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BIDI (Partie 1)
Vacances (21 au 27 Juillet 2021)
Animation par : Elisa Bernal

22 Juillet 2021

*** EN COURS DE TRANSCRIPTION ***

Eh bien Bidi est avec vous, et il vous salue.

Et nous allons, si vous le voulez bien, passer un moment ensemble en répondant à vos questions, et vous permettre de vous retrouver en la Vérité que vous êtes et que rien ne puisse contester.

Alors, j’écoute ce que vous avez à dire, ce que vous avez à interroger, et je vous invite, comme toujours, à dépasser le sens de mes mots, à vous laisser pénétrer, et de vous redécouvrir en chaque instant.

Nous pouvons commencer.

…Silence…

Elisa : Je vais regarder s’il y a des trucs. Je vais rentrer dans le direct.

Elisa : Dans le public aussi vous pouvez commenter sur le chat. Si vous avez des questions, je les prends sur le téléphone.

Elisa : Il faut toujours un temps de réadaptation. Si vous voulez, je prends la première question que j’ai vue, là, pendant la pause, qui revenait constamment, parce que maintenant il y a des nouvelles dans ce chaos, où il y a des possibilités peut-être d’imposer ce que nous appelons ici le vaccin, et pour nous ce serait donc quelque chose de terrible pour les gens qui sont un peu réveillés. Alors, les gens tournent autour de ça, et le doute est là. Il y a des nouvelles constantes de pression pour être vaccinés dans tous les pays du monde. Alors, c’est un petit peu ce qui est, disons à l’ordre du jour dans ce monde.

Je te laisse traduire d’abord.

Tout ce qui vous est proposé, tout ce qui vous est imposé sur la scène de théâtre, n’est là en définitive que pour vous poser, et vous imposer un choix illusoire. Vous n’avez aucun choix de refuser ou d’accepter, et tout ce qui se déroule, dans quelque aspect que ce soit, n’est là que pour vous imposer votre Autonomie et votre Liberté. Tout ce qui se déroule et ce qui se passe a pour unique finalité de vous démontrer, envers et contre tout, que la seule solution est de retrouver en premier lieu votre Autonomie et la Liberté. Non pas la liberté d’aller et venir afin de ne plus jamais être soumis à quelque autorité extérieure que ce soit ou à quelque décision que ce soit.

Tel est aujourd’hui pour vous le prix de la Liberté et le prix de la Vérité. Il n’est pas question de dire non à quoi que ce soit, si ce n’est de dire NON au mensonge et OUI à ce que vous êtes. Il ne peut y avoir aucun compromis, aucune compromission de quelque injonction extérieure venant de l’illusion de la vie. Vous réfléchissez toujours en une solution possible en ce monde, et aujourd’hui vous constatez qu’il ne peut exister aucune solution qui puisse vous être fournie par une décision par ce monde lui-même. Ce qui apparaît comme injuste, ce qui peut apparaître comme dictatorial, est une invitation formelle, de la scène de théâtre elle-même, à vous retrouver.

Ne cherchez pas une solution pour faire face à cette scène de théâtre, ne cherchez pas une solution au chaos qui est devant vous, mais regardez au-dedans de vous, regardez qu’il n’y a rien à voir, qu’il n’y a rien à accepter ou refuser. Il vous suffit, là aussi comme je l’ai dit voilà des années, de réfuter cette scène de théâtre et le théâtre disparaîtra de lui-même. Ne vous laissez séduire par aucune injonction. Ne vous laissez imposer rien du tout, non pas par une compromission, non pas par une soumission, mais parce que vous êtes le Souverain. C’est à vous de reconsidérer ce que vous pensez par rapport à ce qui veut vous être imposé par l’illusion et le mensonge.

Alors, le OUI à LA VIE, le OUI à la Vérité, sera le fondement en vous de la dissolution totale de la scène du monde et de la scène du chaos. Tout cela n’a rien de véritable. Tout cela est un film. Il est temps de trouver le mot FIN et la fin ne peut pas être autre chose que la Joie ineffable de vous retrouver. N’attendez plus rien de ce monde. N’espérez rien du théâtre et laissez les gladiateurs se combattre entre eux. La scène de théâtre est suffisamment éclairée pour permettre sa propre autodissolution, et de vous retrouver en ce que vous êtes, et non pas de projeter encore quoi que ce soit, dans quelque rôle ou fonction que ce soit.

Il y a avant tout, à travers cette injonction funeste, une injonction à vous retrouver, une injonction à ne plus établir de compromis, une injonction à ne plus établir aucun contrat avec le chaos illusoire qui se dresse en ce monde. Il est temps de dire STOP. Il ne s’agit pas d’une lutte ou d’une réaction, mais d’une capitulation totale de tout désir et de toute fonction, qui vous permettra de ne plus alimenter, de ne plus éclairer, de ne plus donner votre pouvoir à ce qui n’est qu’un fantôme. Tous les événements qui vont se dérouler d’ici quelques jours ne sont qu’une forme de révolution intérieure, une forme d’insurrection du Je Éternel contre le mensonge de la conscience.

