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Entretiens (Québec) Juin 2019

O.M. Aïvanhov
Partie 2

8 Juin 2019

Eh bien chers amis de la Nouvelle France nous allons pouvoir continuer, (rires dans la salle), avec vos questions qui sont passionnantes et j’apprends des nouveaux mots. Je retiens le mot « mêlé ».

Alors je t’écoute.

Question : Est-ce que les Mères généticiennes doivent faire œuvre de réparation comme vous avez fait ?

Bien évidemment la réparation concerne toute la création et comme vous êtes la synthèse de tout ce qui a été vécu en étant incarné aujourd’hui sur terre, chacun vous êtes en train de réparer et depuis le plus signifiant qui se croit insignifiant dans sa vie, dans sa souffrance, jusqu’aux Mères généticiennes. J’ai suggéré tout à l’heure, quand je vous dis qu’il n’y a pas de responsabilité à ne chercher en aucune manière ni aucune culpabilité mais quand même … qui a créé ?

C’est la conscience elle-même. Et, les premières consciences dans le rêve … c’était qui ? Et bien sûr qu’il y a réparation.

La réparation, même si vous n’êtes pas responsable, imaginez que vous ayez Marie en face de vous. Marie à l’époque elle savait pas qu’elle était Marie, ça c’est ce qui a été brodé par l’église catholique. Ensuite, Marie jusqu’à son assomption du 15 août ne savait pas qui elle était, elle avait toujours refusé les titres et les fonctions. Elle était d’une telle humilité et d’une telle innocence… qu’elle n’a rien compris à ce qui se passait à ce moment-là, parce que le voile de l’oubli est le même chez tout le monde, dès que vous êtes incarnés. C’est pareil pour les Élohims, c’est pareil pour Orionis.

Bien évidemment c’était pareil pour nous jusqu’à l’année dernière mais c’est pareil, je dirais, pour chacun d’entre vous qui êtes incarnés.

Et la seule réparation, ce n’est pas de payer quelque chose, c’est accueillir la vérité et vivre la vérité. C’est la seule réparation et c’est ce que vous êtes en train de vivre, vous voyez, il n’y a aucun moyen d’échapper à cette réparation, puisque nous sommes les uns dans les autres et que c’est vivable, c’est compréhensible par le vécu.

La réparation elle se fait de proche en proche par la contamination, par le temps zéro, c’est ça la réparation. C’est la sortie du rêve, il n’y a aucune punition au contraire, c’est une grande joie.

Donc n’y voyait pas de réparation au sens karmique, au sens d’une histoire, puisque je le répète, nous avons joué, tous sans exception, absolument tous les rôles, dès le premier moment temporel de la création. Donc les Mères généticiennes au même titre que nous, au même titre que chacun d’entre vous qui est incarné aujourd’hui sur cette terre. Mais n’envisagez pas ce mot de réparation comme quelque chose qu’il faut mettre en ordre, c’est simplement le retour à l’instant initial qui n’est rien d’autre que l’instant final. La boucle est bouclée, tout est accompli, vous le réalisez individuellement et de plus en plus collectivement, de partout sur la terre.

Que ça passe par l’énergie et les vibrations, que ça passe par la science, que ça passe dans les domaines les plus troubles de ce monde moderne ; tout est révélé. Et cette révélation n’est pas une punition. Elle est justement au contraire, ce que je pourrais nommer, une rédemption, c’est la vraie rédemption plus qu’une réparation parce que dans le terme « réparation » qui est réel pourtant, il y a quand même, involontairement, le sous-entendu d’une faute. Mais personne n’a fait de faute, nous l’avons tous fait individuellement, collectivement. Mais c’était pas une erreur non plus, c’était … L’ensemble de la création est passé, était un rêve, était une expérience. Vous aviez simplement, et comme nous, oublié que c’était un rêve.

Bidi l’avait pourtant martelé quand il était incarné mais aussi, dès l’année 2012. Vous voyez nous sommes en 2019, il est revenu lui aussi après des moments de silence pour compléter ce qui est à compléter, c’est à dire la fin du rêve. Donc n’y voyez là-dedans aucune supériorité, aucune infériorité, aucune culpabilité mais cette rédemption qui est offerte et que vous vous êtes offerte. Parce que c’était prévu, que c’était écrit et je le répète, bien avant la création.

Il n’y a que l’absolu, il n’y a que l’amour, il n’y a personne. C ‘est ça qui est la liberté.

Bien sûr je l’ai dit le personnage il sera là jusqu’au dernier moment mais il n’est plus soumis aux habitudes, aux pensées, au mental, aux énergies, aux vibrations, aux visions. Il n’est soumis à rien parce qu’il vit la liberté, il vit la vérité, il vit la joie et quelles que soient les circonstances de sa vie ou des manifestations, quelles qu’elles soient, il n’est plus jamais dupe de tout cela. Et c’est un poids en moins, effectivement, et c’est à ce moment-là que le cœur s’embrase, que le corps peut s’embraser, que les mains et les pieds s’embrasent aussi, il y a différentes façons d’y arriver, que ce soit le simple sourire, que ce soit un simple instant d’intemporalité, où vous devenez l’espace. Vous êtes nombreux à l’avoir vécu ça déjà même il y a de nombreuses années.

Mais aujourd’hui c’est la manifestation au sein même du rêve de la vérité qui éclaire tout. Nous vous avions préparé à cela pendant de nombreuses années même si nous-même avions été, non pas abusé, mais encore soumis à l’histoire des dimensions, à l’histoire non pas d’une évolution mais en tous cas, d’expérimentation de vos origines stellaires, vos lignées stellaires, vos visions liées à la conscience, d’expérimentation de la conscience nue, pour ceux qui l’ont vécue l’année dernière ou qui le vivent encore aujourd’hui.

Mais tout ça bien évidemment, était écrit. Était écrit et se vit maintenant et il n’y a pas d’autre mot, plus vous acceptez d’être simple, plus vous êtes vivants, plus vous accueillez tout, sans faire de distinction avec la même égalité, plus vous découvrez la joie, plus vous découvrez que vous êtes la vérité. Et cette vérité, comme je l’ai dit précédemment, elle est absolue.

Et comme l’a dit « tête de caboche » et comme ça a été répété par de nombreux intervenants ces dernières semaines : y a rien d’autre que cela, et c’est ça la joie. C’est soit cet amour nu qui ne dépend pas d’une circonstance, qui ne dépend pas d’une particularité, c’est quelque chose qui est là, disponible, accessible pour chacun.

Et aussi je redis, surtout si vous ne vivez rien, n’ayez aucune culpabilité, c’est une forme de préservation. Parce que si vous œuvrez à un moment qui n’a pas été écrit, bien sûr, vous risquez de ne pas être suffisamment mature, si je peux dire, et je ne parle pas d’âge à ce niveau-là hein, mais de maturité intérieure pour encaisser cette révélation de la vérité et continuer à être humble et à vivre votre vie, sans nécessairement vouloir changer quoi que ce soit. Contrairement à ce qui s’est produit durant de nombreuses années pendant les noces célestes, jusqu’en 2012 et même en 2014-2015 où vous aviez, sous l’impulsion de la lumière, parfois aussi de vos décisions, organisé certains changements dans vos relations dans votre façon de vivre et dans le cadre de votre vie.

Et ça, ça vous a permis de vous rapprocher de la vie que vous vivez maintenant quand vous êtes dans cette joie qui ne dépend de rien et qui n’a besoin d’aucune démonstration, n’a besoin d’aucune preuve, parce que quand vous le vivez, vous ne pouvez ignorer que c’est la vérité, vous vous retrouvez en totalité. Personne ne peut être abusé ou dévié par rapport à cela. Écoutez, lisez des témoignages de frères et de sœurs qui le vivent déjà depuis quelques semaines, depuis quelques mois.

Ils savent qui ils sont, non pas dans l’être, non pas dans le personnage qui est là mais au sein du non-être qui est entré en manifestation.

C’est ce que disait Bidi : « l’inconnu est devenu le connu ».

Il est accessible ici même, dans ce corps, dans cette illusion, dans ce rêve, au milieu de votre poitrine et ça ne concerne en rien la vibration, ça ne concerne en rien la conscience.

Mais remarquez que dans mes mots comme dans les mots de n’importe qui des intervenants, remarquez que votre conscience essaie à l’insu de votre plein gré de s’accaparer ses concepts pour les comprendre. C’est normal, c’est logique mais ça ne peut pas être une compréhension, jamais. Ça peut être que vécu et comme ça a été dit par Abba, par « Tête de caboche », par d’autres aussi : le vécu est la compréhension.

