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SATSANG 2 (1ère Partie)
Vacances (21 au 27 Juillet 2021)
Animation par : Elisa Bernal

22 Juillet 2021

Le temps que ça démarre …

(À Elisa)

En fait, tu ne traduis pas ce matin ?

Donc voilà, nous sommes au deuxième Satsang du 22, deuxième Satsang de la semaine de vacances du 22 Juillet 2021.

Nous sommes ensemble pour répondre aux questions, échanger. Alors, que vous en ayez en direct, dans la salle, ou toi sur ton chat, Elisa, c’est toujours le principe : on échange.

Le jeu des questions permet de traverser les questions et les réponses.

Alors qui veut parler ?

…Silence…

Toujours le même temps de silence avant de commencer.

(À une Sœur qui prend la parole et qu’on n’entend pas bien)

Alors parle plus fort, pour eux et pour moi.

Sœur : Petite question par rapport à la notion dont on a parlé hier, la tranquillité. Est-ce qu’on peut acquérir cette tranquillité dans l’action ?

Tu ne peux rien acquérir.

Sœur : Ah, voilà …

Non, mais déjà le langage que tu emploies montre la distance que tu mets. Tu es la tranquillité – et tu es la tranquillité.

Mais si tu te parles, les mots traduisent ton état de conscience. Quand tu mets : est-ce que tu peux chercher ou vivre cette tranquillité, spontanément, pas les mots seulement, mais ton cerveau, ta conscience mettent une distance. C’est pour ça qu’on a toujours dit que la recherche devait cesser, parce que tu ne peux pas être en émanation de la conscience d’interrogations, de questionnements ou par rapport à la tranquillité. Oui, tu peux être totalement tranquille en étant hyperactif dans ce monde.

C’est le moment où tu trouves le Cœur du cœur, c’est-à-dire le centre de toi-même et toute l’agitation du personnage ne te perturbe plus. C’est-à-dire que, comme disait Bidi, le point de vue a profondément changé. Tu ne regardes plus depuis l’acteur, tu commences à être l’observateur, ce que j’appelais ‘’tu vois ton singe, ton perroquet’’, ton mental, ton personnage, qui s’excitent, mais tu sais que tu n’es pas ça. Mais dès que tu mets la volonté ou le questionnement pour acquérir cette tranquillité, déjà tu t’éloignes de la tranquillité.

Sœur : Mmm, Mmm.

Et ça malheureusement on n’y peut rien, c’est comme ça. Tout phénomène qui vous fait basculer dans une attente ou dans un questionnement, ou dans une mémoire, vous ampute carrément de la possibilité d’accéder à l’instant présent. Ça fonctionne toujours comme ça, toujours. Il n’y a pas d’autre alternative. Encore une fois, ce n’est pas une croyance ! Vous affirmez la paix même si vous n’êtes pas en paix. ‘’Je suis la Paix’’, ce n’est pas une attention, ce n’est pas une demande, c’est une affirmation qui n’est pas vraie dans l’instant, peut-être, mais qui vous rapproche de l’instant.

Donc évitez, même dans la façon de parler tous les jours, gardez le ‘’demain’’ pour prendre un billet de train – alors demain je dois prendre mon train à telle heure -, ça, ça concerne la vie dans le rêve, mais par rapport à cet aspect fondamental, il ne faut pas se poser de question. Il faut accepter que ce que ne vous ne vivez pas est déjà là, parce que là vous mettez fin à la distance, là vous mettez fin à la séparation, et là vous favorisez l’émergence du Silence et de la Paix.

Mais tant vous cherchez la paix et la tranquillité, vous ne l’aurez pas, parce que c’est le mécanisme de la conscience, qui est un mécanisme projectif au sens psychologique. La conscience est une maladie. Bidi l’appelle d’ailleurs ‘’la pernicieuse’’, celle qui vous fait croire qu’il y a des niveaux, des étapes, des dimensions, et à un moment donné, quand vous vous trouvez vous-même dans le Je éternel, vous voyez le jeu de la conscience, pas seulement du mental et du personnage, vous voyez le mensonge de la spiritualité, de la conscience et de tout ce qui passe.

Et là, c’est une Paix que rien de ce monde ne peut vous offrir.

Comme quand je parlais tout à l’heure de l’extase. L’extase manifestée n’a rien à voir avec l’intase, l’extase, c’est quelque chose qui apparaît en projection dans le monde, même quand vous êtes dans le Soi, vous êtes entourés de lumière blanche autour de la tête, vous avez l’impression d’être un Saint, d’être dans la béatitude. Même ça, c’est une illusion.

Et Nisargadatta l’a parfaitement expliqué à la fin de sa vie que, effectivement, il semblait que le Soi au sens spirituel semblait être une étape préalable. C’est vrai pour beaucoup de gens encore aujourd’hui, mais même ce Soi doit être abandonné, c’est une illusion. Et il l’a parfaitement décrit à la fin de sa vie dans ses derniers Satsangs, dans ses derniers entretiens, et il l’a exprimé clairement.

Même Maharshi à la fin de sa vie a dit la même chose. Cherchez le Soi, mais même le Soi aujourd’hui, en particulier depuis que le temps zéro et Agapè sont accessibles comme ça dans l’Éther, l’information du Temps Zéro, vous ne devez pas vous accrocher au Soi. Alors bien sûr qu’il y a eu des étapes, entre guillemets, intermédiaires, les montées vibratoires, les expansions de la conscience, mais la Vérité est l’extinction de la conscience.

C’est là où vous voyez clair, c’est là où vous êtes dans la clarté totale de l’Être comme du Non-Être. Ce personnage continue sa vie, bien sûr avec ses problèmes, mais de plus en plus vous êtes libres de ce personnage. C’est-à-dire que la scène de théâtre se joue d’elle-même, et quand elle se joue, entre guillemets, directement par l’Intelligence de la Lumière, c’est une facilité qui ne peut pas être comparée, même si vous êtes obligés de lutter par rapport à quelque chose de la scène de théâtre.

Vous êtes de plus en plus, réellement et concrètement, relâchés par rapport à vous-mêmes, relâchés par rapport à toutes ces notions de conscience, de vibration, de spiritualité, et vous éprouvez ce qu’on appelle cette Liberté, qui n’est ni intérieure ni extérieure, qui est en fait la liberté de tous mécanismes mémoriels, mais aussi la liberté de tous mécanismes projectifs par rapport à quoi que ce soit, même si on est dans un scénario collectif maintenant qui va de plus en plus impliquer, qu’on le veuille ou pas, le personnage par rapport même à l’illusion du choix.

Regardez en France, on vous dit ‘’je n’ai pas le choix, il faut que je me fasse vacciner parce que je n’ai pas le choix’’, mais ce n’est pas vrai ! Qu’est-ce que vous préférez ? Qu’est-ce que, et à travers ce que certains aujourd’hui (Bon moi j’ai dépassé ça, je suis à la retraite), mais certains d’entre vous qui ont des activités professionnelles quelles qu’elles soient, si vous êtes confrontés à cela, ce n’est que pour vous faire comprendre que vous n’avez pas le choix, mais pas de ne pas avoir le choix de prendre la dose, non, mais que vous devez décider de votre autonomie.

Peu importe. L’autonomie ne se préoccupe pas de ce qui va se passer demain ! Et si vous dites ‘’ah oui, mais je ne vais pas pouvoir payer mon loyer, je ne vais pas pouvoir payer mon crédit, je ne vais pas pouvoir faire ceci’’, ça veut dire que, quelque part vous êtes encore impliqués dans la matrice, et impliqués dans le rêve. Et c’est justement de voir ça qui va vous montrer où est la Vérité.

La Liberté ne peut pas se compromettre avec quoi que ce soit. C’est de cette Liberté-là dont je parle, ce n’est pas une liberté de se déplacer, une liberté de travailler, c’est une liberté qui n’est même pas intérieure, c’est la Liberté au sens où Krishnamurti l’entendait : Se libérer du connu, c’est ça.

C’est la seule façon aujourd’hui, pour ceux qui rentrent dans le cauchemar parce que la société le leur impose, de se libérer, entre guillemets, sans décider des dernières attaches, des derniers conditionnements, des dernières croyances et des derniers attachements réels à la matrice, c’est-à- dire au monde de la forme. Et il n’y a pas de meilleure circonstance qu’aujourd’hui, et il n’y a pas de meilleure circonstance que le chaos total, de votre personnage, de la société, pour le vivre.

À ce moment-là bien sûr apparaît la Joie, la Paix, mais aussi quelque part, un ras-le-bol ou un dégoût, comme disait OMA, de ce cauchemar, mais parce qu’on sait que c’est un cauchemar. Il n’est pas réel, mais néanmoins c’est quand même un cauchemar qui affecte le personnage, qui affecte l’observateur même, mais qui ne peut pas affecter ce que tu Es. Et c’est comme ça que tu découvres, et beaucoup, qui vont découvrir réellement qui ils sont.

Comme j’ai dit, peu importe que ce soit la dose, que ce soit Nibiru, que ce soit un cancer, la Vérité est au-delà de tout ça, de toute histoire, et chacun en fonction de ce qu’il a écrit, en fonction de ce qu’il a à vivre, va traverser, non plus ses zones d’ombres ou ses zones d’habitudes comme je disais, mais va traverser, à travers ce qu’il a écrit, même si c’est terrifiant, ce qu’il Est. Tout est parfait.

Mais ça, vous ne pouvez le dire et l’accepter que quand vous voyez cette scène de théâtre, quand vous voyez les mondes effectivement comme disait Nisargadatta, comme quelque chose qui est apparu, qui disparaîtra, et qui fait que vous, le Je absolu, le Je éternel, vous constatez à ce moment-là que vous êtes antérieurs à la conscience et que vous êtes antérieurs à tout ce qui est manifesté.

