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CHRIST

Dimanche 12 novembre 2017

Que la Paix soit en vous tous et au dedans de vous. Je vous donne ma Paix et accueille votre Paix.

Je suis venu aujourd’hui vous inviter à dépasser toutes les notions qui vous ont été inculquées par l’histoire ou par les religions, concernant mon cheminement parmi vous voilà plus de deux mille ans.


Je suis venu vous inviter aujourd’hui à faire la paix avec vous-mêmes et avec moi. Ne me figez pas dans l’Histoire ni dans un rôle. Chacun de vous est dorénavant ce que je suis, afin que vous puissiez proclamer à l’intérieur de vous-mêmes : « Moi et mon Père sommes Un », comme je suis Un avec chacun de vous. Ne me cherchez plus en une quelconque représentation, en une quelconque histoire, en une quelconque religion, car elles ont toutes failli.


À l’heure où mon Église a été investie par autre chose que ma vérité première, il est temps, comme vous l’a dit ma Mère, de vous retourner à l’intérieur de vous-mêmes, afin de vous retrouver en totalité et en entièreté. Ne croyez plus aucune parole me concernant, ne croyez plus aucune histoire, mais éprouvez ce que je suis en ce que vous êtes, là où il n’y a besoin ni d’histoire ni d’images mais juste de la vérité qui est là.


Ne me cherchez pas en une forme précise ou en un être humain précis, car je suis en chacun de vous. Que vous l’ayez vu ou pas ne change rien à cette vérité.


Aujourd’hui, votre communion au sein de la Nouvelle Eucharistie n’a plus besoin d’aucun intermédiaire ni d’aucun support car vous ne dépendez d’aucune circonstance extérieure ni d’aucune condition. Le moment est venu de frapper à votre porte, à la porte de l’ensemble de l’humanité. Plus rien ne peut retenir mon bras, plus rien ne peut retenir ce qui émane du Cœur du Cœur, plus rien ne peut ralentir la révélation finale.


J’invite chacun de vous, au-delà de l’histoire et du personnage historique qui a été construit et échafaudé après ma venue, je vous invite à vous retrouver en moi-même comme je me retrouve en chacun de vous, au-delà de tout travestissement et de tout mensonge. Ne croyez personne, en ces temps, qui vous déclamerait être le Christ, car il ne serait qu’un être mensonger, car je ne fais pas de particularisme ; vous êtes, chacun de vous, l’ensemble de mes apôtres, je ne fais aucune différence, il n’y a aucune hiérarchie entre chacun de vous et moi. Nous sommes reliés directement parce que nous sommes le même. Dès l’instant où tu as dit : « Père, que ta volonté se fasse », alors tu fais Un avec ce que tu es. Il n’y a pas besoin de personnage, il n’y a pas besoin de mémoire ou d’histoire, et encore moins de religion, quelle qu’elle soit. La vérité est nue et elle apparaît au grand jour, à la lumière même falsifiée de ce monde.


Je viens inviter chacun de toi à laver tes robes éphémères dans ma Présence afin que ton corps sans couture, ton corps d’Éternité ou d’Êtreté, se manifeste en totalité à la face de ce monde, sans effort et sans difficulté. Pour cela, il te faut chasser les dernières images restantes d’un personnage mourant sur une croix lors de sa crucifixion, il te faut chasser ce qui a été bâti de mensonger suite à ma venue. Je suis en toi, non pas pour perpétuer quelque histoire illusoire et fallacieuse de ce monde mais juste pour t’apporter ma Paix, celle de la Joie et de l’Amour, cette béatitude qui est ton dû.


En ces jours de l’année 2017 et en ce jour du 12 novembre, je vous annonce ma présence effective en chacun de vous dès l’instant où vous retournez vos pensées en votre cœur. Je n’ai aucune place dans votre tête, dans votre mémoire, dans une histoire quelle qu’elle soit, parce que moi et mon Père étant Un, nous sommes au-delà de toute histoire. L’histoire, vous le savez, concerne la conscience en ce monde fallacieux comme en tout monde.


