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Webinaire Agapè Online

Questions/Réponses avec Jean Luc Ayoun

Animation et traduction (espagnol)
Par : Elisa Bernal

4 avril 2021

Bien, alors Phahame a parlé un peu moins longtemps que prévu, elle devait parler une heure vingt, elle a parlé à peine une heure. Donc nous avons un peu de temps avant d’entamer les vingt minutes je dirais, d’Agapè Résonance, tous ensemble, Spatiale Interdimensionnelle.

Je te laisse traduire.

Donc nous allons en profiter pour échanger, je dirais nos impressions, nos vécus pendant cette canalisation de Phahame si vous le souhaitez, non pas tant pour nous, mais je pense que ça peut aider ceux qui écouteront ou auront les transcriptions ensuite.

Sœur : Je voudrais poser une question. Je suis Jeanne, c’est possible ?

Oui, il peut y avoir bien sûr des questions aussi.

Sœur : Tu as eu cette canalisation. J’aimerais comprendre quelle est la différence entre ce qu’on dit aujourd’hui, que les gens qui canalisent c’est de l’illusion. Toi tu canalises, qu’est-ce que … je ne suis pas troublée parce que je connais ce processus, mais … parce que toi tu es dans la Vérité, parce que toi tu as vécu Agapè, on peut donner un sens à cette canalisation par rapport aux autres qui ne le sont pas ?

Elisa : Je traduis.

Dans le processus nommé canalisation (channeling), bon, j’ai eu l’occasion pendant de nombreuses années d’expliquer les différences qui existent entre les différents plans qui sont contactés. Il y a bien sûr des différences essentielles de perception, de vibration et d’énergie, selon la source de la communication, de la transmission, de la canalisation.

Mais je n’ai aucun problème entre le fait de savoir et de vivre le fait qu’il n’y ait personne, mais qu’il y a aussi tous les rêveurs, pas seulement les êtres humains, pas seulement les mammifères marins comme aujourd’hui, mais aussi bien le plan des mères généticiennes que le plan des Archanges, qui sont aussi dans un rêve.

Maintenant, au niveau de l’origine des canalisations, on différencie très nettement ce qu’on appelle le « petit ciel » et le « grand ciel ». Le petit ciel dans la terminologie ésotérique, c’est tout ce qui est lié au plan astral, au plan mémoriel. Les anciens, les étoiles, que ce soit des grandes saintes que ce soit des Melchizedeks, font tous partie du monde manifesté sur un plan ou sur un autre.

Il y a eu une espèce de gradation durant toutes ces années, où on est parti d’un scénario, d’une histoire, celle de la Terre en l’occurrence, et les informations, même si elles venaient du petit ciel, – donc si je peux dire un monde qui est limité par les mémoires et par les dimensions -, a débouché depuis déjà de nombreuses années sur des transmissions qui n’ont plus rien à voir avec des formes.

Que ce soit Eynolwaden, que ce soit l’Esprit du soleil, le Chœur des anges par exemple, et Phahame qui s’est manifestée parmi les derniers intervenants. C’est une baleine, elle existe réellement avec son enfant, on a filmé nos rencontres que nous avons eues au détroit de Gibraltar en décembre 2018, ce cétacé qu’on a retrouvé avec son enfant lors de la rencontre avec les baleines sur le St-Laurent à l’été 2019.

Donc on est revenu en quelque sorte au point de départ, c’est-à-dire la Terre, après être passé par les transmissions de celui qui a cassé toutes les histoires, c’est-à-dire Nisargadatta. Nisargadatta, Bidi n’a jamais communiqué avec moi par le canal normal de ceux qui assistaient aux canalisations. Pour un clairvoyant, il voyait clairement un être de Lumière selon l’intervenant, la forme et la couleur était différence qui descendait dans le canal marial à gauche, mais ça c’est encore une illusion puisque tout est à l’intérieur de nous.

Alors dans la dynamique de ces dernières années, l’ampoule de la clairaudience que l’on a nommée après le canal marial, à gauche, ce qu’on appelle les cornes de la vache sacrée qui sont les cornes célestes, a fusionné avec le chakra ou la porte, pardon, qu’on appelle unité, c’est-à-dire la porte de l’esprit du même côté et, à ce moment là, ce qui semblait extérieur est devenu intérieur. Ça remonte déjà à de nombreuses années.

