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JÉSUS-CHRIST
La Grâce de la Tri-Unité

Mercredi 8 mars 2017

Moi et mon Père sommes Un. Que la Paix soit sur vous tous.

… Silence…

Ensemble, en l’Unité de l’Amour, en chacun de vous, Fils Ardents du Soleil, je vous salue Installons-nous ensemble ici, en le cœur, et accueillons-nous dans la Paix du Christ.

… Silence…

À chacun je m’adresse, avec la même intensité et la même vérité. Ensemble nous veillons et nous prions, rendant grâce à l’Amour et à la Vie. Le temps de mon retour est venu, parmi vous. Ne me cherche pas dans une forme, cherche-moi en esprit et en vérité. Je suis là, en esprit et en vérité. Je m’adresse à toi, Fils Ardent du Soleil, enfant du Vrai et de l’Unique, en le périssable de ta forme comme en l’éternel de ton cœur. Je viens te dire : « Lève-toi. ».

À l’heure où s’accomplissent sur cette terre l’ensemble des prophéties les plus anciennes comme les plus récentes, l’heure est à ton réveil définitif et c’est ce que tu vis. Dans toute circonstance de ta vie comme dans toute circonstance de ta conscience actuelle je frappe à ta porte, afin que tu m’entendes et m’ouvres. Je viens trancher, si tu en es d’accord, ce qui peut te donner l’illusion d’être encore retenu à la séduction de ce monde.

Je te l’avais dit voilà plus de 2000 ans, et je te le redis aujourd’hui : « Tu es sur ce monde mais tu n’es pas de ce monde. ». Ta forme en ce monde prend son essence en ce monde mais ton Esprit n’y est pas assujetti, en aucune manière. Je viens t’inviter à t’accepter. À l’heure où ma Mère va bientôt te nommer et t’appeler, à l’heure où Mikaël continue de labourer le ciel et à toucherterre maintenant, à l’heure où ta Terre libérée où tu es posé monte en une autre octave, celle-ci t’invite à écouter les Éléments de la terre comme les Éléments de ton corps qui essaient de chanter à l’unisson de la révélation de l’Éther, de la révélation de l’Éternité.

… Silence…

Le calendrier du temps de la Terre arrive à son achèvement. Réjouis-toi ; réjouis-toi de la Vérité,réjouis-toi de l’Éternité, réjouis-toi en l’Amour. Cet Amour, qui ne connaît rien et ne reconnaît rien de ce que tu vis au sein de l’éphémère, parce que n’appartenant pas en sa Liberté et en cequ’il est dans ce monde, se dévoile à toi dorénavant en totalité, ne laissant plus aucun espace, ni de doutes, ni de souffrance, ni d’attachement à ce monde où tu es posé et qui n’est pas le tien.

… Silence…

Très bientôt, en termes de temps terrestre, tu pourras laver tes robes d’éternité dans mon sang,celui du sacrifice de ce qui ne fait que passer, pour la gloire de l’Éternité, pour la beauté de la Vérité et pour la magnificence de l’Amour en incarnation, en ton cœur comme sur ce sol où tespieds sont posés.

Alors laisse-toi laver de toute offense à l’Amour, de toute offense à la Vie, non pas par toi-même car dorénavant tu ne peux rien d’autre que reconnaître ce que tu es. Tout le reste, même s’attachant à toi au travers d’une souffrance quelle qu’elle soit, ne fait en réalité que te montrer qu’elle est en train de lâcher.

Toi, digne Fils Ardent du Soleil, où nulle tâche ne peut demeurer, toi où nulle résistance ne peut s’opposer, donne-toi à la Vie, non pas celle que tu connais, quels qu’en aient été les plaisirs, quelles qu’en aient été les leçons. L’Amour n’a pas besoin de leçons, c’est cela que tu réalises maintenant. Tu n’as rien à apprendre, tu n’as rien à vaincre, tu n’as rien à conquérir dans la Paix de ton cœur, dans la Paix du Christ.

Confie-moi tes souffrances et tes douleurs, parle-moi de cœur à cœur, au-delà de ta forme et de ma forme passée. Confie, confie-toi à moi comme tu confies ton éphémère à l’Éternel, montrant par là même le sens de ton sacrifice, le sens de la Liberté et la Voie de l’Amour.