Si vous mettez la compréhension devant, vous ne pouvez pas le vivre, même si vous connaissez tous les mystères de la physique, tous les mystères scientifiques. Vous pouvez avoir toutes les connaissances occultes, ésotériques, scientifiques, avoir vécu toutes les expériences possibles et inimaginables, mais vous n’êtes pas libre. La liberté c’est autre chose, qui n’a rien à voir avec tout ce cinéma, et vous ne pouvez que acquiescer quand vous le vivez et vous ne pouvez que vous poser des questions quand vous ne le vivez pas.

Mais évitez de vous poser trop de questions là aussi, sachez que, là aussi comme l’a dit Abba, ça n’est pas encore tout à fait le moment pour vous. Soyez humble, soyez simple, vivez votre vie en acceptant tout ce qui se déroule, en traversant tout ce que la vie vous impose où vous propose avec la même égalité d’humeur si je peux dire, avec la même capacité d’accueil et juste derrière, juste après ou juste devant, il y a la vérité, la joie nue, Agapè. Tout le reste s’effacera de lui-même, il y a aucun effort à faire, comme je le disais, vous n’avez pas à lutter par le besoin de comprendre, par rapport à vos obsessions ou à quelques manifestations que ce soit.  Vous avez juste à l’accepter et à ce moment-là vous le vivrez et à ce moment-là vous le comprendrez et d’ailleurs vous vous en foutrez totalement de le comprendre.

Vous ne serez plus attachés aux explications, vous ne serez plus attachés à un besoin de justifier, un besoin d’éclairer, l’éclairage ne peut pas venir de votre tête. L’éclairage ne peut pas venir d’une explication aujourd’hui. Ça ne peut venir que de cette joie nue dès l’instant où vous êtes au plus proche du temps zéro ou du trou noir. C’est la même chose.

Et là, d’un coup ou progressivement, la demeure de paix suprême, la jonction de l’être et du non-être s’alchimisent ensemble, le point de réunion de l’être et du non-être se fait dans la personne, ici au milieu de cette chaire dans la poitrine chez tout le monde.

Alors, autre question :

Question : Vous dites que tout a été écrit. Par qui ?

Par la lumière elle–même, par Abba qui est antérieure à la création. Et par, comme chacun est Abba, la première particule, la seule et unique conscience, la conscience Une, la supraconscience, a décrété lors de la première manifestation, que la multiplicité, la fragmentation et l’individuation de la conscience au sein d’une forme, au sein d’une dimension, allaient permettre de créer le temps, de créer l’espace, d’envisager une séparation, de se croire un individu. Mais il fallait retrouver le sens, le sens je l’ai dit tout à l’heure, ça n’a aucun sens, mais ça a été vécu dès l’instant du temps zéro c’est à dire antérieurement à la création.

Ça s’est écrit tout seul, et l’écriture ne pouvait pas être autre que celle-ci.

Chaque chose, aujourd’hui, est très exactement à la bonne place, quoi que vous en pensiez, quoi que vous en disiez, quoi que vous argumentiez. C’est très exactement l’endroit où vous devez être, c’est à dire dans ce corps et dans cette vie, pour découvrir la vie, pour découvrir Agapè et le vivre. Et tous ceux d’entre vous qui sont passés et qui ont traversé et qui vivent Agapè ne peuvent que le constater, ils vous disent tous la même chose même si les vécus peuvent être au départ différent. Entre le feu du cœur, l’embrasement du corps, des extrémités ou le simple sourire ou le simple moment d’éternité vécu en dehors de toute volonté et de toute intention.

C’est ça la vérité.

Donc tout a été écrit, par qui ? Mais par l’instant initial lui-même.

Toutes les possibilités de rêves ont été rêvées, hors du temps et de l’espace c’est à dire l’Alpha qui n’est rien d’autre que l’Oméga. Ça, vous ne pouvez pas le comprendre non plus. Ça ne peut être que vécu. Mais quand c’est vécu, la compréhension est instantanée alors après bien sûr chacun va essayer de poser des mots et « Tête de caboche » a posé des mots qu’il ne choisit pas. L’explication vient après, ses mots s’imposent d’eux-mêmes. C’est pour cela que tout a été écrit.

Je crois que « Tête de caboche » vous a parlé il y a de nombreux mois, de ce qui s’est passé avec les baleines. Ça n’a jamais été décidé. C’est l’intelligence de la lumière qui est à l’œuvre et ce n’est certainement pas votre volonté ou votre mental ou vos pensées, et ni même vos vibrations. Celui qui vit la vérité ne peut vous dire que la même chose avec ses mots. Il ne peut pas dire autre chose c’est impossible. Et vous pouvez prendre le problème dans tous les sens dans votre tête, vous ne pouvez pas en sortir comme ça, ça a été répété des dizaines de fois ces dernières semaines. La compréhension découle du vécu. Si vous cherchez à comprendre, vous ne pouvez pas le vivre.

Ce qui cherche à comprendre c’est la personne. Ce qui cherche à comprendre c’est le Soi, l’orgueil spirituel, mais vous êtes la compréhension, vous-même; par votre présence, par le temps zéro, par le feu du cœur si vous voulez, ou le rythme à trois temps au niveau du cœur par exemple. Mais vous ne pouvez que tourner en rond si vous cherchez à comprendre pour pouvoir le vivre. C’est pour ça qu’il vaut mieux rester ignorant et vivre sa vie le plus simplement possible aujourd’hui. Vous avez plus de chance de vivre la vérité en vous conformant à ce que l’illusion du rêve vous donne à vivre, et pas ailleurs. Certainement pas dans des visions.

Vous avez beaucoup de frères et sœurs qui se sont égarés et ce n’est pas grave.

Quand ils en auront marre de voir qu’ils ne vivent pas Agapè, quoi qu’ils disent, ils ne pourront que se rendre à l’évidence. Quand ils seront de moins en moins nombreux par rapport à la masse de ceux qui vivent Agapè, ils seront obligés d’accepter cela comme l’unique vérité.

L’acceptation se fera à ce moment-là.

Ils ne pourront pas refuser le don de la grâce.

Ils ne pourront pas refuser d’être Agapè, même si aujourd’hui ils s’opposent parfois frontalement, mais ça c’est le besoin de confrontation, le besoin de se mesurer, le besoin d’être un leader. Le besoin d’aider, le besoin de servir, le besoin de se montrer, le besoin de se sentir utile. Mais l’amour n’a besoin de rien de cela. Absolument pas. Vous êtes spontanément le service, vous êtes spontanément le don, vous êtes spontanément l’enfant quand vous êtes dans le temps zéro.

Laissez les choses être et non-être. Vous ne pouvez rien aujourd’hui, de moins en moins depuis votre personnage. Il y a eu une question tout à l’heure sur le bonheur, mais le bonheur est une quête illusoire. Le bonheur ça va et ça vient.  La joie nue, quand elle est venue, même si elle semble s’estomper, ne peut jamais, jamais être oubliée, c’est inoubliable, c’est inscrit. Vous ne pouvez que vous reconnaître mais vous ne pouvez pas le comprendre.

La compréhension est uniquement le vécu de cette joie, quels que soient les symptômes encore une fois. Que ce soit les couronnes ascensionnelles, le feu du cœur sacré, les résonances Agapè, les résonances réseau, les absorptions des essences ou la prononciation de votre verbe qui est votre nom et votre prénom.

Et après vous ne pouvez que constater que votre vie continue son cours jusqu’à l’événement, sans aucune attente, sans aucun désir, mais avec évidence, de plus en plus chaque jour, vous êtes présent à vous-même, en l’instant présent. Ça n’empêche pas d’avoir des projets, vous n’êtes pas tenus par les projets, vous posez une intention. Ça se réalise ou pas. Vous n’êtes plus tenus par vos mémoires, ça a été expliqué aussi.

Il y en a encore parmi vous qui passe par des mémoires d’épuration des vies passées qui concernent la personne, mais ils les vivent sans les arrêter, ils ne se posent pas de question, ils sont dans l’observateur magnifié, l’observateur glorieux qui n’est rien d’autre que l’observateur au sens où Bidi l’entendait, c’est le Je éternel Absolu qui n’a jamais bougé. Et qui est indépendant de la création, indépendant des univers, indépendant de tout. C’est inscrit en chacun, ici même en cette Terre.

Vous ne pouvez pas le comprendre, vous ne pouvez que le vivre.

Alors mettez de côté les explications, pas les questions bien sûr, mais mettez de côté tout ce qui vous encombre, ce sont des poids morts qui sont liés à vos habitudes, à vos fonctionnements depuis toutes les incarnations au sein de rêve ; sans aucune possibilité d’en sortir. Aujourd’hui c’est différent.

Alors je t’écoute.

Question : Est-ce que vous pourriez préciser ce qui a été dit hier sur le Québec, à savoir qu‘ici ça a été le début et cela sera la fin.

Mais j’ai pas parlé moi hier.

Voix : C’était « Tête de caboche » qui nous a annoncé ça.