Et à ce moment-là la communication est possible avec tout, rien n’est séparé. Simplement il y a eu au sein de l’histoire qui a été vécue, suivie, racontée par énormément de frères et sœurs sur la Terre, il y a eu une simplification et en même temps une résolution.

Il n’y a jamais eu personne puisque tout cela n’est qu’un rêve, et que retrouver l’histoire dans un premier temps, mais aussi l’accès au supra mental par l’aspect vibratoire, a permis de recréer je dirais la matrice Christique, tous ensemble. Personnellement je ne vois aucune différence et je ne vis aucune différence, ni aucune gradation, entre le fait de parler à l’instant présent ce que je dis là, tout de suite, ou laisser s’exprimer l’Impersonnel, l’Esprit du Soleil, un ange, un archange. Parce que toutes ces dimensions, toutes ces entités sont en nous, réellement et concrètement, ce n’est pas un jeu de mots, c’est un vécu tout simplement.

Le fait d’être heurté montre simplement, au-delà d’une éventuelle incompréhension ou méfiance, peu importe, une non réunification encore pour cette sœur des principes du bien et du mal. Il n’y a ni bien ni mal. En définitive il n’y a pas plus de Yaldebaoth que de Marie et cela ne me gêne en rien d’avoir canalisé Marie.

On est tous dans le même rêve, simplement il y a des rêves qui conduisent au cauchemar, c’est le but de notre humanité actuelle, et il y a des rêves plus légers qui nous permettent de comprendre qu’à travers tout ce marasme de ce qui se passe sur Terre, il ne faut pas se fier aux apparences, qu’il y a autre chose, et que cet autre chose que nous nommons Agapè est bien plus dense et bien plus fort, bien plus vivant, que tous nos rêves de création.

Sœur : Jean-Luc.

Oui.

Sœur : Est que je peux intervenir ?

Oui.

Sœur : Je n’ai pas dit que c’était bien ou que c’était mal. Je n’ai pas employé ces mots, voilà.

J’ai bien compris.

Sœur : Ce n’est pas du tout ça.

J’ai dit qu’il y a dans le contenu de la pensée …

Sœur : C’est ça.

…quelque part une division entre le bien et le mal. Je n’ai pas dit que tu vois du bien et du mal. J’ai simplement dit qu’il y a un contenu mémoriel, un contenu d’habitudes qui cherche, à travers la question, simplement à comprendre où peut être une antinomie ou une différence, mais il n’y en a pas.

Sœur : Ok. Parce que c’est juste que j’avais entendu lors d’une autre conférence, que toutes ces canalisations que les gens font, c’est de l’illusion, donc je m’en réfère à ce que tu as dit. Donc toi, le fait que tu en fasses une, moi je ne suis pas choquée, pas du tout, je suis très ouverte à ça, mais c’est tout simplement parce que, comme tu dis tout est en nous, et que du fait que tu vis Agapè, tu peux aller chercher à l’intérieur de toi ces informations que les autres vont chercher à l’extérieur, si j’ai bien compris.

Exactement.

Sœur : Voilà, donc c’est ça.

Puisque toutes ces informations ne servent à rien.

Sœur : Oui.

C’est-à-dire que toute l’histoire même qui nous a été racontée de ce que l’on a vécu, c’est-à-dire l’activation de l’onde de vie, les étoiles, les portes, les nouveaux corps, le corps d’éternité, les visions, les origines stellaires, tout ça appartient au rêve.

Sœur : Oui, oui, j’ai bien compris.

Je suis encore en train de rêver. Donc je préfère rêver de quelque chose qui nous rapproche de la Vérité…

Sœur : Oui.

… plutôt que du cauchemar.

Sœur : Absolument, je suis bien d’accord.

Voilà !

(Elisa traduit.)

Sœur : Jean-Luc ça veut dire que si on n’a pas vécu Agapè, faire ce genre d’intervention, de canalisation, c’est de l’illusion.

Oui c’est ce qu’a dit Phahame, c’est ce qu’elle dit à chaque fois au fur et à mesure des années, à part le commandeur Omraam qui, je vous le rappelle, avait fait silence pendant presqu’un an pour résoudre, eux aussi, (les Melchisédechs) leur histoire.

