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Entretiens avec Jean-Luc Ayoun
Webinaire AGAPÈ (Lead Yourself)
Partie 4

12 octobre 2020

– Neurosciences, les 3 modes, les 3 cerveaux

– Circuits de la récompense et de la punition ou le diable dans la tête

– Comportements primaires, les dictats de la mémoire

Cristina : Webinaire Agapè on line.

Bonjours à tous et bienvenue de nouveau dans cet espace sans espace qui est Agapè. Au nom de toute l’équipe humaine et éthérique nous vous souhaitons les bienvenues. Et nous vous souhaitons un cheminement dans cette journée de Joie et d’Agapè.

Et pour commencer notre journée aujourd’hui magique, nous aurons notre commandant Jean-Luc qui commande ce navire.

À tout de suite.

Jean-Luc : Bonjour à tout le monde.

Alors, avant de commencer, je précise que là je vais survoler des données, je dirais neuroscientifiques, qui vont comme hier, à un autre niveau, vous permettre de comprendre le fonctionnement général de la psyché humaine, de l’âme humaine et de la personnalité humaine.

Alors bien évidemment l’intervention d’aujourd’hui concernant les neurosciences va reprendre des éléments que j’ai eu l’occasion déjà, que j’ai eu l’occasion de développer de façon très vaste. Là mon objectif est de ne pas rentrer dans les détails mais d’essayer de vous donner en une heure et demie une vision cohérente et globale du fonctionnement de tout humain.

Alors bien sûr quand je parle du cerveau aujourd’hui, je parle du cerveau de la tête. Nous avons en effet deux autres cerveaux, un qui est majeur, qui est le cerveau du cœur où il y a un agencement d’à peu près deux cent mille neurones. Ces neurones ont leur propre programme, leur propre programmation. Il existe un troisième cerveau que l’on appelle le cerveau du ventre, qui lui est profondément lié à nos comportements par l’influence de molécules qu’on appelle des «neuromédiateurs» qui sont sécrétées par nos bactéries intestinales.

Je vais prendre un ou deux exemples par rapport à ce cerveau du ventre. Par exemple si vous avez un champignon que l’on appelle le «monilia albicans», où le «candida albicans», cette bactérie, ce champignon, pardon, c’est un champignon, va sécréter des neuromédiateurs, des molécules chimiques qui vont induire directement sur votre comportement alimentaire, c’est comme si la flore intestinale déclenchait en vous le besoin de manger certains aliments, non pas pour vous nourrir vous, mais pour nourrir les bactéries elles-mêmes.

J’ai pris l’exemple du candida albicans parce que ce candida albicans, monilia albicans va vous programmer quelque part, pour manger ce qui lui fait du bien à lui et pas à vous, en l’occurrence pour le candida albicans c’est les laitages.

Donc on voit d’ores et déjà que le cerveau de la tête n’est pas le seul centre de commande mais est, soit en collaboration, soit en compétition, avec le cerveau du cœur et le cerveau du ventre.

Donc nous avons trois pôles d’activité neuronale et chimique, la tête, le cœur et le ventre, donc il y a une tripartition. Le cerveau du ventre correspond à l’instinct et aux pulsions, et le cerveau du cœur, indépendamment de la régulation physiologique, est avant tout le cerveau qui s’active dans ce que nous nommons l’amour inconditionnel ou Agapè.

Bien évidemment il n’y a pas que le cerveau du cœur dans le cœur, il y a aussi le péricarde, et le cerveau de la tête, c’est ce que j’appelle le diable, et je vais essayer de vous montrer à travers le fonctionnement du cerveau de la tête ses mécanismes de fonctionnement, ses mécanismes de séduction qui fonctionnent en totale autonomie et vous font croire que vous êtes responsables de ce que vous décidez, de ce que nous appelons la cognition.

Il n’y a rien de plus faux. En effet, dans la tête, le cerveau est constitué de manière phylogénétique mais aussi ontogénétique, de trois parties. Le cerveau le plus archaïque, le plus ancien, le nom savant c’est «paléocortex» et, comme par hasard, il est appelé le cerveau reptilien.

Lors de la soi-disant évolution est apparu un deuxième cerveau, qu’on appelle en termes scientifiques aussi tout le cerveau limbique et émotionnel, le cerveau des mammifères dont nous faisons partie.

Retenez que dans ce cerveau des mammifères, il y a un principe extrêmement fort qu’on appelle «le principe de Lucifer» qui est actif chez tous les mammifères, dont l’homme, et qui met en avant de façon constante une notion de compétition, pas de prédation, de compétition, de comparaison, c’est l’instinct aussi du groupe social dans toute communauté sociale mammifère ou humaine. Ce principe de Lucifer est à l’action à l’insu de notre plein gré à un niveau infra- conscient, pas subconscient, infra-conscient.