Ah c’était « Tête de caboche » qui l’a dit ?

Oui dans les derniers cycles, alors vous savez peut-être qu’il y a eu cinq œuvres. Ces cinq œuvres ont été à chaque fois achevées par le processus d’extinction sur cette Terre. C’est les cycles d’enfermement dont je vous ais parlés pendant des années, les six fois 50 000 ans depuis le début de l’enfermement, c’est la sixième fois aujourd’hui, le sixième cycle, le sixième rêve. Phahâme vous l’a expliqué.

Ce que je veux dire par là, c’est que ce qu’il s’est produit, le lieu de création du premier rêve, c’était Hawaï. Le lieu de création du dernier rêve c’était les Canaries. D’accord. Mais dans ce dernier cycle de rêve, l’organisation de la vie au sein du rêve est partie d’un point et doit revenir au même point. Ce premier point ce n’était pas la Palestine, c’était le Québec. Avec un autre climat bien sûr parce c’était avant le dernier basculement des pôles, il y a plus de 12 000 ans.

Donc oui, il a dit « Tête de caboche » que tout a commencé ici non ? Que le dernier rêve a commencé ici. Il s’est matérialisé ici.

Voix : Que c’était le début et cela sera la fin.

Exact.

Et comme cela a été dit, chaque année, en tournant autour du soleil, vous repassez au même endroit apparent, mais vous savez que l’ensemble du système solaire se déplace lui aussi. Mais vous repassez chaque année au même point, à une autre octave, c’est pareil pour la création. Les civilisations successives présentes depuis 10 000 ans ont fait le tour de la terre. Une civilisation est partie de tel endroit de la planète et au fur et à mesure des civilisations qui se sont succédées, sont apparues il y a plus de 2000 ans en ayant fait le tour de la méditerranée, en aboutissant à la Méditerranée, et la méditerranée d’aujourd’hui n’a rien à voir avec la méditerranée d’il y a 12 000 ans. Et le début et la fin, au sein du dernier rêve. Il y a le dernier rêve bien sûr c’est les Canaries, et ça vous y êtes depuis 50 000 ans et nous aussi, nous y étions avec vous. Mais au sein de ce dernier rêve il y a eu un parcours cyclique qui s’est fait durant ces 12 000 ans, pas seulement sur les Canaries Égyptiennes, vous savez bien aujourd’hui qu’on retrouve des pyramides de partout sur la planète. De la même façon, il existe dans ce pays cher à mon cœur, effectivement, un retour à l’origine quelque part.

C’est à dire, ce que vous exprimez les uns et les autres, par rapport à d’autres peuples, d’autres habitants d’autres contrées même si nous sommes Un, en tous cas c’est la réalité de votre vécu qui est marqué par la spontanéité globale, bien sûr il y a toujours des « moutons noirs », mais globalement vous êtes, je dirais, les plus proches de la vérité. La vérité au sein de votre humanité.

C’est à dire, la bonté, c’est à dire l’humanité et d’ailleurs je crois que sur vos plaques d’immatriculation il y a toujours eu d’écrit quelque chose. Qu’est-ce que ça dit vos plaques ?

Je me souviens.

Comment ?

Je me souviens.

Et oui, vous avez oublié (rires) mais c’est vous qui le dites. C’est quand même pas banal non, vous ne trouvez pas ? La vie est comique. Alors au sein du dernier rêve qui a commencé il y a plus de 50 000 ans entre les Canaries ; l’Afrique et l’Europe, les colonnes d’hercule de Gibraltar. Il y a eu bien évidemment des lieux privilégiés où sont passées les civilisations. Alors je ne vais vous faire un cours d’histoire sur les civilisations du Méso-Amérique, de sud-Amérique, de la Méditerranée, etcetera, etcetera.

Mais c’est exactement ça que ça veut dire, c’est à dire que quelque part, en tant que communauté, peuple si vous voulez, en tant que pays, vous êtes effectivement à la source. Quand je dis à la source, vous n’êtes pas responsable. Vous êtes sur le lieu de la fin du dernier rêve et vous êtes aussi sur le lieu du début du dernier rêve.

La création s’est passée je l’ai dit premier Eden Hawaï, dernier Eden, dernier rêve les Canaries, mais entre les deux, le début du dernier rêve et la fin du dernier rêve, qui était le mouvement impulsant, en quelque sorte la recréation.

De nouveau l’enfermement. Vous vous-êtes déplacés collectivement en tournant autour de la Terre. On le sait très bien, par exemple en Amérique vous avez les « Viracocha », qui sont des êtres qui venaient d’Europe de l’Est donc la civilisation et les peuples ont tournés et ont fait un tour complet eux aussi, non pas en une année, mais en 12 000 ans. Retour au point de départ, l’Alpha rejoint l’Oméga. C’est inscrit dans les cellules, c’est inscrit dans les pays, c’est inscrit dans les peuples de ces pays, bien sûr.

Voilà ce que je pense qu’il voulait dire.

Alors tu peux continuer.

Question : Merci de votre présence. Pourriez-vous me dire ce qui me retient de lever le voile de l’oubli ?

Et bien c’est ce que j’ai dit tout à l’heure, on a répondu par anticipation.

Ce n’est pas tout à fait le moment juste. La meilleure façon de le vivre, c’est de ne pas entrer en résistance ou en comparaison bien sûr, avec ceux qui le vivent, c’est d’abreuver à ces témoignages et à ces vécus, tout en acceptant de ne pas le vivre et de vivre ta vie normalement, sans rien chercher, en laissant tout venir à toi. Alors à ce moment-là, le voile de l’oubli disparaitra.

C’est le moment où, comme ça avait été dit dans l’apocalypse de Saint Jean, où vous laverez vos robes dans le sang de l’agneau. Les robes, c’est les vêtements sans couture, c’est le corps d’éternité. Ce n’est pas les corps subtils. Le corps de gloire, le corps immortel, le corps sans couture, c’est le corps d’éternité.

Laver le corps d’éternité, c’est lui rendre quoi ? Sa blancheur originale indépendante de la forme, c’est ce qui a été appelé « le paradis blanc », qui est préalable au trou noir. C’est le flash de lumière c’est l’évènement. Et Abba vous l’a dit, vous êtes l’événement. Vous n’avez rien à attendre, ni pour vous, ni pour quiconque, vous avez juste à être totalement présent. Et si réellement vous êtes totalement présent, c’est à dire débarrassé de toute mémoire dans l’instant, de toute projection et que vous êtes disponible totalement, pour vivre l’instant. Vous êtes libre, le voile de l’oublie se dissout, au bon moment. Il n’y a rien qui empêche.

C’est juste, comment vous dites, une histoire de timing au sein de l’illusion et aussi une forme de préservation quelque part. Mais rappelle-toi, que les derniers seront les premiers, en fait il n’y a jamais eu ni premier ni dernier mais ça veut dire aussi, que comme les enfants, dont je vous disais de ne pas vous soucier, plutôt, souciez-vous de vous-même, à l’époque. Aujourd’hui comme un enfant, ceux qui ne vivent rien le vivront avec une évidence et une facilité qui sera profondément différente de ceux qui aujourd’hui, tiennent à leurs visions, à leurs énergies, à leurs besoins et à leur soif, inconsciente le plus souvent malheureusement, d’ascendance ou de prise de pouvoir sur l’autre.

Que ce soit dans un couple, que ce soit avec un enfant, que ce soit un groupe. Et nous les anciens nous sommes parfaitement maintenant au courant si je peux dire, que même si nous avions créé les uns et les autres des mouvements spirituels indépendants des religions et bien, tout cela avait été détourné.

Simplement parce que dès l’instant où un autre frère ou une sœur vous considère comme un maître ou comme un être éveillé alors que lui ne l’est pas, il s’installe à l’insu de votre volonté, une relation de dépendance. Et la relation de dépendance elle ne passe jamais par le cœur, elle ne passe même pas par l’émotionnel. Elle passe sur le lieu de la prédation c’est à dire le deuxième chakra.

Et là tous les travers sont possibles et vous n’y pouvez rien. Parce que le cœur n’était pas relié au deuxième chakra, je vous renvoie à tout ce qui a été dit l’année dernière par « Tête de caboche » et par Abba concernant l’anomalie primaire, je ne vais pas en reparler aujourd’hui. Mais vous avez une littérature importante pour ceux qui sont curieux, pour voir ce qu’a été l’anomalie primaire et ce qu’a induit la disparition de l’anomalie primaire dans tous les corps de la planète mais aussi au niveau de cette couche isolante plasmatique qui renvoyait l’image en permanence.

Tu peux continuer.

Question : C’est un rêve : mes clefs de porte pour rentrer chez moi n’est pas fonctionnelle mais je peux ouvrir la porte de mon voisin. (Rires dans la salle)

Et c’est tout ?