Les intervenants qu’il y a eu ensuite Abba, bien sur, Abba c’est moi, mais c’est aussi, c’est en même temps chacun de vous dans le sens étymologique du mot Abba, et toutes les non-personnalisations, c’est-à-dire je ne parle pas des peuples de la Nature, Ériane, Érélim et d’autres, là je parle vraiment de l’Impersonnel, d’Eynolwaden, c’est-à-dire tout ce qui était communication, transmission de quelque chose qui n’avait pas d’identité propre ou de forme propre, est certainement le point de bascule de la sortie de l’histoire.

Si je prends mon expérience personnelle à travers ces canalisations, ces transmissions, tout ce que je vous transmets, vous donne, depuis des années, j’ai vécu l’Onde de Vie au tout début 2012. J’ai vécu la libération en 2012 du rêve, le Feu du Cœur, l’onde de vie qui montait, toutes ces manifestations de communion, de fusion.

Mais il y a eu quelques années après, lors de la reprise des communications, une histoire qui était une histoire qui n’était pas de ce monde mais des autres plans dimensionnels. Tout ce qui a été l’assignation vibrale, la reconnaissance de ses origines, de son origine stellaire et ses lignées stellaires, c’était d’autres strates de la Liberté et de la Vérité, mais là où Agapè a tout changé en 2019, c’est que nous n’étions plus dupes d’aucune histoire.

Même le narratif de Autres Dimensions, par exemple la chronologie précise des événements, par exemple l’endroit où on devait aller, a été remplacé par une forme d’instantanéité. Il n’y avait plus besoin d’histoire, il n’y avait plus besoin de diriger un scénario puisque qu’on s’est rendu compte et on a vécu que tout était écrit, même les voyages que nous avons faits à différents endroits dans les dimensions, tout un groupe à l’époque en 2019, comme le fait de croire être celui qui va casser l’anomalie primaire. Oui, effectivement, je l’ai fait ! Mais je l’ai fait simplement parce que c’était déjà écrit ça, je n’aurais rien pu faire de moi-même.

Donc on est allé vers plus d’allègement, c’est-à-dire plus de disparition. À part Omraam qui accompagne au plus proche du plan de la Terre ce qui se déroule, la plupart des interventions de ces dernières années, que ce soit Bidi, Abba ou même Ma Ânanda Moyi cette année, nous amènent au-delà de la compréhension d’une histoire ou d’un vécu vibratoire.

Ils nous amènent à nous retrouver dans le Grand Silence, mais on ne nous raconte plus vraiment de scénario. Tout est axé sur la Vérité de l’Instant, tout est axé sur cet état Agapè naturel, et tout est recentré sur l’acceptation, et je dirais même la transcendance, la disparition de toutes les histoires qui nous ont permis d’arriver là.

Et je redis, ceux qui découvrent aujourd’hui n’ont pas nécessairement besoin de passer par toutes les connaissances que nous avons pourtant, que nous avons écoutées, que nous avons vécues, toutes ces transformations, l’activation des portes, des étoiles.

La Vérité a été amenée graduellement afin qu’aujourd’hui chacun y est accès librement sans aucun historique, sans aucun antécédent, autrement dit sans aucun prérequis, et c’est simplement la sincérité et la disponibilité  à ce qui Est, qui effectivement vous fait vous retrouver.

Tout le reste est superflu, tout le reste aujourd’hui est un obstacle, même de savoir où son les portes, à quoi elles servent, même si ça nous a permis d’arriver jusqu’à ce point. Aujourd’hui tout ça doit être transcendé, pas par une volonté personnelle, mais simplement par, encore une fois, cet accueil, cette disponibilité, cette lucidité, cette humilité de l’instant. Le plus dur pour l’être humain, j’ai eu l’occasion de le dire, je crois le mois dernier, c’est d’arrêter de se raconter des histoires.

La création est une histoire, un rêve. La Vérité est sans histoire.

Et la Vérité c’est que ce qui a été vécu par certains êtres au cours des siècles, que soit le Christ, que ce soit Sankara, que ce soit Nisargadatta, que ce soit Jean Klein, Jeff Foster, Eric Baret, Christiane Singer et tant d’autres aujourd’hui, nous tenons le même discours. Même si les mots peuvent être différents, même si le vécu a peut-être été différent, le résultat aujourd’hui est toujours le même. Même si le mot Agapè n’est pas utilisé, même si les vibrations et l’activation du corps d’éternité n’ont pas été vécues ou senties, ça n’a plus aucune espèce d’importance.

