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O.M. Aïvanhov
(Partie 1)
2 Décembre 2019
Eh bien, chers amis, je suis extrêmement réjoui de me retrouver à nouveau avec vous dans ce charmant pays, et je vous présente toutes mes bénédictions, et Agapè bien sûr.
Alors c’est avec grande joie que je vais écouter vos questions et que nous allons échanger ensemble, tout ce que vous avez à demander, tout ce que vous avez aussi, et je l’espère, à témoigner de ce que vous vivez. Vous savez que c’est cela qui est extrêmement important aujourd’hui, de façon à faire vibrer, à faire résonner les frères et les sœurs, car tout cela leur permettra de se dire que ce n’est pas quelque chose qui est réservée à certains, qui ont eu une ascèse ou un cheminement spirituel, mais que c’est justement votre humanité la plus simple qui vous permet de vivre Agapè.
Les témoignages que vous allez me faire entendre, me faire écouter, sont bien évidemment aussi des précieux dons de vous-mêmes, que vous offrez à la totalité de l’humanité, afin de propager, au-delà des mots-mêmes, la bonne nouvelle des états Agapè que vous vivez avec de plus en plus de certitude, et de plus en plus d’évidence.
Alors, chère amie, je te laisse la parole pour les témoignages ou les questions. Je t’écoute.
La première.
Sœur : On nous conseille, lorsque nous quitterons ce corps au décès, de ne pas s’attarder aux personnes ou entités que l’on verra. Exemple : Jésus, parents, amis, etc… Cela me dit que je verrais quelqu’un. Comment expliquer ces paroles que j’entends ? Il n’y a personne.
Il n’y a personne, c’est-à-dire que ça a été expliqué par tête de caboche, et dans les expériences de mort imminente, tous les frères et sœurs qui sont sortis de leurs corps, ils ont pénétré dans un tunnel, ont rencontré des êtres de Lumière ou des membres de leurs familles, qui se mettent sur leur route, par rapport au soleil et à la Lumière qui est derrière eux.
Ces formes de lumière que vous voyez, que ce soit des membres de la famille, plus jeunes en général, toujours bien habillés, ou que ce soit des grands êtres qui sont passés sur cette Terre et, si vous êtes chrétiens, vous allez voir le Christ, si vous êtes bouddhistes, vous allez voir Bouddha, mais ce que vous voyez n’est pas la Vérité.
Et au moment de votre mort, ne pensez qu’à une seule chose, la Lumière qui est derrières ces fantômes, c’est votre destination, c’est ce que vous êtes. Ils ne peuvent rien contre ce que vous êtes. Mais bien évidemment il y a une forme de séduction astrale, un peu émotionnelle, pour la plupart des expérienceurs de la mort imminente, qui bien évidemment n’ont plus peur de la mort, mais quelque part ont été leurrés par ces coquilles vides qui sont des créations bien sûr astrales, archontiques, et qui correspondent je dirais à vos attachements au moment de votre mort, ou à vos croyances.
Si vous croyez en Christ, vous verrez le Christ. Si vous croyez en Mani, vous verrez Mani. Mais il a été expliqué à de nombreuses reprises qu’il faut faire la différence quand vous êtes ailleurs qu’ici dans ce corps, ici vous n’avez pas besoin, tout est en vous. Mais quand vous mourrez, vous allez traverser le tunnel et vous allez tomber sur ces fantômes pseudo-lumineux.
Bien sûr, il y a une différence essentielle, et ce n’est pas la perception, parce que vous vous faites avoir par ce que vous voyez, mais ce que vous voyez, il vous faudra regarder précisément, à savoir que la différence essentielle entre l’astral et la pure Lumière, est celle-ci : les formes que vous voyez en expérience de mort imminente, que ce soit le Christ, Bouddha, Mahomet ou qui vous voulez, ne sont que des fantômes de lumière, c’est-à-dire que la Lumière n’est pas à l’intérieur des corps, mais elle est émanée à l’extérieur, un peu comme, si vous voulez, dans les représentations, dans les églises, des saints avec l’auréole sur la tête.
Mais la Lumière elle n’est pas extérieure, le vrai Etre de Lumière est constitué de Lumière. Il n’y a pas de rayonnement extérieur, il y a une forme de Lumière, délimitée par une limite, mais il n’y a pas de lumière auréolée autour des personnages.
Et bien évidemment, vous savez qu’il y a peut-être un certain nombre d’expérienceurs de la mort imminente, qui ont traversé ces fantômes, parce qu’ils ont été capables d’être attirés beaucoup plus par la Lumière derrière ces personnages, que par les personnages en eux-mêmes, même si c’est des membres de la famille. Ils ont traversé ces hologrammes, et là ils ont pénétré le Soleil et sont ressortis de l’autre côté du Soleil, c’est-à-dire, au-delà de la Lumière, ce qui est appelé dans la Kabbale l’Ain Soph Aur.
Et c’est à partir de là que ces êtres, qui reviennent, ne parlent pas des mêmes descriptions de leurs vécus, et surtout, ils ne sont plus soumis aux émotions, à l’astral, c’est-à-dire qu’ils ont découvert, hors de ce corps, la Vérité.
Aujourd’hui, vous le savez, la Vérité se découvre au cœur du cœur, au centre du cœur, dans le trou noir. C’est là qu’est la Vérité, c’est là qu’est le monde, c’est là que sont toutes les créations, et tous les mondes, et tous les multivers, et de toutes les dimensions, et nulle part ailleurs. Tout le reste, sans exception, ne sont que des projections, où si vous préférez, des auréoles de sainteté où la Lumière est extérieure mais pas à l’intérieur.
Or un Etre de Lumière est constitué de Lumière, quelle que soit sa dimension, et il n’a pas besoin d’avoir de la Lumière à l’extérieur puisqu’il est lui-même la Lumière. C’est une différence essentielle.
C’est pour ça d’ailleurs que dans la plupart des traditions primordiales, vous aviez ce qui a été appelé le Livre des Morts. Par exemple, celui des Tibétains, vous aviez le Bardo Thödol, qui était une lecture qu’on devait faire aux êtres qui étaient en train de passer dans la Lumière, afin justement qu’ils ne soient pas freinés ou arrêtés par ces forces astrales résiduelles aujourd’hui.
Donc c’est quelque chose dont il faut être informé, que vous viviez Agapè ou pas. Au moment de votre transition, ce qu’on appelle la mort quand on est incarné, qui est en fait le retour à la Vie maintenant, il ne faut pas être abusé par les formes, il ne faut pas être abusé par les visions, par les histoires, quelles qu’elles soient, un peu comme ici sur Terre, et dépasser, traverser tout ça, pour fusionner avec la vraie Lumière que vous êtes et qui ne connaît pas tous ces mondes intermédiaires, si je peux dire.
Voilà ce que je peux en dire, et ça a été déjà expliqué à de nombreuses reprises. Mais vous, vous êtes informés de la Bonne Nouvelle, même si vous ne le vivez pas encore, vous êtes assurés de le vivre au moment de votre transition.
Gardez simplement présent à l’esprit que vous ne devez tenir compte d’aucun pseudo être de lumière qui vous est présenté ou d’un membre de votre famille qui vous apparaîtrait, en général, beaucoup plus jeune, toujours souriant et en bonne santé. Ce ne sont que des fantômes.
La Vérité est au-delà de la forme, au-delà de la Lumière, mais il vous faut déjà traverser cette Lumière, qui est votre Éternité, pour découvrir la source de la Lumière qui est l’Absolu, c’est-à-dire le néant, ou l’Ultime si vous préférez.
C’est dans ce néant, tel que vous pouvez l’appeler depuis la personne ou le grand vide, que vous retrouvez et que vous vous souvenez de qui vous êtes antérieurement à tout rêve, c’est-à-dire antérieurement à tout monde et à toute forme. Ça, c’est lié à la conscience, c’est lié au rêve de la création, mais ce n’est pas la Vérité.
Tout ce qui passe disait Bidi n’est pas vrai. Ce qui est vrai ne peut pas passer, et a toujours été présent et sera toujours présent, et n’est contingenté par aucun temps, ni aucun espace, ni aucune forme, ni aucune dimension.
Là est la Vérité commune à tous les frères et sœurs de l’Humanité, mais aussi à toutes les formes de consciences, quelles que soient leurs dimensions.
C’est une réintégration au point initial de la création du rêve qui n’est autre que cet instant final. Comme cela a été dit, vous avez déjà tout vécu, vous n’avez pas besoin d’être dans le souvenir, vous avez simplement besoin de vous remémorer qui vous êtes.
Et j’avais déjà expliqué, je le redis, au niveau du Québec, phare de l’Humanité, votre devise est : « Je me souviens ». Là est le Oui, là est l’unique Vérité Absolue qui ne souffre aucune discussion, et qui ne peut être, comme ça a été dit, que vécue et reconnue.
Il n’y a aucune exception à cette règle. Donc vous ne pouvez pas vous interrogez sur le Feu du Cœur, ou vous interrogez sur le Feu du Cœur Sacré, ou sur le double tore du Cœur, ou sur l’état Agapè. Vous ne pouvez que le vivre, même si après, bien sûr, vous pouvez bien évidemment en témoigner, avec vos mots, avec de l’art, avec des poésies, avec ce que vous voulez.
Mais c’est quelque chose qui ne peut être que vécue, et comme disait Bidi, la compréhension découle du Vécu, mais jamais d’une compréhension intellectuelle. Et comme chacun de vous, ici sur cette Terre, nécessairement vivra la transition, indépendamment même de l’évènement si je peux dire. Vous savez tous que, quand nous sommes incarnés, nous ne faisons que passer, entre ce qui est appelé la naissance et la mort. Mais la Vérité ne connaît pas ni naissance, ni mort. Et vous êtes cela.
En Vérité, vous n’êtes jamais nés et vous n’êtes jamais morts, vous avez toujours été là. Ce ne sont pas des jeux de mots, c’est la stricte Vérité commune à toute conscience, dès que la conscience est vue pour ce qu’elle est, c’est-à-dire un mécanisme projectif, un mécanisme d’extériorisation, de manifestation et de perception. Mais vous êtes antérieurs à tout cela.
Mais ne vous faites pas de souci, parce que je vous rappelle qu’il existe un moment collectif qui a été nommé l’évènement, quelle qu’en soit sa forme, qui intéressera l’ensemble des consciences de la Terre, sans distinction d’aucune sorte. Et à ce moment-là, l’Intelligence de la Lumière vous rappellera que vous n’êtes rien de ce que vous voyez, que vous êtes antérieurs à la manifestation.
Et vous avez aujourd’hui et chaque jour qui passe, de façon de plus en plus importante, l’opportunité de vivre cela. Et tête de caboche vous a expliqué, ainsi que Bidi, Abba, Eynolwaden, Phahame, vous l’expliquent je crois à chaque rencontre Agapè.
Mais la répétition est la base de la pédagogie, ce n’est pas pour vous convaincre de quoi que ce soit, ni pour vous obliger à croire, surtout pas, mais pour vous donner les informations indispensables qui surviendront inévitablement au moment de la transition, ou si vous préférez, au moment de l’évènement collectif.
Alors cela dit, nous pouvons continuer.
Sœur : Une question. Les trois Etoiles incarnées sur Terre ont-elles encore une mission à accomplir ?
Je vous rappelle que vous avez tous, sans aucune exception, la même mission, qui n’est pas une mission, qui est de vous Re Trou Ver ! Tout le reste aujourd’hui n’a plus aucune espèce d’importance. Vous êtes tous les Étoiles, vous êtes tous les Melchizedeks, vous êtes tous la Source et vous êtes tous la pure Lumière, et vous êtes tous l’Absolu.
Tout le reste, ce ne sont que des éléments du parcours de l’histoire. Donc il ne sert à rien de revenir sur ces Étoiles, l’enseignement a été parfaitement structuré pendant de nombreuses années, mais vous n’êtes plus dans une période d’enseignement ou de questionnement sur, je dirais, ce qui représentait des fariboles ou des babioles, qui n’ont aucune importance dorénavant, par rapport à la Vérité révélée et vécue.