Je suis déjà, pour certains d’entre vous, venu frapper à votre porte grâce à l’impulsion métatronique. Aujourd’hui et demain je frappe à votre porte afin que vous fassiez toute la lumière et toute la lucidité sur ce que vous êtes au-delà de ce monde et qui n’a rien à voir avec ce monde.


Je viens vous rendre le Verbe, celui où il n’y a plus de possibilité ni aucun lieu pour échapper à cette vérité du Verbe. L’Amour est la seule force qui permet la Vie, même en ce monde fallacieux où vous n’êtes que posés.


Je suis venu vous inviter à communier et à fusionner avec ce que je suis et avec ce que vous êtes, qui est la même vérité, et avec la même intensité et la même Lumière.


Accueillez-moi comme je vous accueille en mon sein, avec la même intensité et la même vérité, afin que le baume de l’Amour et de la consolation ne laisse persister aucun lien et aucun attachement à l’Illusion. Le temps est effectivement venu de rentrer intégralement en vous, non pas pour vous isoler de quelque circonstance qui existe dans votre vie ou là où vous êtes, mais bien de bénéficier de cette force infinie qui mettra fin à tout jamais à toute soif.


Je vous invite à l’Eau de Vie, à l’Eau d’en-haut, celle qui vous féconde et qui se déploie depuis le dessus de votre tête jusqu’au plus intime de votre cœur, là où je me tiens et me tiendrai.


Je vous le répète, ne me cherchez dans aucune forme présente ou passée, ni dans aucune forme future, parce que chacun de vous est mon digne représentant en tant que Fils ardent du Soleil, et est ma digne Présence. Il n’y a là ni supérieur ni inférieur, ni avance ni retard, ni prééminence ni soumission, il y a juste le Vrai.


Je vous le redis : je suis la Voie, la Vérité et la Vie, et je suis la Paix. Quelle que soit mon action au travers de vous en ce monde, elle obéit à la volonté de l’Amour, à la force de l’Amour et à l’intensité de la Vérité. Cette Vérité est absolue, elle ne peut être relative ou relativisée à quelque événement que ce soit, ne dépend d’aucune récompense ni d’aucune justification.


Ne croyez en rien mais éprouvez-moi et vivez-moi à l’intérieur de vous. Alors l’Éternité que vous êtes prendra le relais avec évidence sur le personnage, sur le corps et sur toutes les histoires. Comme ma Mère vous l’a dit, dorénavant il n’y a plus de circonstances préalables ou de conditions préalables, il y a la Vérité, comme elle l’a dit, qui est nue, qui est là, disponible pour chacun avec la même force.


Quoi qu’il puisse vous affecter au sein de votre éphémère, je suis le baume de la consolation. Je suis, comme ma Mère, celui qui vous prend dans ses bras, et par son Amour, transcende tout ce qui doit disparaître. Alors si vous m’accueillez, aucune souffrance ou aucune cicatrice ne peut demeurer. Soyez libres en vous, mais soyez libres aussi de tous les dogmes de ce monde qui n’ont fait qu’au fur et à mesure des incarnations et des années qui ont passé depuis ma venue, vous ont alourdis et toujours plus embrigadés de différentes manières dans l’attachement à ce monde, dans l’attachement à votre histoire.


Quelle qu’ait été ma présence en ce monde parmi vous, aujourd’hui je suis ‒ dans votre cœur ‒, bien plus présent que je ne le fus voilà plus de deux mille ans. Je ne vous ai jamais quittés. Lors du dernier repas, lorsque je vous ai invités à faire ceci en souvenir de moi, boire le vin et rompre le pain, aujourd’hui cela se déroule en vous et n’a pas besoin d’éléments extérieurs. Ainsi est la Nouvelle Eucharistie. Les intermédiaires quels qu’ils soient, quelles que soient leurs connaissances ou leur valeur, doivent s’effacer sur votre propre valeur.


