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SATSANG 2 (Partie 2)
(Belgique)
17 Octobre 2019
Donc, il y en a qui ont encore des questions, je crois. Ou des choses à dire. Alors, allons-y. Qui veut parler, ou demander, ou dire quelque chose ?
Sœur : Moi, je voulais vous remercier, merci beaucoup […]
Sœur : Moi, je voulais dire qu’on n’a pas eu Phahame et pendant les chants, j’ai vraiment senti Phahame.
Oui, il y en a qui ont eu des dauphins.
Sœur : Les chants c’est… ils sont beaux.
(Silence)
Le Satsang du Silence.
Vas-y, Jean-Marc.
Frère : Je voulais dire, pour moi, cette session, c’est pour moi une plus grande leçon sur l’acceptation et […] Pendant qu’on était dans la visite de la grotte, j’ai senti, je ne peux pas dire pourquoi, peu importe, Omraam était en train de me faire une leçon sur l’acceptation et donc, il a insisté toute l’après-midi […] Moi, je ne comprenais pas trop où ça voulait en venir et puis, je me suis dit : il faut que j’accepte, il faut que j’accepte ce qui se passe […] les choses, quelque chose et là, il se passe quelque chose. Sans savoir le comment du pourquoi, ça me gênait un petit peu et je me suis dit : il faut que j’accepte.
Et puis, c’est le lendemain que ça m’a sauté à la tête, mais oui, c’est l’acceptation. J’avais un gros travail à faire sur l’acceptation. C’était ça qui me bloquait et bon, certains évènements du passé aussi qui me… j’avais l’impression d’avoir par moments un boulet accroché à la cheville, vu que ça aussi, il fallait que je l’accepte pour que ça se dissolve et que c’était la seule méthode pour arriver à dissoudre mes vieux attachements du passé.
Et dans ce que tu dis par rapport à OMA, ce qui est incroyable, c’est que depuis, on va dire un peu moins d’un an, quand OMA fait une canalisation, parce que maintenant, il en fait quasi systématiquement à chaque fois, il suit les gens après de façon incroyable.
Frère : […] Dans la nuit, il me suivait.
(Rires)
Ce n’est pas une blague. Par exemple au Portugal – pour prendre un exemple présent, où Jacqueline était là – notre organisatrice, Christina, qui est une forte femme très droite, très directe, après la rencontre, elle ne peut plus dormir, c’est-à-dire que toutes les nuits, il y a Bidi et OMA qui la tarabustent, lui donnent des trucs à faire sans arrêt. Elle bosse quinze heures par jour, c’est tous les jours, toutes les nuits, ils viennent lui dire : il faut faire ci, il faut faire ça, il faut faire ci. C’est incroyable.
C’est-à-dire, dès qu’il a eu un contact, même à distance, même les gens qui écoutent des fois OMA, d’autant plus pour les gens qui se lancent dans une idée, par exemple Christina fait partie de la fondation et ils l’ont obligée à faire des choses, c’est incroyable.
Et c’est toujours une surprise pour moi de voir qu’il y a des gens, même à distance, je le répète, mais surtout quand on est présents, pour les organisateurs ou les gens qui ont des idées derrière la tête qui vont dans le sens d’Agapè, ils sont toujours là à cravacher les gens, mais gentiment bien sûr, mais la nuit surtout. C’est surprenant, on vient leur dire : il faut faire ci, il faut faire ça, il faut faire ça.
Donc, on est vraiment aidé, comme disait Daniel, l’intelligence de la Lumière, oui, c’est ça, mais c’est impersonnel, c’est ce qui est là dès l’instant – et je vous assure que c’est comme ça, ce n’est pas pour… – dès qu’on est vraiment en acceptation, ils font irruption de toutes les manières possibles pour nous aider, c’est vraiment évident.
Il n’y a pas à rechercher de contact. Il y a des gens qui viendraient voir OMA, l’entendre, non, dès qu’il y a une personne, un individu qui, pour une raison ou pour une autre, personnelle, familiale, professionnelle, veut favoriser la bonne nouvelle, ils s’engouffrent dans la brèche et ils ne vous lâchent plus.
On le voit pour l’organisation des stages, même si on ne les entend pas, ils sont là, oui, effectivement. C’est tout à fait concret, surtout OMA et Bidi qui sont les deux intervenants, en ce moment, principaux, dans ce qui se joue.
Phahame, c’est différent, puisque les codes ont été mis dans l’eau, dans toutes les eaux et bon, tous les frères et sœurs qui ont été dans l’eau cet été, à côté de l’eau, dans les baignoires, dans les lacs, dans les rivières, dans les mers, dans les océans, on sent cela, c’est évident.
Le chant des baleines, je vous rappelle, a changé depuis le mois d’août 2019, à la fin des noces célestes, les scientifiques le savent.
Sœur : 2009.
Comment ?
Sœur : 2009.
Oui, oui, août 2009, à la fin des noces célestes, après le 15 août, le chant des baleines s’est profondément modifié. Or vous savez que le chant des baleines, ce sont, je vous l’ai expliqué brièvement, ce sont des protéodies, c’est-à-dire des fréquences qui impactent la matière et la conscience. Et comme elles l’ont dit, elles ont informé l’eau avec le souvenir, elles ont réveillé l’eau avec la mémoire du premier rêve.
L’eau, c’est du feu, de l’hydrogène et de l’oxygène. C’est la première matrice de vie bien sûr, puisqu’on dit même que l’eau est le premier cristal liquide de la création. Vous l’avez d’ailleurs dans la Bible, béréchit bara élohim ‘èt hachamayim vé’èt ha’arets, l’esprit de dieu flottait sur les eaux. L’eau miroir, l’eau réflexion, l’eau du mystère, l’eau d’en haut et l’eau d’en bas, et les baleines ont accompli un travail prodigieux. Quand on dit les baleines, vous savez qu’il y a beaucoup de sortes de baleines, ça concerne essentiellement les rorquals. Et vous savez qu’il y a beaucoup de baleines qui quittent ce plan en ce moment, elles sont toutes en disparition sauf une variété; ça je l’ai appris il y a peu de temps et ce n’est pas étonnant, c’est la baleine bleu.
La baleine bleue est un rorqual géant qui a… c’est le plus grand mammifère qui ait existé sur Terre, ça atteint jusqu’à cent soixante-dix tonnes pour trente-cinq mètres, c’est plus grand qu’un dinosaure. Et nous, on ne l’a pas vue au Saint-Laurent, les rorquals sont arrivés une semaine avant pour être avec nous, il y en avait une quarantaine. Ils n’avaient jamais vu ça. Et la baleine bleue, elle était un peu plus loin, il fallait plus de temps pour arriver, donc on n’a pas pu la voir.
Mais chez les indiens, chez qui on était – parce qu’on dormait chez les Innus, les autochtones là-bas, des peuples natifs – il y a une amie qui a interviewé, qui a fait une vidéo sur le chaman qu’elle a rencontré. Parce qu’elle, elle est restée plus longtemps là-bas. Et il lui a dit effectivement ça : quand on rencontre la baleine bleue, c’est quelque chose. Déjà, le rorqual, c’est bouleversant, quand on voit un rorqual, c’est quelque chose d’exceptionnel au niveau de ce qui se passe.
La dernière sortie qu’on a faite en mer, ce n’était pas à Tarifa, mais à Canet-en-Roussillon, on n’était pas un groupe comme nous, il y avait des enfants, il y avait des adultes, on était plus de quatre-vingts sur le bateau, les enfants jouaient, sautaient dans tous les sens, bien sûr, sur un immense catamaran, et dès que le rorqual a été annoncé et qu’on a vu le souffle de la baleine, tout le monde, un grand silence.
Il y a quelque chose qui se passe, c’est indéniable. Et la baleine bleue, ce que disait ce chaman qui avait rencontré la baleine bleue, lui, il disait qu’il n’y a rien qui peut atteindre le niveau, pas d’énergie, mais de conscience, totale, que le rorqual bleu. Et c’est la seule baleine qui n’est pas en disparition pour l’instant, puisqu’elle restera jusqu’au moment…
C’est un rorqual, pas le rorqual commun qui, lui, peut faire vingt tonnes, vingt-sept tonnes, c’est déjà énorme, quand on voit ça en mer, mais la baleine bleue, c’est un souffle qui est tellement puissant et son chant est tellement puissant que ça résonne de partout dans les eaux.