Vous le vivez réellement, et ça on le voit très bien par rapport à la souffrance de frères et sœurs qui étaient réveillés à leur Nature fondamentale, et qui ont traversé des maladies, la mort, ces derniers temps.

La phrase fondamentale, c’est : ‘’Ce à quoi vous tenez vous tient’’.Et quand vous êtes … ou quand vous ne tenez plus à rien, alors à ce moment-là la Grâce comble, à tous les niveaux.

Et même s’il vous arrive, entre guillemets, un malheur au niveau du personnage, vous êtes encore plus comblés de Grâce. Il ne peut plus y avoir de reproches, il ne peut plus y avoir de ressentiments par rapport à quoi que ce soit. C’est un état d’Évidence, mais qui ne peut pas être logiquement expliqué ou qui ne correspond pas non plus à une raison ou une causalité, puisque c’est au-delà de toute cause.

Alors Bidi disait en 2012, c’est un changement de point de vue, vous regardez toujours la même chose, mais d’un autre point de vue. D’abord l’observateur, le témoin, celui qui a réfuté l’illusion de ce qui passe, et puis après vous constatez que vous n’êtes pas plus l’observateur et le témoin que vous n’êtes ce Je éternel qui a toujours été là.

Le problème, c’est que c’est quelque chose qui est aujourd’hui tellement évident, tellement simple que notre personnage, notre histoire, notre vécu, surtout sur la scène de théâtre, nous empêchent d’accepter cette simplicité. C’est indépendant de notre volonté parce que c’est tellement complexe à tous les niveaux que, on ne peut pas, logiquement d’ailleurs, accepter que ce soit si simple.

Et au moment où vous n’y pouvez plus rien, que ce soit par la mort, par la dose, par Nibiru, à ce moment-là vous découvrez la Vérité, vous découvrez le pot-aux-roses comme on dit. Et là, comme disait OMA, vous ne pouvez que rire. C’est un grand éclat de rire cosmique, c’est une farce dramatique cosmique. Mais rappelez-vous aussi qu’il nous a dit que tout ce qui n’avait pas été vu doit être vu. Pour l’instant on est en train de traverser le mensonge planétaire, mais on n’a pas vu encore la totalité du mensonge cosmique.

Et le mensonge cosmique, ce n’est pas seulement les archontes qui nous ont enfermés, mais c’est aussi le mensonge des mères généticiennes, c’est le mensonge de la création dans sa totalité, quelle que soit sa beauté. C’est justement ceux qui vivent la Présence qui vous disent : ‘’C’est magnifique’’. C’est l’expérience de Krishnamurti, de son réveil quand il a perdu son frère, qu’il regardait la nature et qu’il a vu que tout ça était relié et baignait dans l’amour. Oui, mais le problème, c’est que nous sommes antérieurs à l’Amour, nous sommes antérieurs à la Lumière, nous sommes antérieurs à la Conscience, c’est l’Unique Vérité, il n’y en a pas d’autres.

Alors, Anaël parlait de Vérité Absolue et de vérité relative. Et quand vous le vivez, vous ne pouvez que dire bien évidemment OUI, vous ne pouvez que RE Connaître, sans vous punir, sans juger qui que ce soit, parce qu’à ce moment-là, vous voyez clairement que toute la création est en train de vivre cela. Alors ça paraît tellement gros, tellement énorme, mais en fait c’est tellement simple. C’est exactement l’inverse de ce que peut croire le personnage, c’est exactement l’inverse de ce que nous raconte l’histoire de l’âme, l’histoire des mémoires, mais les mémoires, comme disait Bernard de Montréal, c’est le monde de la mort, c’est faux. C’est ça le mensonge cosmique.

Elisa : C’est cette partie-là qui est la plus difficile à accepter.

Oui. Tout à fait.

Elisa : Parce qu’en fait quand tu le racontes, ça paraît tout doux, mais quand tu t’arrêtes à regarder ce que tu viens de dire, c’est fort, non, que vraiment tout, tout ce qu’on nous a raconté, tout ce qu’on a même perçu …

Bien sûr.

Elisa : Ça faisait partie de …

Ça ne veut pas dire que c’était faux.

Elisa : … Non, mais ça faisait partie de l’illusion quoi.

Tout à fait. Mais l’illusion est bien réelle pour celui qui la vit aussi, donc il n’est pas question de rejeter cela, mais de – c’est pour ça qu’on a employé ce terme – de ‘’traverser cela’’, et je dis, comme a pu le dire Nisargadatta de son vivant, peu importe que vous acceptiez cela ou pas, comme disait Nisargadatta de son vivant : ‘’Mes paroles ne peuvent pas échouer !’’ Alors bien sûr, ceux qui assistaient à ses paroles à ce moment-là, ils disaient : ‘’Mais de quoi parle-t-il ?’’ Parce qu’il savait pertinemment ce qui allait se passer, même sans jamais l’avoir évoqué, parce que lui maintenait tout dans l’Instant Présent.

Et tous les gens qui l’ont approché sentaient cette vacuité et en même temps cette puissance qui étaient là, qui étaient absolument phénoménales, où le Silence était encore plus enseignant que les questions-réponses. Il disait – Bernard de Montréal a dit exactement la même chose – : ‘’Ne vous fiez pas à la compréhension intellectuelle de ce que je vous dis, même si, et surtout si ça vous semble incompréhensible’’. Et c’était incompréhensible à l’époque.

Mais c’est ce qui vous aide à traverser. Parce que pendant que vous mettez l’attention sur les mots qui sortent, il y a quelque chose qui est touché en vous à l’insu de votre plein gré, à l’insu de votre conscient, et c’est le Réel qui est touché. Même si vous dites : c’est faux, ça n’a aucune espèce d’importance.

Comme j’ai dit et comme l’a dit OMA, vous n’avez pas à nous croire, si vous êtes là, même si vous êtes en opposition, même si vous ne le vivez pas, vous êtes touchés de toute façon. C’est imparable.

Elisa : Et en même temps, c’est tellement facile de rentrer dans le jeu et de s’identifier au jeu. Parce que ce jeu est tellement réel. (Rire)

Mais ce n’est pas le Réel. (Rire)

Le seul Réel est l’Absolu.

Le seul Réel est cet Amour infini que nous sommes, antérieurs à la lumière, antérieurs à la manifestation, et antérieurs à tout monde. Et ça, paradoxalement, ça t’inscrit dans l’acteur, le personnage, tu ne rejettes pas le personnage, simplement tu ne peux qu’observer, même dans l’emplacement du Soi, de l’Observateur, que ce personnage s’éthérise petit à petit, il ne disparaît pas du monde, mais il devient plus résilient, plus souple, quel que soit l’âge et quels que soient les problèmes, et qu’il est plus apte à traverser tout ce qui est en train de se passer, même si ça dérange.

Parce qu’effectivement le fait d’être limité dans les déplacements, le fait de ne pas pouvoir aller où tu veux à l’extérieur, d’un côté ça dérange le personnage, mais de l’autre côté ça favorise l’émergence du Réel. Et les archontes, les méchants garçons comme les nommaient Omraam Mickaël Aïvanhov, ont un rôle mais incroyable, incroyable. Le diable c’est un personnage de pacotille, mais qui a un rôle incroyable. Donc c’est pour ça que l’on ne peut pas juger la souffrance, le bien, le mal, ça fait encore tout à fait partie de la scène de théâtre.

Ça ne veut pas dire que le bien et le mal n’existent pas, ça ne veut pas dire que les entités comme tu dis n’existent pas, et que ce monde est tellement prenant et que la création est tellement prenante dans sa totalité. Il y a tellement de niveaux, il y a tellement de niveaux horaires, il y a tellement de dimensions, il y a tellement de formes apparemment individualisées, il ya tellement de séparation dans les mondes enfermés, il y a tellement d’unité dans les mondes unifiés, que même tout cela, ce n’est rien, ce n’est rien du tout.

Mais nous sommes, comme disait Bernard de Montréal, nous humains incarnés aujourd’hui, dans le Cœur de la manifestation du Réel. L’homme n’a pas, comme disait une phrase que j’ai vue ce matin, l’homme n’a pas à obéir à l’esprit, c’est l’esprit qui doit lui obéir à l’homme. C’est exactement l’inverse, inverser les choses. Nous sommes à la fois le rien, et parce que nous sommes le rien, nous avons toute puissance. C’est bien plus que de la co création consciente comme ça avait été expliqué il y a quatre ans, c’est la réalisation à travers nous, humains incarnés, du serment et de la promesse dont parlait la Source.

Et l’émergence du Réel se traduit bien évidemment par le chaos, j’ai parlé de l’inversion, le corona circus, c’est le couronnement de la bêtise, et les phénomènes vibratoires du Réel, c’est le couronnement de la Vérité. C’est les deux versants de la même pièce et c’est indissociable. Donc, à partir de là, que voulez-vous qu’il reste du bien et du mal ? Oui il reste du mal, quand je souffre, j’ai mal. Je ne suis pas dupe à ce point là.

Mais à un niveau, rappelez vous ce que je disais sur les gens qui partent par cancer, par maladie, la souffrance ne peut plus les affecter. C’est-à-dire qu’à ce moment-là, vous baignez littéralement sur un plan physiologique dans le corps dans un bain d’ocytocine et de dopamine, qui est spécifique de la fin de vie. Vous n’êtes plus attachés à ce corps qui est en train de partir, vous n’êtes même plus attachés à une histoire quelle qu’elle soit, vous êtes immergés en totalité dans l’Amour et, comme ces gens n’ont plus de rôle sur la scène de théâtre parce qu’ils sont dans leur lit en train de mourir, ils vivent la Liberté.