Ainsi aboutit toujours l’adhésion à l’illusion qui s’autodétruit d’elle-même dans son auto confrontation. Vous n’avez à pleurer sur rien de cette scène de théâtre, mais simplement à pleurer de Joie de vous retrouver tels que vous êtes. Le seul point d’appui, la seule force, et ce qui est véritable, ce qui a toujours été là, est de voir réellement cela et de le vivre. Autrement dit, les circonstances de cette scène auront toujours la même résolution, celle de vous retrouver. Vous ne trouverez plus rien à l’extérieur qui pourra vous contenter, qui pourra vous satisfaire, si ce n’est vous-mêmes.

La simple acceptation que cela est ainsi assure votre retour à la Vérité. Il n’y a rien à juger. Il n’y a rien à condamner. Il y a juste à établir ce constat qu’il n’y a aucune issue dorénavant sur la scène de ce théâtre. Il est temps de quitter le spectacle. Vous n’avez pas à y réagir, vous n’y avez aucun choix, mais simplement vous retourner en vous. Là est la véritable nourriture. Là est l’ineffable Vérité mettant fin à l’escroquerie de la forme, à l’illusion de tout désir en ce monde comme de ce monde. De votre facilité à accepter cela, découlera naturellement la facilité à le vivre. Il n’y a jamais eu de théâtre. La création est en train de passer.

C’est la meilleure occasion pour vous de découvrir que vous ne passerez jamais. C’est extrêmement simple. Dites OUI à ce qui Est, et l’acceptation embrasera l’illusion d’une autorité extérieure, parce que tous les éléments perturbateurs que vous allez vivre et regardez à la surface de ce monde, seront chacun d’entre d’eux, une occasion d’être véritables. Tant qu’il existe en vous le moindre espoir de cette scène de théâtre finale, vous ne pouvez pas prétendre à la Vérité et à la Liberté. Chacun de vous a cette seule et unique responsabilité de vivre cela.

La seule insurrection n’est ni l’insurrection de la conscience, ni l’insurrection du personnage, mais l’insurrection du Je Éternel, enfin contraint de se révéler à la face de ce monde. Le moment est arrivé de mettre fin au déroulement du temps, pas par une action extérieure, mais par une action intérieure de Silence, d’Intériorité. Il est temps de détourner votre regard des circonstances hallucinantes de ce cauchemar et d’être vrais. Rien n’est vrai dans ce que vous voyez. Rien n’est vrai dans ce qui se déroule sur cette scène.

Vous n’avez pas à la juger, vous n’avez pas à la condamner, mais vous avez simplement dorénavant à vous en détourner véritablement. Ce n’est pas une fuite, ni une démission, encore moins une réaction, mais bien le rétablissement du Réel dans toute sa pureté, dans toute son authenticité. Chaque élément de cette scène de théâtre vous montre qu’aucune autorité ne peut être acceptée, qu’aucun personnage et même le vôtre n’a à être accepté. L’acceptation de ce qui est, est l’acceptation du Réel. Ne vivez plus d’espoir ou d’espérance, mais vivez le Souffle de la Vérité. Vous n’avez rien à faire ! Vous n’avez rien à décider parce que la Vérité n’est pas une décision.

La Vérité n’est pas une action. La Vérité est ce que vous êtes, au-delà de toute apparence, au-delà de toute perception et de toute contradiction. Et cela est maintenant, dès que la décision que vous prenez est justement que cela soit maintenant. Il n’y a pas d’instant futur, il n’y a pas quelque chose que vous devez changer. C’est l’acceptation ultime, sans condition, sans aucune transaction, que vous êtes uniquement cet inconnu, source d’Amour et de Lumière, venant du Je Éternel, et simplement par son acceptation, cela résout l’illusion du choix, l’illusion du désespoir ou de l’espoir.

Je vous invite fermement à rentrer au-dedans de vous, car c’est ainsi que vous traverserez ce qui veut vous être imposé de quelle que façon que ce soit. Le temps est venu de dire OUI à la Vérité et STOP au mensonge. C’est le seul acte que vous avez à poser, qui est un acte de Silence qui permettra à la Vérité de mettre fin à ce monde. Cela se produit que vous l’acceptiez ou pas. C’est au-delà de tout désir, au-delà de toute histoire comme même de toute décision extérieure. Autrement dit, il n’y a pas de meilleur emplacement que là où vous êtes exactement, à l’âge que vous avez, à l’endroit où vous êtes, pour faire ce choix qui n’en est pas un.

J’ai déjà dit que quand c’est le moment où vous constatez que vous n’avez plus le choix, que vous vous trouvez, que vous vous retrouvez, vous n’alimentez plus ainsi la moindre interaction en ce monde. Et je précise, que ce qui aujourd’hui peut vous sembler être hors de portée, vous apparaîtra pour tous de plus en plus clairement, au fur et à mesure des jours qui vont s’écouler sur la scène de théâtre. Vous êtes le Souverain Intégral. Vous êtes l’Indicible Vérité, l’Indicible Beauté qui n’est d’aucun monde.