Pourquoi je disais ça, je ne sais pas, mais enfin bon, pour compléter ce que vous disiez. Donc, la baleine bleue, c’est la seule qui ne disparaît pas, c’est normal, c’est la dernière à disparaître. Toutes les autres, effectivement, sont en train de disparaître à grande vitesse. D’ailleurs, Phahame l’avait dit.
Donc, pour vous dire que la baleine, c’est vraiment les grandes mères, c’est nous à un autre moment, dans le premier rêve, même si le premier rêve n’était pas dans l’eau. L’eau n’était pas la même structure qu’aujourd’hui, c’était très éthéré, c’est ce qu’on appelle sur Terre, ce qu’on appelait la Pangée, c’est bien avant la Lémurie, ça fait partie du premier rêve de la création, le moment où les mères généticiennes, comme on a dit, ont apporté les matrices cristallines sur la Terre, qui ont permis d’organiser la vie, c’est-à-dire une vie consciente au sein de formes qui avaient la capacité de se déplacer. On marche, même si on ne vole pas, donc, un agencement du rêve très, très particulier. Voilà, par rapport aux baleines.
Mais les baleines nous ont donné le renseignement. Leur présence, leur chant, je l’ai dit, que même les scientifiques se sont aperçus de ces changements de fréquence, c’est devenu beaucoup plus grave, leurs sons, et ils se propagent beaucoup plus loin. C’est-à-dire qu’ils arrivent à faire le tour de la Terre, pas avec une seule baleine mais, en relayant, ils arrivent à parcourir toutes les eaux. D’ailleurs, Phahame l’avait dit et les scientifiques s’en sont aperçus, et comme par hasard, ça commençait juste après le 15 août, après la délivrance des clés Métatroniques, le fameux OD, ER, IM, IS, AL, que tu nous as chanté, voilà.
Autre chose.
Sœur : Jean-Luc, on pourrait dire que cette baleine bleue, alors, celle qui reste jusqu’au bout, ce serait une sorte d’ancrage, une sorte de…
Oui, je pense qu’elle est là pour clôturer la scène. Le souffle de la baleine, contrairement à ce qu’on pense, ce n’est pas de l’eau qui sort quand elle descend très profond, si tu veux, il y a une compression des poumons et quand elle remonte et elle souffle, c’est de l’huile qu’elle souffle.
Sœur : L’huile de krill.
L’huile de krill, exactement. Elle ne mange que du krill, un rorqual commun mange 5 tonnes de krill par jour. Il y a une fois, quelqu’un qui avait laissé un commentaire ou un message en disant, mais c’est honteux, vous allez manger tout le krill. C’est complètement stupide, puisque le krill représente dix pour cent de la bio masse planétaire, c’est-à-dire, de tous les systèmes vivants qui existent sur Terre, le krill, cette minuscule crevette, c’est dix pour cent de la biomasse.
Une chose aussi que ceux qui ont vu les rorquals ont constatée : il peut y avoir un fleuve, bon le St-Laurent, ou une mer agitée, quand le rorqual, et même en profondeur, en plongée, la surface de l’eau là où il est en profondeur, même si c’est plusieurs centaines de mètres, est parfaitement calme, c’est impressionnant.
C’est comme ça qu’on les repère quand on est très proche, ce n’est pas le souffle, on voit une nappe d’huile sur l’eau qui est comme cristallisée, c’est-à-dire qu’il peut y avoir des vagues autour, mais l’endroit où est le rorqual, même à plusieurs centaines de mètres, génère ça à la superficie.
C’est vraiment quelque chose de stupéfiant, quoi, il n’y a pas d’autre mot. La baleine n’a rien a voir avec le dauphin. Le dauphin, bon c’est Sirius, mais la baleine, c’est ancestral, c’est vraiment, je parle de ce qu’on appelle les engouffreurs, parce que vous avez des fausses baleines, bon, ce qu’on appelle le globicéphale, par exemple, ce n’est pas une vraie baleine. Ça a des dents, ça mange les baleines, ce qu’on appelle la baleine communément. Le rorqual est un engouffreur, c’est-à-dire qu’il n’a pas de dents, il passe sa vie à engouffrer de l’eau, là où il y a le krill qui reste pris dans son fanon, et qui sont avalés, cinq tonnes par jour.
Donc, elle régule beaucoup de choses et ça, c’est quelque chose que même les scientifiques, aujourd’hui, commencent à comprendre. Puisque, par exemple, on s’est aperçu que quand les baleines, leur chant, le chant du rorqual, c’était une protéodie, c’est-à-dire que c’était des harmoniques et des fréquences qui agissaient sur le vivant complètement, pas uniquement dans l’eau et ça, c’est prouvé. C’est quelque chose qui est parfaitement prouvé et je pense que la notion de masse, là, matérielle, c’est-à-dire que, pour le rorqual, je vous l’ai dit, un rorqual commun, ça va de quinze, vingt tonnes à vingt-sept tonnes, ce n’est pas rien, et c’est des animaux, comme on dit, des animaux, mais qui, je vous le rappelle, le cœur du rorqual commun fait deux cents kilos.
Donc, vous imaginez bien que le chant de cohérence cardiaque que nous, on appelle le double tore, est absolument gigantesque. Notre cœur, je ne sais même plus combien il pèse, mais ça doit être 200g, le cœur de la baleine est mille fois plus important et donc, le champ électro-magnétique qui est émis par la baleine est, lui aussi, mille fois, minimum, plus important.
Vous savez que le champ électromagnétique le plus puissant, c’est celui du cœur. Vous savez qu’aujourd’hui, on parle que le cœur n’est pas uniquement cette pompe puisqu’il y a des neurones. Il y a quarante mille neurones dans le cœur et quand on dit, nous, que le mental doit laisser la place au cœur, c’est effectivement quelque chose de très concret, ce n’est pas une vue de l’esprit. C’est-à-dire que les organes de contrôle qui vont contrôler le rythme cardiaque par les nerfs qui arrivent jusqu’au cœur, au niveau de l’arrière des oreillettes, au moment où vous devenez autonome, ce qu’on appelle la rupture du péricarde de l’enfermement du cœur, à ce moment-là, le cerveau du cœur prend le relais sur votre cerveau.
C’est ça qu’on appelle devenir, sortir du mental, sortir de la personne, retrouver le cœur du cœur, c’est rien d’autre que briser l’enfermement du péricarde, quelque chose qui est connu aussi en ostéopathie, et rendre la liberté au cœur.
C’est quelque chose de très concret, comme les processus mystiques, je vous l’ai dit, sont aussi repérés dans le cerveau, les processus d’ouverture du cœur et de manifestations de l’infini présence, Shantinilaya, de la Présence et de l’absence, toute cette terminologie qu’on a employée, si vous voulez, correspond à une réalité biochimique, organique, cellulaire. Quarante mille neurones dans le cœur et, c’est l’instant effectivement où vous découvrez que vous n’êtes pas le mental, que vous n’êtes pas cette personne.
Il y a la rupture du mythe d’individualité, qu’on appelle le mythe d’immortalité, qui est situé au niveau de l’épiphyse, le fameux troisième œil, il y a une coquille autour, c’est quand vous avez fait poum, poum, poum, on a brisé ça et après, l’information Lumière.
Bien évidemment, c’est le processus qu’on a suivi avec Autres Dimensions, avec la descente de l’Esprit Saint en 84. C’est cette Lumière qui est descendue, qui a perforé la gaine des chakras, qui est arrivée jusqu’au cœur. C’est exactement la même chose et ce n’est pas quelque chose qui se passe seulement dans l’énergie, ça se passe dans la matière et pas ailleurs.
Frère : […] physiquement, le péricarde […] l’enveloppe du cœur.
Oui, l’enveloppe du cœur, […] ce qu’on appelle le méridien maître du cœur, est d’abord lié au sixième chakra, c’est-à-dire à l’enfermement, c’est le troisième œil luciférien, c’est tout ce qui est… les visions, c’est-à-dire tout ce qui est projection de conscience dans le rêve, est issu de ce troisième œil. C’est pour ça que depuis un an, on insiste lourdement sur arrêter avec les visions, ça ne veut pas dire de les bloquer, mais il faut passer aussi à travers.
