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Entretiens (Célébration Agapè aux Canaries)

O. M. AÏVANHOV

22 Mai 2019

Et bien chers amis, je suis extrêmement content de vous retrouver à nouveau après quelques jours. J’ai décidé d’être au plus près de vous en cette période, si il existe en vous des questionnements.

Alors je répondrai par rapport à la dynamique qui est en cours en ce moment, au niveau individuel et collectif, et je laisserai aussi, dans certaines questions, la parole à tête de caboche, parce que, bien évidemment, il fait partie de ceux qui sont incarnés et qui vivent le processus, et par rapport à certaines questions, il est préférable que ce soit lui qui réponde que moi.

Alors, chers amis, je vous transmets toutes mes bénédictions et tout mon Amour, et nous allons commencer à écouter les questions que vous avez à poser dans le cadre, si vous voulez, de la période actuelle n’est-ce pas, et ça peut concerner toute chose que vous vivez, ou que vous ne vivez pas. S’il vous plait, évitez de parler des évènements que n’importe qui peut constater dans ce qui se déroule sur cette terre, mais préférentiellement en ce que vous vivez, ou ce que vous ne vivez pas, en vous.

On ne s’intéresse plus du tout à l’environnement ou à l’extérieur, mais uniquement à un processus qui est en train de se vivre ou pas d’ailleurs, à l’intérieur de vous.

Alors, chère amie, je te laisse questionner ou demander les questions, et nous allons voir.

Alors si je laisse la parole à tête de caboche, je vous le dirai, et à ce moment-là, je reviendrai pour la question d’après, ou d’autres questions, en fonction du type de questions, mais c’est moi qui décide, donc c’est moi qui suis là en premier. Mais je vous dirai si ce n’est pas moi qui répond, n’est-ce pas.

Alors c’est à vous, qui commence avec la première question. Allez, vous pouvez y aller, je ne suis pas Bidi, je ne vais pas vous manger.

Voix : Ils disent qu’ils n’ont pas de question.

Alors si vous n’avez pas de question, et bien on va attendre une question …

Voix : Si, si, il y en a une.

Frère : Ce n’est pas une question.

Ça peut aussi être un témoignage, oui bien sûr.

Frère : Plusieurs d’entre nous sont vraiment contents de vous réentendre.

Oui, j’en suis bien conscient, bien sûr, et vous savez que, comme j’étais … quand j’étais incarné, de la même façon, je suis vraiment, j’essaie en tout cas, d’être au plus proche de vous, quelles qu’aient été mes fonctions au sein de la noble assemblée des Melchizedeks. Alors je te remercie de ces remerciements si je peux dire.

Vous pouvez aussi, comme j’ai dit, témoigner de votre vécu, hein. Non pas pour exciter ceux qui ne le vivent pas, mais justement pour montrer tout ce qui est en train de se transformer en vous et qui peut donner des points de repère aux sœurs et frères qui sont engagés dans la découverte de ce qui est à vivre, et que vous vivez, n’est-ce pas. Alors ? J’ai tout mon temps.

Frère : J’ai quelque chose à dire, mais je ne sais pas si je vais pouvoir bien m’exprimer.

Exprime, peu importe.

Frère/Voix : Alors, cette nuit, j’ai eu l’impression de savoir ce qui appartenait à la conscience, et ce qui était en relation avec la a conscience. Alors, l’impression que j’ai eue que, pour la conscience, il faut qu’il y ait un reflet, il faut qu’il y ait quelque chose, il faut qu’il y ait quelque chose de créé, quelque chose qui se manifeste…

Tout-à-fait, la conscience ne peut pas exister en-dehors du processus de projection au sein d’un cadre, ou au sein d’une dimension, mais aussi au sein d’une forme. S’il n’y a pas de forme, quelle qu’elle soit, même la plus subtile, c’est très simple, il n’y a plus de conscience, il y a la vérité que vous êtes, et ce que tu exprimes avant que tu ne poursuives, est bien sûr, c’est le moment où vous réalisez, comme tu dis, ce que tu viens de dire, et pour cela, effectivement, il faut que le Je éternel comme a dit Abba soit présent.

Et ce Je éternel te donne à voir les deux facettes, c’est-à-dire la conscience et la forme et, à la fois, la disparition de la conscience. Ça a été nommé durant de nombreuses années l’ultime présence, l’infinie présence, le cœur du cœur. C’est le moment où la conscience s’éteint d’elle-même et où toi, l’observateur, le Je éternel qui n’est pas la conscience, le voit clairement.

