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Satsang (Tunisie)
2 Novembre 2019
Une chose importante.
On a parlé souvent ces derniers jours de passer de la communication à la résonance ; on a parlé de la théorie de l’information, quand on a développé la notion de résonance Agapè dans l’espace. Il y a une chose que je viens de comprendre ; on le vit, on comprend donc, et après, on a l’explication. On parle beaucoup d’ondes scalaires en ce moment. Qu’est-ce qu’une onde scalaire? C’est une onde qui n’a pas la forme d’une onde électromagnétique, c’est-à-dire qui n’est pas sinusoïdale, qui se propage soit en ligne droite, soit sous forme de spirale.
Elle véhicule, cette onde scalaire, des neutrinos. Des neutrinos, c’est quoi ? C’est une particule qui n’est pas chargée, elle est neutre ; elle est donc au temps zéro. Quand j’ai dit que l’on passait de la communication, de la relation, à la résonance au sens large… L’onde scalaire existe dès que la source et la cible, l’émetteur et le récepteur, se rencontrent en résonance. Ça échappe au temps et à l’espace, j’ai dit que l’on devenait l’espace, que l’on annulait les charges, c’est-à-dire la polarité.
L’onde scalaire est très exactement ce que nous générons dans les résonances Agapè. Nous passons de la communication à la résonance, c’est pour cela qu’il n’y a pas de notion spatiale, il n’y a pas de notion de temps et qu’il n’y a pas de notion d’espace, parce que ça ne suit pas l’alternance de la manifestation qui se manifestera toujours sous forme d’électrogravité ou électromagnétisme, qui est toujours sous forme d’une onde sinusoïdale, avec des fréquences différentes. Les couleurs que nous voyons sont des sinusoïdales.
C’est passer de la dualité, l’alternance, bien-mal, jour-nuit, tout ce que vous voulez, le yin-yang au sens large, le Tao. […] Le Tao, le principe est lié au neutrino qui a une charge nulle et qui annule la polarité. La résonance que nous établissons, le cœur à cœur, la joie, la résonance Agapè, quand nous décidons de ne plus être la source […] nous devenons comme je l’ai dit l’espace, c’est-à-dire que l’onde scalaire est la solution effectivement à tous les problèmes de polarité.
Le champ toroïdal, le double tore que nous avons au cœur, génère une onde spirale qui échappe au temps et à l’espace et qui échappe à la polarité. Donc, l’onde scalaire est vraiment ce qu’il y a de plus équilibrant, thérapeutique si on veut, mais aussi qui met fin à la dualité inexorable de la manifestation. La source de la manifestation, c’est le neutrino de charge nulle qui n’est pas polarisé et qui appartient donc à ce que les Chinois appellent le ciel antérieur ou le ciel non manifesté.
Donc, quand nous faisons un cœur à cœur, quand nous avions absorbé les essences et quand maintenant nous passons dans l’espace, nous sortons du temps et de l’espace, nous ne sommes plus soumis à la polarité inexorable de la manifestation et nous pénétrons, si je peux dire, de plain-pied dans le monde non-manifesté, c’est-à-dire, ce que les Chinois appellent le ciel antérieur, l’incréé. Nous retrouvons la source de qui nous sommes au-delà de la polarité inexorable de toute manifestation même dans les dimensions les plus subtiles.
Donc, l’onde scalaire qui a été trouvée, finalement, il n’y a pas si longtemps que ça, met fin à l’électromagnétisme en nous, met fin à l’électromagnétisme du système solaire, c’est-à-dire l’attraction et la rotation des planètes avec les forces de gravité qui sont liées à l’interaction de ces mouvements. C’est bien plus que le temps zéro, c’est retrouver la source de la manifestation. Nous sommes dieu, nous sommes le créateur en même temps que nous sommes la créature et, nous sommes toutes les créatures.
Donc, j’ai trouvé le lien, ça m’est venu d’un coup.
Quand j’ai employé ce mot de résonance, c’est exactement ça, c’est-à-dire que l’émetteur n’envoie plus une onde sinusoïdale, d’information, mais c’est une annihilation de l’information, qui est présente au temps zéro, c’est-à-dire dans le trou noir. Ce qui émane de notre cœur, dans la frange d’interférence, c’est-à-dire l’interaction avec le feu vital que l’on a appelé le feu du cœur sacré, est exactement une onde scalaire parfaite.
Je disais, rappelez-vous, qu’il y avait quand même une notion de seuil quantique, que nous créons l’événement. La propagation se fait à l’infini, sauf quand elle rencontre une onde électromagnétique, bien sûr, parce que l’onde électromagnétique, la dualité prend le dessus sur l’onde scalaire.
C’est-à-dire que si réellement et concrètement, nous devenons l’espace, ce que nous faisons en ce moment, les disparitions que nous avons, nous ne savons plus où nous sommes. Nous ne savons plus où nous sommes, c’est-à-dire, nous ne disparaissons pas, mais nous sommes dans quelque chose d’indéfinissable. Là est la Liberté, là est la Vérité, là est l’origine de la manifestation.
Donc, nous sommes en train de rejoindre l’onde scalaire primitive qui n’est pas limitée par une quelconque électrogravité ou électromagnétisme. C’est totalement cohérent.
Donc, plus nous rentrons dans le cœur, dans le silence, et que nous traversons le feu du cœur sacré… J’ai toujours dit qu’il fallait traverser les vibrations, parce que la vibration, c’est la conscience, mais ce n’est pas la Vérité. Rejoindre le temps zéro, n’est rien d’autre que d’avoir une émission permanente, constante, indépendante de toute idée, de toute pensée et de toute attention. Le silence, le Grand Silence, la tranquillité, le temps zéro, ou le Tao, comme disaient les Chinois, c’est exactement la même chose. C’est une onde scalaire qui n’est plus soumise au rayonnement électromagnétique. C’est ce que nous vivons actuellement.
C’est imparable, ça correspond à la parfaite définition de ce que nous sommes. Nous ne sommes même pas l’information, nous ne sommes pas l’énergie, nous ne sommes pas la forme, mais cela est permis par l’onde scalaire et aujourd’hui, nous retrouvons l’onde scalaire primordiale qui n’est plus affectée par la dualité.
Que vous preniez un discours bien-mal, polarités, neuroscientifique, que vous l’exprimiez à travers n’importe quel discours de n’importe quelle tradition, religion, nous ne sommes pas l’énergie, nous ne sommes même pas l’information. Nous sommes le neutrino de départ de la première impulsion, l’alpha, qui est la dernière impulsion. La boucle est bouclée. Et c’est d’une cohérence totale.
Donc, l’onde scalaire, vous savez qu’il y a des appareillages là je vous ai, on vous a amené des orgonites avec des ondes scalaires. Il y a des physiciens russes qui ont créés les plaques qui s’appellent Koltsov; d’ailleurs un Monsieur qui a créé des plaques qui ressemblent à des cartes de crédit qui émettent des ondes scalaires et c’est l’erreur que font certains qui veulent travailler les ondes scalaires ou générer une onde scalaire à travers l’électricité. Ça ne peut pas se faire parce que c’est une sinusoïdale même quand vous prenez un courant continu et qui n’est plus alternatif. Vous avez néanmoins une contamination par la dualité puisqu’elle est manifestée par cette électricité. Donc, le premier flash initial n’est pas électrique, ni électro-gravifique, il est scalaire.
Quand la spirale qui émet de notre cœur ce que l’on appelle ce champ scalaire, qui est lié au double tore, qui d’ailleurs fonctionne, vous le savez, dans un sens et dans l’autre, donc en opposition de phase… On sait en physique que quand vous mettez deux objets, quelle que soit leur constitution, mais de forme identique, mais qui tournent en sens inverse, ce qui se passe dans chacune de nos cellules aves les centrioles, on génère le champ ultime a-causal de la physique, qui n’est même plus une spirale, qui est linéaire. C’est le trait, le trait de l’esprit, par exemple, c’est ça, c’est un neutrino. C’est-à-dire, nous retrouvons l’origine de la création. Nous sommes cela, c’est d’une cohérence totale.
Voilà le préambule. Ensuite, le Oui.
On a dit que nous allions parler de cette notion de résonance et de Oui.
Sœur : On enregistre, là ?
Oui, c’est enregistré. Oui, oui.
Le Oui, c’est un Oui, ce n’est pas un Oui à quelque chose ou non à quelque chose. Ce mot, Oui, Yes, partout, dans toutes les langues que vous voulez, le Oui est une acceptation qui ne pose aucune condition et qui n’a besoin d’aucune compréhension.
C’est-à-dire que nous avons déverrouillé – en activant les étoiles, les couronnes et tout – nous avons discriminé l’attraction et la répulsion. Le bien et le mal, nous savons – pour ceux qui le vivent en tout cas – que ça n’a aucune subsistance.
Rejoindre le temps zéro, c’est effectivement activer le double tore, traverser le feu du cœur sacré, c’est-à-dire la perception même de ce qui est là, pour découvrir ce qu’il y a juste derrière. C’est ça le temps zéro, c’est ça Dieu, c’est ça la Source, c’est ça, ce que nous sommes.
Ce matin, ça été la lucidité par rapport à ça, qui est totale. La question des ondes scalaires, on en entend parler de plus en plus. Cela a effectivement des effets insoupçonnés. Vous le voyez d’ailleurs pour ceux qui les ont testées, les petites orgonites à champ scalaire. Le circuit Lakhovsky, lui, travaille sur le temps zéro, mais… voilà. Donc, l’onde scalaire, c’est une onde spirale. Ce que vous avez, ce qui est dessiné ici, c’est en métal. Cela aurait pu être dessiné simplement avec un trait de crayon, c’est exactement la même chose.
[…]
Donc, c’est d’une cohérence totale. Donc, le champ scalaire correspond au Oui, qui n’est pas un oui qui s’oppose au non, parce qu’on pourrait dire après tout, il faut dire oui, d’accord, mais on dit oui à quoi ? Non, on ne dit pas oui « à quoi », on ne spécifie pas. C’est-à-dire que le mot Oui est plus que l’acceptation, c’est la traversée même de la notion d’acceptation et c’est la vacuité, c’est le grand silence, c’est cette joie nue. Et n’importe qui, à partir du moment où vous avez cette compréhension, ça va vous permettre de vous ajuster sans aucune difficulté, sans aucune réflexion, sans aucune pensée.
J’ai bien dit à un moment donné que ce n’est pas une pensée, c’est une idée. Regardez l’étymologie du mot idée et vous allez comprendre effectivement ce que ça veut dire. Il n’y a pas d’effort à faire, comme ça a toujours été dit par Nisargadatta, restez tranquilles, comme disait Osho, soyez fainéants, parce que tout est là.
Alors, on a une question, oui. Venez la poser dans le micro.
Sœur : Merci. Donc, cette onde scalaire spirale, ça fait penser justement, quand on arrive près du trou noir et qu’on est absorbé, c’est bien la forme aussi que ça prend ?
Exactement.
Sœur : Parce qu’on n’est pas absorbé comme ça, boum ! Quand on voit les étoiles qui sont absorbées, c’est ça, on est là, on s’approche, et nous sommes…
Exactement.
Sœur : …cette onde scalaire en mouvement vers le trou noir.
C’est ça. Nous sommes ce mouvement spiralé. D’ailleurs, quand les gens tournent sur eux-mêmes, dans le soufi, dans les transes, c’est exactement ce qu’ils font, ils font circuler. Qu’est-ce qui se passe quand vous tournez sur vous-mêmes : vous altérez vos canaux semi-circulaires, c’est-à-dire le sens du son et de l’orientation, que vous sidérez par le mouvement pour trouver l’immobilité, c’est-à-dire l’onde scalaire primitive.
Donc, les explications scientifiques qu’il y a aujourd’hui sur l’onde scalaire, correspondent exactement à ce que nous vivons. Il n’y a pas d’effort à faire. Cessez toute recherche. Ça a été dit par Bidi depuis des années. Acceptez ce qui est et ce qui n’est pas, par un Oui.