Ça fait partie aussi de l’acceptation. Parce que pour des êtres qui sont dans l’énergétique, dans la spiritualité, c’est très dur de lâcher l’énergie ou de lâcher les vibrations, ou de lâcher les visions et surtout si elles sont justes. Parce que dans l’Absolu, il n’y a pas de visions, il n’y a pas de forme, il n’y a rien.
C’est exactement ce que vous a décrit, par exemple, le docteur Eben Alexander et que décrivent tous les gens qui le vivent, ce fameux trou noir donc, qui peut faire encore très peur à beaucoup. C’est notre demeure. Tout le reste, c’est du rêve. Sans exception.
Ça, c’est inscrit dans la biologie, c’est inscrit dans la conscience et c’est ce que je vous dis, quand j’ai vérifié que l’Absolu est la seule Vérité, ce n’est pas un concept, c’est même pas l’explication scientifique que j’ai maintenant, c’est le vécu. C’est-à-dire – et aujourd’hui, il n’y a plus besoin de sortir, d’aller parcourir toutes les dimensions, pour le vivre – c’est l’acceptation, comme tu disais, c’est le silence.
Si vous êtes capables de faire le silence deux minutes, le vrai Silence, vous êtes libres, sans rien demander. C’est réellement ce qui se produit aujourd’hui et donc, la seule façon d’être libre. On rejoint ce que tu disais, à part l’acceptation, parce que l’acceptation est thérapeutique.
On nous a toujours appris, surtout au vingtième siècle, on nous dit : il faut exprimer les émotions, il faut trouver les causes. Oui, on l’a fait en médecine, on l’a fait en psychologie, on l’a fait dans les mémoires, dans les décodages mémoriels, mais ça ne sert à rien, ça fait partie de l’illusion luciférienne et ça entretient le rêve. Sortir du rêve, c’est accepter que tout est un rêve et que seul l’immuable qui est immobile, le Tao comme disent les Chinois, ou chez les Soufis, celui qui tourne et qui est immobile au centre, c’est la même chose.
Par exemple, il y a trente, quarante ans, je travaillais avec le docteur Donnars, on déclenchait des transes, c’est-à-dire, on faisait tourner les gens sur eux-mêmes, un peu comme les Soufis pour les libérer de leur enkystement au sein de leur personnalité.
Alors bien évidemment, on n’allait pas jusqu’à Agapè parce que, à l’époque, c’était impossible. Je vous rappelle que Agapè, cet état d’Absolu, il n’y a pas beaucoup de gens qui l’ont vécu. À part Nisargadatta, Ma Ananda Moyi, même le Christ ne l’a pas vécu, parce que ce n’était pas possible.
Et là, maintenant, c’est possible pour tout le monde mais, il y a tous ces conditionnements, toutes ces habitudes de fonctionnement, toutes ces énergies. L’énergie n’est ni bonne, ni mauvaise mais elle est inscrite dans la matrice, dans le rêve et elle appartient à ce que l’on appelle l’illusion luciférienne qui n’a été que de projeter la conscience afin de l’enfermer dans ce qu’on appelle des boucles temporelles, des boucles mémorielles, des boucles karmiques qui n’ont aucun espace de solutionnement.
D’ailleurs, même dans le Bouddhisme tibétain originel, dans le Vajrayana par exemple, le lama Anagarika Govinda expliquait bien qu’il n’y avait que l’Occidental qui était suffisamment fou pour penser qu’il devait payer toutes les actions et réactions de toutes ses vies passées. C’est une hérésie, mais on est tellement habitué par les lois de ce monde à vivre dans la dualité que c’est impossible d’y échapper. Aujourd’hui, oui, malgré la présence encore de cette dualité.
Frère : Au sujet du percement de l’enveloppe du cœur, est-ce que c’est Mikhaël qui perce l’enveloppe du cœur parce que, il y a quelques années, dans la nuit, j’ai failli mourir.
Il y a eu plusieurs percements de cœur, ce qu’on appelle la transfixion d’Amour dans le catholicisme, c’est, si tu veux la […] qui est parfaitement décrit, c’est la flèche qui est décrochée dans le cœur, effectivement, par l’archange Mikhaël, mais il y a eu aussi l’impulsion métatronique qui est arrivée par derrière, par la cinquième dorsale, entre les ailes au niveau de Ki Ris Ti, donc, et le Christ aussi, la porte Ki Ris Ti. Donc, ce transpercement a eu lieu à de nombreuses reprises, d’avant en arrière et d’arrière en avant.
C’est ça qui a, un petit peu comme… à l’image de la ionosphère et les trois couches isolantes du système solaire, magnétosphère, ionosphère et héliosphère qui ont été perforées progressivement depuis les noces célestes pour laisser passer la Lumière, mais même ça n’a pas suffi, puisqu’il y avait la ceinture de Van Allen qui reflétait à l’infini en miroir tous les archétypes pour les enfermer, eux aussi.
Donc, c’est ça qui est à comprendre et c’est ça qui est à vivre. C’est-à-dire que tant que vous suivez un archétype, même le plus prestigieux, par la dévotion, par la ferveur, par la prière, même par le contact, vous ne pouvez pas être libres du fait des circonstances de ce monde.
Et ces êtres n’y étaient pour rien, ils ont été des saints, réellement, mais ça ne suffisait pas, parce que la sainteté se définit par rapport à ce monde, des pouvoirs mystiques, à des manifestations plus ou moins extraordinaires, mais aucune manifestation, même la plus extraordinaire qui soit, ne vous permet de comprendre que tout ceci est un rêve.
L’acceptation, comme on dit, ce n’est pas seulement l’acceptation de son passé, l’acceptation de ses blessures, l’acceptation de son tempérament, de sa personnalité, c’est aussi l’acceptation que tout ceci n’a aucune réalité. C’est la seule façon d’être libre, surtout aujourd’hui. Rappelez-vous ce que je disais tout à l’heure, tous les processus vibratoires que beaucoup ont vécus et qui ont été développés par AD et par d’autres voies aussi, ont été l’étape intermédiaire.
La finalité, personne ne pouvait la connaître, même pas les anciens, même pas Ma Ananda Moyi, même pas Peter Deunov, même pas Bernard de Montréal parce que ça ne devait pas être connu jusqu’au moment où les conditions seraient réunies.
Les conditions réunies, ça a été la libération de la Terre en 2011, c’est vieux, ça fait huit ans, mais il fallait aboutir à un certain nombre de gens qui vivaient le Soi pour libérer cet Absolu, pas seulement pour quelques individus, comme c’était le cas en 2012, par l’onde de Vie, mais que ce soit vraiment l’information que j’appelle la Bonne Nouvelle du temps zéro. L’information du temps zéro, qui soit accessible à tout un chacun.
Il n’y a pas de rétribution, il n’y a pas de karma, il n’y a pas de faute, il n’y a pas d’erreur, quoi qu’on en pense, quoi qu’on en vive. Tout cela n’existe pas et comme le petit texte, les trois lignes que je vous ai lues, de Jean Klein qui apparemment vivait l’Absolu en 1950, mais lui n’était pas connu, il n’a pas laissé de grandes traces comme aujourd’hui Nisadagatta qui est certainement le plus grand, le plus grand être qui ait parcouru cette Terre, il n’a pas créé de religion, il n’a a pas créé de mouvement, il n’a rien créé, il n’a jamais rien écrit à part quelques poèmes quand il était jeune, il a laissé uniquement ses entretiens.
Mais tout ça a été des jalons, même les religions, même tous les saints qui sont passés, ils n’ont pu vivre que sa sainteté, mais aucun ne vous a dit que tout cela était une illusion. Or aujourd’hui, tout le monde peut le vivre. Or vous ne pouvez pas échapper à l’illusion, c’est en acceptant de vivre l’illusion et en sachant qu’elle est une illusion, que vous sortez de l’illusion, pas autrement. Tout ce à quoi vous tenez vous tient, c’est une loi fondamentale. Tout ce à quoi vous vous opposez, se renforce et ça, c’est une loi neuroscientifique, c’est ni mystique, ni spirituel, ni énergétique.