Ce cerveau des mammifères ou cerveau mammalien est régi par la notion de hiérarchisation au sein d’un groupe social que je résumerai par ces trois mots, par ces trois expressions : le chef, c’est-à-dire celui qui commande le groupe, est reconnu par tous les autres de manière tacite, par exemple une meute de loup, il y a le mâle dominant. Ces trois principes qui sont à l’œuvre à l’insu de notre plein gré, qui déterminent le chef de la meute, le chef du groupe social, c’est celui qui mange en premier, c’est celui qui fait l’amour en premier, c’est celui qui commande dans un objectif de préservation du groupe, mais souvent au détriment d’autres membres du groupe.

Tout ce que nous nommons dans l’individu, comme dans l’entreprise, comme dans les groupes sociaux sont régis par ce principe-là, par ces trois principes. C’est à l’œuvre chez tous les mammifères. Le chef de meute, le commandant, le patron, c’est censé être le plus fort mais surtout celui qui domine les autres. Ce cerveau moyen, médian, le cerveau des mammifères, est lié bien évidemment comme on le verra aux émotions, à tout ce que nous nommons l’intelligence émotionnelle.

Et enfin il y a un troisième cerveau dans la tête qui est le cerveau soi-disant le plus récent, la matière grise, le néocortex qui est lié à la cognition et bien sûr toutes les fonctions motrices, sensitives. Il est lié à la perception alors que le cerveau reptilien, le premier cerveau dont j’ai parlé, le cerveau reptilien est lié à la mémoire, à l’apprentissage, au réflexe de survie.

Le cerveau mammalien, le cerveau limbique, le cerveau émotionnel, est lié totalement à l’intelligence émotionnelle avec ses deux composantes majeures, l’intelligence émotionnelle personnelle : comment on agence, comment on réagit, comment réagissent les interactions liées aux perceptions, aux émotions, et leur impact sur le corps. Tous les cerveaux, le reptilien, le limbique (l’intermédiaire), et le néocortex sont en feedback permanent par différentes voies qui ne sont pas chimiques et qui vont réguler le corps.

Par exemple au niveau du système limbique, cerveau émotionnel, le cerveau passe son temps à envoyer des fréquences qui vont de quarante huit à sept cent quatre vingt kilohertz, qui sont comme par hasard les fréquences des cristaux : le dioxyde de silicium, le cristal de roche, qui sert à mesurer le temps dans nos ordinateurs, nos montres, dans nos cellules aussi, passe par ce qu’on appelle les zones latérales du cou, et le cerveau contrôle en permanence le fonctionnement de tous les organes du corps.

Par exemple, à l’heure de l’organe foie ou du méridien foie entre deux et quatre heures du matin, le cerveau envoie une fréquence, il dit «allo, allo le foie», il envoie une fréquence par les zones latérales du cou qui est censée être reconnue par le foie, et le foie renvoie la fréquence, – en informatique on appellerait ça un pling -, tant que le foie répond, le cerveau dit OK.

Si votre foie est malade, quand le cerveau lui envoie «allo le foie», le foie ne peut plus répondre et le cerveau à ce moment-là, par ses mécanismes fréquentiels, le cerveau limbique va exclure l’organe de sa régulation.

Vous avez à travers ça la genèse de toutes les maladies sans aucune exception. Il y a d’abord un déséquilibre qui apparaît soit sur le plan astral, soit sur le plan mental, et qui va petit à petit au fur et à mesure du temps entraîner une exclusion de la régulation du cerveau sur le foie. Le foie est alors exclu, et à ce moment-là vous rentrez dans des maladies organiques qu’on appelle dégénératives.

Il en est de même pour chaque organe en sachant qu’un organe est bien plus que ses fonctions anatomiques, physiologiques, métaboliques, mais qu’un organe est avant tout un archétype dans l’agencement de la création. Il y a donc des esprits, des génies, qui préfigurent la forme de tel ou tel organe, ceci a été parfaitement décrit en médecine chinoise.

Par exemple j’ai pris l’exemple du foie, on s’arrêtera là sans ça ce sera trop long. Le foie en chinois c’est Gan (prononcer guan ou gouan), c’est un mot chinois, Gan. Les chinois nous disent que le foie est le ministre des armées chargé de la prévision et du plan. Au-delà de la Chine, ça nous renvoie aussi au mythe de Prométhée qui chaque nuit voit son foie qui est mangé par un aigle et qui repousse chaque jour. Chaque jour son foie est mangé et la nuit le foie se reconstitue.

Les émotions, il n’y a là ni jugement de valeur positive ni négative, sont formellement liées aux organes et bien évidemment aussi à des zones cérébrales puisqu’il y a une connexion entre le système limbique et les organes du corps. Ça ne se fait pas par voie chimique, ça ne se fait pas par voie neurale, mais par voie fréquentielle.

Tout ce que je survole maintenant a fait l’objet d’innombrables satsangs et entretiens depuis plus de dix ans. Alors je reviens à mes trois cerveaux maintenant et on oublie les organes. Donc vous avez trois cerveaux, dans la tête, le plus archaïque, on l’a vu, le plus central, si vous voulez ça correspond à l’hypophyse, l’hypothalamus, tout ce qui est dans la partie médiane et centrale du cerveau.