Je vous ai trouvés, comme vous m’avez retrouvé, au-delà de tous les conditionnements et les contingentements de toutes les histoires qui ont été échafaudées après ma venue.


Vous êtes tous appelés aujourd’hui à être les fils uniques du Père, c’est à cela que je vous appelle et je le fais en silence. Je n’ai pas besoin de discours à l’intérieur de vous, je n’ai pas besoin de démonstrations, je n’ai pas besoin d’énergie, je n’ai pas besoin de vibrations, car je m’adresse directement dorénavant à l’intime de votre conscience, de celle qui ne m’a jamais oublié, de celle qui émerge maintenant.


Chacun de vous est le Christ. Je l’avais annoncé lors de mon passage en disant à cette époque que ce que j’effectuais, chacun de vous pourrait le faire, et de bien plus grandes encore. Et il n’y a pas que le faire, il y a surtout l’être. Ce que je suis, vous l’êtes tout autant, vous l’avez simplement oublié ou négligé par les vicissitudes et les prédations de ce monde, au travers justement des histoires, des lignes de prédation, des religions et de l’avidité de la matière.


Aujourd’hui vous redécouvrez que vous êtes avant tout pur Esprits. Chacun d’entre vous le découvre à sa façon, que cela ait été, durant de nombreuses années, durant des processus d’alchimie vibratoire, que cela soit même à travers vos croyances que vous avez pratiquées, mais tout ceci aujourd’hui est accessoire et superflu. Je ne suis nulle part ailleurs que dans votre cœur, car je suis de partout.


L’intensité de la Lumière présente en ce monde rend possible l’émergence de ma Présence au sein de l’écran de votre conscience ordinaire.


Je suis disponible, pour chacune et chacun de vous, avec la même intensité, avec la même régularité, en chaque instant. Comme ma Mère vous l’a dit, il ne tient qu’à vous de vous retourner en cette vérité, et tout le reste vous sera donné en plus. Comme ma Mère vous l’a dit, à quoi tenez-vous le plus ? À votre peau en ce monde ou la vérité de votre être ?


Aucune histoire de ce monde, aucune adhésion à ce monde ne pouvaient vous rendre libres, car ce monde ne peut que perpétuer les histoires, sans fin, vous faisant en quelque sorte tourner en rond dans l’illusion du samsara, des réincarnations. Et rappelez-vous : « Nul ne peut me connaître s’il ne renaît de nouveau », et cette renaissance a lieu aujourd’hui, en intégralité si vous accueillez sans condition préalable. Est-ce ce que vous voulez ? Ou alors, voulez-vous détourner votre regard de qui je suis pour mener l’éphémère ?


La perfection de l’Éternité n’a que faire de la perfection de ce monde, la perfection de l’Éternité n’a que faire des projections des égrégores humains et des histoires de ce monde.


Je suis le garant de votre éternité dès que vous m’avez laissé parler dans le silence de votre cœur, non pas pour y dire ou donner des mots mais pour être présent en même temps que vous dans l’Ici et Maintenant. Ne vous appuyez sur rien d’autre que sur votre cœur et sur ce qui est là, en ce cœur.


L’Endophanie que ma Mère vous a proposée, à la suite des Théophanies, vous donne maintenant à vous reconnaître de plus en plus aisément.


Dignes Fils ardents du Soleil, le Feu Igné va bientôt vous demander de rejoindre ce que vous êtes, en toute liberté. C’est une demande qui ne juge pas, qui ne condamne pas. Vous restituant à vous-mêmes, vous avez alors l’entière liberté, au sein de votre autonomie, pour être, pour expérimenter, en la Vérité et non plus en l’Illusion, le jeu de la conscience libre.