Donc je ne répondrai pas à cette question, vous avez tous exactement la même mission, vous réveiller, vous souvenir qu’il n’y a jamais eu personne et que vous êtes antérieurs à la Lumière.
Là est la Grâce, là est la béatitude, là est l’extase et là est la Vérité absolue et unique où chacun de vous ne peut que se reconnaître en totalité.
Donc, ne pensez plus aux étoiles, ne pensez plus aux portes, ne pensez plus aux énergies, ne pensez plus aux vibrations. Pensez simplement, si vous voulez penser encore, à Agapè. Pas pour le définir, pas pour l’expliquer, mais pour le vivre.
Et la meilleure posture, vous le savez, c’est l’humilité, la simplicité et, bien évidemment, l’instant présent, le moment présent, ce qui est présent, là, dépouillé de tout passé et de tout avenir, ou de toute projection. Là est la Béatitude, nulle part ailleurs. Aucune montée vibratoire ne vous conduira à cette Vérité Ultime, ça a été dit et expliqué d’innombrables façons et par d’innombrables fois, vous voyez.
Donc ne vous occupez pas des Étoiles incarnées ou pas incarnées, parce que je peux vous dire aujourd’hui que tout cela, comme nous l’avons toujours dit, est en vous. Et vous n’avez pas besoin de nommer, vous avez besoin de vous nommer, vous, parce qu’il n’y a que vous, avant de comprendre que tout est en vous, et avant de vivre qu’il n’y a personne.
On peut continuer, chère amie.
Sœur : Une autre question. Que signifie aujourd’hui de vivre durant la nuit des orgasmes involontaires ?
(Rires)
Et quelle est la question par rapport à ça ?
(Rires)
Sœur : La signification. Que signifie vivre durant la nuit des orgasmes involontaires ?
Oh, c’est un processus qui a existé déjà durant l’année, à la fin de l’année 2011, quand le noyau cristallin de la Terre a été libéré et s’est accompagné de la montée de qui a été nommé à l’époque l’Onde de Vie, qui partait du noyau cristallin de la Terre, passait par vos pieds, et remontait le long des membres inférieurs pour fusionner avec le canal de l’éther, ou si vous préférez ce qu’on appelle la Sushumna.
Donc, cette énergie particulière, ce noyau cristallin de la Terre qui est lié au souvenir du premier rêve de la création, a pénétré certains d’entre vous. Et déjà durant l’année 2012, il y avait beaucoup d’orgasmes dits involontaires, comme dit cette sœur, qui se produisaient. C’est une jouissance réellement sexuelle, mais sans sexe. C’est-à-dire que c’était l’onde de vie qui montait, ce feu qui se propageait, qui déclenchait cette jouissance et cet orgasme, qui n’a pas besoin d’activité sexuelle.
Ce sont les premières phases de l’extase, tout simplement, et effectivement, ça se produit le plus souvent, bien évidemment, la nuit, c’est-à-dire quand vous êtes au repos et que le mental ne peut plus intervenir.
Donc c’est un processus qui est tout à fait possible, je ne dis pas qu’il est indispensable et qu’il se produit chez tout le monde, mais effectivement, vous êtes nombreux à avoir constaté ce mécanisme d’orgasmes nocturnes, totalement comme tu as dit, involontaires, c’est-à-dire non recherchés, et qui participent sur le plan mécanique, vibratoire et énergétique, à la fusion de l’onde de vie au niveau du Sacrum et du petit bassin, qui permet au Feu du Cœur de remonter jusqu’au cœur et jusqu’au sommet du crâne, oui.
Donc il peut y avoir des phénomènes extatiques mais au niveau du cœur, et des phénomènes orgasmiques directement au niveau du petit bassin. C’est tout à fait normal, et quand ça se produit, il n’y a rien à rechercher comme explication, c’est l’alchimie entre la Vérité et l’éphémère, entre ce qui est le simulacre et le sacré.
C’est la même chose, c’est la rencontre de l’éphémère et de l’Éternel, avec un degré d’acuité beaucoup plus important que durant bien sûr les années 2012 et suivantes. Parce que vous le savez, il n’y a plus de restriction de miroitement lié à l’anomalie primaire, que tout un chacun de partout sur cette Terre, a la même aptitude à vivre Agapè, à condition d’être informé, non pas de ce qu’est Agapè, mais qu’il suffit simplement, si je peux dire, de retourner sa conscience sans demande, au point central du cœur, ce que nous avions nommé le cœur du cœur, pour voir apparaître Shantinilaya ou la Demeure de Paix Suprême.
Donc, il n’y a pas à analyser, il y a juste à le vivre. Ne vous encombrez pas la tête avec des explications. Tout ce qu’il se produit, je vais vous donner une bonne recette. Acceptez simplement et vérifiez par vous-mêmes, que si vous acceptez ce qui se manifeste, quelle que soit la manifestation, dans votre corps, dans votre vie, et ce, dans tous les secteurs quels qu’ils soient, si vous cherchez à comprendre, à ce moment-là vous entrez involontairement en résistance.
Et vous savez que la résistance crée un feu encore plus intense, parce que c’est la consumation du feu de la conscience, je dirais ordinaire ou du feu vital, par le Feu Igné. Et si vous voulez passer cette période avec tranquillité, je dirais, avec Béatitude, il suffit d’accepter, ça a été répété d’innombrables fois, il suffit de dire Oui, et d’accueillir tout ce qui se présente, même les choses les plus indigestes si je peux dire, ne sont là que pour vous faire souvenir de qui vous êtes.
Et si vous acceptez ce qu’il se déroule dans votre vie, dans votre corps, vous constaterez immédiatement que les choses changent, non pas selon votre volonté, non pas selon vos efforts ou vos décisions, mais que c’est directement l’Intelligence de la Lumière qui est à l’œuvre, et ça vous libère de très grands poids si je peux dire, le poids de la culpabilité, le poids du karma, le poids des mémoires, le poids des habitudes, le poids de toutes projections dans le futur, comme par exemple une nouvelle Terre, une nouvelle dimension.
Soyez simplement présents au Cœur du Cœur, et à ce moment, la Lumière se révèle à vous, et la Vérité se révèle à vous. Vous êtes antérieurs à la Lumière.
Alors, chère amie, je t’écoute.
Sœur : C’est un témoignage d’une sœur qui n’est pas présente et le témoignage s’échelonne sur deux jours consécutifs.
D’accord.
Sœur : Bonjour OMA, et à vous tous réunis en ce moment. J’aimerais vous partager un témoignage d’un vécu. Mon conjoint il vit, depuis presque un an, beaucoup d’évènements, une dizaine à la fois. Il vit son éphémère, et il a beaucoup de difficultés avec ma façon d’être, depuis que j’ai reçu de plein fouet la Lumière. Mais il tient le coup. Je ne peux lui parler de presque rien, car il ne croit pas à cela et je le respecte.
Quelquefois, j’ose lui parler très doucement et le plus simplement des choses, et il résiste. Alors je laisse tomber.
Depuis environ un mois, il voit une lumière, et au début me dit-il, elle était assez loin de lui, et il la voit tous les jours, et quelques fois une à trois fois dans la même soirée. Hier, il me partage que la lumière est revenue trois fois dans la même soirée. Cela faisait quelques jours qu’elle n’était pas venue, sauf que sa première manifestation, la lumière se trouvai directement sur son épaule gauche. A chaque fois, elle est toujours du côté gauche.
La deuxième fois, la lumière s’est changée en colombe et s’est envolée. Et la troisième fois, elle s’est tenue devant lui. Il regardait la télé et nous avons un écran géant et il lui a demandé pourquoi elle venait le voir, mais n’a pour l’instant pas reçu de réponse.
Je crois que deux jours après, il arriva que sa sœur, qui avait un abcès et qui allait voir le dentiste, et finalement un spécialiste chirurgien. En se réveillant, elle était très agitée qu’ils ont du l’endormir à nouveau et ils ont du l’envoyer d’urgence à l’hôpital, car elle ne se réveillait plus.
Elle est restée presque vingt-quatre heures endormie. Quand elle est revenue à elle, elle ne parlait plus et encore très agitée, et ne reconnaît plus personne. Les médecins ne savent pas ce qu’elle a. Les médecins décident donc de la mettre dans le couloir pour vingt-quatre heures en espérant qu’elle soit moins agitée et font des tests.
Mon conjoint qui habituellement est très touché par les émotions, me confie qu’il est le seul à ne pas avoir d’avis, me dit qu’il a confiance, que tout se passera bien. Ce n’est pas son habitude. Il a dit pour finir, peut-être que ma famille a pensé : il n’aime pas sa sœur. Il était en vrai contrôle de ses émotions. Ce fut très nouveau pour moi de le voir comme ça, et très heureuse en même temps.
Je crois que la Lumière a fait beaucoup de travail en lui et je suis ravie avec l’attitude de voir comment il se porte mieux dans cette vie de tous les jours, avant même qu’il ne me partage son témoignage. C’est vraiment extraordinaire de voir son évolution, même s’il dit ne pas croire, et en remise en question sur Dieu.
Enfin je vois l’espoir arriver avec la présence de l’Intelligence de la Lumière à ses côtés. Mon cœur est rempli de joie et de gratitude.
Ça c’est la fin du témoignage pour la première journée. Est-ce que je te lis tout de suite le témoignage de la deuxième journée qui fait suivre celui-là ?
Je dis simplement quelques mots si tu veux bien, avant de continuer. Vous avez, à travers ce témoignage, la preuve indiscutable que même des frères et des sœurs, là c’est le mari, mais vous allez constater dans vos familles, partout, ça a été dit, que vous allez avoir des frères et des sœurs qui, du jour au lendemain, qui étaient dans le déni total, dans la contradiction avec votre vécu de Lumière, qui vont vivre la même chose. Et c’est ça qui est magique.
C’est-à-dire que cette personne, qui ne croyait en rien, se retrouve confrontée à la Lumière, à lui-même en vérité. Et bien évidemment, le fait de voir cette Lumière, bien évidemment je ne reviendrai pas sur le fait que cette Lumière soit vue, d’abord à sa gauche, sur son épaule gauche, devant lui, parce que c’est très caractéristique aussi, mais ça a été expliqué à de nombreuses reprises, ce n’est pas important.
Ce qui est important, comme le dit son épouse, sa femme, c’est de constater le changement radical du personnage. Là est la Vérité. Et vous voyez bien, à travers ce témoignage, que ça peut, si je peux dire, vous tomber dessus, même si vous y êtes opposés a priori, parce que c’est le même cadeau que fait l’Intelligence de la Lumière pour chacun, quoi qu’il en dise et quoi qu’il en pense.
Je veux dire aussi par là que quelque part, celui qui s’oppose au subtil, à la Vérité, mais qui a bon cœur, est plus susceptible de vivre la Vérité instantanément, que celui qui est encore accroché à des scénarios, à des énergies, à des visions ou à des vibrations. Parce que fondamentalement, son mari, quel que soit le personnage, avait, avant même que le personnage ne s’efface, un cœur peut être pur, et peut-être bien plus pur que celui qui est dans les méandres d’une démarche spirituelle et qui cherche à l’extérieur, ou dans des expériences multiples, la Vérité qui ne pourra jamais être trouvée.
Comme cela a été dit ce matin, j’ai entendu ça, c’est la Lumière qui vous trouve, mais vous ne pouvez pas trouver la Lumière, parce que c’est ce que vous êtes. C’est juste un souvenir, une mémoire qui revient, c’est ça se souvenir. Se souvenir non pas des vies passées, non pas des éléments de cette vie, non pas d’un quelconque futur, mais de vivre l’instant présent. Tout est inscrit dans l’instant présent.
Alors vous avez le Oui, qui vous a été révélé voilà quelques semaines. Vous avez la prononciation de votre nom et de votre prénom, vous avez l’accueil, vous avez l’acceptation, la Vérité elle est là.
