrir !

Il a dit : ‘’Je reviendrai m’exprimer à travers un channel’’. Bon chose qu’il a faite, mais il a dit : ‘’Jamais je ne reviendrai dans un corps’’

Quand tu vis de Réel, tu ne peux plus être dupe. La traversée, tu sais dans les expériences de mort imminente, tu as le tunnel, après tu vois la lumière au bout, après tu as des êtres de lumière qui sont là, mais tout ça c’est du pipeau.

Seuls ceux qui ont accédé à ce qu’il y a après la lumière, qui on fait des NDE ultra complètes, c’est-à-dire qu’ils ont osé traverser les membres de la famille toujours plus jeunes, ou les maîtres qui étaient là pour leur dire : ‘’Mais non il faut que tu reviennes sur Terre’’, qui ont donc traversé et qui sont allés de l’autre côté de la lumière, ont vécu le Réel, c’est-à-dire après Shantinilaya.

Le problème, c’est que là ce n’est plus un problème individuel mais qui concerne la totalité de la création, et même ça, c’est impossible de se le représenter. Mais on est tous conduit à ça, qu’on le veuille ou pas, à marche forcée. Et le but, c’est de traverser cette période en étant quelque part à cheval sur ce monde du rêve et quelque part à cheval sur le Réel.

Je n’ai pas dit que c’était facile, c’est beaucoup moins facile (par rapport aux années 2010-2015), mais ça nous conduit à la facilité. À un moment donné, il y a quelque chose qui lâche, le réflexe de survie de la conscience, normal, tu mets la main sur la boule, tu retires la main.

À un moment donné, ça n’existe même plus ça, tu es toujours là et tu constates. Et il n’y a pas de sentiment de privation, il peut y avoir des colères, mais il ne peut pas y avoir de tristesse, il ne peut pas y avoir de manque.

Et franchement aujourd’hui, c’est ce que je dis de plus en plus, à part vous installer dans le Silence quand il ya quelque chose qui arrive à la conscience, ou même dans le corps – bon, et bien évidemment, moi en tant que médecin, je cherche toujours les remèdes, les cristaux, les trucs, les machins -, mais c’est vrai que de se mettre dans le Silence crée l’acceptation, crée l’instant présent et crée le Réel, te fais re-souvenir du Réel.

Alors bien sûr, il y a des choses beaucoup plus propices, la nature, ça avait été expliqué avec les éléments, les élémentaux, les cétacés, la forêt, tout ce qui est naturel en fait.

Elisa : Pourquoi on est en train de brûler nos forêts ? Ils sont entrain de brûler nos forêts. Avant qu’on ne parte, on va être dans une terre dévastée !

Mais Pépère l’avait dit, les Hayot Ha Kodesh de feu, c’est terrible ! Il ne restera rien de toute façon comme ça n’a jamais été créé. Enfin quand on parle de création, décréation, c’est vrai que c’est très difficile à concevoir que rien n’est réel, rien de ce que nous pouvons penser, rien de ce que nous pouvons voir, rien de ce que nous pouvons ressentir, percevoir, exprimer, n’est vrai.

Ce que disait Bidi à la fin de sa vie, c’est tellement évident !

Elisa : Mais on va vivre tout ça. On va vivre, et les autres, tout ça.

Oui.

Sœur : Alors pourquoi Bidi revient à travers toi nous le dire, pourquoi il le dit ?

Pourquoi quoi ?

Sœur : Bidi revient par ton canal donné l’enseignement.

Oui.

Sœur : Pourquoi faire ?

Pour rien, rien ne sert à rien.

Sœur : Voilà. Finalement, qu’est ce qu’on fait là finalement, pourquoi on est là ?

Pour rien.

Sœur : Pour rien.

Pour rien, on est bien d’accord.

C’est pour ça que je n’appelle plus ça des stages, mais des vacances.

Sœur : Ah oui.

Sœur : En fait.

Sœur : Ça m’a fait aussi.

Sœur : Toi aussi ? Hier je me suis dit, pourquoi on se prend la tête comme ça, faire des heures de voiture, pour faire quoi en fait ! Ça m’a pris cette nuit, je me suis dite : pourquoi on est là !