Et ça fait son chemin, parce qu’il n’y a rien à comprendre, même si on a les explications scientifiques. Encore une fois, ce n’est pas parce que vous le savez, ce n’est pas parce que vous l’avez démontré, ce n’est pas parce que c’est connu, que ça se réalise, c’est parce que vous le vivez. Et il n’y a pas d’autre choix possible et ça ne change rien. Il faut bien comprendre, c’est ce que je dis tout le temps, ce que j’ai dit au Québec, vous savez, je ne suis ni un maître, ni quoi que ce soit, je suis le même que chacun de vous.
Comme disait Bidi de son vivant, la seule différence entre vous et moi, c’est que moi je sais que je suis Dieu, vous, vous ne le savez pas encore. Dans ça, il y a Dieu au sens où tout le monde peut le penser, dans l’abstraction, mais il n’y a pas de créateur, il n’y a pas de créature, tout ça n’est qu’un rêve. Et bien évidemment, comme disait Bidi, tant que vous examinez ce qui se passe dans la prison, vous ne pouvez pas savoir qu’il y a quelque chose en dehors de la prison. Le poisson qui est dans son aquarium, ne sait pas qu’il y a autre chose que l’aquarium, puisqu’il n’a connu que ça.
Autre chose.
Sœur : Les maîtres Soufis disent aussi que ce monde est un rêve et nous rêvons.
Oui, mais est-ce qu’ils le vivent ? Certainement, oui. Ce que je peux dire pour en avoir approché quelques uns, c’est qu’ils vivent le Soi, ils sont dans la dévotion, ils sont dans le Soi, mais ils le disent aussi, les neuroscientifiques aussi, les physiciens aussi, vous disent aujourd’hui, concrètement : on est dans une simulation informatique.
Comme disait Keanu Reeves, le film Matrix, ce n’est pas un film, c’est un documentaire, c’est exactement ça. Et il disait dans Matrix, rappelez-vous, ce que disait à Néo le chauve, j’ai oublié son nom, il disait : ils vont tout faire pour sauvegarder cette Matrix, parce qu’ils ne connaissent pas la Vérité, ils vont tout faire pour la préserver.
C’est aussi ce que vous avez dans l’allegorie, la caverne de Platon, les gens qui ne regardent pas la Lumière qui est derrière, qui vient éclairer, mais leur ombre sur le fond de la grotte. Un jour, il y en a un qui se retourne et puis, qu’est-ce qu’il fait, il dit aux autres : retournez-vous. Les autres ne veulent pas se retourner et puis après, il y en a un qui sort de la caverne et dit : il n’y a pas de caverne. Mais celui-là, il se fait lincher, nécessairement.
Le grand avantage qu’il y a aujourd’hui, ça ne pouvait que se passer que comme ça, c’est que l’humanité, l’humain – on parle vraiment de l’humain, nous tous – est à la fois à l’origine et à la fin de la création.
Quand je dis que nous avons tout vécu, oui, c’est la vérité. Nous n’avons pas besoin de nous le rappeler, nous avons simplement à l’accepter, là aussi, et c’est vraiment tellement simple. C’est-à-dire que c’est un mécanisme neurophysiologique, biochimique, énergétique et spirituel total.
Ça passe par la compréhension que – et en le vivant, bien sûr – que tous ces guides, tous ces dieux, tous ces maîtres, tous ces gourous, même s’ils ont été utiles à une étape, ne peuvent nous amener en la Vérité.
La Vérité n’est pas de ce monde, donc, comment imaginer trouver une solution dans quelque chose qui n’a aucune réalité ? Aucune. La seule façon d’en sortir, c’est de le vivre et aujourd’hui, ce serait facile, on n’a pas besoin de le vivre en sortant du corps, de vivre l’onde de Vie ou toutes les couronnes, simplement en l’acceptant. Ce n’est pas un jeu de mots, c’est la stricte vérité.
Accepter l’inconnu, c’est révéler l’inconnu. Or bien évidemment, quand il y a des visions du trou noir, rappelez-vous ce que je disais, la conscience ne peut pas accepter qu’elle n’existe pas. L’ego, en psychologie, on parle du moi-peau, c’est-à-dire, on est limité par une forme, on croit être ce corps.
La première partie de l’enseignement de Bidi, c’était la réfutation.Vous n’êtes pas ce sac de viande, vous n’êtes pas ce corps. C’était la première étape, désenkystement, c’est-à-dire, créer l’observateur, celui qui est le témoin, qui voit. Aujourd’hui, personne n’a de problème avec le mental, même quand il a des problèmes mentaux, puisqu’il dit qu’il voit son mental.
Je vous garantis, pour ceux qui se rappellent à l’époque […] personne ne comprenait ce que ça voulait dire. Tout le monde était identifié à son propre mental, au petit vélo, comme disait OMA. Maintenant, même celui qui n’a jamais entendu parler d’énergies ou de quoi que ce soit, globalement, au niveau collectif, on est capable de voir notre mental, même si on y est encore soumis, c’est ça la grande différence. Avant, l’identification était – en ce monde – réelle, mais qui n’a aucune substance.
Et ça crée un allègement, ça crée un relâchement, qui permet à la Lumière de pénétrer. Heureux les fêlés, la Lumière pénétrera.
Attends, attends, sans ça, les traducteurs, ils vont m’incendier.
Sœur : Quand tu parles justement de… heu…
Du mental.
Sœur : Non, attends, attends. Quand tu parles justement de… j’entends bien quand tu dis que tout ceci n’est qu’une illusion, etc.…, mais si on n’arrive pas à le comprendre, tu vois ce que je veux dire.
Tu ne peux pas le comprendre.
Sœur : Voilà, c’est ça.
Encore une fois, la compréhension est le vécu et même si tu ne le vis pas, il te suffit de l’accepter, honnêtement, sincèrement. Tu n’as aucun moyen de le prouver, si ce n’est en l’acceptant. On tourne vraiment dans le nœud, je dirais, du problème, quand on dit que l’acceptation est la clef et que Jean-Marc me dit que Pépère lui a montré ça, c’est évident.
Aujourd’hui, l’anomalie primaire n’existe plus, je ne vais pas revenir sur ce qui s’est passé l’année derrière, où était logée cette anomalie primaire au niveau énergétique, c’était très simple et c’était invisible jusqu’à présent. Dans tous les temps où je suis sorti en conscience nue, je voyais tout, mais vraiment tout, toutes les structures énergétiques, subtiles, auras, pas dans mon corps là, mais en-dehors, et les gens me voyaient aussi dans le corps de Lumière, et je prenais le corps de Lumière que je voulais, je pouvais être le Christ, je pouvais être Torr, je pouvais être Bouddha, c’est comme si je revêtais un costume, et ce n’était qu’un costume.
Ce corps, c’est un costume. C’est un temple, oui, parce que c’est à l’intérieur, donc c’est un temple, mais c’est aussi un sac de viande. Il n’y a pas d’antinomie. Et le problème, c’est que dans ce moi-peau qu’on appelle pseudo-individualité, l’ego, mais pas au sens péjoratif, au sens de la personne, bon la personne, vous savez très qu’en grec persona c’est un masque, un habit, un vêtement, la Vérité, elle n’est pas là.
Tous les enseignements spirituels, depuis très longtemps, ont insisté sur l’âme, mais l’âme est une escroquerie, pire que ce monde. L’âme c’est vraiment l’astral, tout ce qui est, comme disait Bernard de Montréal, astralisé. La spiritualité est inscrite dans l’astral, dans l’illusion luciférienne, en totalité. Néanmoins, on est dedans.
Et, là aussi, l’acceptation que c’est une illusion et que malgré tout on est dedans, est un immense pas vers la Liberté. Et après, ben vous ne pouvez que constater ce que décrivent, sur facebook par exemple, sur les rencontres internationales qu’il va y avoir, c’est toujours le même discours. Que vous regardiez Betty Quirion, que vous regardiez Yolande Duran Serrano, Christiane Singer, il y a beaucoup de femmes qui s’expriment là-dessus, parce qu’elles sont directes, elles sont beaucoup plus simples, ce n’est pas aussi construit que Nassim Haramein avec son astrophysique ou que Eckhart Tollé avec l’instant présent.
