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Satsang (en direct) avec Jean-Luc Ayoun
« ESPOIR OU DÉSESPOIR ? »
7 Janvier 2022
Traduction simultanée par Elisa Bernal Esenios en Espagnol.
Elisa : Bonjour à tous, on est avec là avec notre invité d’honneur le docteur Jean-Luc Ayoun, donc on va parler sur le titre qu’on a proposé et puis si vous avez des questions on pourra les mettre sur le chat et je pourrai lui proposer pour qu’il réponde. Voilà alors on va le faire entrer
Bonsoir Elisa, bonsoir tout le monde. Bien, alors tu m’as invité ce soir et j’ai choisi de parler d’espoir ou de désespoir, parce que vous vous doutez bien que, dans l’événement le plus incroyable de l’histoire de l’humanité connue que nous vivons, nous sommes donc collectivement, individuellement, et ce dans tous les secteurs, au sein de ce personnage, de cette histoire, de cette mémoire, nous sommes tous touchés à différents degrés, à différents endroits.
Et j’ai une excellente nouvelle, ce n’est pas prêt de s’arranger. Nous constatons tous que ce que nous appelions la vie, issue d’une histoire, d’un déroulement au sein d’un personnage, d’une forme, se trouve confrontée à quelque chose de bouleversant puisque ce n’est rien d’autre que ce qui se joue en ce moment sur la scène de théâtre, qu’une mise à mort totale de l’humanité. C’est effectivement quelque chose qui peut sembler sans issue, qui, au-delà des interrogations, des souffrances, fort légitimes, nous conduit souvent soit au désespoir soit au contraire à un espoir.
Il y a un proverbe qui dit “l’espoir fait vivre”, mais dans ce bouleversement que nous vivons tous, ce proverbe n’a plus aucun sens. Je m’explique: l’espoir comme le désespoir, comme d’ailleurs l’a parfaitement développé de son vivant Bernard de Montréal, appartiennent définitivement au mensonge planétaire, c’est-à dire à l’histoire, à la mémoire, à la projection dans un futur le plus lumineux qu’il soit, ne représente en définitive qu’une fuite du Réel.
Nous n’avons aucune issue à l’extérieur, il ne peut en exister aucune, ça fait partie du scénario parce que c’est la seule façon de réaliser collectivement, je dirais, qu’on le refuse qu’on l’accepte ou qu’on le recherche ou même qu’on l’ignore, ne changera rien.
Vous ne pouvez pas changer un iota de ce qui est en train de se passer, tout est fait et tout sera de plus en plus fait par l’Intelligence de la Lumière pour vous emmener littéralement à vous-même, là où il n’y a ni temps ni forme. Alors quelles que soient les appellations, que ce soit le Paradis Blanc, l’Ultime Demeure, Shantinilaya, le Parabrahman, l’Absolu, c’est un retour à la Vérité, à marche forcée.
Tout est fait par l’Intelligence de la Lumière pour nous emmener, dans les meilleures conditions possibles de chaque conscience séparée, que ce soit l’ignorance, la colère, le déni, la souffrance, ce qui est à vivre pour chacun sur l’écran de sa conscience est simplement de réaliser que nous ne sommes rien de ce qui nous traverse, et la meilleure chose que nous ayons à faire c’est réellement de se laisser traverser, ce qui nous emmène irrémédiablement à la transparence, à la lucidité, bien sûr à Agapè, et aussi au silence, là où se tient ce qui a toujours été là, et ce qui sera toujours là dans l’ici et maintenant de l’instant présent. C’est là que vous découvrez que vous n’êtes jamais nés ni jamais morts et quoi qu’exprime votre mental, votre corps, votre forme, votre mémoire encore présente éventuellement, vous n’êtes que celui qui est le témoin de tout ça.
Autrement, tant que vous laissez apparaitre cet espoir ou ce désespoir, qu’il vous faut pourtant traverser comme étant des illusions totales par rapport au Réel, c’est comme ça que vous vous rapprochez de là où vous n’avez jamais bougé et c’est comme ça que vous voyez la farce cosmique, le mensonge planétaire, le mensonge cosmique. Bien sûr vous restez humain, vous constatez qu’il y a des émotions qui peuvent encore se manifester sans aucun problème, mais vous savez que vous n’êtes pas cela, vous ne leur donnez aucune prise, vous les laissez passer, et à ce moment-là vous constatez que la meilleure réponse à ce qui est vécu sur la scène de théâtre est effectivement ce que nous avons expliqué pendant des années c’est-à dire l’acceptation et l’accueil de ce drame cosmique que nous sommes en train de vivre en direct.