C’est exactement ce qu’a écrit Christiane Singer, c’est exactement ce qu’ont vécu nos amis qui sont partis là.

Oui.

Sœur : Les personnes qui partent maintenant, qui étaient dans l’Absolu déjà après avoir vécu cet Absolu, elles sont là-bas déjà ? Ou elles sont encore…

Non, elles sont dans le paradis blanc.

Sœur : Elles sont dans le paradis blanc, elles attendent.

Elles sont placées dans le paradis blanc parce que tout le monde doit vivre le temps zéro. Nous, on est dans un corps physique, c’est le meilleur emplacement de la scène de spectacle, même si on trouve ça terrible, mais même les autres dimensions ou les désincarnés de la Terre restent dans ce paradis blanc.

Certains pour des raisons précises se sont réincarnés dans un corps de chair, parce qu’ils doivent spiritualiser la matière à tous les niveaux, pas seulement leur corps. La véritable, comme on l’a nommé ascension à l’époque, c’est la spiritualisation de la matière, c’est-à-dire la transformation d’un corps carboné, qui est le niveau le plus dense, en un corps de silice qui est le corps d’éternité, mais aussi la transformation de cette silice en rien.

Voilà pourquoi tout le monde doit repasser, soit au moment de la mort, soit au moment collectif par le fameux paradis blanc. Je vous renvoie à la chanson de Michel Berger qui a tout expliqué à l’époque dans le clip vidéo originel. Le mystère de la création, qui n’est rien d’autre qu’un mensonge cosmique, total, et c’est à ce moment là qu’on est libre, parce qu’on n’est plus tributaire d’aucun rêve, d’aucun futur, ni d’aucun passé.

Elisa : Mais le paradis blanc ce n’est pas notre demeure en fait, c’est la …

C’est l’Ultime Demeure, c’est Shantinilaya, c’est la Demeure de Paix Suprême, c’est le moment où, quelles que soient tes oppositions en tant qu’être humain qui croit être une âme, une histoire, qui doit aller dans la sixième race racine ou dans je ne sais pas quelle forme, ou dans je ne sais pas quelle dimension, va se rendre compte que ça ne sert strictement à rien.

Parce que quand tu es dans le paradis blanc, et bien, tu n’as plus vraiment envie de revenir dans une forme. Et quand tu disparais dans ce qui est juste derrière, là c’est encore mieux, parce que tu sais que tu es chez toi. Tu ne te poses plus de question, certains l’ont vécu d’autres ont vécu seulement le paradis blanc, mais peu importe, l’un comme l’autre te donne accès à cette Vérité Absolue, l’Ultime Vérité ou la première Vérité, vous l’appelez comme vous voulez.

Elisa : Donc en fait on n’a rien à craindre.

Non, rien du tout. C’est le mental qui te met dans la crainte. C’est la peur de l’inconnu de ce qui n’est pas encore vécu qui te met dans la crainte.

La crainte, c’est ce que l’on appelle dans les comportements primaires de l’être humain … vous avez seulement trois comportements primaires, ça c’est démontré en neurosciences du comportement, c’est démontré dans la chimie du cerveau. Il y a trois comportements primaires, et on est tous sous l’influence de ces trois comportements primaires avec une alchimie particulière, qui va donner en tout, neuf fois trois, soit vingt-sept sous personnalités, avec vingt-trois types de comportements, et qui vont se résumer en fait en quatre vingt un comportements possibles.

C’est la science du comportement, vous avez au départ trois neuromédiateurs principaux qui sont responsables des trois comportements primaires, qui ne sont pas des émotions. C’est ce qu’on appelle d’abord la dopamine, la mine qui dope, la recherche de nouveauté. Vous avez ensuite la noradrénaline, c’est ce que l’on appelle le besoin de récompense, c’est lié au fait que nous soyons des mammifères. Nous sommes des êtres de relation, et nous pouvons avoir, soit une recherche que l’on appelle une sociotropie, l’aspect relationnel, l’aspect émotionnel aussi.

Et vous avez un troisième neuromédiateur qui sécrète toutes les peurs. C’est ce que l’on appelle l’attitude face à l’épreuve ou l’évitement de la souffrance, qui est lié à la sérotonine. Et toute la vie est un mélange au niveau comportemental de ces trois neuromédiateurs et trois comportements primaires, ces trois comportements primaires étant réellement la base de la personnalité, de la construction de la personnalité.

Et quand vous touchez le paradis blanc, à ce moment là, votre cerveau est inondé de dopamine, à ce moment là vous êtes dans la recherche de nouveauté, la nouveauté est vécue et, il y a le dernier stade, c’est quand tout ça est stabilisé, et tout ça est remplacé par l’ocytocine, c’est ce qui se passe quand vous prenez quelqu’un dans vos bras, qui est lié bien sûr à l’empathie et au charisme, mais qui est bien au-delà parce que, quand la dopamine inonde votre cerveau, vous ne savez plus ce que c’est que la peur, vous ne savez plus ce que c’est que le mal.

Tant qu’on est conditionné par la personne, on est soumis au jugement du bien et du mal, à l’insu de notre conscient, parce que tout est référencé par rapport au passé. Donc, on est soumis au passé, qu’on le veuille ou non, que ce soit de cette enfance, du pseudo karma, de l’éducation, du conditionnement au sens large. Et à partir d’un moment donné, quand il y a une inversion du rapport entre la dopamine et la sérotonine, ce que l’on a appelé les étoiles Bien et Mal, à ce moment là, vous n’êtes plus dupes du jugement, ce n’est pas vous qui décidez de ne plus juger, c’est que vous ne pouvez plus juger.

Tant que vous vous mettez la contrainte de ne plus vouloir juger – quand les gens disent : ‘’Évidemment, il ne faut pas juger’’, mais ils sont eux-mêmes dans le jugement, je ne me pose jamais la question d’un jugement, j’appelle un chat, un chat, j’appelle un diable, un diable. Ce n’est pas un jugement, c’est un constat, et chez tous les mystiques qui ont vécu des expériences réelles, des NDE complètes, des états mystiques de bilocation ou d’extase, à ce moment-là, vous êtes inondés de dopamine, c’est-à-dire que le circuit qui est lié au bien prend le pas sur le circuit du mal.

Et à ce moment-là, vous fusionnez les deux opposés, le Ying et le Yang de la manifestation, et vous aboutissez à ce que les chinois appellent le moyeu de la roue, le Tao. Et à ce moment-là, vous n’êtes plus la roue qui tourne, vous êtes par contre le moyeu de la roue qui permet le mouvement, mais qui ne bouge pas. Tout ça est très cohérent, on le retrouve aussi bien dans kabbale que dans l’arbre des sephirot, que dans tous les enseignements.

Simplement avant, ça ne pouvait être que des concepts. Aujourd’hui, c’est un vécu réel et concret, et qui met fin, comme disait Bidi, à toutes les connaissances. Quand vous vivez ce que vous Êtes, vous n’avez plus besoin d’aucune connaissance. Et pourtant je me sers des connaissances, mais je m’en sers, comme j’ai dit, pour voir ce qui se passe, comprendre ce qui se passe, mais tout en n’ayant aucune intention là-dedans. C’est juste, c’est ma façon de m’occuper sur la scène du rêve.

Or je pourrais m’occuper de mon potager, je pourrais m’occuper d’une passion quelle qu’elle soit, conduire une voiture, aller dans la nature. Simplement je suis les lignes d’évidence, mais ça n’a plus aucun impact, ni aucune interaction sur moi. De toute façon s’il y avait une interaction, entre guillemets, gênante, la conscience se manifesterait à ce moment-là et, à ce moment-là, je laisserais les choses se modifier d’elles-mêmes, ou parfois avec des coups de bâton. C’est comme quand je vous expliquais l’histoire avec Bidi, où il m’a expliqué que je n’avais plus besoin de sortir, d’aller voir quoi que ce soit. Mais encore faut-il, et encore a-t-il fallu, que je le vive pour le comprendre !

Rappelez vous cette grande phrase : ‘’La compréhension vient du vécu’’. Elle ne peut venir d’aucune connaissance, d’aucune mémoire et d’aucun référentiel. Ce qui ne vous prive absolument pas de votre référentiel pour soigner, pour conduire une voiture ou faire quoi que ce soit dans ce monde.

Oui.

Sœur : Moi, moi ce qui m’a beaucoup aidée, c’est que, j’ai vécu pleins de choses évidemment en tant que personnage, et quand je vivais les choses, je me disais wow, il se passe ça, et j’avais toujours l’information après.

Oui.

Sœur : Par tes Satsangs, par Oma, par Bidi, et je me disais, bah voilà, c’est juste.

C’est le même principe si tu veux, que toute l’analyse du temps d’AD et avant, que j’ai menée et que d’autres ont menée, bien évidemment, par exemple quand a commencé à apparaître le chant de l’âme en 84-85, je te garantis qu’au début, je croyais que j’étais envoûté, possédé, parce que personne ne savait ce que c’était, et après les explications viennent.

Mais aujourd’hui elles viennent très vite, il y a pas besoin d’attendre des années. Ça dépend de ton positionnement de conscience, plus tu es prêt à lâcher que tu ne comprends rien, plus tu vas comprendre. C’est un apprentissage aussi du non mental, c’est un apprentissage de la véritable intelligence qui n’a pas besoin de passer par la raison, par la mémoire ou par la compréhension. Le vécu devient la compréhension. Et dès que vous en faites l’expérience, vous en êtes absolument convaincus.