Ma présence vous permet et vous permettra aussi de voir que même s’il y a de nombreuses Demeures à la Maison du Père, vous êtes présents en ces innombrables Demeures de la même façon. Le plus grand des contentements de l’Esprit est ici, vous faisant vivre la Paix. Cette Paix-là n’est pas une paix ordinaire, c’est la paix de l’Éternité, celle qui met fin à l’adhésion à ce qui est éphémère et qui passe et qui n’est pas vrai, là aussi de manière irrémédiable et avec plus ou moins d’évidence et de fulgurance selon comment vous ouvrez votre cœur. Et rappelez-vous que vous l’ouvrez dorénavant de façon fort simple, simplement par la pensée et la conscience.


Quand Jean a écrit que je viendrais juger les vivants et les morts, il signifiait bien sûr tout autre chose que le jugement tel que vous pouvez le concevoir aujourd’hui, au sein de la personne ou au sein de ce que vous nommez la Justice, qui est la plus grande des injustices, parce que chaque cas est différent. En ce monde, la justice de Salomon rendue par un être éclairé est la seule valable, car aucun texte de loi ne peut égaler la puissance de l’Amour, de la vérité de l’Amour, et mon jugement est divin, il ne condamne personne mais assure chacun d’être à sa juste place en cet instant en ce monde, comme lorsque ce monde cessera totalement.


En ces jours qui viennent, nombre d’évidences vont se faire jour en vous, comme sur l’écran du monde. Tout ce qui a été occulté sera rendu public, même au sein de l’histoire de ce monde, mettant fin aux rares illusions qui peuvent rester en vous, de vous croire de ce monde ou de vous croire des êtres matériels, apportant la preuve, extérieure comme intérieure, que personne ne pourra contester, même en s’éloignant de cette vérité… des êtres d’amour, créés par l’Amour et en l’Amour. La création quelle qu’elle soit est toujours un acte d’amour, la dé-création aussi. Ne vous souciez de rien d’autre car en ces temps réduits de chaos, votre cœur et votre éternité pourvoiront absolument à tout.


Vous n’avez donc pas à vous prémunir de quoi que ce soit ni d’anticiper quoi que ce soit, simplement être là, en la Paix, en l’Éternité. Menez votre vie normale tant que celle-ci est vivable. Avancez tranquillement en tournant toujours votre pensée et votre conscience sur le cœur, non plus maintenant pour mettre de l’Amour où que ce soit mais simplement pour voir que vous êtes cet Amour, et étant cet Amour, vous n’avez rien à projeter, à émettre, à penser, à diriger, vous n’aurez plus jamais soif, si ce n’est déjà fait.
Rappelez-vous que quels que soient les événements qui se sont produits et se produiront sur l’écran du monde comme en votre personnage, ils concourent tous, sans aucune exception, à vous faire retrouver qui vous êtes, malgré des apparences parfois contraires.


Je vous invite donc, si vous ne vivez rien encore, à être la foi, l’espérance et la charité. Rappelez-vous, comme cela a été dit par certains de mes apôtres : « Quand bien même vous parlerez la langue des anges, quand bien même vous serez capables de tous les miracles, s’il vous manque l’Amour vous n’êtes rien », et cela va être d’autant plus vrai dans les jours et les semaines qui se présentent à vous.

La primauté de l’Amour, la préséance de l’Amour, est la seule chose qui compte, est la seule chose réelle devant laquelle votre personnage ne peut qu’être magnifié et dépassé, transmuté. Votre conscience étant amenée à vivre de plus en plus la conscience de votre propre corps d’Êtreté, votre nouveau véhicule, vous donnant à le vivre et à le voir afin que plus jamais vous ne puissiez être identifiés à quelque histoire que ce soit ou à ce corps dense et amputé. Quand l’Amour est là en manifestation, il n’y a plus de place pour autre chose, pour aucune autre chose, et vous allez le vivre et le voir, vous allez l’éprouver. Comme ma Mère l’a dit, cela est inéluctable, inexorable et dorénavant à brève échéance.