Ce qui se déroule sur cette scène est simplement ce qui passe, simplement ce qui a été décidé par le jeu de la conscience Une dans l’ensemble des mondes et des univers, afin de vous souvenir de qui vous êtes, là où il n’y a aucun choix, là où il n’y a aucun mouvement, où seule la pure Béatitude est véritable. Si mes mots ne vous parlent pas aujourd’hui, les circonstances de vos corps, les circonstances de votre famille, les circonstances de votre pays, ainsi que les circonstances du cosmos, vont vous y contraindre. En fait, vous êtes contraints à la Liberté, vous êtes contraints à la Vérité, quoi que vous puissiez rétorquer, quoi que vous puissiez interroger.

Il n’y a rien d’autre à dire que de trouver le Silence de la Vérité. Et tout est fait par ce que vous nommez l’intelligence pour vous permettre d’aller au-delà des habitudes et au-delà de toute adhésion à ce qui s’agite sur la scène du monde. Laissez les combattants combattre, ils se réveilleront aussi de cette façon. Vous êtes l’Amour, et c’est ainsi que le personnage traversera tout cela. Ceci n’est qu’un rêve qui passe. Ceci n’est qu’une illusion dans sa forme la plus pesante, dans sa forme la plus mensongère. Et c’est ce qui se déroule maintenant. Il n’y a rien qui tienne face à la Vérité, ni argent, ni situation, ni aucun lien. Acceptez-le en vous, et cela devient la Vérité.

Il est temps dorénavant de ne plus essayer de composer ou de négocier à la surface de ce monde. Le rôle s’achève ! Comprenez-le en le vivant, en acceptant la Vérité, même si aujourd’hui elle vous semble tellement éloignée de vous. Ce n’est pas vrai. Ce n’est que parce que d’une manière ou d’une autre, dans quelque espoir caché, de perpétuation de quelque illusion de la conscience, que vous ne le vivez pas encore.

Vous avez d’innombrables frères et sœurs, d’innombrables vous-mêmes finalement, qui ont accepté. Vous n’avez à manifester aucune peur, car ce que vous êtes en Vérité, ne connaît pas la peur. Ce que vous êtes en Vérité ne connaît pas la souffrance. Ce que vous êtes en Vérité ne connaît pas le choix. Acceptez-le et vous le vivez.

…Silence…

Frère : Alors j’ai une question Bidi. Étant donné que sur la scène nous n’avons aucun choix, et que nous ne pouvons rien changer au scénario, qu’est-ce qui motive Bidi, qu’est-ce qui pousse Bidi à intervenir en nous ?

Comme je l’ai dit, à appuyer sur le bouton que j’ai nommé FIN, que le Commandeur aurait pu appeler, ‘’accélérer le film’’. Vous ne pouvez rien changer effectivement au déroulement de la scène de théâtre, mais votre acceptation de la Vérité consume littéralement l’illusion. Ça veut dire que, fondamentalement au niveau collectif de chacun de vous qui est le Tout, vous auriez plutôt tendance spontanément à appuyer sur Stop, plutôt que sur avance rapide.

Aujourd’hui c’est votre acceptation du Réel que vous êtes qui est le bouton de FIN, réellement. Tant qu’il existe le moindre espoir de poursuivre le rêve, vous n’avez pas la main libre pour appuyer sur Fin, fin du mensonge de votre personnage comme de tout personnage. Et ce qui me pousse aujourd’hui, de manière différente à ma précédence intervention, c’est ce que nous voyons clairement, l’accélération du mensonge, l’accélération du film, et qu’il est temps dorénavant de vivre par vous-mêmes et en vous-mêmes, qu’il n’y a jamais eu de théâtre.

Finissez la bobine et ne l’arrêtez pas ! Tout dépend de ce positionnement intérieur. Et même si aujourd’hui vous ne vivez pas l’Inconnu et la Vérité, le simple fait de décider ce que je viens d’exprimer, met fin à ce spectacle morbide. Je ne sais pas si l’exemple est clair, mais quand je dis que vous êtes le Souverain Intégral, c’est que réellement et concrètement, le mot fin ou le bouton fin n’est nulle part ailleurs qu’en vous.

Si la scène de théâtre se déroule de cette façon, de plus en plus dictatorial, c’est que réellement et concrètement, vous n’avez pas osé appuyer sur le bouton fin ou avance rapide, et que le comportement collectif de l’ensemble des rêveurs de ce monde, a consisté plutôt à appuyer sur pause ou sur stop. Vous savez pertinemment que l’ensemble de la Confédération Intergalactique, que l’ensemble des peuples du rêve, que l’ensemble des cétacés qui vous ont délivré voilà peu de temps le chant de la Liberté et de la Délivrance, ainsi que l’ensemble du Cosmos et de la Création, n’attend que votre bon vouloir, réellement et concrètement !

C’est ça que vous devez comprendre, c’est ça que vous devez voir, là est l’unique sens de mon intervention. Est-ce que cela est clair ?

Frère : Oui, très bien. Merci Bidi.

