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O.M. Aïvanhov
Partie 2
Vacances (5 au 10 août 2022)
5 août 2022
Eh bien chers amis, nous voici de retour dans le Cœur du Cœur et dans le Grand Silence à partager et à échanger entre nous. Et tout d’abord, une petite minute de silence pour s’acclimater les uns aux autres.
…Silence…
Alors chers amis, nous nous écoutons les uns les autres. Qui veut questionner, qui veut parler ?
Elisa : Moi. Alors je vais vous dire un petit peu comment je sens. Après je traduis.
D’accord.
Elisa : Depuis deux ans, moi il m’arrive quelque chose – je ne sais pas si les gens le sentent comme ça – depuis donc qu’il y a cette pandémie de pacotille (Note : ou autre mot) comme vous dites.
Elisa : Je parle, je sors de la matrice, donc c’est-à-dire faire quelque chose d’officiel, ne serait-ce que faire les courses, ou bien d’autres choses, et on ne sait pas comment je vais parler avec les gens. Parce que je ne sais pas, je me sens différente.
Avant il y avait une normalité de contact avec les personnes. Maintenant on ne sait pas. Je me sens différente parce que je ne sais pas à qui je parle, si vraiment c’est quelqu’un … Si je vais commettre une erreur en disant quelque chose parce qu’évidemment moi je n’y crois pas, mais un mot de trop et on vous regarde de travers. Alors je me sens dans un climat bizarre de guerre, peut-être moins ces derniers mois, mais qui a été très puissant dans les deux années dernières où vraiment
je n’osais même pas parler avec les gens, je ne savais pas du tout comment les aborder parce que je ne savais pas à qui je parlais, si c’était un robot ou si c’était quelqu’un de …
Elisa : Je me suis sentie comme ça dès que je sortais de mon cercle d’amis où je pouvais bien m’exprimer mais dès que je sortais dehors, je ne pouvais pas continuer avec la même liberté, la même spontanéité parce que vraiment j’avais l’impression que c’était grave ce que je disais. Un mot de trop … par exemple le masque, je ne disais même pas grand-chose, mais j’avais l’impression d’être attaquée. Je ne sais pas si vous vous êtes sentis comme ça ?
Frères et Sœurs (note du transcripteur : réponses en simultané et certaines incompréhensibles) : Oh oui complètement – étrange – je me suis posé la question – même maintenant – même avec nos propres enfants, c’est très difficile, même pour eux. Il faut lâcher ça, mais … ne plus rien se dire.
Elisa : D’abord je vais traduire.
Alors d’abord tu traduis et après on verra si nos frères et sœurs ici présents ont des réponses bien sûr. J’en ai une aussi.
Elisa : Oui, c’était comme un autre monde, c’était comme si je …, on était dans un autre monde, un monde parallèle ou quelque chose …
Alors je vais tout d’abord …
Elisa : Mais moi j’étais restée la même, mais les autres avaient changé.
Je crois qu’il y a plusieurs voix qui se sont levées pour donner leurs avis, parce que tu demandais s’ils le vivaient. Je pense que la plupart vont dire oui. Je vous expliquerai après pourquoi.
Elisa : Bien.
Alors qui voulait prendre la parole et confirmer ou infirmer cela ?
Sœur : Moi-même avec une amie très ancienne, avec qui il y a eu toujours un bon contact très simple, voilà, très facile, un jour j’ai émis une opinion concernant notre ‘’grand chef suprême’’, pas le mien, mais … (Rires). Ce n’est pas enregistré ?
Qu’importe.
Sœur : Et elle m’a dit ‘’Oh mais tu es véhémente !’’ Alors que je ne disais vraiment rien de très méchant. En plus c’est quelqu’un qui s’est tout de suite précipité pour se faire injecter, pour pouvoir partir en vacances. Quand ça m’a été dit, moi j’ai sursauté. J’ai dit : ‘’Ah bon tu as fait ça’’. Mais depuis, il y a quelque chose qui plane entre nous deux que je ne peux pas définir. Enfin moi je le définis … Je n’ai plus la même facilité de contact.
Elisa : Cette même sensation je l’ai eue avec plein d’amis.
Sœur : Voilà. Donc là c’est quelqu’un… vraiment … on a un parcours depuis très longtemps. Et maintenant j’ai l’impression qu’il est interrompu.
Merci. Un autre avis ?
Frère : Nous on s’est posé la question spontanément : ‘’Comment échanger avec l’autre, avec les amis proches ?’’. Dès que l’on dit par exemple, ne serait-ce que des réalités comme quoi le masque laisse passer le virus, ça induit notre position.
