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Bidi (Partie 1)
Québec
3 Décembre 2019
Eh bien Bidi est avec vous et il vous salue.
Frères et Sœurs : Bonjour Bidi.
Avant de lancer nos entretiens, nous nous installons tout d’abord en le silence et en la paix.
…Silence…
Nous allons maintenant laisser venir les questions et les réponses, afin de progresser dans le réveil et dans le souvenir de qui vous êtes. Alors je t’écoute
Sœur : Merci, c’est un témoignage. Bonjour Bidi, il y a soixante ans, je me suis mariée, et mon conjoint aimait donner des surnoms à ses frères et sœurs, ce qui correspondait très bien à la personnalité de chaque personne.
Enceinte, je portais un vêtement, qui était une camisole, pour garder au chaud, et un beau jour mon mari me dit : tu portes des bidis. Je ne savais pas ce que ça voulait dire, et je ne l’ai jamais su. Je suis devenue Madame Bidi, et ce surnom est encore utilisé par ma belle-famille comme un mot doux.
Depuis des années que je vous écoute, imaginez ma surprise quand j’ai vu votre nom sur AD, et votre voix au début me rappelait que depuis mon enfance j’ai toujours été fascinée par l’autorité, et surtout très respectueuse. Exemple, mon père, la directrice du couvent, j’aimais beaucoup ces personnes.
Je ne savais pas à ce moment-là que cette personne était moi, et que j’avais en moi cette même autorité qui a été présente dans ma vie, mais qui ne fait plus partie de moi puisque Agapè est la clé de la joie et de la liberté.
J’ai vraiment eu un choc la première fois que j’ai entendu votre voix, comme beaucoup de frères et sœurs j’ai cherché à comprendre jusqu’au jour où vous avez expliqué que c’était pour nous secouer ou nous traverser, et je vous confirme que vous avez réussi dans mon cas.
Voilà pourquoi je désirais témoigner de cette histoire qui semble banale, mais qui n’est pas du hasard puisque le hasard n’existe pas. Oh, j’ai oublié de mentionner que je n’ai jamais fumé une seule bidi, et que j’ai vécu un cancer des fumeurs, dans la quarantaine. Je vous remercie et je vous aime, pouvez-vous m’éclairer à ce sujet s’il vous plaît ?
Mais qu’as-tu besoin de comprendre ? Je t’appelle Bidi, je m’appelle Bidi, et il y en a certainement des dizaines qui s’appellent Bidi, c’est une résonance tout simplement, ou si tu préfères une synchronicité, il n’y a pas d’autre explication à fournir, c’est toujours le mental qui veut savoir pourquoi. L’important n’est pas le pourquoi mais la résonance, il y a effectivement résonance.
Comme tu l’as dit, le surnom que j’ai choisi en revenant m’exprimer correspond à ce que j’ai fabriqué et fumé durant mon activité professionnelle. N’y vois rien d’autre que cette résonance, ne va pas chercher plus loin, ne te poses plus ce genre de questions, là aussi je dirais, contente-toi d’accueillir et de traverser, car ça sera toujours le mental, la personne, qui veut savoir, qui veut connaître, une certaine rationalité, même au sein de l’invisible qui n’a pas lieu d’être.
C’est un mécanisme de synchronicité qui n’a pas d’autre justification que de vivre la résonance à quelque niveau que ce soit. Là est le plus important, le reste est superflu et ne peut emmener qu’à une satisfaction d’une curiosité, certes, légitime, mais qui ne t’apportera aucunement plus d’Agapè ou plus de joie. Mais je te remercie de ton témoignage, qui n’appelle pas d’autre justification ou explication.
Comme tu l’as dit, et que je vois ici que la sono est particulièrement puissante, le but est de traverser, de vous laisser traverser, au-delà de mes mots, par ce que portent mes mots. Ce que vous nommez le vibral, ce que vous nommez la vérité, quels que soient les mots que j’emploie, mes mots ne sont pas faits seulement pour vos oreilles, ni pour vous les casser, mais bien plus pour pénétrer directement, au-delà-même d’une compréhension quelconque, directement en le coeur du cœur.
Comme tu l’as dit ça a été efficace pour toi, mais c’est aussi efficace de la même façon quand je viens vous rendre visite la nuit, en silence, que vous voyiez ou pas ma présence, l’important aussi à ce niveau-là, c’est la communion des cœurs, la résonance et l’installation dans l’Absolu, sa redécouverte plutôt, son vécu.
Continue.
Sœur : Salut à toi Bidi, je n’ai jamais de questions car je suis de plus en plus dans la vérité du moment présent et de l’Agapè. Je profite de cet instant pour te remercier de l’aide que tu apportes à l’humanité du rêve. Gratitude.
Je te remercie. Je n’ai rien d’autre à rajouter par rapport à cela, je vous remercie tous, aussi bien ceux qui me voient, me perçoivent, que ceux qui ne sentent rien, de la même façon, je vous rappelle que je suis en vous, au-delà même de mon identité terrestre. Et que la résonance qui s’établit par nos rencontres, la nuit, par les mots que je prononce, devient de plus en plus aisé et facile.
Cela vous prouve indéniablement que vous vous rapprochez si je peux dire, de plus en plus, de l’essentialité de la vie, se manifestant au travers de vous. Et cela est une grande joie, je dirais même plus, une jubilation intérieure de voir les résultats de ma présence, de mes mots, et de ce que j’ai pu expliquer durant mon incarnation, qui étaient destinés à préparer les moments que vous vivez.
…Silence…
Nous pouvons poursuivre.
Sœur : Ça bouge beaucoup […] les tremblements de terre. Y a-t-il un lien avec la faille de San Andreas aux Etats-unis ?
Mais c’est en lien avec toutes les failles, vous rentrez dans le mécanisme d’expansion de la Terre qui fait suite à l’expansion de votre conscience, du supramental et surtout la découverte et le vécu de la vérité que vous êtes et avez toujours été, et qui ébranle les fondements du rêve et bien évidemment le manteau terrestre.
Il en est de même pour toutes les activités climatiques, qui ne sont en fait que le bouleversement de la découverte de la Vérité, du vécu de la Vérité, qui met fin littéralement par votre présence, par votre amour, à l’illusion de ce rêve, au mythe de la création.
Vous êtes nombreux, ici comme ailleurs à avoir quelque part révélé et réveillé en vous l’état initial, qui je vous le rappelle n’est rien d’autre que l’état final, qui ne dépend d’aucune forme, d’aucun monde, ni d’aucune pseudo-individualité. Vous vivez pour la plupart la découverte de l’Unité, la primauté de l’Amour sur toutes les activités de la personne. Amour qui prend toute la place de façon de plus en plus évidente sur les composantes de votre vie ordinaire, venant non seulement s’y superposer, mais aussi s’y substituer.
Vous êtes tous dans ce processus, que vous en soyez informés ou pas ne change rien, collectivement, vous êtes dans la phase ou l’observation, l’observateur, sont de plus en plus présents, de plus en plus efficaces, dans la résolution de l’illusion. Cela se déroule en ce moment-même, cela vous réjouit, même s’il peut rester quelques appréhensions quand l’inconnu n’est pas totalement révélé, mais qui est inéluctable.