L’acceptation est encore une idée, le Oui est la résultante. Ne vous posez pas de questions par rapport à quoi vous dites Oui. Ce Oui est l’ouverture totale et la sortie définitive et permanente de la sinusoïdale, du bien et du mal, de l’alternance du Yin et du Yang. Vous retrouvez le Tao, le principe, le moyeu de la roue qui est immobile et qui permet tous les mouvements de la manifestation.
C’est la roue de fortune dans le tarot, l’arcane dix, bien sûr. C’est dépasser la roue du karma, de la manifestation, de l’action-réaction. C’est rentrer dans l’action de Grâce et en définitive, dans l’état de Grâce, qui n’est rien d’autre que le neutrino antérieur à l’électron et au proton, il y a toutes les particules élémentaires, c’est affreusement simple, ça se résout à un schéma, on peut le dessiner.
Donc, dire Oui, c’est mettre fin à la dualité. Et ça sera instantané, d’ailleurs, il y en a plein qui l’ont déjà compris, sur les réseaux sociaux, après avoir écouté les canas d’hier, ils écrivent Oui partout.
(Rires)
Parce que quand vous dites Oui, il n’y a pas de réaction possible. Il n’y a pas la pensée qui va vous dire « c’est vrai » ou « ce n’est pas vrai ». Ce n’est pas une question de vrai et de faux. Le Oui est, je dirais, l’affirmation première et l’affirmation dernière du jeu de la création, qui est vu comme une scène de théâtre jusqu’à ce que l’on comprenne qu’il n’y a jamais eu de théâtre, comme disait Bidi, et à ce moment-là, on est réellement libre.
Et quand vous êtes vous-mêmes le générateur de ce champ scalaire, comme je l’ai toujours dit, vous ne pouvez qu’observer qu’une chose : c’est que l’intelligence de la Lumière vous transforme, pas seulement dans les mécanismes de fonctionnement, pas seulement dans les comportements, mais transforme aussi votre matière.
Ceux qui me connaissent depuis longtemps, vous l’avez bien vu j’ai… bon, j’ai éliminé plus de quarante kilos sans rien faire. Bon, bien sûr, il y a eu un peu le régime cétogène, les champignons qui ont aidé, mais cette espèce de joie sans objet, de joie nue ou de grand silence où, comme on disait, il n’y a même pas besoin d’avoir cette joie manifestée, puisqu’on est la source de la joie même, nue. C’est-à-dire que lorsqu’on est dans l’exubérance de cette joie, c’est remplacé par quoi ? Par le grand silence.
Quand vous êtes dans le grand silence, c’est-à-dire, vous laissez les choses arriver et partir telles qu’elles se produisent par le jeu de la manifestation, vous n’êtes plus – même en étant dans ce corps – la manifestation, mais vous êtes à la source de la manifestation. Et c’est comme ça que vous voyez que vous êtes tous les autres, sans aucune exception. Même le pire des assassins, c’est vous. Il n’y a personne d’autre que vous et en définitive, il n’y a personne.
Alors, attends Maurice, parce que là, je vais me déplacer, ne bouge pas, reste tranquillement assis, ça me fait bouger un peu.
(Rires)
Frère : Oui, donc.
Sœur : Oui !
Frère : Voilà !
(Rires)
Alors, quand il y a oui donc, c’est oui, mais… oui mais…
Frère : Ça donne le temps de réfléchir. Donc la Lumière a une vitesse puisqu’il y a des étoiles à des années-lumière, mais l’onde scalaire n’aurait pas de vitesse et ce serait instantané ?
C’et instantané, c’est ce que je vous ai expliqué, dans les résonances Agapè que je fais : les gens m’envoient un mail, il y en a qui ont compris, ils ne m’envoient même pas de mail, ils pensent à moi, et ils sont guéris.
Sœur : Ils sont guéris.
Mais ce n’est pas moi qui fais l’origine du miracle. C’est, comme disait le Christ : c’est ta foi qui t’a sauvé. Moi, je ne suis qu’une représentation, comme n’importe quel autre être humain l’est de la même façon. J’ai toujours dit qu’on est tous Abba, tous, tous, sans aucune exception, qu’on le veuille ou pas. Et Abba, qu’est-ce que c’est ? Rappelez-vous la graphie. A, B, l’image en miroir : B inversé, A.
Sœur : Voilà, exactement.
Vous mettez fin à la manifestation, vous mettez fin à la réflexion de la lumière, toutes les lumières. Nous ne sommes même pas la Lumière. Nous sommes Abba, c’est-à-dire antérieurs à la Lumière. Ce jeu de dupes, de miroirs, que nous avons créé, réellement, il s’est créé spontanément d’ailleurs, pour nous permettre de faire un circuit, de rejoindre l’alpha et l’oméga, comme on a dit, c’est exactement la même chose.
Et la compréhension physique est liée à cette notion d’onde. Jusqu’à présent, je disais qu’on avait un émetteur et un récepteur, on met une aiguille d’acupuncture, on donne un granule homéopathique, c’est une énergie donc, nécessairement sinusoïdale, porteuse d’une information fréquence, temps de montée en tension, harmonique de cette fréquence, et quand les deux s’annulent, c’est-à-dire quand l’émetteur devient le récepteur et le récepteur devient l’émetteur, les deux se rencontrent, c’est l’opposition de phase Abba, les deux sont retournés, vous vous êtes retournés, on vous a parlé sans arrêt de retournement.
Sœurs : Oui, oui.
L’ultime retournement, le face-à-face, comme on a dit, la traversée de l’éphémère et de l’éternel, ils se rejoignent. C’est pour ça que je disais, le simulacre et le sacré se rejoignent dans la même scène de théâtre. Tout dépend du point de vue et ça s’annule de même, que l’on le veuille ou pas. Et c’est exactement ce qu’on observe dans les univers, c’est-à-dire les trous noirs qui sont en train d’absorber toutes les galaxies, c’est exactement ce qui se passe.
Sœur : Tu parlais, la personne pense à toi et elle est guérie. Est-ce que dans la propagation maintenant du Oui, je pense à quelqu’un, je dis Oui…
Oui.
Sœur : Et il a dit Oui, puisque on est les uns dans les autres.
Tout à fait.
Sœur : Donc on n’a même pas besoin de le dire chacun, chacun et chacun.
Non même plus, c’est pour ça que l’on devient l’espace – c’est indépendant de la source et de la cible – et que le miracle, comme on le voit, va être de plus en plus spontané.
Sœur : Donc, comme aux Canaries, on disait le nom et le prénom, et en le disant, en voyant les personnes de notre famille, c’est pareil pour le Oui ?
C’est pareil, simplement que maintenant, il n’y a plus, on n’a plus besoin de nommer, on n’a plus besoin de manifester. Ce n’est même plus une pensée, c’est l’idée. L’idée du champ scalaire réalise le double tore. Vous n’êtes plus arrêtés par la perception du feu du cœur sacré. Ça ne veut pas dire que c’est plus là. J’ai toujours dit, quand on disait de traverser la vibration, on s’est appuyé sur la vibration pour reconstruire le pont entre le fini et l’infini, et l’indéfini qui est plus important encore que l’infini, parce que l’infini s’oppose au fini, mais l’indéfini ne peut pas être défini. Il n’est ni infini, ni fini. À partir de là, c’est fini.
(Rires)
Sœur : Il y a eu une transformation même du feu igné. Le feu igné primitif s’est transformé, dans les neutrinos et à un autre niveau.
Exactement. Exactement.
Sœur : Voilà.
C’est ça qui a donné toutes les formes. Parce qu’une particule, une fois quelle est polarisée, la Lumière se diffuse à l’infini par des sinusoïdales, que l’on appelle la distance, selon le temps que met la Lumière pour parcourir les zones de résistances, c’est-à-dire, tous les rêves. Mais tout ça n’existe pas. Le cosmos, comme on sait, ça veut dire peau de serpent en sumérien, c’est le voile qui a été jeté sur la Vérité.
Donc, la manifestation, quelle qu’elle soit, dans quelque dimension que ce soit, nous empêche de vivre la Vérité. Et le solutionnement, la solution, ne pouvait venir que du plus loin de la Source, c’est-à-dire, dans les niveaux les plus denses que l’on appelle la troisième dimension dissociée, voilà. Il n’y aura jamais… comme la vision du transhumanisme, qui est de faire descendre la conscience dans un monde binaire électronique, c’est l’image en miroir de la Vérité, qui n’existe pas, et la boucle est bouclée
(Applaudissements)
Donc, dans le mécanisme d’intrication quantique, bien évidemment, toutes les gammes de l’électromagnétisme sont présentes, mais c’est justement l’inversion – de ce qui était dévié, la Lumière oblicale, comme on disait à l’époque, avec les systèmes de miroirs dans la ceinture de Van Allen – qui nous fait prendre conscience, comme disait Bidi, qu’il n’y a aucune planète, aucune étoile.
Ça n’existe pas. Ce n’est qu’une projection par l’apparition d’un neutrino, qu’on a appelé le premier rêve, bien sûr. Ce premier rêve qui a été porté par ce qu’on a appelé les créatrices et qui a ensuite, tout de suite, entrainé l’apparition de son contraire, le masculin, ou son complémentaire, vous l’appelez comme vous voulez, mais c’est la même chose. Mais c’est justement, aujourd’hui, cette confrontation entre le bien et le mal, sur le plan de ce qui est visible, qu’on voit tous les jours, qui annule le bien et le mal et qui laisse place à la Vérité et à l’Absolu.
Et c’est quelque chose qui est imparable. C’est-à-dire qu’on propage cette bonne nouvelle, comme ça a été dit. Qu’on l’appelle Agapè, qu’on l’appelle feu du cœur sacré, qu’on l’appelle un soin, une résonance, mais c’est la résonance où on ne distingue plus l’émetteur du récepteur, qui met fin à la distance, il n’y a plus besoin d’onde électromagnétique.
Donc, plus vous allez vous stabiliser au temps zéro, sans rien demander, sans rien attendre… et ça se résume en un mot : Oui. C’est aussi simple que ça. C’est-à-dire que plus vous allez dans le Oui, sans vous poser la question même de l’acceptation, même si on dit « j’accepte »… J’accepte, c’est encore quelqu’un ou quelque chose qui dit « j’accepte ». Dans le Oui sans rien après, que voulez-vous qu’il y ait ?
Sœur : Pourquoi le Oui ? Parce que, au fond, Oui, ça me fait penser à la polarité oui, non.
Eh non, ce Oui-là est sans objet et sans sujet. Il n’est plus polarisé.
Sœur : Voilà, voilà, d’accord.
C’est un Oui, on pourrait dire encore, inconditionnel, mais ce serait une erreur. C’est un Oui tout nu. Et ce Oui tout nu, met fin à la polarité. On rejoint à ce moment-là ce qu’on avait appelé à l’époque, au niveau du douzième corps, à la racine du nez, ce qu’on appelle l’androgyne primordial. Ce n’est pas pour rien que ce mot-là avait été employé. Cet androgynat primordial n’était rien d’autre que ce Oui. La fusion du masculin sacré et du féminin sacré qu’on nous a expliquée pendant des années, c’est simplement ça.
Sœur : On ne peut plus y attacher la notion de sacrifice, de don
Alors la notion de sacrifice est encore un point de vue incarné.
Sœur : Oui. Mettons…
C’était une résonance qui était établie par rapport aux grands mystiques, par rapport à tous ceux qui, comme dans l’allégorie de la caverne de Platon, c’est celui qu’on lapide parce qu’il a dit la vérité, qui a dit qu’il n’y avait pas de caverne et pas de lumière. C’est le chemin du Christ et aussi d’autres grands saints, il n’y a pas eu que le Christ, vous avez Mani Ahura-Mazda, dans la Perse antique, qui a été aussi lapidé parce qu’il disait la vérité.