Non mais…

Sœur : Pourquoi on est là, voilà, les vacances, on se dit, on va passer un bon moment c’est sympa quoi !

Oui, oui, tout à fait, toi tu es venue l’année dernière.

Sœur : Oui, oui, oui.

On n’est pas là pour quelque chose.

Sœur : Le meilleur moment que j’ai pu vivre, c’est quand on s’est fait un massage, il n’y a pas très longtemps, et dans le silence, il n’y avait rien mais on était bien parce que le corps était … Il n’y avait rien et on n’avait besoin de rien en fait.

Sœur : Moi, depuis très, très longtemps, qu’est ce qu’on se prend la tête à faire des stages, faire tout ça !

Sœur : Je n’ai même plus envie quoi.

(Rire)

Sœur : Oui, bon, il faut le dire autres. On va leur dire quoi ? C’est fini, c’est foutu, arrêtez !

(Rire)

Sœur : En plus, c’est que du cinéma ce qu’on nous apprend.

Sœur : Bien oui, on n’est pas bien.

Sœur : Moi je suis là pour mes chakras, mes machins, et tout, ça sert à quoi finalement ?

Sœur : Et bien, on le voit, on le fait. Ils sont très bien sur le moment, une semaine après, il y a plein de discorde, ils paniquent parce qu’on est parti. On va faire comment pendant une semaine, on ne peut pas vous contacter?

Sœur : Tu t’aperçois que finalement tu les rends dépendants de nous.

Mais quelque part, tu vois …

(Rires)

Quelque part, quand tu arrives à cette conclusion…

Sœur : Oui.

…Tu es libre.

Sœur : Oui, oui, ça il n’y a pas de problème.

Tu es libre et tu prends les choses comme elles viennent.

Sœur : Ah oui, oui, ah oui, mais complètement.

Beaucoup plus facilement, mais c’est le but c’est un apprentissage, c’est toujours pareil.

Sœur : Hier j’étais libre dans l’eau, quelle liberté, quel bonheur, enfin pas du bonheur, mais de la liberté effectivement.

Oui, oui. Tu le sens maintenant quand tu es dans l’instant présent, tu n’as pas besoin de te poser la question, je suis comme à l’époque de hic et nunc, je suis là !

Sœur : Non.

Non, tu es dans ‘’le feu’’ entre guillemets de ce que tu fais, et tu t’’aperçois que c’est là. Ça peut-être dans l’eau, ça peut être dans le Silence, en général c’est toujours lié à la nature, aux éléments naturels et certainement pas la société. La Matrix, c’est la prison, c’est la société.

Sœur : Il y a quelques temps, j’expliquais que j’ai fait un rêve, pour moi qui était réel. Sur Terre, il y avait des bombes effectivement, tuée et tout, et d’un coup j’ai plongé dans l’eau, dans la mer, elle est froide, il fait noir, ce n’est pas agréable, le corps pas content. Puis d’un coup il y a sur moi, il y a eu un vaisseau de lumière qui a ouvert ses portes, et je suis rentrée dans ce vaisseau de lumière et c’était […], oui, le monde actuel nous emmène là, dans cette lumière là, enfin dans cette liberté là.

Sœur : Hier, j’ai failli le revivre…

Autre sœur : Elle m’a fait peur …

Je pense qu’aujourd’hui, indépendamment de tous les aspects vibratoire, spirituels, de conscience et autres, il faut vraiment être endormis pour ne pas comprendre que ça tourne pas rond quoi !

(Rires)

Sœur : Ah oui, oui, complètement … Toute petite, par exemple tu vois, j’ai horreur du théâtre …

Autre sœur : Pourquoi tu n’aimes pas le théâtre, c’est bien le théâtre.

Sœur : Non, je n’ai pas envie d’y aller, j’ai horreur du théâtre. Par contre, moi c’était la grâce, la danse, la musique, voilà.

Sœur : Pas le théâtre ?

Sœur : Surtout pas !

Et puis il faut se débrouiller avec notre environnement, familial en plus

Sœur : Ah bien là oui.