Elisa : Qu’est-ce qui s’est passé ? Il n’y a plus de communications avec des gens, qu’on a eues toute la vie.
Je vais peut-être vous donner des éléments de réponse.
L’Humanité a été masquée, l’Humanité a été soumise au mensonge, à une propagande et à une tentative de manipulation qui n’a jamais existé dans l’histoire de l’Humanité. J’ai parlé tout à l’heure de la pandémie Agapè mais aussi de la pandémie du corona-circus.
L’objectif de l’Intelligence de la Lumière, à travers la mascarade, où la communication de ceux qui dirigent était fausse. Premier élément. L’Être Humain, même inconsciemment, commence maintenant à se rendre compte de la manipulation totale. Deuxièmement, la communication a servi au mensonge.
Parallèlement à cette pandémie liée au simulacre, il y avait la pandémie de la Résonance Agapè.
La Résonance Agapè n’est pas une communication, c’est une mise en résonance avec le Cœur du Cœur, avec le Temps Zéro. Ce n’est pas une communication à ce niveau-là, c’est une mise en résonance, une mise en relation qui se passe au-delà des mots habituels de la communication. Il y a donc eu deux évènements simultanés. D’un côté, le mensonge de la communication des médias et des hommes de Sciences, et dans le même temps, la capacité à vivre au sein de l’enfermement, du confinement.
Établir une communication avec soi-même et aussi une résonance avec l’autre. La résonance, encore une fois, n’est pas une communication. C’est une mise en relation directe. Que vous en ayez vécu ou pas, c’est un processus collectif au même titre, que la propagande et le mensonge de la folie du simulacre du virus.
Donc l’Être Humain a été soumis à une communication faussée mais aussi à la résonance, même sans la vivre consciemment. La Résonance Agapè s’appuie sur le Silence. Elle vous a approché, rapproché du Grand Silence. Dans le Grand Silence la communication devient superflue, d’autant plus que la communication des médias …
Elisa : Comment ?
La communication de tous les médias de la planète a délibérément menti sur tout. Il y a eu dans l’Être Humain un choc quelque part, lié à l’enfermement, lié à la privation des voyages, de sorties, de communications, tout ce qui faisait et retenez ce mot, la confiance envers la Science, envers les médias, a été détruite par lesdits mensonges.
L’Être Humain a de l’autre côté découvert, même s’il ne l’a pas vécu consciemment, la Résonance Agapè qui passe par le Silence, par le Cœur du Cœur, et la résultante en est effectivement aujourd’hui, et encore toi tu dis que dans la famille, chez les proches, la communication était la même, mais ce n’est pas vrai.
Vous avez tous constaté, même dans les couples, des difficultés de communication parce que la communication n’est pas la reliance, parce que la communication est souvent aussi un travestissement du réel, de la vérité. On parle pour se justifier, on parle pour expliquer, et souvent l’être humain se sert des mots pour échanger, et ce mode de communication par les mots au fur et à mesure que la mascarade se révélait, et au fur et à mesure que parallèlement la Résonance Agapè s’installait comme possibilité pour l’ensemble de l’Humanité, …
Elisa : Ola, j’ai perdu le nord là !
La communication a été, par ces deux facteurs pourtant opposés, brouillée. Et donc comme tu l’as dit, vous éprouviez du mal à communiquer comme vous communiquiez auparavant. Parce que dans l’ensemble de l’Humanité s’est installée une suspicion logique, et que même dans les couples, même avec les enfants, la communion, la résonance, prend plus d’importance et plus de profondeur que la simple communication. Et c’est tout à fait exact.
Les mots prononcés ne peuvent plus convaincre, parce que l’autre est en réserve et en retrait par le traumatisme qui a été vécu au niveau collectif, je dirais au niveau du collectif planétaire. La propagande, le mensonge étaient omniprésents sur la planète et aussi bien consciemment que inconsciemment, l’Être Humain s’est retrouvé à ne plus accepter et à prendre pour argent comptant ce qui était dit, d’autant plus que vous avez été fort nombreux à vous apercevoir, dans différentes situations personnelles, que des gens communiquaient quelque chose, mais qui ne correspondait pas à ce qu’ils pensaient.
Il y avait une discordance, un écart entre ce qui était communiqué par les mots, et la réalité de ce qui voulait être échangé. Il y avait à la fois le traumatisme planétaire du mensonge et en même temps des canaux plus subtils qui se sont ouverts, qui faisaient qu’avec plus ou moins de lucidité, vous étiez devenus plus ou moins capables de discerner la vérité des mots prononcés ou leur fausseté.