C’est à ce niveau que siège la dictature cognitive et les injonctions comportementales dysfonctionnelles, ceci est lié à l’apprentissage entre zéro et sept ans, c’est-à-dire qu’entre zéro et sept ans et certains même disent zéro à quatre ans, la programmation du disque dur a lieu.

Quand vous allez rencontrer dès la naissance certains archétypes, la façon dont vous vivez cet archétype va conditionner à l’insu de votre plein gré le restant de vos jours. Tout cela fait partie d’un corpus de connaissances auquel je vous renvoie, que vous trouverez d’ailleurs expliqué dans ma brochure «Cristaux et Être», qu’on appelle en psychiatrie les schémas dysfonctionnels précoces, et que nous avions appelés à l’époque en 2010 «Les petits diables».

Le cerveau reptilien qui est responsable du réflexe de survie et de la préservation de l’espèce …

Traductrice : Qui est responsable pour le …, Jean-Luc excuse-moi répète.

Oui, je disais ce cerveau reptilien qui est responsable -je ne sais plus ce que j’ai dit – qui est responsable des injonctions comportementales, pathologiques, c’est le cerveau qui est lié donc à la préservation de l’espèce, au réflexe de survie : quelque chose brûle, vous mettez la main sur quelque chose qui brûle vous n’avez pas besoin de réfléchir et de vous dire «ça brûle» pour retirer la main, la main est retirée toute seule avant même que votre conscient intervienne.

Le cerveau reptilien passe son temps à nous tromper, il est bien évidemment interconnecté au cerveau émotionnel parce que les injonctions comportementales du reptilien vont être travesties par les émotions et nous faire accepter que c’est nous qui décidons. C’est faux.

Toutes les décisions que nous prenons sans aucune exception ne sont jamais libres. Elles sont conditionnées par l’écriture du programme en rencontrant les premiers archétypes : papa, maman, l’autre. Quand on est petit, ça peut-être le lit, le doudou qu’on suce, la tétine et bien sûr les émotions primaires.

Un bébé qui a faim pleure, si la nourriture arrive tout de suite il y a satisfaction. Si par contre le bébé pleure et qu’il n’a pas de réponse assez rapide, il va avoir faim longtemps, alors le disque dur du cerveau reptilien va engrammer la notion de peur du manque. C’est-à-dire, et ça on le verra plus dans les thérapies cognitives et comportementalistes, ne vous inquiétez pas je vous ferai parvenir via Cristina un ensemble de documents en PDF ou en Power point, qui vont vous permettre de retrouver tout ça et rentrer un peu plus dans la compréhension.

Donc, nous avons trois cerveaux dans la tête. Nous avons un cerveau dominant, un cerveau d’appui, qui appuie le dominant, et un cerveau qui est réprimé. Les systèmes de mesure biophysique que j’ai mis au point en neuroscience, qui sont présents maintenant sur les cinq continents, permettent de mesurer l’activité de ces trois cerveaux et permettent de mesurer de façon validée plus de trois cent critères ou items de ce que l’on nomme l’intelligence émotionnelle.

Vous avez donc trois cerveaux. On dit par exemple que soit vous êtes néocortical, soit vous êtes limbique, soit vous êtes reptilien. Je vais prendre un exemple professionnel qui va faire plaisir à Cristina.

Si vous travaillez chez IBM, vous êtes nécessairement un conservateur et un reptilien. Vous êtes habillé avec un costume, avec une cravate. Si vous travaillez par exemple chez un publicitaire, vous cherchez à déclencher par l’image une pulsion d’achat et vous êtes nécessairement un limbique comme tous les artistes. Si vous êtes un créatif pur, même un artiste maintenant, qui ne reproduit pas mais qui crée, à ce moment-là, on dit que vous êtes un néocortical pur.

Le reptilien est axé sur le passé et la mémoire. Le cerveau limbique, on l’a vu tout à l’heure, est relié à ce qu’on appelle la socialité, la capacité à représenter sa place au sein d’un groupe. Et si vous êtes un néocortical, vous êtes dans l’innovation, vous êtes dans la recherche de nouveauté et vous n’acceptez pas les règles.

Alors, vous imaginez ça par exemple dans le recrutement en entreprise. J’ai créé des systèmes biophysiques de mesure qui permettent de déterminer si un individu est néocortical ou reptilien. Si vous vous voulez faire rentrer un néocortical chez IBM, vous courrez à la catastrophe. Donc, on mesure parfaitement aujourd’hui l’activité de ces trois cerveaux. Chacun des cerveaux peut être classé en fonction, j’ai parlé du temps, le passé, le présent, mais je pourrais vous parler aussi des compétences de chacun de ces cerveaux.

Tout ça, vous aurez des graphiques. Chaque cerveau est sous l’influence d’un neuromédiateur principal. Pour ce qu’on appelle le cerveau reptilien, le neuromédiateur est la sérotonine.