Seule la vitesse de propagation de la Bonne Nouvelle et la Résonance Agapè, qui se fait comme une pandémie, mais pas une pandémie de l’horreur, parce qu’une pandémie c’est le démon Pan qui chante et qui affole les humains, donc ça serait une forme de pandémie inversée, ou parce que le dieu Pan, dieu pédophile des Anciens ne joue plus de la flûte, mais que le chant de la délivrance des cétacés, des baleines, de Phahame, a favorisé la découverte et l’installation du Grand Silence, là où il y a à la fois tous les plans dimensionnels, aussi bien le petit ciel que le grand ciel, mais aussi l’enfer.

L’enfer on y est, ça s’appelle la Terre.

Je sais bien sûr qu’il existe des dimensions encore plus basses, la deuxième dimension, l’intra-terre, mais on est le lieu de réunion et de solutionnement, chacun de nous humain, là, dans ce corps, on est le lieu de la résolution et de l’équation du temps et de l’espace, de la souffrance. En fait on est le lieu de la Manifestation et on est le lieu du Mystère. Je vous rappelle que la création est «BÉRÉCHIT BARA ÉLOHIM ÈT HACHAMAYIM VÉÈT HAARÈTS».

(À Elisa : Ça, tu ne peux pas le traduire, c’est de l’hébreu)

Ce qu’on appelle les Maïm, ce sont les Eaux de la Manifestation. Les eaux et les peuples de l’eau sont les gardiens du rêve. Ce sont les eaux d’en bas, c’est-à-dire les eaux manifestées. La main, la matrice, la maman, c’est la même racine, Ma.

Et les eaux d’en bas, ce sont les cétacés qui sont les gardiennes du rêve et les eaux d’en-haut, ce sont les eaux du mystère. Les eaux d’en bas et les eaux d’en-haut se réunissent, ce qu’on appelle Les Maïm, afin qu’il n’y ait plus de mystère.

Alors que ce processus soit appelé la fusion, comme par exemple dans les conférences de Bernard de Montréal, que je le nomme la fin du mythe de la création ou qu’on l’appelle le Parabrahman comme Nisargadatta, ça ne fait aucune différence.

Donc nous sommes passés des eaux de la manifestation aux eaux du mystère, et en ayant un peu la vision panoramique de tout ce qui a été délivré depuis maintenant quatorze, quinze ans, il y a une logique, une progression, qu’il est impossible que ça ait été imaginé par un être ou par un groupe d’êtres. C’est nécessairement une œuvre collective et c’est nécessairement quelque chose qui ne laisse pas de place au hasard ou à l’inconnu.

Il y a eu une progression parfaitement logique, dont la seule inconnue n’était pas la finalité mais le temps. Mais vous pouvez regarder à posteriori des enseignements de l’Archange Anaël de 2009, ce que je fais de temps à autre en relisant une canalisation, par exemple pour voir que le niveau de vécu et de compréhension de ce qui est dit n’est pas du tout le même.

Mais aujourd’hui effectivement, nous sommes engagés par les intervenants, par moi-même, par ce que nous vivons les uns les autres, à aller vers toujours plus de dépouillement de ses histoires, de ses karmas, de ses histoires de mémoires, de souffrances, de passés. Quelque part, d’essayer d’oublier quelques minutes les peines, les souffrances, ce qui nous affecte, et d’être simplement disponibles sans rien demander, simplement d’être là et d’accepter tout ça, et réellement si vous êtes sincères et honnêtes, vous êtes libres.

Ça n’a rien à voir avec la spiritualité, ça n’a rien à voir avec toutes le connaissances que j’ai pu emmagasiner, ou vous livrer au cours des différents satsangs, par exemple sur les neurosciences, parce qu’il est extrêmement compliqué, il est extrêmement dur pour un être humain d’être simple, parce que nous sommes conditionnés par les mémoires comme nous avons dit, par les croyances, par les habitudes, par les circonstances de notre vie, par l’état de notre conscience, par l’état de notre corps, et que l’instant présent nous échappe.