Mais à ce moment-là vous verrez l’envers du décor si je peux dire, et que nous pouvons appeler franchement et sincèrement du point de vue de la personne, le drame cosmique le plus invraisemblable qui ait jamais existé dans la Création, vous fait découvrir paradoxalement que tout ceci n’est qu’une vaste farce et que la seule réaction qu’on puisse y apporter c’est justement ce silence et cette acceptation, parce qu’à ce moment-là vous ne pouvez plus être ni dans le déni ni dans la colère de ce qui est en train de se dérouler. C’est quelque chose si vous voulez qui va vous permettre paradoxalement comme je disais de vous retrouver dans cette paix intérieure.
Ce n’est ni un déni ni une démission de l’instant présent, bien au contraire, mais je dirais peut-être déchirer les ultimes voiles, les ultimes adhésions à une forme, à une conscience, et juste derrière il y a effectivement cette grande liberté, cet état très particulier parce que vous n’avez aucun doute possible par rapport à ce que vous êtes en vérité et que vous vivez, et comme le voit Elisa à chaque fois, dès qu’il y a des choses remuantes j’ai toujours le sourire, oui ça ne peut pas être autrement. D’un côté il y a gravité pour la … inaudible …
En fait en résumé avant de vous laisser le temps de poser vos questions surtout, je dirais que, en fait, les circonstances individuelles, collectives, mais aussi de notre planète, du système solaire, et ce qui se produit en ce moment même vous le voyez tous les jours, je n’ai pas besoin de rentrer dans les détails, l’important va être ce que vous acceptez ,c’est-à-dire que quand vous constatez qu’il n’y a pas d’issue, qu’il n’y a pas d’espoir et qu’il n’y a non plus aucune utilité à un quelconque désespoir, le moment où il vous semblera tomber au plus bas peut-être, alors un grand éclat de rire vous prendra en profondeur dans le silence.
Comprenez bien que le cauchemar de la scène de théâtre que nous vivons qui n’en est qu’à ses… n’est destiné qu’à une seule chose, que nous n’ayons aucune issue nulle part dans quelque secteur que ce soit, comme dirait Pépère pour déchirer ce cocon de chenille, et non pas seulement, je dirais, non pas sortir simplement de sa chrysalide le papillon, qui lui aussi ce papillon appartient au monde de la forme, mais à laisser être ce qui a transcendé toutes les formes et toutes les consciences, ce que nous sommes en Vérité.
Et si vous acceptez l’intolérable, que ça concerne qui que ce soit ou quelque situation que ce soit, si vous vous placez dans l’instant présent qui est accueil à ce qui est, vous aurez accès je dirais, en quelque sorte aux deux facettes de la même pièce. D’un côté le personnage qui vit sa souffrance et de l’autre côté je dirais, ce que Vous Etes toujours, indépendamment de la naissance, de la mort ou de quelque dimension que ce soit.
Comprenez bien que tout est fait par l’Intelligence de la Lumière par un scénario écrit bien avant la Création. Nous ne pouvons en définitive en vouloir à personne parce que nous sommes réellement au-delà de tous ces jeux de miroir, de scène, de théâtre, de dimensions. Mais pour ça il vous faut vomir ce monde, vomir les mondes de la forme pour être totalement présent à la vérité, à la beauté, là où il n’y a plus de questions, ni sur le jour où Nibiru apparaitra dans les cieux – mais parce que nous le vivons à travers nos tripes, à travers le souvenir de qui nous sommes, et surtout nous reconnaissons que nous ne pouvons rien faire d’autre que d’être là où nous sommes, là où la vie nous appelle à traverser ce que nous traversons.