Les circonstances de votre vécu ne peuvent que vous conduire à la capitulation de la conscience et de la personne, réalisant ainsi le moment présent collectif de ce qui fut nommé par le Commandeur, l’Événement. Vous êtes l’Événement et vous êtes l’avènement de ce qui a toujours été là, mais qui avait été oublié.
Plus rien ne pourra vous tromper, sur le sens de la vie, même si vous ne comprenez rien à votre vie, la Vie est beaucoup plus importante, parce qu’elle ne dépend pas d’une quelconque individualité, d’une quelconque condition, ou d’une quelconque restriction. Là est la liberté totale, qui n’a pas besoin d’expérience, qui n’a pas besoin d’autres preuves que votre propre re-connaissance.
La grande joie, au travers et grâce au marasme, élémentaire, sociétal, planétaire, de l’ensemble du système solaire et de la création, ne fait que réagir à l’intensité de votre révélation et au vécu de la Vérité, ne dépendant d’aucune histoire ni d’aucune condition.
Et comme cela a été dit par d’innombrables voix, en cette période actuelle, il vous reste à traverser certains éléments qui ne sont que des reliquats, mémoriels, liés à l’habitude de la forme, à l’habitude de la conscience, qui au fur et à mesure des éons de l’illusion du temps vous a fait oublier qui vous étiez vraiment.
Cette reconnaissance de vous-mêmes ne peut faillir, rien ne peut vous tromper en cette vérité ultime qui est à vivre. Tout vous sera donné, non pas des explications, non pas la logique mais la vérité nue de qui vous êtes, antérieurement au rêve et postérieurement au rêve.
Là où il n’y a plus de temps qui peut s’écouler, là où il n’y a plus d’espace pour la moindre souffrance, pour le moindre doute, pour la moindre interrogation, et qui se traduit par une acceptation, par une traversée, et qui débouche inéluctablement sur une facilité à vivre ce qui est à vivre pour vous, sur la scène de théâtre comme pour l’observateur, se consumant en quelques sorte mutuellement, pour laisser la Vérité nue réapparaître au sein du Je Éternel.
Je l’avais dit en étant incarné, la création passera, les univers passeront, mais vous, vous ne passerez jamais. Comme je l’ai dit, et ce n’est pas une vue de l’esprit, vous n’êtes jamais né, vous n’êtes jamais morts. C’est un jeu auquel vous avez joué, que vous avez vous-même écrit afin d’être sûr de vous retrouver au moment collectif.
Chacun a écrit son propre scénario, le propre déroulement de sa révélation, de son retour à la Vérité, de toutes les manières possibles. Il vous reste, et cela a été expliqué voilà peu de temps à dire oui, mais pas oui à n’importe quoi, oui à la vie, oui a ce qui est, quelles que soient les apparences, quelles que soient les souffrances, et quels que soient les doutes.
Il y a une forme de certitude intérieure qui est déjà présente, qu’il vous suffit là aussi de laisser être au-delà de toute demande et de tout questionnement. Rappelez-vous, dans les moments parfois difficiles que vous pouvez être amenés à vivre individuellement comme collectivement, que c’est cela justement qui vous permet de vous remémorer qui vous êtes, au-delà de l’être, au-delà des jeux de la conscience, au-delà de la forme, et au-delà de tout univers.
Vous avez toujours été présents, malgré l’apparence de la forme, malgré la scène de théâtre et malgré toutes les souffrances. Accepter cela c’est déjà le vivre, acquiescer à cela c’est être libre. Ceci n’est pas ni de la pensée positive ni une affirmation positive, mais l’affirmation de la Vérité, qui peut-être vous est encore inconnue, pour beaucoup, mais qui ne peut qu’éclore de cette façon.
Laissez être ce qui est, occupez-vous de votre vie dans ce qu’il y a à résoudre, mais n’y mêlez aucun élément autre que la matérialité propre de la scène de théâtre. Acceptez de jouer le jeu, vous ne pouvez quitter la scène avant la fin, mais vous savez que vous n’êtes qu’un acteur, jusqu’au clap final, jusqu’au tomber de rideau de la scène de théâtre. Le théâtre existe, vous y êtes confrontés à chaque minute, puisque vous êtes inscrit dans ce sac de viande, qui est en fait aussi et simplement le temple, le cœur du cœur, comme vous le nommez.
Retenez qu’au-delà de la simplicité, il y a aussi une notion de facilité, et même si cela ne vous apparaît pas, même si cela vous semble farfelu ou incongru, c’est justement grâce à cet aspect heurtant de vos habitudes de fonctionnement au sein de la forme, qui met fin à l’illusion de la forme, qui met fin à l’attachement de la conscience, à ce corps comme à l’histoire.
Plus votre disposition est celle de l’accueil, plus il y a de possibilités de résolution de tout ce qui peut vous sembler encore résistant ou non vu. Le temps zéro, Agapè, est le baume qui met fin à toute errance et aussi très bientôt pour une multitude parmi vous, qui met fin à la souffrance, à la douleur, et au questionnement. Il vous restera juste alors à profiter de la Vie, au travers de votre vie, tout sera effectivement, pour un plus grand nombre de plus en plus simple, de plus en plus évident et de plus en plus certain.
C’est pour ça que les Anciens, comme Abba, vous ont parlé longuement des habitudes, des automatismes, des réflexes conditionnés liés aux prises de formes successives au sein de l’illusion. Et je peux même vous dire que dans les événements qui peuvent vous arriver, de quelque nature que ce soit, certains d’entre vous avaient décidé d’être ébranlés au sein des habitudes, au sein d’un certain confort.
Cet ébranlement est nécessaire pour vous, de la même façon que l’activité des éléments sur la Terre, car c’est justement dans ces moments-là, où il y a une interrogation sur les processus qui se déroulent dans votre vie comme sur la scène de théâtre de toute la planète comme dans le cosmos, que se trouve l’ébranlement, un peu comme ma voix, qui vous permet de fracasser les illusions, de rompre les digues de l’amour que vous êtes.
Ne jugez rien, ne vous condamnez pas, c’est exactement ce que vous avez choisi. Et je dis même que plus vous êtes en opposition à ce qu’il peut se produire, dans votre corps ou dans votre vie, que se trouve la plus grande capacité d’être et de retrouver la liberté. Ne vous jugez pas, ne vous condamnez pas, il n’y a rien à améliorer par vous-même, il y a simplement à laisser œuvrer l’intelligence le la Vie, l’intelligence de la Lumière, et l’intelligence suprême de la Vérité.
Tous les moyens sont bons pour vous désaccoutumer, vous désincruster de l’illusion de la conscience et de la forme. Tous ceux parmi vous qui témoignent, ou qui le vivent, comme les quelques témoignages que nous avons eu, en sont la preuve absolue, qu’il vous appartient de vérifier par vous-même, non pas dans quelque rêverie, non pas en fuyant votre vie, mais justement en l’acceptant.