(Rires)

Tu te dis, mais comment ils font pour dormir comme ça quoi.

Sœur : Ah oui.

Sans même parler de spiritualité, de vibration, des chakras.

Sœur : On n’est pas normal, ou on fait partie d’une secte, ou tu es retardée !

Sœur : (…) Dans ce monde là, après on s’adapte au monde, à ce qu’on a à vivre.

Tu sais ça, ça concerne la personnalité, mais c’est la même chose pour la conscience, il y a des choses que la conscience comme la personne ne peuvent pas accepter.

Sœur : C’est ça.

C’est inacceptable.

Sœur : Oui voilà c’est inacceptable. 

C’est inacceptable déjà pour ceux qui ne vivent rien, qui ne croient en rien, pour eux la vie c’est entre la naissance et la mort. Donc déjà tu leurs ôtes ça, qu’est ce que tu veux qu’ils acceptent ?

Sœur : Et pourtant, moi j’avais cette notion, une fois dans une ouverture de conscience, comme ça, de me voir avec des êtres de lumière autour d’une table, donner mon accord pour m’incarner. Donc après : maintenant tu as donné ton accord, tu fais, tu t’es…, tu fais, mais parce que il me semblait que effectivement, ma conscience était d’accord pour venir m’incarner. C’est fort, c’est fort mais tu en fais quoi ?

Et même nous

Sœur : Tu es au théâtre.

C’est vrai, je ne sais pas si ça vous le fait aussi, même des fois dans la famille, des fois j’ai envie de me pincer pour me dire : ce n’est pas possible, quoi, on est où là !

Sœur : Moi, c’est avec ma mère, en ce moment, c’est compliqué…

Alors qu’avant, ce n’était pas comme ça. Tu étais dans tes vibrations tu mets les trucs, mais là c’est tellement…

Sœur : Et petit on nous dit : ‘’Tu es dans la lune, tu es toujours dans la lune‘’, je ne suis tellement pas présente à ce théâtre, mais tu t’échappes … on me disait :  tu es toujours dans la lune, reviens sur Terre, bon d’accord, mais reviens sur terre … pas bien effectivement, participer à ce grand théâtre, on n’a pas envie.

Déjà que tu t’aperçois que l’humanité dans sa quasi-totalité, en tout cas dans le monde occidental, est complètement hypnotisé, ce n’est pas la loi, il n’y a plus de loi maintenant, c’est la télé qui fait la loi

Frère : Les téléphones.

Oui, ah bien oui.

Frère : Je le voyais à l’aéroport, tout le monde sur son téléphone.

À table, dans les familles, même moi, je reconnais que parfois, alors qu’à l’époque Sri Aurobindo nous avait parlé des écrans et des images qui nous empêchent de voir la Vérité. Donc même si on le sait, on est tous …

Sœur : Mais c’est un outil pratique, pour communiquer en tout cas.

Sœur : C’est un outil.

Frère : Le temps qu’on passe dessus, je ne pense pas que ce soit du temps de communication.

Sœur : Pas tous, mais pour moi en tout cas, c’est plus la communication.

Autre sœur : Pour nous aussi, en tous cas, ça nous a bien aidés !

Sœur : On était bien content d’avoir le GPS !

(Discussions à plusieurs dans la salle)

Vous regardez, en ce moment, il ya des gens qui mettent des photos, j’ai vu passer ça hier, une plage en 1970. Il n’n’y avait pas de téléphone, il y avait aucun obèse, ils avaient tous des corps magnifiques !

Sœur : Ah oui.

Donc

Sœur : C’est de la grâce, on n’en voit pas beaucoup autour de nous ! Oh !

(Rires)

Frère : Eh bien, si, nous quand même, non ?

(Rires)

Alors bon, si on va dans les traditions indiennes, il parle de fin du Kali yuga, la joie. Dans les prophéties de l’islam, c’est pareil, les gens vivront empilés les uns sur les autres, l’homme couchera avec son enfant, enfin bon. Tout ça, on le vit en temps réel

Frère : Il y a quelque chose que je ne comprends pas moi, c’est quand par exemple OMA qui dit qu’on a la chance de vivre ça dans un corps d’humain, là.