Bien sûr, sur la scène de théâtre, dès que vous vivez l’envers du décor, la Vérité, vous accompagnez ce monde, vous ne le fuyez pas mais effectivement vous êtes simplement là, présent, disponible, pour faire finalement ce que la vie demande, ce qui pour chacun est différent bien sûr. Et croyez bien que dès que vous êtes à bout de vos espoirs, de vos désespoirs, de vos illusions, de vos croyances, de votre mari, de cette société, de votre famille, quand vous en aurez vraiment marre de l’absurdité de ce jeu de personnage, réellement, alors je dirais immanquablement et invariablement vous redécouvrirez et vous vous souviendrez de qui vous êtes si ce n’est déjà fait.
La seule façon de vivre ce qui est à vivre en toute sérénité est uniquement l’instant présent. L’instant présent ne connait pas l’espoir ni le désespoir parce qu’il y a en même temps une immersion totale dans cette scène de théâtre mais qui est couplée à cette fluidité, cette transparence, qui vous donne une aisance, une facilité, et comme disait Elisa oui, j’ai toujours le sourire surtout quand ça va mal, parce que c’est tellement facile de sourire quand tout va bien – mais sourire quand tout va mal est l’apanage de celui qui n’est plus dupe d’aucune forme, d’aucune conscience et qui a parfaitement compris avec son intelligence, je n’ai pas dit l’intellect, avec l’intelligence c’est-à dire la capacité à relier, que le mécanisme qui est à l’œuvre n’est rien d’autre que de nous ramener à ce fameux point zéro, antérieur au monde de la manifestation, au monde de la Lumière et au monde de la conscience, c’est ce que nous sommes en vérité.
Ceci ne peut en aucun cas être une croyance ou une adhésion mentale, c’est quelque chose qui découle directement, même pas d’un processus vibratoire qui, lui, concerne la conscience – mais qui dépend simplement de votre abandon à toute prétention par rapport à ce monde ou quelque monde que ce soit. C’est cela l’état Agapè, l’état de Grand Silence. Ce qui doit être traversé même dans cet état-là se fait avec évidence et avec le sourire, il ne peut pas en être autrement.
Elisa : Il y a des questions…
Alors je termine sur ces derniers mots, vous ne pouvez rien faire, parce que c’est quelque chose que vous avez écrit, que nous avons écrit, et qu’il fallait envisager de vivre la folie de l’Apocalypse de la Bête, bref tous les événements que vous avez, où que vous regardiez aujourd’hui et sur cette planète.
Voilà, c’était la bonne nouvelle du jour, c’est que ça ne s’arrêtera plus bien sûr et que la joie va grandir de plus en plus, elle va éclore dans plus en plus de cœurs, au fur et à mesure que ce chaos que nous avons devant nous va être déployé si je peux dire. Voilà, tout ça démarrera de façon synchrone par des événements à la fois géophysiques, sociétaux et bien évidemment cosmiques.
Paradoxalement, c’est dans ces moments-là, en ce début d’année 2022, où tout est là en train de se dérouler, qu’il ne peut plus y avoir de recherche de date, malgré les signes avant-coureurs par exemple durant cette semaine, les prémices, en particulier la faille de New Madrid.
Je termine avec ces mots, sans ça je n’arrêterai plus pour les questions. Rappelez-vous, tout ce qui se passe et tout ce qui passe, n’est pas vrai.
Alors maintenant, on va peut-être répondre aux questions. Voilà, je te laisse.
Elisa : Bon alors, ce que je vois de ce qui a comme inquiétude, ce sont les questions du genre : si les gens qui viennent qui sont baptisés, bon on ne va pas expliquer ce que c’est, ils vont aller également, où est-ce qu’ils vont aller les gens, ceux qui sont baptisés?
Ils vont tous mourir et ce n’est pas une prophétie, c’est simplement la réalité. N’oubliez-pas que j’étais médecin quand même, un peu.
Elisa : Mais attends, la question n’est pas – qu’est-ce qu’ils vont devenir ici mais qu’est-ce qu’ils vont devenir après – ?
La même chose que nous. Rien de tout cela n’est vrai. Et je pense que c’est très bien ainsi parce que ceux qui, d’abord, ont eu peur, ceux qui ont été, comme on dit, obligés pour une raison ou par une autre, comme tous ceux qui ne se doutent de rien encore, ce baptême, tu dis, est une contre-initiation, si on peut dire.