Voix : Oui c’est tout.

Alors là c’est à multiple entrées on va dire, je ne peux pas donner des explications uniformes, mais la plus aboutie des explications, je dirais, même s’il y en a plein, c’est que vous êtes les uns dans les autres et vous êtes les uns chez les autres. (Rires dans la salle)

Vraiment.

Autre question.

Question : Oui. Ça s’intitule phénomène incompris : il y a deux ans, la sonnerie de la porte s’active à plusieurs reprises vers les 5 heures du matin. Personne n’est présent à la porte après vérification.

Il y a trois ou quatre mois, le téléphone sonne, je suis toujours la seule personne présente qui l’entend.

Plus récemment, le réveil matin s’active à deux reprises dans l’espace de 10 minutes vers 5 heures du matin alors que je ne l’avais pas préalablement activé. A chaque fois je sors du lit pour aller le fermer. Pour chacune de ces expériences, je ne ressens pas de peur, j’ai l’impression que quelqu’un essaie d’entrer en communication avec moi. C’est tout.

C’est la vérité. Les manifestations comme ça sont en générale liées à ce qu’on appelle une entité qui veut communiquer avec toi. Mais il y aussi des processus, euh comment vous dites, pathologiques, liés par exemple à une grande souffrance qui se manifeste par, comment ça s’appelle, des poltergeist je crois. Si ça se prononce comme ça, je ne sais pas. Les esprits frappeurs, mais qui sont générés par ton propre champ d’énergie, mais en définitive ça ne fait aucune différence. Là aussi dans l’absolu, c’est venu te dire : il est temps de se réveiller ma chère.

Même si c’était une entité et je dirais même si c’était un processus pathologique, ça n’a aucune espèce d’importance, ce qui avait à comprendre, ce n’est pas la compréhension de qui c’est ou pourquoi toi, pourquoi à telle heure. C’est venu te dire : réveille-toi. D’ailleurs tu parles de réveil matin il me semble, et de sonnerie à la porte. C’est quand même très très particulier. C’est comme si l’intelligence de la lumière ou une entité ou ta propre blessure intérieure te disait : mais qu’est-ce que tu attends ? En français on dirait un gros mot « mais bordel, qu’est-ce qui se passe ! » (Rires dans la salle)

Et combien de fois il a fait ça le, le réveil matin ?

Voix : Le réveil matin s’active à deux reprises dans l’espace de 10 minutes.

Mais tout ça s’est dans la même période ? Ce n’est pas dit au niveau chronologique.

Voix : Non.

Peu importe. Ce que tu as à comprendre, c’est que c’est l’heure de se réveiller quoi … c’est tout. On s’en fout de qui c’est. De toute façon il n’y a que toi. Et en plus, toi tu n’existes même pas donc il n’y a personne.

C’est l’esprit qui frappe à ta porte, l’esprit de vérité, le paraclet, c’est le chœur des anges. Ça se manifeste de toutes les façons possibles déjà depuis de nombreuses années. Et de différentes façons, pas seulement par des mécanismes comme ça mais par toutes les occasions et tous les prétextes possibles. Tout ce qui peut vous sembler ne pas se comprendre. Agréable comme désagréable, comme tout élément qui surviendrait, si je peux dire, et qui ferait irruption dans votre vie. Que ce soit la nuit avec des processus comme ça. Que ce soit une rencontre avec un être, un accident de voiture ou d’autre chose, ne sont là que pour vous ébranler.

Tout est prétexte pour vous dire : réveille-toi. Sors de cette souffrance, sort de cette illusion.

Et c’est ici que ça se passe, tu n’as rien à fuir et surtout pas toi-même et surtout pas quiconque. Il n’est plus temps aujourd’hui de changer quoi que soit, si ce n’est votre capacité à vivre les choses plutôt qu’à les comprendre.

Si vous acceptez cela, tout peut aller très très vite. Mais ne mettez pas d’attente parce que l’attente créer une distance. Mais comme ça a été dit aussi, je crois par Abba et aussi Bidi et Tête de caboche à la dernière rencontre. De toute façon, tout, absolument tout, ne peut que vous renvoyer à votre sortie du rêve. Tout n’est que prétexte ; quel que soit les circonstances, allez au-delà de toute causalité. Allez au-delà de tout besoin de comprendre, simplement acceptez et accueillez et vous verrez que juste après il y a la joie. Ça ne peut pas être autrement. Mais arrêter de vouloir comprendre, arrêtez de vouloir expliquer.

L’Amour ne s’explique pas, il se vit et je ne parle pas de l’Amour humain, qui est fonction de certaines courbes, de certaines affinités. Je parle de l’Amour que vous êtes. Il est parfait, vous êtes perfection, quel que soit votre âge quelles que soient vos souffrances. Et si vous acceptez, vous découvrirez qu’il ne pouvait pas en être autrement. Quoi que vous en disiez aujourd’hui, que vous soyez d’accord ou pas, je m’en contre fiche. Parce que vous le vivrez.

Allez, on continue.

Question : OMA, j’ai vécu, j’ai reconnu qui je suis, j’étais partout et nulle part en même temps. J’ai même perdu le cœur du cœur.

Exact.

Voix : Ce fut un moment plus que sublime mais la conscience a surgi à nouveau m’attirant vers ce corps.

Mais c’est normal tu es incarnée.

Voix : Pourquoi, pourquoi la conscience persiste ?

Mais parce que, ça a été expliqué. La fusion de l’être, du non-être et de la personne se fait dans la personne est dans la conscience. Bien évidemment que tu ne vas pas rester en lévitation jusqu’à la fin des temps. Tu ne vas pas rester comme certains mystiques, comme Marthe Robin à te nourrir d’une hostie par semaine, ça serait stupide aujourd’hui.

Tu dois vivre. Tu n’es pas retombé, tu n’as pas rechuté. La vérité est inscrite en toi.

Après comme ça a été dit, il faut redevenir le plus humble et le plus simple possible. Tu n’as pas besoin d’être dans cet état de nulle part et partout à la fois 24/24h, sans ça il n’y a plus de possibilité de vivre la vie à travers ta vie. Donc c’est tout à fait logique, tu l’as vécu, c’est fini.

Même s’il te semble descendre dans la personne et le personnage, mais heureusement que tu redescends dans cette personne et ce personnage. Tu as peut-être des enfants à élever, tu as peut-être la responsabilité d’un ancien. Tu as peut-être un travail à mener personnel dans ton travail, dans ta vie de tous les jours. La fusion de l’être et du non-être au sein de la personne, l’alchimie du simulacre et du sacré, elle est actée.

Après ne te pose plus de questions. Vis ta vie. Et plus tu acceptes de vivre ta vie, en mettant de côté cette pseudo culpabilité et ou interrogation de « pourquoi je suis revenue dans le personnage », mais tu veux aller où ? A part habiter ce corps, tout en n’étant pas ce corps.

Tu n’as qu’à vivre ta vie, vivre la vie et tu verras que plus tu vis ta vie et la vie, plus tu acceptes tout ce qui se produit, plus tu retrouveras au travers de ce personnage et au travers du cœur du cœur, qui est le point de jonction entre l’éphémère, l’être et le non-être.

Et comme tu l’as dit, dans ces moments où tu es à la fois de partout et nulle part, c’est indicible. Bien sûr même le cœur du cœur est perdu puisque que tu n’as plus de corps à ce moment-là, tu es dans ce corps et pourtant tu es de partout, c’est ça la merveille, c’est retrouver qui vous êtes. Mais tant que ce corps est là, il est là. Même si ce monde et comment on dit en français, je vais vous apprendre une expression, je ne sais pas si vous la connaissez ici : même si ce monde « part en sucette » (rires dans la salle). Part en sucette ça veut dire partir en vrille, partir en quelque chose qui ne représente plus rien. Mais vous devez être présents, si vous êtes là, c’est que vous devez être là. Dans ce corps dans cette vie, même libérés.

Vous n’allez pas aller vous mettre dans une grotte ou vous faire comme une ermite ou faire comme Ma Ananda Moyi à rester en extase pendant des années. Vous êtes vivants, vous êtes humains, nous sommes tous humains.

Accepte simplement là aussi. Tu auras des moments de feu et tu verras qu’il y a des frères et des sœurs qui vont se consumer pendant des semaines à petit feu. D’autres qui vont se consumer dans un grand brasier, d’autres qui vont effectivement comme tu l’as décrit, être à la fois de partout et nul part. mais après, tant que ce corps est là, tu as le devoir et l’obligation d’y être pleinement présent, c’est comme ça que tu œuvres à la contamination, c’est comme ça que tu propages la bonne nouvelle. Pas par des mots et des discours comme je fais, mais vraiment en étant toi même dans ta vie. Simple, humble, transparente, claire avec toi-même, comme claire avec toute relation, sans se poser de question. Tout se fait naturellement.