La Vérité ne peut pas être dite. Quand vous dites la vérité, vous vous placez en opposition au jeu de la manifestation. La Vérité, comme disait Nisargadatta, ne peut être que vécue. La compréhension vient du vécu et non pas d’une quelconque cogitation, puisque la cogitation, la compréhension non vécue, vous comprenez quelque chose, mais vous ne pouvez pas le vivre, nécessairement. Nécessairement, si vous le voyez, c’est déjà polarisé, parce qu’il y a forme et non-forme, même dans les autres dimensions.
Vous savez que l’anthropomorphisme s’arrête à la vingt quatrième dimension, avec l’apparition de ce qu’on appelle la civilisation des triangles, qui sont la structure des mondes où il n’y a plus d’anthropomorphisme. L’anthropomorphisme est inexorable dans la manifestation, même s’il n’y a pas la même conformation que l’humain.
Je vous avais expliqué, à l’époque, j’avais fait des expériences au laboratoire central […] à la Plaine Saint Denis, où on prenait une plaque de cuivre et qu’on envoyait un éclair électrique, une décharge électrique, avec un angle de 50°30´, c’est-à-dire l’angle de cristallisation de la vie, que vous avez dans la structure statique de l’ADN, mais aussi en haut de la pyramide de Khéops. Cet angle de 50°30´, qui est connu en astrologie karmique, qui est l’angle de réalisation dite karmique, c’est-à-dire le moment où vous dépassez l’antagonisme et la dualité, et ce qu’on a appelé la loi de la dualité, et la loi d’action de Grâce, la loi de l’unité, c’est exactement ça. Et on est en train de la vivre de toutes les façons possibles.
Oui ?
Frère : Petite remarque, quand on était… quand on était dans l’énergétique et qu’on voulait plus d’énergie, il suffisait de faire une spirale, comme ça, et l’énergie était augmentée.
Oui, bien sûr, mais tu entrainais l’électromagnétisme. C’est pour ça que j’ai toujours dit que même en ayant fait vingt-cinq ans d’énergétique, que l’énergie par définition est une énergie luciférienne, pas au sens de Lucifer, parce qu’il est rédempté, mais au sens de la dualité. Bien évidemment qu’une énergie est duelle, puisque l’énergie a une forme sinusoïdale, quelle que soit l’énergie, que ce soit une énergie invisible, que ce soit une énergie visible, que ce soient des photons. Il y a d’ailleurs une limitation qu’on appelle la vitesse de la lumière et la théorie des cordes, et l’intrication quantique ainsi que les ondes scalaires, sont l’explication finale. C’est fantastique.
Sœur : Oui.
Tout s’éclaire.
Sœur : Tout se réveille.
Voilà où je voulais en venir comme préambule par rapport à cette notion de Oui, qui n’est que la génération d’une onde scalaire et qui vous fait traverser, pour ceux qui sont encore dans le ressenti des vibrations. Parce qu’on les sent toujours, les vibrations, elles sont toujours là, le canal marial, je le sens, les chakras, les couronnes ascensionnelles. Je dis simplement, vous ne pouvez pas bien évidemment les arrêter, ce n’est pas le but, on les a développées pendant des années, c’est de les traverser, c’est-à-dire ne plus focaliser, comme on disait, avec l’appareil photo, c’est une défocalisation et non plus un zoom, on a d’abord zoomé et maintenant on dézoome.
Oui ?
Sœur : C’est où, le canal marial, s’il vous plaît ? […] C’est juste une question, je ne connais pas.
Le canal marial… Si tu veux, il existe ce que l’on appelle, en oriental, l’Antahkarana. l’Antahkarana est une corde céleste qui est représentée par exemple chez les Égyptiens par ce qu’on appelle les cornes de la déesse Hathor. C’est… Steiner disait que les vaches ont des antennes cosmiques parce que il y a des cornes et que les cornes des vaches captent l’énergie cosmique.
D’ailleurs, dans les manifestations actuelles, vous avez beaucoup de frères et sœurs qui sentent ces cornes et qui sentent ce disque solaire au-dessus de leur tête, d’ailleurs, on le voit. Ce n’est plus un canal comme le canal de lumière qu’il y avait au-dessus de la tête. Ça a pris une forme sphérique entourée par les deux points qui sont ici, sur la petite couronne de la tête, du chapeau de Bouddha, qui sont ces fameuses cordes célestes.
Le canal marial n’est rien d’autre que la perméabilisation de l’Antahkarana, et ce qu’on appelle l’ampoule de la clairaudience, qui sont générés par un point d’acupuncture, qui est ici, qui s’appelle d’ailleurs […], la porte de l’entendement, le 21e point du méridien triple réchauffeur, les médiums voient, quelqu’un qui entend, ils voient cette ampoule. L’ampoule de la clairaudience était horizontale ; quand il y a eu fécondation par l’information Lumière, c’est-à-dire la descente de l’Esprit Saint, la Shakti, comme on dit, qui a une polarité de lumière féminine, ça a orienté ce canal, cette ampoule de la clairaudience, vers le haut, afin que celle-ci capte d’autres informations que celles que nous avions habituellement sur Terre.
La première descente de l’Esprit Saint ou la première information Lumière, qui allait amener à la fin de la polarité, c’est-à-dire à la fin de la manifestation dans tous les mondes, s’est produite très précisément au mois d’août 1984. C’est là qu’ont commencé à apparaitre les sifflements d’oreilles, les sensations au niveau de la tête et c’est à la suite de cette ouverture de la tête que l’énergie Lumière, l’information Lumière, polarisée encore, a pu venir investir le corps, le canal médian de la colonne vertébrale. Donc, ce qu’on appelle le canal marial, c’est le lieu où les entités de Lumière pouvaient se manifester.
Sœur : Dans notre corps ?
Non, extérieurement d’abord. Dans les canalisations, par exemple, durant les noces célestes, où les gens qui venaient, ils voyaient parfaitement quand il y avait, beaucoup, Anaël qui était là, quand Anaël, qui descendait, ils voyaient l’archange tel que tu l’avais vu toi aussi, cette forme de deux mètres quarante de haut, très longiligne, sans pieds, comme une forme de Lumière avec une espèce de grosse tête vers le haut, comme ça. Ça, c’était encore une représentation de la manifestation jusqu’au moment où le canal marial, qui est au-dessus de l’oreille gauche, a fusionné en unité avec le point qui est ici, au-dessus du sein gauche, qu’on a appelé à l’époque la porte unité, qui est en résonance avec l’étoile unité et ce qu’on appelait Gemma Galgani.
Donc ça, c’était la première étape, vivre l’Unité, la non séparation, la non séparativité et à ce moment-là, il y a eu fusion de l’Antahkarana, de ces cornes célestes, qui s’appuient sur ces deux points ici, qui sont en rapport, je vous rappelle, avec ce qu’on appelle les Hayoth Ha Kodesh, les Kerubim de la Tradition, mais deux Kerubim spéciaux, il y en a quatre, bien sûr, celui qui est à gauche et celui qui est à droite, celui qui génère le triangle de l’air et celui qui génère le triangle de l’eau, qui est au-dessus de l’oreille droite.
L’eau, première matrice de vie, premier cristal liquide de la création, je ne vais pas refaire un cours sur l’eau, j’en ai suffisamment parlé, l’eau est une structure cristalline qui porte et qui véhicule l’information, et même celle du temps zéro. C’est pour ça que le premier rêve, et que le chant des baleines, et que l’eau est si importante aujourd’hui, vous le voyez quand vous vous baignez, que ce soit dans votre baignoire, dans un fleuve, dans une rivière, et je crois qu’hier Phahame en a reparlé, les eaux d’en haut se fusionnent maintenant avec les eaux d’en bas.
Les eaux d’en haut, c’est ce qu’on appelle – les eaux d’en haut et les eaux d’en bas – c’est ce qu’on appelle dans la Kabbale les Mayim, les eaux d’en haut c’est les mi, im, et les eaux d’en bas c’est ma, la matière, la matrice, la main, la manifestation ; les mi, c’est les eaux du mystère. Et quand les eaux du mystère, de l’invisible, de l’insondable, de l’inconnaissable, qu’on appelle Dieu, rencontrent les eaux d’en bas, dans ce corps, ici et maintenant, c’est la fin du mystère.
Le simulacre et le sacré, l’éternel et l’éphémère, ne sont que les deux versants de la même pièce, le côté pile et le côté face, qui aujourd’hui sont vus totalement. Et à ce moment-là, vous comprenez qu’il n’y a jamais eu de pièce.
Donc, ce que disait Nisargadatta en disant que, et ce que je dis, en disant que la conscience est une escroquerie, une maladie heureusement mortelle, c’est la Vérité. Mais nous avons été obligés de passer par toutes les formes de conscience pour le réactualiser, c’est-à-dire que nous avons rêvé, que ce rêve comme je l’ai dit, n’a ni temps ni espace, ondes scalaires, qui a permis tous les possibles des manifestations de la Lumière, c’est-à-dire de la sinusoïdale, tout simplement, et de l’alternance jour-nuit, mais aussi forme et non-forme, qu’on a même dans les autres dimensions, même si la forme n’est pas figée.
Un archange n’a pas du tout le même aspect quand il se manifeste dans sa forme, quand il fait irruption dans la 3D, il a la forme archétypielle vaguement humaine sans les pieds, bien sûr, parce qu’il n’a jamais été incarné, alors que en 5ème dimension, il a une représentation anthropomorphique totalement humaine, et que dans les autres dimensions, je vous l’avais dit, quand j’ai voyagé sous les ailes de Michaël, c’était l’équivalent d’un vaisseau, une espèce d’hirondelle de dix-huit mille kilomètres d’envergure.
C’est la vérité, mais cette vérité est relative, puisqu’elle est liée à une forme, à une manifestation.
C’est ce qu’on nous dit, d’où vient la Lumière, d’où vient la manifestation, elle vient du non-manifesté, c’est-à-dire de l’Incréé, et quand vous retrouvez l’Incréé en vous, vous faites comme Bidi, vous êtes obligés de constater que vous êtes Dieu, et que la seule différence entre celui qui le vit et celui qui ne le vit pas, c’est que l’autre ne le sait pas encore.
Or nous sommes au moment où l’ensemble de la création le vit. Et ça s’explique parfaitement.
Donc le Oui n’est pas l’inverse du non, ici, c’est un Oui à la Vie. Quand on dit L’Chaim, on trinque à la Vie, ce n’est pas à la vie opposée à la mort, tu vois ce n’est pas le oui qui s’oppose au non. Ce Oui crée l’ouverture, non pas seulement du champ ultime a-causal, puisqu’on le vit à travers le Feu du Cœur Sacré, le double tore, mais on traverse le double tore du moment initial de la création, pour s’apercevoir que c’est l’instant final et qu’on n’a fait que rêver. Il n’y a pas plus de cosmos que de beurre en broche, il n’y a pas plus d’étoiles que de planètes.
Et ça soulage.
(Rires)
C’est-à-dire qu’à ce moment-là quand on parle de Liberté, et ben on relâche toute tension, on accepte la vie telle qu’elle est, telle qu’elle se manifeste, sans rien demander, sans rien attendre, et on s’aperçoit de quoi, que tout est fluide et que tout est facile.
Sœur : Et lorsqu’on sera dans le paradis blanc, on ne verra plus rien, que du blanc, c’est tout…
Que du blanc, la forme disparaît.
Sœur : Ni planètes, ni plantes, ni arbres, ni rien du tout ?
Que du blanc.
Sœur : Et tu penses qu’on y sera tous ensemble ou progressivement les uns après les autres ? Comment…
(Rires)
Non, ce sera un moment collectif, c’est-à-dire…
Sœur : Ah ça c’est le flash solaire ?
C’est le flash solaire, le flash galactique.
Sœur : La… La stase donc…
Voilà. Le paradis blanc déclenche pour ce corps, il n’y a plus de conscience, donc le corps tombe en léthargie, pendant ces trois jours, on conscientisera la totalité de l’histoire de la création, pas seulement de notre histoire à nous, on verra réellement…
Sœur : On verra le film, il va passer devant nous ?