C’est comme ça que vous êtes libres, c’est comme ça que vous vous retrouvez, vous vous êtes donnés à la vie et la vie vous le rendra au centuple, chaque jour et chaque minute, par cette joie intérieure, par cette évidence qui est là, quels que soient les travers de votre vie, c’est exactement ce que vous avez décidé pour être sûr de vous réveiller, pour être sûr de vous reconnaître, au-delà de tout traumatisme, de toute mémoire et de tout interrogation présente sur ce qu’il se déroule sur l’écran de votre quotidien.
Et je vous rappelle aussi que dans les moments qui peuvent être difficiles, soit dans votre corps, soit liés aux événements cosmiques, climatiques et terrestres, que vous allez avoir le plus d’opportunités d’être affranchis de tout conditionnement, de toute soumission, à la société et à l’illusion. Ce n’est pas un combat, cela ne sera jamais une lutte, quoi que vous en pensiez, mais bien plus une reddition à ce que vous êtes en vérité, surtout si vous ne le connaissez pas encore.
Toutes les autres stratégies visant à s’opposer, à lutter contre, à vouloir résoudre par vous-mêmes ou par une quelconque autorité extérieure, quelle que soit sa science, que vous vous affirmez dans le Je éternel, ceci est fait aussi pour vous démontrer qu’il n’existe aucune peur, de l’inconnu, de l’avenir, d’autre chose, qui peut venir masquer la vérité.
Le démasquage est total, chacun selon ses propres circonstances, qui je vous le rappelle ont été écrites dès l’instant initial du rêve. Vous ne faites que parcourir, que ce que vous avez écrit. Cela peut paraître difficile à accepter pour le personnage, de croire que l’on a écrit soi-même la souffrance plutôt que la joie. Mais la souffrance vous conduit aussi à la joie.
La personne humaine n’est jamais aussi forte que quand elle est ébranlée dans ses fondements, et ce sursaut de personnalité débouche inéluctablement, malgré les souffrances et je dirais même grâce aux souffrances ou aux résistances, à cette vérité nue.
Vous avez écrit le scénario, nous l’avons écrit ensemble. Vous êtes à l’origine, comme vous êtes à la fin. Vous n’avez fait que parcourir les rêves oubliant progressivement qui vous étiez en vérité au-delà de toute histoire. C’est ainsi, c’est vos choix, et plus cela vous semblera injuste, difficile, ou incompréhensible, plus vous êtes près de la vérité.
C’est au moment où vous êtes ébranlés, au moment où les automatismes habituels de la sécurité apparente de la société, vous montrent le côté fallacieux de tout ce qui a été construit au sein de ce rêve. Il n’y a rien à juger, cela n’est ni bien ni mal mais, je le répète, c’est le scénario que vous avez écrit pour mettre fin à tout scénario.
Alors ne pestez pas, ne regimbez pas, accueillez toujours et toujours plus ce qui est là. Je l’ai répété d’innombrables fois, ce qui doit arriver arrivera quoi que vous fassiez, et ce qui ne doit pas arriver, n’arrivera pas, quoi que vous fassiez aussi. Cela n’est pas un aveu d’impuissance, bien au contraire, c’est simplement la façon la plus adéquate, du chaos du rêve qui devient cauchemar, qui va vous permettre de vous redécouvrir.
Quel que soit votre nombre de libérés aujourd’hui sur cette Terre qui progresse constamment chaque jour et chaque semaine de votre temps illusoire, ne fait que vous rapprocher collectivement de la Vérité. Même si cela est de manière fracassante, détestable, vous ne pourrez qu’en rire et en sourire, une fois traversé cela.
Agapè crée un état, au sein-même du personnage, de la personne, au sein-même de l’éphémère, une espèce de convergence et de concordance entre l’illusion du rêve et la vérité. Entre le simulacre, comme dirait Abba, et le sacré. Le simulacre et le sacré se rejoignent au même moment, qui est le moment de la résolution collective du rêve.
…Silence…
Eh bien tu peux poursuivre.
Sœur : Il n’y a plus de questions écrites.
Alors qui vient se faire exécuter à côté ?
(Rires)
Frère : Bonjour Bidi, ça va être ma deuxième exécution en fin de compte, puisque suite à la rencontre, je ne sais pas si c’est la dernière, en Tunisie, une sœur qui demandait une suggestion pour sa sœur, pour l’aider parce qu’elle était dépressive, alors vous lui aviez suggéré d’écouter Bidi en boucle pour au moins trois heures. Alors moi j’ai trouvé que j’étais quelque peu dans les résistances dans mon personnage.
Alors un matin je me suis installé et j’ai écouté Bidi pour trois heures, d’ailleurs je suis les audios, les canas régulièrement depuis un bon bout de temps, mais écouter une heure, une heure trente ça va bien, mais quand j’arrive à deux heures, naturellement le personnage quelques fois, ils trouve beaucoup d’occupations, des choses à faire, des excuses si on peut dire, à la fin de trois heures, mais là je l’ai comme un peu essayé de le mettre de côté le plus possible, ne pas me laisser distraire, de rester disponible et j’ai fait les trois heures.
J’ai entendu. Et ?
Frère : La bonne nouvelle aussi c’est que, absolument, comme vous dites, comme je vis aussi quand j’écoute Bidi, alors j’avais tendance à m’endormir, ce qui, cette fois-là, depuis un certain temps, quand je vous écoute, je reste éveillé, je reste présent, sans dormir.
Alors bon, ça c’était la première, ou les deux premières choses, je dis, le personnage ait pu ne pas trop me laisser distraire, je n’ai pas dormi et bon, par la suite, bon je n’ai pas vu d’effet, mais chez moi souvent l’effet se passe en différé, si je peux dire.
Alors bon, en différé pour moi ça veut dire la nuit, alors je me suis couché, déjà je sentais que mon mental était plus calme, puis je suis allé au lit, et puis durant la nuit peut-être deux, trois heures du temps je me suis réveillé et là bien j’étais tout vibrant, ça semblait vibrer de partout, et ce que je me rappelle le plus c’est que j’étais comme, bon, je sais pas si on peut appeler, le paradis blanc , mais pour moi tout était blanc, il n’y avait plus rien d’autre. Et puis à ce moment-là bien, je me suis levé un petit peu, j’ai constaté ce qui se passait et je suis allé me recoucher pour compléter la nuit. Donc c’est pour moi un petit peu l’effet que cela a eu chez moi.
Je te remercie de ton vécu exprimé, mais permet-moi de compléter, si je peux dire, la prescription.
(Rires)
Et c’est valable pour chacun ici, et partout. Je vous conseille effectivement à la nuit tombée de commencer par trois heures de Bidi, n’importe laquelle de mes interventions, d’enchaîner juste après avec une heure d’Eynolwaden, et d’achever tout ça par une heure d’Uriel. C’est la prescription parfaite de la libération pour ces temps. Vous n’avez pas besoin même de réfléchir, vous pouvez adopter cette prescription pour n’importe qui.