Elisa : Une quoi?
Une contre-initiation ou une initiation inversée, diabolique, satanique. Maintenant, de l’autre côté de la scène de théâtre, nous n’avons rien à devenir que nous ne soyons déjà. Alors, quelle importance quant à la finalité que vous soyez tués par le baptême, mangés par votre mari parce qu’il n’a plus rien à manger, que vous preniez une vague de quatre cents mètres sur le visage ou que vous soyez en Béatitude dans le Paradis Blanc. Tout ça n’est pas Vrai. Et c’est ce que le jeu de ce qui se passe est en train de vous faire découvrir.
Je dirais que ce scénario qui se déroule est vraisemblablement, est vraiment (Rire), un scénario des plus pourris qui soient mais quelle importance puisque c’est du cinéma. Je ne peux pas vous en convaincre. Je ne peux pas vous en convaincre, comment dire, vous délivrer de ça. Je ne peux pas vous l’enseigner mais chacun de vous est en route vers ça, que vous le sachiez ou pas. Donc, il n’y a aucun devenir.
Autre question.
Elisa : Oui, c’est-à-dire que les questions, il y en a beaucoup. Il y en a qui disent bon, on est dans l’Apocalypse …
Oui, bien sûr.
Elisa : … bien évidemment. Il y en a qui disent – La Biblia de Kolbrin – est littéraire dans son texte – La Bible de Kolbrin – oui, est très littéraire dans cette explication.
Elisa : Pourtant, moi je veux te poser une question. On nous parle beaucoup d’espoir, que tout ça va passer, qu’il y aura un monde meilleur, qu’on ne va pas y passer tous dans ce jeu – au niveau de l’horoscope et tout ça. Tout le monde ne va pas être concerné.
Je ne peux pas argumenter sur ça. Ce que je peux dire simplement, c’est que dans le Réel, il n’y a aucune place pour un monde quel qu’il soit, de quelque dimension que ce soit. Il n’y a personne. Bien évidemment, ceux qui affirment ça sont sincères avec eux-mêmes mais ils ne vivent pas le Réel. Dans le Réel, il n’y a pas la place pour un univers quel qu’il soit. Il n’y a que la Félicité. Il n’y a que ça. Il y a le Silence. Il y a l’Acceptation de ce qui est, chaque minute, chaque jour. Tout ça ce sont des fantasmes.
Ce sont des gens qui ne sont pas encore allés suffisamment au plus proche … inaudible … de la manifestation. Mais pour ceux qui vivent le Réel, il n’y a pas de temps, il n’y a pas d’espace, il n’y a pas de dimension. Et pour rien au monde, pour rien au monde, je laisserais cette conscience encore m’emmener où que ce soit. Quand on vous dit que la conscience est une maladie totale, la conscience permet d’expérimenter une forme quelle qu’elle soit …
Elisa : Mais il y a peut-être des gens qui … inaudible… mais toi peut-être pas.
Impossible. Impossible. En passant au Temps Zéro Collectif, ce n’est pas pour rien que l’Alpha rejoint l’Oméga. L’Oméga qui a rejoint l’Alpha, c’est uniquement la réminiscence du Réel. À partir du moment où vous le vivez, vous savez réellement et concrètement que vous êtes Tout et Rien. Vous n’avez plus besoin de vous emmerder avec une forme, une conscience, un monde, un univers. Vous ne vous posez plus réellement aucune question par rapport à cela. Vous posez des questions sur le temps qu’il va faire, sur ce que vous allez manger demain éventuellement.
Elisa : Pourquoi les guignols s’acharnent-ils à nous liquider avec la vaccination?
Pourquoi quoi?
Elisa : Pourquoi les guignols s’acharnent-ils à nous liquider avec la vax vu que la finalité est la même?
Pour une raison qui est fort simple. Ils veulent l’asservissement. Ils veulent la souffrance et surtout, à travers l’intelligence artificielle et le transhumanisme, accéder à une forme d’immortalité. Quelque part, ils espéraient s’enfermer encore plus dans le déni du Réel. Mais nous rejoignons tous l’Instant Initial, le Temps Zéro. Il n’y a aucun moyen d’échapper au Réel, aucun.