Les solutions vont venir à vous, ce n’est pas vous qui cherchez les solutions. C’est pareil que pour l’Intelligence de la Lumière. Et c’est magique parce que c’est quelque chose qui se renouvelle tous les jours, après, à tous les niveaux. Dès que tu lâches, ça t’est donné. Dès que tu crois que tu peux contrôler, maîtriser, diriger, ça t’échappe.

Bien évidemment, si on l’a appelé l’état de Grâce, oui, parce que c’est une Grâce totale. Il n’y a pas de plus belle Grâce que celle-ci. Et c’est un phénomène quotidien. Si dans votre vie ça vous semble compliqué, à quelque niveau que ce soit, vous ne pouvez accuser personne. Il n’y a pas d’agresseur, il n’y a pas de bourreau, c’est vous qui êtes votre propre bourreau.

Et la Vie vous envoie le bourreau extérieur qui correspond à votre état intérieur, jusqu’à temps que vous lâchiez. Ça avait été expliqué aussi dans le mode de fonctionnement de la conscience et du néocortex, par Dominique Aubier, puisqu’il y a des boucles de rétroaction dans le cerveau que l’on appelle la loi du passe et du repasse, il y a des cycles cellulaires biologiques mémorisés, de Marc Fréchet, il ya ce que l’on appelle le décodage biologique, qui ne sont que des mémoires, etc…

La Vie vous propose et vous ressert les mêmes événements, sous différent aspects, jusqu’à temps que vous lâchiez. Ce n’est pas une punition, c’est un apprentissage. Et plus vous acceptez que c’est un apprentissage et qu’il n’y a personne à punir, il n’y a aucune mémoire qui est responsable, plus vous découvrez la Vie, c’est-à-dire ce qu’on a dit, que vous n’êtes pas votre vie, mais vous êtes la Vie, même au sein du rêve.

Tu as des questions ou pas ?

Elisa : Oui j’ai des questions, je voulais les laisser pour la fin. Parce qu’ils parlent plutôt du personnage.

Ah !

Elisa : Je ne sais pas si tu veux déjà les aborder, on me demande beaucoup, sur plusieurs questions, comment fonctionne l’octaèdre sur le corps. Est-ce que tu veux…?

Alors là, je ne vais pas pouvoir rentrer dans les détails complexes, les calculs, parce que j’ai dit simplement ce que j’ai retrouvé d’ailleurs sur un site allemand, c’est que l’octaèdre, la forme octaédrique, la composition chimique de l’octaèdre de magnétite, crée exactement le même champ électromagnétique que celui qui est émis par le double tore du cœur.

Donc, il va créer la Résonance Agapè. Il va neutraliser, bien évidemment, toutes les particules magnétiques et oxydées du corps, dont l’oxyde de graphène, et il va vous rapprocher de votre cœur. D’ailleurs, tous ceux qui en ont, vous sentez bien des fois ça peut être difficile, lourd à porter, mais après, beaucoup m’ont déjà signalé, qu’au bout de 24/48 heures pour ceux qui les ont eus récemment, il y a quelque chose qui se produit. Ce qui se produit est directement relié au Double Tore du Cœur, parce que le champ électromagnétique généré par un octaèdre de magnétite, ça n’agit pas comme un cristal.

Ça agit comme un champ électromagnétique très précis, très organisé, qui n’a rien à voir avec ce qu’on appelle le champ morphogénésique, c’est-à-dire le champ énergétique – on ne peut pas parler de corps éthérique pour un cristal -, mais l’information cristal dans l’octaèdre de magnétite, qui est un cristal, est complètement transformée par cette forme-là. Et ça donne la résonance totale et l’image complète de ce qu’on appelle le Double Tore du Cœur, dont a parfaitement parlé Nassim Haramein.

On a trois champs électromagnétiques. On a le champ du plexus solaire, on a le champ du cœur et on a ce qu’on enregistre au niveau des zones cérébrales. Mais le plus puissant, c’est le cœur. Et quand vous rentrez dans cet état, on va dire d’Unité ou de transcendance, c’est à dire dans le Réel, dans le Cœur du Cœur, le Double Tore du Cœur apparaît.

C’est-à-dire qu’il n’y a plus seulement la Couronne Ascensionnelle du Cœur, comme on l’avait nommée, ou la Couronne Radiante du Cœur, qui n’est pas la couronne du circus, c’est le même mot ce n’est pas par hasard, là vous rentrez dans l’émanation et réabsorption des mondes et des univers, parce que vous avez ce fameux Double Tore, ce sont deux mouvements qui tournent en opposition de phase et qui recréent en permanence l’Instant Zéro et le Temps Zéro.

L’octaèdre de magnétite, j’en avais au cabinet quand j’étais médecin tout au début où j’exerçais. Je ne m’en suis jamais servi. Je me demandais à quoi ça pouvait servir cette pierre avec du fer. Et j’avais des octaèdres de magnétite à mon cabinet pendant vingt-cinq ans, je les regardais, je ne comprenais pas à quoi ça servait. Et c’est là quand il y a eu l’histoire, je me suis aperçu que, comme les éveillés collaient de partout, j’ai pensé à l’octaèdre.

Je n’ai pas pensé, la pensée est venue de l’octaèdre de magnétite. J’ai retrouvé le calcul du champ électromagnétique, dans le site allemand, de ce que fait l’octaèdre de magnétite, et c’est là que je me suis aperçu que ça supprimait tout le graphène, en particulier au niveau du corps. Et que ça te permettait en plus, même si c’est quelqu’un qui n’est pas affecté par le graphène, qui ne vient pas seulement de la dose, mais qui est dans l’air, les chemtrails, dans les aliments, dans l’eau, partout, que là, ça avait cette action-là. Et qu’en plus, ça installait le Double Tore du Cœur, ça te mettait en Résonance avec Agapè, tout simplement.

Elisa : Donc, on va être, la question ici qu’il pose, on va être protégé de la 5G ou quoi ?

Mais ça, vous n’avez même pas besoin d’octaèdre de magnétite. Omraam Mickaël Aïvanhov l’avait dit pendant les Noces Célestes : ‘’Tous ceux qui ont la note Si, c’est-à-dire, qui ont éveillé même le niveau supérieur, qui n’ont pas vécu le Feu du Cœur, seront protégés par le Son qui est présent dans les oreilles, le Son de l’Âme et le Son de l’Esprit.’’ C’est-à-dire que le son de Nibiru, pas les Trompettes du Ciel et de la Terre, le son réel de Nibiru, va rendre fou les gens parce qu’ils vont être dans une résistance totale, une opposition totale, dans la folie totale. Ça, c’est réel, j’ai vu ces images-là en 1997.

J’avais d’ailleurs, à l’époque, une amie médium, nous avions participé à un livre commun qui, quand elle a vu ces images, s’est barrée à cette époque-là, alors qu’il ne se passait rien encore en France. Elle a quitté l’Europe, elle a fui l’Europe. Elle est partie en Uruguay, elle y est installée depuis là-bas, parce qu’elle a eu des visions tellement horribles de ce qui allait arriver, qu’elle a fui l’Europe. L’Europe est le lieu de la confrontation. Nous sommes en plein cœur du dénouement, et en France surtout, plus encore qu’en Espagne.

Nous sommes en plein cœur de l’inversion totale de la création qu’on appelle les illuminatis, les méchants garçons, les pédosatanistes, et tout ça. C’est en France que ça se passe. La tête de la bête, elle est en France.

Elisa : Donc, tout le monde pourrait mettre cette chose … on me demande.

Oui, mais à condition de ne pas le mettre pour s’en préserver. S’en préserver, du graphène, oui, c’est le premier effet que l’on a trouvé, comme le glutathion, comme le NAC – l’acétylcystéine, là par une action vibrale qui supprime effectivement, puisqu’on a pu vérifier chez tous ceux qui portaient ce cristal, on ne colle plus. C’est-à-dire qu’on n’est plus intoxiqués par le graphène qu’ils ont mis partout.

Mais encore une fois, si vous le portez en espérant vous préserver, vous faites fausse route. Par contre, si vous le portez uniquement pour le graphène, là c’est une causalité, vous allez vous apercevoir que chez beaucoup de frères et sœurs ça amplifie l’Instant Présent, la capacité à être dans l’Instant Présent, tout simplement parce que c’est l’analogie du Double Tore du Cœur, représenté par ce petit objet.

Elisa : C’était une des questions les plus sollicitées.

D’autres questions dans la salle ?

Elisa : Profitez de demander, parce qu’après vous me demandez moi (Rires) et je préfère que vous lui demandiez, sur les trucs pratiques.

Frère : Est-ce que ça une utilité sur les enfants ?

Les enfants, Pépère l’a toujours dit, vous n’avez rien à craindre pour les enfants jusqu’à douze ans, quatorze ans. Eux, ils vivront ce qui arrive avec un souvenir beaucoup plus proche que nous parce qu’ils n’ont pas encore de corps mental. Ce que je disais aux dernières vacances, c’est que le corps mental, qui théoriquement apparaît à quatorze ans, maintenant avec la structuration de la société et de l’éducation, a commencé à apparaître, malheureusement, beaucoup plus tôt, c’est-à-dire vers dix, douze ans. Mais pour les enfants, ils n’ont pas besoin de protection.