L’instant présent, d’autres auteurs en ont largement mieux parlé que moi, mais la grande différence, c’est qu’aujourd’hui, depuis peu de temps finalement, depuis trois années, l’acceptation de l’instant présent tel qu’il est met, directement en face de la Vérité.

Sœur : Merci Jean-Luc.

Alors j’ai vu une dernière question passer avant de se mettre en Résonance qui a été inscrite sur le chat …non ?

Elisa : Oui.

Je n’ai pas eu le temps de la lire.

Elisa : La réfutation induit le déconditionnement de la conscience, des mémoires, des habitudes. Comment y procéder ? Merci.

Excuse-moi, mais …

Elisa : La réfutation …

La réfutation, oui c’était le principe de l’année 2012 de Bidi.

Alors, la réfutation qui a été donnée par Nisargadatta en 2012, la pratique de la réfutation visait à faire apparaître, à débusquer l’observateur et le témoin.

Elisa : … consistait en quoi ?

Comment ?

Elisa : Là je me suis perdue.

Je suis déjà dans la phrase suivante moi. Je disais que …

(À Elisa : Alors attends, redis-moi ce que tu as dit au début).

Elisa : Tu disais qu’en 2012, Bidi avait parlé de la réfutation.

Oui, la réfutation permettait de créer l’observateur, c’est-à-dire en quelque sorte de nous décoller du rôle d’acteur, de celui qui croit être l’acteur, et de découvrir que nous étions spectateur de nous-mêmes, ce qu’on a appelé l’observateur ou le témoin.

Aujourd’hui nous ne sommes plus dans la réfutation, nous sommes dans une espèce d’intégration.

En 2012 ou du vivant de Bidi, il disait «neti-neti», «ni ceci ni cela». Aujourd’hui je rajoute «aussi ceci et cela». La réfutation fait apparaître l’observateur; l’acceptation met fin à l’observateur et à l’acteur.

C’est le moment où vous réalisez qu’il n’y a pas eu de scène de théâtre, qu’il n’y a pas eu d’acteur, qu’il n’y a pas eu de spectateur, et qu’il n’y a même pas de théâtre. Aujourd’hui c’est pour cela que les uns et les autres, les intervenants, ne parlent plus que de l’acceptation et de l’accueil.

Il n’y a plus aucune discrimination à faire, mais bien une intégration ou une transcendance à réaliser, ou plutôt à se laisser réaliser. Elle se réalise d’elle-même. Ça se réalise à quel moment ? À partir du moment où vous percevez que vous n’êtes plus ce personnage, mais que vous n’êtes même pas l’observateur. Qui observe l’observateur ? Le JE éternel et infini, le J.E. éternel et infini. Ce qu’un Sage d’aujourd’hui qui a pris la suite de la lignée de Nisargadatta, la suite oui, il appelle ça «Le Soi sans soi», ce que nous avons traduit par «Il n’y a personne».

Donc de la même façon aujourd’hui, pratiquer la réfutation est une perte de temps. Il est beaucoup plus utile de s’intéresser, pour ceux qui s’intéressent à l’histoire ou qui connaissent l’histoire d’Autres Dimensions, aux quatre piliers du Cœur, ou encore aux Enseignements de la Petite Voix de Thérèse, ou encore aux aspects vibratoires d’Uriel ou d’Eynolwaden. Mais la place n’est plus à l’observateur.

Nous sommes tous plus ou moins écœurés de ce que nous voyons à la surface de ce monde, que l’on appelle ça les guignols, les chapeaux noirs, les pédosatanistes, l’état profond, les illuminatis, nous le savons, nous le voyons, nous le vivons.

On n’a plus besoin d’observateur ou de réfutation. On a besoin que vous éteigniez votre poste de théâtre ou de télé. Ça ne veut pas dire de vous détourner de la vie que vous vivez ou de la scène de théâtre, mais bien voir que ce n’est qu’un théâtre, et que le but de cette pièce de théâtre, de ce film, de ce jeu vidéo, c’est de nous rappeler simplement qui nous sommes.

Nous ne sommes pas seulement les créateurs, les acteurs, les observateurs, nous sommes la totalité du rêve et nous sommes antérieurs au rêve.