En ce qui concerne le cerveau limbique, le neuromédiateur est la noradrénaline. Et enfin pour le néocortex, vous avez ce qu’on appelle la dopamine, son nom veut dire ce que ça veut dire ; l’amine, l’acide aminée qui dope, la dopamine, l’amine qui dope.

Ces trois neuromédiateurs sont en interaction et en compétition permanentes. Quand vous êtes un néocortical, c’est votre cerveau dominant, votre cerveau d’appui sera le limbique et le cerveau réprimé sera le reptilien.

Alors bien sûr, toute cette alchimie, toute cette chimie des trois neuromédiateurs principaux est stabilisée ou pas par un quatrième neuromédiateur, qui lui n’est pas seulement dans le cerveau mais dans tout le corps, qu’on appelle l’acétylcholine. C’est ça qui fait bouger les muscles quand vous avez un nerf qui va libérer la plaque motrice qui va déclencher le mouvement, là c’est l’acétylcholine.

Un neuropsychiatre américain Robert Cloninger a créé une grille de lecture qu’on a appelée une carte psychobiologique de la personnalité. Et rappelez-vous que tout ça est programmé à l’insu de votre plein gré, à l’insu du conscient, et va diriger toute votre vie. Je vous montrerai tout à l’heure, je vous expliquerai pourquoi, quand vous décidez d’acheter un yaourt, une voiture, vous croyez décider, c’est faux.

Le marketing dépense des milliards pour savoir qu’est-ce qui motive une décision d’achat. Pour le yaourt par exemple, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas le goût, c’est la texture. Pour une voiture, les hommes vont être déçus (Rire). On peut être sensible à la puissance, à la forme, à la couleur, mais malheureusement ce n’est pas ça qui déclenche l’achat. Vous allez voir, c’est l’odeur. Si vous rentrez dans une voiture avec une odeur qui sent le vieux cuir, ou qui sent le pain d’épices, le chocolat chaud, vous allez acheter la voiture.

La décision ou la pulsion d’achat n’est pas guidée par votre raison, mais par la programmation entre zéro et sept ans dont je parlais tout à l‘heure. Le cerveau reptilien est lié à l’olfaction. Quand vous dites à quelqu’un : «lui, je le sens, Lui, je ne le sens pas», ce n’est absolument pas l’énergie ou la raison qui vous fait dire ça. Dès que vous employez l’expression, «ça, je le sens» « ça, je ne le sens pas», cela n’a rien à voir avec l’intuition ou la raison. Ça s’appelle de l’instinct. C’est un réflexe qui fonctionne à l’insu de votre plein gré.

Alors, si vous avez un cerveau dominant néocortical et donc un cerveau réprimé reptilien, vous arrivez à passer par-dessus sans problème. Mais si vous êtes un conservateur, un reptilien, vous serez toute votre vie soumis à ces injonctions comportementales. Et le pire c’est que vous croyez que ça vient de votre décision, alors que c’est une décision de votre mémoire, de votre disque dur.

Maintenant, je vous demande de bien écouter parce que là je survole mais retenez bien. On a démontré quelque chose d’exceptionnel en neurosciences, en particulier avec les imageries, scanner et IRM …

Alors, apparemment, même problème que tout à l’heure, il n’y a pas d’image.

Traductrice : Oui. Tu branches ton téléphone ?

On va essayer mais vous m’accordez deux minutes alors.

Traductrice : Oui, oui.

Tu te rappelles où j’en étais resté ? (Rire)

Traductrice : Je zappe facilement. (Rire)

Je précise quand même que depuis toujours, je n’ai jamais de notes avec moi et quel que soit le domaine les mots sortent spontanément. Donc, bien évidemment, quand le…

Je te laisse expliquer ça et je reviens.

Traductrice : Ok.

(La traductrice prend le temps de fournir des explications en portugais et poursuit en français.)

Traductrice : Jean-Luc a un petit contre temps technique. Il m’a dit de vous dire qu’il ne prend jamais de notes dans son travail quand il parle en satsang. C’est toujours spontané.

Alors. Je suis revenu sur le téléphone mais ça ne marche toujours pas.

Traductrice : Pas d’image.

Donc, ce n’est pas lié à l’IPad. C’est vraiment lié à la vidéo. Je ne peux plus rentrer en tant qu’administrateur quand il y a trop de monde. Donc, je vais continuer à parler. On ne va pas faire déconnecter tout le monde.

Traductrice : Ah, oui! Ça marche !

Ça marche. Alors, par contre là j’ai le téléphone. Alors là je vais essayer de me caler un peu comme tout à l’heure. Voilà. Ça va là ? Oui. Parfait.

Traductrice : Bien oui.

(Cristina ajoute un commentaire en portugais.)

Je reprends. Bien.

Chaque cerveau est donc responsable …

Il y a des coupures de réseau là.

Traductrice : Oui, il y a des coupures. Oui. Vas-y !

On continue. Bien.

Chaque cerveau donc, je vous ai donné l’exemple du reptilien, mais on peut prendre tous les cas de figure. Retenez simplement que chacun de ces trois cerveaux est responsable de ce que nous nommons un comportement primaire. Je vous ai parlé du quatrième neuromédiateur aussi dans le cerveau, l’acétylcholine, qui lui règle la stabilité des trois autres.