C’est une forme d’encouragement si je peux dire quand vous vivez cela, à vous préparer à vivre le temps Zéro, c’est-à-dire l’espace infini que vous êtes, antérieurement à une dimension, un cadre ou une forme quelle qu’elle soit.

Et c’est justement le fait, je dirais, de pouvoir faire et de pouvoir vivre la jonction entre la conscience, et ce qui est préalable à la conscience, qui crée la liberté, qui vous met en Agapè. Il n’y a pas besoin de vision, parfois il y a des visions. Il n’y a pas besoin de vibration même si parfois il y en a, ça peut survenir n’importe quand, et à ce moment-là vous découvrez avec stupeur, avec bonheur et parfois aussi, avec encore quelques craintes, que vous n’êtes rien de quelque forme que ce soit, et que vous êtes justement ce qui est à l’origine de la forme, et si vous préférez, à l’origine de la création.

Et je te laisse poursuivre alors.

… Oui, alors une fois la conscience n’est plus là, qu’est-ce qu’il reste ? Ben, j’ai eu l’impression qu’il y a peut-être encore de l’information et c’est tout, plus de forme, plus rien, mais que de l’information peut-être.

Alors, moi je t’entends, mais il faut répéter pour le micro.

Voix : (Répétition de la question)

C’est l’information la plus complète de la création qui a été nommée je crois, par tête de caboche et Abba, le temps Zéro. Le temps zéro contient toutes les informations. C’est l’accès à la vraie connaissance, c’est-à dire celle qui n’est pas une connaissance qui peut être étudiée, qui ne peut même pas être vécue, mais qui ne peut être que constatée. C’est ce qui a été dit par Abba, par Eynolwaden et par d’autres, c’est le moment où, quelque part, vous vous rendez compte en le vivant, que vous n’êtes pas la conscience.

Et c’est à cet emplacement, qui n’est pas un emplacement que vous pouvez localiser, sauf peut-être au cœur du cœur, que vous réalisez cela en le vivant. C’est très exactement cela.

Alors bien sûr ça aboutit au temps zéro, qui est la source de l’information, puisque le rien contient le tout, et c’est les deux aspects de la même chose. C’est exactement cela. Et quand vous commencez, alors je ne sais pas comment dire, ce n’est pas percevoir ou voir, quand vous commencez à vivre cela, et bien, vous n’êtes plus jamais dupes de votre conscience, même s’il y a encore une certaine forme de distance avec le vécu permanent d’Agapè.

Mais c’est la confirmation qui va vous permettre de constater que vous n’êtes pas la conscience, et en quelque sorte, de vous mettre dans les meilleures dispositions, si je peux dire, pour vivre Agapè, l’Absolu si vous préférez, qui est connu maintenant.

C’est un réservoir non pas de force, le temps zéro, c’est cet absolu qui contient absolument tout. C’est ce qui est antérieur à la lumière, mais qui contient bien sûr la lumière et qui contient aussi toutes les dimensions, toutes les possibilités, tous les chemins possibles de la conscience, dans quelques rêves que ce soit, dans quelques mondes que ce soit. Et je crois que ça a été expliqué en long, en large et en travers par Abba et tête de caboche, c’est-à-dire la capacité à voir clairement cela.

Mais quand je dis voir clairement cela, ce n’est pas une vision, c’est là aussi comme disait Bidi, une compréhension directe de qui vous êtes, et qui n’a pas besoin de mots, d’explications, quand vous le vivez bien sûr.

Tu peux continuer si tu veux, ça te va ?

… Merci.

Voix : Il vous remercie. C’est bon.

Merci à toi de nous avoir donné l’occasion d’exprimer cela.

N’hésitez pas, même à travers les manifestations nouvelles, peut-être pour vous, même si ça concerne, je dirais, l’énergie, la vibration ou des visions, peu importe. Vous êtes tous en chemin, d’une manière ou d’une autre, mais vers le même but qui n’a jamais bougé, c’est-à-dire le temps zéro, et Agapè, la félicité totale, la demeure de paix suprême.

C’est comme ça que vous voyez et que vous comprenez, en le vivant, que toute la conscience n’est qu’un rêve, parce qu’elle n’est pas permanente et que vous, vous êtes permanents et antérieurs à toute forme.