Je répète qu’il n’y a pas de meilleur emplacement que celui où vous êtes, dans le personnage qui y croit, dans la conscience qui se croit éclairée, ou dans la peur et la souffrance qui peuvent rester en vous. C’est justement un prétexte pour dire oui, OUI à la Vie et non au simulacre, oui au Sacré de votre Présence, oui au Sacré de votre Absence. Il n’y a pas de délai, il n’y a pas de distance. Il y a simplement un point de vue au niveau collectif qui croit quelque part qu’il existe une solution sur la scène de théâtre. Je le répète, il n’y en a aucune.

Cela va vous apparaître de plus en plus clairement et de plus en plus facilement. Voilà ce qu’attend l’ensemble de la création, voilà ce qu’attend ce que vous nommez Nibiru, voilà ce qu’attend votre personnage, stop au cauchemar, stop aux mensonges, stop à la croyance, stop à l’espérance, l’homme n’a pas à vivre d’espoir ou d’espérance, il a à vivre de vérité. Vous êtes le bouton Fin, vous-mêmes !

…Silence…

Nous pouvons continuer.

Elisa : J’ai une autre question, mais elle va dans le même sens. Alors je vais peut-être la laisser. Il y en a une autre qui dit, en résumé … Celle-là je vais peut-être la poser, elle va aussi dans ce que vous avez répondu, mais peut-être qu’il y a des (…)

Elisa : Même si on sait, et on nous répète constamment que nous ne sommes rien de ce jeu et que rien n’existe, c’est très difficile de l’assimiler, et même de pouvoir l’écouter. Pourquoi ?

Parce qu’il y a l’habitude, que l’homme est un être d’habitude. Parce que le personnage comme la conscience ont peur de l’inconnu. Acceptez que vous êtes l’inconnu, dépassez le fait de le savoir, ce n’est pas un problème de savoir, c’est un problème de conviction ou d’adhésion simplement à cet inconnu. Cet inconnu que d’autres ont nommé le temps Zéro ou l’Instant Présent, ne connaît réellement aucun monde, ne souffre d’aucune circonstance.

Il n’y a rien de difficile, il y a simplement des habitudes, il y a simplement inconsciemment la peur de l’inconnu. Cela crée de la souffrance, cela crée de la distance qui n’existe pas. Vous n’avez pas un effort à fournir, c’est bien plus de l’ordre du relâchement d’une conviction qui dépasse toute foi, qui dépasse toute croyance. C’est un mécanisme intime d’accepter que vous êtes l’inconnu avec sincérité. Vous êtes le Souverain, vous êtes le Réel, et vous n’êtes pas la réalité d’aucun monde.

Vous avez juste à poser cela, comme je dirais une équation à poser, mais ce n’est pas vous qui résolvez l’équation, mais justement l’inconnu que vous êtes. Et je répète aussi que tant que cela vous semble difficile, tant qu’il vous semble comme cela a été dit « avoir du mal », tant que cela vous difficile, il ne faut pas vous mentir, c’est simplement encore que vous croyez, par injonction inconsciente ou par adhésion, à une quelconque solution sur la scène de théâtre.

Aucune vérité ne peut venir de la scène de théâtre. Aucune vérité ne peut venir de votre conscience. La seule Vérité est le Je Éternel que vous ne pouvez pas chercher, mais que vous pouvez simplement là aussi accepter. L’acceptation de l’inconnu met fin à tout doute, met fin à toute peur et à toute souffrance. Si vous êtes honnêtes, si vous êtes complètement sincères, alors vous le vivez. Ça ne peut pas être autrement.

Ne vous en prenez pas à vous-mêmes, ne vous en prenez pas à votre conscience, car vous n’êtes rien de tout cela. C’est une décision qui met fin à la distance, c’est l’acceptation de cela qui met fin à tout mensonge, et cela est une résolution de plus en plus naturelle et spontanée. Et je répète de manière ferme, que tant que vous avez le moindre espoir, la moindre espérance pour qui que ce soit sur ce monde, vous n’êtes pas libres. Vous créez de la résistance et de la distance.

Acceptez l’inconnu, et vous le connaîtrez. Plongez franchement dans cette incertitude que vous vivez, plongez franchement dans ce qui vous semble inconnu, et vous vous retrouverez. C’est une certitude totale ! C’est dans cette ultime action que se trouve l’unique certitude. Plus vous semblez incertain, plus vous relâchez la pression sur vous-mêmes et sur ce monde, plus vous approchez de la Vérité.

En fait, vous n’en avez jamais été séparés. En fait, ça n’a jamais été absent, c’est simplement une omission, un oubli. Retenez qu’il n’y a aucun effort à fournir, c’est la chose la plus simple, c’est la chose la plus naturelle, et quand vous le connaîtrez, vous apparaîtra comme cela Est. Vous ne pourrez plus vous ignorer, vous ne pourrez plus douter, vous ne poserez plus aucun espoir sur ce monde, vous ne redouterez plus rien, vous serez dans la pureté et la joie ineffables.

Cela est déjà en vous.

…Silence…

Comment ?

Frère : J’aurais une autre question.

Allons-y.

Frère : On se rend compte que dans ce monde-ci, que les évènements ne se déroulent pas de la même façon d’un pays à l’autre. Pour quelle raison ?