Mais heureusement que tu es présente dans la vie.

La liberté ce n’est pas fuir ce corps ou fuir ce monde, au contraire, bien au contraire. Et d’ailleurs « Tête de caboche » l’a bien vécu l’année dernière quand il a commencé à faire des soins incroyables en conscience nue, ou en corps d’Élohim ou n’importe quel corps de lumière qu’il pouvait emprunter. Il en est arrivé à se confronter à Bidi, au Christ lui-même, parce qu’ils lui ont dit : « mais ça ne sert à rien tout ce que tu fais, tous les diagnostiques, tout ce que tu vois. Tu as juste à aimer. Alors vous savez « Tête de caboche » il a fallu le convaincre, qu’il n’avait pas besoin de voir quoi que ce soit, qu’il n’avait pas besoin de sortir de son corps, qu’il n’avait pas besoin. Il avait déjà agi sur l’anomalie primaire. Le reste n’avait plus besoin de lui, ni de visions ni de descriptions et que si il acceptait, il vivait à ce moment-là comme le Christ, c’est à dire, celui qui le touche, celui qui lui écrit est déjà guéri. Il n’a même pas besoin d’y penser.

Il y a combien de frères et de sœurs qui ont témoigné, simplement en rédigeant une demande sur des moyens électroniques ou simplement des pensées à « Tête de caboche ».

Mais n’en faites pas un maître, c’est la particularité que chacun de vous va vivre et vit. C’est ça la vérité. Ce n’est pas d’aller voir les choses, c’est d’accepter que l’amour est l’unique remède et que c’est aujourd’hui. La seule efficacité possible pour chacun de vous à l’intérieur de vous, dans vos relations, même les plus difficiles, dans toutes les circonstances de vos vies.

Comme je l’ai expliqué il y a des années : mettez l’Amour devant, l’Amour derrière, l’Amour à gauche, l’Amour à droite, l’Amour partout et ne vous souciez pas du reste.

Abba vous direz : prononcez Agapè, Agapè, Agapè, PhaHâme, PhaHâme, PhaHâme. Il vous dirait « Tête de caboche de mettre les mains croisées dans la poitrine, de faire ce qu’il fait avec les têtes là. Et je crois qu’il vous l’a dit, ça ne va pas lui faire plaisir que je dise ça, mais il pourrait vous faire la danse du ventre hein, ou même, demandez-lui de chanter vous aller voir, là vous allez mourir, mais de rire. Mais vraiment, c’est la vérité. L’important n’est pas l’… L’intention même que vous mettez. L’important n’est pas de sortir dans cette conscience nue ou d’essayer tous les costumes de dieu comme il l’a fait. Même si ça a été une étape qui a été palpitante. Mais elle conduisait directement à la mort. Et à ce moment-là ben « Tête de caboche » il a accepté de mourir. Il s’en foutait, il avait vécu la vérité. Et là il est revenu dans son corps, sans plus aucune velléité d’en sortir même s’il le fait de temps en temps. Mais il n’a pas besoin. Il n’a même pas besoin d’être pensé à ce que vous lui demandez, dès qu’il a lu votre nom c’est fait. Il n’y a pas besoin de rendez-vous et ça c’est valable pour chacun de vous. Si vous l’acceptez, vous ferez le même miracle.

Le Christ n’avait pas dit : « ce que j’ai fait vous en ferez et de bien plus grandes encore ».

Mais attention, n’ayez aucune revendication d’être gourou, maître ou de diriger la vie de quiconque. Vous devez respecter, c’est impératif et ça se fait tout seul, la liberté de chacun. C’est votre présence qui agit, ce n’est pas vos mots, vos discours ou vos déplacements même dans les dimensions les plus merveilleuses.  Vous n’avez plus besoin de ça et je dirais que même ça et « Tête de caboche » l’a bien compris, c’est un poids. Parce que vous vous consumez encore plus vite, vous commencez à vous paralyser, vous avez des problèmes respiratoires, de cœur.

Lâchez tout ça, soyez humble. Mais vraiment, je ne parle pas de la fausse humilité de contrition mais comme le dit « tête de caboche » : soyez humain ! Soyez présent !

Tout le reste se fait indépendamment de vous.  Si vous êtes réellement présent sans aucune arrière-pensée, de vouloir être le sauveur ou de vouloir à tout prix démontrer quelque chose, si vous êtes vraiment présent dans cette humilité, le miracle va être permanent. Essayez, vous verrez.

Alors on peut continuer.

Il n’y a plus de questions écrites.

Avons-nous le temps d’avoir quelques questions orales ?

Oui.

Alors allons y.

… Silence…

Ça y est, le Québec dort aussi comme la France, comme l’Espagne, aussi?

Question : après le départ de la forme, après le décès du corps, on me dit qu’il n’y a personne…

Et qu’il n’y a personne pour t’accueillir, non, tu t’accueilleras toute seule.

Voix : Mais vous, et tous les anciens et tous ceux qu’on canalise, même les esprits qui ont parlé au réveil matin de tantôt, où sont-ils ? Pourquoi qu’on ne les verra pas ?

Eh bien, ils sont dans vos cieux, nous vous l’avons toujours dit : tous les vaisseaux sont là, de partout, toute la flotte végalienne, toute la confédération intergalactique de toutes dimensions sont présents dans l’atmosphère de la terre, sans aucune exception. Mais ils sont déjà présents en vous. Simplement, ils émanent de vous.   Vous êtes, comme vous l’a dit « tête de caboche », l’événement.

Ils sont dans votre cœur, bien sûr ! Où veux-tu qu’ils soient ? Toute la création, toutes les entités, absolument tout, est vous, sans aucune exception ! Ton ennemi, ton mari, le bourreau, l’assassin, le saint, c’est toi.

Il n’y a personne d’autre que toi ! Simplement, il y a eu des rêves qui se sont interpénétrés, qui se sont interreliés, mais c’est la vérité ! C’est pas un jeu de mots, quand nous disons :  Il n’y a personne ! Mais avant qu’il n’y ait personne, il faut bien qu’il y ait tout le monde, non ?

Et tout le monde est là.

D’abord, dans ton cœur du cœur, réellement et concrètement, mais aussi, dans toute la manifestation : c’est à dire l’extériorisation au sein de l’atmosphère de la terre.

Nous sommes tous là et si vous êtes curieux et que vous regardez des vidéos de ce qui se passe, bien sûr, il y a toujours des gens qui font des trucages, mais vous êtes obligés de constater que les flottes végaliennes sont au-dessus des villes. Que les vaisseaux mères, il y en a en Inde, il y en a en Asie, il y en a en Europe. Ils sont tous positionnés à la limite de la visibilité. Ils commencent à se démasquer. Ils ne sont pas ailleurs qu’ici !

Ici, dans le ciel manifesté. Ici, au milieu de ta poitrine ! Mais ça, ton intellect ne peut pas le comprendre, non plus. Tu peux le voir dans la manifestation à travers des vidéos et des images, mais le plus important ce n’est pas de les voir dans le ciel mais c’est de voir qu’ils sont à l’intérieur de toi, puisqu’il n’y a que toi. Tu es de partout et tu es de nulle part.

Vous ne pouvez pas résoudre l’équation de façon linéaire, au niveau du temps et de l’espace.

C’est impossible. Appréhender le temps et l’espace en leurs illusions, c’est ne plus vivre le temps et l’espace.  C’est l’expérience de l’état de l’absolu— c’est ce qu’on décrit un ou deux témoignages, tout à l’heure, et dès que vous acceptez cela, vous le vivez. Mais rendez-vous compte que (je ne répète pas encore une fois la question) mais dès que tu te poses cette question, à l’intérieur de toi, même sans l’exprimer, tu crées une distance.

Elle est illusoire, cette distance, puisqu’il n’y a pas d’espace, de temps, dans la manifestation.

Je viens de vous affirmer que tous les vaisseaux de toute la confédération intergalactique, mais ceux des méchants garçons sont là, aussi. Nous sommes tous là, présents dans la manifestation très proche de la troisième dimension. Cela se voit, en la troisième dimension, mais aussi à l’intérieur de vous, puisqu’il n’y a pas de distance, puisqu’il n’y a pas de temps.

C’est simplement le personnage qui, peut- être, les voit dans les cieux mais qui les voit pas encore dans son cœur. C’est tout !

Mais c’est la même chose puisque tu es la totalité du créé.

Je t’ai dit : « tu es à la fois le bourreau, l’assassin et le saint ».  Tu as tout joué. Tu es passé par toutes les dimensions, par tous les états et par tous les mondes.