Le film il sera fini là, le paradis blanc ne survient que quand le film est passé. Mais c’est un rendez-vous qui est, qui concerne l’ensemble de la création, pas seulement cette Terre, sans ça, ça ne voudrait rien dire.
Sœur : C’est-à-dire, un extraterrestre pourrait pénétrer et venir s’allonger, finir, partir avec moi au paradis blanc…
(Rires)
Oui, tous les extraterrestres sont autour de la Terre, dans des vaisseaux, et d’ailleurs j’ai publié un dessin humoristique, grâce à Maurice qui avait un article, c’est : on arrivait d’un autre monde, la chanson de Téléphone, et il y a un dessin d’extraterrestres, il y a deux humains qui s’approchent des extraterrestres qui disent : alors vous venez nous sauver ? Ah non non non, on vient assister au spectacle… C’est un spectacle !
Sœur : mais ça les concerne, eux aussi.
Bien sûr, mais ça concerne toute la création, les bons comme les méchants, il n’y a pas de bons, il n’y a pas de méchants.
Sœur : Mais c’est fou, dès qu’on parle de ça, je regardai tout le monde, on a tous la banane jusque là, comme si on…
Ben oui, parce notre manifestation, notre cerveau est enfin content. On n’a plus besoin de l’énergie comme je l’ai dit, ni de la vibration, on est au temps zéro, comme disait Eynolwaden, texte que j’ai relu ce matin qui était passionnant, quand elle parle du sourire, c’est ça.
Ça veut dire qu’aujourd’hui, si vous vous forcez à sourire, vous allez vivre le temps zéro même si vous avez envie de pleurer, ouvrez vos lèvres, comme elle dit, Eynolwaden, laissez-le sourire fleurir, il n’a pas besoin de vous, quoiqu’il vous arrive, si vous souriez avant toute chose, vous êtes dans le Oui.
Et bien évidemment ça va s’expliquer aussi en neurosciences, quels sont les nerfs qui sont au niveau du tronc cérébral et qui permettent de sourire, vous allez libérer toutes les mémoires qui sont en regard du tronc cérébral, du cervelet et du quatrième ventricule, et vous allez être libres. Rien qu’en souriant.
Sœur : Oh oui, on sourit tout le temps.
(Commentaires et rires)
Le rire est manifesté, le sourire est non manifesté. Il se voit par sourire des lèvres, mais il n’est plus projeté, il est intérieur. C’est ce qui explique que Nisargadatta, dans tous ses entretiens, si vous regardez les vidéos, il avait toujours un sourire que certains appelaient narquois aux lèvres, non.
Et maintenant je comprends pourquoi quand j’étais médecin, quand les gens venaient me raconter leur histoire, et avant que je pose mes cristaux, parce que je soignais avec les cristaux, j’avais toujours le sourire aux lèvres. Je ne me moquais pas d’eux, ni rien, c’était évident, c’était la Joie, non pas d’écouter leurs souffrances ou leurs maladies, mais de savoir qu’on allait les remettre au temps zéro, j’ai quand même travaillé vingt-cinq ans avec les cristaux, donc je connais un petit peu, et c’est comme ça que ça se réalisait.
De même qu’on s’aperçoit qu’on était dans cette spontanéité de l’enfant qui gazouille avant deux, trois ans dès qu’il voit un regard, il sourit. Il ne se pose pas la question de savoir pourquoi il sourit.
Sœur : Il y a deux sourires énigmatiques qui sont quand même, en tout cas, un qui est le tableau le plus connu au monde, c’est la Mona Lisa quand même, et Léonard de Vinci, le Saint-Jean Baptiste aussi.
Oui, oui tout à fait. C’est pour ça que tout le monde est hypnotisé par le sourire de Mona Lisa, parce que c’est le sourire de la Vérité.
Sœur : Oui mais avant, quand tu rentrais dans le métro, en ayant le sourire, les gens te regardaient comme si tu étais un extraterrestre.
Aujourd’hui, tu rentres dans le métro en souriant, ils te lynchent. Ils sont tous devant leurs écrans…
Sœur : Non, ah non, ce n’est plus ça, ils sont tellement occupés avec leurs téléphones, ils ne te voient pas, ils ne te voient pas.
C’est ça. Ils ne te voient pas.
Sœur : Mais avant, j’avais peur de me retrouver dans un hôpital psychiatrique parce que les gens te regardaient : comment tu souriais, mais pourquoi tu souriais ?
Frère : Mais ça a changé maintenant.
Sœur : Oui, maintenant ils sont tous dans leurs téléphones portables, peut-être pour éviter…
Oui, ils sont sur écran, autrement dit, ils font écran. C’est ce qu’avait expliqué à l’époque Frère K sur la notion des écrans et des images.
Sœur : Voilà, exactement, et ben c’est ça.
Sœur : Alors c’est ça et plus on s’approche de la Vérité, et plus on a envie de s’éloigner de l’écran. Moi, l’éloignement de l’écran, ces derniers temps je le vis. Je tiens mon portable de moins en moins et si je lis, ou le plus souvent j’écoute, je ne supporte pas tellement regarder … l’écran.
Tout à fait. Mais c’est grâce à ce qu’on appelle les réseaux sociaux, qu’on a quand même réussi à diffuser la Bonne Nouvelle. D’ailleurs, Omraam Mikael Aivanhov, tout au début, je l’avais raconté, nous avait demandé de tout publié sur Internet. On disait : il est fou, il est fou ! Internet… Eh non, c’est justement grâce au simulacre, de ceux qui pensaient nous emmener dans l’asservissement, qu’on a découvert la Liberté.
Sœur : Ce sont les outils, c’est la diffusion.
Voilà. Et d’ailleurs, on dit souvent que Moïse était le premier geek de l’histoire, il a gravé les Tables de la Loi.
(Rires)
Sœur : Et c’est pour ça que maintenant, quand tu souris dans la rue, parce que ça peut arriver, et ben, c’est les enfants qui répondent le plus.
Exact.
Sœur : Et les chiens.
(Rires)
On a commencé à constater ça l’année dernière, quand il y a eu les absorptions des essences, quand on souriait à une caissière et que vraiment, la caissière qui est dans son truc le plus chiant qui soit, et vous regarde et sourit aussi. C’est fini.
Et là maintenant, le sourire et le Oui, c’est-à-dire quand vous allez rencontrer quelqu’un, si vous souriez avant toute chose, c’est fini. Vous allez lui balancer le champ scalaire sans aucune intention, c’est ça la bonne nouvelle.
Sœur : Ça neutralise instantanément toute agressivité potentielle chez l’autre.
Oui, chez l’autre, exactement.
Frère : Et tous les commerçants savent qu’il faut sourire quand …
Ah bien, c’est les techniques de marketing, c’est connu. Est-ce que tu as déjà acheté une voiture, à un marchand de voiture, qui fait la gueule ? Tu achètes le sourire avant d’acheter l’objet. C’est des techniques de marketing qui sont parfaitement connues, c’est d’une logique totalement …
Sœur : Dans les petits commerces, il y en a de plus en plus, enfin dans ma région, dans les petits commerces on voit de plus en plus d’autocollants sur la porte d’entrée, avec un émoticône avec un grand sourire. Mais, ce qui a aussi de drôle, c’est que le nouveau programme à la SNCF s’appelle Ouigo.
Or je vous rappelle que le oui en anglais dans la langue inversée, ça veut dire nous, we, oui, la prononciation. Vous savez quand vous prononcez un mot, ça prend une forme d’une onde sinusoïdale, c’est une fréquence électromagnétique.
Il y avait un monsieur qui s’appelait Thomas Thiss, qui est mort, qui canalisait les sons que vous entendez, mais moi j’ai vu des choses incroyables avec ce monsieur, c’est-à-dire quand il prononçait la lettre Aleph avec une certaine prononciation, sur l’oscilloscope qui enregistrait la fréquence de la voix, ça dessinait la lettre Aleph.
La lettre et le Verbe, vous avez Annick de Souzenelle, elle en a parlé en long, en large et en travers. Le Shin par exemple, c’est l’incarnation, valeur numérologique 300, le tracé de la lettre Shin, avec sa trinité, qui est le trident de Neptune en fait, nous renvoie à l’incarnation. Le Christ disait : je suis l’alpha et l’oméga. Aleph, première lettre de la création, symbole de la cristallisation de la vie. D’ailleurs, dans la représentation de la lettre Aleph ou Alpha, vous avez la double spirale de l’ADN, avec la main tendue vers le ciel, le Yod, et le pied qui marche sur le sol, le Kaf.
La main et le pied, la main, c’est ce qui se saisit, la manifestation, c’est les […], c’est avec ça qu’on crée, qu’on manifeste, qu’on écrit, c’est l’outil. Le pied, c’est ce qui prend appui au sol et qui se nourrit de l’électromagnétisme terrestre, qui est généré, on le sait très bien, l’électromagnétisme de la Terre est généré par le noyau cristallin de la Terre, qui est une structure cristalline, là où il y avait les matrices cristallines apportées par les mères généticiennes, qui étaient enfermées par la courbure de l’espace-temps.
Et je vous rappelle qu’il y a eu la libération du noyau cristallin de la Terre, il y a déjà huit ans, à peu près à cette époque d’ailleurs, donc il y a huit ans, en 2011. La libération du noyau de la Terre en 2011 a permis quelques mois plus tard l’apparition de l’Onde de Vie, pour ceux qui l’ont vécue, vous savez quand il y a les pieds qui chauffent, ça monte, qu’on ressent aujourd’hui avec une autre composante. C’est d’une logique mais imparable, il n’y a plus de mystère.
Oui.
Frère : Jean-Luc, j’avais remarqué et je t’en avais parlé, que le signe de l’infini, c’est un huit…
Huit couché.
Frère : Un huit couché, oui, mais c’est le son huit/oui et si on met un N devant, ça fait nuit, mais en une dizaine de langues.
Oui, oui, tu m’avais expliqué ça tout à l’heure.
Frère : Non, mais justement, là, je posais la question, mais là j’ai compris. Ou c’est oui ou c’est non-oui.
Ou c’est non, non-oui, oui.
Et à ce moment-là vous êtes dans la nuit, vous n’êtes pas dans l’infini.
Le oui est la réunion du fini et de l’infini. Quand l’infini, le fini rejoint l’infini, vous avez une figure très connue, qu’on a appelé le lemniscate sacré qui rejoint le cœur et la tête. C’est exactement la même chose, avec le retournement au niveau de la gorge. Ça s’est inscrit dans notre corps, bon ça j’ai été aidé, simplement par Annick de Souzenelle, quand on parle de symbolisme du corps humain, chaque partie du corps a une équivalence au niveau des archétypes.
Je vous avais dit à l’époque que j’avais reçu les noms, par exemple pour les noms des génies créateurs, c’est-à-dire la civilisation des triangles, qui permettaient de faire résonner un organe, par exemple, je ne l’ai plus en tête, c’est vieux, et puis ça ne sert plus à rien, mais par exemple, quand on disait Shama, c’est le génie de la vésicule biliaire. Quand je prononçais Shama à haute voix devant quelqu’un, la vésicule biliaire se vidait.
Et pour chaque organe il y avait un nom, par exemple pour les émotions, c’est Belkabalel. Quand vous prononcez Belkabalel, avec pas cette prononciation, une prononciation différente, vous libérez instantanément les émotions de la personne. Elles ne sont plus cristallisées. Ça je l’ai, c’est une chose que j’ai reçue il y a tente ans, trente-cinq ans, et tout ce cheminement en fait, tout ce qu’on a fait, même avec AD, c’est de reconstruire le corps d’Eternité, c’est-à-dire reconstruire la trame, le pont, comme disait Nisargadatta, ce qui est écrit sur mon tee shirt, le mental crée l’abîme, le cœur le traverse.
C’est le pont entre l’illusion et la Vérité. En fait, il n’y a pas plus d’illusion que de Vérité, il y a juste ce que nous sommes.