Elle ne peut pas être dans un quelconque désir, même honnête, si je peux dire, de retrouver la Vérité. C’est la Vérité qui vous trouve, ce n’est pas vous qui la retrouvez. Mais quand cela est retrouvé, alors vous savez que c’est la Vérité, et c’est la même chose pour chaque frère et sœur de cette Terre, en ce moment-même.
Donc, oui, vous allez assister à des surprises, et je dirais de plus en plus étonnantes, et vous allez constater des changements dans la famille, chez les proches, chez les amis, du jour au lendemain, des gens qui étaient peut-être, comme vous disiez, matérialistes, qui ne voulaient croire en rien, et qui pourtant avaient un cœur pur quelque part, même si le personnage était fermé, rigide, austère.
L’important n’est pas l’apparence, l’important n’est même pas l’acteur sur la scène de théâtre, l’important c’est d’être soi-même l’observateur, le témoin ou le spectateur. Bien évidemment les gens qui n’ont pas de croyances, qui ne croient en rien, aujourd’hui, n’ont pas besoin des énergies et des montées vibratoires. Ils le vivent spontanément. Ça correspond aussi et c’est ce que nous avions toujours annoncé que les derniers seraient les premiers, et que les premiers, c’est-à-dire que tous ceux qui ont suivi les cheminements vibratoires seraient les derniers.
Ce n’est pas une punition, c’est une logique imparable. Parce que vous savez que ce qui est le plus important, ce n’est pas d’avoir je dirais un frère ou une sœur qui soit aujourd’hui un maître ou un grand initié ou un grand éveillé. Ça n’existe pas, vous êtes tous les uns dans les autres, chacun de vous est l’autre, sans aucune exception. Et pour ça vous n’avez pas besoin de discours, vous avez surtout besoin d’être vous-mêmes, sans aucune prétention autre que celle de vivre la vie de l’instant présent.
Comme disait Nisargadatta, la spiritualité qui a été fondamentale pour vous amener jusqu’à aujourd’hui, aujourd’hui représente un poids, c’est tout le poids des croyances, tout le poids des adulations ou des adorations de ces grands Etres qui sont passés sur Terre, mais qui ne sont que vous, eux aussi.
Vous êtes le Christ, vous êtes Marie, vous êtes les Etoiles, vous êtes la création, vous êtes aussi le diable, nous somme tous cela en même temps, en même temps qu’aujourd’hui, mais en différents temps et espaces qui se rencontrent aujourd’hui dans ce qui a été nommé le temps Zéro, ou si vous préférez, l’Alpha et l’Oméga réunis au même moment.
La boucle est bouclée, l’instant initial effectivement n’est rien d’autre que l’instant final où vous devez vous rappeler que vous étiez en train de rêver, qu’il n’y a pas plus de bien que de mal, qu’il n’y a pas plus de souffrance que de joie, mais qu’il n’y a que la Vérité.
Bien sûr, au sein de ce corps de chair, vous allez l’exprimer, même après une fois que c’est vécu ne serait-ce que le temps d’une respiration, vous savez que c’est la Vérité et vous ne pouvez que constater les changements dans le comportement du personnage, qui devient beaucoup plus fluide, beaucoup plus léger, et comme l’a dit notre sœur dans ce témoignage, avec une apparente disparition d’émotions. Ça ne veut pas dire que cette personne est insensible, mais elle a radicalement transformé par l’action de l’Intelligence de la Lumière, et dans ce cas précis, par la présence d’une entité de Lumière, au sein du canal marial, au-dessus de l’épaule gauche, qui a révélé la Vérité.
Et cet être de Lumière d’ailleurs ne lui a rien dit, parce qu’il n’était pas là pour lui faire des discours, ni pour luis dire qui il était, mais pour fusionner et résonner avec lui, et ouvrir les vannes de la Vérité. C’est ce qui s’est passé, et c’est ce que ce témoignage rend à merveille, et qui va aussi se manifester dans de plus en plus de familles, de groupes ou de réunions quelles qu’elles soient.
Alors, nous pouvons continuer.
Sœur : La suite du témoignage, cette partie là concerne la sœur de son frère. Les médecins ne savent pas ce qu’elle a, elle passe des tests et pour l’instant les tests sont tous négatifs. Ils ont passé des électro pour le cerveau, parce qu’elle faisait des crises d’épilepsie. Ils l’ont mise au moins à trois reprises dans le coma artificiel car elle était trop agitée. Elle tremblait. On dirait qu’elle fait un choc.
Ce matin, ils l’ont réveillée, mais pas plus de nouvelles. Merci OMA. Pouvez-vous mettre un éclairage sur ces évènements, et gratitude pour votre accompagnement ici-bas.
Oui, ça s’appelle, ce que vit cette sœur, et à travers ce sommeil un peu particulier où tout le monde, bien sûr au niveau médical, s’affole pour trouver la raison, je peux te dire qu’ils ne la trouveront pas. Ce sont des mécanismes de stase spontanée qui commencent à apparaître chez des frères et sœurs qui ne se doutent pas du tout de ce que c’est.
Comme une espèce de léthargie qui vous prend, où le corps peut effectivement ne plus répondre et vous pouvez vous endormir sans pouvoir être réveillés. Vous savez qu’en ce moment, vous avez des frères et des sœurs qui luttent pour rester encore incarnés. Ils savent qu’ils peuvent partir à volonté, mais ils resteront jusqu’au bout pour assister à la scène finale et vous accompagner.
Mais ils ne sont plus attachés, en aucune manière, à ce corps, à cette vie, et à l’éphémère, c’est-à-dire à ce rêve. Ils sont réveillés de manière définitive, mais ils acceptent, quelque part parfois avec difficulté, de laisser le rêve se poursuivre, pour accompagner jusqu’au dernier moment le rêve de la création.
Donc ne vous alarmez pas, vous allez constater, au-delà des réveils spontanés comme dans la première partie du témoignage, qu’il y a aussi des cas où vous avez des frères et des sœurs qui semblent, d’un coup, tomber dans une espèce de catalepsie ou d’état de stase comme nous avons expliqué longuement, qui correspondent à la proximité de l’évènement collectif bien sûr.
Alors, à propose, là, vous savez que nous sommes en décembre, bien sûr, que j’avais parlé du mois de novembre comme de novembre noir, vous avez pu constater tout ce qui s’est passé sur cette Terre, le mois de décembre sera le mois multicolore, c’est-à-dire que vous allez en voir de toutes les couleurs, à tous les niveaux, des choses stupéfiantes, et je ne parle pas seulement d’évènements climatiques ou d’activités élémentaires.
Beaucoup de surprises, beaucoup de miracles, beaucoup de transformations, beaucoup d’évènements soudains, de différentes natures, vont se produire en beaucoup d’entre vous durant cette période, jusqu’à la fin de l’année.
Et rappelez-vous que, bien sûr, le réflexe premier, c’est de chercher une raison médicale ou de chercher une cause, des entités, des attaques ou autres choses. Peu importe, tout ça n’est rien. Mais si cette sœur revient complètement, elle pourra elle aussi témoigner de ce qu’elle a vécu dans ce moment de catalepsie, de stase, de sommeil, dont elle ne peut plus sortir.
Vous avez l’évènement qui est à la porte, la stase, les trois jours, la visibilité de Nibiru, tous ces évènements que nous avions expliqués voilà de nombreuses années, sont en train de se dérouler sous vos yeux. Bien sûr, il n’y a pas de date, mais ça peut être d’une minute à l’autre, ça peut être dans plusieurs mois, mais ça n’a aucune espèce d’importance, parce que quand vous vivez la Vérité, le temps importe peu.
Et comme j’ai eu l’occasion de le dire, et je le redis maintenant, plus les jours passent dans la tranquillité relative, plus c’est une aubaine, c’est une opportunité exceptionnelle d’installer et d’assoir, si je peux dire, encore plus la Vérité et la Bonne Nouvelle, afin que l’information circule en chacun. Parce que plus vous serez nombreux à le vivre, en anticipation de l’évènement, plus le choc de l’humanité, dans sa phase résolutoire, sera adouci.
Vous vous réveillez sans difficulté, sans avoir besoin de traverser trop de cauchemars. Acceptez ce qui se produit dans votre vie, non pas comme un renoncement ou une faillite de votre volonté, mais vraiment comme une forme de transcendance et de traversée de l’illusion, qui vous révèle à la Vérité que vous êtes, et ça c’est fondamental.
Plus vous êtes simples, plus vous êtes disponibles pour vivre ce que vous avez à vivre, quand quelqu’un s’adresse à vous, je ne parle pas uniquement de la rencontre, mais même dans la rue, quelqu’un vous demande un renseignement pour trouver sa route, il y a aussi une résonance qui se fait à ce moment-là. Et plus vous êtes disponibles pour répondre, pour servir, même pour donner la route à quelqu’un, plus vous allez faire vivre Agapè et la résonance Agapè en vous et en l’autre.
Vous n’avez pas besoin de le connaître, vous n’avez pas besoin de savoir qui il est puisqu’il est vous. Soyez simplement dans cette notion de service à l’autre, qui n’est que vous, soyez disponibles à chaque minute de votre vie, pour ce qui se déroule. Vous n’avez rien d’autre à faire, tout le reste c’est de l’amusement.
Alors je sais que tête de caboche s’amuse en ce moment avec des ondes, vous avez le droit de vous amuser avec ce que vous voulez, vous pouvez peindre, vous pouvez rire, vous pouvez chanter, le principal, c’est d’être pleinement présent à ce que vous faites ou ce que vous êtes. Tout le reste se fait automatiquement.
Le témoignage de cette femme avec son mari, tout à l’heure, est éloquent, n’est-ce pas. Il décrit un processus qui est à l’œuvre de partout.
Vous allez avoir de plus en plus par exemple, ce que j’ai nommé les méchants garçons. Je ne parle pas des archontes, mais des frères et sœurs humains, et qui étaient dans la prédation, dans certaines professions, dans certains comportements, qui du jour au lendemain vont se mettre à pleurer et à demander pardon, à eux-mêmes, aux autres, et vont se transformer.
Ils n’ont pas besoin de savoir qu’il y a des Étoiles, qu’il y a Marie, qu’il y a le Christ, qu’il y a Bouddha, c’est fini tout ça. Toutes ces histoires religieuses, spirituelles appartiennent au simulacre, au passé. La Vérité n’a besoin d’aucun effort, elle n’a pas besoin d’histoires, elle n’a pas besoin de maîtres, elle n’a pas besoin de dieu ni de diable, vous êtes tout cela à la fois, bien sûr. Vivez-le et vous ne pourrez que vous souvenir de qui vous êtes antérieurement à la forme, antérieurement au monde.
C’est tellement simple, comme dit Abba, que c’est tellement simple qu’on ne peut pas y croire, et d’ailleurs il vaut mieux ne pas y croire, il faut simplement le vivre. La croyance ne sert à rien, et justement dire Oui, c’est mettre fin à toutes les croyances, à toutes les suppositions, à tous les scénarios, à toutes les visions.
Ça ne veut pas dire que les visions s’arrêtent. Comme je disais, tête de caboche il peut s’amuser avec des ondes, mais c’est une distraction. Parce que ce qui est important, quand vous faites quelque chose aujourd’hui, en ayant vécu la Vérité, que ce soit votre travail tout simplement, ou votre rôle de mère de famille, ça suffit à diffuser Agapè.
Vous n’avez pas besoin de postures, vous n’avez pas besoin de rester immobiles, vous n’avez pas besoin de méditer ni de prier, vous avez simplement besoin d’être véridiques et authentiques, et vous êtes véridiques et authentiques quand vous êtes pleinement présents à l’instant présent, dépouillés de toute référence au passé et de toute projection dans le futur.
C’est aussi simple que cela. A ce moment-là, vous vous retrouvez et vous pouvez dire : Je me Souviens.
Oui, je suis cela, sans aucun doute possible, sans aucune interrogation possible.