Parce que chaque pays a une histoire différente, parce que chaque pays subit une programmation astrale et tellurique, qui détermine les conditions collectives du peuple d’un pays donné. La scène de théâtre, comme tu le dis, est peut-être effectivement différente selon les pays, mais la finalité est exactement la même. Et que si vous êtes dans tel pays, que vous pouvez juger plus facile ou plus difficile qu’un autre, il n’y a pas besoin de fuir dans cet autre pays plus facile. C’est aussi cela l’acceptation que vous êtes exactement dans le bon pays, au bon moment, au bon âge, et dans les circonstances qui sont les vôtres.

Tout cela sert la Vérité, et de même que ce qui vous est imposé, sert aussi la Vérité. Ne vous fiez pas aux apparences, ne vous fiez pas aux circonstances de votre pays et de votre vie. Contentez-vous de vous interroger sur vous-mêmes, et affirmez ce que vous êtes, cet inconnu que vous ne vivez peut-être pas encore, et qui n’attend que vous. Devant la Vérité, aucun lien, aucune nationalité, aucun âge ne peut tenir.

Mais les circonstances du rêve qui vous sont propres, selon même l’état de votre corps, et l’état même de votre personnage, je le répète, sont les conditions les plus propices pour le Je Éternel que vous êtes. Ne jugez rien, ne soupesez ni le pour ni le contre, et plongez dans cet inconnu. C’est la seule solution, il n’y en a pas d’autre ! Et cela va vous apparaître de plus en plus clairement. Cela ne dépend que de vous.

L’ensemble des mondes sont là, au milieu de votre poitrine, prêts à apparaître sur la scène de théâtre, sur le cosmos. Quoique cela vous semble incongru ou impossible aujourd’hui, c’est vous réellement qui appuyez sur le mot fin. Personne d’autre, aucune hiérarchie, aucune dimension, aucun parent, aucun enfant, aucune société et aucun pays, cela ne dépend pas de cela, cela ne dépend que de vous. Acceptez-le et vous le vivez sans le discuter.

…Silence…

Il n’y a pas de temps, il n’y pas d’espace, il n’y a pas de dimension, il n’y a pas de monde. Il n’y a que Vous et vous n’êtes personne, c’est cela l’Inconnu, c’est cela la Vérité Absolue. Vous ne passerez jamais.

…Silence…

Elisa : J’ai une question moi après.

…Silence…

Avant de laisser la prochaine question, je vais profiter de ce que vous a dit Abba ce matin dans une expérience vécue avec moi.

Au moment où Abba se promenait dans les dimensions, je suis apparu pour lui dire que cela était aussi du cinéma et je lui ai dit qu’il n’avait besoin d’aucun cinéma ni d’aucun décor, qu’il n’y avait rien à savoir et à voir, qu’il n’y avait rien à démontrer, mais être simplement dans l’instant et que les résultats apparaitraient d’eux-mêmes.

C’est là que sont apparues et que se sont diffusées les Agapè résonances, leurs réalisations naturelles sans intention et sans personne. C’est cet exemple là qu’il vous faut appliquer dans la scène de théâtre, tout cela se fait sans vous en laissant ce personnage de pacotille, en laissant cette conscience menteuse, et justement en acceptant que vous n’avez rien à faire, que vous n’avez rien à entreprendre par rapport à cette scène de théâtre ou par rapport à cette conscience.

Être en Silence, d’accepter l’inconnu, et le bouton fin ou avance rapide s’enclenchera de lui-même. L’inconnu vous deviendra connu, vous vous souviendrez immédiatement de qui vous êtes et cela sera la même chose pour chaque partie de vous. Chaque partie de vous étant tous les autres de ce monde, mais aussi de tous les autres mondes.

Cela a été nommé la fin du mythe de la création, la fin du rêve et de l’illusion, qui en vérité n’a jamais commencé. Il n’y a ni temps, ni espace, ni dimension, il n’y a personne. Vous n’êtes absolument rien de ce qui se déroule, vous n’êtes absolument rien de ce qui se passe, vous êtes le JE éternel et Absolu. Affirmez-le et cela vous sera connu immédiatement. Vous ne pourrez plus l’oublier et vous constaterez l’effondrement de ce mythe. Il sera consumé entièrement par le Réel que vous êtes. Le monde ne tient que par votre adhésion à ce propre délire, à ce propre cauchemar. Soyez honnêtes pour le reconnaître en le vivant.

…Silence…

Tu avais donc une autre question ?

Elisa : Oui. La grande majorité des gens sur ce monde, je dis la grande majorité, c’est ce que je pense, vit le monde illusoire et veut vivre ce monde illusoire et est à l’aise dans ce monde illusoire. Il ne vit pas dans un cauchemar, ils ont des projections et ils sont heureux, ils veulent poursuivre ce monde, ils ne sont absolument pas concernés par ce que nous parlons. Ils ne veulent pas l’entendre parce qu’ils ne le sentent pas ainsi. Qu’en sera-t-il ?

Elisa : Je le dis en espagnol.

(Bidi répond en criant très fort)

Mais il n’y a personne, de quoi t’occupes-tu ?