Ah oui.

Frère : C’est ça que je ne comprends pas, pourquoi il dit ça, alors que le corps humain, là, il est en pleine souffrance.

Parce que le corps de souffrance, parce que le corps humain comme je te l’ai dit, est à l’origine du premier rêve et du dernier rêve. Le premier rêve, la première création, s’est passée sur Terre

Sœur : Oui.

Donc l’espace de résolution, dans l’illusion du temps et de l’espace, ne pouvait se faire qu’au même endroit, l’alpha rejoint l’oméga comme disait le Christ, l’oméga et l’alpha, c’est la même chose.

Donc, il y a un espace de résolution du rêve, puisque tout le scénario a été écrit, qui ne pouvait être que l’instant initial, pour se souvenir qu’on est antérieur à la première lumière, antérieur à l’esprit, antérieur à la première forme et il y a que ça ne pouvait se réaliser qu’ici sur Terre

Frère : Et ceux qui sont dans le paradis blanc, ceux qui, comme OMA par exemple, sont dans l’endroit où ils sont. 

Le paradis blanc, il est dans le soleil.

Frère : Mais ils ne peuvent pas le vivre eux.

Ils vont vivre au même moment, puisque même les anciens si tu veux, à l’époque en 2018, 2019, eux aussi était rentrés en silence pour vivre l’illusion même de leur assemblée des 24 anciens quoi. Et il n’y a que nous qui pouvions, comment dire, il n’y a que nous qui détenions la clé dans le monde de la forme, dans le monde de cette dimension.

Sœur : Parce que ces êtres là ont besoin d’une forme pour communiquer encore.

Je crois que c’est au-delà du compréhensible et au delà de l’intelligible, c’est pour ça que maintenant j’en arrive à la conclusion effectivement qu’à part le silence ! Je peux t’expliquer les portes, les étoiles, les dimensions, les trucs, mais ça ne t’apportera rien.

Comme disait Bidi, encore aujourd’hui c’est encore plus vrai, ’’toute connaissance n’est qu’ignorance’’. Parce que quand tu vis le Réel, la connaissance est complètement illusoire. C’est ce que disait le Christ : ‘’Tu auras beau connaître la langue, parler la langue des anges, s’il te manque l’amour, tu n’es rien’’ etc…, premier épitre de St Paul aux Corinthiens, c’est exactement ça.

Sœur : Et pour toi, qu’est ce que veut dire l’éveil du Bouddha par exemple. On parle tout le temps de l’éveil du Bouddha. Ça veut dire quoi ? 

Je crois que, quoi qu’on puisse expliquer, le Réel est inexplicable.

Sœur : Parce qu’une fois j’avais lu ça, et c’est vrai que si d’un coup, ça ne dure pas longtemps, mais il y a rien d’autre effectivement que … ça ne s’explique pas en fait, je l’ai vécu dans mes cellules j’ai dit ah, j’ai senti ce que le Bouddha a vécu, peut-être dans un corps, peut-être nos cellules…

Je crois qu’il faut profiter des moments où on ressent cette paix comme tu dis dans l’eau, dans le silence, à certains moments, parce que là tu sais que tu touches le Réel.

Sœur : Ah oui, oui, oui.

Et plus tu touches ça, plus tu t’aperçois que le reste ne veut plus rien dire.

Sœur : Après on s’occupe, je m’occupe.

Ça n’a plus de signification, et pourtant il faut le vivre.

Sœur : Une fois j’étais avec quelqu’un, j’ai vu cette ouverture et tout ce qui était déjà accompli, j’ai dit : ‘’Pourquoi tu nous fais faire tout ça ?’’, elle me dit : ‘’Toi, tais toi, tu sais, mais pas les autres’’ Ah bon ! ’’Tais-toi et fais-le’’, elle me dit. C’est dur de l’entendre dire, mais en fait il fallait le transmettre, mais comment on peut le transmettre, on ne peut pas.

Et plus les jours, les semaines, les mois passent et plus on se rend compte de ça, qu’on le veuille ou pas.

Sœur : Oui, oui, oui.

Pas en tout cas pour ceux qui acceptent.