Cela mettra fin aux peurs, aux culpabilités, aux jeux de rôles, des fonctions, ou d’implications. Ça ne veut pas dire que vous serez indifférents, mais que vous serez transcendants dans tous les secteurs de votre vie, et vous savez quand vous le vivez que vous n’avez pas besoin d’autre chose, que les énergies, que vous les perceviez ou pas, que vous ayez vécu les vibrations ou pas.
L’Amour est Nu, comme ça a été dit, la Joie est Nue, elle n’a pas besoin de décor ni de forme, ni de votre conscience. C’est ça ce que Abba nomme le Je Absolu ou le Je Éternel, par opposition au petit je, et qui n’a rien à voir, je le rappelle, avec le Soi. Le Soi c’est encore un miroitement, c’est encore quelque part quelque chose d’inachevé.
Or vous n’avez pas besoin d’achever quoi que ce soit. Quand vous le vivez, vous ne pouvez que dire : Ça a toujours été là, mais je l’avais oublié. C’est ça la Bonne Nouvelle.
Allez, on continue.
Sœur : Ici, on a un témoignage et une question de la part d’une sœur qui est absente. Cher OMA, par le biais de (prénom) qui a suivi vos nombreuses conférences, cela m’a offert l’occasion de me nourrir également. Je viens, quoique inconnue de vous, vous raconter ma vie pour obtenir de l’aide qui favorisera, certes, le temps qui me reste à vivre sur le plan terrestre.
J’ai quatre-vingt-huit ans. J’ai été élevée dans une famille de cinq filles dont les deux dernières étaient ma jumelle et moi. J’ai vécu en deux communautés religieuses. J’ai par la suite épousé un veuf qui avait quatre enfants. J’en ai pris soin seule, car mon mari a eu un accident peu de temps suite à ma venue. Les quatre enfants ont fini par se marier.
Suite à être devenue professeur, j’ai connu un groupe d’amis qui fréquentait un médium, qui un jour m’a retenue suite aux propos qu’il avait tenus dans une assemblée. Je suis alors devenue medium en transe profonde. Sur une période de douze ans, j’ai pratiqué constamment les propos de l’archange Michaël et cela à plusieurs endroits au Canada comme en Belgique, en Suisse, en France, à plusieurs villes du Québec comme des États Unis.
Il est à noter que cette dame canalisait le Chariot Blanc et l’archange Michaël. Sa question :
Pourriez-vous m’expliquer ce qui fait que maintenant que je parle avec moi et que je trouve cela si difficile ? Je vous remercie de tout cœur.
Chère sœur, c’est exactement ce que j’ai dit, vous n’avez plus besoin de vous encombrer de ces grands archétypes, nous avons été là, les archanges, les étoiles et nous, pour achever l’histoire, mais nous ne savions pas nous non plus, même en tant que Melchizedeks et même avant moi le grand Commandeur des Melchizedeks, Orionis, ne se doutait pas, puisque lui-même, Bença Deunov, de son vivant, avait parlé aussi d’une nouvelle terre, comme Shri Aurobindo d’ailleurs et comme moi, parce qu’il n’y avait aucun moyen de repérer que l’instant final n’était pas l’accès à une autre dimension ou à une nouvelle terre, ou à un nouvel espace de vie de la conscience, mais que c’était la fin du rêve de la conscience.
Ça devait rester caché jusqu’au moment ultime, mais ça a été écrit dès l’instant initial. Ça a été expliqué. Donc perdre la mémoire, bien sûr, qu’il y a des maladies qui vous font perdre la mémoire, il y a le vieillissement, il y a Alzheimer, il y a plein de maladies qui entrainent des troubles mémoriels. Mais les troubles de mémoire que vous avez aujourd’hui pour beaucoup, si ce n’est pas lié à l’âge, c’est uniquement à la disparition de l’éphémère, jusqu’à la stase.
Donc ne vous alarmez pas de cela. Et bien évidemment quand tu parles de canalisations que tu as organisées avec un médium, je te rappelle que moi aussi, avant de m’exprimer par l’intermédiaire de tête de caboche, j’étais déjà venu avant les années …, après ma mort, tout de suite après ma mort, au début des années quatre-vingt-dix, auprès d’un médium qui s’appelait Rémy, et je me faisais appeler OM, pour ne pas être reconnu entre guillemets.
Donc, nous avons été extrêmement nombreux à nous manifester, je ne parle pas seulement de nous Melchizedeks, mais aussi des archanges, pour préparer cette époque, antérieurement bien évidemment aux noces célestes. Je vous rappelle que les premières descentes de l’Esprit Saint sur cette Terre ont commencé au début des années quatre-vingt.
Et bien évidemment, il y a eu une importance considérable de l’archange Michaël, tel que ça a été expliqué par lui-même durant la phase des noces célestes et après, durant l’époque de Autres Dimensions, il y a eu d’innombrables interventions de Michaël.
Aujourd’hui, tu confirmes l’inutilité de tout ça. Vous n’avez plus besoin de tous ces repères, vous n’avez besoin que de vous-mêmes, d’être vrais et d’être dans l’instant présent, parce que quand vous vous souvenez, même ce qui a été si important pour vous mener jusque-là, ne représente plus rien.
Vous êtes la Vérité. Donc c’est tout à fait normal.
Mais si mes souvenirs sont bons, je crois que j’ai déjà eu l’occasion, quand j’étais incarné, de rencontrer plusieurs sœurs qui m’avaient parlé du Chariot Blanc. Oui, bien sûr, bien évidemment, c’était authentiquement l’archange Michaël qui je vous le rappelle, s’exprime par plusieurs voix, il n’y a pas que tête de caboche, vous avez une américaine très connue qui est, je dirais, entre guillemets, le channel attitré de Michaël.
Vous avez une facilité à rentrer en contact avec l’archange Anaël. Certains parmi vous, ici, d’ailleurs, ont eu pendant de nombreuses années comme ange gardien l’archange Anaël qui est l’archange de l’Amour. Tous ceux qui sont reliés à des notions historiques, qui n’ont plus cours certes, mais que vous avez néanmoins vécues, que ce soit l’histoire de la Sainte Famille, au sens large, c’est-à-dire par uniquement le Christ et Marie, mais tous ceux qui étaient présents à ce moment-là, se retrouvent aujourd’hui.
Qu’est-ce qui se passe ? Vous n’avez pas besoin de vous rappeler ces vies passées, mais par exemple vous rencontrez un frère ou une sœur, vous vous mettez à frissonner, à pleurer ou à vous reconnaître, même en entendant la voix. Oui, parce que vous faites partie de la Sainte Famille, ce n’est pas quelque chose de supérieur, c’est simplement quelque chose que vous avez vécue parce que vous étiez incarnés à l’époque du Christ.
Il y a d’autres saintes familles, chez Krishna, chez les Hindous par exemple, mais aussi dans votre religion. C’est une reconnexion bien évidemment, elle est réelle. Vous n’avez pas besoin de replonger dans le passé pour retrouver ces vies éventuelles. Si elles viennent spontanément, c’est bien, mais vous n’en avez pas besoin.
C’est comme l’histoire de ce mari tout à l’heure qui voit cette lumière à côté de lui et qui ne lui répond pas. Vous avez juste besoin de résonner, de vous aimer, de vous serrer dans les bras. C’est en silence que ça se passe. Vous n’avez pas besoin de réveiller le passé. Le passé est passé, il est lettres mortes, il est inutile aujourd’hui.
Mais néanmoins, il y a une reconnexion à travers votre incarnation passée en tant que personnage, à l’époque du Christ, vous étiez présents d’une manière ou d’une autre, à cette époque. Et vous avez donc bénéficié, pour ceux qui étaient incarnés à cette époque, même sans avoir rencontré le Christ, au moment du tremblement de terre de Pâques, au moment de la résurrection du Christ, vous avez tous quand vous étiez incarnés à ce moment-là, porté en vous au niveau de l’âme, vous avez été marqués au fer rouge par l’énergie christique, pour ce moment présent que vous vivez.
Et bien évidemment, quand vous rencontrez un frère ou une sœur pour la première fois, vous constatez que vous vous mettez à frissonner, à pleurer, sans savoir pourquoi. Ne cherchez pas à comprendre pourquoi, mais simplement étreignez-vous, dites-vous votre Amour. Vous n’avez pas besoin de vous rappeler cette vie, mais c’est ça qui vous aide à vous rappeler de qui vous êtes.
Parce que vous avez, vous étiez porteurs au niveau de l’âme de cette semence christique, si vous étiez incarnés à ce moment-là, pas nécessairement en Palestine, mais à ce moment-là j’ai bien dit.
De la même façon que vous avez d’autres saintes familles qui se retrouvent aujourd’hui, tous ceux qui étaient présents lors de la création de l’Atlantide, quand la Jérusalem Céleste s’est posée à Teotihuacan au Mexique, il y a eu une assemblée, d’ailleurs ça s’appelait le Concile d’Alta, qui a eu lieu au mois de mai en cinquante mille sept cent trente et un avant Jésus-Christ, où il y avait entre trente et cinquante mille personnes qui étaient venues accueillir l’atterrissage de la Jérusalem Céleste, avec les douze Elohims qui étaient présents dedans.
Et tous ceux qui ont vécu à cette époque, voilà cinquante mille ans, qui étaient incarnés, portent de la même manière au niveau de l’âme, cette marque au fer rouge qui se réveille aujourd’hui.
Vous voyez, vous n’avez pas besoin de vous rappeler où vous étiez au concile d’Alta, si vous étiez un Elohim ou si vous étiez quelqu’un qui assistait à cet atterrissage de la Jérusalem Céleste, à Teotihuacan, mais vous avez été marqués au fer rouge par ce vécu de ce moment-là, qui devait se réactiver au moment final, que vous vivez aujourd’hui. C’est pour ça que vous êtes très nombreux de par le monde à vous retrouver, soit physiquement, soit même en écoutant par exemple les témoignages tels qu’ils vous sont livrés.
Vous allez résonner à certains, soit parce qu’ils évoquent votre propre vécu, bien sûr, mais aussi parce qu’ils réveillent en vous cette marque au fer rouge et ce que vous aviez vécu ensemble, même si vous ne vous connaissiez pas à cette époque, mais vous y étiez incarnés. Vous voyez.
Donc, ne recherchez pas l’histoire, là aussi, mais profitez de ce frissonnement, de ces larmes, de cette reconnexion, de cette reconnaissance, pour fusionner, pour vous dire votre Amour, pour vous prendre dans les bras, c’est tout. Tout se fait à partir de là, et non pas d’une quelconque mémoire, et non pas d’une quelconque histoire.
C’est comme ça que vous pénétrez de plain pied, si je peux dire, en l’instant présent, et que vous constatez que c’est la Vérité, et que c’est comme ça que tout se résout. Soyez disponibles pour vivre ce qui est à vivre dans l’instant, je dirais, indépendamment de tout historique, de toute mémoire ou de tout souvenir.
Le seul souvenir important, c’est de vous souvenir de qui vous êtes avant la forme. Et ça, ce ne sont que des prétextes, puisque je vous rappelle que le scénario de tous les rêves de la création se sont produits à l’instant initial, puisque le temps n’existe pas et l’espace encore moins.
Tout a été écrit à la perfection. Le scénario des rêves, tous les scénarii sont exactement les mêmes et n’ont été construits que pour ne pas perdre le fil de qui vous êtes, que vous réveillez aujourd’hui, dont vous vous souvenez, et qui vous comble de Grâce, qui vous comble de Joie, de légèreté, de Vérité.
Tout le reste effectivement, comme le disait notre sœur, est devenu aujourd’hui superflu et inutile. Mais même si à cette époque ça a été extrêmement important, alors tu as parlé du Chariot Blanc par rapport à l’archange Michaël, je vous invite d’ailleurs, si vous avez l’opportunité de retrouver certains de ces enregistrements, de percevoir la qualité vibratoire qui était présente, et qui préparait cet instant présent.
Bidi, Nisargadatta incarné, dans sa dernière incarnation, avait bien dit que ses paroles ne pouvaient pas échouer. Vous le vérifiez aujourd’hui. A l’époque, personne ne comprenait rien.