Ça met fin bien évidemment à la quête, ça met fin bien évidemment à la recherche quelle qu’elle soit, et ça vous place de façon de plus en plus juste, je dirais, dans ce qui est le Je éternel, et comme disait Bidi, ou encore Abba.

Je vous l’ai dit, quand je suis revenu, voilà quelques jours, que nous aussi les anciens, nous avons dû en quelque sorte, digérer nos propres créations, nos propres projections, au sein de ce monde comme en tout monde, parce qu’il fallait bien, malgré tout ce que nous avions construit, surtout tous les Melchizedeks, hein, quels qu’ils soient, transcender tout ça au niveau même de notre champ de conscience, afin de découvrir en totalité, comme vous, la liberté antérieure à la conscience.

C’est à partir de ce moment-là que, progressivement, depuis, pas le mois de mai, mais surtout depuis la fin de cette année, quand la fusion des éthers a été réalisée, de nous permettre d’approcher en toute liberté, nous, toutes les dimensions des cieux de la terre, et de ne pas demeurer et rester autour du soleil. Ça a été une approche progressive de notre conscience, de nos vaisseaux, qui sont maintenant comme nous l’avons dit, et comme je l’ai répété, tout autour de la terre, et non plus autour du soleil.

Et vous comprenez aussi pourquoi, pendant tant d’années, nous les anciens et les étoiles, nous avons insisté sur une forme de compréhension, d’abord du silence, qui n’est pas le silence des mots, mais le silence intérieur, qui est la meilleure posture pour dégager, si je peux dire, les obstacles de la conscience, et vous retrouver à vivre la vérité.

La vérité est découverte et vécue quand vous n’êtes plus liés au temps, et que vous accédez en quelque sorte à l’information du temps zéro, qui est à la fois, le rien et le tout. Et tout cela, bien sûr, vous avez eu d’innombrables enseignements, par exemple le Maître Philippe de Lyon, sur l’humilité, ou d’autres anciens bien sûr, chacun avec leur approche, du même processus que vous vivez dorénavant.

Et bien sûr, vous vous doutez bien qu’à partir du moment où vous vivez cela, même à un seul instant, ça va se déployer au fur et à mesure au travers de votre corps de chair, à travers de votre corps d’éternité qui, je vous le rappelle sont tous là, pour vous mettre en ce que vous nommez Agapè, pour vous mettre dans cette espèce de félicité, qui ne dépend d’aucune histoire, d’aucun karma, d’aucune condition préalable.

Vous vous découvrez comme antérieurs à toute forme, et quand vous vivez ça, effectivement, et bien le cœur peut rayonner spontanément. Vous êtes à la fois Amour, vous êtes en permanence dans le don, en permanence dans l’accueil et, effectivement, à ce moment-là, il n’y a rien d’autre à faire que d’être présents à vous-mêmes, et à ce que la Vie vous amène à vivre aussi bien dans votre famille, dans votre travail, et dans vos relations, dans vos rencontres, de toutes les manières possibles.

C’est comme ça, comme disait Abba, que la pandémie s’est développée, et contamine non seulement de proche en proche, mais aussi, vous le voyez, à travers, m’a dit tête de caboche, tout ce qui a été créé au niveau des diverses, comment il a dit, des médias ou des réseaux sociaux, qui vous permettent de faire fi de la distance, fi de l’identification à une forme ou à une photo, mais simplement en résonant sur ce que vous nommez, ce que nous nommons tous, notre nom et notre prénom.

L’intelligence de la lumière le réalise, vous n’y êtes pour rien, celui qui reçoit ou qui vit la résonance Agapè n’y est pour rien, et comme Abba l’a développé, ça se passe entre l’un et l’autre, pour vivre qu’il n’y a jamais eu ni l’un, ni l’autre. C’est vraiment une résolution extraordinaire, qui va vous placer dans cette joie ineffable.

Je vous dis, une fois que c’est vécu une fois, même ne serait-ce qu’une minute, le processus de l’intelligence de la lumière, n’a plus besoin de vous, il se fait indépendamment de vous, et il vous donne à vivre, avec de plus en plus, si je peux dire, de certitudes intérieures, que vous êtes uniquement cette joie qui ne dépend de rien, et ce, aujourd’hui, comme vous l’a dit Abba, quelles que soient vos vibrations antérieures, et quel que soit ce que vous avez vécu auparavant, ou pas.