Sœur : Comment parler, comment le vivre avec d’autres, tu ne peux pas.

C’est intransmissible.

Sœur : C’est pour ça ! Moi maintenant, je me la ferme.

De toute façon, dès que tu ouvres la bouche, tu vas t’apercevoir que c’est le drame.

Sœur : Ça ne sert à rien, on nous prend pour des illuminés. Dans ma famille, je faisais partie d’une secte, je n’ai même pas dit que je venais là, ce n’est pas possible.

Encore plus qu’avant, dans les familles, on est pris pour des fous cinglés.

Sœur : Bien sûr.

Alors qu’avant, on nous tolérait comme étant excentriques.

Sœur : Voilà, oui.

Maintenant nous sommes des fous furieux.

Et tu n’y peux rien, tu n’y peux rien. Donc quand tu vois que tu n’y peux rien, mais comme tu dis, le silence, tu joues le jeu de ton personnage et c’est tout.

Sœur : C’est ce que je fais depuis un bon moment.

C’est la meilleure façon de se …

Sœur : Et je suis bien contente de ne pas avoir (trop ? ou pas du tout) de petits enfants …

Il n’y pas d’autre façon de se comporter. Et ça c’est constant je le dis dans toutes les familles, il n’y a pas une famille qui échappe à ça.

Il n’y a pas une famille à qui ça échappe. Il y a que, avant, ce qui était considéré comme un trait d’excentricité, aujourd’hui, on est, on est … ils sont presqu’agressifs.

Sœur : Ils sont agressifs, ils sont agressifs.

Ils le sont.

Sœur : Ils ne sont pas presque, ils sont !

Autre sœur : Quelque part ça nous oblige un peu à nous planquer, mais c’est grave. On ne peut pas rayonner autrement

C’est ça malheureusement.

Elisa : Tu sais que moi je m’endors avec les canas et tout ça. 

Oui.

Elisa : Et dès que j’entends ta voix.

(Rire)

Il n’y a jamais eu autant de gens sur cette planète qui se sont endormis on m’écoutant.

Elisa : Oui, quand j’ai des insomnies, je mets une cana, n’importe. Donc à force d’entendre sa voix, chez moi, c’est automatique.

Tu pars dans le néant, dans le silence.

Elisa : Oui je m’endors.

Sœur : Et moi je fais pareil, je disais à Karina, depuis que j’ai écouté les Satsangs en fait, vraiment ça a apaisé, quoi. Le soir je me les mets comme ça, je m’endors avec les …

Elisa : Voilà ! C’est ça !

Je vous avoue que si je m’écoute en canalisation, je m’endors tout de suite aussi.

(Rires)

Alors attends, parce que là depuis quand même dix ans, douze ans, je me rappelle de tout, mais au début des canas de Pépère en 2000, avant Autres Dimensions, je ne savais pas ce que je disais, c’est-à-dire je demandais à l’époque à Véronique : ‘’ tu me raconte ce qui s’est dit’’.

(Bruit de toux)

Elle me racontait, parce que si je m’écoutais, au bout de dix secondes, je n’étais plus là ! Avec ma propre voix !

Elisa : Oui, moi c’est ça que je fais, là je me rends compte que je m’endors, je me dis, je vais écouter, mais c’est plus fort que moi.

Tu te rends compte, j’aurais pu faire fortune en faisant une cassette : ‘’Endormez-vous sans problème’’.

(Rires)

Sœur : Donc finalement, toutes les sortes de nourriture, fumer ou pas fumer, ce n’est pas grave !

(Discussion dans la salle) … C’est la merde, point final !

Frère : Je reviens sur l’interrogation de tout à l’heure, est ce que le corps humain, l’humain, là, il est nécessaire pour l’accès au Réel ?

Oui

Frère : Il est nécessaire.

Oui.

Frère : C’est-à-dire que Oma par exemple, où il est, comme il n’a pas vécu ça dans un corps humain, il ne peut pas le vivre.

Exact.

Sœur : C’est pour ça qu’il passe à travers.

À  l’époque, on différenciait entre l’ascension de type luciférienne, qui se faisait en abandonnant le corps.