Un, vous êtes fracassés, ou en colère peu importe, deux, Eynolwaden vient apporter sa joie et sa liberté et trois, Uriel vient rythmer l’ultime passage de l’accès au Cœur du Cœur. Cette prescription en ces temps particuliers vaut mieux que n’importe quelle cogitation, et vous permettra aisément, dans les situations parfois complexes de votre vie éphémère, de trouver la sérénité, une nouvelle forme d’assise, qui ne se fait plus à travers le hara mais directement dans le cœur.
Comme tu l’as décrit, à ce moment-là une vibration ou un feu te parcourra, chacun d’entre vous peut le vérifier. Traversez la gêne, pour certains, de ma voix, et même si vous vous endormez, vous constaterez de manière invariable un nouvel espace de liberté qui s’ouvre en vous, un nouvel espace de certitude et d’évidence. La prescription est simple, la posologie n’a pas besoin d’être augmentée ni même d’être renouvelée, c’est un traitement minute.
(Rires)
L’efficacité en est garantie par Bidi à cent pour cent. Il n’y a pas de meilleure médecine, car vous allez réintégrer le trois en un, par le fait d’être fracassé par ma voix, d’être recouvert par le baume de la joie de la liberté d’Eynolwaden, et vous stabiliserez ainsi grâce à la vibration de l’archange Uriel, qui vous êtes. Est-ce que tu peux nous dire qu’après cette expérience, il y a eu de grands changements ?
Frère : Je dirais que ce que je peux rajouter comme vous dites, au sujet que le personnage est fracassé, moi je sentais que le personnage, en tout cas pour je ne peux pas dire combien de temps, vingt-quatre, quarante-huit heures, avait très peur de se manifester, il n’osait pas, il était vraiment en retrait, puis il osait pas trop trop être là.
(Rires)
Et puis ça a duré un certain temps, oui. Puis, ce que je pourrais peut-être aussi dire, une autre chose, quand j’écoute Bidi, j’avais, par rapport à votre prescription, ça m’arrivait aussi lorsque j’écoutais Bidi antérieurement à cette expérience-là, parfois oui, ça vient, comme vous dites fracasser au niveau du personnage, et justement, comme peut-être c’est un fracassement, je dirais, qui n’est pas violent, c’est juste que le personnage, on a l’impression qu’il s’éteint, mais quand-même, parfois j’écoutais par la suite Abba, parce que j’avais l’impression qu’Abba aussi a une certaine douceur, donc ça venait comme un peu compenser le personnage, un petit peu, donc c’est ça que…
(Rires)
Eh bien je te remercie.
(Applaudissements)
Poursuivons. Prochaine exécution.
(Rires)
Frère : Avant de te poser une question Bidi, j’aimerais juste dire, personnellement, quand je prends Bidi, B-I-D-I pour moi, ce que tu fais, la beauté intérieure divinise l’instant.
Quel est le dernier mot ?
Frère : L’instant présent. Pour moi, Bidi, c’est ce qu’il fait. Maintenant, voici ma question, est-ce que Bidi, aujourd’hui, a des nouvelles choses pour le Québec ?
Pourquoi, il y a déjà eu quelque chose pour le Québec à part ma venue à vingt-trois heures à l’heure de votre heure ?
(Rires)
Tu veux un autre rendez-vous, c’est ça ?
(Rires)
C’est ça que tu veux ? Demande.
Frère : Je veux savoir si au Québec ils vont avoir des nouveaux événements qui vont se produire bientôt
Ah oui, ça c’est certain. Mais c’est la surprise, c’est le mois multicolore vous a dit le Commandeur, vous allez en voir de toutes les couleurs, mais la joie sera de plus en plus présente, ça a toujours été dit, plus le chaos grandira plus vous serez en joie. Non pas d’une joie morbide du chaos, mais la joie morbide de vous retrouver par le chaos de l’éphémère. Alors oui, en ce phare de l’humanité comme a dit le Commandeur, il y a aussi un certain nombre d’événements précédant l’Evénement collectif qui est déjà en cours d’actualisation.
Ne vous préoccupez pas de la nature de la surprise, soyez simplement lucides, et ce que je dis pour vous au Québec est valable dans toutes les régions du monde, soyez simplement lucides et présents, quel que soit ce que vos yeux vous donneront à voir, à entendre ou à vivre dans votre corps. Vous constaterez de manière inexorable la progression de la joie et de la légèreté, quelle que soit la dureté et la difficulté de l’éphémère.
Le chaos de l’éphémère n’est certainement pas une destruction mais un retour à la Vérité. Seul l’ego voit destruction, seule la conscience voit un drame. Ce que tu es y voit la joie. Et même ceux qui envisageront cela comme un drame auront la surprise de constater qu’ils seront toujours malgré tout dans cette joie et dans cette liberté nouvelle.
Ne vous alarmez de rien, vivez votre vie et la vie en ce qu’elle vous donne à vivre. Ne regimbez en rien, traversez tout cela, demeurez tranquilles et immobiles, par rapport je parle aux événements, aux surprises, qui se produiront régulièrement dorénavant et sans interruption. Ce que vous nommez bouleversements climatiques, n’est en définitive malgré ce qu’avait dit le Commandeur quant à la puissance des éléments, qu’un intermède, et qu’une première étape dans le déroulement du processus collectif.
Vous serez soutenus par la vérité qui jaillira de votre cœur, qui inondera votre conscience, mais aussi votre corps, que cela soit par les vibrations intenses ou par les chaleurs intenses qui n’entraîneront plus du tout de peur mais une grande joie.
Vous rirez de vous-mêmes, surtout si aujourd’hui vous pleurez, pour une cause ou pour une autre. Nul ne peut s’échapper de lui-même. Il n’y a rien à fuir, il n’y a rien à éviter, il y a juste à dire oui à ce qui est. Ça a déjà été vécu, dès l’instant initial, vous l’avez simplement oublié. Et je peux dire que même la peur ou la souffrance quelles qu’elles soient, se transmuteront d’elle-mêmes en joie, dès l’instant où vous demeurez tranquilles, dès l’instant où vous êtes l’observateur, dès l’instant où vous acquiescez.
Alors oui, pour répondre à ta question, c’est l’ensemble de la Terre me semble-t-il, dans ce que vous avait expliqué le Commandeur voilà de nombreuses années avant même que je ne vienne. Il vous avait parlé de tout cela bien antérieurement avant que cela se produise, et toujours avec la spécificité, comme certains l’ont dit de la carotte et du bâton, qui est la pédagogie propre du cher Commandeur.
Tout a été fait, je le répète, tout a été écrit pour vous amener de la façon le plus sûre, la plus fiable, quels que soient les événements éphémères, en vous ou autour de vous, pour vous redécouvrir. Acceptez cette idée et vous le vivrez. Cela amène d’ailleurs en ce moment pour certains d’entre vous, ici comme partout, peut-être des moments d’inconfort, où vous ne savez plus qui vous êtes ni où vous êtes.