C’est ouvert réellement et concrètement à tout le monde, sans distinction, et je crois que, tête de caboche, Abba, Bidi, ont parfaitement développé cela, c’est la posture, à la fois, du don de soi, et aussi de l’accueil de ce qui est là, sans se poser de questions, les questions c’est pour après si vous en avez. Mais il faut que vous soyez, à un moment donné, dans des circonstances qui vous sont propres, dans cette espèce de relâchement, d’accueil et de sacrifice, le don de vous, si vous préférez, qui va vous faire vivre que vous n’êtes ni l’un, ni l’autre, et que vous êtes à la fois l’un et l’autre, que personne.

Vous êtes, comme ça a été dit, par différentes voix, la totalité du créé, la totalité du rêve, et c’est simplement quelque chose qui avait été oublié, quelque chose bien sûr qui avait été détourné par l’enfermement, par ce qui était nommé la prédation. Mais aujourd’hui, vous n’avez plus à vous prémunir, si ce n’est de vous-mêmes, c’est-à-dire de vos propres peurs, de vos propres projections, de vos propres images, et vous serez, dès cet instant là, totalement dans la joie, sans objet, sans personne et sans rien.

Et comme ça a été dit, quand vous le vivez, vous ne pouvez pas, ni vous tromper, ni être trompés. Vous vous reconnaissez, c’est la vérité. Vous savez que vous êtes ça, dès l’instant où vous le vivez, même si ce n’est pas installé. Et ça met fin, bien sûr, comme ça a été dit, hein, je répète, à toute quête spirituelle, ça met fin à tout manque, ça met fin à toute interrogation, par rapport à votre devenir surtout.

Mais bien sûr, c’est normal que vous soyez interrogés par les processus si vous êtes sensibles, vibratoires, énergétiques, voire même par certaines visions, mais vous savez pertinemment qu’elles ne font que vous traverser, elles ne s’arrêtent pas. Et c’est pour ça qu’on vous a toujours dit de ne pas arrêter ce qui se produisait, mais de le laisser passer, ou si vous préférez, de le laisser vous traverser.

Et j’ai dit aussi la dernière fois que nous sommes très, très nombreux, pas seulement parmi les anciens, mais parmi les innombrables peuples de la confédération intergalactique des mondes libres, à vous approcher, à vous toucher, quand vous faites Agapè, pendant votre sommeil, par surprise aussi, afin de vous faire vivre que vous n’êtes pas plus que vous que nous. Parce que, comme j’ai dit, c’est à travers de cela que vous vous reconnaissez. Ce n’est pas quelque chose de logique, ce n’est pas quelque chose qui peut s’expliquer facilement, mais c’est quelque chose qui est tout à fait vivable et surtout, qui ne nécessite aucun pré requis.

Seuls ceux qui se croient encore la conscience, et qui ont envie de se raconter des histoires, pour l’instant, ne le vivent pas. Et bien sûr, pour eux, surtout ceux qui sont demeurés dans les archétypes, dans tout ce que nous vous avons raconté depuis d’innombrables années, sont privés de cette joie-là, tant qu’ils n’ont pas compris et vécu qu’ils n’étaient rien de tout cela. Ce n’est pas une punition, puisqu’il n’y a que vous qui pouvez le réaliser. Mais l’accès au temps zéro, il est partout, mais il faut vous en approcher, et vous ne pouvez vous en approcher tant que vous êtes encore dans la croyance, qu’est-ce que vous voyez, ce que vous vivez, est la vérité.

La vérité est sans image, la vérité est sans conscience, Agapè est sans monde, Agapè est tout sauf une projection. C’est à la fois l’ultime vérité qui rejoint, vous le savez, la première manifestation de la conscience. Et vous découvrez, sans avoir besoin de tout parcourir, que vous étiez là, si je peux dire, avant, ou si vous préférez, que vous avez toujours été là. Et comme disait Bidi ou Abba, vous n’avez jamais bougé. C’est la stricte vérité.