Elisa : Et la question alors?…
Et plus vite vous vous occuperez d’être dans l’Instant Présent, plus vite vous vous placerez dans l’observateur de ce qui se déroule. Certes, peut-être avec des émotions, des pensées, comme un spectateur. Respirez si vous voulez, profondément, et vous allez voir que tout ça est une farce.
Elisa : Et là on demande, quelle est cette réalité dont tu parles?
L’Unique, Véritable. Tout le reste, ne sont que des mensonges de la conscience. Et encore une fois, je n’ai aucun moyen de vous le prouver mais je dis simplement que les circonstances de vos vies, quelles qu’elles soient, vont vous amener à le vivre. C’est tout.
Elisa : Tout ça pour le mental, c’est difficile.
Le mental ne peut pas franchir, ne peut pas aller sur l’autre rive. Le personnage ne peut pas aller sur l’autre rive. Vous devez faire le deuil, vous devez, au sens archétypiel, vous devez vous sacrifier. Vous devez réellement vous sacrifier. Mais attention, je ne parle ni de suicide ni de déni. Acceptez l’inacceptable. Vous n’avez aucun espoir de vous en sortir.
Elisa : Le personnage n’a pas d’espoir.
Déjà, si le personnage se dit ça qu’il ne peut pas accepter, qu’il ne peut pas croire, il va relâcher la pression parce que tant que vous êtes dans le mental, tant que vous êtes dans l’espoir, tant que vous êtes dans l’interrogation, il est où votre Instant Présent? Dans l’Instant Présent Réel, vécu, il n’y a rien de tout ça. Il n’y a pas besoin de vision, il n’y a pas besoin de voyance, il n’y a pas besoin de certitude, il n’y a pas besoin de plan. Vous n’avez pas besoin de planifier quoi que ce soit. Tout se fait réellement de lui-même.
Je vous assure, ce n’est pas un jeu de mots, c’est uniquement le vécu. Et aujourd’hui, on est des millions, on est des millions à le vivre!
Elisa : Alors, il y a Maria Lucie qui dit : « Pitié, je n’entends même pas parler de nouveau monde, de nouvelles expériences et donc, j’ai renoncé et je renoncerai. »
Elisa : Bien. Il y avait une autre question là-haut, je crois. Ça c’est la dernière. Dans le dernier chat, il y avait quelqu’un, là, qui disait : « Pourquoi donc ces moments de grande tristesse et abattement. »
Ça fait partie du désespoir, c’est-à-dire que pour certains scénarios, certains êtres doivent être baptisés, d’autres doivent passer par une forme de tristesse, même de dépression très importante dans le seul but, rappelez-vous pour tout le monde il est le même, de déchirer le voile du mensonge. Et tout ce qui passe ne peut pas être vrai, c’est un mensonge. Vous, vous ne passez jamais, jamais, jamais, jamais.
Elisa : Quel est le rapport avec les autres sociétés extraterrestres?
Le rapport. La question est très vague.
Elisa : Quel est le rapport avec les autres sociétés, disons, extra-terrestres?
Le rapport de quoi? Avec quoi?
Elisa : Je ne sais pas. La question est en français. Je ne sais pas ce qu’il veut dire, Michel Claveau. Peut-être il veut dire que si les extraterrestres ont quelque chose …,, parce qu’on nous annonce que les vaisseaux vont venir et tout ça.
Bien sûr, oui. Bien sûr. Ça fait partie de ce qu’a expliqué OMA depuis le tout début. Je dirais que l’ensemble de la création, l’ensemble des rêves de la création et l’ensemble des dimensions de la Création, de même l’ensemble des univers, des multivers, ont répondu à l’appel du Souvenir, si je peux dire, du moment où nous sortons du rêve, que ce soient les cigares archontiques, que ce soient les Anges du Seigneur de Véga de la Lyre, les Arcturiens, les Néphilims, enfin bon. Toute la Création a rendez-vous avec cet instant. Nous sommes, nous humains, incarnés dans ce corps, je dirais aux premières loges et aux premiers rôles.
Et dans l’État de Félicité de l’Instant Présent, dans ce que j’ai nommé cet État Naturel, il n’y a pas de place ailleurs que dans mon Cœur pour la totalité de la Création et des dimensions.