D’abord, on le voit bien, parce que le graphène est totalement détruit du fait de leur métabolisme qui est profondément différent de l’adulte. Et le graphène, je vous rappelle, ce n’est pas seulement dans la dose. Le graphène, c’est partout, c’est beaucoup plus petit. On a pris l’échelle de proportion, l’oxyde de graphène fait 1,2 nanomètre. C’est mille fois plus petit qu’un virus et cent fois plus petit que la protéine de pointe. Il y a en a partout, partout, partout, partout. Quand ça été découvert au début des années 2000, ils ont commencé à oxyder le graphène. En 2013, il y a eu le dépôt des premiers brevets.

C’est utilisé de façon de plus en plus importante partout dans l’alimentation, dans l’industrie. C’est la bête. La bête, on a dit que c’était internet, mais c’est aussi le nom de la bête, c’est le graphène, c’est du carbone. Mais du carbone qui a une structure très spéciale qui est destinée à bloquer la silice. On disait à l’époque que l’on doit passer d’un corps carboné à un corps silicé, dans le corps d’Éternité en tout cas, le passage transitoire par le corps d’Éternité, le Paradis Blanc. Et le graphène, c’est le nom de la bête et le chiffre de la bête, le carbone, carbone 12, il y a six électrons, six neutrons, six protons, six, six, six.

Et on en est à cette dernière contrainte, si je peux dire, qui est absolument partout, mais qui va permettre, là aussi, de nous réveiller. Les nanoparticules sont la bête de l’apocalypse. Le web d’abord, c’est six, six, six, web, web, web. Mais tout ça, c’est le chiffre et le nom de la bête, effectivement, comme disait notre cher Micron : ‘’La bête est là ! La bête de l’évènement est là.’’ C’est la diffusion du graphène. Les chemtrails par exemple, ne sont plus avec des métaux lourds. Ils n’en n’ont plus besoin. C’est uniquement le graphène. Mais encore une fois, il ne faut pas avoir peur du graphène.

Mais néanmoins, effectivement je vous l’ai dit, j’ai constaté que ce graphène se met là où il y a le plus d’énergie, et en particulier chez ceux qui ont libéré l’illusion de leur conscience. Il y a la Couronne Radiante du Cœur, dont j’ai parlé, et ça se met spécifiquement à cet endroit-là. Mais rien, comme a dit Nisargadatta, ça ne pourra pas changer le cours des choses. Ça fait partie de la même scène de théâtre, ce sont les deux versants de la même pièce que j’ai appelés le simulacre et le Sacré, le simulacre ne pouvant qu’imiter, il ne peut rien créer.

Donc, n’ayez pas peur de quoi que ce soit. Affrontez ce que vous avez à affronter. Voyez vos propres peurs. Et quand vous les verrez réellement, soit la peur de l’inconnu, la peur de l’Absolu même, éventuellement, ça disparaîtra de soi-même. C’est simplement ce que vous avez décidé, ce que vous avez écrit. Cette phrase qu’on a répétée des centaines de fois depuis plusieurs mois : ‘’Ce qui doit arriver, arrivera, quoi que vous fassiez. Ce qui ne doit pas arriver, n’arrivera pas, quoi que vous fassiez aussi’’, au niveau collectif.

Et quand vous adoptez ça, vous êtes libres. Vous êtes libres de vos pensées. Vous êtes libres de vos mémoires. Vous vous libérez de la sensation, de la perception, de l’énergie, de la vibration. Ça ne veut pas dire qu’elles ne sont plus là. Bien évidemment que je sens toujours le Feu du Cœur, bien évidemment que je sens toujours les présences qui descendent apparemment dans le Canal Marial quand je canalise. Mais je sais qu’il n’y a personne, réellement et concrètement.

Et ça, c’était la plus grande des libertés que vous pouviez vous offrir parce que vous allez constater que vous allez devenir de plus en plus fluides à tous les niveaux, que tout sera traversé, même si vous regimbez, même si vous n’êtes pas d’accord. Ce n’est pas grave. Ça ne dure pas. Vous êtes libres de votre personnage, mais vous ne brimez pas le personnage puisqu’il sera là de toute façon jusqu’au dernier souffle. Alors, ce n’est pas la peine de s’embêter. Vous n’avez pas à vous opposer à votre mental, vos émotions. Vous avez simplement, je dis et je répète, à traverser ce qui est là.

Et plus vous rentrez dans l’Acceptation, plus vous êtes dans l’Accueil, plus vous vous rapprochez de l’Instant Présent, plus vous vous rapprochez de la Vérité, et plus vous vous rapprochez de cet État de Grâce, de tranquillité, de fainéantise même comme disait Osho, et plus vous avez la certitude que ça ne peut être que cela. Et cette certitude intérieure n’est pas quelque chose que vous décidez. C’est quelque chose qui vous est prouvée et qui est prouvable à chaque minute de votre vie.

Et même si le personnage, pour certaines circonstances, pouvait revenir sans le voir, il sera démasqué très vite par l’Intelligence de la Lumière. C’est-à-dire que quelque part, dès que vous renoncez au rêve de la conscience, à ce moment-là les mémoires ne vous affectent plus. Les notions de karma ne tiennent plus parce que vous voyez clairement que ça correspond à la personne et à l’âme, mais pas à la Vérité. Même l’esprit est faux. Même le corps d’Éternité est faux. Tout ce que vous pouvez percevoir, tout ce que nous pouvons ressentir, n’est pas vrai. Ce n’est pas question de le nier, de dire que ça n’existe pas. Ça existe justement !

C’est-à-dire exister, c’est se tenir en dehors de, exsistere en latin. Ça veut bien dire ce que ça veut dire : nous existons. Donc, nous sommes en-dehors. C’est comme ça que se vit ce qu’on avait nommé à l’époque pour ceux qui connaissent Autres Dimensions, l’État ‘’Ki-Ris-Ti’’, c’est-à-dire, le Fils de l’Homme, le Christ Solaire. C’est ça le retour du Christ, ce n’est pas le retour d’un individu. C’est le retour de la Vérité. Et tout est très exactement à sa place, surtout ce qui ne semble pas à sa place. Et encore une fois, même ce qui se profile à l’horizon, cette fameuse insurrection, révolution, guerre, n’est que l’éclairage de ce qui est faux.

Si vous le considérez comme un éclairage et non pas comme un chaos, vous verrez que le chaos en lui-même est éclairage. Et ça vous donne une intensité dans la vie, pas parce qu’il y a un événement linéaire qui va se produire, je ne sais pas, le mois prochain, dans six mois, peu importe, mais parce que vous êtes encore plus disponibles pour être complètement là. Surtout quand vous savez que l’instant suivant va être, et que vous l’avez vu et vécu, vous savez que vous avez intérêt, dans tous les sens du terme, à profiter de l’Instant Présent. Vous ne cherchez plus à fuir, au contraire, ni dans le passé ni dans le futur.

Vous cherchez à exprimer la quintessence de la Joie, c’est l’aspect des plus simples, tout devient un plaisir. Vous vous extasiez effectivement comme disait Krisnamurti devant une fleur, devant un bon poisson à manger comme on le fera dimanche, parce que c’est vraiment aussi simple que ça.

Frère : Regimber, un mot employé par Thérèse, souvent

Quel mot ?

Frère : Regimber

Ah regimber oui. Et Thérèse l’avait compris, pour ceux qui ont lu “Histoire d’une âme” de Thérèse de Lisieux, elle en parle à merveille, elle avait compris enfant. Bon, il y avait toujours cette adoration de Marie, du Christ, mais c’était un modèle à l’époque. Mais, intimement, elle savait que plus elle acceptait ce qui se passait, parce qu’elle a eu quand-même, bon, malgré sa tuberculose, quand elle est rentrée au Carmel, très jeune, c’était la bonne à tout faire, c’était vraiment celle qui était aux tâches les plus ingrates.

Mais elle acceptait, parce qu’elle savait, sans pouvoir l’exprimer de cette façon-là, mais elle savait quand-même parce qu’elle le vivait, que plus elle acceptait ces espèces de brimades et moins elle regimbait, plus elle était dans sa petite voie qui était la voie de cette certitude qu’elle avait inébranlable. Alors ils disaient épouse du Christ, aujourd’hui on dirait épouse du Soleil, ou épouse du Corps d’Éternité, mais c’est la même chose.

Et puis ça n’empêche pas d’autres Etoiles, par exemple Hildegarde de Bingen, d’avoir eu accès à toutes ces connaissances magnifiques qu’elle nous a transmises, sur les plantes, sur l’organisation du cosmos et tout. Vous voyez, c’étaient deux Etoiles, une qui a vécu la simplicité la plus extrême, et l’autre qui a eu accès à toute la connaissance, quasiment, de l’univers quoi, mais le résultat est le même.

Frère : Je suis allé voir où elle avait vécu

Oui moi aussi, les Buissonnets.

Frère : Non,  non, non, je parlais de Hildegarde là.

Ah, Hildegarde ! Non, ça je ne suis pas allé.

Frère : À Lisieux, j’y suis allé encore allé il n’y a pas longtemps.

Autre Frère : Il n’y a pas une Etoile qui n’est pas encore réveillée ?

Comment ?

Frère : Il n’y a pas une Etoile qui n’est pas encore révélée ?

Réponse d’un frère : Il y en a deux.

Elles ne se révéleront pas, on a eu un problème, à de nombreuses reprises d’ailleurs, quand les Etoiles ont commencé à parler, il y en avait trois qui n’étaient pas connues, et bien sûr, énormément de femmes se sont prises au jeu et se sont crues “C’est moi, c’est moi !”. On est passé par des trucs, mais invraisemblables ! Et une Etoile qui se reconnaîtrait aujourd’hui, surtout elle ne le dirait pas, ce n’est que de l’orgueil spirituel. Il y en a une, une fois, alors c’était encore pire celle-là, il y a eu une seule canalisation, je crois de Mère, et elle m’a écrit en me disant : “Vous n’avez pas le droit d’écrire ça, je suis la réincarnation de Mère ». Ah ! Mais ça allait très loin dans le délire mystique.