Mais il faut replacer ça dans le contexte particulier que vit la terre. Alors bien sûr, je vous l’ai dit, nous aussi nous avons dû solutionner certaines projections de notre conscience. Mais ce n’était pas des erreurs que nous avions faites, des temps où nous étions incarnés. Il n’y avait aucune autre possibilité que de faire évoluer l’âme, de la faire retourner, d’augmenter les processus vibratoires, chose que vous avez faite en grand nombre, à travers différents médiums, que ce soit Autres Dimensions ou d’autres d’ailleurs.

Mais aujourd’hui, tout ça aussi doit être lâché, ce n’est pas une perte, quoi que vous pensiez, quoi que vous en ressentiez, parce que si vous en ressentez l’inverse, si vous en pensez l’inverse, vous ne pouvez tout simplement pas le vivre, et ça prend, je le répète, deux minutes pour le vivre. Mais vous avez des frères et des sœurs qui sont tellement arcboutés sur leurs histoires, vous avez des frères et des sœurs qui ne peuvent pas vivre sans histoires, ils ont besoin de raconter des histoires, de se raconter des histoires, ils veulent jouer un rôle. Mais ce n’est rien d’autre que de l’orgueil.

Celui qui vit Agapè ne se raconte pas d’histoire, il sait que l’orgueil n’est rien, et que c’est un obstacle, il ne faut même pas s’en occuper. C’est ça quand la joie et Agapè prend toute la place. Vous n’êtes plus jamais dupes. Mais ça ne vous empêche pas après de vous servir de vos connaissances éphémères, si vous êtes médecin, vous continuez à être médecin. Vous voyez, mais vous n’êtes plus dupes, quelles que soient vos activités, vos professions, ou vos occupations.

Mais vous vivez Agapè, et c’est ça le plus important. Et, rappelez-vous, vous ne pouvez pas tricher avec Agapè. D’ailleurs je vais vous dire quelque chose, et je crois que Abba vous l’a dit, et c’est la stricte vérité, tous ceux qui, aujourd’hui, vous disent qu’ils ne veulent pas de ce mot, ça veux dire quoi, qu’ils ne le vivent pas. Ils n’ont pas compris qu’Agapè ce n’était pas une définition seulement, c’est un vécu, au-delà de toute définition, comme le code source des mères généticiennes ou le langage donné par Phahame.

Vous pouvez vous y opposer tant que vous voulez, mais si vous le refusez, c’est que vous ne l’avez pas vécu. Et d’ailleurs c’est très comique, parce que vous êtes très nombreux à vivre Agapè, et de voir les positionnements, non pas de ceux qui ne le vivent pas encore, mais de ceux, parmi les sœurs et frères, qui s’y opposent.

A l’époque, il y a plusieurs années, j’avais parlé de tournicoti-tournicota, et d’orgueil spirituel, mais là c’est exactement la même chose, ce sont des frères et des sœurs, qui ont nécessairement une origine ou une lignée stellaire reptilienne, et qui ne peuvent pas voir, et qui n’accepteront jamais de vivre la vérité.

C’est ce que je crois, Abba ou surtout tête de caboche, a appelé les spiritualeux. Ce n’est pas une moquerie, mais c’est quand même de l’humour, parce qu’il faut vraiment être très stupide pour refuser un mot qui traduit la réalité totale.

Et vous voyez très bien, je ne parle pas de ceux qui espèrent le vivre, ou qui se désespèrent de ne pas le vivre, mais je parle de tous ceux, sans aucune exception, qui cherchent à s’opposer frontalement, à tout ce que nous avons dit. Ils sont dans l’orgueil, et cet orgueil vient directement de leur origine stellaire, ou de l’une de leurs lignées, qui est nommée reptilienne.

Parce qu’il faut qu’ils comprennent, à travers le non vécu d’Agapè par le refus d’Agapè, qu’ils ne sont que des prédateurs.

Je vous ai dit voilà quelques jours, que bientôt nous trinquerons avec les archontes. Alors ne vous occupez pas de ces frères et sœurs, ils vont chercher à vous emmener à travers leurs visions, à travers leurs discours, ailleurs qu’en Agapè, et ils n’ont qu’un moyen pour cela, c’est de vous entraîner vers la dualité bien – mal.

Celui qui vit Agapè sait très bien que le bien et le mal sont une illusion, même s’ils sont omniprésents à la surface de ce monde, hein, les Agapèens ne sont pas des idiots, ils vivent les énergies, ils sentent les énergies, ils le voient tous les jours le bien et le mal à l’œuvre au sein de ce monde illusoire.