Et là la boucle est bouclée, l’alpha a rejoint l’oméga, mais à tous les niveaux, pas seulement au niveau de la manifestation, mais même au niveau de la compréhension, c’est le but de l’Intelligence de la Lumière, c’est de tout éclairer, non pas pour punir, même si ça brûle, mais pour la résilience.
Le ruban de Möbius, c’est le Lemniscate sacré, c’est cette structure particulière qui est responsable de l’allumage de la Merkaba inter-dimensionnelle, quand le cœur rejoint la tête, et je vous rappelle que dans la dynamique de la fusion des trois foyers, c’est-à-dire du sacrum, du pelvis, de la poitrine et de la tête, il y avait une structure particulière qui unissait le triangle de terre, Od, derrière, avec le cœur.
C’est le moment de la fin des mémoires, puisque toutes les mémoires dites karmiques sont engrammées dans le cervelet, comme l’avait dit Steiner, c’est la vérité, et quand le cœur prend la prééminence sur le cerveau, il y avait des douleurs très fortes sur le triangle de terre, avec un gros circuit qui passait par le canal médian de la colonne vertébrale et qui rentrait par Ki Ris Ti, par la cinquième dorsale, et c’est à ce moment-là qu’on a commencé à sentir de façon plus en plus nette ce qu’on appelle les ailes dans le dos.
Oui, on a tous des ailes, puisqu’on est tous des anges, avant de découvrir qu’on n’est rien de tout ça. Donc la fusion, la résonance plutôt que la fusion, la résonance aujourd’hui, on la retrouve dans les ondes scalaires. Il n’y a pas plus d’émetteur que de récepteur, il y a Un, et quand on vit le Un, ben on s’aperçoit qu’il n’y a rien, mais que le rien contient le tout.
C’est d’une logique, c’est très logique, et ça ne pouvait pas être autrement. Simplement cette logique-là, même si elle était comprise, puisque les ondes scalaires on les a découvertes il y a quand même un peu de temps, ne pouvait pas être vécue.
Aujourd’hui c’est vécu. L’univers est une vaste farce, il n’y a pas plus de super univers que de multivers, ça fait partie du rêve, c’est tout.
Et à ce moment-là, vous relâchez toute prétention, tout ego, tout corps de Lumière, toute Lumière, vous découvrez, effectivement comme ça a été dit, que vous êtes à l’origine de la Lumière.
La Lumière c’est une onde électromagnétique. Un rayonnement gamma, puisqu’on sait que la vraie lumière ce ne sont pas les photons, ce sont les rayonnements gamma, c’est aussi une onde électromagnétique, puisqu’elle se manifeste, elle traverse la matière de part en part, on nous dit. Les rayonnements cosmiques, c’est ce qu’ils font.
Mais d’où viennent ces rayonnements cosmiques ? Alors on a dit que ça venait d’Alcyone, que ça venait de Sagittaire A, du centre de la galaxie, du soleil, ce qu’on a appelé le triple rayonnement, le rayonnement de la Source, de l’Esprit Saint et de l’ultraviolet, qui venaient du soleil.
Ces trois rayonnements se sont réunis, en ton nom je réunis le trois en un, c’est ce que nous avons fait à l’époque, vous vous rappelez avec le yoga de l’Unité, c’est exactement la même chose.
Frère : Et c’est pour ça qu’on harmonise quelqu’un en faisant un grand huit comme ça devant, ou sur le côté ou tout autour ?
Oui, oui. Qu’est-ce que c’est que le Huit dans le tarot, c’est la Justice. C’est aussi une forme d’équilibre, mais pas la justice humaine qui est une parodie. Cette justice, au sens de rétablissement de la Vérité, qui rétablira toujours l’équilibre des polarités. Sans cela, il n’y aurait pas de polarités possibles.
Le zéro est à la base du un, est à la base de tout le déploiement du rêve ou de la manifestation si tu préfères. Tout ce qui est manifesté n’est qu’un rêve, quelle que soit la dimension. Et ça met fin à l’antagonisme du temps et l’espace, et c’est pour ça que, la bonne nouvelle, on la diffuse par résonance, et plus vous résonnerez, plus vous allez contacter des points de plus en plus apparemment lointains qui sont en vous, et vous allez vous apercevoir qu’effectivement toute la création est contenue dans le cœur du cœur, dans le point zéro.
Et aussi, la première manifestation, c’est le Feu du Cœur Sacré, comme on rembobine le film, ben le Feu du Cœur Sacré on l’a vécu depuis la fin de l’anomalie primaire, ça n’a rien à voir avec la couronne ascensionnelle, ni le chakra du cœur, c’est quelque chose qui est là.
Mais même ça comme je le dis depuis déjà de nombreuses années, il faut le traverser, pas l’annihiler, on a passé des années à le développer et à porter la conscience dessus, pour découvrir et vivre la supra conscience, mais il y a autre chose après la supra conscience.
Le Je suis est encore une manifestation. C’est pour ça que Nisargadatta, à la fin de la vie, il disait le Je suis est une escroquerie totale. Mais il concédait, et c’est effectivement vrai, pour la plupart des humains, il faut passer par le Je suis, avant de dépasser le Je suis.
Ne fixez rien, n’arrêtez rien. La seule façon de ne rien fixer et de ne rien arrêter, c’est de disparaître à soi-même et au soi, pour vivre la Vérité, et quand c’est vécu, la compréhension arrive.
Et là de la même façon pour les ondes scalaires, on entend parler d’ondes scalaires partout, et puis ce matin, j’ai réalisé qu’on nous parle de la même chose.
Frère : Et c’est pour ça, les vendeurs aussi évitent de faire dire non. Ils disent vous êtes monsieur untel, oui, et puis, au bout d’un certain nombre de oui, le client est dans la poche.
Bien sûr, bien sûr, c’est des techniques de marketing qui sont enseignées. Oui, tout à fait.
Sœur : Tu sais toutes les plaques d’ondes scalaires qu’ils vendent, elles sont programmées en plus…
En plus elles sont programmées, donc ce n’est pas une onde scalaire pure, puisqu’elle a une intention.
Sœur : Elle a une intention.
Elle a une intention. L’onde scalaire la plus pure n’est plus une spirale, c’est un trait, c’est une ligne droite. Or on sait que dans l’univers, la ligne droite n’existe pas. Eh oui, parce que s’il y a ligne droite, il n’y a plus de manifestation, il n’y a plus de polarité.
Mais il a fallu courber l’espace-temps, c’est-à-dire que le point dit de départ soit confondu avec le point dit d’arrivée, et envisager que c’était rond, pour avoir une perspective totale du trait. C’est exactement la même chose.
C’est magique quand même.
(Rires)
Sœur : Tu vois, tout se simplifie, quand même.
Ça se simplifie de plus en plus, oui. Et c’est à travers le chaos, comme ça a été dit, ça a été dit pendant des années que plus le chaos grandirait sur Terre, plus on serait en Joie. Ce n’est pas la joie de voir le chaos ni la destruction, parce que c’est vrai que n’importe qui, quand je vais à Paris, ben je vois cette souffrance, elle est tellement évidente. Mais je suis obligé de la vivre, non pas de l’arrêter, de la traverser aussi, pour voir que tout ça n’existe pas.
Mais néanmoins pour celui qui la vit, il la vit. Vous avez beau dire que la souffrance n’existe pas, celui qui est en souffrance il souffre.
Sœur : Il y a peut-être besoin de dépasser ça.
Voilà, il y a besoin d’acceptation. Aujourd’hui c’est beaucoup plus simplifié, ça veut dire que même si vous dites oui à ce qui se manifeste en vous et qui vous dérange, vous allez constater que ça va disparaître.
On parlait avec Leila ce matin, et j’ai d’autres exemples même ici parmi nous, de gens qui ont passé des étapes de leur vie, en état de dépression, en état de tristesse. Qu’est-ce qu’ils ont fait ? A un moment donné, ils ont décrété qu’ils étaient dans la joie. Et qu’est-ce qu’ils ont constaté ? C’est invariable, que la Joie est arrivée. Ça ne s’est pas fait en une minute, mais ça s’est fait.
Frère : Vaut mieux dire OK que KO.
Oui.
(Rires)
Et c’est magique, parce que là la compréhension qui est le vécu trouve aussi sa justification, à travers même les ondes scalaires, les sinusoïdales, à travers l’être et le non-être, à travers ce qu’on expérimente, mais aussi ce qu’on peut comprendre, au niveau de la biologie cellulaire. C’est pour ça que la silice, le silicium, le cristal de roche, est aussi la base du temps de la cellule.
Sœur : Est-ce qu’on pourrait expliquer, par la présence de cette onde scalaire, le fait que, une unité quantique, si on la sépare en deux, et on met la partie A dans un endroit et la partie B à des milliers de kilomètres de la partie A, lorsqu’un phénomène quelconque survient au point A, instantanément, il est dans point B. Donc c’est là, c’est cette onde scalaire quantique qui…
Ça s’explique par une onde scalaire. Exactement.
Sœur : Voilà, et fait vivre ça.
Il n’y a pas de temps, il n’y a pas d’espace.
Sœur : Et donc, c’est ce qui expliquerait peut-être, si j’ai bien compris, quand tu dis, quand tu penses à untel, instantanément, l’intention est là.
Exact.
Sœur : Ça nous touche instantanément. C’est cette onde scalaire qui vous lie l’un à l’autre, ou l’un qui est l’autre, ou l’un qui est en l’autre, c’est instantanément, la manifestation arrive, de l’intention.
C’est exactement ce qui est en train de se passer. Agapè, je n’ai plus besoin, je vous l’ai dit, l’année dernière, quand je faisais Agapè, il fallait que je me mette en posture, que je mette les mains, que je répète Agapè, Phahame, que je voyage ou que j’accueille, et tout ça comme Bidi me disait, jusqu’à se battre, il me disait, ça ne sert à rien, tu es fou…
Sœur : C’est comme des béquilles tout ça.
Il a fallu l’accepter, effectivement, il a fallu dans mon vécu que j’accepte, que je n’avais pas besoin de venir vous voir quand … ah, c’était fabuleux, on voyait mon corps de Lumière qui venait vous soigner, mais que je n’avais pas besoin de ça, je n’avais pas besoin de manifester, je n’avais pas besoin de le conscientiser, même si je pouvais tout voir, et c’est vrai que c’était passionnant, pour ceux qui l’ont vécu à ce moment-là.
Sœur : Même pour nous.
Ah oui, oui, évidemment. Mais, qu’est-ce que je constatais, c’est qu’au fur et à mesure que je rentrais dans ce corps de Lumière que j’empruntais pour aller vous soigner, mon corps ici de chair s’amenuisait, je perdais le contrôle de mes jambes. Donc, après m’être battu avec Bidi, c’est quand j’ai vu que, alerte, mon corps, ma vie, était en danger, que j’ai arrêté, que j’ai récupéré toutes les fonctions qui étaient en train de disparaître, et que le miracle a eu lieu.
Ce miracle-là n’est pas lié à moi, il est lié à chacun, puisque Abba est chacun. Et il n’y a pas d’autre façon de l’envisager. Si je disais c’est moi Abba et vous, vous n’êtes rien, je serais encore dans une erreur monumentale, il n’y a pas de différence entre chacun de nous.
Il y a une apparente différence, effectivement, et c’est pour ça que Bidi disait, la vie est apparue un jour, elle disparaîtra, mais vous, vous serez toujours là, c’est la stricte Vérité. Pas dans une forme, puisque vous êtes déjà toutes les formes.
Sœur : En tant qu’Abba, nous, en tant qu’Abba.
Comment ?
Sœur : Nous en tant qu’Abba, sans forme.
Oui, voilà. Et aujourd’hui le Oui suffit. C’est affreusement simple. Le Oui fait disjoncter le cerveau entre guillemets, c’est-à-dire le siège de l’individualité, aussi sûrement que la Lumière, aussi sûrement que les enthéogènes ou que les champs magnétiques.