Le cerveau reptilien lié à l’acétylcholine est responsable d’un comportement primaire qu’on appelle, Cloninger lui le nomme, «l’évitement de la souffrance», nous, nous le nommons plutôt attitude face à l’épreuve. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, vous avez des individus qui sont excellents quand ils se sentent menacés. Ça c’est typiquement reptilien.

Vous avez un deuxième comportement primaire que Cloninger comme nous-mêmes au sein de mon équipe, nous avons appelé « le besoin de récompense». Le besoin de récompense, par exemple, est directement lié à votre niveau de socialité. La phobie sociale, par exemple, ce sont des gens qui ont un système limbique atrophié et une carence en noradrénaline. Le troisième comportement primaire, lié à la dopamine, donc au niveau du cerveau le plus récent, le néocortex, est responsable d’un comportement qu’on appelle «la recherche de nouveauté».

Je vais prendre l’exemple extrême, le cas où la dopamine serait très haute et la recherche de nouveauté donc aussi. Contrairement à l’exemple précédent du reptilien, celui qui est néocortical va avoir besoin de stimuli permanents, il va rechercher la nouveauté et à l’extrême, ça donne un individu qui a une personnalité arriviste héroïque. C’est ce qu’on appelle pour ceux qui connaissent l’Ennéagramme, ce qu’on appelle l’arriviste héroïque …

Traductrice : Oui mais arriviste en portugais, je ne connais pas. (Rire)

Ah, ce n’est pas grave. Le héros, le héros.

C’est celui qui va…c’est Arnold Schwarzenegger, mais à l’intérieur, c’est un enfant terrorisé. (Rire)

Il faut savoir que chacun de ces comportements primaires ou chacun de ces neuromédiateurs peut être normal, en déficit ou en excès. Chacun de ces trois comportements a une valeur propre à l’individu, et de l’agencement de ces trois comportements primaires naît ce qu’on appelle le tempérament qui est une des composantes de la personnalité.

Il y a donc, je vous l’ai dit, un quatrième neuromédiateur, l’acétylcholine, qui lui va donner comme critère ce qu’on appelle la stabilité néo physique qui correspondrait grosso modo à ce qu’on appelle en psychologie, ce qu’on appelle la maturité. Là aussi ce neuromédiateur peut être normal, ou le comportement si vous préférez, c’est pareil, peut être normal, augmenté ou diminué. L’alchimie de ces quatre comportements donne quatre-vingt-un types de tempérament. Et explique aussi, ce que le psychiatre italien Roberto Assagioli avait observé, c’est-à-dire tout ce que l’on appelle les sous-personnalités.

J’ai bien dit sous-personnalités et pas personnalités multiples. Dans le cas des sous-personnalités, dans les processus d’adaptation à un évènement vous n’avez que trois stratégies : la fuite, la lutte ou le refus de voir. C’est l’autruche qui met la tête dans le trou. Ça c’est ce qu’on appelle la dissonance cognitive. C’est exactement ce qui est mené à l’heure actuelle sur l’humanité par des processus de modification comportementale des masses, afin que vous ne puissiez plus être équilibrés et mettre en branle les réflexes de survie et les réflexes de peur.

Les personnalités multiples, elles, renvoient au MK Ultra qui est aujourd’hui utilisé de toutes les manières possibles, grâce hélas à ce qu’on appelle le neuro marketing, qui là n’est pas fait pour vous faire acheter un yaourt ou une voiture, mais vous faire accepter le vaccin, ou quelque chose, pas uniquement un vaccin. Au niveau individuel, c’est exactement la même chose. La vie nous fait vivre un choc, par exemple un deuil. Le deuil va figer, alors nous on dirait «ça donne les boules à la gorge», ou le chakra de la gorge est noué. Mais surtout, ça va paralyser le système limbique et à ce moment-là, il n’y a plus de communication possible entre la tête et le corps.

Traductrice : Coupure !

(Il y a une coupure. On n’entend plus la traductrice.)

Traductrice : Ça y est !

Voilà, alors, nous reprenons. J’en étais dans les considérations de neuro marketing et je faisais le lien entre le neuro marketing et l’ingénierie sociale et le MK Ultra.

Alors, notre neuropsychiatre américain dont je parlais tout à l’heure, a démontré qu’il existait quatre-vingt-un tempéraments chez l’être humain. Et bien sûr, selon ce que l’on vit, s’il y a un choc, s’il y a une peur, à ce moment-là le tempérament de la personnalité va changer. Et bien sûr, selon que vous soyez un néocortical ou un reptilien, vous n’allez pas du tout agir ou réagir de la même façon. Bien évidemment, tout ce que je vous dis là, et encore une fois je ne fais que survoler, ne vous est d’aucune utilité pour la Vérité, pour Agapè.