Ce flou ne va pas durer, il est simplement lié à l’installation de la Vérité et au déploiement de l’Événement sur la surface de ce monde comme dans l’ensemble du ciel, qui vous est visible depuis la Terre. Vous le voyez bien, tout se transforme, pas seulement le climat. Si vous levez vos yeux aux cieux, vous verrez que les nuages ne sont plus comme avant, que tout ce qui fonctionnait dans la société ne fonctionne plus, que tous les réflexes conditionnés de vos habitudes et de vos comportements deviennent pesants. Il en résulte parfois, malgré la joie, un sentiment de ne plus savoir où vous êtes ou qui vous êtes au sein de l’éphémère. C’est ça l’installation d’Agapè.
Ce que vous êtes ne peut rien emmener, d’une quelconque histoire, d’une quelconque mémoire, d’un quelconque traumatisme, puisque comme cela a été dit vous rejoignez l’Instant Initial, vierge de tout rêve, vierge de toute projection et de toute conscience. Le témoin de la Vérité est la joie, que cette joie soit intérieure et silencieuse ou exubérante, parce que le décor est consumé, vous donnant à percevoir, réellement, concrètement, que tout cela n’est qu’un rêve auquel l’habitude de la forme vous a assujettis et vous a enfermés.
La vérité n’a pas besoin d’histoires, la vérité n’a pas besoin ce mémoire, je l’ai dit, mais la vérité est ce qu’elle est, elle ne dépend d’aucun point de vue, d’aucun avis personnel, d’aucun positionnement de la conscience et d’aucun scénario, même écrit.
Quelque chose à rajouter ?
Frère : Merci.
Il s’est déjà sauvé ?
(Rires)
Frère : Merci.
Sœur : Il a dit merci.
J’ai entendu. Je l’ai entendu de loin.
(Rires)
Au suivant.
Frère : J’aurais un témoignage à faire, vous m’entendez bien ? Avant, je voudrais remercier Johanne et Yves, pour m’avoir reçu, et puis Jean-Luc, Elodie, et Louis aussi, pour tout le travail que vous faites.
Transcription en français avec cet accent terrible, merci.
(Rires)
Frère : Je vais essayer…
Sœur : C’est un témoignage.
Oui, j’ai bien compris.
Frère : Merci beaucoup Bidi pour ta présence depuis 2012 que tu me bottes le cul, c’est français, non ? Et j’apprécie beaucoup…
(Rires)
Frère : Tu m’entends bien Bidi, ou bien ?
Oui oui.
Frère : OK. Bon, moi j’aimerais témoigner, beaucoup de choses à dire, je vais tâcher de synthétiser. Quand le mot Accueil est arrivé, aussi vite Acceptation, pendant une semaine et demie ça ne me disait rien, mais je savais que les alcooliques anonymes, ils avaient une prière, mon Dieu, donne-moi la force d’accepter… tout ça, en tout cas. Quoique, au bout d’une semaine et demie, le mot Accueil a commencé à s’installer, je sentais ça, une chaleur, et l’acceptation, ben là, c’était dur d’accepter les choses, et de plus en plus j’ai accepté ce qui n’était pas acceptable.
Je vois un ramancheur (chiropraticien) une fois pas semaine puis, il passe son temps à dire, Paul, lâche-en, ta colonne va craquer tu en as trop pesant sur les épaules. J’ai commencé à dégager les épaules en acceptant. Et aujourd’hui, c’est tellement facile d’accepter ce que la personne veut garder, d’accepter de lâcher ça, que même quand je m’en venais, j’allais pas vite, aujourd’hui, en auto, sur la route, il y en a un qui me tapait dans le derrière, là je l’ai regardé, je lui ai dit… j’ai oublié le mot…
Sœur : T’as oublié le mot ?
Frère : Agapè, Agapè, Agapè. Là j’ai senti une joie d’avoir un tape-cul en arrière, c’est français, ça ?
(Rires)
Frère : Et puis, je regardais le gars puis, je ne sais pas, il me semble que j’étais content qu’il soit là.
(Rires)
Frère : J’avais lâché ça mais la personne, c’était autre chose. J’ai un combat continuel entre la personne et la Lumière. Je me suis aperçu que la personne est très limitée, l’ego n’en parlons même pas. Et puis la personne, et tant pis, je pense que c’est Jean-Luc d’abord qui avait dit ça, qu’à un moment donné, le mental, il est en paix, et effectivement, c’est vrai. Et puis, plus ça va, plus je prends conscience, pas de l’incompétence, mais du manque de compétences de la personne, dans tout. Et puis ça, je suis content de voir ça.
Finalement j’ai dit, ben écoute, tu ne peux pas rien faire, on va demander à l’Intelligence de la Lumière. Là, j’ai abandonné ça, très clairement, ouvertement à la Lumière. Je ne jouais pas le jeu, là, que la personne essayait ça pour essayer d’avoir le truc de la Lumière comme je faisais souvent avant. Et puis, là, là, j’ai commencé à avoir une distance entre la personne et la Lumière. Puis, je suis content, ça me permet de voir que, la Lumière, c’est elle qui va progresser là-dedans et non l’autre.
Ça fait que tout ça, m’amène à accepter même ce qui se passe dans le moment. J’étais supposé d’être ici dimanche soir, j’ai reviré de bord. Fallait que je fasse le chien de garde à la maison. Et puis, à chaque fois que… J’ai un fils de trente-quatre ans. Ça fait dix ans qu’il est parti. Aujourd’hui, il est peut-être en itinérance ou quoi. Ça ne me dérange pas, parce que moi je pense qu’on est tous itinérants, avec portefeuille ou pas, ça n’a aucune importance. Et puis, on se pogne, même physiquement.
Et puis, là, ces derniers temps, je le recevais en Agapè, Agapè, Agapè, je le sentais l’Agapè. Et puis, j’attendais, je regardais. Et je réalise que, souvent, quand on est parents, je ne parlerai pas de parents à vie là, quand on est parents, les enfants jeunes nous miroitent notre comportement. Et lui, bien je pense, à quelque part, il doit faire la même chose. Ça fait que là, j’attends. Mais je sais qu’il veut arriver à la maison, rentrer à la maison puis contrôler la place, ça, ça ne passe pas. Il y en a d’autres à la maison.
Et puis, mais, c’est là, là. Je commence à m’interroger dans le moment, avec tout se qui se passe, il est peut-être sujet à des énergies, je ne dirais pas négatives-là, mais étrangères. Et puis, je commence à accepter son comportement de baveux. J’ai déjà été baveux, ça fait que… Et puis, là, je vois ça de même. Ma femme, c’est complètement d’autre chose mais le lien entre le fils puis la mère, il est toujours là, puis il est très intense. Je ne veux pas faire le coussin entre les deux non plus.
Au niveau de l’acceptation, je trouve ça le fun, parce que mes épaules sont plus légères qu’avant. Je vais moins souvent chez le ramancheur. Et puis, je suis content, très content de me faire botter le cul encore par Bidi. Merci Bidi. Tu permets que je te tutoie, c’est plus facile pour moi que vouvoyer, vouvoyer, ça appartient à la personne.
Eh bien, je te remercie aussi. Dis-moi simplement, tu n’as pas trop mal aux fesses ?
(Rires)
Frère : J’ai déjà eu des bons coups de pied dans le cul quand j’étais jeune, wow ! Ça n’a pas dépassé celui-là.