Elles parlent directement avec leur cœur, même si elles n’ont pas le vocabulaire, ce n’est pas important. Ce qui est important, c’est ce que vous véhiculez au-delà de vos mots, et au-delà des concepts. Et ça, on l’a dit, c’est la voie de l’enfance, c’est la voie de l’humilité, c’est retrouver son humanité, c’est comme si on avait fait un grand tour pour ceux qui sont dans la spiritualité avec les différents mouvements, les différentes religions, avec les énergies, avec les chakras, avec les étoiles, avec les portes, avec tous les maîtres qui ont délivré des enseignements, pour s’apercevoir que rien de tout ça ne vous permet de sortir de l’histoire.
C’est bien beau, quand vous avez certaines mères divines, entre guillemets, qui passent leur temps à prendre des milliers de personnes dans leurs bras, mais ça n’a jamais libéré personne ça, jamais, jamais, jamais.
Krishnamurti a écrit des ouvrages remarquables, mais est-ce que vous connaissez une personne qui a approché Krishnamurti qui a été libre ? Aucune. Est-ce que vous connaissez une personne, d’après les écrits et les preuves qu’on a de tous les gens qui sont allés voir Nisargadatta vivant, qui ont vécu ce que disait Nisargadatta ? Non. Personne.
Et pourtant, il avait dit, comme je vous l’ai dit : Mes paroles ne peuvent pas échouer. Parce qu’il parlait pour maintenant. Le Christ parlait pour maintenant. Les messagers parlaient pour maintenant. Il n’y a pas de paradis, il n’y a pas d’enfer, c’est une immense fumisterie. Le paradis et l’enfer sont tenus par les archontes. Le karma, ce qu’ont appelle les lipikas karmiques, les seigneurs du karma, ce sont les archontes, et les archontes ont un rôle dans le mythe de la création aussi important que les mères généticiennes.
Mais il fallait qu’on ait la haine dans cet enfermement avant de vivre effectivement qu’on était réellement enfermé, et de comprendre que tout ça n’a jamais existé.
Et en astrophysique, on aboutit exactement aux mêmes conclusions. On est dans une simulation informatique, il n’y a pas de temps, il n’y a pas d’espace, il n’y a pas de distance. Ça n’existe pas, c’est une construction mathématique parfaite.
Comme disait Nisargadatta, la création est apparue un jour, elle disparaîtra un autre jour, mais tout ça s’est produit dans le même temps.
Donc il est vain aujourd’hui de chercher à s’améliorer. Par contre, vous devez vous soigner, vous devez vous occuper de votre corps, c’est évident, parce que c’est le véhicule, c’est tout. Ça ne veut pas dire qu’il faut le négliger, on n’est pas tous des Ma Ananda Moyi qui n’avons pas besoin de manger pendant vingt ans, ou une Marthe Robin, à bouffer une hostie par semaine. Non.
Aujourd’hui, il nous est demandé d’être pleinement vivants. Pleinement vivants, ce n’est pas aller se réfugier dans un ashram, ou auprès d’un gourou ou d’un maître, c’est assumer sa vie et d’être le plus disponible possible. Vous n’avez rien besoin d’autre. Si vous êtes dans cette simplicité là, il n’y a aucune raison que vous ne soyez pas consumé d’Amour, et sans douleur.
La vibration, l’accès aux autres plans subtils comme on dit, a été indispensable pour, comme je disais, rembobiner le film et retrouver un peu d’éléments qui allaient nous orienter. Et comme cet après-midi Abba disait que tout avait été écrit et que nous avons décidé le scénario, oui. Ça peut paraître dur à encaisser mais c’est la stricte vérité.
Et ce mythe d’immortalité, il est tellement ancré, que toutes les spiritualités plus modernes, par exemple au début du vingtième siècle, après le spiritisme, je parle de l’enseignement d’Alice Bailey et tout ça, sont des escroqueries totales, totales. Les maîtres ascensionnés, ils n’ont rien d’ascensionné du tout, ils étaient bloqués dans l’astral, de la même façon que les Anciens quand ils sont montés, comme l’avait raconté Omraam, ont été mis dans une espèce de bulle, dans une dimension intermédiaire.
Ça n’existe pas. Et les vaisseaux dont on parle des autres dimensions sont là pour vivre le même évènement que nous. Ils sont nous-mêmes, dans un autre espace-temps qui n’existe pas plus. Et, en le vivant, et en l’acceptant déjà, ça crée une légèreté totale, ça vous met en disponibilité pour quoi, ben pour vivre, mais pour aussi vivre que tous les autres sans exception sont vous. Comme disait Bidi, il n’y a que vous, et en fait, il n’y a personne, il n’y a jamais eu personne.
Et la seule façon de le vivre la plus rapide, ben ça a été expliqué en long, en large et en travers : un, la petite voie, la voie de Thérèse, pour ceux qui s’intéressent à la vie de Thérèse, lisez l’histoire d’une Ame, c’est fabuleux – Thérèse de Lisieux, Histoire d’une Ame -, c’est un gros pavé comme ça qui raconte ce qu’elle vivait au jour le jour, il n’y a pas plus puissant que ce qu’a vécu Thérèse, dans le renoncement, dans le sacrifice, mais aussi dans cette…, elle le dit d’ailleurs, ce sont les mots qu’elle emploie, elle parlait de consumation d’Amour.
Et la consumation d’Amour, on l’a tous vécue, des fois avec des chaleurs extrêmement fortes, mais c’est aussi une grande douceur après, une fois qu’on a accepté, que rien n’est tangible. Mais la matière on le sait, elle est faite de vide.
Frère : Gemma aussi, Gemma Galgani…
Gemma a parfaitement expliqué, oui, oui tout à fait, et c’est évident qu’il n’y a pas d’autre possibilité. C’était un rêve qui a été vachement bien construit, vachement bien enfermé, vachement bien rêvé, mais qui n’a aucune réalité. Et pourtant c’est le seul réel qu’on connaisse. Et aujourd’hui, plus que jamais, l’important est votre disponibilité pour la vie que vous vivez.
A ce moment-là, quand vous êtes disponibles en acceptation totale de tout ce qui est, que vous comprenez que vous ne pouvez rien changer, que tout change. Mais ça ne change pas par votre volonté ou par un désir de quoi que ce soit, c’est ça l’abandon à la Lumière dont nous parlait Anaël en 2009, et cette phrase qu’il répétait tout le temps, hic et nunc, hic et nunc, hic et nunc, Ici et Maintenant.
C’est ça qui a été préparé même par des auteurs qui ne vivent pas l’Absolu comme Eckhart Tollé, qui ne vous parle que de présence, mais c’est très important, c’est très important parce que c’est des repères qui ont permis d’arriver, à un certain nombre je dirais, pour adoucir la compréhension et le vécu de ce rêve. Et ça on est en train de le vivre en ce moment, c’est ça qui est extraordinaire quoi.
Autre chose.
Et aussi, la fainéantise. Si vous avez l’opportunité d’être vraiment fainéant, pas toute votre vie, mais certains jours, certaines heures, comme on dit vulgairement de ne rien faire, c’est magique, parce que la fainéantise, c’est-à-dire ne rien faire, avoir du temps pour ne rien faire, c’est quelque chose d’exceptionnel, dans ce monde je vous le rappelle, qui va de plus en plus vite, qui est saturé d’informations, de lois, de règlements, de contraintes, de taxes, d’impôts, de tout ce qu’on a créé nous-mêmes, pour arriver à ça.
Personne n’est responsable, personne n’est coupable. On l’a tous écrit ensemble, au moment où nous étions réellement Un, c’est-à-dire au premier jaillissement de la conscience. Tout le reste effectivement est du cinéma, et un cinéma dans lequel on est, on fait partie de la pellicule, donc il n’y aucune échappatoire.
Frère : Donc on a créé une fin tellement infernale pour pouvoir en sortir.