Je répète ce que je disais hier, je bâtis une espèce d’échafaudage, un cadre de référence, afin de le faire voler en éclat, demain soir. Néanmoins, le fait de se connaître soi-même, d’avoir une vision à peu près cohérente du fonctionnement de la machine humaine au niveau comportemental, explique beaucoup de chose. Et quand vous le comprenez, c’est très simple.

À un autre niveau, vous devenez l’observateur de vous-mêmes, le fameux témoin, le fameux observateur de l’enseignement de Nisargadatta en 2012. On dirait en psychologie prendre du recul, voir les choses de façon plutôt synthétique qu’analytique. Ou si vous préférez, voir la main et les fils qui manipulent la marionnette que nous sommes. Le diable, il est en nous avant d’être à l’extérieur.

Donc, de l’alchimie de ces trois neuromédiateurs plus le quatrième, on est capable de retracer le mode de fonctionnement complet d’un individu par rapport à ses stratégies d’adaptation, ses stratégies de fonctionnement. Je n’ai pas le temps de développer. Je vous ai donné un exemple pour la dopamine, Schwarzenegger a un excès de dopamine. Celui qui a un excès d’acétylcholine va être rempli de peurs et en particulier de peur de la nouveauté, et donc la peur de l’inconnu.

Et ça on le voit à travers les systèmes de mesures, et à travers les thérapies cognitives de façon quotidienne. Tout nos scenarios de vie, sans aucune exception, amoureux, professionnels, relationnels, sont tous dictés par la mémoire de l’apprentissage, plus bien sûr ce qu’on appelle les ancêtres, la mémoire familiale, la mémoire ancestrale.

Le but de tout ça et de toutes ces études et de toutes ces compréhensions, a été de bâtir voilà vingt ans, ce que j’ai appelé un méta modèle de régulation des systèmes vivants. Quand Nisargadatta, moi-même ou Abba, nous vous disons : «vous n’êtes pas cette personne», c’est la stricte vérité. Les neurosciences le démontrent formellement aujourd’hui.

Et c’est d’ailleurs la chose, avant la coupure, dont je voulais parler, c’est justement cela, c’est-à-dire comprendre que nous ne sommes que le résultat d’une mémoire, que le résultat de conditionnements, de souffrances et d’apprentissages. Comment voulez-vous que l’instant présent soit libre ?

Et c’est là où intervient quelque chose de fondamental, mais je vous l’ai dit juste avant la coupure, en imagerie cérébrale on a démontré, formellement, ce qu’on appelle le syndrome de la plainte. Que dit ce syndrome de la plainte ? Il vous dit simplement que quand vous appuyez là où ça fait mal, ça ne peut faire qu’encore plus mal.

Un exemple typique. Vous avez vécu un problème important avec votre père, quelle que soit la situation, que ce soit un abandon, un inceste, des violences, ou un père hyper protecteur, ça ne change rien. Votre disque dur va engrammer «danger».

Dès que vous allez vous retrouver à l’âge adulte face à une autorité, et là les stratégies d’adaptation rentrent en jeu, les réflexes de survie du disque dur vont entraîner un certain nombre d’évènements dans votre personne, sur lesquels vous n’avez aucune action.

Le syndrome de la plainte ou la théorie de la plainte, nous a démontré par l’imagerie cérébrale que si par hasard vous voulez éliminer votre problème avec votre père, que ce soit par une psychothérapie, par de la psychologie, par n’importe quoi, les constellations familiales par exemple, vous allez donc vouloir résoudre, vouloir éliminer cette souffrance.

Alors certes, vous allez l’éliminer de votre tête, il n’y aura plus de réaction émotionnelle, mais ça va descendre progressivement au fur et à mesure des années dans le territoire du corps qui y correspond. En règle générale, ça prend dix à vingt ans avant d’apparaître au niveau physique.

C’est l’escroquerie absolue depuis plus d’un siècle de toutes les données de la psychologie, qui nous ont fait croire que pour résoudre un problème, il fallait le regarder en face, l’analyser, le dépasser. Il n’y a aucune transcendance là-dedans, et la théorie de la plainte a abouti à cette phrase que je trouve magistrale : Tout ce à quoi vous vous opposez, tout ce que vous faites revivre dans le présent, se renforce.

Quand vous faites un travail par exemple sur un conflit de partenaire, avec le mari, on sait que la zone du corps qui correspond à cela c’est le sein droit, dans l’exemple de papa tout à l’heure, c’était l’ovaire droit, et je ne vous parle pas là de symbolisme du corps, mais de choses encore bien plus fortes qui sont inscrites dans notre architecture neurologique.

Tout ce à quoi vous allez vous opposer va se renforcer. Si vous transposez ça au niveau collectif de l’humanité à l’heure actuelle, vous comprenez parfaitement ce qui va se passer : la confrontation totale.

Tout ce à quoi vous vous opposez se renforce, tout ce que vous voulez analyser et comprendre de votre personnage par rapport à ce dont vous souffrez aujourd’hui va aussi se renforcer. Pas au niveau mental, vous l’avez éliminé, mais dans le corps. On est bien loin de ce qu’on appelait la médecine psychosomatique, mais on est dans l’influence directe de votre psyché, de vos comportements, de vos souffrances, de vos apprentissages, qui vont descendre, comme je l’ai dit, dans le corps.