Cet Amour que tu es ne trouve aucun équivalent à la surface de ce monde, que cela soit en ton être aimé, que cela soit dans le regard de la nature et des peuples qui y habitent, tout ceci n’a représenté que des approches de ce Feu dévorant de l’Amour et de l’Esprit.

Alors, tu découvres la Liberté, venant mettre fin à l’ignorance de ce que tu es en vérité. Et en vérité je te le dis, tu es l’Unique ; en vérité je te le dis, tu n’es jamais né ; en vérité je te le dis, jamais tu ne pourras mourir. En vérité je te le dis, tu n’es rien de ce qui apparaît sur la trame de ta vie ou sur la trame de ta conscience car en l’Amour vrai, il n’existe pas de place pour la moindre souffrance et le moindre conflit. Le conflit et la souffrance ne sont liés qu’à la naissance, en cette période, réelle et concrète, de ton humanité et de ton éternité.

L’humanité dont je parle n’est pas l’humanisme des maîtres de ce monde qui n’ont plus aucune maîtrise et qui, contraints et forcés, s’effacent d’une manière ou d’une autre devant la puissance de l’Amour en manifestation et que tu incarnes. Tu n’as rien à dire ni à redire, tu n’as rien à démontrer, tu as simplement à être là, dépouillé et nu, présent à ton éternité, absent de la forme tout en maintenant ta forme.

Alors oui je te dis : « Lève-toi, tiens-toi debout », car plus jamais tu ne pourras te coucher devant quoi que ce soit ou qui que ce soit, toi, Fils Ardent du Soleil dont le Feu Igné vient révéler, éclairer et transcender ce qui doit se jouer pour toi sur l’écran de ta conscience, sur l’écran de ta vie.

En ces moments finaux de l’Illusion, chacun d’entre vous va retrouver le fil de sa liberté en l’Absolu, en la Source Une, en l’ardence de ton Soleil Central. Laisse la Grâce te découvrir, laisse la vraie Vie en Christ, en l’Amour, en l’Un, remplir chaque interstice de ta vie. Ne résiste pas à toi même, ne résiste à rien et deviens le roc que tu es en l’ardence du soleil de ton cœur. Alors oui je viens te voir – comme un voleur dans la nuit, cela tu le sais –, mais avant tout, avec lucidité. Ne me rattache pas à l’histoire de cette terre, ne me rattache pas à un scénario quelconque, sois simplement debout, sois simplement là, comme je suis avec toi.

…Silence…

Rappelle-toi que c’est toi et seulement toi qui peux juger et jauger ce que tu es. Et rappelle-toi qu’il n’y a rien à condamner mais tout à pardonner, qu’il n’y a rien à ôter mais à se laisser transmuter.

Toi qui as été le serviteur de la Lumière, aujourd’hui sers-toi en abondance de ton éternité. Ne crains rien de ce monde, il ne peut plus rien pour t’empêcher d’être. Quelles que soient les circonstances de l’endroit où tu vis, ta force est présente, c’est la force de l’Amour, c’est la force de l’Informe, c’est la force de l’Éternité.

Alors écarte tout ce qui peut faire écran et lève-toi, annonce la nouvelle, non pas par des mots, non pas par des cris, mais par la majesté de ta Liberté ici même en ce corps. Tu es le témoignage vivant de mon passage sur cette terre. Rappelle-toi que tu n’as rien à défendre, rien à démontrer, si ce n’est à toi-même et par toi-même. Sois seulement là, debout, en ce que la Vie t’offre comme en ce que la Vie te retire, car c’est en ces circonstances de gains ou de pertes que tu peux te voir en ce qui t’attire ou pas.

Laisse l’ardence de ton cœur brûler les scories et l’inutile. Alors tu ouvriras les yeux, tes yeux seront dessillés, non pas par ta volonté mais par l’évidence de la Grâce, de la Liberté et de l’Amour, là où tu es.

Je ne suis pas venu aujourd’hui pour te rassurer, tu n’en as pas besoin. Je ne suis pas venu t’annoncer quoi que ce soit car tu le vois de partout, en toi comme autour de toi. Où que ton regard se tourne, le cycle s’achève. Sois joyeux, reste debout et léger.

Je ne viens pas te sermonner, je ne viens pas non plus te juger, je viens simplement te proposer de me rejoindre, si tel est ton choix, en les demeures de la Liberté éternelle où chaque demeure est ta demeure, où chaque forme comme chaque monde n’est que ta manifestation et ton expression.