Elisa : Ils vont vivre le même réveil que nous?
Oui, bien sûr, ce sera instantané. C’est beaucoup plus difficile, encore aujourd’hui, pour ceux qui ouvrent les yeux ou qui ont les yeux définitivement ouverts, que pour celui qui, malheureusement encore, ignore totalement ce qui est en train de se passer. Mais, que ce soit ce que tu as appelé le baptême, que ce soit Nibiru, que ce soient les extraterrestres, les archanges, La Source même, rappelez-vous – la Clé de la Vérité et du Réel, le temps est une illusion qui s’inscrit dans l’espace …
Elisa : Le quoi?
Le temps est une illusion qui s’inscrit dans l’espace.
Elisa : J’étais en train de lire.
En résumé vous êtes l’espace mais avant tout vous êtes le temps donc le non-temps. Les kabbalistes diraient – Vous êtes l’Ain Soph Aur – ce qui est au-delà de la Lumière et antérieur à la Lumière. Vous n’êtes même pas les enfants de La Source. Vous n’êtes même pas La Source. Vous n’êtes même pas Abba. Vous n’êtes rien. Il n’y a jamais eu personne. Ce n’est pas un jeu de mots, c’est le Réel, qui est vécu. Là vous relativisez tout. Pas parce que vous le voulez, parce que tout est tellement relatif au regard de l’Absolu et de la Félicité.
Elisa : Il y a une question. Pour les couples où un des deux est baptisé, est-ce qu’il faut rejeter le conjoint sachant que, en attendant, la vie ici, maintenant elle continue?
Jamais je ne me permettrai de donner un conseil dans un sens ou dans l’autre. Chaque situation de couple, puisque là on parle de couple – est différente et la meilleure décision à prendre est fonction uniquement de votre ressenti personnel, pas du mien ni de mon avis éclairé de médecin. Je ne peux pas dire ici en public tout ce que je sais, sur l’aspect médical, strict, si on peut dire. J’ai passé, comme beaucoup d’ailleurs, des milliers d’heures à lire tous les documents, à consulter tous les agendas 2021-2030. Mais je ne peux pas dire cela nulle part parce que c’est tellement invraisemblable…
Je crois qu’il n’y a aucun scénario de science-fiction qui arrive à la cheville de ce qui est en train de se passer. Mais, il n’y a pas d’erreur. Il n’y a pas de faute. C’est juste un script, un scénario, qui vous permet de vous retrouver à tous les coups.
Elisa : Ça veut dire que l’on était tellement perdu que l’on a vraiment écrit un scénario vomitif, non?
On n’a jamais été perdu puisque tout a été écrit et vécu dans le même Instant Initial sous quelque forme que ce soit, quelque dimension que ce soit, quelque identité que ce soit et quelque monde que ce soit puisqu’il n’y a pas de temps, il n’y a pas d’espace. Tout cela s’est déroulé en l’espace de l’Instantané. La vitesse de la Lumière …
Elisa : Voilà. J’ai … inaudible … un peu.
Elisa : Il y a encore des questions. Dans mon entourage les gens baptisés ont leurs comportements changés ; plus distants, moins souriants, plus agressifs. C’est normal?
Ce n’est qu’un début. Je parle de quelque chose qui a démarré un petit peu avant les fêtes et qui se renforce chaque jour. On va voir des choses incroyables. (Rire) En fait, avec ce baptême, comme tu l’appelles, en fait vous faites face à un seul choix. Alors, quels que soient les alibis ou quelles que soient les vérités, que vous ayez besoin de travailler, besoin de nourrir votre famille, quel que soit ce qui vous semble important à vos yeux par rapport à cet acte de baptême, le baptême vous pose la question et vous oblige à répondre à la question suivante – Est-ce que ton royaume est de ce monde? – Laisse les morts enterrer les morts.
Elisa : Comment?
Laisse les morts enterrer les morts, mais en vérité personne ne meurt. Je dirais que le drame cosmique que nous vivons est la Clé du Souvenir. Comme je l’ai dit il n’y a pas longtemps, – celui qui rêve sait rarement qu’il rêve – celui qui rêve sait rarement qu’il est en train de rêver même si bien sûr il existe des rêves lucides, des rêves conscients, enfin toute la panoplie des rêves. Mais quand vous faites un cauchemar, vous savez qu’en général, on se réveille. Je vous rappelle aussi que j’ai une expérience de médecin du SAMU, c’est-à-dire, des médecines d’urgence. C’est un petit aparté par rapport à cette notion que je suis en train de développer.