Et je vous garantis que ce sont ces frères et sœurs qui sont vraiment, et là, ça va peut-être les ébranler, mais d’une stupidité sans nom. Ce n’est pas une critique, il faut les aimer comme je l’ai dit, mais ils ne voient pas, ils ne peuvent pas le voir, quelles que soient les expériences, quel que soit le vécu de toutes les énergies, de toutes les couronnes, mais rappelez-vous, le bourreau ou celui qui essaie de vous emmener ailleurs que là où vous êtes, participe au même jeu. Simplement, comme les méchants garçons, ils ne le savent même pas.

Mais vous pouvez en rire, vraiment, et d’ailleurs vous en riez dès que vous le vivez. Mais eux, non. Ils vont être arcboutés sur leur conscience, ils vont écrire des textes, ils vont vous sortir des raisonnements, ils vont vous parler d’énergie, ils vont vous parler des montées vibratoires, ils vont essayer de justifier en disant que le néant c’est l’inverse de l’Amour, mais rien qu’en affirmant ça, ils ne font que démontrer à ceux qui le vivent, qu’ils sont stupides, et cette stupidité n’est pas un jugement, au contraire, ça va les faire rentrer dans un feu par friction.

Quand ils en auront marre d’avoir des visions, quand ils en auront marre de projeter des histoires abracadabrantes plutôt que de vivre l’Amour, vous ne les verrez jamais ces frères et sœurs vous parler d’Amour, sans même employer le mot Agapè, ils vont toujours vous parler d’énergie, ils vont vous parler de vibration, ils vont se justifier, mais, pendant ce temps-là, ils n’aiment pas, quoi qu’ils disent.

Vous savez très bien, pour ceux qui vivent Agapè, que quand vous le vivez ne serait-ce qu’un moment, vous êtes dans le don de vous-mêmes, vous êtes vraiment dans le service, ce n’est pas un yoga, c’est : vous ne pouvez pas faire autrement. Et bien sûr, quand vous êtes dans le service, vous n’avez que faire des visions, des diagnostics, des perceptions, du bien et du mal.

Alors comme a dit Abba, et comme a dit tête de caboche, laissez-les rêver. Ceux qui ont rencontré les baleines ne peuvent plus être trompés, parce qu’ils ont aperçu qu’ils étaient aussi grands que toutes les dimensions et que tout l’espace.

Mais ces frères et ces sœurs qui s’opposent, quels que soient leurs discours, ne sont pas au temps zéro. Ils sont dans le jeu – j.e.u – de la conscience. Ce n’est pas une critique, encore une fois, puisque nous avons dit et je le dis, pardon, moi je n’ai pas eu l’occasion de le dire encore, mais laissez-les rêver les rêveurs. Ils ont aussi leurs rôles, comme je l’ai dit à l’époque pour les méchants garçons et les guignols.

Laissez-les. C’est là le mécanisme de fonctionnement. Et en plus ils sont persuadés d’avoir raison. Alors ils vont vous trouver des visions, des justifications, ils vont entraîner certains frères et sœurs avec eux, mais ce n’est pas grave, c’est que les frères et sœurs qu’ils entraînent, ils devaient aussi en passer par là.

Contentez-vous de demeurer en Agapè, contentez-vous de servir, contentez-vous d’aimer sans aucune question et vous recevrez au centuple. Vous ne serez plus jamais fatigués, vous ne serez plus jamais en manque, vous serez dans la félicité, dans la joie, même, ou la paix si ce n’est pas encore la joie totale, mais vous ne pouvez pas être trompés par cette paix.

Croyez-vous que tous ceux qui sont encore dans les vibrations, et qui s’opposent à Agapè, en disant que ce mot ne veut rien dire, ils sont incapables de le vivre, tout simplement. Vous savez très bien que si vous répétez Agapè et Phahame et d’autres noms qui vous ont été donnés, je crois que ce sont les codes source, et bien votre cage thoracique vibre, il n’y a plus de vision, il n’y a plus de doute, alors qu’eux, ils nourrissent les visions, ils nourrissent les énergies, ils nourrissent les vibrations, mais c’est fini les montées vibratoires.

Alors bien sûr, heureusement il y a des frères et des sœurs qui continuent à faire des montées vibratoires, pour ceux d’entre vous qui sont encore très loin de la vérité, qui n’ont même pas entendu parler d’Agapè.