Sœur : Tout à fait.

Et la véritable initiation, qui se fait avec le corps. C’est ce corps là, ce corps de chair périssable qui doit éprouver le Réel, c’est à dire c’est ce corps là qui rejoint toutes les dimensions, ce n’est même pas la conscience, c’est ce corps. Donc nécessairement ça doit passer par le corps.

Frère : Et donc ceux qui le vivent dans le corps, eux ils sont, après quoiqu’il arrive en fait, ils y sont, ils ont fait la jonction quoi.

Je n’ai pas compris, ils sont…

Sœur : Ils sont libérés.

Frère : Voilà, en fait ceux qui par le corps vivent le Réel, donc ils vivent le Réel à travers le corps, après, quoi qu’il arrive, la jonction elle est faite.

Oui parce que c’est dans le corps qu’est inscrit le temps zéro, déjà au niveau cellulaire. Une cellule quand elle se divise, tu as le noyau, l’ADN, tu as ce qu’on appelle les, pas les chromosomes, les fuseaux chromatiniens, ce sont deux trucs qui tournent en sens inverse comme ça, sur lequel s’alignent les chromosomes avant de se séparer. Donc toute cellule a la mémoire du temps zéro, ce que ne peut pas avoir la conscience.

Sœur : C’est la cellule.

La conscience ne peut pas te conduire au temps zéro, parce que la conscience ne peut pas se reconnaître comme une maladie, c’est impossible. Donc nécessairement, ça passe par la cellule et le truc de se souvenir de qui on est, ça se passe dans le corps, ça ne se passe pas dans une autre dimension, ça ne se passe pas, même en 2017, 2018 en tant qu’Abba, je suis allé détruire le truc-machin, ça c’était du cinéma, enfin c’était un acte réel mais qui fait partie du scénario sur lequel je n’avais aucun pouvoir, qui devait se passer comme ça.

Mais une fois que tu es sorti de ça, ça n’a pas plus de sens pour le personnage que pour la conscience, ça n’a plus aucun sens.

Elisa : Donc pour toi la cinquième dimension, c’est quoi ?

Ça n’existe pas plus que les autres dimensions.

Elisa : Oui mais on est dans la cinquième maintenant.

On n’est nulle part, à part l’instant présent, le temps zéro.

Elisa : Au niveau vibratoire.

Il n’y a pas de dimension, les dimensions, même ce que l’on appelé les autres dimensions, les archanges et tout, sont dans le rêve, ils sont en nous.

Elisa : Oui mais dans ce rêve, il y a quand même différentes fréquences.

Différentes strates oui.

Elisa : Et là on est dans la 3D comme moi je dis, les gens qui sont sur Terre, qui n’ont aucun problème, qui vivent leur vie et sont mieux que nous, ils vont aller (être ?) dans un autre état vibratoire.

Oui.

Elisa : Et ça serait peut-être la cinquième, ou pas.

Tu ne peux pas le classifier, pour moi c’est une espèce de non dimension, comment dire, c’est tellement inconnu, que je ne vois pas comment je peux le qualifier. Le meilleur mot, c’est le Silence, dès que tu essayes de t’en saisir, il disparaît. Tu ne peux pas le conceptualiser comme les portes, les étoiles, les nouveaux corps et tout ça. Ça oui c’est très facile, mais là on est dans quelque chose qui n’appartient pas à la forme, qui n’appartient pas au temps, qui n’appartient pas à l’espace.

Donc à partir du moment où tu ne peux pas définir les coordonnées espace/temps d’un corps, qu’est ce que tu fais. Le problème, c’est qu’on essaye de s’en saisir, mais qui essaye de s’en saisir si ce n’est le personnage ou la conscience, et ça, c’est ça qu’il faut voir, c’est que dès qu’il y a une espèce de questionnement sur ce qui est, tu n’es déjà plus dans ce qui est.

Elisa : Non, moi je ne suis plus dans mon corps.

(Rires)

On fait une pause goûter, il est midi, on ne mange pas avant deux heures je crois.

NOUS SUIVRE

Tous droits réservés 2022 © Apothéose.live

Politique de confidentialité