J’ai été surpris de constater quand j’allais ramasser les morts et, en particulier, les morts durant leur sommeil. Souvent ce sont des accidents vasculaires-cérébraux ou des accidents vasculaires cardiaques, des infarctus, et il y avait toujours une expression sur les visages de ces morts. Et il n’y avait que deux expressions possibles ; la terreur, ça se voyait sur le visage du mort ou la Félicité. Le rêve, celui qui meurt en rêvant rejoint le Réel bien sûr. Il est passé par le Paradis Blanc, donc il est en Béatitude. Celui qui a le masque de la terreur, par opposition, lui a fait un cauchemar, il est mort durant ce cauchemar mais il a rejoint le même Réel.
La seule différence en fait, c’est à vous de la choisir, l’Amour ou la souffrance. Il n’y a pas d’autre choix et tout vous ramène à ça jusqu’au moment où il n’y a plus le choix.
Elisa : On prend la dernière question, Jean-Luc?
Allez, vas-y.
Elisa : Alors, je traduis. Alors, si nous ne sommes pas réels, le personnage fait ce que l’écrivain dit et nous n’avons aucune responsabilité de rien, seulement l’écrivain ou la conscience divine, c’est elle qui dirige tout …
C’est elle …
Elisa : … c’est la conscience qui dirige.
Non. Non. Absolument pas, ni la conscience ni la supra-conscience ni la Lumière. C’est l’Intelligence de la Lumière qui est antérieure à la forme et à la Lumière. C’est à la fois, je dirais, le principe organisateur et le principe destructeur qui met fin justement à toutes les formes qui sont apparues ; que ce soit un univers, un soleil, une cellule, un être humain ou un extraterrestre. Bidi appelait la conscience : la grande perfide, la grande traitresse. Moi j’ai dit aussi que c’était une maladie, une maladie mortelle heureusement. Mais je vous rassure, vous ne pouvez pas croire à ce que je vous dis, ni même l’accepter. Vous ne pouvez que le vivre ou ne pas le vivre, c’est tout.
J’y vois là-dedans, ni aucune supériorité, ni aucune infériorité, ni aucune maîtrise. C’est être Ici et Maintenant dans l’Instant Présent. Il n’y a besoin de rien d’autre. Tout le reste se fait automatiquement ; gagner sa vie, travailler, etc…
Voilà, je crois qu’on a dépassé un peu l’heure, là.
Elisa : Oui. Je te remercie beaucoup d’avoir accepté l’invitation d’aujourd’hui, Jean-Luc.
Je te remercie de m’avoir invité aussi.
Elisa : On est quand même pas mal en direct.
On est combien?
Elisa : 288 personnes.
Oui, plus ceux qui relient chez Louis Geary par exemple qui prend directement pour l’incruster sur sa page.
Elisa : Ah bon. Eh bien on est beaucoup.
Et rappelez-vous que, au bout du chemin de croix apparent, peut-être que nous vivons, je vous rappelle qu’il n’y a pas de chemin, il y a que l’Instant, il y a que le Sourire qui vous attend. Débarrassez-vous du monde tout en y étant parce que vous ne pouvez pas être ailleurs. Même en voyageant dans toutes les dimensions comme je l’ai fait pendant des années …
Elisa : Comment?
Même en voyageant dans toutes les autres dimensions comme je l’ai fait pendant des années, aucuns de ces vécus, aucuns de ces états modifiés de conscience ne peuvent prétendre à approcher le Réel, l’Instant Présent, Ici et Maintenant.
Merci à tous de votre écoute. Merci à toi, Elisa.
Elisa : Merci Jean-Luc. Merci.
À bientôt!
Elisa : Merci d’avoir été là, à l’écoute. J’espère que ça vous a plu. On a eu ce privilège de l’avoir eu en direct et j’espère qu’on va pouvoir digérer tout ça tranquillement dans le personnage. C’est aussi simple que ça. Ici et Maintenant.
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