Alors ça, ça correspond à un médecin qui a été très connu, dont il ne fallait surtout pas parler en France, qui est le Docteur Hammer, dans la médecine intégrale, tout vient de votre tête. Le diable est dans la tête.

Pourquoi nous avons tellement insisté sur l’instant présent, sur Hic et Nunc, ce n’est pas quelque chose qui est abstrait, c’est quelque chose qui est inscrit dans l’architecture neurologique.

Vous n’avez aucune autre solution, et on commence à en parler dans ce que nous nommons la «neuro éthologie», excuse-moi, je vais faire simple. Les neurosciences du comportement et la neuro éthologie ou la neuroscience spirituelle, par exemple, si on parle de l’éveil de la Kundalini, l’imagerie cérébrale nous le montre. Tout le cortex sensitivo moteur est en hyper activité.

Quand vous avez un cancer du sein, vous avez le territoire correspondant au niveau psychologique, mais aussi le territoire du cerveau qui est touché. C’est toute la cartographie du Docteur Hammer et de la médecine intégrale. Et les neurosciences aujourd’hui ont démontré, je ne vais pas faire plaisir à beaucoup de gens là, que tout travail sur soi ou sur quelque mémoire que ce soit, vous condamne irrémédiablement.

Vous n’avez pas d’autre alternative que de voir cet esclavage cognitif, qui ne dépend aucunement de vous, et qui est uniquement mémoriel. Ça va très loin, nous savons tous que quelqu’un qui est bélier n’a pas les mêmes caractéristiques que quelqu’un qui est capricorne. Qu’est-ce qui détermine ça, ce sont les astres, les planètes. Les astres, c’est de l’astral, c’est de l’émotion.

Ce dont je vous parle là ce n’est pas pour faire analyser votre personnalité ou vos comportements, c’est pour vous dire et vous affirmer que ça fonctionne comme ça. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est l’imagerie fonctionnelle de votre propre cerveau.

C’est exactement ce qui se passe au niveau collectif, je ne rentrerai pas dans les détails, c’est une technique de marketing pour vous faire accepter l’inacceptable. On introduit une peur, on introduit des injonctions paradoxales, un jour c’est fermé, un jour c’est ouvert, ça change en permanence, la dissonance cognitive s’installe, le cerveau reptilien prend le relai et va vous conduire à des stratégies d’évitement, par peur !

Ce n’est pas seulement la peur de la mort ou la peur de la maladie, ou la peur du nouvel ordre mondial, c’est la peur archétypielle collective dont se nourrit la main qui tire les ficelles, votre propre cerveau reptilien.

Alors quand j’entends les spiritualistes nous dire qu’il faut activer le troisième œil, l’épiphyse, l’hypophyse, tout ce qui est lié à la mémoire et à la vision astrale, c’est ce qui empêche le cœur de prendre le relai ! Le piège est parfaitement conçu, ça a d’ailleurs été appelé l’enfermement de ce système solaire, et il se passe la même chose dans notre tête.

Tant que nous n’avons pas ouvert le cœur, mais ce n’est pas nous qui l’ouvrons : mettre le cerveau reptilien au repos quelles que soient ses injonctions comportementales, quelles que soient les peurs ou les souffrances secrétées. Eckhart Tollé parlait de l’arrêt du moteur de la souffrance. Vous n’avez qu’une solution et une seule, Hic et Nunc, Ici et Maintenant, l’éternel Présent, l’éternel Absolu.

Tout le reste appartient au monde de la mort dans la terminologie de Bernard de Montréal.

Les neurosciences aujourd’hui, grâce aux neurosciences spirituelles, la neuro éthologie, ont validé tout ça. Le problème, c’est que l’utilisation qui en est faite à l’heure actuelle est exclusivement de l’ingénierie sociale, et l’ingénierie sociale marche dès l’instant où vous oubliez le présent.

Il est une chose de faire comme je fais, c’est-à-dire d’éclairer, de montrer la manipulation, mais il ne sert à rien de réagir. L’ingénierie sociale est en train de vous emmener à la réaction, au choc, au chaos, c’est ce qu’ils veulent. Nous qui vivons Agapè le savons.

Tant que vous n’arrivez pas à être ici et maintenant, vous êtes soumis au monde de la mort, que vous le vouliez ou pas ! Même si vos mémoires, vos apprentissages, ont été parfaits, heureux, vous ne pouvez pas être libres. L’arrêt du moteur de la souffrance est favorisé par l’observateur, le témoin, qui se laisse traverser, sans arrêter les pensées, les émotions, les souffrances.

C’est la seule façon : De Laisser Traverser. Alors je l’ai appelé acceptation, je l’ai appelé Oui, je l’ai appelé …, mais tout ce que je vous ai dit durant les satsangs, ou ce que disent les intervenants, est réel, c’est indiscutable. Vous pouvez toujours argumenter, mais tôt ou tard vous serez obligés de vous rendre à l’évidence, parce que l’être humain n’a jamais été aussi bon que quand il est menacé, et quand il a épuisé toutes les réponses possibles, à ce moment-là il accepte.