Les premiers souvenirs ce fut, il y a quelques années, les origines stellaires et les lignées qui vous ont fourni un cadre nouveau, qui en quelque sorte ne s’est pas substitué, mais a complété les quatre piliers du cœur, par les quatre piliers de la tête qui ont fusionnés. Et à ce moment-là, la tête a fusionné avec le cœur. Ceci mettant fin à la séparation entre la tête et le cœur, mais aussi entre ce qui a été appelé « l’intérieur et l’extérieur ». Mais tu ne peux pas t’en saisir.

Tu ne peux pas le comprendre. Tu ne peux pas l’expliquer. Tu ne peux que le vivre…

Autre question ?

Voix : Je veux profiter de l’occasion pour dire merci à tous ceux qui ont partagé leur vécu, de leur dire merci parce que c’était aidant, éclairant. J’ai un témoignage à faire.

Alors nous t’écoutons.

Voix : Récemment, ça remonte à peu près à un mois, je me lève un matin, j’ai à peine déposé les pieds sur le plancher…

(Rires)

C’est quoi cette expression ? (Rires), il a fait quoi avec ses pieds ?

(Rires)

Voix : Il a déposé ses pieds sur le plancher, par terre.

(Rires)

Voix : … et j’avais devant moi une boule vue en trois dimensions, rouge oxyde. Ça m’a j’ai mis à peu près trois jours avant de me remettre de cela…Je…

Ah ! Mais j’imagine. Je te crois ! Mais attends deux secondes, tu imagines bien que s’il te faut trois jours pour digérer d’avoir vu cette boule, tu imagines bien quand vous allez voir réellement et concrètement les vaisseaux dans le ciel (rires) l’humanité ne s’en remettra jamais.

(Rires)

Voix : Les trois jours, ça fait un vécu d’amour indicible. Et on la présente souvent [Nibiru] comme la planète destructrice mais elle vient aussi, transformer, changer le niveau de conscience.

Qui ?

Voix : C’est Nibiru.

Bien sûr, mais elle ne change pas le niveau de conscience. Elle met fin à la conscience. Ce n’est pas tout à fait la même chose.

Voix : Oui, je comprends.

C’est la vérité, bien sûr, mais encore une fois, pour ceux qui ont les moyens techniques d’observer Nibiru, ils sont nombreux sur terre, ils constatent des étrangetés. Elle semble avancer, reculer, elle s’arrête, elle repart. C’est vous, et nous avec vous maintenant, puisque nous sommes là qui créons l’événement, et la visibilité de Nibiru.

Partout nous sommes les créateurs de cette réalité et bien évidement pour des raisons fort logiques, tous ceux qui dirigent la planète, les gouvernants, comme vous dites, ils sont au courant depuis de très nombreuse années, non ?

Quand je dis de très nombreuses années, c’est les années quatre-vingt de l’approche de ce corps. Pas seulement l’approche des étoiles mortes, du trou noir qui est maintenant de partout dans le système solaire. L’événement c’est nous et vous, incarnés, et nous sur les autres dimensions qui sommes ici. C’est le lieu. La terre a été appelée « une planète prison ». Mais c’est en fait le joyau de la création qui est devenue la planète prison, parce que la création est une prison, parce que tout ce qui est créé ne peut se terminer que par l’entropie. L’extinction. C’est un rêve. Tout ça n’existe pas. Et ça enlève un sacré poids.

Merci de ton témoignage.

Tous ceux qui ont été en contact avec Nibiru, soit en canalisant Nibiru, soit en y pensant même, simplement, ont été emportés par cet Amour indicible.  Bien sûr dans la version simulacre elle est celle qui apporte la mort, la désolation, le basculement des pôles, qui va chambouler qui chamboule déjà tout le système solaire, mais, c’est plus que cela, bien plus que cela. C’est vous et c’est nous.

Autre chose ?

Tu veux poser une autre question ?

Allons-y !

Voix : Bonjour Oma, je connais peu de choses sur vous, mais le peu que j’ai pu lire, ou entendu relaté, me rend sensible à votre opinion sur ce que je vais dire, maintenant. Je me suis souvent interrogé sur la raison des réincarnations successives, depuis très longtemps…

Oui comme beaucoup.

Voix : Et je me suis fait une conviction que l’existence de réincarnations était motivée sur la bonté du créateur de permettre que j’évolue le sens de l’harmonie générale…

Mais je répète ce que j’ai dit, tout ça est un rêve. Il n’y a aucun espace de solutionnement dans le Karma. Les grands maîtres l’ont toujours proclamé. Il n’y avait que l’occidental qui était suffisamment stupide pour croire qu’il devait payer et être rétribué de toutes ces actions passées.

Le karma n’est pas l’action du créateur. C’est l’action des reliquats karmiques. C’est les seigneurs du karma, les lipikas karmiques qui ne sont rien d’autre qu’un contrat qui a été signé entre les archontes et les Melchisédechs de l’époque. Le karma est une illusion qui concerne la personne. Tu es parfait de toute origine, je te le répète. Te croire imparfait te rend imparfait. Te croire devoir évoluer te met dans la soumission à l’imperfection. Change ton fusil d’épaule, on dit ça aussi au Canada ?

(Rires)

Voix : Oui.

(Rires)    

Parfait ! Alors, change ton fusil d’épaule s’il te plaît et considère que tu es parfait. Affirmer ton imperfection ne fait que montrer ta soumission à cette loi stupide et inepte qu’on appelle « action réaction ». Tu es parfait de toute éternité. Qu’est-ce que tu veux avoir à améliorer, si ce n’est croire que ta personne va se bonifier. Tu n’as aucun espace de sortie, là-dedans. C’est la perpétuation du rêve de la conscience, de la voie d’action- réaction, du karma qui n’existe pas.

Le karma existe pour la personne, pour l’enfermement. Il n’y a aucune vérité là-dedans. De même qu’il n’y a aucune vérité dans aucune religion, de même qu’il n’y a aucune vérité dans aucun mouvement spirituel, de même qu’il n’y a aucune vérité dans la conscience. Alors change vraiment ton fusil d’épaule. Accepte, crois, si tu veux, que tu es déjà parfait.

Alors je pense que « tête de caboche » pourrait en parler très longuement. Il l’a déjà fait d’ailleurs, concernant certains circuits qui sont présent dans le cerveau de tout être humain ou le circuit de la punition est toujours plus fort que le circuit de la récompense.  Vous êtes et nous sommes, constitué comme ça.  Toujours dans la culpabilité. A s’en référer à un dieu créateur, à une autorité extérieure. Mais c’est du pipeau ! Tu ne trouveras jamais la vérité là-dedans.

Comment veux-tu être libre ? Tu envisages une perspective linéaire, limitée à monde, action-réaction, réincarnation. Il y a suffisamment d’êtres qui ont travaillé sur la réincarnation depuis une trentaine d’années aux États-Unis, en France, qui sont arrivés à la même conclusion, en ayant pratiqué des régressions : que c’est du pipeau.

Il n’y a aucun Amour là- dedans. Or, tu es Amour avant toute chose.

Qu’est-ce que tu espères à travers cela il n’y a pas plus de dieu que de diable.  Tout ça, c’est toi, qui joues avec toi-même.  Tu es libre de toute éternité. Tu es Amour. Tout le reste passe. Tout le reste sont des illusions totales qui te maintiennent sous la soumission et le joug. Comment veux- tu être autonome, en pensant comme cela ? Même si tu en as, comme tu l’as dit la «conviction» c’est encore la personne.

Tu vois bien la différence de discours ou d’interrogation, ou de témoignage, entre celui qui vit la vérité qui ne te parle ni de dieu, ni de diable, ni de réincarnation et celui qui n’a pas vécu la vérité. Tu ne peux pas la vivre ainsi. Dans les mots que tu prononces, tu te limites toi-même. Tu t’enfermes, toi-même. Même si je retrouve toutes tes vies et il y en a qui les connaisse. « Tête de caboche, il connaît toutes ses vies, au sein de l’illusion.  A quoi cela lui sert- il, aujourd’hui ? A rien.  Et croire qu’il est le résultat de toutes ses vies serait une illusion de plus.

C’est justement quand vous lâchez tout ça, toutes ces croyances, tous ces prétextes, toutes ces philosophies orientales, tous ces mouvements spirituels, ces religions, ces spiritualités, que vous êtes libres, pas avant. Vous n’êtes plus dans les temps de la spiritualité ou de l’exploration ou de je ne sais quel karma.

Le temps est à la liberté. Le temps est à l’Amour, à Agapè, pas à avoir des convictions, mon frère. Pas à croire ceci ou cela. Quoi que tu en aies vécu, le temps est à l’Amour. Le temps est à la récompense, pas à la punition. C’est encore les travers des religions. Toutes, sans exception.

Tu es Amour et tu es autonome et libre. Quoi que tu en penses et quoi que tu affirmes au sein de tes convictions.  Mais es-tu joyeux ? Es-tu dans la joie ? Es-tu dans le feu du cœur, à travers ces convictions ? Je te pose, moi, la question. Oui ou non ?