Et bien évidemment vous vous êtes aperçus qu’au-delà des médias et des gouvernements, dans toutes les relations que vous aviez auparavant, même les plus harmonieuses, se sont glissés des éléments de disharmonie. Parce que l’autre, et c’est valable dans les deux sens, ne comprenait pas ce que vous disiez, ou en tous cas, ne le comprenait plus comme avant. De la confusion, de la difficulté de communiquer, est née une forme plus subtile de relation qui n’est plus une communication verbale, mais qui découle d’une capacité nouvelle à ressentir en soi la justesse ou la fausseté des mots prononcés.
Cette forme d’incompréhension, et je dirais de suspicion légitime par ce qui était vécu au niveau collectif, a favorisé en vous le silence, parce que comme la communication était brouillée, vous deveniez capables de ressentir la justesse ou la fausseté des mots prononcés – à juste titre ou à tort, peu importe -, mais vous l’avez senti. Le Silence s’est imposé de lui-même, même au sein d’une relation très harmonieuse, entre deux amis, dans un couple, entre une mère et un enfant.
Le Silence devenait une meilleure relation que la communication des mots. Vous l’avez tous vécu à divers degrés, dans diverses circonstances, professionnelles, affectives, amicales, et cela a favorisé le vécu de l’instant présent, où les mots ne justifient plus rien, et où les modes de communication habituels que vous aviez avec certaines personnes, comme l’a exprimé notre sœur, ne fonctionnaient plus.
Au-delà de la suspicion légitime par le traumatisme vécu, il y avait la préparation, et il y a toujours la préparation de l’installation de l’instant présent et du grand Silence. Vous voyez bien que dans nos interventions, dans nos échanges il y a, comme on l’a dit, l’espace entre les mots et c’est dans ce silence des mots et de la communication, que l’Etat Naturel se découvre et se vit, même je dirais dans les couples très bavards.
Une certaine forme de communion a remplacé la communication. Le silence est apprécié à sa juste mesure. Il permet l’installation d’une nouvelle forme de relation qui est parfois une absence de relation ou la cessation d’une relation. Et ce qui doit cesser dans une relation est ce qui vous libère d’une relation qui, quelque part, était faussée.
Vous vous apercevez aussi que, même dans une relation entre un enfant et sa mère, le silence est bien plus important que la communication par les mots. Vous devenez sensibles à ce qui était jusqu’à présent non perceptible, l’éclat du regard, la détente du visage quand les mots vrais sont dits, et la perception immédiate au-delà des mots prononcés de ce qui est faux par des signaux qui sont en dessous du seuil de la conscience.
Vous ne pouvez pas nécessairement mettre des mots sur ce que vous ressentez mais vous constatez, comme cela a été dit par les uns ou les autres, que la communication n’est plus comme avant. Beaucoup de choses ont changé durant ces deux ans, parce que les guignols, par leurs mensonges découverts, nous ont à la fois approchés de la Vérité et que la Vérité ne se découvre et ne se vit que dans le Silence.
Oui il y a donc effectivement des modifications importantes de ce qui est nommé la communication et que la relation, la résonance, ce que vous percevez subtilement, devient plus important que les mots prononcés parce que, comme vous le savez, vous êtes responsables de ce que vous dites mais vous ne pouvez pas être responsables de ce que l’autre comprend.
Et dans certains cas, le Silence est une communion bien plus efficace que la communication par des mots. Ce n’est pas encore de la télépathie, mais c’est un apprentissage, je dirais d’une communication silencieuse, qui est en fait une mise en relation au cœur du Cœur. Mais dans d’autres cas aussi, une rupture de communication et de relation. Il y a donc effectivement autour de vous un élagage qui se fait, pouvant provoquer chez l’un comme chez l’autre un sentiment bien vécu d’incompréhension et donc de difficultés de communication. Mais tout cela, les deux aspects vont vers votre libération.
Vous n’êtes plus soumis aux mots, vous n’êtes plus soumis aux paroles, mais bien plus à la perception directe de ce qui émane de l’autre. Vous n’avez pas besoin de voir les auras, ou de sentir l’énergie, mais le regard de l’autre, son attitude, sa façon de se présenter, vous dit directement s’il y a mensonge ou s’il y a vérité. Et dans les êtres qui sont très proches, là aussi le Silence devient plus intense que les mots échangés. Ils ont plus de puissance, ils ont plus de vérité.