Ah exactement. C’est comme je disais pour les gens qui constatent en ce moment les va et vient entre les périodes de Joie et les souffrances du corps, même très graves, ou les souffrances mentales, c’est de façon à être irrémédiablement dégoutés de la conscience. Pas pour punir qui que ce soit, mais pour vous permettre de comprendre que ce n’est qu’un rêve. Il n’y a pas de meilleure expression. Il n’y a pas de meilleure analogie que de dire : ben là on est réveillé ou pas, c’est comme si, quand vous vous levez le matin, vous savez que vous avez rêvé.
Mais tant que vous dormez, vous ne savez pas que vous rêviez. C’est la même chose. Ce n’est pas plus compliqué que ça. C’est exactement ça. En plus on sait aujourd’hui que la libération s’accompagne de modifications des structures cérébrales, des réseaux neuronaux, ça c’est parfaitement prouvé aussi.
On sait que il y a ce que nous on a appelé les étoiles bien et mal, attraction, répulsion, ce sont effectivement des circuits neuronaux qui partent des amygdales centrales et des noyaux du thalamus qui sont en rapport avec le sentiment ou l’idée de se croire une personne, et que tant qu’on n’est pas éveillé, tant qu’on n’est pas réveillé, pardon, on est toujours soumis au jugement, systématiquement, parce que le circuit de la punition est toujours plus fort que celui de la récompense.
Il n’y a que chez les mystiques qui ont vécu réellement des processus mystiques qu’on repère dans le cerveau, où le circuit de la récompense devient plus puissant. C’est la bienveillance, c’est l’attention portée aux autres, puisque l’autre est soi. Et comme disait Christiane Singer avant de mourir, quand vous êtes laminés par la maladie, que vous allez mourir dans quelques jours, elle dit ; Il n’y a pas rien, c’est bien plus que cela, on est réellement et concrètement les uns dans les autres.
C’est ce qu’on découvre aujourd’hui avec ce qu’on appelle, non pas la physique quantique, mais l’intrication quantique et la théorie des cordes. De tous les côtés où vous vous penchez, c’est en train d’être démontré dans le cerveau, dans le ciel, dans les mathématiques, dans la physique, de partout.
Vous n’avez pas besoin de religion, vous n’avez pas besoin de maître, vous n’avez pas besoin de gourou, vous n’avez pas besoin de lire, vous avez besoin d’être là, ici et maintenant, totalement présents, et dans cette posture d’accueil, de bienveillance, d’acceptation, même si vous ne comprenez pas, même si ça vous semble complètement aberrant, je vous promets que c’est l’ultime clef.
On en a eu plein des clefs, on a eu Od Er Im Is Al, le langage des mères généticiennes, on a eu la révélation du nom et du prénom de naissance de cette vie, mais le dernier saut, comme ça a été dit, la bonne nouvelle on peut l’apporter à tout le monde.
Quand il y a les résonances réseau, vous sentez bien ce qui se passe la plupart ici, mais il y a quelque chose derrière ça, ce n’est pas uniquement le Feu du Cœur, ce n’est pas uniquement le double tore, c’est la Liberté. Comme je l’ai dit, cette liberté elle est aussi bien intérieure qu’extérieure, quelle que soient les contraintes de notre corps, de notre âge, de notre argent, de notre porte-monnaie, de notre famille, de notre profession, enfin bref, tous nos cadres de vie.
Et cette résonance Agapè, qui est cette bonne nouvelle qui se propage, elle se propage d’autant plus facilement qu’on est dans cette forme de fluidité comme on l’a vécue là, dans la rencontre, où tout se fait, il n’y a plus d’anicroches, il n’y a plus de choses heurtées, et c’est comme ça, on le voit dans tous les pays, puisqu’on voyage là depuis un an beaucoup, il n’y a pas un endroit où ça ne se passe pas comme ça. Avec des tonalités différentes selon l’organisation, selon le peuple aussi bien sûr, vous avez des peuples qui sont beaucoup plus spontanés que d’autres.
Ça je l’ai exprimé quand j’étais au Québec, parce que les Québécois sont dans une vraie fraternité. Bon, ils ne sont pas beaucoup, ils ne sont que huit millions, ils n’ont pas de pressions sociales comme nous, mais ils sont restés tels qu’auraient dû rester les français avant la révolution française.
Mais il n’y a personne à qui en vouloir, il n’y a pas de coupable. Comme disait Babaji, la Source, il n’y a pas de saint sans passé, il n’y a pas de pécheur sans avenir. Ça peut paraître dur à accepter, surtout dans cette période où il y a tant de violence, tant de déchirement au sein de la société, mais c’est voulu, c’est nous qui l’avons écrit. Il n’y a rien d’autre.
Et à partir de là, qu’est ce qui se passe, comme je l’ai dit, vous redevez humains. Vous ne pouvez rien revendiquer, ni d’être un maître, ni d’être un gourou, ni d’être un enseignant, vous n’êtes rien, et c’est ça la Liberté. Ce qui ne veut pas dire, être rien, se flageller, hein, c’est rester surtout là où vous êtes, à votre place, dans votre vie et vous devenez la Vie. C’est franchement la chose la plus simple qui soit et qui est pourtant la plus dure à accepter par les habitudes, à cause de la conscience, à cause du mythe d’individualité, à cause de la croyance encore, puisqu’on est dans ce véhicule, non plus au corps, mais aux idées, aux pensées.
Autre chose.
Sœur : Quand on voit que tout est un rêve, qu’on vit ça, enfin quand tout le monde le vivra vraiment, puisque là c’est la pandémie Agapè, qu’est-ce qui se passera ?
Qu’est-ce qui se passera, c’est très simple. Jusqu’à présent même dans Autres Dimensions, on nous a parlé des lignes stellaires, des plans dimensionnels, de l’assignation vibrale qui était vraie, puisque personne n’était au courant de ce qui allait se passer, tout ça, ça devait se produire spontanément à une date donnée, à un moment donné, avec des individus donnés qui … je vous rappelle qu’Abba est antérieur au rêve, il a parcouru tous les rêves aussi, mais nous sommes tous Abba, ce n’est pas un individu qui est Abba seulement, c’est tout le monde.
Soit tout le monde est Abba, soit il n’y a aucun Abba, ce n’est pas possible.
Sœur : Quand tout le monde le vivra réellement, quand tout le monde le reconnaîtra ?
Alors le moment où tu vas vivre ce qui était appelé l’évènement, c’est-à-dire le flash de lumière, qu’il soit galactique, qui sera solaire galactique, venant du centre qu’on appelle Sagittaire A, venant du centre de la galaxie, tout va se combiner, et tout va s’associer.
Au moment où tu vas vivre ce fameux paradis blanc, c’est-à-dire la disparition de la forme, je mets au défi quiconque de vouloir habiter une quelque conscience ou un quelque corps ou un quelque monde, c’est impossible. Et d’ailleurs tous ceux qui sont aujourd’hui dans cette Agapè, d’une façon constante, mais jamais vous ne pourrez être dupes.
D’ailleurs, regardez, quand on parle du Livre des Morts Égyptien, du Livre des Morts Tibétain, on savait que la façon dont on mourait conditionnait la réincarnation.
Aujourd’hui, cette bonne nouvelle elle est diffusée. Vous avez tous lu des témoignages, même si vous n’y croyez pas et que vous le refusez, vous en êtes informés, c’est-à-dire qu’au moment de la mort, quand vous verrez les guignols de la famille qui vous diront : mais non, reste là, il faut que tu … mais vous traverserez ça comme les cinq pour cent des gens qui ont eu une MDE, vous irez dans la Lumière, vous traverserez la Lumière et vous verrez que derrière la Lumière, il n’y a rien. Le grand Tout, c’est le Rien.
Donc, il n’y a aucun doute possible. L’évènement maintenant est inscrit au niveau astrophysique, tout le monde le sait, les trous noirs qui se baladent partout, mais personne, je dis bien personne, quel que soit son état aujourd’hui, ne pourra imaginer, penser ou reprendre une forme, une dimension ou autre. Nous sommes parfaits de toute éternité.
Sœur : On s’en ira tous en même temps ?