Je ne viens pas te baptiser, je te tends la main dès l’instant où tu es tendu vers ton éternité. N’oublie jamais que quelle que soit la souffrance de ce monde, la tienne comme celle de ton frère, celle-ci ne fera que passer et passera d’autant plus vite que tu te mets debout en ta dimension de Fils Ardent du Soleil et non plus en tant que personnage, avec ses désirs et ses gesticulations.

… Silence…

Je viens te présenter l’Église du ciel qui ne peut être corrompue comme l’Église de la terre l’est actuellement. Les temps sont accomplis et les temps sont venus de rétablir et de restaurer la Vérité. Aucun mensonge ne pourra plus rester debout, aucun mensonge ne pourra cacher quoi que ce soit à l’Amour. Je t’invite ainsi à ne rien te cacher à toi-même.

Je viens t’inviter à laver tes robes. Il en est temps, il en est encore temps. Alors ainsi tu seras revêtu de ta couronne de Gloire, alors ainsi tu ne pourras que rester debout dans la Grâce de l’Amour, de la Lumière et de la Vérité. Et je te le redis aujourd’hui : « Être debout, c’est être heureux ». Heureux les simples d’esprit, ils ne connaîtront plus la mort et son illusion, et son cortège de souffrances.

Toi, couronné de la gloire de ton éternité, toi, mon frère et mon ami, d’où que tu sois, d’où que tu viennes, et qui que tu sois dans le jeu de cette vie, je te vois et je t’aime. Reconnais-moi et tu absoudras toi-même tes propres culpabilités, tu absoudras tes expériences malheureuses et tu dépasseras tes expériences heureuses.

Alors vis, vis ton éternité dès maintenant, n’attends rien et n’attends pas car l’horloge du temps ne pourra bientôt plus avancer, te mettant dans l’immobilité. Rappelle-toi qu’en ces événements, tu ne peux rien contrôler ni rien diriger mais que tu peux simplement t’effacer devant ta majesté éternelle et devant ta beauté, car il n’y a rien d’autre à voir en éternité que la beauté, où rien ne peut être séparé, où rien ne peut être divisé ni même dévié.

Alors, toi qui as été appelé d’une façon ou d’une autre à cette Éternité que tu es, toi qui as déjà répondu à l’appel ou qui dis ne pas l’avoir reçu, je t’invite au banquet du Ciel, je t’invite au banquet de l’Éternité où plus jamais tu n’auras soif, plus jamais tu n’auras faim. Cela est maintenant et cela, tu peux le constater même au sein de l’éphémère de ta forme, car le miracle de la transsubstantiation se produit maintenant. Ton corps de Lumière éternelle a pris le relais de ton corps éphémère tout en maintenant cette forme qui est déjà morte, quel que soit ton âge, car jamais elle ne peut durer.

Je t’invite à la légèreté, de l’être comme du non-être, je t’invite à l’Amour sans fards et sans détour et je te dis, mon frère, Paix sur toi. Je te donne ma Grâce, je te donne le pardon. Je te donne la Liberté. Accueille mon présent, accueille mes cadeaux, ils ne sont rien d’autre que les tiens ; ils te sont dus de toute éternité.

Tu ne dois rien à ce monde et il ne te doit rien, tu as juste à accomplir ce qu’il faut encore parcourir tant que le temps ne s’est pas arrêté, même si pour toi il est arrêté. Entends, entends au-delà de mes mots ce qui t’est dit, ce que te dit la Vie et ce que te donne à voir ce monde. Ne sois plus dupe de quelque attachement que ce soit à ce qui ne fait que passer et qui trépassera,
et qui trépasse déjà.

Ne te retourne pas en arrière afin de ne pas devenir comme la femme de Loth. Ne définis aucun futur car la vie s’en occupe et l’Amour est Intelligence, comme la Lumière. Sois disponible en totalité pour toi-même, au-delà de tout divertissement, de toute occupation ou préoccupation, au-delà de toute responsabilité que tu as à assumer au sein de cette forme. Je n’ai pas dit de ne pas faire mais de voir ce qui est à la source du faire, à la source de l’être et à la source de la Vie.

Allège-toi. Cet allègement n’est pas un allègement des contraintes de ta vie mais un allègement définitif de ce que tu es, ouvrant à double battant les portes de ton cœur à ma visite et à ta propre venue en l’Éternité sur l’éphémère de ce monde.