Vous avez vu, ils ont découvert, je l’ai dit il y a peu de temps, une molécule qui s’appelle le crypto chrome qui re-synthétise un cerveau, une molécule qui va re-fabriquer un cerveau. Alors bien sûr, il y en a qui ont fait l’analogie avec la Kryptonite de Superman, qui est une pierre verte, qui est l’émeraude de Lucifer, tout simplement, la connaissance, qui n’est qu’une illusion, mais qu’il a fallu parcourir et vivre.
Sœur : Le surhomme, Superman.
Sœur : Et Lucifer lui aussi il va disparaître dans…
Mais il n’y a plus rien, rien n’existe. Les archanges aussi sont en nous, et la bonne nouvelle, c’est le flash de Lumière qu’on a appelé flash solaire ou flash galactique, le fameux paradis blanc, avec une acceptation, je vous l’ai dit, moi, quand je l’ai… Anaël me l’a fait vivre en ultra temporalité,, toutes les nuits j’appelais ma mère, parce que quand vous voyez votre forme disparaître, même quand vous faites de la spiritualité, de l’énergétique et que vous avez les chakras ouverts, quand vous voyez votre forme disparaître, ça vous fait tout drôle.
Donc, il y avait malgré tout une identification au corps, une identification à la matière, même si on n’était pas matérialiste, une identification à la manifestation, qui empêchait de trouver le mystère.
Or aujourd’hui le mystère est dans la manifestation, c’est-à-dire dans l’acceptation de ce qui est, ici et maintenant.
Et c’est plus que l’ici et maintenant, c’est un Oui, votre Oui parcourt l’espace et le temps, tous les espaces et tous les temps.
L’acceptation était effectivement accepter, accueillir, la résultante en est le Oui, il n’y a plus de mouvement, et quand vous le vivez, réellement, ben vous êtes dans cette insouciance comme on dit, de l’enfant.
Sœur : Moi je veux dire quelque chose.
Oui.
Sœur : Au fur et à mesure que tu parles, je me dis oui, oui, oui, et tout est… mais fluide, et ça me libère…
Ah oui, ça libère, bien sûr.
Sœur : Jean-Luc, est-ce que tu pourrais nous parler de ce Oui en conjonction de ce qui a été dit de novembre noir ?
Oui, c’est prévu, c’est le cas de le dire.
Je vous signale quand même qu’hier soir, après la canalisation de Phahame, et avant Abba qui parlait de novembre noir, donc le premier novembre, le Québec, qui est le phare de l’humanité, à Sherbrooke dans l’Estrie, pas très loin de là où on était, ils étaient dans le noir, et dans l’eau, et dans le vent.
Coupures d’électricité générale, inondations catastrophiques qui d’habitude n’ont lieu qu’au printemps à la fonte des neiges, l’eau a pénétré la terre, puisque ça a débordé, et le courant a été coupé. C’est d’une synchronicité totale maintenant dans ce qui est dit. Alors à l’époque, on nous disait : vous dites des choses, ce n’est pas arrivé. Et maintenant quand je vous dis qu’on relit des canas d’il y a cinq ans, d’il y a sept ans, on s’aperçoit que ça correspond à maintenant.
Comme les paroles de Nisargadatta qu’il a prononcées dans les années 70, 80, n’étaient pas pour son époque, mais étaient pour nous. Les paroles du Christ il y a deux mille ans, ou des autres prophètes, ont été pour nous, aujourd’hui. C’est l’homme qui en a fait des religions d’asservissement. Le Christ l’avait dit : ne faites pas de mes paroles une religion.
Sœur : Ça y est, on sait tout maintenant.
(Rires)
Sœurs : Oui… Oui… Oui…
Sœur : C’est vrai, elles ont dit qu’elles déclenchaient le oui avant la fin de la soirée, dans quelques heures…
Oui, oui, tout à fait.
C’est exactement ce qui s’est passé, l’eau par les pluies, a débordé, elle a envahi, vous savez que le Québec on l’appelle le phare de l’humanité, ce n’est pas pour rien, que la porte d’entrée dans l’Europe de ce phare et de cette information, qui n’est plus une information, qui est le champ scalaire du temps zéro, a pénétré par ce qu’on appelle le Portugal, la porte des Gaules. Et après la Bonne Nouvelle se diffuse dans toute l’Europe.
La preuve, en France, aujourd’hui, vous avez une tempête qui s’appelle Amélie qui balaye toute la France.
Sœur : Qui s’appelle comment ?
Amélie, elle s’appelle. Ame et lie, Ame Elie, c’est, c’est… le simulacre est merveilleux, quoi, il porte en lui le sacré bien sûr.
Il n’y a que ceux qui se croient dans le simulacre, dans ce qu’on appelle le satanisme, qui en fait comme ça a toujours été dit, servent aussi le plan, nécessairement. Personne ne peut être exclu du plan.
Sœur : C’est dans le Midi qu’il y a cette tempête.
Non, pas que dans le Midi, toute la France, ah oui, toute la France est concernée, depuis la Manche, la Normandie, le Limousin, le Centre France, le Sud-Ouest, le Sud-Est. Pépère avait toujours dit, OMA avait toujours dit que la France serait touchée au niveau élémentaire en dernier, et que la France serait à l’arrêt au niveau des grèves, des transports et de tout, ça c’est annoncé pour début décembre.
Sœur : Et le Maghreb, c’est quand ?
Le ?
Sœur : Le Maghreb ?
Alors le Maghreb est celui qui a porté le cœur et assumé le cœur, ce n’est pas pareil, tout le Maghreb, pas que la Tunisie, parce qu’on sait très bien, en tous cas moi je suis né dans ces pays-là, donc indépendamment de l’Islam, les maghrébins ont le cœur sur la main. Le problème c’est que leur cœur sur la main, il a été aveuglé par la religion.
Frère : Ils disent bonjour en mettant le cœur sur la main.
Bien sûr, Salam. Mais ils ont été altérés comme tout le monde, eux par leur religion, nous par la nôtre, parce que les religions ne sont qu’en enfermement. Quand dans les prophéties, de façon un peu ironique, on vous dit que la France est la fille aînée de l’Eglise, c’est avant tout la fille aînée de Satan, la preuve, regardez Macron. Là j’en ai parlé en 2016 avant qu’il ne soit élu, je vous avais dit ce qui allait se passer, vous avez donné votre consentement en votant Macron, vous avez donné votre consentement à l’antéchrist, maintenant il faut assumer.
Sœur : Et à la fois, regarde tous ces français qui sont là, parce qu’il y a beaucoup de français là, aujourd’hui, nous sommes presque tous français. Alors, alors, cette France alors, mais c’est tous les obscurs qui […], c’est toujours pareil.
Voilà. Comme je l’ai dit, on ne peut que constater, je n’y peux rien, c’est comme ça, c’est que partout où on se rend, après c’est le feu, les inondations les… c’est normal, puisqu’on a…
Sœur : Vous accélérez…
Oui, accélère, ou on dévoile plutôt. Et il y a effectivement une accélération du climat, du temps et des évènements. Même au niveau des lois, tout change. Regardez en Belgique, on est passé en Belgique, il y a eu trois jours de pluie, c’est la première fois qu’il y a une femme qui dirige le pays.
Quand on était arrivé au Québec, ils ont voté la loi, à la fois pour faire venir des français, et en même temps pour arrêter toute la captivité de tous les mammifères marins. Et les bélugas par exemple, ça y est, c’est fini, avant on allait voir les bélugas, là on est allé, à Tadoussac, maintenant on n’a plus le droit d’y aller, on les laisse tranquilles.
Sœur : Ah bon.
C’est fini.
Sœur : Ça c’est bien, ça.
La captivité des animaux, même en France, les animaux de cirque, les animaux sauvages, vont être interdits.
Sœur : Oh oui, ce n’est pas trop tôt.
Alors après, poussé à l’extrême, c’est le véganisme, mais ça c’est l’ironie de l’image en miroir de ceux qui sont encore dans la version.
Regardez en Algérie ce qui se passe aujourd’hui, ils appellent à la nouvelle révolution comme il y a soixante ans. Alors que pourtant, l’autre il est mort, eh ben non, ils disent non. Là il y a des millions de personnes dans les rues, au Chili ça continue, et ça va s’amplifier. Inconsciemment et peut-être de façon non fluide, mais ce n’est pas grave, il y a une revendication de la Liberté, même si les gens ne savent pas ce que c’est. C’est normal.
Sœur : Moi j‘ai une question, d’un frère qui n’est pas là depuis hier, Pierre qui dit : Pourquoi certains évènements ne se produiront pas pour toute l’humanité, ce questionnement m’est venu durant le satsang, Jean-Luc a dit que certains évènements ne se produiront pas pour toute l’humanité, qu’ensuite OMA a repris la même affirmation par deux fois.
Je n’ai pas compris ce que ça veut dire.
Sœur : Ben voilà.
Ça concerne toute l’humanité, mais pas seulement, ça concerne toute la création.
Sœur : Et bien, c’est la réponse.
Bien évidemment, chaque pays est marqué par des éléments, le Québec c’est le phare de l’humanité, le renversement si on coupe le courant, le Brésil est marqué par le feu, c’est un pays, un élément feu qui est très fort, la France qu’on a appelée le pays de la liberté, des lumières, des droits de l’homme, est exactement l’inverse aujourd’hui.
Donc chaque culture, chaque pays est marqué bien évidemment par une histoire, le Portugal, porte des Gaules, c’est là où aura lieu le premier Summit International, alors qu’on voulait faire ça à Malaga mais ça se passe à Lisbonne, parce que c’est l’entrée de la Lumière. Et dans mon périple que j’ai fait cette année, parce que avant on ne voyageait pas, j’avais commencé en septembre l’année dernière par le Maroc, on est retourné au Maroc en Avril, et là, où on termine l’année, on ne l’a pas décidé, au Québec, après être passé par le Portugal, et d’autres pays bien sûr, la Belgique, la Tunisie.
Je décide rien, moi, je vous l’ai toujours dit. Je suis ce qui est proposé. Et quand on voit le circuit qu’on a fait, bon, on a bouclé la boucle. Il y a une simultanéité et une concordance totales dans la manifestation du simulacre qui correspond au sacré. Et c’est a posteriori qu’on s’en rend compte. Tu vois. À partir du moment où tu laisses les choses se dérouler, donc se vivre, la compréhension vient juste derrière. Qui peut imager que j’aurais pu décider à l’avance de faire tel, c’est impossible, impossible.
C’est comme les canas. Est-ce que Jean-Luc Ayoun, tout seul, il aurait pu inventer les Étoiles, les Portes que tout le monde a vécu? Non, c’est mathématiquement impossible. Ça fait partie de ce qui était, c’est pour ça que je dis : tout est écrit. Vous avez juste à relâcher votre intention et votre désir et toutes les choses vont se produire comme elles doivent se produire. C’est aussi simple que ça.
Et pour la santé, c’est pareil. Si vous arrivez à foutre suffisamment la paix à votre corps, il n’y a aucune raison qu’il soit malade. D’ailleurs on sait bien que les fous, les vrais fous, ils ont jamais de cancer, jamais, jamais, jamais. Ils ont beaucoup de problèmes de peau parce qu’il y a un problème d’identification au moi peau, au sens de limite de la forme. Mais, ils n’ont pas de cancer. C’est impossible. Le fou n’a jamais de cancer. Ce qui prouve bien la pression du mental sur le corps, tant qu’on est identifié au corps. C’est pour ça que la première étape de Bidi quand il est venu casser AD en 2012, a été de mettre fin à l’identification au corps.
Il disait d’ailleurs : pas ce sac de viande, pendant des mois et des mois et des mois. Pas pour dire que c’était un sac de merde mais pour dire que même si on était à l’intérieur et que le corps est un temple, c’était néanmoins un sac de viande. Il n’y a pas d’antinomie entre ce corps sacré, dire que c’est un temple, effectivement parce qu’on est dedans et en même temps, c’est un sac de viande.
Sœur : Comment ça se fait qu’on a le sacrum qui se réveille encore en ce moment ?