De la même façon quand frère K faisait ses conférences, c’était captivant, mais personne ne vivait la même chose que lui. Aujourd’hui, vous êtes tous des Krishnamurti, vous êtes tous des Shri Aurobindo. Si vous relisez par exemple certains poèmes de Shri Aurobindo, qui sont en rapport avec le Feu du Cœur Sacré, vous allez effectivement découvrir que c’est exactement ce que vous vivez.
Tout ça avait été un travail, entre guillemets, ce sont des jalons qui avaient été écrits pour vous permettre, si je peux dire, de vous diriger, de vous canaliser vers ce moment final, avec de plus en plus de légèreté, d’Évidence et de Grâce. Mais effectivement, aujourd’hui, c’est totalement inutile, il faut vous dépouiller de toutes ces fouillures, de tous ces archétypes, qui pourtant vous ont conduits jusque-là où vous êtes aujourd’hui.
Rendez grâce, remerciez, mais vous n’avez plus besoin de vous appuyer sur ça. Vous avez simplement besoin de vous appuyer sur ce qui est au milieu de votre poitrine, tout y est, dans le Cœur du Cœur, et effectivement, tout le reste est devenu inutile. Mais ce n’était pas inutile dans le scénario de l’histoire, bien sûr.
Nous pouvons continuer.
Sœur : C’est une question. Cher OMA. Autrefois, lorsque je rentrais dans mon cœur, je voyais la Lumière. Aujourd’hui, dès que j’installe la conscience sur le Cœur du Cœur, c’est le trou noir et que du noir. Je repars dans ce trou, je deviens le tout, c’est-à-dire que j’ai dépassé la Lumière ? Merci OMA.
La réponse est bien évidemment Oui. Après le paradis blanc, il y a le trou noir, ce que l’ego appelle le néant, les forces noires, c’est la Vérité. Je ne parle pas des forces noires constituées comme les archontes ou les méchants garçons ou les guignols. Le trou noir est la Vérité.
Comme disait Nisargadatta et comme je l’ai dit, voilà quelques semaines, c’est la fusion de l’être et du non-être. C’est le paradis blanc et le trou noir en même temps. Et bien évidemment, quand tu passes de la Lumière que tu voyais au trou noir, tu as trouvé qui tu es, antérieurement à la Lumière. Tu es la Lumière, et tu es la source de la Lumière, et tu es la source de la forme, comme de tous les univers, de tous les systèmes solaires, et de toutes les galaxies, comme de toutes les dimensions.
Et ça, quand vous le vivez, ce fameux trou noir, vous vous reconnaissez.
Alors bien sûr, les premiers temps, il peut y avoir des hésitations, surtout quand on avait eu l’opportunité de vivre la Lumière blanche, où on était tellement bien dans le Soi, dans le miroitement de la Lumière, et ça j’avais dit aussi que c’était de l’orgueil spirituel, que le Soi, il y a déjà de nombreuses années, était lié à l’orgueil spirituel. Celui de se croire quelqu’un ou quelque chose. Mais vous n’êtes rien, et c’est en étant rien que vous êtes tout.
Votre royaume n’est ni de ce monde, ni d’aucun monde. Votre royaume, c’est la Demeure de Paix Suprême, c’est la jonction de l’être et du non-être, là où tout est accompli, là où tout est parfait, et là où vous vous souvenez de qui vous êtes.
Donc oui, ce que tu vis, c’est la fusion de l’être et du non-être, qui se passe au Cœur du Cœur, au centre du double tore du cœur, au niveau du point Zéro. Ce fameux néant ou vide, qui en fait contient tout le rêve de la création dans l’instant initial.
C’est ça qui met fin à l’illusion du temps, à l’illusion de l’espace et à l’illusion de la forme. Et c’est là que vous retrouvez l’état naturel du Je Éternel et Absolu.
Tout le reste, ce ne sont que des histoires, n’ont été que des jalons, je le dis, pour vous retrouver. Aujourd’hui, vous n’avez plus besoin de ça.
Et plus les formes disparaissent, et plus vous vivez cette disparition, ce trou noir, c’est-à-dire quand vous êtes à la limite de l’extinction de la conscience, vous savez, en le vivant, que c’est la Vérité. Il n’y a pas besoin d’argument, il n’y a pas besoin de justification ou d’explication, c’est simplement à vivre, et c’est vivable de façon de plus en plus immédiate.
Chaque jour qui va passer, durant ce décembre multicolore, ça veut dire effectivement que vous allez en voir de toutes les couleurs de partout, que vous allez vous retrouver, que l’évènement survienne maintenant ou pas d’ailleurs.
J’ai répondu à la question.
Alors question ou témoignage suivant.
Sœur : Il n’y a plus de question écrite.
Alors si nous avons des frères et des sœurs qui …
Autre sœur : Excusez-moi, excusez-moi, j’ai des questions qui viennent par courriel.
Alors on t’écoute, viens t’assoir avec le micro.
Sœur : Le premier témoignage. Ce matin, vers cinq heures, réveillée, j’ai senti arriver une vibration par la porte de la chambre, qui a investi ensuite tout mon corps, mais sans mouvement ascensionnel, par rapport aux manifestations précédentes, par deux fois il y a une dizaine d’années. Tout vibrait en moi. C’était très rapide avec un léger son. Puis cela s’est arrêté. C’est un témoignage qui, par curiosité, qu’en est-il ? Merci. Agapè.
Merci.
Autre témoignage.
Sœur : Mais … mais la question disait : « Qu’en est-il ? »
Et on n’entend pas bien là. Merci.
Sœur : Dans la question, c’est demandé : Qu’en est-il ?
De quoi ?
C’était un témoignage ou une question ?
Sœur : C’était un témoignage.
Et qu’est-ce qui est demandé, je ne comprends pas alors.
J’ai entendu un témoignage, je n’ai pas entendu de question.
Sœur : Non, il y avait comme une question, c’était ce même : Qu’en est-il ?
Mais qu’en est-il de quoi ?
Sœur : Savoir ce que toi OMA pense de ce qu’il lui est arrivé.
Mais je n’ai pas à commenter, sauf quand je commente, mais je n’ai pas à dire ce qu’il en est d’un témoignage. Je ne comprends pas toujours la question. Qu’en est-il de quoi ? Il faut que j’apprécie le témoignage, c’est ça ?
Sœur : Est-ce que tu veux qu’on te relise ?
Ben je veux bien qu’on le relise, mais je ne vois pas ce qu’il en est. Que voulez-vous que je dise par rapport à cela ?
Sœur : Bon, OK.
Soit il y a une question claire, mais qu’en est-il, ça ne veut rien dire.
La personne s’interroge peut-être sur la validité de ce qu’elle a vécu, c’est ça ? Elle n’a pas à poser la question, si elle a vécu, elle a vécu.
Sœur : Elle croyait sûrement que tu pouvais apporter un éclairage sur ce qu’elle a vécu.
Alors, recommençons à le lire une deuxième fois.
Sœur : Ce matin, vers cinq heures, réveillée, j’ai senti arriver une vibration par la porte de la chambre, qui a investi ensuite tout mon corps, mais sans mouvement ascensionnel, par rapport aux manifestations précédentes, par deux fois il y a une dizaine d’années. Tout vibrait en moi. C’était très rapide avec un léger son. Puis cela s’est arrêté. Merci. Agapè.
Mais je ne comprends toujours pas. Elle a vécu un processus vibratoire de fusion, d’Agapè, de communion et de résonance, c’est tout.
Regardez, vous aviez tout à l’heure le témoignage de cette femme qui parlait de son mari, qui croit en rien, qui voit la lumière, qui a interrogé la lumière. Elle est restée silencieuse. L’important c’est le vécu, ce n’est pas l’explication, non ? C’était un phénomène de résonance, elle termine d’ailleurs le témoignage par Agapè. Oui, c’est un processus vibratoire, ça n’appelle pas de commentaire.
La question : qu’en est-il, je ne comprends toujours pas. Si on témoigne, bien évidemment je peux apporter des compléments quand c’est nécessaire, mais telle qu’est formulée la question, je ne vois toujours pas ce qui est demandé. Si c’est la véracité de l’expérience, du vécu de ce matin, bien évidemment c’est vrai puisque tu l’as vécu. Pourquoi veux-tu une histoire à raconter par rapport à cela ? Il n’y a pas besoin d’identifier qui était cette lumière, puisque c’était toi.
Tu as vécu un phénomène vibratoire intense de révélation de lumière, c’est tout. Pourquoi mettre en doute le vécu ? Surtout que là il ne s’agit pas de processus de vision ou à proprement parler de perceptions énergétiques à un point ou un autre. C’est un processus vibratoire global.
Nous l’avons expliqué longuement, c’est la fusion de l’éphémère et de l’Éternel, qui déclenche le Feu, que ce feu parte des pieds, de la poitrine, de la tête, que ce soit un processus vibratoire, c’est l’alchimie entre le feu vital et le feu igné, c’est tout.
Alors soit j’ai répondu à la question, soit je n’ai toujours pas compris. Et si la sœur est là, et bien il faut qu’elle vienne demander, dire ce qu’elle entend par qu’en est-il.
Sœur : La sœur est absente.
Alors je ne peux pas répondre plus que ça. Mais la question est tellement vague, elle s’interroge elle-même, peut-être que c’est sur son propre vécu. Mais ça ne sert à rien, l’important c’est de le vivre. Les explications viennent d’elles-mêmes après.
Quand je donne des repères qui accompagnent vos témoignages, c’est juste des repères qui soient … précis, au niveau du corps, comme par exemple tout à l’heure la lumière sur l’épaule gauche qui est en rapport avec le canal marial, mais là c’est un processus vibratoire qu’elle a vécu, de fusion alchimique entre l’éphémère et l’Éternel. Que ce soit son éphémère et son Éternel à elle, ou ce que vous pourriez appeler une entité, peu importe. Le but est de résonner ensemble, de vibrer ensemble, de se reconnaître ensemble.
Alors, continuons.
Sœur : Le deuxième témoignage. Conséquence d’Agapè sur le corps physique et surtout le système digestif. La sensation de faim diminue, je mange très peu, ne suis plus gourmande. C’est parfois contradictoire, car je ne sais plus si j’ai faim. Je mange quand même. Alors, il y a une lourdeur au niveau de l’estomac avec nausée. Le transit est perturbé, c’est d’abord de la constipation, un peu transit normal. Le va et vient entre l’éphémère et l’Absolu, éreintée. C’est comme si le corps peine à suivre. Dans ce cas-là, c’est le rien faire qui prime ou être dans la création dans mon atelier, alors la paix. Merci. Agapè.
C’est la même personne, là, ou c’est une autre personne ?
Sœur : C’est une autre personne.
Merci.
Et je n’ai rien à dire, nous écoutons et résonnons. La suite.
Sœur : OK. Là c’est une question. Quelle est la différence entre onde de forme appelée tore et (…) de Lakhovsky. Quelles sont les propriétés de chacune de ces ondes scalaires, à porter sur soi-même ou à poser près de soi ou dans un lieu. Merci infiniment pour votre éclairage.
Alors, les ondes. Pour faire simple, parce que ce n’est pas mon domaine, vous avez ce qu’on appelle l’électro magnétisme, l’onde sinusoïdale habituelle, qui est polarisée en plus ou en moins. Ce sont les couleurs, ce sont les sons, c’est tout ce qui est électro magnétisme. L’onde scalaire n’est pas polarisée. Il existe bien sûr différentes formes d’ondes scalaires et différents circuits métalliques, différents oscillateurs, qui génèrent certaines ondes spécifiques.
Il y a des différences. Mais je rappelle que le plus important, et je pense que c’est la personne qui fabrique ces objets, qui demande cette question. L’important est l’amour que tu mets pour les fabriquer et non pas la mesure de telle onde ou de telle onde scalaire, parce que l’intensité et la qualité de l’amour que tu fais dans cet acte de création, est bien plus important, que d’avoir telle forme d’onde scalaire ou telle autre forme.