C’est l’acceptation non pas de la situation, elle est intolérable, c’est l’acceptation de ce qui est, sans réaction, qui crée la solution. C’est ça l’Intelligence de la Lumière, l’Intelligence du Moment Présent.

Vous ne pouvez pas entretenir une histoire, vous ne pouvez pas entretenir un scénario et être libres. C’est IMPOSSIBLE ! Ce n’est pas moi qui le dis, même si les intervenants l’ont répété de toutes les façons possibles, c’est l’anatomie et la physiologie de comment nous sommes constitués.

La seule façon pour que la dictature du diable de la tête s’arrête, c’est de laisser le cerveau du cœur agir. Le cerveau du cœur ne peut agir que si la peur est traversée, si la recherche de nouveauté est négligée. En entreprise on appellerait ça l’anticipation, la vision, ce qui est recherché, mais pour vous c’est impossible. Toute projection et toute vision vous emmènent inéluctablement dans un «À Venir», et vous n’êtes plus disponibles pour le présent.

La première phase de ce qu’on appelle le réveil, je ne parle pas de l’éveil, le réveil c’est concrètement voir que tout ce que nous vivons, que tout ce qui passe, n’a aucune substance, n’est aucun réel. Dès que vous lâchez vos objectifs, dès que vous lâchez vos mémoires, vos apprentissages … tant que vous n’avez pas lâché ça, vous ne pouvez pas être en Joie, vous ne pouvez pas être libres, vous êtes esclaves de Votre personne.

Ça veut dire que vous êtes possédés, vous êtes possédés par le diable de votre tête, et que la seule façon d’en être libérés ne sera jamais un combat, c’est une compréhension comme je vous l’ai dit à travers l’architecture (…) (inaudible). La compréhension déclenche le vécu d’Agapè, mais pas la compréhension de votre personnage avec votre histoire et vos souffrances.

Sortez de votre délire personnel, soyez simplement lucides sur ce qui se joue et se vit, mais ce n’est pas la Vie, ce n’est pas pour vous. La seule façon, ce n’est certainement pas la méditation, certainement pas la montée vibratoire qui, elle, nous a été utile, c’est-à-dire qu’elle a monté les vibrations et le niveau de conscience. L’unique solution, c’est l’éclairage, voir clair, ne pas réagir, parce que dès que vous voyez clair, la manipulation tombe d’elle-même. Vous n’avez rien à faire.

Vous voyez bien qu’aujourd’hui au niveau de l’humanité tout est fait pour vous faire rentrer en réaction. Il y a juste à être informés, il y a juste à accepter l’inacceptable et l’intelligence du présent rectifiera tout cela sans vous.

Dans les thérapies cognitives et comportementalistes, dans les thérapies vibratoires que j’ai menées pendant vingt cinq ans en tant que médecin, j’en ai eu la preuve chaque jour, rappelez-vous.

Je terminerai par ces mots, je reprendrai ce soir avant Abba, parce que je n’ai pas terminé, cette phrase est essentielle, et c’est en neurosciences aussi : « Tout ce à quoi vous tenez vous tient ». Et ça c’est écrit, non pas dans les livres, c’est écrit dans notre anatomie.

A l’époque, j’avais démontré, avec l’équipe du Docteur Moody et l’association internationale d’études des états proches de la mort en France, on avait déjà démontré tout ça. Quand vous déchirez les premiers voiles, ce qu’on pourrait appeler l’éveil, il y a deux zones du cerveau qui s’allument, Hic et Nunc, les deux étoiles qui sont là, cortex sensitivo moteur.

Vous n’avez rien d’autre à faire, et je dis ça aussi bien au niveau sociétal qu’individuel, qu’à être présents et accepter ce qui est. La solution s’établira d’elle-même, par l’Intelligence pure. Tous les gens qui ont eu un réveil, qui sentent la couronne de la tête, le bandeau autour de la tête, le sifflement de l’oreille gauche et droite, sont les témoins d’un œdème cérébral réel qui survient au moment de l’éveil.

Mais l’éveil n’est pas le réveil.

Alors je terminerai ce soir avant Abba par quelque chose de fondamental que l’on nomme les circuits de la récompense et de la punition, que nous avons appelés quant à nous dans l’historique d’Autres Dimensions, les étoiles Bien et Mal, Attraction et Répulsion. J’expliquerai tout cela ce soir, il est temps maintenant de s’arrêter, il est deux heures moins vingt, et je crois que nous reprenons à seize heures avec Cristina, c’est ça ?

Traductrice pour Cristina : De nouveau, je suis émerveillée pour tes explications qui vont m’aider beaucoup à faire mes présentations dans les entreprises, parce que ça a tout à y voir. Merci beaucoup.

Merci, à tout à l’heure. Bon appétit.

A tout à l’heure.

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