Ne te laisse plus abuser par tout ce qui ne fait que passer car tu n’as pas à t’attacher à ce qui passe, car tu es Liberté où rien ne peut être attaché, où rien ne peut être contraint.

… Silence…

Aujourd’hui je te le dis, tout est accompli au sein même de la matière et c’est cela qui se fait jour en une durée nécessaire et suffisante que seul notre Père connaît. Traverse sans regarder en arrière, ni même devant, ce que la Vie te fait traverser. Ne fuis rien, n’évite rien, mais pardonne. Donne-toi à toi-même la Grâce ; donne à chacun, là où ta conscience ou ton regard se portent, donne la Paix et fais don de la Grâce. Lève-toi et regarde avant tout au-dedans de toi, et regarde tout ce que tu as à regarder qui pourtant ne fait que passer. Ne t’y arrête pas. Ma Mère est là pour te consoler, je suis là pour te répéter de te lever enfin.

Rappelle-toi aussi, en tant que Fils Ardent du Soleil, que ce que tu fais à toi-même comme ce que tu fais à chacun, en vérité je te le dis, c’est à moi que tu le fais. Alors, le seul « faire » utile aujourd’hui, quoi que tu aies à affronter, à vivre et à dépasser, quelles que soient l’intensité de ta paix et l’intensité de la manifestation de ta Vérité, dans ce « faire-là », il n’y a aucun « faire » à faire depuis la personne, il y a juste à dire « oui », un « oui » franc et massif, irrévocable et irréversible à l’Amour. Non pas celui que tu peux supposer ou conditionner à quelque circonstance que ce soit, mais justement à celui qui est vrai, indépendant de toute attache, indépendant de toute sélection, de toute condition. Cet Amour-là, cet Amour vrai, tu ne peux pas le comparer ni même le mesurer car il rayonne en permanence, il chante l’Amour et la Grâce sur toutes les circonstances de ta vie et de ce monde.

Ma présence de ce jour, entre Marie, ma Mère, et Mikaël, le fidèle serviteur, vient bien sûr illustrer la Nouvelle Eucharistie, mais à ce niveau-là, la communion n’est plus un acte de messe mais un acte de Vie, qui est présent à chaque inspir et à chaque expir, en chaque regard que tu portes, en chaque émotion que tu éprouves, en chaque idée qui ne fait que passer. Ose être, au-delà de toute apparence, au-delà de toute condition et de toute supposition.
Alors, comme je te l’ai dit en arrivant, je te donne ma Paix, je te donne la Paix du Christ, et cela se reproduira en chaque temps, en chaque souffle et en chaque jour. Ne t’éloigne plus de toi,reste debout.

Reste là avec moi quelques instants. Tu n’as plus besoin de mots, tu as juste besoin de t’entendre – c’est ce qui se passe à l’instant et chaque jour. Comme ma Mère te l’a dit, trouve des instants – qui n’ont pas besoin d’être mesurés en heures mais simplement en secondes, voire en une minute –, dès que tu en as l’occasion. Deviens cette prière et cette veillée permanentes quoi que vivent ton corps et ton éphémère. N’écoute personne, si ce n’est ton cœur, il parle dans le silence, il n’a pas besoin de choisir entre ceci ou cela, il a juste à être, de manière irrévocable et définitive.

… Silence…

Je suis avec toi dorénavant pour l’Éternité, quoi que tu en penses et quoi que tu en dises, car je suis aussi ce que tu es, toi, le Fils Ardent du Soleil.

… Silence…

Et nous nous tenons ensemble debout face à face, où ta notion d’identité ne sait plus si elle est elle-même en ce corps ou elle-même en mon corps, car en ton corps immortel et mon corps immortel nous partageons le même Amour. Nous avons partagé les mêmes souffrances et les mêmes joies au sein de l’incarnation et vois, au travers de ta vie comme au travers de ma vie, ce qui est le plus important et le plus intense aujourd’hui. Es-tu attaché encore à quoi que ce soit ou te présentes-tu libre pour laver tes robes dans le sang de l’agneau ?

Tu n’as plus besoin de mots et moi non plus, seule l’Évidence est le témoin. Aucun mot ne peut traduire ce qui se déroule en l’intime de ton cœur comme de mon cœur. Rappelle-toi que tu n’as personne à suivre, tout au plus peux-tu m’imiter, non pas dans les séquences de ma vie mais dans l’intensité de l’Amour.