Très très puissamment, surtout au niveau de la Porte qui est au-dessus du sacrum dont je ne me rappelle plus du nom. La charnière lombo-sacrée, d’ailleurs tu l’as vu, quand tu m’as vu, tu m’as dit qu’il y a un point ici. Effectivement, j’ai eu très mal au dos, alors, que j’ai jamais mal au dos d’habitude. Mais c’était à la pénétration d’une information du temps zéro. Vous savez que pour les Chinois, il y a le point le plus important de l’acupuncture est situé sous la deuxième vertèbre lombaire, c’est le quatrième point du vaisseau Gouverneur qui s’appelle le Ming Men, la Porte du mandat et la Porte de la destinée. C’est par là, disent les Chinois, que l’on passe du ciel antérieur au ciel postérieur. C’est-à-dire, de l’Incréé au Créé.
Et d’ailleurs, on le voit et on le constate à l’embryologie, quand vous avez un spermatozoïde qui féconde un ovule, il se multiplie, il forme ce qu’on appelle une morula, c’est-à-dire comme une espèce de petite mûre avec plein de cellules, et à un moment donné, ça s’agence en deux feuillets. Le point d’invagination, qui donne le troisième feuillet, c’est-à-dire, l’endoderme qui est responsable du tube digestif, système neural et tout, le mésoderme qui est entre la couche la plus superficielle qu’on appelle l’ectoderme, la peau. Ce point d’invagination survient à un jour extrêmement précis, à un moment extrêmement précis de l’embryologie, c’est le moment où le deux devient le trois.
Quand ce deux devient le trois, se fait mal, vous avez une maladie qu’on connaît qui s’appelle le spina bifida, l’ouverture de la moelle épinière en bas, occulta ou aperta, c’est-à-dire, fermé ou ouvert, l’os ne s’est pas refermé. C’est une anomalie très rare mais très grave, ce point-là, c’est ce point-là la Porte du mandat, la Porte de la destinée, c’est le lieu de passage du ciel antérieur, non manifesté à la manifestation ce qu’on appelle le ciel postérieur. Donc, c’est effectivement sous ce point au niveau de la Porte, si quelqu’un se rappelle le nom de la Porte qui est juste au-dessus du sacrum, j’ai oublié. Je sais que vous avez quatre points sur ce qu’on appelle le sacrum.
Et en analogie très marrante, il y a quatre points qui dessinent un losange et d’ailleurs ça s’appelle le triangle ou la fossette de Michaelis. Avant que les moyens modernes de surveillance de la grossesse existent, les obstétriciens sortaient un double décimètre et mesuraient l’écartement du bassin en mesurant l’espace entre les deux Portes latérales, dont j’ai oublié les noms, mais qui en acupuncture sont le […], la chambre du sang, qui sont les points d’équilibre de l’énergie et du sang au niveau de toute la sphère pelvienne. Alors, moi j’aimerais retrouver le point de la Porte qui est au-dessus, s’il y en a un à qui ça revient.
(Jean-Luc et le groupe recherchent le nom et l’emplacement des points au niveau du sacrum.)
Il faut regarder. Je sais qu’il y a Ici quelque part, je me demande si ce n’est pas Maintenant d’ailleurs, le point qui est au-dessus du sacrum. Oui, mais Hic et Nunc ne sont pas alignés de chaque côté. Je sais qu’il y a Hic d’un côté et que Nunc est au-dessus, je crois.
Sœur : Alors, est-ce que ça serait Nunc en haut ?
Ça serait Maintenant. C’est le moment, maintenant.
Sœur : Ce point-là…
Il est très fort, très puissant. Ce n’est pas le quatrième point du vaisseau Gouverneur, je crois que c’est le troisième point du vaisseau Gouverneur qui est à la charnière L-5 S-1. C’est la charnière L-5 S-1, vous savez qu’on a 33 vertèbres, les 33 degrés soient disant maçonniques, et que le sacrum c’est l’os sacré triangulaire qui pointe en bas. Là, le sacrum a été ébranlé, bien évidemment, et pas par l’Onde de Vie, c’est-à-dire avant on le sentant par l’Onde de Vie qui montait qui fusionnait sur les Portes ici de l’aine et qui venait au niveau du sacrum qui a réalisé l’alchimie de l’Unité.
Mais là on est un peu plus haut. On est à la limite du sacrum et de la cinquième lombaire, ça certainement, sûrement un symbolisme extrêmement important par rapport à ce qui se passe maintenant.
Frère : C’est pas Malkuth sur l’Arbre de Vie ?
C’est plutôt Yesod, c’est la fin de la réflexion, c’est-à-dire la fin du monde lunaire. D’ailleurs pour ça que ça été reprit dans le Coran, vous avez la prophétie de la lune fendue, ça été reprit par un des intervenants, je ne sais pas qui.
Sœur : La fin de l’illusion.
…la fin de l’illusion, la fin de la réflexion puisque la lune est liée à l’astral, à l’enfermement. Donc, ce qu’on s’aperçoit, le vécu entraîne une compréhension selon, bien évidemment, les systèmes que vous avez en vous. Ben, tout se relie, tout est résonant. C’est pas une reliance, c’est vraiment une résonance au sens vraiment physique du terme. D’ailleurs, l’onde scalaire est une résonance qui ne connaît pas la dualité. Donc, nous sommes bien antérieurs à la manifestation, nous sommes à la source de la Lumière, à la source de la conscience. Il n’y a personne. Mais pour ça, il a fallu rembobiner le film comme j’ai dit et retrouver le fil de l’histoire pendant qu’il n’y avait pas d’histoire.
Et ça c’est la Liberté. C’est pas une libération comme disait Nisargadatta. Même la notion de libération est une illusion. Alors, il disait au début dans les années 70, 75 jusqu’à l’année 80, il disait que ce n’est pas la personne qui est libérée mais c’est vous qui êtes libérés de la personne. Pour finir à la fin de sa vie, à dire que la libération est une escroquerie. Puisque la libération vous la vivez dans l’illusion, donc c’est aussi une illusion en définitive. Et il y a que le Oui. Ça me rappelle, un dessin hier, que j’ai adoré, que j’ai vu passé comme ça. C’est le Christ qui est sur un divan d’un psychanalyste et qui dit « J’ai décidé de faire une croix sur mon passé. ».
(Rires)
C’est exactement ça.
Frère : C’est comme une femme qui dit à son fils : Jésus, si tu ne ranges pas ta chambre, tu pourras faire une croix sur tes vacances de Pâques.
(Rires)
Autre chose à dire.
Frère : Oui. Hier, j’avais envie que tu nous parles de Clarté et Précision.
Oui.
Frère : Ce matin, il y a quelque chose qui est venue en relation avec ce point-là, le point Clarté, sur le plan biologique, à quoi ça correspond, en neurosciences ?
En neurosciences, alors, les points Clarté et Précision sont situés comme vous le savez de chaque côté, ici, à la jonction du lobe frontal et pariétal.
Frère : Oui.
Quand vous regardez la structure d’un crâne, bon toi tu connais ça mieux que moi. Bon, vous avez les fontanelles, bien sûr, qui se ferment à tel âge quand commence à apparaître le sentiment, commence à se poser la question d’être un individu, à dix-huit mois jusqu’à deux ans, trois ans. Les points Clarté et Précision, bon ça été défini au niveau des fonctions. La Clarté c’est le moment de l’éclairage. La Précision c’est ce que nous avons, nous sommes rentrés dans la matérialité, dans l’analyse, dans le vécu des Étoiles, des Portes pour s’apercevoir que même ça c’est ce qu’on a appelé la focalisation et maintenant, on défocalise.
C’est ce va et vient ente l’être et le Non-Être, tout simplement. Donc, au niveau neuroscientifique, je ne sais pas à quoi ça correspond. Effectivement, toutes les Étoiles correspondent à des zones précises. Clarté et Précision, je n’ai pas regardé, parce que les plus importantes c’est Attraction/Répulsion, Bien et Mal, et bien sûr Hic et Nunc, c’est-à-dire, IM et IS, puisque c’est là que se trouve le cortex moteur, le cortex sensitif, l’aire du langage aussi, l’aire de Wernicke et l’aire de Broca et tout le cortex sensitivomoteur, donc là, ça c’est très connu. Pareil pour OD. OD, vous êtes à la base du cervelet, vous êtes dans l’espace sous-tentoriel, vous êtes à la terminaison du quatrième ventricule qui lui est médian, qui est extrêmement importante.
Maintenant, je ne peux pas te spécifier, je n’ai plus ça en tête. Il faudra que je regarde. Mais, il y a une correspondance totale entre ce qu’on a appelé les Étoiles ou les douze potentiels spirituels, les douze corps, si tu préfères, et la structure même du cerveau et l’agencement même des réseaux neuronaux. Hier, on a parlé du siège de, du pseudo siège de l’individualité au niveau de l’épiphyse qui envoyait en permanence, on a dit, c’est deux neurones sont là et sont tout le temps actives, qu’ils vont dans le cortex préfrontal qui sont les zones, soi-disant, de la décision mais une décision n’est jamais libre.
Elle est toujours activée par le circuit de la punition, jusqu’au moment où vous décidez d’être plus dans le circuit de la récompense où vous dites, ça y est, à partir d’aujourd’hui, je ne serai plus jamais triste, et vous vivez la Joie. À ce moment-là, le circuit de la récompense prend le pas, l’ascendance sur le circuit de la punition. Vous ne pouvez plus vous juger et vous ne pouvez plus juger personne. C’est pas une morale. C’est quelque chose qui est totalement physiologique. C’est pas une conduite morale, c’est pas une ascèse. La morale, elle peut être intellectuelle ou elle peut être de fait, si je peux dire, par le vécu.
C’est pas du tout la même chose. Dans un cas, il y a une contrainte, il y a une difficulté, la morale mentale qui aboutit à toutes les errances, c’est-à-dire que, on a créé la justice pour obéir à la morale et aujourd’hui, on s’aperçoit que la justice est complètement immorale.
Frère : Tout à fait.
C’est l’inversion. Maintenant, sur Clarté et Précision, oui c’est important. D’ailleurs, on les sent encore les Étoiles aujourd’hui, bien sûr. Mais on n’a plus besoin de se focaliser dessus, ça se passe tout seul.
Sœur : Il s’est passé quelque chose l’autre fois quand on était à la table et on sortait de je ne sais pas quoi mais, je baignais dans cette, je ne sais pas comment appeler ça, dans le bain primordial…
Dans l’Éther Primordial.
Sœur : …dans l’Éther Primordial, enfin…
Le Paradis Blanc.
Sœur : Oui, c’était plutôt noir que blanc d’ailleurs. Et j’ai regardé une sœur et tout d’un coup, j’ai senti que, il y avait comme une focalisation. Tu vois, on parle de focalisation et défocalisation. Et là, ça se focalisait et l’Amour pour elle, était immense et hop, ça c’est défocaliser et je suis revenue dans le bain…
C’est la résonance. C’est plus une communication, t’as pas besoin de parler. C’est plus une relation. C’est ça la résonance.
Sœur : Mais j’ai vraiment eu le processus, que ça partait du grand, ça se focalisait sur elle et hop, ça revenait. Et tu sais, concentration et déconcentration. Mais ce n’était plus du tout une projection.
La projection met fin à la projection. Mais la projection était nécessaire. C’est comme l’apparition de la conscience.
Sœur : Oui.
L’impression d’être deux, d’être divisé, d’être séparé, …
Sœur : Oui.
…met fin d’elle-même à la séparation. Oui, puisque ça tourne en boucle.
Sœur : Mais il y avait quand même une forme de focalisation, défocalisation. C’était la résonance.