Tous, mais pas seulement sur Terre, c’est toute la création. Alors quand j’ai dit ça la première fois, tout le monde, même les gens qui vivaient avec moi les voyages en conscience nue, m’ont pris pour un fou, c’est normal. Aujourd’hui vous en avez la preuve, vous avez des galaxies qui sont réabsorbées, vous avez des trous noirs au centre de la Voie Lactée, vous avez le centre de Sagittaire A qui commence à émettre des pulsars absolument colossaux, avec des rayonnements cosmiques exotiques que personne ne connaît, tout ça se voit, et tout ce qu’on subit sur Terre.
Et, au moment où cette Joie va apparaître, et qu’on vivra que cette Joie, le souvenir de ce que l’on est avant la création, mais je mets au défi quiconque vivant l’absence de conscience et l’absence de forme, de vouloir imaginer prendre une dimension donnée ou aller explorer le rêve. C’est tellement évident.
Et d’ailleurs c’est ce que disait Nisargadatta de son vivant, quand vous le vivez mais vous n’êtes plus dupes. Vous êtes là, ok, moi je suis apparu un jour, je disparaîtrai un jour, mais comme il disait le Je Éternel Absolu ne disparaîtra jamais. Mais ce Je Éternel Absolu n’a rien à voir avec la personne, n’a rien à voir avec l’âme, n’a rien à voir avec l’Esprit, n’a rien à voir avec les mondes de la manifestation, c’est-à-dire les mondes du rêve. Il n’y a pas de paradis, il n’y a pas d’enfer, si ce n’est celui qu’on crée nous-mêmes.
Et il n’y a aucun doute là-dessus. Parmi les innombrables frères et sœurs qui le vivent, mais imaginez, ils n’imaginent même pas pouvoir ou devoir s’incarner ou ascensionner, ou quoi que ce soit. C’est impossible. Seule la conscience se pose ce genre de questions. Mais quand tu as découvert la a-conscience, tu sais que c’est chez toi.
Je vous invite à lire Preuves de l’existence du Paradis d’Eben Alexander, qui est un neuroscientifique, parce que c’est décrit à la perfection. Ça n’empêche pas d’être venu vivre sa vie, heureusement, sans cela vous êtes dans la fuite, vous êtes dans ce qu’on appelle la dépersonnalisation et la déréalisation qui est un syndrome psychiatrique, ce sont tous les gens qui ont lu l’Advaïta Vedanta et qui vous disent : Ce corps va aller boire un café. Mais non abruti, c’est toi qui vas boire le café ! Tu es dans ce corps, donc tu ne peux pas dire que c’est ce corps qui va aller boire un café, c’est toi qui vas le boire.
Il ne faut pas confondre le vécu de l’Unité, même sans parler de l’Absolu, avec la déréalisation qui est un syndrome psychiatrique, qui est une fuite du rêve. On ne peut pas fuir ce réel, on ne peut que l’assumer, en totalité. Et ça, ça met de la douceur, ça met de la joie, oui, effectivement, même si ce n’est pas tous les jours facile, on a le droit d’être constipé, on a le droit d’avoir un mental qui revient, on a le droit, il ne faut pas imaginer, Nisargadatta était un être tout à fait ordinaire, il n’a jamais créé d’ashram, il n’a jamais créé d’école, il n’a jamais porté de tenue excentrique, il n’a jamais revendiqué autre chose que ce qu’il était.
C’est ça aussi la véritable simplicité.
Dès que vous vivez quelque chose, que vous vous prenez pour ceci ou cela, vous vous trompez. La seule plénitude, c’est le Rien, c’est la Vérité, et la Vérité, il n’y en a qu’une.
Frère : Alors l’Esprit c’est encore (…)
Bien sûr, bien sûr. Il n’y a rien. De notre point de vue personnel, c’est le trou noir en tant que personne, le néant, où il n’y a ni forme, et pourtant ce n’est pas l’ombre. A la limite on pourrait dire c’est ce qui est au-delà de la Lumière, l’Ain Soph Aur, ce qui est derrière, devant ou partout, mais qui comprend la Lumière et qui comprend tous les rêves.
Mais ça ce n’est pas, comme je l’ai expliqué, quand tu arrives à te maintenir à l’extinction de la conscience, à la lisière de l’espace, comme on dit à la lisière de l’être et du non-être, avant l’extinction de la conscience, tu t’aperçois que ta demeure elle est là. Elle n’est pas dans les mondes, elle n’est pas dans les dimensions …
Frère : L’Absolu, je voulais savoir qu’il existe quand même …
Tu ne pouvais même pas savoir que ça existait, qui est-ce qui en a parlé ? Même dans l’Advaïta Vedanta, dans le tantrisme du Cachemire, on a parlé de quoi, on a parlé d’Unité, de non-dualité, mais l’Unité ce n’est pas l’Absolu. L’unité s’est manifestée, c’est vivable, c’est le Soi, c’est aussi l’orgueil spirituel et celui qui vit la Lumière et qui est persuadé d’être ceci ou cela.
Non, celui qui dit la Vérité ne peut, n’est rien. Bien sûr qu’il émane de lui quelque chose, mais il ne revendique rien. Dès qu’un être humain revendique une position de maître, de gourou ou d’enseignant, c’est un escroc, dans tous les sens du terme, même s’il n’en est pas conscient. Ce qui n’empêche pas d’avoir des connaissances et d’utiliser ces connaissances dans son travail, dans n’importe quoi, ce n’est pas contradictoire.
Mais à ce moment-là, tu es dans, ce que j’appelle cette humilité naturelle, parce que tu ne peux pas être autrement. Ce n’est pas un effort, ce n’est pas un effort de conduite, ce n’est pas un effort moral, c’est un relâchement total.
La phrase que je vous ai lue de Jean Klein, les citations de Nisargadatta, tout ce qu’il nous dit depuis sept ans, tout ce que je vous dis aussi. Je n’ai rien à vendre, je n’ai pas besoin ni d’élèves, ni d’adorateurs, ni de nom. Je me reconnais en chacun, c’est quelque chose de réel. Et ce n’est pas quelque chose qui est une conduite morale, sociale ou spirituelle, non, c’est quelque chose qui est d’une évidence quand on le vit, on ne peut pas faire autrement, même si on le voulait, c’est impossible.
Encore une fois, ça n’empêche pas de s’amuser avec l’énergie, avec le pendule, parler aux arbres, parler avec les baleines, au contraire. Vous explorez pleinement le rêve, mais vous savez que vous n’êtes pas le rêve. Et ça change tout, vraiment.
Parce qu’effectivement, à ce moment-là, les interrogations peuvent arriver, comme chez tout le monde, mais ce qu’on nomme la peur ne peut plus exister. Ça ne veut pas dire que vous êtes Arnold Schwarzenegger qui est prêt à mourir, simplement cette sécrétion qui est liée elle aussi à des neuromédiateurs, liée à la peur qui sont des conduites d’évitement, l’attitude face à l’épreuve, c’est-à-dire qui sont liées à la sérotonine, ne peuvent plus exister, ne peuvent plus se manifester, ou alors de façon extrêmement limitée en intensité et en temps.
C’est vraiment le moment de ce qu’on appelle l’autonomie. L’autonomie c’est ne dépendre de rien, et pourtant de dépendre de tout, parce qu’on est dans le rêve. C’est la voie de l’enfance. Thérèse l’a suffisamment vécu, expliqué, traduit dans ses poèmes ou dans sa vie, dans sa courte vie, pourtant elle adorait le Christ, peu importe le Christ, Mohamed, Bouddha, ce sont des jalons, c’est tout. Il avait bien dit : Ne faites pas de mes paroles une religion.
La première chose que font les archontes, et ceux qui aiment bien contrôler, c’est de créer une religion. Ça a été pareil même pour tous les maîtres, dans tous les mouvements. Il y a un fondateur d’un mouvement, et après c’est récupéré systématiquement. Il ne peut pas y avoir de transmission. C’est intransmissible.
Regardez par exemple Maître Ram, Ram Chandra Babuji, dans le sage Marg yoga, ils se sont battus après pour sa succession. Mais il ne peut pas y avoir filiation. Dans l’Advaita Vedanta de Nisargadatta, c’est une voie où tu es inséré dans la vie; Et regarde tout ce qu’ont fait même les Anciens, la Fraternité Blanche Universelle, regarde Osho avec sa secte, ils ont tous créé des sectes, qu’on le veuille ou pas, Krishnamurti l’avait dit, la spiritualité, déjà c’est une escroquerie, mais en plus si vous l’organisez, alors là c’est fini.