Frère : Elle ne racontait que des conneries de toute façon

Oh lala, on a vécu des choses à ce moment-là, où on était…

Frère : C’est-à dire que, elle, elle disait que tout ce que tu racontais était des salades.

Oui bien sûr, bien sûr.

Elisa : Et quelles fonctions elles auraient aujourd’hui ?

Comment ?

Elisa : Quelles fonctions elles auraient aujourd’hui dans le jeu ?

Aucune, même Marie n’a plus à avoir aucune fonction.

Frère : Elles n’ont pas l’Appel alors, on peut encore réentendre cette notion de l’Appel de Marie ?

L’Appel de Marie est une réalité, oui bien sûr, c’est l’appel intérieur. D’ailleurs déjà depuis même avant l’appel collectif, il y en a plein qui se sont entendus dans la nuit dans un semi sommeil appelés par leur prénom, ils ont vécu déjà l’appel de Marie. Mais encore une fois, ce scénario chronologique très précis correspondait à un étalement du temps, et aujourd’hui comme on est dans des temps de plus en plus réduits, tous les événements, et ça je l’ai dit et affirmé depuis longtemps, allaient se produire lors du chaos et du tohu-bohu. Tout va être conjoint.

J’avais dit aussi et Pépère avait dit, et différents intervenant Melchisédech, que quand on crée un niveau de réalité, un niveau dimensionnel, on accompagne ce qu’on créé du début à la fin, en ayant l’oubli de qui on est. C’est indispensable. C’est-à dire quand on crée un nouveau niveau de rêve, il y a une espèce de fil ténu qui nous relie d’abord à l’Absolu, sans ça il n’y a aucune Création puisque la Création vient du néant, de l’Absolu, donc de ce qui est antérieur à la Lumière, qu’on a appelé le tohu-bohu originel, qui n’est rien d’autre que le chaos final.

La plupart d’ailleurs, qui se revendiquaient Etoiles, pour terminer là-dessus, ont fini en psychiatrie. Dès que vous vous croyez quelque chose, vous êtes cuits, même si vous avez été ceci ou cela dans vos vies passées. Dans l’instant présent, il n’y a pas de place pour ça. Dans la Vérité, il n’y a pas de place pour une quelconque histoire, un quelconque rôle, une quelconque fonction. C’est une illusion totale.

Autre chose ?

Elisa : Moi je n’ai rien.

Toi tu as ?

Elisa : Je n’ai rien.

J’ai du mal à entendre parce que ça siffle énormément dans mes oreilles, on approche de la pleine lune je pense.

Frère : Peut-être aujourd’hui, en tout cas en ce moment, il est temps que tout le monde affronte ou traverse ses peurs, peut-être le plus rapidement possible, c’est dans cet instant présent qu’on a vraiment la capacité de se libérer, se rappeler, enfin retourner en tout cas plus facilement à l’Absolu. Dans cet Absolu, la seule peur qui peut traîner c’est tout simplement de vouloir être une forme, d’être quelque chose. Si on accepte de lâcher, en fait tout est ouvert.

C’est ce qu’on disait, c’est ce qui est proposé à tous les gens qui sont en période d’activité professionnelle, en France en tout cas.

Frère : Ou dans le monde.

Ou dans le monde. Qu’est-ce que vous faites ? C’est le grand défi.

Frère : Mais le fait simplement déjà de se libérer soi-même, là, alors rester dans cet Absolu, ça change de tous les instants présents, toute la vie en général, on a tendance à peut-être penser …

Déjà, et même sur la scène de théâtre, est-ce que vous acceptez de vous soumettre, est-ce que vous rentrez en révolution, ou est-ce que vous êtes simplement le rebelle, c’est-à dire celui qui ignore ce monde, en tout cas dans sa composante actuelle, et qui retrouve sa liberté par ce biais-là. Il ne fuit pas le monde, il ne fuit pas la vie, au contraire, il trouve la vie. Mais c’est une apparence de choix et de décision, qui de toute façon, tu le sais, aboutit au même résultat, mais c’est, comme je disais, c’est la façon dont tu vas vivre la fin du rêve.

Frère : (voix de Bidi) Mais qui a peur ?

(Rires)

Soumis ou pas soumis, et soumis à quoi ? Soumis au règne de l’argent, soumis au règne de la finance, soumis au règne de la thérapie pour les médecins, ou soumis à rien. Et si chacun d’entre vous a un âge différent et est dans une situation différente, c’est qu’il y a une raison d’être. Moi je te dis, j’ai de la chance je suis retraité, donc je m’en fous

(Rires)

Frère : Même en activité, voilà, on lance une intention et on se fout de tout le résultat, de tout ce qui va arriver.

Et tu laisses arriver ce qui arrive.

Frère : Oui, ça arrive, ça arrive et puis voilà. Il n’y a pas de jugement sur les conséquences en fait.

Oui, mais à un moment donné, tu seras quand-même face à un choix apparent, qui est un faux choix puisqu’ils bluffent tous de toute façon, mais néanmoins c’est fait pour créer, pour eux en tout cas, ce qu’on appelle de la dissonance cognitive, c’est-à dire de la confusion et de la peur, et quand on en a marre effectivement de la confusion et de la peur, et bien on se trouve, il n’y a pas de prix à payer, c’est une restitution.

Alors bien sûr c’est plus facile quand tu es déjà ,on va dire, en marge de la société pour une raison ou une autre, ou quand tu as encore un rôle à accomplir, que ce soit un rôle de mère – va dire ça à une mère qui a des enfants qui ont 12-15 ans là, en ce moment-là -, mais c’est ce qu’ils ont choisi d’expérimenter. Et c’est pour ça qu’on a toujours dit : “Laissez les rêveurs rêver”. Parce que leur rêve va se terminer d’une façon ou d’une autre, de toute façon. Et en plus, c’est quelque chose qui ne va pas durer éternellement, contrairement à ce qu’ils espèrent avec le transhumanisme.

Je vous rappelle que la destruction de l’Atlantide a eu lieu à partir du moment, d’ailleurs ils l’ont fait, où ils ont voulu modifier le génome. L’OMS vient de sortir un papier le 12 Juillet, que je vous invite à regarder sur leur site, sur les prospectives et les articles de presse, comment la modification du génome humain, ils ne se cachent même plus, va nous permettre de passer de l’humain à l’objet. Ce n’est même plus un transhumain, c’est considérer la vie comme un ensemble d’objets qu’il faut contrôler, déplacer, agencer.

C’est pire que le mythe de Faust là, vous êtes en plein dans le délire le plus dingue qui puisse exister quoi. Et c’est bien réel, dans l’illusion ! À partir de là, c’est à vous de vous positionner. À l’époque Omraam disait, en 2010-2011 : “Nul ne peut servir deux maîtres à la fois”. En fait il n’y a pas de maître. Mais dans un premier temps, tu as l’illusion de croire devoir choisir entre un maître et un autre : est-ce que le maître c’est Satan, ou est-ce que le maître c’est la Source, pour découvrir qu’il n’y a ni l’un ni l’autre, que vous êtes votre propre maître.

Elisa : Il y a une question qui se pose, est-ce qu’avec les vaccins on perd l’âme ? Alors …

Alors, moi je ne suis plus thérapeute, je ne m’approche pas, à part des vaccinés que je rencontre dans la rue, ou en voiture, parce qu’ils sont particulièrement exaspérants, ils roulent plus lentement que les autres. Mais il y a des gens qui ont des symptômes très précis quand ils approchent un vacciné. Il y en a ce sont des symptômes au niveau de l’odorat, parce que ça sent la mort, pas tous, certains. D’autres qui ont des problèmes avec la protéine Spike, qui ont le nez qui se met à piquer, ils ont une pharyngite qui dure deux-trois jours, moi je les repère avec mon scanner Bluetooth puisqu’ils ont un marquage numérique qui est basé sur l’ADN, sur leur ADN d’ailleurs.

Et qu’est-ce que tu me demandais ?

Elisa : S’ils avaient perdu l’âme ?

Alors, les thérapeutes, là je ne peux pas vous donner mon avis ou mon expérience, je vous donne simplement ce que m’ont transmis d’innombrables amis, médecins, ostéopathes, énergéticiens, pour la plupart, l’âme est barrée (partie), il n’y a plus d’âme. Pour certains qui sont très, dans la vitalité, l’âme est à côté.

N’oubliez pas que, heureusement que c’est pour beaucoup pour l’instant un mécanisme transitoire, parce que pas de bol pour eux, malgré le nom de la bête et le chiffre de la bête qui est le graphène, le corps neutralise le graphène par l’intermédiaire du glutathion ou du N-acétylcystéine, ou par l’intermédiaire de votre propre vitalité, ou par l’intermédiaire de votre propre protection, le fait d’être relié au chant de l’âme ou au chant de l’esprit, ce qu’avait dit Omraam, en total accord avec ce qu’avait dit Omraam dès 2009-2010.

Mais la grande majorité de ce que me disent les thérapeutes, les ostéopathes, énergéticiens, ils me disent que l’âme est partie. Vous le voyez malheureusement dans le regard de certains. C’est à compenser par le fait, encore une fois, que c’est un essai clinique de phase 3, c’est-à dire que trente pour cent ont reçu un placebo, que vingt pour cent ont reçu du sérum physiologique, parce que heureusement il y a des médecins et des infirmières qui sont des résistants, que sur les cinquante pour cent qui ont réellement reçu cette dose, il y en a qui ont une vitalité suffisamment forte pour s’y opposer, mais que c’est quand-même assez rare.