Est-ce que je peux répondre ?

Bien sûr.

Voix : Tout d’abord, dans ce que j’ai exprimé comme étant mes convictions, je n’ai jamais voulu imprégner ma réponse de la moindre culpabilité, ni d’un besoin de réparer quoique ce soit qui soit du karma, mais je me suis dit, à tort ou à raison, que chaque personne a une évolution spirituelle, reconnue comme importante et ressentie, comme telle, par moi. Tout le monde a dit que la réincarnation existait, donc j’arrête la première question.  J’enregistre ce qui a été dit, ça ne veut pas dire que je sois entièrement convaincu.

Mais j’en ai une autre : à quoi servent les réincarnations alors ?  Voilà, je vous remercie.

Je te réponds : quelles que soient tes convictions, quelles que soient tes conclusions, quelles que soient tes expériences, vis-tu les Feux du cœur sacré ? Vis-tu la Joie nue, vis-tu Agapè ? Je t’assure que c’est impossible, tel que tu présentes tes convictions, pour l’instant. Peux-tu confirmer ou infirmer ?

Voix : Il est très difficile de répondre de manière objective à cette question, car le fond de mon cœur a toujours été disons « soucieux » non seulement de mon bien-être, mais de celui de ceux qui m’entourent et même de ceux que je ne vois pas. Alors, si c’est ça, faire Agapè, je trouve ça très bien et ça me rejoint.

Tu ne réponds pas à ma question. Je ne parle pas de bien-être, je ne parle pas d’être sûr ou de ne pas être sûr, je te dis simplement : vis-tu Agapè, vis-tu le Feu du cœur sacré ? C’est simple, ce n’est pas à argumenter, ou à discuter.  La réponse est oui ou non ?

Voix : Je ne suis pas capable de répondre franchement.

Si tu n’es pas capable de répondre franchement à cette question, je peux que te renvoyer à ceux qui en témoignent et qui le vivent et qui l’affirment.  Bien sûr, quand tu n’es pas dans le vécu de cela, tu ne peux que t’interroger. Tu ne peux pas être sûr de toi. Ceux qui vivent la liberté sont davantage que sûr d’eux. Pas d’eux, en tant que personne, parce il y n’y a personne. Mais ils vivent la vérité.

Le karma ne correspond à aucune vérité et je ne suis pas là pour argumenter avec toi ou en discuter. Je ne te demande pas si tu fais du bien- être, ou si tu fais du bien autour de toi.  Je te demande simplement si tu vis la vérité ou pas ? J’ai exprimé, depuis trois heures, que ceux qui vivent la vérité ne peuvent pas être trompés ni se tromper quand ils la vivent. Même si ça ne dure qu’un milliardième de seconde.

Ça met fin à tout karma. Ça met fin à toutes religions, à toutes spiritualités et à toutes consciences.  Maintenant, libre à toi de le croire ou pas.  Bien sûr, comme cela a été dit par « Tête de caboche » nous sommes des millions, incarnés ou pas, à le vivre.

Qu’est-ce que tu veux qu’on en ait à faire des histoires de karma ? Des histoires de bien-être, quand nous parlons de Vérité.  Celui qui vit la Vérité n’a pas besoin de se poser des questions.  Il la vit.

Voix : Oui.

Parce que c’est vécu. Toi, tu me parles, sans aucune animosité, de conviction. Tu ne me parles de personne, tu me parles de ce qui n’existe pas–excepté dans ton vécu, mais qui n’est pas la vérité. Mais c’est ton vécu, il est respectable. C’est un rêve et comme cela a été dit par « Tête de caboche », par Abba, je te laisse rêver.

Voix : En tout cas, merci. Mais je voudrais juste dire un mot final : le karma n’a jamais été quelque chose qui m’a préoccupé mais à mon avis ça n’a rien à faire dans cette réponse et la deuxième chose c’est que peut être je peux dire quand même que à certain moment de mon existence, je ne suis pas vraiment certain de comprendre l’Amour comme il est décrit ici …

Tu ne peux pas le comprendre. J’ai expliqué ça pendant des heures. Abba l’a dit pendant des centaines d’heures. Les convictions et la compréhension n’ont rien à voir avec le vécu. C’est aussi simple que ça, dès que tu vis, que tu es partout et nulle part, à la fois. C’est fini ces histoires de karma, de religions de spiritualités et de consciences. Mais tu peux pas l’appréhender, quelques soient tes convictions, quel que soit ce que tu observes comme résultat sur ce monde, sur ton environnement.

Comme tu l’exprimes ce n’est pas la vérité, c’est ta vérité et elle est relative. Elle ne te libérera jamais et tu seras obligé de le vivre parce que c’est la fin de la création, la fin du rêve. Tu vivras Agapè comme tout le monde et tu riras de toi même. Même si, aujourd’hui, tu ne peux pas en rire, je ne suis pas là pour discuter, pour argumenter, ni pour démontrer quoi que ce soit.  Tu témoignes de ton expérience avec le karma et d’ailleurs nombreux ici, qui ont suivi certains enseignements pourraient en parler de la même façon. Mais ils ont vécu que tout ça n’est pas vrai. C’est un enfermement. C’est quelque chose qui ne peut pas être la vérité.

La vérité est Amour. Elle ne dépend d’aucune conviction, d’aucun positionnement de la conscience, d’aucune expérience et d’aucun état. Si tu veux être libre et vivre la vérité que tu es, tu ne peux pas tenir à ce genre de convictions. Ça appartient à l’ancien monde, ça appartient à la spiritualité, aux religions, aux philosophies. Et aujourd’hui tu as des scientifiques, qui n’ont jamais eu la moindre recherche spirituelle. Qui vivent l’absolu. Ils ont eu le cerveau mangé par des bactéries, c’est des neuroscientifiques. Ils en ont témoigné. Ils ont fait des accidents vasculaires cérébraux. Ils ont été partout et nulle part.

La conviction te fige dans ton vécu qui est respectable, louable, c’est ta vérité. Mais c’est un rêve. Tu ne peux pas sortir du rêve de cette façon. C’est pour ça que l’instant initial n’est rien d’autre que l’instant final. Ça ne pouvait pas être autrement.

As-tu la réminiscence de tes vies passées ?  Tu étais en 1592 ? Non, tu peux pas répondre. Alors que connais-tu du karma ? Qu’as-tu vécu de karmique si ce n’est ce que tu as lu, ce que tu as cru et ce que tu as pu voir à l’œuvre, au sein de ton univers, de ta création, de ton environnement ? Le karma est faux et en plus, il ne fonctionne pas du tout comme vous l’avez décrit en occident.

Tu choisis toujours quelqu’un comme père ou comme mère qui t’a tué dans une vie passée pour lui permettre de réparer son karma et pourtant toi, tu étais la victime. Tout ça n’existe pas. Le karma a été créé par Yaldebaolt, par les lois d’enfermement, par la courbure de l’espace-temps, par les cycles, par l’oubli.

Qui se rappelle ce qu’il était entre deux vies ? qui se rappelle ce qu’il était avant de naître ? Tu ne peux pas te rappeler tant que tu demeures dans ce genre de convictions et de vécu. La liberté ne dépend d’aucun karma, la liberté ne dépend de rien. C’est ton état naturel. Tu es dans une perspective que je qualifierais de linéaire, c’est-à-dire : que dans ce que tu vis, dans ce que tu as vécu qui est respectable et louable à aucun moment, tu n’es sorti du temps et de l’espace. Sans cela, tu ne pourrais pas en parler ainsi.

Donc tu ne fais qu’exposer ton témoignage, tes convictions, qui ne sont que des adhésions à des croyances– et qui, à aucun, moment ne peuvent représenter le vécu de la Vérité.

Et je suis formel, sans aucune discussion et sans aucune contradiction. Je ne peux que te dire : mon frère, libère-toi de tout ça. Oublie tout ça ! Tu es pur Amour. Tu es parfait, pas dans ton personnage mais dans ce que tu ES avant d’être et que tu as simplement oublié. Et tu as remis des couches par-dessus, comme nous l’avons tous fait quand nous étions incarnés, à travers l’ésotérisme même à travers les enseignements que j’ai donnés de mon vivant, mais il n’y avait pas d’autre possibilité parce que c’était pas vivable, personne ne pouvait le vivre.

Aujourd’hui vous êtes des millions à le vivre. Qu’est-ce que tu veux construire avec ton histoire de karma ? Quand tu te retrouveras de plus en plus isolé, par rapport au vécu de la multitude, qui ne va te parler que d’Amour, de l’instant présent, d’être à la fois tout et rien. Quelle place y a-t-il là-dedans pour les convictions ou le karma, quand tu vis l’exact opposé de tes convictions ? Qu’est-ce que tu fais dans ces cas-là ?