C’est fini, vous créez une dépendance, vous créez une relation de soumission qui ne peut pas exister dans la Liberté. Tout le monde est au même niveau. Personne n’est supérieur, personne n’est inférieur, tout ça ce sont des jeux sociaux liés à la prédation, ce qu’on appelle le principe de Lucifer. Il y a un livre d’ailleurs qui est sorti là-dessus aux États Unis, nous sommes des mammifères et nous sommes soumis au principe de Lucifer.
Le principe de Lucifer, c’est quoi ? C’est celui qui dirige les autres mammifères du groupe, c’est celui qui baise en premier, qui mange en premier et qui a tous les pouvoirs. C’est exactement ce que vous voyez à la tête de tous les états.
Frère : Mais Lucifer a été rédempté depuis un moment ?
On s’en fout, Lucifer c’est un principe avant, là j’ai bien dit principe luciférien, je n’ai pas dit Lucifer. Le principe luciférien, c’est un principe de prédation, et la prédation elle est constante. Elle fait partie de l’organisation du rêve. Et heureusement qu’il y avait ça, afin que l’oubli ne soit jamais, jamais éternel, puisque le temps de toute façon est une illusion, il fallait retrouver le mouvement initial.
Le moment initial, c’est le paradis blanc, c’est le grand flash galactique de Lumière, qui nous met dans ce qui a été appelé l’évènement, la stase, enfin peu importe, l’appel de Marie, les trompettes, enfin tout ce qu’on veut, le basculement des pôles, tout ce qu’on peut imaginer, mais c’est le moment collectif du réel, et il ne peut être que collectif.
Ce sont encore des conneries de croire qu’il faut attendre des si, qu’il faut attendre son temps, ou attendre son moment. C’était le cas avant, puisqu’il n’y avait pas d’autres possibilités. Et c’est vrai que ça paraît incroyable. Quand j’ai commencé à parler de la fin du rêve de la création, personne n’acceptait.
Aujourd’hui, ben vous êtes obligés de constater que tout se consume sur Terre, mais aussi dans les univers, dans les galaxies. Et tout ça se produit en même temps. Et pourtant, par exemple, Bételgeuse qui se transforme super géante rouge et qui se joint au rayonnement du Sagittaire, ce qu’on appelle la flèche du Sagittaire, qu’avait d’ailleurs parfaitement décrit Nostradamus, qui se trouve à 19°30 du Sagittaire, Sagittarius A, qui est un immense trou noir, qui commence à être visible. Pourtant, si on le voit aujourd’hui selon les conceptions de l’astrophysique, ça s’est produit il y a des millions et des milliards d’années.
Non, c’est vécu sur la Terre, en ce moment. Et comme ça a toujours été dit, par exemple au moment de l’enfermement, quand les Néphilims sont repartis de la Terre, Néphilim ça veut dire torche de feu en hébreu, alors il ne faut pas croire les conneries qu’avait écrites celui qui a parlé de Nibiru en premier, c’est Sitchin, ni les Néphilims, ni les Elohims ne sont des êtres mauvais, ce sont des conneries monumentales. Néphilim ça veut dire simplement torche de feu. Ce sont des êtres de feu, le feu igné. Ça fait partie des premières formes, qui sont apparues au moment du rêve de la création.
Donc les Néphilims quand ils ont quitté la Terre, ont laissé des repères, les cercles de feu, qui devaient permettre de canaliser la Lumière depuis Bételgeuse qui est leur demeure principal, Bethel, c’est la maison en hébreu. C’est là où les Néphilims, les géants, qu’on a appelés les géants, savaient puisqu’ils étaient déjà en partie avant l’enfermement, non pas coupés de leur origine, c’est-à-dire la source de la conscience, donc ils savaient très bien comment ça allait se terminer.
Et tout, absolument tout aujourd’hui dans la science, dans toutes les sciences, dans les évènements, dans l’évènementiel de la Terre et du Cosmos, on nous dit exactement la même chose.
Aujourd’hui, quand je parlais avant les noces célestes, d’extinction globale, on me prenait pour un fou. Ben aujourd’hui, c’est accepté dans les entreprises, tout le monde le sait, sauf que le commun des mortels, il ne faut surtout pas qu’il le sache, et pourtant c’est accessible partout. Vous voyez bien dans les médias, on vous parle d’extinction, la sixième extinction de masse, vous avez un mouvement qui s’est créé « extinction rébellion », rien que le mot fait sourire, comment voulez-vous vous rebeller contre une extinction ? Non, c’est simplement de l’enginerie sociale, c’est-à-dire de la programmation sociale, pour faire passer dans la conscience collective la réalité du processus.
C’est comme ce qu’on appelle la programmation prédictive dans le MK Ultra, les tours jumelles du onze septembre, ça faisait trente ans qu’elles étaient annoncées, dans d’innombrables films, dans d’innombrables dessins animés. A partir de là, c’est une vaste scène de théâtre. Alors certes, le théâtre il fait souffrir, pour ceux qui n’ont pas vu que c’était un théâtre, et pareil, la conscience fait souffrir aujourd’hui, c’est pour ça qu’on est passé comme disait Omraam de l’Amour ou la peur à l’Amour ou la souffrance, il n’y a pas d’autre choix.
Et d’ailleurs, ce n’est pas un choix, c’est une histoire de résolution, d’abord individuelle, ça a été le cas depuis des années, et maintenant collective.
Et le meilleur conseil que je puis dire, ce que je disais déjà tout à l’heure, c’est : Vivez votre vie, vivez votre vie, occupez-vous de votre corps s’il a besoin qu’on s’occupe de lui bien sûr, occupez-vous de votre famille si vous avez une famille à vous occuper bien sûr, et ce n’est pas du tout un empêchement. Croire que vous devez être seuls, pas avoir de maris, ou avoir à élever vos enfants, ou ne pas travailler, ou ceci ou cela, non, la vie vous place exactement dans ce qu’il vous faut.
Ça aussi, c’est à accepter. Parce qu’il n’y a pas de meilleur emplacement pour chacun, quoi qu’on dise.
Sœur : Là où on est …
Oui, ah oui. Ça fait partie de ce que disait OMA, c’est le principe de l’acceptation, c’est ça l’acceptation, et l’acceptation crée la traversée, et l’acceptation crée la dissolution des réticences, en particulier de la conscience, je ne parle même plus de résistances ni d’habitudes, c’est simplement l’habitude d’être dans une conscience. On est dans ce corps, mais on est aussi dans une conscience, mais on n’est pas la conscience, ou alors on est toutes les consciences, c’est-à-dire qu’on est le tout.
Mais l’important n’est pas de vivre le tout, il y en a plein parmi vous ici qui ont vécu ça à différents moments de leur vie, c’est-à-dire une impression de fusion avec tout, mais après il y a le rien, et c’est le rien qui est plus important, parce que le rien, qu’on pourrait appeler le néant, comme disait Christiane Singer : « Quand il n’y a plus rien, et bien, il n’y a pas plus rien, il y a l’Amour ». Cet Amour nu comme je l’ai appelé, c’est exactement ça, qui n’a pas besoin de forme, qui n’a pas besoin de monde, qui n’a pas besoin de conscience, qui n’a besoin de rien.
C’est là où vous êtes complets, jamais avant. C’est ça la complétude, la résilience, l’acceptation, l’accueil, les processus du réveil, ce n’est pas la personne qui est libérée, c’est impossible de libérer une personne tant que vous avez ce corps. Par contre, oui, vous êtes libérés de la personne, je ne veux pas dire que vous n’êtes plus une personne, bien au contraire, vous êtes encore plus humains. Vous êtes complètement investis dans cette personne, mais vous n’êtes plus dupes.
Ça crée un relâchement comme je l’ai dit, et cette Liberté qui est totale.
On va peut-être arrêter maintenant, à moins que vous ayez une dernière chose à dire.
Frère : Non, c’est limpide.
Il est 23 heures 15. Allez.
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