Donc toutes les pratiques comme je le dis, pour la Vérité en tout cas, sont superflues. Alors bien sûr vous pouvez vous aider comme on l’a dit hier de l’ostéopathie trinitaire au niveau de la tête. Pour ceux qui sentent les énergies, les vibrations, vous pouvez croiser les chevilles pour réunifier les deux flux de l’onde de vie. Vous pouvez mettre vos mains devant le cœur de cette façon, pour activer le double tore du cœur, mais ce que vous avez le plus besoin, je suis désolé de me répéter de façon un peu abrutissante, c’est l’acceptation.

Vous ne pouvez accepter que quand vous êtes dans le présent. Vous ne pouvez accepter que quand vous êtes complètement lucides sur ce qui se vit sur la scène de théâtre qui est le plus grand simulacre, le plus grand mensonge de l’histoire de l’humanité, mais aussi d’être lucides sur ce qui se vit à l’intérieur de vous.

Si vous en avez marre de ce monde, si vous êtes écœurés, si vous avez envie de vomir, soit vous vous battez, ce qui prouve simplement que vous ne savez pas encore que tout a été écrit, soit vous acceptez.

L’acceptation ne veut pas dire ne pas voir la vérité en face. C’est accepter aussi de voir ces vérités horribles. Rappelez-vous qu’accepter n’est pas consentir. Accepter ça veut dire traverser, ça veut dire digérer, ça veut dire absorber le choc. C’est juste après que vous voyez que c’était irréel, c’est juste après que vous découvrez que tout ça c’est du carton-pâte, que tout ça c’est du toc comme on dit.

Alors il va être temps d’arrêter sur ces mots et de terminer pendant dix minutes, un quart d’heure. Après chacun raccroche comme il veut. Il est neuf heures moins dix. Dix bonnes minutes de Silence.

Alors comme je l’ai dit, ceux qui veulent s’aider d’une posture, vous croisez, même assis, vos chevilles, peu importe le sens. Vous mettez vos mains, sans toucher votre poitrine, en avant de votre poitrine, comme si vous canalisiez quelque chose qui sort de votre poitrine au milieu, assis ou allongé, si possible sans bouger et les yeux fermés.

Alors ne vous posez pas la question de ce qu’il faut envoyer, de ce qu’il faut recevoir, de ce qu’il faut attendre, ou de ce qu’il faut percevoir. Soyez simplement centrés sur : Vous êtes là, vous êtes en accueil, vous n’attendez rien, quelles que soient vos perceptions, vous ne les arrêtez pas, vous les laissez vous traverser.

Et nous faisons maintenant cette Résonance Agapè Spatiale Interdimensionnelle.

Je vous dis d’ores et déjà au revoir, puisqu’à la fin je raccrocherai, et je vous dis d’ores et déjà à une prochaine fois. Mais je reste en ligne pour les dix minutes.

Silence … (dix minutes en Résonance Agapè)

Chacun de vous peut décider de rester tranquillement comme ça encore quelques instants.

Pour terminer, je remercie chacun de vous pour votre présence, votre accueil et votre écoute. Nous remercions Elisa bien sûr pour la traduction et l’accueil, et aussi l’équipe technique qui est derrière Elisa.

Elisa : Vous dire à tous aussi, bon j’ai fait ce que j’ai pu avec mes limitations aujourd’hui vu mon état, mais c’était pour moi un grand plaisir d’avoir traduit Jean-Luc. Pour moi c’est toujours un grand plaisir de le faire, mais vous m’excuserez si je n’ai pas été totalement à la hauteur dans certaines circonstances, ok.

Et puis on se dit peut-être, si nous ne sommes pas … si ce monde est encore là et si on n’est pas enfermés à double tour dans notre commune, je vous rappelle que nous organisons avec Elisa une rencontre avec les baleines, avec Phahame, cet été à deux reprises au mois de Juillet. Il faut bien continuer à vivre dans le rêve si le rêve est toujours debout. Voilà.

Eh bien, je vous dis à tous bonne soirée, un excellent Agapè, et beaucoup, beaucoup de Joie.

Elisa : Merci de m’avoir écoutée.

Merci à Elisa et merci à chacun de vous surtout pour votre présence.

Au revoir.

Elisa : Merci à tous.

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