Ce n’est pas seulement le Verbe plutôt que la parole, mais le Silence est propice à la compréhension de l’autre. Le Silence est propice à l’acceptation de l’autre et dans certains cas, à son rejet total. Il y a donc un tri naturel qui se fait en vous, comme en toute relation et comme en toute communication parce que, là aussi, cela traduit votre prise d’autonomie.
Quelles que soient les relations, tous vous ressentez dans certaines relations une forme d’étouffement, une forme de fausseté dans la communication. Les masques que vous avez portés vous ont, à l’insu de votre plein gré, conduits à détecter l’autre quand il porte un masque. C’est, je dirais, presque viscéral. Ce n’est pas une intuition, ce n’est pas une perception ou une vision.
C’est quelque chose de beaucoup plus direct qui est né en vous, qui vous permet, même si vous ne l’avez pas repéré encore parfaitement, de pressentir si une communication ou une relation est juste pour vous ou pas. Là aussi, je préfère ce mot de juste que de faux ou vrai, parce que ce qui est faux pour l’un peut être vrai pour l’autre et la communication par les mots peut de moins en moins vous tromper.
Et parce que, objectivement, quel que soit votre environnement, vous avez impérativement besoin, même si vous ne le reconnaissez pas, de moments de Silence où vous ne voulez pas communiquer mais juste être là au Cœur du Cœur. Donc je dirais que c’est à la fois une transformation forcée par les circonstances du mensonge, mais quelque chose de logique dans la révélation du Réel.
Les mots deviennent dans beaucoup de circonstances, superflus. Il suffit simplement, et vous l’avez tous vécu, dans les couples par exemple, d’un regard, de se donner la main. Ce ne sont pas nécessairement des mots. C’est plus une attitude générale qui instaure ou établit la confiance et la communion.
La communication a servi à tromper, à vous faire prendre, je ne sais pas si ça existe en espagnol, des vessies pour des lanternes, à vous faire voir, et ce n’est pas que parce que quelque chose est dit et affirmé, que c’est vrai. La parole est une menteuse, la communication est un travestissement de la vérité. La véritable relation de cœur à cœur, que ce soit avec un ami, un enfant, est magnifiée par le silence. La résonance, la communion, devient plus portée par le regard, par le sourire, par un geste et une attention, que par des mots.
Le traumatisme vécu à différents niveaux durant ces deux années écoulées vous a conduit, que vous le vouliez ou non, à plus de lucidité et de clarté sur les relations et les communications. Et même si vous n’arrivez pas à mettre de mots dessus, c’est plus juste. Il n’est pas question de dire c’est vrai ou c’est faux, mais c’est plus juste dans la communication qu’on pourrait appeler non verbale, et les aptitudes nouvelles de votre personnage, de votre cœur, à savoir ce qui est juste.
Voilà des années, j’ai donné la technique de la réponse du cœur pour savoir si quelque chose était vrai ou pas, aujourd’hui vous n’avez plus besoin de ça. Vous avez juste à être présents pour savoir si cela est juste. Et vous êtes de plus en plus nombreux aussi à avoir besoin de silence, de recueillement
Vous ne pouvez pas être en train de parler sans arrêt et accueillir ce que vous êtes ou accueillir l’autre. L’accueil de l’autre et l’accueil de vous-même se réalisent réellement dans le silence des mots, c’est cela que vous vivez. Et bien sûr cela va se renforcer de plus en plus. Est-ce que cela vous convient ? Est ce que vous vous retrouvez à travers ce que je viens d’exprimer ?
Elisa : Alors quelle est l’attitude à avoir vis-à-vis des frères qui sont dans un autre, je ne sais pas, qui sont dans un autre …
C’est très simple, vos routes n’ont plus à se croiser. Des relations même très anciennes se défont. Des relations nouvelles plus fortes, plus directes, s’établissent. Mais globalement tous, vous avez besoin de silence. Vous avez moins besoin de parler pour exprimer n’importe quoi. Autrement dit, vous avez de moins en moins besoin de meubler le Silence par des mots sans importance, par des phrases qui n’expriment pas ce que vous êtes vraiment.
Et vous savez dans beaucoup de circonstances, pour l’avoir vécu, que le Silence procure de la paix, bien plus que de communiquer par des mots, bien plus que d’échanger de longues phrases, parfois un regard suffit ou un sourire, il ya une communion beaucoup plus directe. Mais aussi comme tu l’as dit, des chemins qui se séparent parce que c’est ainsi que ça doit se passer pour chacun de vous.