Les autres ne sont que des miroitements de toi-même. Pourquoi t’occupes-tu des autres ? Pourquoi t’occupes-tu de ce que pensent ou rêvent les autres ? Tu n’as pas à décider pour eux ! Décide pour toi et c’est fini. C’est encore considérer qu’il y a d’autres. Laissez les rêveurs rêver, eux aussi vivront le mot fin.

Dès que vous acceptez de ne pas vous sentir en opposition ou en contradiction, acceptez que tous les autres ne sont que vous et qu’ils vous montrent simplement que vous aussi vous rêvez. Il n’y a personne à convaincre, il n’y a personne à réveiller. Tant qu’il y a cette vision ou cette pensée, vous pouvez encore attendre longtemps.

Je ne te demande pas de t’occuper de ça. Ne te pose pas de question stupide, retourne-toi vers toi et tu verras que tous les autres que tu vois aujourd’hui ne sont que toi. C’est tes propres tergiversations, c’est tes propres suppositions que tu nommes pensées qui t’empêche de le vivre justement.

J’ai nommé ça la Divine Indifférence, le commandeur vous a répété dès le début et encore aujourd’hui, ‘’ Occupez-vous de vos fesses’’. Il n’y a personne. Pourquoi vouloir à tout prix persister à voir les rêveurs, cela prouve simplement que tu n’as pas compris ce que tu es.

Elisa : C’était une question (En riant).

(Rires)

Et qu’il y a encore beaucoup parmi vous qui mettent de la distance en posant ce genre de questions. Vous n’avez pas à savoir les autres, mais dès que vous savez, comme la question précédente, ne vous occupez de rien d’autre que de vous, vous n’avez personne à sauver. Réveillez-vous vous-mêmes et tout le reste suivra.

Mais tant que vous êtes dans ce genre d’interrogation ça veut dire que, en vous, il y a encore le besoin d’expérimenter la conscience et de rêver. Tout ce que vous voyez n’est que vous. Il n’y a pas d’autre ! Vous êtes les uns dans les autres, vous êtes tous les autres, même ceux qui veulent vous contraindre, c’est vous. Ne cherchez pas les tenants et les aboutissants, appuyez sur le bouton.

Elisa : Bidi je transmets les questions.

Mais j’ai bien compris !

Elisa : Ok.

Mais ça s’adresse à chacun de nous. Il n’y a aucune particularité ni aucune animosité personnelle. Arrêtez de penser, laissez passer les pensées, n’apportez aucun crédit à ce que vous voyez. Vous êtes au-delà de tout ça. Il n’y a pas de bourreau. Vous êtes vous-mêmes votre propre dictateur. Acceptez cela.

Quand vous dormez, est-ce que vous vous posez la question d’un quelconque vaccin ou d’une quelconque dictature ? Non. Et bien dormez tout le temps, et vous vous réveillerez. Ce n’est pas une image. Vous ne regardez pas au bon endroit. Le dictateur c’est vous, la piqûre c’est vous, et il n’y a personne, rendez-vous compte. C’est un jeu de dupes, un jeu de miroirs. Nous avons tous simplement oublié que c’est nous qui avons mis les miroirs.

Elisa : Tu avais une question ?

Sœur : Bonjour Bidi.

Bonjour.

Sœur : Chacun d’entre nous, on a encore plus ou moins un travail.

Quel travail ? (En parlant encore plus fort !)

Sœur : Je ne pose plus de question.

Une activité tu veux dire ?

Sœur : Oui.

Et alors.

Sœur : Alors : Tant que l’on a cette activité sans trop de résistance, que tout se passe bien, est-ce que ça veut dire que l’on doit être encore là, à cette place là.

Et qu’est ce qui t’empêche d’appuyer sur le bouton ? Activité ou pas activité ?

Sœur : Eh bien…

Eh bien oui, il n’y a pas de réponse.

Sœur : On peut toujours appuyer sur le bouton. Mais je crois que c’est plus une inquiétude du personnage de ne pas…

Ce n’est que cela.

Sœur : De ne pas pouvoir payer le loyer, de ne pas pouvoir, c’est juste ça qui reste encore un peu en suspens pour moi. Peut-être pour d’autres personnes aussi. Encore besoin de travailler, mais effectivement, on peut appuyer sur le bouton.

Quand vous constaterez très rapidement qu’il n’y a plus rien à nourrir, qu’il n’y a plus rien à servir, que vous ne pourrez ni acheter ni vendre, parce qu’il n’y aura tout simplement rien à acheter et rien à vendre, alors tu te rendras compte.

Les obligations de ce monde faisaient partie de l’acceptation de l’ici et maintenant, de votre rôle ou fonction qui était votre adhésion aux scènes de théâtre, de votre théâtre. Mais ce que je dis aujourd’hui n’est pas l’inverse ni une contradiction, mais bien une adaptation de vous faire réaliser que c’est à vous d’appuyer sur fin.

Vous n’avez plus rien à nourrir si ce n’est le Réel, et que les moments vont se présenter pour chacun de vous ou le mot fin apparaîtra, et je redis que, pour chacun de vous qui est le même, que le moment du mot fin est venu. Qu’il n’y a plus lieu aujourd’hui d’alimenter quoi que ce soit si ce n’est le Réel. Plus vous êtes dans le Réel, plus vous pénétrez le JE éternel que vous avez toujours été, moins vous ne pourrez vous impliquer dans quelque lutte ou perpétuation de quoi que ce soit.