Mais c’est ce que fait quelqu’un pour les résonances Agapè, ceux qui ont compris, ben, je vais écrire un mail et bon, ils sont soignés. Ah ben non, je n’ai même plus besoin d’écrire, pas besoin de demander et aujourd’hui, je vous le dis, vous n’avez plus besoin de demander l’accord à quiconque. Dès l’instant où vous pensez à quelqu’un, vous le faites entrer en résonance avec le temps zéro. C’est-à-dire, qu’il est touché par l’onde scalaire et ça marche d’un bout à l’autre de la planète. Alors, bien sûr, quand on est à la table, ou quelqu’un en face de nous, c’est très proche, mais ce serait exactement la même à l’autre bout de la planète.
Quand j’ai voyagé d’ailleurs, l’année dernière quand je soignais en sortant de mon corps dans le Corps d’Éternité, je pouvais me rendre instantanément, il n’y avait pas de déplacement même si je sortais, comme je dis, chez n’importe qui à l’autre bout de la planète, mais c’était instantané. Il y a eu une fois une erreur d’aiguillage mais ça c’est pas grave. Mais autrement, j’étais toujours chez la bonne personne. Je ne me posais pas la question de comment ça se faisait, de savoir où elle habitait et comment elle était physiquement. Il y avait une résonance déjà à ce moment-là.
Finalement, j’avais établi une résonance mais je me suis servi de cette résonance pour la polarité, c’est là où c’était dangereux, c’est-à-dire que c’était extraordinaire à vivre mais je me servais de la résonance qui était instantanée pour manifester une présence et dévoiler ce qui était à dévoiler mais j’en payais les conséquences. C’était logique. Ce n’était pas une erreur, c’était un apprentissage, c’était une expérience. Mais c’est comme ça que j’ai réalisé, en acceptant ce que disait Bidi, parce que Bidi est plus têtu que moi encore, qu’il disait la Vérité. Quand quelqu’un me dit quelque chose qui est contraire, qu’est-ce que je fais? Je vérifie si c’est vrai, bien sûr, comme tout le monde.
J’ai un esprit d’analyse qui est là aussi. Comme j’ai dit, j’ai même plus un esprit scientifique que mystique. Maintenant, on s’aperçoit que le scientifique rejoint le mystique. Qui est le premier à avoir fait ça, c’est les physiciens.
Frère : Mais avant cela, il y a deux ou trois ans, je t’avais vu en balade comme ça et effectivement, sans pieds comme… brumeuse…
Ça c’est mon corps d’Elohim. Ça c’est mon corps originel, d’Altaïr, c’est un corps d’Elohim. Pas un archange. Moi, j’ai rien à voir avec les archanges même si je suis un archange. Mais les voies que j’ai empruntées, sont liées aux Elohim.
Frère : Tu étais en balade, c’est pour ça que je t’avais demandé si tu étais conscient de…
À l’époque ?
Frère : …à l’époque que tu voyageais. Quand tu m’avais répondu << Des fois, oui et des fois, non.>>
Des fois non, c’est pour ça quand j’étais médecin, des fois il y avait des gens qui arrivaient de l’autre bout de la planète parce qu’ils avaient entendu mon nom dans la nuit quoi. Je n’avais pas du tout conscience. Des gens même très connus, des acteurs et tout qui ont entendu à l’autre bout de la planète Ayoun Jean-Luc, va voir Ayoun Jean-Luc. Qui est Ayoun Jean-Luc ? Ce n’est pas moi. C’est l’Intelligence de la Lumière qui se manifestait dans ces moments-là. Mais je ne peux en faire ni un avantage ni une supériorité d’aucune sorte puisque je me suis reconnu dans chacun, réellement et concrètement.
D’ailleurs le Christ le disait, Maître Philippe disait la même chose quand on lui demandait comment il faisait ses miracles, c’est parce qu’il disait : je suis le plus petit d’entre vous. C’est le symbolisme du lavement des pieds, puisque le Christ lavait les pieds. Il n’y a pas de meilleur signe d’humilité que de laver les pieds de l’autre. C’est pas un signe de supériorité.
Frère : Et dans les neurosciences comment t’expliques les stigmates, par les neurosciences ?
Ça s’explique parfaitement. Par une croyance qui est tellement forte, un souhait, un désir intense d’identification. Tu sais, quand j’avais 33 ans, j’ai vécu la Passion du Christ. C’est tellement la foi en l’histoire du Christ. En plus j’étais incarné à ce moment-là même si j’étais totalement inconnu, j’étais un jeune enfant, à ce moment-là, un pré-adolescent, on va dire. Mais j’ai revécu, tous les vendredis, la Passion du Christ avec les odeurs saintes et les huiles saintes dans les mains, avec des odeurs mystiques de rose partout dans les pièces où j’étais. Je ne pouvais pas aller travailler le vendredi. Je savais que le soir, à partir de 20 heures le jeudi soir, je montais à quarante-et-un de fièvre et que ça allait durer jusqu’au vendredi midi.
Ça a duré des mois. À trente-trois ans… À trente-trois ans, c’était l’époque où je faisais une heure et demie de chapelet par jour. Ben je faisais le Rosaire entier, quoi. Donc, oui, il y a eu une histoire qui s’est racontée pour chacun d’ailleurs, qui a été vécue pour nous amener à ce point-là. On a été obligé de passer dans cette vie, qui est majeure et fondamentale, de repasser chacun selon son scénario et son script par des étapes qui étaient écrites. La seule liberté, c’est d’accepter que tout est écrit. Parce qu’à ce moment-là, il y a un relâchement total, tu suis ce qui est écrit. C’est la fluidité. Dès que tu rentres en résistance par rapport à ça, ben tu souffres.
Et le pire, c’est que tu as aucun moyen d’identifier d’où vient la souffrance jusqu’au moment où tu traverses la souffrance et là ça se révèle, pas avant. C’est pas une punition la souffrance.
Sœur : Il y a une sœur qui me demande, avec les transformations du soleil, solaires, quel est ton point de vue par rapport à prendre des vitamines, comme la vitamine D ou K2, par rapport à ce qui se passe avec le soleil.
Non. Oubliez toutes les vitamines et les molécules, ça on l’a déjà dit quand on parlait des champignons. La chose la plus fondamentale, c’est de rendre la sphéricité des cellules, c’est-à-dire d’alimenter la membrane cellulaire. Bon, on a parlé des champignons pendant longtemps, je ne vais pas en reparler. Quand vous avez une cellule dont la membrane est parfaitement fonctionnelle, la résonance va s’établir au niveau cellulaire, au niveau biologique, à tous les niveaux.
Sœur : Tout ce qui est complément…
Donc, si vous vous tenez tranquille et que vos cellules sont, elles aussi tranquilles, c’est-à-dire qu’elles fonctionnent sans résistance, parce que la membrane cellulaire est fonctionnelle, vous n’avez plus aucun souci. Il n’y a rien à se préserver, rien. De toute façon, la transformation du soleil, Ramatan en avait parlé dans Humanité en Devenir et par Séréti surtout, la transformation de notre soleil en géante rouge. Donc, qu’est-ce que vous voulez faire face à une géante rouge? Qu’est-ce que vous voulez faire par rapport au rayonnement gamma ?
Sœurs : On lâche tout.
Voilà. Occupez-vous de vos corps. Nourrissez-le avec les bonnes choses plutôt. Ne soyez pas trop obtus et trop rigides dans ce que vous faites. Mais à partir de là, il n’y a aucune raison que ça fonctionne de travers. Je vous l’ai dit. Moi, je le vois à travers mon propre corps. J’ai pas retrouvé, je vis une souplesse que j’avais pas même quand j’avais quinze ans. Pourtant, j’étais mince à quinze ans. Donc, tout s’est fait tout seul. Bien sûr, j’ai donné les bons carburants au bon moment par hasard et ça suffit. Et ça suffit.
Sœur : Merci.
Donc, plus vous êtes dans ce qu’on a appelé l’accueil, l’acceptation et plus vous dites Oui, plus vous allez être bien.
Sœur : Voilà. Oui.
Sœur : Même pour les vieux ?
Même pour les vieux ? Oui.
(Rires)
Sœur : Surtout pour les vieux. Rayons gamma. Mais il n’y a pas de vieux, là.
Ben, si vous avez votre âge que vous avez aujourd’hui pour vivre ça, c’est qu’il fallait que vous soyez dans ces conditions physiques pour le vivre. Et moi, il fallait que j’aie cet âge-là pour le vivre parce que tu m’aurais connu il y a trente ans, en bon bélier, je fonçais dans tout. Donc, il y a une maturité nécessaire pour certain, d’autre part qui est même indispensable pour vivre ce qui est à vivre dans les meilleurs conditions possibles. Donc, là aussi ça fait partie de l’Acceptation, du Oui et comme je l’ai dit et je le répète, quel que soit l’âge, à partir du moment où vous êtes dans l’Acceptation, vous acceptez d’être traversés, que vous mettez pas le besoin de comprendre devant.
Donc, vous êtes vraiment dans cet Accueil comme on a dit, Accueillir, Accueillir, Accueillir. Vous allez vivre le Oui et votre corps ne peut que se transformer. Il est informé par la Lumière.
Frère : On a dépassé l’âge d’espérance de vie, alors, on est veinard.
(Rires)
Frère : Et puis, on est sûr de ne plus se réincarner, alors, c’est quand même une bonne chance.
Ah voilà. Alors, le point qui est au niveau de L5-S1 (cinquième lombaire et première sacrum), c’est le point Clarté.
Sœur : Doris en avait parlé.
Donc, c’est l’éclairage total.
Frère : Le point comment ?
Le point qui est L5-S1, c’est la Porte Clarté, qui correspond à l’Étoile Clarté, ici au niveau de la tête.
Sœur : C’est Françoise qui…
C’est logique. C’est l’éclairage total.
Sœur : Merci Françoise !
C’est l’éclairage total.
Sœur : Elle le sait.
Donc, la clarté, ben on a l’explication maintenant, puisqu’il y a effectivement là aussi une résonance qui avait été expliquée entre les Étoiles et les Portes au-delà de toute personnification par celles qui ont porté les Étoiles. La Clarté se fait, tout est éclairé.
Sœur : C’est bien.
Frère : Et le sacro-iliaque alors ?
Le sacro-iliaque, c’est l’équilibre de l’énergie et du sang. C’est les Portes… Où est-ce qu’il est le téléphone ? Il y a Nunc, Ici d’un côté et l’autre, je ne sais plus. Alors, au-dessus, c’est Clarté, à gauche, sur la sacro-iliaque à gauche, c’est Nunc, Maintenant, et à droite, c’est Répulsion et Ici, c’est la pointe du sacrum, du coccyx, si vous préférez. C’est la même chose.
Mais Clarté, maintenant je comprends mieux, ça correspond à l’éclairage que l’on a en ce moment. Tout se révèle sans aucune difficulté. C’est aussi la révélation du simulacre. Les Élites, les […], l’escroquerie.
Sœur : Tout est clair.
Des religions, toute la prédation qu’ont exercé les religions et les mouvements spirituels aussi.
Sœur : Clarté ça vient avec la Transparence.
Oui, bien sûr. Plus tu es éclairé, plus ça devient transparent et moins il y a quelque chose à voir. Il y a que l’éclairage te donne à voir, tu focalises et après, c’est remplacé par quoi? Par le Paradis Blanc. Il y a plus rien. La clarté est telle qu’il n’y a plus rien à discerner. On sait très bien quand on éclaire violemment avec un flash, à un moment donné la lumière est tellement intense, qu’on voit plus ce qu’on éclaire. La focalisation entraîne la défocalisation, pour employer la terminologie que tu disais tout à l’heure, c’est à la fois l’impression de bouger vers l’extérieur mais ça se produit en même temps que le mouvement vers le dedans.
Bon, c’est comme ça que tu réalises que l’autre est en toi, vraiment. C’est ce que disait Christiane Singer : c’est incompréhensible, mais quand il y a plus rien, il y a tout et on est réellement les uns dans les autres. Même physiquement, même s’il y a l’apparence d’une distance. C’est pas uniquement l’Essence qui est commune, ou l’Unité, qui est commune.
Allez, on va peut-être arrêter là, on a fait une heure et demie.
Sœurs : Tout est clair.
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