Et même chez ceux qui ont l’habitude de s’exprimer, il y a parfois l’impression que le Silence serait préférable à tout discours ou à toute explication. Parce que ce que nous appelons la communication, l’expression, vous fait réellement sortir du rêve. Et vous aspirez que vous le vouliez ou non à ce qui est juste et Réel. Bien plus qu’à défendre un point de vue, une idée ou quoi que ce soit. Le temps n’est plus aux confrontations d’idées, aux confrontations de paroles, au besoin de prouver quoi que ce soit à qui que ce soit.
Le Silence nous approche de la joie, que vous en ayez pris conscience ou pas, et rien ne reviendra comme avant, ce n’est pas possible, parce que vous découvrez la supériorité du Silence, la supériorité de la communication non verbale, et même si c’est inconscient, vous vous apercevez que cela est beaucoup plus juste, que le silence traduit plus la communion, la relation, que la communication par des mots.
Les mots sont souvent un travestissement, les mots sont un lieu de confrontation, et vous avez de moins en moins envie ou besoin de vous confronter, inconsciemment ou consciemment, vous recherchez la paix avec vous-même, mais aussi avec l’autre qui ne vous comprends pas ou que vous ne comprenez pas.
Alors dans ces cas là, la relation se termine, et c’est une libération pour l’un comme pour l’autre. Parce que vous supporterez de moins en moins ce qui est faux dans les mots. Vous supporterez de moins en moins, comme la question d’un frère à la session précédente concernant des gens qui portent un masque dans la rue en plein été.
Vous aurez envie de les bousculer, bien sûr vous ne le ferez pas. C’est comme ça dans votre vie par rapport à tous les êtres avec qui vous communiquez, dans un milieu amical, professionnel, affectif et bien sûr c’est beaucoup mieux ainsi, même si effectivement comme tu l’as dit, ça peut poser question au début.
Voilà ce que j’avais, de mon point de vue, à vous dire par rapport à cela. Est ce que quelqu’un parmi vous a quelque chose à rajouter à cela ?
Les mots mentent, le Silence ne peut pas mentir.
Sœur : Je pourrai dire que j’ai été confrontée effectivement comme tout le monde à ce genre de situation.
Je t’entends très mal, tu es loin de moi, et prends le micro pour l’enregistrement aussi d’ailleurs.
Sœur : Je disais que comme tous j’ai été confrontée à ce genre de situation, mais paradoxalement je n’en ai pas souffert, dans la mesure où j’acceptais ‘’c’est comme ça’’, et surtout je n’ai jamais voulu apporter un point de vue ou une discussion, mais j’ai plutôt écouté les personnes. Et puis pour certaines c’était déjà, c’était pas mal, parce que c’était rigolo, parce que certaines, de ce qu’elles disaient, en sont venues à mon point de vue en fin de compte, donc il y avait beaucoup de choses qui étaient un petit peu exagérées, pour ne pas dire imposées.
D’ailleurs dans les dimensions unifiées au delà de la 3D dissociée, la communication n’est pas dans les mots, elle se fait à travers les signaux non verbaux dont je parlais, et à travers la communication, la communion de cœur à cœur, où l’idée et la pensée de l’autre s’impriment directement. Il n’y a pas de langage, il ya la télépathie, il ya les aptitudes naturelles dans le corps de lumière unifié à connaître l’autre et l’autre ne peut pas tricher.
C’est en quelque sorte ce que vous commencez à vivre ici sur cette Terre.
Elisa : Mais quel soulagement parce que des fois pour qu’ils te comprennent !
Exactement.
Sœur : Je pourrais rajouter quelque chose … hier il s’est passé quelque chose d’extraordinaire pour moi dans une longue file d’attente, un bébé dans sa poussette entre, je ne sais pas, neuf mois, un an, nos regards se sont accrochés et c’est incroyable le nombre de, je ne veux pas dire minutes parce que le temps n’est pas mesurable, mais c’était très, très long, on est resté, il est resté sans ciller et moi également, et ça s’est terminé sur son petit visage d’ange par un magnifique sourire que je lui ai rendu bien sûr.
C’est tout à fait exact.
Elisa : Et ça m’est arrivé ça déjà, moi aussi.
Faites ça entre amis, faites ça dans les couples, essayez de vous regarder sans rien dire, sans rien demander et sans rien attendre, vous allez comprendre ce qui va se passer. Vous allez réinstaller le cœur du cœur, cette présence et cette absence, simplement en vous regardant dans les yeux sans autre communication que ce regard. Le Réel sera là, la Vérité sera là.