Bien sûr qu’il y a des spécificités repérables, mesurables, mais je te dis aujourd’hui, que ta qualité de transparence quand c’est fabriqué est beaucoup plus agissante que tout le reste des constituants. Mais simplement l’onde scalaire permet quelque part, quelle que soit sa forme, c’est-à-dire qu’elle se propage en ligne droite ou en spirale, sans être polarisée, c’est-à-dire ce n’est ni électrique, ni magnétique, se propage à l’infini. C’est la bonne nouvelle l’onde scalaire, c’est la bonne nouvelle du temps zéro.
C’est le réalignement de votre présence avec votre absence, ou si vous préférez la fusion de l’être et du non-être. Ne t’embarrasse pas de tels détails de mesures, de radionique ou d’unités Bovis, ou de vibrations en vert positif ou en vert négatif. Parce qu’il y a quelque chose que tu ne peux pas mesurer, à aucun moment, ni avec un pendule, ni avec quoi que ce soit. C’est la qualité d’amour avec laquelle tu réalises cela, qui est bien plus efficace que ce qui est à l’intérieur, même s’il y a des spécificités.
Alors ne te préoccupe pas, bien évidemment, tu pourras demander la même question à tête de caboche qui, me semble-t-il, fait joujou avec ça en ce moment, mais ce qui est important, c’est que toutes ces formes géométriques, que ce soit des circuits de radionique, ou si vous préférez qui génèrent de façon passive ce qu’on appelle le champ cosmique de l’univers électro magnétique, ou que ce soit des circuits qu’on appelle des résonateurs ou des oscillateurs, peu importe les noms, quelles que soient les formes, c’est ce que tu vas mettre, toi, dessus, par ton amour, qui est plus efficace que la forme elle-même.
Donc ne te pose pas la question de savoir s’il y a une forme qui est meilleure qu’une autre, parce que la différence de l’action n’est pas liée à telle ou telle énergie, mais bien plus à la qualité de service que tu as faite en réalisant cet objet.
Il y a des différences, certes, entre une onde scalaire longitudinale ou spiralée, selon, on va dire, ce rayonnement qui est censé être infini, de proche en proche, et qui ne correspond pas, et qui n’est en aucune soumission à la gravité ou à l’électro magnétisme, et libéré de la polarité.
Et tu vas donc de manière très, très subtile, par l’intention que tu mets dans la fabrication de cela, qui n’est pas un acte commercial, mais de partage, de création et de don de soi, qui est bien plus importante que toutes les mesures qui pourraient être faites avec un pendule et que toutes les explications scientifiques que pourrait te donner quelqu’un qui est spécialiste de ces ondes ou même tête de caboche.
L’intention, et le cœur avec lequel vous faites ces choses, est bien plus importante que la forme. Ne t’attache pas aux différences de mesures, ne t’attache pas aux définitions des fabricants, mais attache-toi bien plus à toujours veiller à demeurer dans cet état de don de toi quand tu fabriques cela. C’est bien plus important que de savoir que telle forme géométrique émet telle onde ou telle autre onde.
L’efficacité est toujours la même, de te ramener au temps zéro, et de te permettre de souvenir. Bien sûr qu’il y a des effets sur les mécanismes de douleurs, sur le mal être émotionnel ou mental, mais cet effet n’est pas lié uniquement à ce que vous nommez l’onde scalaire, ou même aux minéraux ou aux métaux qui sont mis dans cet objet, mais avec l’intention avec laquelle ça a été fait.
Vous rentrez, je vous le rappelle, depuis déjà des années dans ce qui a été nommé la co-création consciente. Ce que vous faites avec amour est porteur d’amour. Ce que vous faites sans amour est privé d’amour. C’est aussi simple que ça.
Et tu constateras d’ailleurs, dans le temps, dans les semaines qui viennent, si elles ont lieu, que ça va être de plus en plus puissant, quelle que soit la forme que tu mets, quel que soit ce qui est mesuré comme l’unité Bovis ou comme type de rayonnement.
Ce qui est important et ce n’est pas mesurable, à aucun moment, personne ne peut le mesurer, Agapè, parce que ce n’est pas mesurable, et c’est ça qui est le plus important. Ce que vous faites avec amour, est porteur d’amour. Ce que vous faites sans amour, même si c’est logique, même si c’est mesuré, même si c’est calibré, ne représente plus rien par rapport à la puissance de l’amour de votre acte créatif.
Je parle d’objets, mais c’est pareil dans toutes les relations, qu’elles soient familiales, ou qu’elles soient avec quelqu’un qui vous demande son chemin dans la rue. Souriez, soyez vrais et spontanés, tout le reste, ce ne sont que des alibis et des prétextes.
Alors bien sûr ces ondes scalaires, bien évidemment, étant en rapport avec quelque chose de non polarisé, vous renvoient au temps zéro, vous renvoient, à ce qui a été nommé je crois les tachyons, c’est-à-dire ces ondes et ces particules de neutrinos qui dépassent la vitesse de la lumière, parce que c’est instantané.
Alors après, c’est votre intention qui va se cristalliser, réellement, dans les cristaux, dans les minéraux, dans la résine, et dans les reproductions sur des circuits de ces ondes scalaires. Alors bien sûr qu’il y a des différences. Mais ça je te conseille plutôt de demander à tête de caboche qu’à moi, parce que je n’ai pas les connaissances nécessaires, mais par contre, ce que je t’affirme, c’est que la qualité avec laquelle tu fais cela, est bien plus importante que toute mesure que tu pourrais faire.
A un moment donné, s’il y a suffisamment d’amour, tu n’as même plus besoin de mettre des ondes scalaires ni des minéraux, mais simplement dessiner ou faire un objet, qui a une forme de rose, ou une forme de baleine, une forme de fleur, avec l’intention d’amour, l’autre la vivra.
L’onde scalaire est un support de l’information du temps zéro, mais avant tout, un support d’Agapè, comme les minéraux, vous imprégnez littéralement d’Agapè les lieux où vous passez, c’est la rémanence des murs.
Quand vous êtes au temps zéro, comme le Christ à son époque, quand il se promenait dans les rues de Jérusalem, et que la femme qui avait des saignements le touche et est guérie. Et la veuve aussi, quand il dit : C’est ta foi qui t’a guérie, ce n’est pas moi. C’est exactement la même chose, mais la foi en quoi, en la Vie, la foi en l’Amour que vous êtes, même si vous ne vous êtes pas encore reconnus.
Si votre intention est pure, alors c’est le plus important, quelles que soient les mesures. C’est la primauté d’Agapè à tous les niveaux, et pas seulement pour des objets fabriqués comme ça, mais dans tous les actes créatifs, dans toutes les relations qui se déroulent.
Si vous mettez comme je disais l’Amour devant, si vous vous oubliez, si vous êtes dans le service à l’autre, indépendamment de tout avantage personnel, vous résonnez avec l’autre et vous êtes l’autre. C’est ça les résonances Agapè, que ça passe par des objets, par des lieux, par des rémanences de murs, par quoi que ce soit.
Vous avez d’innombrables frères et sœurs qui se retrouvent à vivre Agapè sans savoir ce que c’est, sans avoir rien demandé, mais ils étaient disponibles, même sans le savoir, même en le refusant.
Vous êtes sortis de ces notions de mesure, vous n’avez plus besoin de mesurer si c’est bien ou mal, si c’est plus efficace ou moins efficace, parce que si vous faites ça, ça veut dire quoi, que vous n’êtes pas encore libres, que vous voulez agir selon les règles de la matière et non pas selon les règles de l’Esprit.
Alors oubliez toutes ces notions-là, soyez vrais, soyez spontanés, même si je me doute que tête de caboche a peut-être d’autres réponses que les miennes par rapport à l’aspect structurel de ces ondes de formes. Mais l’important n’est pas là, l’important c’est l’intention d’amour et de service que vous mettez dans ce que vous faites, à chaque minute.
Tout le reste, si vous mesurez, vous retombez dans la dualité, bien – mal, là c’est plus fort – là c’est moins fort. L’Amour ne connaît rien de tout ça, et celui qui vit la Vérité, n’a surtout pas besoin de mesurer quoi que ce soit, ni de savoir quoi que ce soit.
Le plus important, c’est sa disposition intérieure dans ce qui est créé, dans ce qui est dit, dans ce qui entre en relation, à quelque niveau que ce soit. Tout le reste ne fait que passer. Mais ce que vous faites dans cet état de disponibilité, le service, ne passera jamais. Et c’est ça qui vous fait vous souvenir de qui vous êtes. Comme le dit tête de caboche, vous êtes les uns, nous sommes tous, les uns dans les autres.
C’est, je crois au niveau physique, c’est ce qu’on appelle aujourd’hui, non plus la physique quantique, mais je crois l’intrication quantique, ou si vous préférez, ça fait plus savant, l’entrelacement quantique, où une particule qui est à un endroit de l’univers est connectée à toutes les autres particules dans tous les univers, et dans toutes les dimensions. Le temps et l’espace n’existent pas. Et d’ailleurs ça a été mis, je crois, en équation, vous demanderez ça à tête de caboche.
Cette équation est réelle, elle est validée. Deux particules qui se sont rencontrées à un moment donné, et c’est pareil, comme je l’ai expliqué tout à l’heure, par exemple par rapport à la sainte famille Christique, ou à la sainte famille des Elohims, c’est souvent les mêmes d’ailleurs, mais pas toujours, c’est comme ça que vous vous souvenez, le reste ne représente rien.
Soyez vrais, soyez spontanés, et quand vous êtes vrais et spontanés, vous n’avez plus besoin de mesurer quoi que ce soit, vous n’avez plus besoin de comprendre ce que vous faites. Ça c’est l’ego qui veut comprendre. Mais si l’intention d’amour et de service est pur, que ce soit à travers un tableau, que ce soit à travers un poème, que ce soit à travers des objets comme ces ondes scalaires mis dans des orgonites, que ce soit un tee shirt que vous faites fabriquer pour vous ou pour quelqu’un d’autre, si c’est un geste d’amour, alors il a son action.
Peu importe le support, peu importe la mesure, Agapè ne peut être mesurée, en aucune manière, et si vous avez encore besoin de mesurer quoi que ce soit, c’est que quelque part, il y a encore une certaine forme de dualité, et aussi surtout une certaine forme de doute. Agapè ne doute jamais.
Mais bon, si tu veux plus de précisions sur les mesures, je t’invite à t’adresser directement, à reposer cette question directement à tête de caboche dans un satsang, ce sera plus simple n’est-ce pas. D’ailleurs tête de caboche vous a délivré déjà depuis de nombreuses années, un certain nombre d’éléments, très physiques, concernant des produits, des cristaux, pour vous aider à cheminer jusqu’au point zéro.
Vous pouvez vous aider de ce que vous voulez, l’important aujourd’hui est bien plus quand vous faites quelque chose, que ce soit un objet, que ce soit une rencontre, que ce soit un échange avec votre mari, votre femme, l’enfant, c’est l’état dans lequel vous êtes d’amour. Ce n’est pas juste, ça ne va pas être vos mots, ça ne va pas être le besoin de persuader un enfant ou un mari de quelque chose, ça va être là aussi votre disponibilité à l’amour qui va agir en l’autre. Je dirais, à l’insu de votre volonté, à l’insu de la volonté de l’autre, là est le miracle de l’Amour.
L’Amour c’est la démesure totale, c’est folie aux yeux des hommes, et c’est pourtant l’unique Vérité, vous voyez.
Alors, avons-nous d’autres questions ou témoignages écrits ?
Sœur : Non.
Alors, si nous avons …
Sœur : Nous avons une question orale.
Comment ?
Sœur : Une question orale.
Alors la personne vient au micro et on l’écoute.
Sœur : Merci OMA d’être avec nous. J’ai une question qui est toute petite, pour quelque chose que j’ai vécue…
Je n’entends rien. J’ai une question pour ?
Sœur : Elle a une question qui est toute petite pour quelque chose qu’elle a vécue.
Ah d’accord.