Ce moment est venu, vérifiez-le, vivez-le. Il n’y a aucun alibi qui tienne même celui d’accomplir votre tâche quelle qu’elle soit. Dit autrement, c’est réellement la fin du scénario de chacun. Et ce que vous nommez le moment collectif n’est que la compréhension de cela. C’est en cela que je dis et redis que vous êtes le Souverain Intégral. Il n’y a pas d’alibi qui tienne, vous n’avez rien à préserver.

Il faut être aujourd’hui, authentique, pas avec le personnage ou la scène de théâtre, mais avec l’acceptation de qui vous êtes, de cet inconnu qui ne demande qu’à être connu et vécu. Tout le reste alors s’éloignera et le moment collectif s’approchera, et que tout ce que vous vivez apparemment encore comme contraintes n’est qu’un cauchemar qui s’éloignera de vous, qui n’aura plus de raison d’être, tout comme le monde, tout comme la création.

Vous êtes l’Éternel présent, vous êtes l’Indicible présence, et si on peut dire, là encore plus Indicible absence. Il n’est plus temps de se raconter des histoires. Il n’est plus temps de se raconter quoi que ce soit. Le temps est à l’actualisation complète du Réel quoi que vous en pensiez, quoi qu’en disent les lois de cette comédie et les ordres de cette dictature, qui ne sont je vous le rappelle que vous-mêmes.

Acceptez que vous ne décidez de rien, et vous déciderez ainsi du moment collectif. L’Amour ou la souffrance, la Vérité de l’Amour ou l’illusion de la souffrance et du mensonge. Vous le ressentez tous, cela a assez duré.

…Silence…

Elisa : J’ai besoin d’un petit pipi.

Sœur : J’ai bien compris Bidi, merci.

J’en profite pour terminer sur ta question. Allo ? Tu n’as rien à décider sur la scène de théâtre. Décide intérieurement, parce que tel que tu as pu formuler la question, on pourrait penser que c’est le personnage qui décide de lâcher ceci ou cela.

 Sœur : Encore un peu.

Cela serait une mauvaise compréhension. Je parle de ce qui n’est pas un choix, mais de ce qui est intérieur, si vous préférez une décision intérieure. Je croyais avoir été clair et tout ce qui vous préoccupe aujourd’hui va s’éteindre, va s’embraser et va disparaître de lui-même. Ce n’est pas une décision du personnage, parce que comme je l’ai toujours dit, je ne m’adresse pas au personnage, je ne m’adresse pas à l’observateur ou au témoin, je m’adresse au JE éternel qui est en chacun. C’est le JE éternel qui décide enfin de se révéler. Ignorez les gesticulations de votre personnage, ignorez les gesticulations de vos pensées parce que vous n’êtes rien de cela.

Voilà ce que je dis.

…Silence…

Mes paroles d’aujourd’hui, l’Intensité avec laquelle je m’adresse à votre JE éternel, va détruire les moindres rêves qui puissent rester, les moindres et ultimes croyances en la réalité de la scène de théâtre, c’est imparable. Ça ne se discute pas et cela se vit.

…Silence…

Tu me dis quand je t’ai trop cassé les oreilles.

Elisa : Non, j’aimerais faire pipi.

Alors on fait le Silence deux minutes. Le temps que tu reviennes. Profitez de ce pipi pour vous joindre au Silence.

…Silence…

Elisa : Je suis de retour. Je suis de retour.

Poursuivons, alors.

…Silence…

Elisa : Oui, il y a une question.

Frère : Oui, j’ai une question Bidi. Peut-on considérer que le moment que nous vivons actuellement, dans ces questionnements avec Bidi, sont également une projection que nous faisons dans l’illusion pour nous amener à nous réveiller ?

Ta question a reçu sa réponse. Quand j’ai dit que je ne m’adresse pas au personnage, que je ne m’adresse pas à la scène de théâtre, mais au Je Éternel qui a toujours été présent, mes mots ne sont pas simplement ce qui est entendu, ne sont pas simplement ce qui est perçu, ne sont pas seulement ce qui est projeté dans l’illusion, mais qui vient toucher le Réel, qui est ce que tu es.

…Silence…

C’est la réponse.

Tout ce que nous avons échangé, aujourd’hui, n’avait que pour ultime mission d’ébranler le Je Éternel, de lui déblayer le chemin. Mes mots ne sont pas à comprendre, ils sont à vivre. En ce sens, ils traversent toute projection, ils traversent tout personnage et s’adressent directement au Réel.

…Silence…

Elisa : C’est fou pour le personnage !

Plus c’est fou, plus ça boulera.

…Silence…

Je disais en étant incarné, que la recherche de la Vérité mettra fin à votre monde. Et je dis, aujourd’hui, que le vécu de la Vérité met fin à toute création, à toute illusion au mythe de la création et dévoile le Réel en totalité. C’est bien plus qu’une grande Joie ou un grand Silence. C’est une pure Félicité et aussi un soulagement. Pour ce qu’il reste de personnage, pour ce qu’il reste de rêveur, je suis venu consumer vos ultimes désirs, vos ultimes espoirs ou désespoirs, vous mettant à nu dans le pur Réel de celui qui ne passera jamais.