Alors, je te le redis encore une fois, Paix à toi et Paix en toi. Quoi qu’il se déroule, la même Paix est là, même si tu en penses le contraire et que tu en éprouves le contraire. Ne reste pas dans l’apparence ni dans la superficie, dépasse toute manifestation et tout ressenti de ce qui te gêne et de ce qui t’obstrue. Ne vois que le vrai, ne vois rien d’autre et tu y verras tout, toutes les solutions s’y trouvent.

Alors prouve-toi à toi-même que ta foi est agissante, que cette foi en l’Amour que tu es, est bien plus intense et efficace que toute technique que tu pourrais appliquer.

Tu es à la fois le ciseau qui cisèle la pierre, la pierre elle-même, comme l’absence de ciseaux et de pierre. Ne retiens que la perfection de la perception de ta conscience, la perfection de la forme quelle qu’elle soit ne fait que passer, il n’y a qu’au-delà de toute forme ou d’une forme libre que tu ne passeras pas.

Toi, qui jamais n’es né, qui jamais n’es mort, qui jamais en vérité n’as souffert, car qui souffre si ce n’est ton corps, car qui souffre si ce n’est ce qui est destiné à disparaître au moment de l’apparence de la mort ? Ne retiens que ce qui est véritable. Laisse passer tout le reste car aucune souffrance ne t’appartient, même si tu la vis avec intensité. Pas plus que tu n’es ton corps, pas plus que tu n’es de ce monde, aucune souffrance n’est de toi, tu ne fais que l’éprouver.

Vois au-delà de ce qui semble t’arrêter et parfois te poursuivre en ta quête de Vérité. Regarde avec intensité ce que tu vis en toi. Qu’il y ait forme, qu’il y ait Lumière ou qu’il n’y ait rien, tout est là, à ta libre disposition, de manière beaucoup plus évidente que lors de mon passage sur cette terre. Ainsi tu pourras accueillir non seulement l’Appel de ma Mère mais l’épée de Mikaël sans être affecté par ce qui est tranché de toi et ôté de toi, par la Grâce de la Lumière, par l’épée de Mikaël, par la Nouvelle Alliance de Liberté. Alors célèbre, avec nous, ta résurrection sans délai. Que cela soit demain ou après-demain, même si cela n’était pas apparent en totalité, lève-toi et célèbre ta résurrection.

Mon ami, mon frère, en le même cœur ardent, je n’ai pas besoin d’autres mots. Il n’y a plus de nécessité de mots parce que quand la Grâce se déploie, quand la totalité de l’Amour est révélée à la surface de ce monde comme cela est le cas, que peut-il rester pour toi que le silence au milieu des cris de ceux et de celles qui n’ont pas encore vu la beauté ? Alors lève-toi, veille et prie à la façon dont je te l’ai décrit, tiens-toi tranquille, demeure dans la Paix éternelle. Qu’elle t’ait effleuré ou qu’elle t’ait envahi, laisse-la être ce que tu es.

… Silence…

Que la Paix soit sur vous tous. Je vous donne ma Paix, la Paix du Christ. Et là, dans le silence, nous communions, où que tu sois, en quelque instant.

… Silence…

Et je te salue et te rends hommage pour avoir traversé les vicissitudes de ce monde. Je te rends hommage pour le courage que tu as mis, et je célèbre en toi ta résurrection. Moi et mon Père sommes Un. Paix à toi. À toujours en l’Amour.

Paix à toi. Je vous donne ma Paix comme j’ai donné cette vie éphémère pour votre éternité, pour vous montrer ce que vous étiez voilà 2000 ans vous aussi, ce que vous réalisez aujourd’hui. Là était le seul sens de l’Histoire : votre résurrection mettant fin au rêve de ce monde qui n’a aucun poids face à la majesté de l’Amour. Je t’aime, je t’ai aimé et je t’aimerai au-delà de tout temps. Mon ami, mon frère, rejoins-toi afin de me rejoindre.

Je ne te laisse pas. Même si mes mots présents s’éteignent, ils demeurent en toi, Fontaine de Vie éternelle, promesse d’Éternité.

… Silence…

À toujours.

… Silence…

Grâce.

Publié par : Apothéose apotheose.live

Tous nos remerciements à Jean-Luc Ayoun,
ainsi qu’à toute l’équipe de transcription del’année 2017.

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