(Rires)
Fais-moi penser la prochaine fois que je viens te voir, à viser un autre endroit.
(Rires)
Frère : Comment il a dit ça ?
Sœur : Il va viser à un autre endroit.
Il n’y a plus besoin de botter les fesses.
Frère : Oui, c’est vrai, parce que tu nous l’as dit qu’à 23 heures, tu n’as même pas besoin d’être là, tu es déjà à l’intérieur.
Il y a besoin de fracasser ton cœur maintenant. Comme tu l’as dit dans ton témoignage. Il y a des espèces de va-et-vient entre la Lumière et le personnage. Ce jeu est vu, il est vécu. Je rappelle que les va-et-vient entre la personne et la Vérité, ne sont là que pour vous dégoûter totalement du rêve, fût-il le plus agréable, ou fût-il le plus désagréable. C’est comme ça que la certitude d’Agapè, la certitude de ce que tu es, prend de plus en plus de temps et de plus en plus d’espace. Peux-tu confirmer cela ?
Frère : Oh oui ! l’écœurite s’installe, l’écœurement s’installe dans mon cheminement…
Alors, fais-moi penser à ne plus rien te botter, mais à te prendre dans mes bras.
Tous : Ah !!!
Merci.
Frère : Merci à toi aussi Bidi.
À ce soir.
(Rires)
Frère : Je ne te dirai pas où.
(Applaudissements)
D’ici ce soir, je n’aurai pas oublié ce que je viens de dire.
Sœur : Notre frère a quelque chose à rajouter.
Rajoute.
Frère : Vu que tu dis que ce n’était pas nécessaire d’être là à 23 heures, moi, je ne suis plus là à 23 heures parce que les fois que je suis allé là, je me disais ben…
Ah, ça ne sera pas à 23 heures.
Frère : …Je me suis tanné de ça. C’est le personnage qui voulait, j’ai dit, de la marde ! Vu que tu as dit à quelqu’un, oh, je vous dire, je voulais rajouter quelque chose, ok.
Oh, ce sera une session spéciale, disons à minuit.
Frère : Bien, je vais être à l’ordinateur à minuit, je suis un couche-tard moi. Je voulais dire quelque chose aussi. Bidi, Belgique, première question, réponse qui dure quinze minutes, j’ai capoté. Sur bande, sur la bande d’enregistrement de Bidi, Belgique. Bidi, Tunis, de la minute cinquante-deux sur bande jusqu’à la minute soixante-dix, c’est très silencieux mais, c’est archi plein. J’ai capoté. C’est peut-être ça les coups de pied. Merci encore. Je vais t’écouter.
Il y a quoi ? Il y a vingt ans que quoi ?
Sœur : Je vais t’écouter. Je vais t’attendre.
Ah, ne m’attends pas, ça sera une surprise. À bientôt.
Frère : Oui, à bientôt.
Nous pouvons continuer.
Sœur : Je viens vers toi pour une crucifixion totale.
Tu peux répéter à côté.
Sœur : Je viens vers toi pour une crucifixion totale.
Je ne sais pas planter les clous.
(Rires)
Sœur : Dans tes bras, sur ton cœur.
Alors là, oui. On va faire un package de groupe pour cette nuit hein. Et puis ?
Sœur : C’est un peu dans la continuité d’un frère tantôt. On sait que, en juin ici au Québec, Abba nous appelle le phare de l’humanité.
Peux-tu répéter à côté s’il te plaît, la voix ne passe pas en connexion.
Sœur : OK. En juin… à la rencontre de juin dernier, suite à ça, Abba ou Jean-Luc, ont appelé le Québec, le phare de l’humanité.
Sœur : Et j’aimerais que, ce que je ressens en moi, le fait que d’avoir participé à l’organisation en juin…
Sœur : Le fait d’avoir participé à l’organisation en juin,
Sœur : Et qu’en juillet, l’Intelligence de la Lumière poussait tellement en moi pour refaire une autre rencontre en décembre, celle qu’on vit présentement.
Sœur : Et qu’en juillet, l’intelligence de la Lumière poussait tellement en moi pour organiser à nouveau la rencontre du maintenant.
Sœur : Et je sens comme si, il y a quelque chose qui a été bouclé. C’est parti du Québec et ça avait à revenir au Québec avant la fin de l’année. C’est une évidence en moi.
Sœur : J’ai senti qu’il y avait quelque chose de bouclé, parce que c’est parti du Québec en juin…
Sœur : Et qu’il devait y avoir une autre rencontre au Québec avant la fin de l’année.
Sœur : Et qu’il devait y avoir une autre rencontre en décembre avant la fin de cette même année.
Sœur : Est-ce que tu as quelque chose à nous dire sur ce qui s’est passé pendant tous ces mois ? Le fait de partir en juin et de revenir en décembre, dans cette poussée-là que je ressentais en moi.
Sœur : Est-ce que tu as quelque chose à dire concernant cette période entre les deux rencontres, étant donné que notre sœur ressentait que ça poussait beaucoup à l’intérieur d’elle. Le fait de réorganiser une deuxième rencontre.
Tu as suivi ce que l’Intelligence de la Lumière te suggérait et bien évidemment, tu es bien placée pour le savoir que ce n’était pas un intérêt personnel, loin de là, mais un intérêt général. Bien au-delà de ceux qui sont ici. Partout où je m’exprime au travers d’Abba. Partout où Abba va et partout où vous le rejoignez, vous créez une forme de synergie et d’amplification de la révélation à nulle autre pareille. N’aie aucune crainte, ce n’est pas une décision qui est venue de ta personne, mais qui est venue de l’Intelligence de la Lumière.
Vous avez dû d’ailleurs constater qu’au niveau de l’organisation, de la gestion et du déroulement des préparatifs, cela a dû être beaucoup plus fluide et beaucoup plus facile. Que veux-tu que je confirme de plus que ce que tu as toi-même perçu. Je ne peux que t’en donner une confirmation, mais tu as déjà eu ta réponse à l’intérieur de toi, non ?
Sœur : Oui.
Merci.
Sœur : Mais en même temps, quand j’ai entendu OMA, à la dernière rencontre, qui a parlé du novembre noir et que, ici, au Québec, le phare de l’humanité, le premier novembre, nous étions dans la noirceur, et ce que je ressens en moi, c’est que, il y a quelque chose d’autre qui nous sera dit pour le mois de décembre. Et bon, peut-être qu’à ce moment-là, les intervenants le diront quand ils le ressentiront mais, moi, c’est comme une évidence à l’intérieur de moi qu’il y a autre chose qui va être dit à partir d’ici.
Pourquoi tu parles de septembre ?
Sœur : De novembre.
Oui, ça j’ai entendu mais il y a eu le mois de septembre après ?
Sœur : Non, elle a mentionné qu’en décembre elle ressentait qu’il y avait quelque chose d’autre qui pouvait être annoncé ou dit.
Je ne suis pas sûr d’avoir compris. J’ai entendu mais je ne comprends pas quelle est la demande. Ou l’interrogation.
Sœur : Ce que j’exprime c’est que, on a su que le mois de novembre était le novembre noir.
Et alors ?