Sœur : Il y a environ deux semaines, durant la nuit.
Deux semaines devant le ?
Sœur : Durant la nuit.
Je n’ai rien compris.
Sœur : Il y a environ deux semaines, durant la nuit.
Ah la nuit ! C’est le mot nuit ? Oh la la, avec l’accent québécois, ça devient dur.
(Rires)
Sœur : Je me trouvais dans un endroit qui semblait être chez le concessionnaire automobiles.
Je n’ai rien compris.
(Rires)
C’est comme si c’était du chinois pour moi.
Sœur : Elle se trouvait dans un endroit qui semblait être comme chez un concessionnaire automobile.
D’accord, c’est un rêve donc ?
Sœur : Oui, mais très consciemment celui-là.
Sœur : Un rêve très conscient.
Un rêve lucide, d’accord.
Sœur : Oui. Et j’ai fait quelques pas, et dans un passage, et j’ai tourné par la gauche, …
Sœur : Est-ce que tu entends bien l’histoire ou tu as besoin que je répète ?
Il faut répéter parce que le micro n’est pas, la personne qui parle n’est pas dans mon champ vibratoire. C’est pour ça que c’est la personne de droite, quelle que soit l’intensité, ce n’est même pas une question d’accent, parfois je peux entendre quelqu’un parce qu’il y a une connexion qui s’établit, même s’il chuchote, mais dans d’autres cas, non. Il faut que ça soit dans l’atmosphère vibratoire de ce qu’on appelle l’enracineur, qui est à droite et à gauche. Donc, répète, oui.
Sœur : J’ai fait quelques pas et j’ai tourné à ma gauche dans un passage, et c’était tellement lumineux que mes yeux étaient fermés, incapable de les ouvrir, c’était impossible, et même plus que difficile, c’était impossible. Et Yves est venu me réveiller à ce moment-là, et même revenue sur le plan physique, j’ai eu de la difficulté à ouvrir les yeux. Ma question c’est : Qu’est-ce qui s’est passé, qu’est-ce que j’ai vécu à ce moment-là ?
Qu’est-ce que c’est que la voiture ? Un véhicule. C’est ton corps aussi bien physique que de Lumière. Là, en l’occurrence, comme tu le dis, tu étais chez un marchand d’automobiles, c’est ça. Donc tu venais récupérer ton véhicule d’Éternité, de Lumière. Mais c’était tellement intense, bien sûr, que ça a déclenché un phénomène vibratoire, mais aussi le feu par friction. La voiture, c’est le corps physique, mais aussi l’éternité, mais aussi les corps subtils. Le fait de voir cette voiture avec cette lumière blanche qui t’empêchait d’ouvrir les yeux, est ta propre rencontre avec ton éternité, c’est l’installation dans le paradis blanc, préalable le plus souvent, mais pas toujours, au non-être, c’est-à-dire au trou noir.
En rêve, où dans les circonstances de vos vies, nous avons eu tout à l’heure l’expérience du mari et la femme avec la lumière, c’est la même chose. C’est une résonance vibratoire qui te rapproche du temps zéro. C’est tout.
As-tu d’autres questions par rapport à cela ?
Sœur : Oui. Au mois de septembre l’an passé, quand je suis allée au Can Mas, j’ai récupéré à ce moment-là mon corps d’éternité et j’ai vécu aussi le trou noir. Est-ce que c’est parce que ça a été éclairé, mais pas en totalité, et là…
Oh je t’arrête tout de suite. Est-ce que depuis ce que tu as vécu au Can Mas, tu es restée toujours dans cet état de béatitude ou pas ? Certainement pas.
Sœur : Oh que non. Elle répond non.
Eh bien c’est bien pour ça que tu l’as revécu, avec le concessionnaire d’automobiles et la voiture de lumière. Il y a ce qui est de l’ordre du souvenir, dit moment initial ou final, c’est le même, où tu retrouves ton corps d’éternité et le trou noir. Soit ça demeure, soit avec les vicissitudes de la vie ordinaire et du personnage, ça s’éloigne, ce qui crée une grande souffrance, n’est-ce pas ?
Sœur : Oh oui.
Là c’est revenu, c’est tout. N’oubliez pas que, durant toute une année, que ce soit moi, tête de caboche, Abba et d’autres intervenants, nous avons insisté très lourdement sur les habitudes. Les habitudes sont gênantes quand vous faites les choses automatiquement, par habitude, sans lucidité et sans la pleine conscience. Ces habitudes-là, même si elles vous semblent normales, vous éloignent de la Vérité, parce qu’elles vous mènent dans un train-train, elles vous mènent dans l’habitude, c’est-à-dire que vous n’avez plus besoin d’être lucides, ça se fait quasiment automatiquement, c’était bien pratique.
Mais ces habitudes-là vous éloignent de la Vérité, parce que quand vous vous laissez guider par vos habitudes, vos automatismes, parce que vous maîtrisez un domaine ou un autre, vous n’êtes plus disponibles pour l’observateur et l’instant présent. Et ça crée de la souffrance, c’est pour ça que les habitudes, nous avons tant insisté, sur le fait de les voir.
Quand vous vous imposez des règles, vous-mêmes, de manger à telle heure, de faire telle chose toujours de la même façon, vous devenez une espèce de perroquet et de singe, et vous oubliez qui vous êtes, et c’est exactement ce qui s’est passé pour toi, et qui se passe certainement, en ce moment-même, pour beaucoup de frères et de sœurs.
Vivre une expérience Agapè suffit à vous marquer là aussi au fer rouge. Mais si vous êtes emportés par les habitudes, par le mental, par le besoin de contrôler les évènements et les choses, et les situations, vous n’êtes plus disponibles pour Agapè, et vous rentrez en souffrance, et vous avez l’impression d’avoir perdu quelque chose.
Non. C’est vous-mêmes qui avez laissé le personnage revenir par automatisme et par facilité. Tout ce que vous croyez contrôler vous contrôle et vous restreint. La spontanéité d’Agapè ne peut s’accompagner d’aucune volonté de contrôle d’aucune sorte.
Bien sûr, il y a des impératifs. Quand il faut payer le loyer, il faut le payer. Mais au niveau des autres habitudes, ou échéances si vous préférez, mensuelles, annuelles ou autres, vous devez demeurer lucides, c’est-à-dire disponibles, et vous ne pouvez pas contrôler et être disponibles pour la Vérité.
Ça c’est une grande leçon, tout ce que vous croyez tenir, vous tient, à tous les niveaux, et ça freine, et ça brime Agapè, la Liberté et la Vérité.
Donc le fait d’avoir vécu cela n’est pas une réminiscence à être comme tu dis, du Can Mas, mais c’est la réinstallation peut-être de manière plus définitive et plus intense de la Vérité. Es-tu à nouveau en Agapè, en toi ?
Sœur : Elle répond Oui.
Voilà. Mais comme ça a été dit, il suffit d’une minute d’Agapè, de trou noir ou de pleine présence, ou de pleine absence, pour être marqué au fer rouge, et chez certains d’entre vous, vous avez l’impression d’avoir perdu quelque chose. Mais vous n’avez rien perdu, vous n’avez simplement pas tout vu au niveau de votre personnage, et en particulier, tout ce qui est lié au contrôle, à la culpabilité quelle qu’elle soit, et à la peur quelle qu’elle soit, vous privent de la liberté et vous met en souffrance, jusqu’à ce que vous acceptez que vous ne pouviez rien contrôler, jusqu’à ce que vous acceptiez de ne plus être soumis à aucune facette du personnage, même si c’est lié à des données mémorielles ou même astrologiques de votre personnalité.
C’est comme ça que vous faites l’apprentissage de la fin de la distance entre la Vérité et vous. Parce qu’il y a une telle souffrance effectivement qui peut se réinstaller si vous laissez le personnage par habitude reprendre ses automatismes, et bien évidemment ce qui a été vécu vous semble, non pas perdu, mais s’éloigner, et vous rentrez en tristesse, en colère. Ce n’est que parce qu’il reste encore des résidus mémoriels qui ne sont pas des karmas, mais qui sont simplement des postures de comportements de votre vie, liés peut-être à votre tempérament, aussi astrologique, à vos mémoires, peu importe.
Mais c’est toujours la même chose, c’est la culpabilité, la peur, le doute, les automatismes de la personne, les besoins de contrôle, qui semblent vous faire perdre cet état d’Agapè.
Mais c’est le va et vient entre l’éphémère et l’éternel, ça a été dit, qui va installer l’éternel de façon pérenne. Mais c’est justement, quand vous en aurez marre de voir que vous n’êtes pas bien, alors que vous étiez si bien, que vous comprenez ce qui se joue dans le personnage, que vous voyez réellement ou que vous conscientisez réellement ce qui n’avait pas été vu. A ce moment-là vous rirez de vous-mêmes, c’est-à-dire de votre culpabilité, de votre besoin de contrôle, de vos peurs et de vos doutes.
A l’époque, je disais l’Amour ou la peur, et vous savez que depuis déjà de nombreux mois, moi et Bidi aussi, nous avons dit aussi : l’Amour ou la souffrance. Quand vous en aurez marre de souffrir, vous rirez de vos propres souffrances, mais pour cela il faut accepter que vous ne contrôlez rien et que vous ne maîtrisez rien. L’Amour ne se contrôle pas, l’Amour ne se maîtrise pas, il se vit dans l’instant présent, indépendamment de tout conditionnement, même lié à des influences de signes astrologiques ou de mémoires blessées, ou de perte de confiance, ou de culpabilité, ou de peur.
C’est le va et vient entre l’éphémère et l’éternel. Et quand vous serez fermement décidés à laisser être Agapè que vous êtes, plutôt que le personnage redevenir à travers ses commodités de contrôle, d’organisation, que vous laisserez tomber ça, que Agapè se réinstallera, ce n’est pas une punition, c’est là aussi un éclairage de ce qui est Agapè et de ce qui n’est pas Agapè quand le personnage tente de reprendre le contrôle, ne serait-ce même que par automatisme, c’est-à-dire de façon totalement inconsciente, mais qui doit devenir consciente à nouveau, afin d’en rire et de le traverser.
C’est aussi comme ça, et ça a été dit par tête de caboche, d’une manière comme d’une autre, de vous dégoutter de l’éphémère, de la création, de votre forme, non pas pour vous dégoutter de la vie, mais justement pour vivre la Vie, pour vivre Agapè en permanence.
Agapè ne peut pas s’accommoder avec des mémoires, ne peut pas s’accommoder avec des projections, dans un nouveau rêve ou dans un avenir. C’est ça l’instant présent, parce que si tu es dans l’instant présent, instantanément, tu es en Agapè. Si tu n’es pas en Agapè, c’est que l’instant présent n’est plus, tu es dans autre chose que l’instant présent, tu es dans la revendication, dans la peur, la culpabilité, la souffrance, et donc tu ne peux pas être disponible pour la Vérité, même si tu l’as vécu, comme tu dis, voilà quelques temps, en un autre lieu.
Ce n’est pas une punition, tu n’as pas ni de culpabilité à entretenir, ni de recherche à faire, mais tu as simplement à laisser mourir toutes ces habitudes. La Lumière sera toujours beaucoup plus intelligente et beaucoup plus organisatrice que tout ce que tu peux faire par ta personne, même avec les compétences les plus importantes. La spontanéité de la vie, c’est ça.
Si vous êtes réellement présents, vous êtes libres, vous êtes en Agapè, c’est ça la présence et l’absence réunies. Donc oui vous êtes nombreux aussi à vivre cette espèce de trournicoti-tournicota, non plus entre comme j’appelais à l’époque l’orgueil spirituel, le Soi, mais simplement le jeu entre l’éphémère et l’éternel, cette fusion entre l’éphémère et l’éternel, qui ne doit laisser aucune zone non éclairée, que ce soit dans le corps, ou dans le comportement, dans les pensées, dans l’esprit, dans les émotions, et même dans les relations.