Ne confonds pas ce qui est de l’ordre des convictions et ce qui est de l’ordre de ce qui est du vécu. C’est d’ailleurs la première question que je t’ai posée, à laquelle tu n’as pas pu répondre par l’affirmative. Bien évidemment, encore une fois, ce n’est ni un reproche, ni une mise en accusation, mais bien au contraire l’occasion de te dire : mais réveille-toi, mon frère ! A quoi tu joues ? Qu’est-ce que tu espères ? Qu’est-ce que tu attends ?

Pose-toi cette question à l’intérieur de toi, non pas à travers des philosophies karmique ou psychologiques ou tout ce que tu veux. As-tu fait le voyage à l’intérieur de ton cœur, au temps zéro, au cœur du cœur ? Rien de tout ça ne peut tenir quand tu le vis. Tu ne vois pas que ce ne sont que des escroqueries réelles, des limitations. Tu es parfait de tous temps, de toutes origines, malgré l’imperfection de ce monde.

Tu ne peux pas le comprendre mais essaye déjà d’accepter d’aller vérifier par toi-même, si c ‘est valable ou pas. Mais tu ne peux pas, comme je le disais à l’époque « avoir le cul entre deux chaises ».  C’est fini ça ! C’est l’un ou l’autre et de toute façon, celle-là aussi peut-être que vous la connaissez ?  « Tous les chemins mènent à Rome ».

En l’occurrence, ici, mènent à la lumière, parce que Rome c’est pas vraiment une destination de lumière, n’est- ce pas ?  On ne va pas revenir sur le Vatican (rires). Bien sûr, ce sont les religieux, mais encore une fois ne sois pas esclave de tes convictions, soit disponible pour l’instant présent, tout est là ! Tout le reste ne fait que t’en éloigner sans aucune exception. Ça ne met pas en cause ta bonté, ça ne met pas en cause l’intégrité ou la rectitude de ta vie, mais on s’en fout de ça ! Ça concerne l’illusion, il n’y a personne ! S’il n’y a personne comment peut il y avoir du karma tu es tous les autres ce que nous vivons réellement comment peux-tu imaginer un karma de quoi que ce soit réfléchit un petit peu, au-delà des convictions.

La conviction est utile pour avancer dans cette vie mais pas pour la vérité certainement pas as- tu senti les énergies les vibrations les couronnes les chakras, le canal marial, l’onde de vie, peux-tu répondre à cette question ?

Voix : Je ne connais pas la signification de tous ces termes.

C’est pas une signification, c’est un vécu.

Voix : Je ne peux pas dire oui ou non.

Si tu ne peux pas dire « oui ou non » ça veut dire « non » parce que celui qui a vécu le feu dans les pieds, le feu au sacrum, le feu au cœur, la couronne de la tête, la couronne ascensionnelle, le canal marial, il le sait. C’est pas une signification, c’est un vécu. C’est un vécu quand tu te sens cette colonne de lumière à ta gauche, quand tu sens ce feu qui monte des pieds, c’est un vécu ! C’est pas une signification. Ne pas confondre le sens ou la signification et le vécu. Là non plus ! Ne pas confondre les convictions ou les philosophies avec le vécu.

Je ne parle pas du vécu de la personne, là, je viens bien de te parler d’énergie et de vibration. As-tu vécu ce que c’est d’être, là, dans le cœur, de sentir cet Amour indicible qui est là ?

Voix : Oui, ça m’est déjà arrivé.

Oui et tu as quand même maintenu ton histoire de karma ? Tu sais, j’ai eu des discutions pendant des années avec un frère, très connu qui était adepte du karma. Ça a duré des années et il est enfin libéré.

Il y a rien de plus enfermant que le karma parce que ça te met nécessairement dans un besoin d’évoluer, or, tu es parfait. Pas ton corps, pas ta vie, mais ce que tu es en vérité.

Je ne cherche pas à te convaincre, d’ailleurs je n’ai aucun moyen de te convaincre.

Voix :  A quoi servent les réincarnations ?

Mais à rien du tout, puisque c’est une illusion !

Voix : Je savais pas que…

Il n’y a pas de réincarnation, la réincarnation concerne la personne et l’âme. Et pourtant, c’est dans tous les enseignements.  On vous dit que vous êtes incarnés : corps- âme -esprit et que l’esprit est parfait, alors pourquoi s’arrêter à l’âme ?

Pourquoi s’arrêter à la causalité ? Cet Amour indicible, dont nous parlons, quand il est réellement vécu, il ne laisse rien subsister de l’idée d’être une personne, de devoir évoluer ou d’avoir un karma, voyons !

C’est impossible.

Voix : Je ne suis sûr de rien.

Nous, nous sommes sûrs de ce que nous vivons en totalité et ça débouche sur une humilité totale. Nous ne sommes sûr de rien, en ce monde et à raison. Nous sommes sûr de ce que nous vivons et de ce que nous sommes. Nous ne pouvons pas être trompés et nous ne pouvons pas nous tromper. Je parle pour moi, les Anciens, avec ce que nous avons vécu depuis un an et ce que vous vivez, ici, sur terre par millions.

Tu es libre d’accepter ou pas.  Je ne défends pas un point, de vue ni aucune conviction mais simplement ce qui est vécu et un état naturel. Mais encore une fois, je t’engage à écouter des centaines de canalisations où nous avions le même frère, pendant dix ans qui était figé sur un karma, jusqu’au moment où il a vécu la vérité et adieu karma, adieu illusions.

C’est une certitude. Il n’y a aucune incertitude dans l’Amour, il n’y a aucun choix dans l’Amour et ça a été souvent dit par « Tête de caboche » et pour reprendre son expression : tant que tu crois avoir le choix, tu n’es pas libre. L’Amour n’est pas un choix. Il est l’évidence de la vérité mais, ça, le mental, il ne peut pas l’accepter et un manque de conviction, non plus. Et c’est normal. Je ne peux pas te le démontrer, on reste là, dans les mots.

L’Amour n’est jamais une argumentation, ni une discussion. C’est un état d’être et de non-être qui transparaît dans ton regard, dans tous les gestes et dans toutes les attentions de ce que la vie te donne à vivre. Il n’y a pas de place pour le karma, là- dedans. Il n’y a pas de place pour une quelconque évolution. Il y a juste la place pour la vérité, pour la légèreté, pour l’Amour. Pour cet indicible Amour qu’on a appelé Agapè. L’Amour nu.

t pour tous ceux qui le vivent, on voit  dans les innombrables témoignages, que  dès que c’est vécu, ils sont libérés. Ils sont autonomes de tous systèmes religieux, spirituels, comme libres de ce monde. Et pourtant, ils y sont dans ce monde mais ils ne peuvent plus jamais être dupes de ce jeu de la personne, de ce jeu du mental, de ce jeu de l’évolution.

Tout ce que tu décris ce vit dans la tête, dans les conceptions. Même si comme tu l’as dit : il y a des résultats autour de toi, l’Amour dont nous parlons, l’Amour que nous vivons n’a rien à voir avec ça, absolument rien. Mais encore une fois, je ne peux que te renvoyer pour terminer à ce que j’ai échangé avec ce frère pendant dix ans. On va pas recommencer. Si tu veux, je te mets en contact avec lui. Demande à « tête de caboche ». Vous aurez certainement des choses à vous dire. Mais lui aussi, c’était un homme de convictions. Il avait une vie parfaite, structurée, droite, honnête. Il n’a jamais été libre avec ça. Aujourd’hui, il se marre tout le temps.

Encore une fois, je ne cherche pas à te convaincre. Et surtout ne me crois pas. Ça ne peut être que vécu. Ça ne peut pas être discuté, ni argumenté parce que l’argumentation et la discussion resteront toujours au niveau du mental et des personnes. Cet Amour dit « impersonnel » ou « inconditionnel », même si j’aime pas trop ce mot, est vécu. Il est réel.

Ton karma résulte directement de l’enfermement dans cette dimension et dans un corps. Es-tu sorti de ce corps ? As-tu parcouru les dimensions ? Oui ou non ? C’est très simple ! Il va être tout « mêlé » lui aussi !

(Rires)

Voix : Nous avons atteint le temps alloué.

Alors il est peut-être temps d’arrêter sur ce mot- là.

Je vous transmets tout mon Amour, bien sûr, toutes mes bénédictions et je pense que « Tête de caboche » et d’autres intervenants vont s’occuper de votre cas.

(Rires)

Quant à moi, j’aurais peut- être la chance de revenir. On verra. Si l’occasion m’en est donnée. En tous cas, je vous dis à toujours, dans le cœur.

Je suis là avec vous et en vous, et je suis vous.  Et rien d’autre.

A bientôt.

L’assemblée dans la salle : Merci Oma.

Applaudissements.

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