Sœur : Bon. Et ici, au Québec, qui est le phare de l’humanité, le premier novembre, nous avons eu une panne…
Oui, ça j’ai entendu mais quel est le rapport ?
Sœur : Et, ce que je ressens, ce que l’Intelligence de la Lumière place en moi, c’est qu’en décembre, il y a d’autres choses qui vont être révélées, sur la raison pourquoi que, il y a une rencontre en décembre et non pas en avoir fait juste une au printemps 2020. Il y a quelque chose qui pousse sur le fait d’être ici présentement. Bon, en tout cas, on laisse faire. C’est juste, j’exprimais quelque chose que je ressens avec une telle intensité.
Permets-moi de t’interrompre et de te dire quelque chose. Pourquoi te poses-tu ce genre de questions ? Puisque tu as eu l’impulsion, que cette impulsion venait de l’intelligence de la Lumière que tu es. Pourquoi veux-tu faire un rapport avec novembre ? Quel lien veux-tu y trouver ?
Sœur : Non, ce n’est pas ça. Ce n’est pas une question. C’est qu’au moment où, au mois de juillet, l’Intelligence de la Lumière a placé en moi cette évidence, cette joie, cet Amour, et c’était de planifier une autre rencontre en décembre, j’avais aussi, en même temps, en moi, que quelque chose serait révélée ici, au Québec, qui va servir à toute la Terre, à tous les peuples, tous les pays-là. Mais je me demandais si tu avais quelque chose à exprimer là-dessus parce que je ressens, avec une forte intensité dans mon cœur, que quelqu’un va dire quelque chose d’important ici.
Mais alors, suis l’intensité vécue dans ton cœur et ne suis pas ta tête.
Sœur : Non, mais je me demandais si c’était toi qui avais à le dire.
Comment ?
Sœur : Elle voulait savoir si c’était toi, qui avait à le dire ou annoncer, ce qu’elle ressent.
Je ne comprends rien.
Sœur : Bon, ce n’est pas grave.
Je ne comprends rien à ce que tu demandes. Où veux-tu en venir ? Si tu as quelque chose à annoncer, annonce-le.
Sœur : En tout cas si c’est moi, ce n’est pas encore totalement clair ce que j’aurai à annoncer. On se reparlera. Merci. Puis, crucifixion totale dans tes bras et dans ton cœur.
L’Intelligence de la Lumière est simple. Tu as eu l’impulsion, nous sommes là, pourquoi vouloir autre chose ? Tu parles de l’avenir au niveau d’une annonce. Tu parles de quelle annonce ?
Sœur : C’est ça, c’est que je ne le sais pas. C’est l’intensité de la Lumière en moi qui m’a révélé ça. Moi je ne sais rien d’autre, je ne me questionne pas, ce n’est pas une question du mental, c’est…
Dis-moi, dis-moi, est-ce que la rencontre est terminée ? Non.
Frères et sœurs : Non.
Bon.
Sœur : Parfait.
(Rires)
Merci.
(Applaudissements)
Installe-toi dans l’instant de ce qui se vit, si annonce il y a, elle sera. Que cela vienne de toi ou de moi, ou d’un autre intervenant, ou d’Abba, n’a aucune importance. Mais n’allez pas plus vite que la musique.
Sœur : Oui mais, ça fait cinq mois, moi.
Sœur : Notre sœur ajoute que ça fait cinq mois pour elle. Qu’elle le vit.
Quoi ?
(Rires)
Sœur : Cette poussée à l’intérieur d’elle qu’il y a quelque chose qui doit être révélé ou ajouté.
Mais oui. Mais ça viendra au moment où ça viendra. Comme je l’ai dit, la rencontre n’est pas terminée. Pourquoi vous annoncer, par ta voix ou par ma voix, ou par n’importe quelle voix, quelque chose à venir, en plein milieu de l’instant présent. Ça viendra au moment où ça viendra. Par ta voix ou par une autre voix, peu importe. En disant cela, je vous demande simplement de rester centrés dans l’instant présent. Si annonce il y a, elle a été écrite, cette annonce émergera.
Laisse les choses se dérouler telles qu’elles se déroulent et si annonce il y a, elle émergera spontanément. Quelle que soit la voix qui l’exprime. Mais je vois très bien où tu veux en venir par rapport à l’année prochaine. Mais nous ne sommes pas l’année prochaine. Nous sommes ici présents. Je vous propose plutôt de vous imprégner, de vous immerger dans ce qui se vit, là, dans l’instant. Il y a effectivement une surprise, mais si je la dis maintenant ce n’est plus une surprise.
(Rires)
La surprise viendra au moment où elle sera une surprise. Et pas une prémonition ou un pressentiment, qui est juste, certes, je te l’accorde, mais qui peut, durant ce moment présent, te dériver vers le futur, déjà. Tu vois ce que je veux dire ?
Sœur : Oui.
Merci. Donc, la surprise ou l’annonce comme tu dis, sortira au moment où elle doit sortir. Même si j’en suis informé.
(Applaudissements)
Sœur : Ici, c’est ça que je le savais qu’il savait.
(Rires)
Sœur : Notre sœur ajoute, elle le savait que tu le savais.
Frère : Dans quel présent qu’on peut l’entendre ?
Rappelez-vous que, vous comme nous, où que nous soyons d’ailleurs, suivons ce qui a été écrit. Tout ce qui se déroule a été écrit. Là est la véritable liberté. Mais bravo pour ton intuition.
Sœur : C’est l’Intelligence de la Lumière qui l’a placée dans mon cœur.
Sœur : Notre sœur ajoute, c’est l’Intelligence de la Lumière qui l’a placée dans mon cœur.
Tout à fait. Alors, acceptons, toi comme moi, comme tous les autres, que ça se déroule comme ça doit se dérouler. Certes, surprise et annonce il y aura. Mais je dirais, comme d’habitude, que cela sera à l’issu de cette rencontre et pas pendant. D’accord ?
Sœur : C’est bien.
Merci. Et entre parenthèses, je sais que tu savais que je savais.
(Rires)
On attend le prochain condamné.
Sœur : Notre frère est déjà installé.
Frère : En fin de compte, ça serait peut-être un petit complément par rapport à ce que notre sœur a dit, c’est ça. Si moi, je regarde en fin de compte ce qui s’est passé antérieurement. Et puis, bon, par rapport aussi, comme vous dites, la surprise. Bien, ce qu’on peut constater, ce que Jean-Luc nous a dit, entre autres, lors du dernier passage d’Abba, de Bidi, au Québec, et puis OMA aussi. Donc, après, on a remarqué, comme disait Jean-Luc, certains changements au niveau de la société québécoise ou canadienne. Protection des baleines, il y a eu aussi d’autres événements qui sont venus.
Sœur : L’immigration.
Frère : Ah, l’immigration aussi. Donc, il y a eu des événements qui se sont produits. Et puis bon, moi, quand je participe à la rencontre, quand je sais que Jean-Luc va arriver, Abba va arriver, dans les jours antérieurs, on sent déjà une certaine présence. On sent qu’il y a quelque chose qui se passe. Donc, il y a comme une énergie qui se dépose, si je peux dire, dans l’endroit, au Québec, au Canada d’ailleurs.