Nul ne connaît la date, mais l’époque est là. Ma Mère l’avait stipulé, l’ascension de la Terre a commencé au début du mois de mars. Nombre d’entre vous avez eu beaucoup de temps pour vous préparer. D’autres, tout aussi nombreux, ne se doutent de rien et c’est très bien ainsi. « Heureux les simples d’esprit car le Royaume des Cieux leur appartient », et cette simplicité est celle de l’Enfance, celle que nombre de mes frères Anciens ou sœurs, Étoiles et Épouses, vous ont développé durant toutes ces années.

Dorénavant, vous n’avez plus besoin de ce support, réellement et concrètement, car nous parlons en vous directement, même dans le silence, parce que cela est au-delà des mots. Il s’agit de la Présence et non pas de la parole, et la Présence est le reflet du Verbe et le Verbe n’a pas besoin de mots intelligibles ou compréhensibles. Il est le souffle de l’Esprit qui souffle quand il veut et où il veut, et c’est maintenant.

Ne redoutez rien car c’est l’ego qui redoute. Ne redoutez rien car c’est l’histoire qui redoute quelque chose. Ce que vous êtes n’a rien à redouter, bien au contraire.

Ainsi, ma Mère, Mikaël et moi-même, venons en ce jour réaliser la Nouvelle Eucharistie, non plus simplement en points de vibration sur votre corps mais en vous faisant résonner sur le cœur éternel, au centre de ce Triangle de la Nouvelle Eucharistie, là où est votre cœur d’Éternité. Tout le reste est superflu, tout le reste n’a plus d’utilité et ne fait que passer.
Quoi qui puisse vous heurter encore dans ce corps, dans ce monde ou dans quelque aspect de votre éphémère, vous n’avez pas à résoudre, vous n’avez plus à comprendre, vous avez juste à pardonner, même si vous ne savez pas ce que vous pardonnez, parce que le pardon est accompagné de la Grâce. Le pardon en lui-même ne sert à rien, mais le pardon et la Grâce dans le même temps changent tout. Il n’y a aucune faute ni aucune erreur, où au rapport de l’Éternité, qui ne puissent être graciées par l’évidence de ma Présence, afin de favoriser votre renaissance, votre résurrection.

La crucifixion n’est rien pour celui qui est dans le cœur, elle est suivie immédiatement après par la résurrection. Il s’agit d’une forme d’accouchement où après la délivrance vient la récompense, si je puis exprimer ainsi ce qui serait le plus superposable au sein de ce monde fallacieux. Soyez la Vie sans limite et sans restriction, et la Vie dont je parle, bien sûr, est la vie en l’Amour et non pas la vie en la personne. Quelles que soient les contingences de votre vie encore présente, celle-ci ne tardera pas à disparaître, vous mettant à nu, pour le bien de chacun en sa libération.

Je suis donc venu vous inviter à célébrer nos retrouvailles. Je ne vous ai jamais quittés mais cela apparaît maintenant.

Ne mettez plus de distance entre vous et moi, et en cela, il est nécessaire de ne plus adhérer à quelque notion historique ou religieuse. Ce que j’évoque aujourd’hui n’a rien à voir avec la religion mais a à voir avec la conscience éternelle, et donc rien de connu sur ce monde ou de connaissable. Là est le Mystère, et qui n’est plus un mystère au fur et à mesure des jours qui vont s’écouler. Quel que soit votre état initial de départ, le même don est accessible à chacun mais aucunement dans le passé ni aucunement dans un sauveur à venir, mais seulement en l’instant présent.

Ainsi, la Paix est sur vous, est en vous.