Vous ne pouvez pas tromper avec le regard, contrairement aux mots. Les mots, et l’expérience collective vous a montré qu’ils étaient pour vous tromper, pour vous emmener dans la peur, pour vous emmener à la piqûre. Le regard ne peut pas tromper et pour ceux mêmes qui regardent les écrans de télé, les informations, vous voyez bien que vous arrivez à discerner celui qui dit vrai et celui qui raconte des bobards, des mensonges. Vous le percevez sans pouvoir nécessairement savoir comment, mais parce que vous regardez son visage, même sur un écran, et vous savez si c’est vrai ou faux.
Je vous l’ai dit, faites l’expérience entre frères et sœurs, dans votre famille, avec votre compagnon ou votre compagne, juste en silence, sans autre fait que de vous regarder en silence, les yeux dans les yeux, et alors vous verrez que ce regard des yeux dans les yeux est un vécu du cœur à cœur.
Les yeux sont le miroir du cœur, le miroir de l’âme dit-on. Le regard ne ment pas quoi que vous disiez, et le silence vous le montre. L’absence de mots, simplement votre présence, les yeux dans les yeux, vous donnera à vivre cela. C’est une certitude parce que c’est comme cela que ça se passe, et je vous remercie d’avoir évoqué cela et de m’avoir donné l’opportunité de parler de ça, c’est important.
Rappelez vous ce n’est pas simplement une perception de l’aura ou de l’énergie de l’autre, même si vous le percevez comme ça, vous le sentez comme ça, c’est autre chose. C’est une vraie communion, ce n’est plus de la communication, et c’est normal que beaucoup d’entre vous se retrouvent plus silencieux, aient moins besoin ou envie de se justifier, parce que vous savez que vous ne pouvez convaincre personne, et que si vous acceptez d’être ce que vous êtes, alors, je l’ai dit, vous devenez les ancreurs et les semeurs du grand Silence, c’est-à-dire du temps zéro.
C’est comme ça que ça se passe et c’est comme ça que ça va se passer de plus en plus. Plus le mensonge du monde, le mensonge planétaire, et plus le mensonge cosmique vont vous apparaitre, plus vous constaterez que vous n’avez pas d’autre issue que de rester en silence.
Quand nous vous disons que la vérité ne peut pas être dite, mais qu’elle peut être vécue, c’est exactement aussi de la même chose que nous parlons. La Vérité n’a pas besoin de mots, la Vérité n’a pas besoin de justification à travers un discours, la Vérité se vit et c’est tout. Et le Silence est la manifestation de la Vérité.
C’est ce qui explique que vous avez, pour beaucoup – il y a encore des pipelettes -, mais pour beaucoup, vous éprouvez que le silence vous apporte beaucoup plus que de parler. Autrement dit vous n’avez pas besoin d’ornement à votre présence, ça concerne les ornements, les discours, les mots, mais ça concerne aussi votre habillement par exemple, le maquillage pour les femmes.
Vous n’avez plus envie de travestir ce que vous êtes. Il y a une soif parfois encore inconsciente d’authenticité et de quelque chose qui est véritable. Parce que le cauchemar des deux dernières années vous a dégoûté, du moins je l’espère, des prétentions de la société, de la prétention des gouvernements à être votre sauveur, alors qu’ils ne souhaitent qu’ardemment votre mort, que vous disparaissiez de leur vue, c’est réel. Tout ça participe du même processus de communication qui ne peut plus se faire comme avant.
Elisa : J’ai une question.
Alors on t’écoute
Elisa : Pourquoi les gouvernements voudraient-ils, ont un tel intérêt, à ce que ce corps disparaisse, ça je ne le comprends pas.
Parce que ça fait partie des plans des méchants garçons, même ceux qui ne les connaissent pas. Le sacrifice de l’humanité est ce qui est demandé par leurs divinités. Alors que vous l’appeliez Satan, Moloch, Lucifer, ne change rien. Ne pouvant plus vous contrôler, ils se sont raconté des histoires, comme quoi il y avait trop d’êtres humains sur la planète, alors que ce sont eux-mêmes qui ont détruit la vie, la vie naturelle, ce sont eux mêmes qui ont coupé les arbres, et ils n’ont aucun scrupule dans leur délire de toute puissance.
Ce n’est plus seulement de vous contrôler, mais de vous éliminer physiquement par tous les moyens possibles et nous pouvons dire qu’ils s’y emploient activement depuis de nombreuses dizaines d’années par l’empoisonnement de l’air, des terres, par le mensonge permanent.