On ne peut rien vous cacher hein.
(Rires)
Frère : Non et puis bon, c’est sûr, on le sait que la rencontre va donner, bon, comme vous dites, une surprise, même ultérieurement. On sait aussi que, d’emblée, il se passe des choses avec ce qu’on appelle la faille de New Madrid, et puis le centre des États-Unis. Je ne sais pas si ce sera en lien avec toutes ces choses-là. Mais, comme on dit, on verra à ce moment-là.
Je pense que la surprise sera beaucoup plus légère et agréable que cela.
Frère : Alors, c’était ça mon complément, si on peut dire. La certitude que, comme on dit, qui va, l’influence ou l’énergie, quelque chose plus, oui, plus l’acceptation pourrait s’installer.
Je te remercie. Mais comme je dis, vous devenez tous, par l’Intelligence de la Lumière, perspicaces. Mais c’est excellent. Ce genre de choses me ravit. Mais bon, ce n’est pas encore le jour, c’est tout.
Sœur : Pour le moment, oui.
D’accord. Suivant.
Sœur : Bonjour Bidi.
Bonjour.
Sœur : Bon jour d’être ici pour nous et bon jour d’être ici pour tous. Je suis les intervenants, tous les intervenants, y compris vous, depuis des années. Et j’ai toujours accepté ce qui était donné. Il me semble que ça coulait de source. C’était évident, même si je ne comprenais pas tout. Donc, je n’ai jamais posé de questions, ou très peu. Jusqu’au moment que Abba, quand Abba est arrivé et a parlé de l’accueil, de l’acceptation.
Donc, la pratique, j’ai mis ça en pratique sans résistance. Quand est arrivée l’anomalie primaire et cette notion de la fin de la Création, et qu’il n’y avait plus de dimensions, pour moi, c’était d’une évidence. Mais ça m’a mis un peu en conflit, en dualité avec d’autres qui en connaissaient plus, entre guillemets, et qui… Ce qui a fait que j’ai dû me retirer de ces personnes. Et je n’ai toujours pas posé de questions. Donc, aujourd’hui, je me sens en paix, mais c’est une paix extrêmement tranquille. Ce n’est rien d’exubérant, pas de visions, je n’ai rien de tout ça. Et la question que j’ose poser aujourd’hui…
Bienheureux les simples d’esprit. Continue.
Sœur : Est-ce que je me suis reconnue ?
Mais, il n’y a que toi qui peut répondre à cette question. Quelle confirmation attends-tu d’un quelconque extérieur, fût-il Bidi ? Se reconnaître ne peut jamais être une interrogation auprès de quiconque. C’est une certitude intérieure. Tant qu’il existe le besoin d’une quelconque confirmation, extérieure, même si je suis en toi, ça veut dire quoi ? Je ne veux pas savoir si tu t’es reconnue ou pas, c’est ton problème ou c’est ta raison à toi, ta justification à toi. Mais à partir du moment où tu me demandes si tu t’es reconnue, je peux par contre t’affirmer que l’autonomie complète n’est pas encore là.
Aucune réponse, ni positive ni négative, par rapport à ton interrogation, ne peut t’être apportée de l’extérieur, par ma voix. Je peux te l’apporter intérieurement en venant te voir, mais pas comme ça. Ça a été expliqué d’innombrables façons. Quand vous le vivez, vous ne pouvez que vous reconnaître, sans aucun doute possible.
Là, je ne dis pas que tu ne t’es pas reconnue ou que tu t’es reconnue, j’attire simplement ton attention que, sur le fait de poser ce genre de questions, même si tu t’es reconnue, prouve simplement que l’autonomie complète n’est pas encore totalement vécue. Il y a quelque part, un besoin d’être rassurée, quel que soit ton vécu. Et ce n’est pas un problème de la réalité de ta reconnaissance, comme je te le dis, c’est juste un problème d’autonomie et d’autonomisation.
Je pourrais te dire, la réponse est en toi, oui, bien évidemment. Mais le simple fait de demander à quiconque, même à un frère ou une sœur incarnés parmi vous, si tu t’es reconnue, prouve simplement quelque part, non pas une peur, non pas une souffrance, mais une forme d’hésitation. Une forme de tergiversation ou de questionnement qui n’a rien à voir avec ton vécu, mais qui a à voir avec le mode de fonctionnement que tu dois connaître dans ta vie, qui t’est habituel. C’est-à-dire le besoin de confirmation, le besoin de certitude. Parce que tu crois qu’à travers la certitude et la confirmation, la paix sera plus grande, n’est-ce pas ?
Sœur : Oui.
La paix est en toi, elle ne peut pas venir de dehors. C’est en ce sens que je t’ai parlé d’autonomie et d’autonomisation. Il faut rompre, quelque part – pas par la volonté, mais par ce qui se produit spontanément – ces réflexes archaïques de la personnalité qui n’ont plus lieu d’être. Est-ce que tu saisis ce que je veux te dire ?
Sœur : Oui.
Merci.
Sœur : Merci.
On peut rajouter pour terminer par rapport à ton questionnement, que le fait même… bien évidemment, tu te poses la question à toi-même, tu me la poses aussi, plutôt que de laisser être, ou de laisser fleurir la Vérité qui est née, dans ton cas, intérieurement. Je te conseille simplement de ne plus questionner, ni de te questionner, mais d’être encore plus disponible et lucide dans l’instant. C’est tout.
Et tu vas ainsi développer, si je peux dire, une autonomie nouvelle dont l’assise n’est plus dans les caractéristiques de la personnalité ou du personnage, mais directement une assise dans le cœur où ne peut exister le moindre doute ni le moindre espace de questionnement sur ton propre vécu.
Quand il y a des visions, on peut toujours s’interroger, sur le sens, le pourquoi, le comment. Quand il y a une énergie aussi, on peut s’interroger. Mais dans le processus de retrouver qui vous êtes, ça n’a plus lieu d’être. C’est ça qu’il faut éclairer. Les oscillations, les basculements, l’intrication même entre l’éphémère et l’éternel, entre le personnage et l’Absolu que tu es, n’est en définitive là, non pas pour avoir une réponse et une certitude, mais pour éclairer le jeu même du questionnement.
Quand je parlais d’autonomisation et d’autonomie, c’est simplement ne plus se laisser emporter, abuser, par les caractéristiques de ta personnalité. Même si elle n’est plus sur le devant de la scène, si je peux dire, même s’il y a une reconnaissance réelle. Tu vois, je t’ai répondu finalement.
Sœur : Merci.
Prochaine exécution.
Sœur : Bidi, nous avons besoin d’une pause.
Déjà ? Ça fait combien de temps que je parle ?
Sœur : Une heure trente à peu près.
Alors d’accord. Il faut simplement dire pour les auditeurs, à quelle heure on reparle.
Sœur : Dans une quinzaine de minutes.
Alors, à dans une quinzaine de minutes. Je vous laisse vous aérer les oreilles. À bientôt. À tout de suite.
Tous : Merci Bidi. À tantôt.
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