C’est ainsi que vous n’aurez plus jamais soif, c’est ainsi que vous ne donnez plus de crédit ou d’intention à ce monde qui passe, accompagnant le mouvement spontané de l’émergence du cœur dès l’instant où le regard de votre conscience est dirigé vers cela et non pas sur les tracas de l’éphémère. Cherchez le Royaume des Cieux qui est au-dedans de vous, qui vous a déjà trouvés maintenant, et tout le reste suivra. C’est votre conscience qui doit éclairer ce qui se produit en votre cœur. Cet éclairage vous apportera la lucidité et la profondeur nécessaires pour vivre ces temps derniers, ceux de votre résurrection.

L’ensemble des signes préalables décrits dans d’innombrables prophéties, d’où qu’elles viennent, vous confirme cela avec aisance et évidence. Les temps sont venus parce que les temps sont accomplis. Nul ne connaît la date au sens calendaire parce qu’il n’y a plus de date, cela est en cours, cela a démarré et cela vous apparaîtra clairement en les jours et les semaines qui courent à venir, jusqu’à la fin de l’année 2017.

Propagez la bonne nouvelle, non pas avec des mots, ils seraient des armes blessantes, mais avec votre radiance, avec votre Présence, avec votre humilité, de manière fort simple. Vous n’avez pas besoin de mots, vous n’avez pas besoin de gestes, vous n’avez pas besoin de démonstrations, mais être vrais, cela suffira.

… Silence…

C’est en cette Paix-là, celle que nous vivons maintenant en présence, par votre écoute, par votre lecture, que je me rapproche toujours plus de vous. Je suis déjà en vous. Voyez, en ce que je nomme rapprochement, l’émergence de votre conscience éternelle, venant supplanter la conscience ordinaire.

Aimez par-dessus tout, et surtout dans les circonstances qui vous affectent, en les êtres qui vous affectent, et envers vous-mêmes. Laissez la radiance de votre cœur réaliser son œuvre, car c’est ce que vous êtes. Au sein de votre personnage, de votre histoire, vous n’avez aucun point d’appui ni aucun moyen d’action dorénavant.

Ce que j’énonce et dis en ce jour demande là aussi à être vérifié par vous-mêmes. Je ne vous demande pas non plus de me croire sur parole mais de vous croire vous-mêmes en ce que dit votre cœur, et il vous le dira s’il ne l’a pas déjà dit.

L’Amour, le Cœur, vont supplanter toutes les peurs quelles qu’elles soient et quelles que soient les apparences du chaos de ce monde, et vous le savez pertinemment pour l’avoir vécu, même au sein de l’éphémère, que c’est dans les circonstances parfois les plus douloureuses et les plus difficiles ‒ et ce n’est pas parfois, c’est même, je dirais, systématique ‒ que les capacités de résilience, d’amour, sont les plus importantes.

… Silence…

En le silence de chaque cœur, je suis présent.

Vous n’avez rien à attendre dorénavant, vous avez juste à observer l’émergence de votre éternité au sein de ce monde, comme l’émergence de la Vérité sur l’écran du jeu de ce monde. Tout le reste se déroule de façon naturelle et spontanée. Certains d’entre vous perçoivent déjà, dans leur sensibilité, le chant de la Résurrection qui n’est rien d’autre que la modification de votre nada, ou si vous préférez, du chant de l’âme et de l’Esprit, annonçant les Trompettes et l’Appel de ma Mère.

… Silence…

Il est temps maintenant de taire mes mots et de laisser s’exprimer notre radiance depuis le Cœur de chacun, en présence de chacun de vous.

Que la Paix soit sur vous tous et en chacun de vous.

… Silence…

Je suis le Christ et je vous salue en la Paix, je vous salue en l’Éternité, je vous salue en l’Amour authentique. Nous sommes ensemble jusqu’à la consumation finale de l’illusion de ce monde.

… Silence…

Je vous dis à toujours, en l’Amour et en la Vérité.

Publié par : Apothéose apotheose.live

Tous nos remerciements à Jean-Luc Ayoun,
ainsi qu’à toute l’équipe de transcription del’année 2017.

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