Depuis très longtemps, nous vous avons dit qu’il n’y avait pas de réchauffement climatique, mais qu’il y avait un bouleversement climatique, ce n’est pas la même chose. C’est quelque chose qui est beaucoup plus vaste que, en voulant vous tuer, ils pensent pouvoir se sauver. Ils sont dans le simulacre, ils prétendent vous aider, ils le revendiquent, ils le disent et ils font exactement l’inverse, consciemment ou inconsciemment.
Et Steiner en avait longuement parlé, il avait dit qu’à un moment donné de la science, ils découvriraient des médicaments pour couper votre âme et pour vous réduire au silence. Ils ont mis cela en œuvre, pas seulement depuis deux ans, mais je dirais depuis le début de l’ère de la communication, depuis le début de l’ère industrielle. Avant ils vous contrôlaient par les religions, par la peur.
Ils savent qu’il doit y avoir un changement, ils ne sont pas tous au courant de Nibiru, ils obéissent aux ordres. Ils vous disent que vous devez rester très peu de millions sur la terre et ça commence à être, comment dire, connu.
Aucun gouvernement ne veut votre bien, aucun être qui dirige un autre être vivant ne veut votre bien. Ils veulent simplement le contrôle, ils se nourrissent de vos peurs, ils se nourrissent de votre confiance et de votre soumission. Ils ne veulent surtout pas que vous découvriez qui vous êtes, ils veulent que vous continuiez à rêver avec eux, ils veulent réellement que le rêve se transforme en cauchemar, pour nous, pas pour eux. Ils obéissent à ce qui est écrit, eux aussi, même s’ils ne le savent pas.
Le scénario est un scénario parfait, surtout si vous ne le voyez pas encore comme parfait. Très vite vous allez en voir la perfection et je dirais même la beauté. Il n’y avait pas d’autre moyen de vous réveiller. De vous montrer que vous étiez non seulement enfermés, mais asservis, soumis à la société, soumis au rêve, aux croyances qu’on vous a rentrées dans la tête, dans ce qui est nommé ‘’éducation’’.
On vous a éduqués à croire, on vous a éduqués à vous soumettre à une autorité extérieure quelle qu’elle soit, et aujourd’hui vous le découvrez, aujourd’hui vous le vivez. C’est pour ça que nous vous disons qu’il ne peut pas y avoir de maître, qu’il ne peut pas y avoir de gourou, Qu’il ne peut pas y avoir de sociétés, que tout ça, ce sont des simulacres dans le but de vous faire oublier encore plus la beauté que vous êtes.
Puisque les religions ne marchent plus, alors on a créé, ils ont créé le nouvel âge, le ‘’new âge’’. Ils ont créé des théories toutes plus fumeuses les unes que les autres, toutes fausses, simplement pour vous détourner de vous-mêmes, mais ils ont cru que la mascarade ne serait pas vue, mais ils ont été démasqués, et c’est en cours. Ce qui a été nommé le nouvel ordre mondial s’est cassé la figure et je vous rappelle que ce que nous nommons l’Occident est le corps de Satan, l’ère de tout ce qui est faux, l’ère du travestissement, vous n’êtes plus homme, vous n’êtes plus femme, vous êtes ‘’trans’’, vous êtes ‘’genre’’, vous êtes ‘’six -6’’.
Tout ça c’est la même falsification de ce démon qu’on appelle Moloch, et de Satan, qui sont les rois du travestissement, où l’homme ne sait plus qu’il est homme, la femme ne sait plus qu’elle est femme, c’est une inversion totale, un simulacre de ce que nous avions nommé l’androgyne primordial. C’est une inversion totale des valeurs, du rêve, et c’est ça le cauchemar, mais ce cauchemar, comme vous le savez, vous réveille.
Il faut voir ça avec lucidité, avec clarté, pas pour le juger, pas pour le condamner, mais pour voir clairement et crûment les choses. C’est exactement ce qui est en train de se produire, c’est exactement ce que vous vivez, c’est exactement, non pas nous les anciens ou les étoiles, mais ce que toutes les hiérarchies sont en train de vivre. Je parle aussi bien des hiérarchies angéliques que des hiérarchies diaboliques, personne ne peut être et ne peut prendre l’ascendance sur personne.
Tout ce qui a été décrit dans certaines cosmogonies, dans certaines histoires, ne sont que des privations de ce que l’on nomme ‘’votre souveraineté’’. On vous parle de régents planétaires, on vous parle d’administrateurs des mondes, on vous parle des créateurs de mondes, qu’ils soient des Élohim ou des maitres généticiennes ou des archontes ne change rien, la vraie VIE n’a pas besoin d’être administrée, le rêve oui, parce que le rêve est faux, et tout converge vers cette unique réalité de toutes les façons possibles.