La plupart sont voilés, c’est-à dire qu’ils ne sont plus là. C’est le but hein, dans tous les brevets qui ont été déposés, je vous invite à regarder le brevet 06 06 06 déposé par Bill Gates, concernant la luciférase, et le darpa gel, c’est-à dire la possibilité d’orienter…, d’ailleurs vous avez des dizaines de brevets qui concernent la modification du comportement humain par les nanoparticules, c’est réel, alors ils peuvent supprimer l’info mais les brevets existent ,n’importe qui peut les trouver, sur PubMed, sur tous les sites qui recensent les brevets, la modification du comportement humain, fait partie des brevets qui sont exploités à l’heure actuelle.

Elisa : Oui, mais d’après le numéro du brevet, ils se foutent de nous ou quoi ?

Non, 06 06 06 C’est une scène de théâtre, ils sont férus de symbolisme. Quand vous aviez les camions qui se déplaçaient pour faire les tests PCR, qui ne sont rien d’autre qu’un rituel égyptien d’embaumement des morts, où on perforait avec cet écouvillon le plancher des fosses nasales pour rendre les gens esclaves, parce que tu détruisais le siège de l’individualité, qui est situé au niveau du thalamus central, et quand vous rentrez un coton-tige, c’est un rituel égyptien !

D’ailleurs les camions qui circulaient à l’époque aux États-Unis, c’était la société Anubis. Il n’y a pas de hasard, c’est un dessin animé. Ils ne se foutent pas de nous, eux ils sont accros à ça. Et pour nous effectivement c’est une…, ils se foutent de nous, oui, carrément, ils se foutent du réel, ils se foutent de l’Intelligence.

Mais pour répondre à ta question fondamentale, moi je ne peux dire que ce que m’ont raconté les thérapeutes. Maintenant comme je t’ai dit, moi je les repère avec mon scanner bluetooth, pas seulement ceux qui ont reçu leur dose mais aussi ceux qui sont trop pollués au graphène.

Elisa : De toute façon comme tu as dit avant, c’est un grand jeu, enfin, qu’il y ait l’âme ou pas l’âme, on est tous Absolu.

Oui effectivement. Donc au niveau relatif c’est important par rapport à la scène de théâtre, mais au niveau Absolu ça ne veut rien dire, ça fait partie du rêve de la même façon.

Elisa : De la même façon. Donc ils ne se sentent pas mal quand même !

Eh bien, ils se sentent mal malheureusement.

Elisa : Oui mais on peut les …

Mais c’est une illusion, une illusion totale. Mais c’est justement cette illusion surréaliste, parce que là c’est pire qu’une dystopie ou que n’importe quelle série Netflix, comme ‘’La servante écarlate’’, on est dans quelque chose d’absolument invraisemblable. Aucun scénariste, à part ces malades, n‘aurait pu imaginer un scénario pareil !

Elisa : Mais avec Netflix, on nous a déjà préparés…

Oui, oui, tout à fait, c’est de la programmation mentale tout simplement. Comme disaient ceux qui ont réalisé Matrix : ‘’Matrix ce n’est pas un film, c’est un documentaire.’’ C’est exactement ça !

Elisa : Oui.

Oui.

Sœur : On peut être très pollué avec le graphène, avec des traitements à long terme, des traitements qu’on prend depuis l’enfance, depuis… cortisone, depuis … tout ça….

En particulier depuis 2017 seulement

Sœur : Depuis 2017.

Parce que c’est en 2017 qu’ils ont trouvé. Le graphène existe depuis longtemps, mais l’oxyde de graphène, c’est-à-dire qu’ils fracassent le graphite tout simplement par des gaz ionisants et hyper oxydants, qui vont donner les nanoparticules de 1,2 nanomètre de graphène, – d’autres, parce qu’il y en a des dizaines de nanoparticules -, le graphène est celui qui est, je dirais, le plus inapparent et qui confond les gens, parce qu’ils ne peuvent pas imaginer une seule seconde qu’il y a du graphène, sauf ceux qui les ont inventées, les nanoparticules de graphène, bien sûr.

Donc, bien évidemment depuis 2017, je l’ai dit, ce qu’on appelle par exemple l’oxyde de titane qui était dans les bonbons, partout, ou les sels d’aluminium, ont été remplacés par le graphène. Le but c’est de faire de toi une antenne électrique repérable, c’est à dire que tu émettes un signal électromagnétique pas trop complexe à détecter, mais surtout identifiable.

Donc tout le but du graphène, c’est de créer un signal électrique et magnétique, le problème c’est que le graphène s’élimine de lui-même, soit avec des produits, soit parce que les défenses du corps sont encore bonnes, mais les dégâts qui apparaissent avec une dose massive de graphène, ce qui est le cas avec ‘’la dose’’, là par contre, sont irréversibles.

C’est-à-dire que ça entraîne dans la demi-heure qui suit des micro-thromboses, qui sont situées sur les micro-vaisseaux du corps, et en particulier au niveau des alvéoles pulmonaires, mais aussi au niveau du cerveau, parce que ça passe, bien évidemment, vu la taille, ça passe la barrière hémato-encéphalique. Et donc même si ça ne donne pas d’accident, visible on va dire, ça va aller occasionner des thromboses.

C’est quelque chose de 1,2 nanomètre, qui est mille fois plus petit qu’un virus et qu’une protéine, je vous rappelle, la protéine de pointe, elle fait 0,1 micron, d’accord ? Là on est sur cent fois plus petit, on est sur 1,2 nanomètre, et il y en a encore qui sont encore plus petites, les fullerènes qui font 0,6 nanomètre, et ça, ça passe tout bien sûr, ça passe la membrane cellulaire, la membrane hémato-encéphalique et, ce qu’on appelle par ‘’tropisme’’, ça va aller se fixer sur l’ADN, et donc dévoiler de manière observable donc mesurable, le champ électro magnétique de l’ADN de chacun, et donc créer une identification.

Et ça, ça se produit…alors bien sûr si tu as 20 ans, 30 ans, une fois passé le premier choc de la première dose, ça récupère si tu es jeune et si tu as un système immunitaire qui agit bien, pas sur des virus ou des bactérie, mais qui agit sur l’élimination des métaux lourds, ça va s’éliminer. Mais les premiers dégâts qu’il y a eu sont suffisamment significatifs pour que beaucoup, beaucoup, n’aient jamais accepté de recevoir une deuxième dose. Ils ne sont pas fous !

Et ceux qui ont résisté à la deuxième auront droit à la troisième, à la quatrième, à la cinquième, à la sixième. Je vous rappelle que pour la France, et c’est pareil pour tous les pays, il y a une précommande qui a été faite pour 2022 et 2023 de 2 milliards de doses, et le graphène ça ne coûte rien, ça ne coûte rien du tout.

Autant on a utilisé l’aluminium dans l’alimentation, pas seulement dans les doses, dans tous les aliments, de la même façon je vous l’ai dit, les merguez, la viande collent. Vous avez bien vu que cette année il n’y a plus de fruits et légumes quasiment dans tous les pays du monde, ce n’est pas un problème des abeilles simplement, c’est lié au graphène. Ils bloquent la reproduction, pas seulement chez l’homme et chez la femme, ils bloquent toute la reproduction de la vie, chez les végétaux, chez les animaux, chez les insectes, donc ils ont trouvé la ‘’bête’’ parfaite. Mais cette bête parfaite participe aussi du scénario.

Sœur : C’est dans tous les vaccins le graphène ?

Oui, depuis 2017.

Sœur : Dans tous les pays ?

Oui, c’est tous les vaccins. Ils n’ont plus besoin d’autre chose, c’est-à-dire tous les trucs, sels d’aluminium et tout, c’est fini.

Sœur : et ça que ce soit Pfizer, Astra Zeneca…

(JL fait Oui de la tête.)

Dans les médicaments au long cours, pas dans les antibiotiques, parce qu’un antibiotiques tu vas le prendre une semaine, donc aucun intérêt, mais ça a été inséré dans tous les médicaments que vous allez prendre quotidiennement – pas tous – ,il y en a qui prennent des hypertenseurs, ils ne sont pas marqués, mais en particulier dans les médicaments à visée thyroïdienne.

Tout le monde en France se rappelle le scandale du Levothyrox qu’il y a eu en 2017, c’est le moment où ils ont changé les excipients, et ils te disaient tous : ‘’ce sont des excipients, ça ne peut pas être responsable’’,  tu parles ! Mais il y en a autant, je te l’ai dit, moi j’ai testé les merguez, la viande, certains légumes, pas tous parce qu’il y avait des légumes, par exemple ceux qu’on appelle les crucifères, les choux-fleurs et tout ça, qui éliminent le graphène, comme la N Acétylcystéine qui est un acide aminé souffré.

Paradoxalement, c’est le souffre ou les légumes qui contiennent beaucoup de souffre qui s’opposent au graphène. C’est en fait Lucifer, le graphène, qui se bat contre le souffre de Satan – Satan, qui n’est pas Lucifer. Je vous rappelle qu’il avait été dit qu’à la fin des temps, ce serait la guerre de tous contre tous, et que ceux qui s’étaient alliés contre la Vérité, c’est-à-dire Satan pour le versant involutif, et Lucifer pour l’illusion luciférienne qui est toute la spiritualité en fait, s’opposeraient eux aussi. C’est exactement ce qui est en train de se passer, et c’est ce qu’on est en train de vivre, en ce moment-même.