Et d’ailleurs je dirais, quoi que je me répète, quand vous en aurez marre de souffrir, il ne restera que l’Amour. Vous avez eu de nombreux témoignages aussi de frères et de sœurs qui ont été incarnés, qui ont été connus et qui vous décrivent la même chose. Vous avez d’innombrables frères et sœurs aujourd’hui qui s’expriment sur l’instant présent et sur l’Amour Agapè, même s’ils ne connaissent pas ce mot.
Vous croyez qu’ils ont besoin de s’encombrer, de savoir ce que c’est un chakra, une énergie, une vibration, une vision, non. La disponibilité à l’instant présent, c’est la vacuité. C’est là où rien de votre histoire, de votre personne, de votre mémoire, de vos habitudes, de vos projections, bref, rien de ce qui concerne la conscience, l’inconscient, le subconscient ou le supra conscient ne peut interférer avec le Je éternel.
Tant que ce n’est pas stabilisé, oui, ça peut vous donner l’impression de souffrir, d’être en colère, et vous avez parfois l’impression de voir ressurgir la culpabilité, la souffrance, les peurs. Ce ne sont pas des punitions ni des rétributions, c’est le juste jeu de l’Intelligence de la Lumière qui se révèle en totalité.
Soyez disponibles, acceptez aussi, surtout quand il vous semble ne plus vivre ce que vous avez vécu à un moment donné, acceptez. N’entrez pas en rébellion ou en révolte ou en recherche. Si vous acceptez, vous traverserez tout cela. Il n’y aura plus de culpabilité, plus de doute, plus de peur, plus de personnage. Et vous serez libres, totalement cette fois-ci.
Mais s’il existe une posture de revendication, des besoins de compréhension ou d’expliquer et de comprendre, vous n’êtes pas disponibles pour Agapè. C’est aussi simple que cela, mais comme je le disais, c’est tellement simple comme dit Abba, que c’est tellement simple qu’on n’ose pas y croire, ou que ça semble tellement délirant si on peut dire. Et pourtant, vous n’avez pas d’autre choix.
Je vous rappelle que tout a été écrit. Je vous rappelle la phrase que disait Bidi et qui va prendre de plus en plus d’importance : Tout ce qui doit arriver arrivera, quoi que vous fassiez, tout ce qui ne doit pas arriver, n’arrivera pas, quoi que vous fassiez. A partir de là, si vous vivez cela, si vous acceptez cela, vous êtes libres. C’est ça l’acceptation et le Oui, ce n’est pas réfléchir sur un moment qui s’est passé voilà quelques temps, et qui semble avoir disparu. Il n’a pas disparu. C’est simplement le personnage qui a repris possession par les habitudes, par les peurs, par les doutes, par les culpabilités et par les souffrances, qui vous en ont éloignés.
C’est en ce sens qu’il faut accepter, accueillir, traverser et dire Oui. Alors, heureusement, l’Intelligence de la Lumière peut, comme ton histoire de voiture précédemment, te rappeler cela, comme le processus vibratoire tout à l’heure avec la question : Qu’en est-il ?
Vous ne pouvez pas être Agapè, être libres, être véritables si vous nourrissez quelque part ce qui affleure de votre personnalité, que ce soit le besoin de contrôle je l’ai dit, que ce soit la culpabilité, la peur, la souffrance, ce sont des freins, mais la seule façon de les dépasser, c’est de les accepter et de les accueillir.
De la même façon que, voilà déjà un an, dans les processus des bains d’Amour perpétuel qui avaient existé, vous avez déjà vécu ce genre de choses. Aujourd’hui, c’est une intensité sans pareille, c’est vous face à vous-mêmes, non pas pour juger, ou condamner le personnage encore une fois, parce qu’il y a une programmation, là aussi, à laquelle vous ne pouvez pas échapper totalement, même si vous êtes libres et libérés, qui est une conformation de ce qu’on nomme le ciel astral de naissance. Nous savons tous qu’un bélier n’a pas le comportement d’un capricorne, n’est-ce pas.
Que selon les planètes, le tempérament, les évènements ne sont pas les mêmes. Mais tout ça appartient à l’illusion, à l’éphémère, à ce qui passe, et si vous ne prenez pas attention, si vous n’êtes pas dans la lucidité de l’instant, dans les premiers temps il est extrêmement facile de se laisser emporter par les habitudes mentales, émotionnelles, comportementales, et à ce moment-là de dire que vous ne comprenez pourquoi Agapè n’est plus là.
Mais Agapè vous montre cela. Ce n’est pas une punition, c’est le jeu du va et vient entre l’éphémère et l’éternel, c’est la traversée de l’éphémère dans l’éternel, c’est l’accueil, c’est l’acceptation, sans se poser de question, sans revendication. Si vous cherchez aujourd’hui à résoudre le pourquoi du contrôle, le pourquoi de la peur, le pourquoi de la souffrance, le pourquoi de la culpabilité, vous n’êtes tout simplement pas disponibles pour Agapè.
Agapè, la résonance Agapè, qu’elle soit en réseau, qu’elle soit à deux ou qu’elle soit dans l’espace, est la solution. Mais si le personnage, à l’insu de votre Je éternel et absolu, a repris ses automatismes, vous ne voyez pas l’automate que vous êtes et vous croyez à cet automate. C’est ce qu’on appelle les tempéraments et les comportements, dont beaucoup sont issus de l’histoire, de l’éducation, mais aussi du ciel astral de naissance, astrologique, il correspond à la personnalité ou à l’âme d’ailleurs, mais qui ne sont pas la Vérité. C’est un éclairage, ce n’est pas une punition.
Et d’ailleurs, comme tu le dis, tu as retrouvé cet état Agapè, et tu constateras d’ailleurs, qu’à ce moment-là, ton personnage tu le vois quand il redevient cet automate, que ce soit la culpabilité, le contrôle, la souffrance ou la peur, et à ce moment-là tu en ris de toi-même et Agapè est là tout de suite, c’est le jeu – j.e.u. – d’Agapè, qui se déroule. Tout est écrit, comme ça a été dit, vous ne pouvez que vous retrouver. Mais ne tergiversez pas. Quand ça vous semble s’éloigner, ce n’est pas Agapè qui s’éloigne, c’est vous qui vous en êtes éloignés, par automatisme, par un besoin de diriger, de contrôler, par la culpabilité qui n’a rien à voir avec l’humilité.
L’humilité c’est justement accepter, même votre culpabilité, sans la nourrir et sans l’interroger, pareil pour le contrôle, la peur, la souffrance, ça je vais en rester là, mais ça peut être tout ce qui est opposé quelque part à l’Amour, pas tel qu’on peut le concevoir, n’est là que pour être consumé par l’Amour, ce sont les derniers éclairages, nous vous l’avons dit. Et ne mettez pas de culpabilité là non plus, en vous disant : ça y est, je me suis éloigné de moi-même, non. Ce sont des automatismes et des mémoires qui tournent toutes seules. C’est un disque dur, un programme d’exploitation si vous voulez, qui tourne en roue libre et que vous n’avez pas complètement encore vu.
Et ces oscillations, pour certains d’entre vous, entre Agapè et autre chose, ne sont là que pour établir Agapè, et pour vous retrouver.
Et quand vous en aurez marre, comme ça a été dit, de faire le yo yo, à ce moment-là vous serez stabilisés en Agapè. Si vous vous donnez totalement à ce que vous êtes, il n’y a aucune raison que Agapè semble s’éloigner ou disparaître. Ça a toujours été là, je vous le rappelle, toujours, toujours. C’est ce que disent tous les frères et les sœurs dans les témoignages quand ils se retrouvent et qu’ils se souviennent.
Mais après il y aussi là, je dirais, pour certains, une phase d’acclimatation à la Vérité, parce que comme tu l’as dit dans un rêve que tu as fait avec la voiture très lumineuse, c’est tellement intense que ça gène la personne, et pourtant c’est cette intensité que tu es.
Dans certains cas, Agapè se dévoile d’un coup. Il y a un avant et un après. Nous avons eu plusieurs témoignages là-dessus. Et puis dans certains cas, je dirais pour ceux qui étaient un peu trop, non pas dans la matérialité, mais dans la spiritualité, dans la recherche, ils sont plus fragiles au niveau d’Agapè, parce qu’il y a des automatismes justement spirituels, comportementaux aussi, qui tournent en boucle et qu’on ne voit pas.
Et le jeu entre l’éternel et l’éphémère, c’est justement d’éclairer tout l’éphémère, pas pour le juger ni l’expliquer, mais pour le consumer littéralement dans le feu de l’Amour.
Agapè ne peut pas échouer, personne ne peut se soustraire à ce qu’elle est. Vous pouvez le faire pendant longtemps, mais pas pour longtemps, sans ça la souffrance apparaît, le mal-être apparaît. C’est pour vous faire épuiser vos propres résistances, vos propres revendications.
Rappelez-vous, c’est la Lumière qui vous trouve, ce n’est pas vous qui pouvez la trouver. Et c’est comme ça que vous vous retrouvez, et c’est comme ça que vous êtes libres, réellement, et que vous êtes véritables. Mais bien sûr, les automatismes qui sont inscrits d’ailleurs dans le cerveau, cerveau dit reptilien comme par hasard, qui fait tourner les mémoires et les comportements en boucle, et qu’il faut pourtant éclairer.
Mais pas par vous-mêmes, vous n’avez pas la capacité de tout voir, vous avez juste la capacité de tout accepter, et comme ça tout sera vu, pas autrement. Tant qu’il existe une revendication par rapport à votre personnage, par rapport à ce monde, vous ne pouvez pas être libres. Soyez libres, et vous verrez que vous n’aurez plus besoin d’aucune revendication, parce que les grâces et les miracles abonderont dans toutes les circonstances de vos vies.
Parce que quand vous revendiquez, vous mettez en jeu, quoi ? L’intention, la conscience elle-même, et donc c’est une projection. Et quand vous projetez, vous n’êtes pas libres pour l’introjection, c’est-à-dire le retournement vers l’intérieur, là où la conscience disparaît, là où vous êtes a-conscients, là vous retrouvez Agapè, et tout est parfait.
Alors bien évidemment, c’est plus facile de dire que tout est parfait quand on vit des miracles et des grâces quotidiennes en état d’Agapè. Mais tout est parfait aussi, même à travers ce que vous vivez comme sentiments d’injustice, d’imperfection, accueillez de la même façon, et vous êtes libres juste après.
Tous les mécanismes projectifs, d’extériorisation, quels qu’ils soient, doivent laisser la place à ce qui est véritable et qui est de l’ordre de l’intériorité la plus profonde qui soit, ce qu’on a nommé le cœur du cœur, le point zéro, le temps zéro.
Je le dis et je le répète, vous ne pouvez que vous retrouvez, quoi que vous en pensiez aujourd’hui encore.
Autre témoignage ou questionnement dans cette salle ?
Sœur : Un instant.
Sœur : Un grand merci OMA parce que tout, tout, tout, ce que tu viens de dire, c’est ce qui s’est passé dans la dernière année depuis le mois de septembre, hier, aujourd’hui, et effectivement, toute cette grande souffrance et toute cette rébellion, cette revendication, tout s’est vécu en moi tel que tu l’as décrit. Je te remercie beaucoup.
Je te remercie aussi.
Autre sœur : Moi, je me demande, est-ce qu’on ne ferait pas une petite pause ?
Sœur : On aurait besoin d’une petite pause, est-ce que c’est possible ?
Eh oui, je parle depuis si longtemps ?
Sœur : Ça fait deux heures. Ça fait maintenant deux heures.
Déjà ?
Sœur : Oui.
Le temps n’existe plus. Mais enfin si vous avez besoin d’un peu de temps de repos, bien évidemment, j’accepte avec plaisir.
Il faut simplement vous dire pour les auditeurs en direct quand est-ce que nous reprenons.
Salle : Quand est-ce qu’on reprend ? Quand tu veux. Dans une quinzaine de minutes ?
Alors nous vous disons, et je ne dis pas au revoir, je vous dis à tout de suite dans quinze minutes.
Salle : Merci OMA, merci OMA…
A bientôt, à tout de suite.
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