C’est cela que vous êtes en train de vivre et nous avec, c’est cela qu’est en train de vivre l’ensemble de la création. Dans le Réel il n’y a pas de hiérarchie qui tienne, personne ne peut se prétendre supérieur ou inférieur à l’autre, pas plus un Hayot Ha Kodesh, qu’une mère généticienne, fût-ce-t-elle dans l’histoire Marie ou une autre mère, tout ça c’est du pipeau, tout ça, ça fait partie de l’histoire.
Mais aujourd’hui il est temps de redécouvrir votre autonomie et votre souveraineté. Vous ne pouvez pas faire autrement, vous l’avez écrit ainsi, nous l’avons écrit ainsi. Vous ne devez vous soumettre à rien du tout, ni à un mari, ni à une femme, ni à une loi, ni à une morale, mais uniquement à ce que vous êtes en Vérité, le seul Réel est là et vous allez en faire l’expérience si ce n’est déjà fait.
Toute soumission est une tromperie, que vous vous soumettiez à un médecin parce qu’il est soit disant celui qui connaît, vous prive de votre liberté et de votre autonomie. Se soumettre à un mari ou à une femme vous prive de votre autonomie et de votre liberté, que vous l’acceptiez ou pas ne change rien, c’est toujours comme ça.
Vous faites l’apprentissage d’être enfin le souverain intégral, non pas parce que vous êtes plus grand, plus fort ou plus solide, ou plus faible. Mais parce quand on est dans un corps humain, ici, sur cette Terre, on est dans la meilleure position pour voir la supercherie, le mensonge, malgré les apparences et malgré les tromperies que vous avez vécues.
C’est une résolution, il n’y a même pas à pardonner, mais bien plutôt à remercier et à rendre grâce, parce que vous êtes aussi le méchant garçon qui vous a enfermé. C’est cela qui se déroule sur Terre, quels que soient l’évènement. Le retour au Réel est simplement se souvenir que vous êtes antérieurs à tout scénario, à toute personne, à toute forme, à tout amour, à toute conscience.
Elisa : Il nous reste cinq minutes.
Et nous y allons tous, quoi que nous pensions, à ce retour en nous-mêmes, là où il n’y a personne, ni commandeur des anciens, ni seigneur du karma, ni même les Hayot Ha Kodesh, et encore moins les dieux de l’ancien, les dieux anciens reptiliens, Moloch, Satan, Baphomet, tout ça c’est du cinéma, morbide, mais c’est du cinéma.
Le temps est à l’Autonomie, à la Liberté et à la Vérité du rêve. Et tout vous y conduit à marche forcée, et même l’événement de votre vie, de votre corps qui vous semblerait à l’opposé de cela, en vérité vous y conduit, tout simplement.
J’ai parlé longtemps là.
Elisa : Là, vous avez encore trois minutes.
Oh la ! Qui veut dire un mot de conclusion à ma place ? Vous êtes toujours là ?
Sœur : Oui.
Voir les choses en face, ce n’est pas mettre la tête dans le trou pour ne rien voir. C’est oser voir les choses telles qu’elles sont, sans les interpréter, sans les projeter, sans les relier à quoi que ce soit du passé ou futur. C’est la liberté de l’instant présent, ‘’Hic et Nunc’’ disait l’archange Anaël.
‘’Vous n’êtes pas ce corps’’, disait Nisargadatta. Il a fallu presque quarante ans d’effusion de l’esprit saint et de descente de la Lumière pour casser le scénario du mythe de la création.
Elisa : Combien de temps ?
Il a fallu presque 40 ans, depuis 1984, mais c’est quelque chose qui a été préparé dès l’instant initial. Il a fallu suivre, je dirais, le fil de l’histoire pour comprendre et vivre qu’il n’y avait pas d’histoire. Nous l’avons fait avec vous, aussi bien les anciens, que les étoiles, que les archanges, que les petits diables, les diablotins. Tout ça est une vaste farce cosmique, c’est une farce, C’est vraiment une farce, il faut le vivre et vous le vivez. Allez, je crois qu’on va me couper le sifflet, la parole
Elisa : Oui.
Je vous transmets tout mon amour, toutes mes bénédictions, et j’essaierai de revenir le dernier jour et peut-être après Abba, au dernier jour où vous êtes présents ici, pour un petit mot de la fin de ces trois semaines différentes de vacances. D’accord ?
Je vous transmets toutes mes bénédictions et tout mon amour,
(Les gens dans la salle, en cœur)
Merci.
À bientôt.
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