C’est quelque chose qui a été écrit. Il y a 4 ans par exemple quand j’ai découvert l’anomalie primaire, que je disais être Abba, avant de comprendre que nous étions tous Abba, j’avais publié énormément de chansons qui racontaient l’histoire que nous vivons. Il n’y a pas que le ‘’Paradis Blanc’’, il y en a eu d’autres, toutes les chansons nous racontent ce qui se passe, Et puis vous avez même des dessins animés, lisez ‘’la Trans-italique’’ Astérix et Obélix, et ‘’La bataille des chars’’ avec d’ailleurs le nom de ce fameux bestiau, et vous allez halluciner.

Parce que tout ça fait partie d’une scène de théâtre, et même tous ceux qui ont, soi-disant, écrit des chansons, n’ont fait que recevoir l’inspiration pour ce moment particulier. C’est pareil dans les bandes dessinées.

Frère : Il entonne ‘’On ira tous au Paradis …’’

C’est pareil dans les romans…

Frère : ‘’On ira tous au Paradis.’’

Exact, Polnareff aussi en a fait des ‘’bien’’ par rapport à ça.

Elisa : Il y a un film sur Netflix sur Lucifer qui nous rend un Lucifer gentil, bon cœur, et c’est sur une formule comique qui fait que Lucifer, l’image, ne soit plus la même que celle que nous avons, et c’est comme ça aussi.

Oui, et vous avez dans l’illuminisme, vous avez ce qu’on appelle les chapeaux noirs, les pédo-satanistes, eux c’est les satanistes, et vous avez l’autre versant, ce sont les chapeaux blancs qu’on appelle les ‘’sauveurs’’ de ‘’Qanon’’ et tout ça.

Elisa : Qui sont les lucifériens ?

Ce sont les chapeaux blancs.

Elisa : Mais ce sont des lucifériens alors ?!

Ce sont des lucifériens ‘’pur jus’’.

(Rire d’Elisa)

Frère : Mes copains, les portails organiques …

Oui.

Mais, bon, à choisir la scène finale du rêve, je préfère quand même les lucifériens aux satanistes !

Elisa : Surtout après avoir regardé le film de Netflix sur Lucifer !

(Rires)

Vous savez, c’est très simple, le premier télescope à infrarouge qui a été construit par le Vatican, appartient au Vatican, au Chili, pour détecter Nibiru parce que c’est en infrarouge, s’appelle Lucifer. L-, après c’est une abréviation de je ne sais pas quoi, mais il s’appelle Lucifer.

Elisa : Mais Lucifer est un Archange !

Était un Archange, oui, c’est le plus grand acteur de théâtre qui soit !

Et Lucifer, c’est aussi le nom du brevet 06 06 06 de Bill Gates concernant la luciférase, qui est une enzyme qui est présente chez les lucioles, et qu’ils ont réussi à greffer dans des gênes humains pour que vous deveniez bio luminescents, qui est le simulacre de devenir lumière.

Frère : oh !

Ah, mais c’est d’une cohérence et d’une concordance totale, totale. Où que vous regardiez, soit vous regardez le simulacre, soit vous regardez le Sacré, mais c’est le même cinéma ! Dans un cas, c’est un drame, et de l’autre côté quand vous regardez, c’est une comédie à mourir de rire. Bien, d’ailleurs on va en mourir ‘’de rire’’, comme le dit Pépère, ça c’est écrit !

Quand vous regardez ce que disait Pépère à l’époque, pour ceux qui ont lu après, vous vous êtes aperçus que Pépère maniait très bien la carotte et le bâton, pour vous permettre d’avancer comme il disait, mais que ça correspond toujours, jamais avec les bonnes dates, mais toujours avec ce qui se passe, toujours, toujours, toujours.

Elisa : Il a joué avec moi avec les dates aussi, parce que ça nous maintenait un peu.

Oui tout à fait, ça maintenait une forme de pression de la conscience, il a donné une forme d’espoir et d’espérance, c’est ce qu’on appelle la tension vers l’objectif, qui permettait quelque part de prévenir que la dissonance cognitive de l’aberration de ce monde ne nous saisisse trop tôt.

Donc il était préférable d’avoir de l’espoir, comme aujourd’hui il est préférable d’avoir de l’espoir avec les lucifériens – Quanon et tout le reste – ,que de tomber sous l’emprise des pédo satanistes quand même, c’est plus agréable comme rêve ! Mais ça reste du rêve. Les uns comme les autres, chapeau noirs/chapeaux blancs, bonnet blanc/blanc bonnet, il y en a un qui veut nous asservir doucement, garder le contrôle, parce qu’il n’est pas question qu’ils perdent le contrôle bien sûr, les uns et les autres, ils sont encore dans le contrôle et dans l’asservissement.

De même, comme disait Bernard de Montréal, même les Maîtres dits ‘’de lumière’’ nous ont quelque part asservis, ‘’pour le bien de l’histoire’’ comme dit Pépère, mais ils nous ont occultés, puisqu’ils ne la vivaient pas eux-mêmes jusqu’en 2019, puisqu’ils ont vécu la période de silence là où ils sont, et qu’ils vivent eux aussi la Vérité.

Elisa : Mais en fait, ça donne l’impression qu’eux ils veulent continuer le Jeu !

Ah bien oui, pour eux le rêve doit continuer d’une autre façon, des deux versants, que ce soit chapeaux noirs/chapeaux blancs, c’est de maintenir l’asservissement d’une façon ou d’une autre, c’est-à-dire avec des raisons qui leur sont propres, de maintenir la société, de maintenir la vie, alors qu’ils maintiennent la mort !

Elisa : Mais de toute façon le jeu va être terminé avec…

Il est terminé. A partir du moment où le mensonge cosmique va commencer à apparaître, c’est déjà…

Elisa : J’ai lu aussi que…je crois qu’il y avait des trous noirs dans …

Oui, il y a des trous noirs qui sont entrés dans le système solaire, oui, c’est normal. Il n’y a pas que Nibiru, Nibiru c’est encore de l’histoire, cyclique. Nibiru passe en alignement direct tous les 12000 et 25000 ans, et en alignement indirect tous les 3600 ans. Ça, ça fait partie encore des cycles, ça fait partie encore de l’histoire. Par contre les trous noirs c’est la fin de l’histoire.

Elisa : C’est ça qui est fini.

Ah bien là, un trou noir, il n’y a aucune forme qui subsiste. Nassim Haramein d’ailleurs l’a parfaitement expliqué sur le plan astrophysique. Certains ont eu une approche directement mystique, d’autres une approche scientifique, d’autres une approche par l’éloquence à traduire leur vécu. Il y a eu des tas de personnages au 20^ème siècle et aujourd‘hui, qui ont eu chacun une approche différente pour décrire la même chose. Thérèse aussi ‘’Histoire d’une âme’’, c’était hautement évocateur de ce qu’on vit aujourd’hui.

En fait, paradoxalement, la soumission totale au rêve vous libère du rêve. L’éclairage du rêve vous libère du rêve de la même façon, c’est-à-dire qu’en résumé, vous n’avez pas le choix. Que vous vous soumettiez totalement à la scène de théâtre, ou que vous voyiez la scène de théâtre et que vous l’ayez éclairée, ça ne change rien. C’est ça qui est merveilleux, quoi que l’on fasse, on ne peut rien changer.

Elisa : C’est très libérateur !

Oui, complètement. Alors, au début c’est très frustrant pour la conscience, mais quand on s’aperçoit que c’est ce qui est en train de se dérouler, c’est très libérateur, tu n’as nulle part où aller qu’à l’intérieur de toi, tu n’as nulle part où aller que dans le Réel.

Elisa : Pour moi c’est très libérateur.

Comment ?

Elisa : Pour moi c’est très libérateur, et c’est là qu’il faut être, je crois, chaque instant, là, dans le sens que c’est libérateur, quoi que tu fasses, quoi que tu penses, quoi que tu aies comme maladie, quoi que … ça ne va pas aboutir à autre chose qu’à ta propre maison.

Oui, oui, quels que soient les doutes qu’on puisse avoir les uns et les autres, quoi qu’on vive d’ailleurs, quel que soit le dégoût ou le cauchemar qu’on ressente même pour ceux qui sont libres, il y a toujours sous-jacente cette Joie qui est là.

Elisa : C’est ce qui m’a toujours plu chez Nisargadatta, chez Bidi, c’est qu’il allait droit là, il ne se perdait pas alors donc tu te fixais là et vraiment…

Et bien, Bidi l’avait dit de son vivant : ‘’Mes paroles ne peuvent pas échouer’’, ça ce sont les deux phrases qui m’ont marqué, et il disait aux gens qui venaient le voir : ‘’Vous savez que la recherche de la Vérité va mettre fin au monde’’, et c’est exactement ce qui se produit.

Alors je vous propose, on a fait 1h30, je propose de faire une petite pause/collation, il est midi, on reprend de 13h à 14h. Nous reprendrons par contre cet après-midi à 17h.

Elisa : On reprend le satsang.

On reprend le satsang à 13h jusqu’à 14h, une petite heure, si vous avez des questions, vous y réfléchissez. La canalisation de l’après-midi, ça sera Bidi, mais à 17h, parce qu’avant nous avons l’intervention de Miguel pendant 1h sur la technique de fabrication du CDS, dont je parlerai dans un satsang demain ou un autre jour et vous expliquerai un peu ce que c’est que ce remède de la fin des temps si on peut dire C’est quelque chose qui commence à être très, très connu dans les pays hispanophones.

Allez, on coupe, coupe-moi la parole. (Rire)

Elisa : Oui parce que sinon on va te la couper ! (Rire)

Non, vous n’allez pas me la couper ! Voilà, on revient dans une heure.