…Silence…

Elisa : Oui ?

Frère : Une question à Bidi. Cela a-t-il du sens d’inviter Bidi à notre propre Feu du Cœur Sacré ?

Oui, parce qu’à ce moment-là, il y aura une fusion, et tu verras que tu es autant Bidi que je suis toi-même. Cela participera à la fin de l’illusion de la distance, à l’illusion de tout personnage ou de toute conscience. Effectivement, le moment est arrivé où le Feu du Cœur Sacré embrase le théâtre. C’est aussi une façon d’appuyer sur le bouton de fin, afin de vérifier qu’il n’y a jamais eu de bouton non plus. C’est une fusion totale dans le Réel. Ainsi même les Résonances Agapè, telles que nommées par Abba, ne sont plus seulement une Résonance, ne sont plus seulement Agapè, mais une Fusion Totale avec le Réel.

Cela est aussi le fait, par là même, d’appuyer sur le bouton FIN. Le moment, si vous le voulez, d’annoncer la Bonne Nouvelle à chacun des autres vous, de vivre la Bonne Nouvelle sur la scène de théâtre de ce monde comme dans la scène de théâtre de toute dimension. Vous êtes le Maître !

Elisa : Alors, la même personne qui a posé la question antérieure, dit : «Alors, même Agapè fait partie du jeu. Rien n’existe, nous sommes antérieurs à Agapè.»

Bien sûr, je viens de le dire. La Résonance Agapè vous a fait vivre l’Amour, Agapè, mais même l’Amour est une projection. Vous êtes l’Indicible. Vous êtes le Tout. Et vous êtes le Rien. Vous êtes antérieurs à la Lumière. Vous êtes antérieurs à l’Amour. Et vous serez postérieurs à la mort. Vous êtes le Je Éternel qui n’est jamais apparu et qui ne disparaîtra jamais. Vous êtes l’Indicible sans forme, sans monde et sans conscience. Là est l’unique Liberté et l’ultime Vérité. Elle est Absolue. Elle est indélébile. Elle est imprescriptible. Et elle est indissoluble. Telle est la Fusion du Réel et de l’illusion.

Telle est la Liberté qui ne connaît ni dedans ni dehors, qui connaît tous les personnages, et qui n’est en définitive aucun des personnages. La piqûre, comme vous la nommez, est l’acte ultime de votre Réveil. Abba a dit qu’en définitive et du point de vue de l’Absolu, piqûre ou Nibiru, est le même mot FIN. Mais comme il vous l’a dit aussi, être en santé est plus confortable que d’être en souffrance. Mais santé comme souffrance font partie de la même illusion. Encore faut-il le vivre. Et c’est vous qui le décidez.

…Silence…

Sœur : Est-ce que la seule façon d’être juste c’est de rester…

Peux-tu répéter en français, à côté ?

Elisa : La seule chose juste maintenant c’est de s’abandonner dans notre Cœur du Cœur.

Cela est réalisable par le Silence. À certains moments, il vous a été dit de rechercher la nature, la compagnie de la nature. Je vous dis aujourd’hui que l’État Naturel est le Grand Silence.

…Silence…

Est-il temps aussi pour moi de faire le silence ?

Elisa : Oui, ça fait presque deux heures qu’on est là.

Alors, je vous propose de nous retrouver …

Elisa : Il y a une question encore.

Alors, allons-y.

Frère : C’est vraiment une curiosité. Est-ce que Bidi sera là au moment de la scène finale ?

Au moment du Paradis Blanc, au moment des Noces Ultimes, vous verrez bien évidemment, sans regret et sans désir, que vous avez été absolument tous les personnages de la création, sans aucune exception. Vous verrez tous les mondes, en le temps d’un instant immuable. Vous verrez tous les mondes et toute la création et vous quitterez cela sans aucun regret. Cela fait partie du processus. Cela fait partie de l’Indicible Paix. Et cela fait partie de l’Ultime. Vous constaterez par vous-mêmes qu’il n’y a jamais eu de temps, qu’il n’y a jamais eu d’espace, que, en définitive il n’y a jamais eu de création, et qu’en définitive il n’y a jamais eu de destruction et de dissolution.

Telle est la Fusion Totale avec le Réel. Vous verrez le rêve pour ce qu’il est. Et vous constaterez que vous êtes le Je Éternel, Absolu et Indicible, qui n’est jamais né et qui n’est jamais mort. C’est la Félicité de l’Instant Présent, la Félicité du Temps Zéro, où le Rien contient le Tout et où le Tout contient le Rien.

…Silence…

Je terminerai cette première partie par ces mots :

Le temps est venu du Temps Zéro, le temps est venu de ce qui jamais n’a à venir, parce que toujours Présent et toujours Absent.

Je vous donne la Bénédiction du Réel et je vous dis, à la dernière partie.

À tout à l’heure !

Tous : À tout à l’heure !

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