Là je m’exprime précisément pour les innombrables frères et sœurs qui ont suivi des enseignements, à la lettre, et qui aujourd’hui se retrouvent acculés par leur propre orgueil. Bien sûr, ils ne peuvent pas le voir, ils ne peuvent pas le comprendre.

Alors je ne dirai pas : ayez pitié d’eux, ça ne sert à rien, mais aimez-les par dessus tout, laissez-les rêver, laissez-les se consumer, laissez-les se mettre en rogne, en colère même, par le fait de vous dire que ce n’est pas vrai, mais parce qu’ils ne le vivent pas.

Vous savez ici comme partout que, dès l’instant où vous vivez Agapè, vous vous reconnaissez les uns les autres, vous n’avez pas besoin de mots, vous n’avez pas besoin de justification, même s’il y a des énergies, des vibrations et des visions, vous n’êtes plus dupes. Vous vivez la vérité, totalement.

Et les positionnements de la conscience, aujourd’hui, apparaissent de plus en plus clairement. Je crois que, moi pendant des années, j’ai dit : l’Amour ou la peur. Bidi a dit : l’Amour ou la souffrance. Et bien quand ils en auront marre de souffrir, quand ils en auront marre de dépenser de l’énergie à essayer de convaincre quiconque, ils auront épuisé leur énergie vitale et Agapè leur tombera dessus.

Je n’aimerais pas à être à leurs places à ce moment-là, parce que eux aussi devront faire leur mea culpal. Ils rougiront de honte et vous rirez tous ensemble, et comme je l’ai dit, nous trinquerons avec les archontes. Je crois que Abba et tête de caboche vous l’ont dit, s’il n’y avait pas eu les archontes, s’il n’y avait pas eu les administrateurs des mondes qui vous ont enfermés, vous auriez continué à jouer le jeu de la conscience, comment vous dites, à perpétuité, sans aucune possibilité de vous réveiller.

Or, vous aviez tous fait, nous avions tous fait, au moment initial, le serment et la promesse, de sortir du rêve. Il fallait qu’il y ait un ébranlement, il fallait qu’il y ait une surprise, il fallait qu’il y ait un vécu, indépendamment de tous les évènements collectifs que vous voyez aujourd’hui, et ça s’appelle Agapè.

Et vous allez le voir de plus en plus, et d’ailleurs je parlais avec tête de caboche, il me dit qu’il les appelle les nez rouges, ben oui, parce que pour celui qui vit Agapè, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. C’est des clowns tristes, mais aimez-le, ça suffit. N’allez pas les contredire, n’allez pas rentrer en contradiction avec vous-mêmes et ce que vous vivez, faites silence si vous préférez.

Rompez les ponts du dialogue et aimez-les en silence. Vous savez très bien vous qui avez vécu Agapè, qui le vivez même si ce n’est pas permanent, que vous êtes complets avec ça, quoi qu’il arrive dans votre vie, ou à la surface de ce monde, vous savez que vous êtes le trésor, vous ne pouvez en douter, jamais.

Alors que eux ils sont obligés de passer par la conscience, de construire des scénarios qui n’ont ni queue ni tête, avec des, en général ce que vous appelez je crois, des mécanismes d’inversion accusatoire, de justification. Aimez-les, ils ne voient pas leurs nez rouges. Vous voyez.

De même que nous, anciens, dans notre dernière incarnation, nous avons tous projeté : un nouveau monde. Même moi, même Peter Deunov, bien sûr, parce que le voile de l’oubli, c’est-à-dire l’anomalie primaire nous empêchait de découvrir la vérité. Il n’y a eu que Bidi qui a réussi, et nous vous l’avions expliqué dans l’histoire quand il est apparu en 2012, c’est le seul qui avait échappé totalement à la forme. Nous, nous étions tributaires de ce que nous avions créé.

Nisargadatta n’a rien créé de son vivant, au contraire, il a passé son temps à dénigrer, mais pas méchamment, avec Amour, tous ceux qui jouaient avec la conscience et qui s’arrêtaient sur les plans intermédiaires, comme les maîtres ascensionnés. Et aujourd’hui malheureusement, ou heureusement, parce qu’ils sont là aussi, et ce n’est pas par hasard, les frères et les sœurs qui, systématiquement, ont une origine ou une lignée reptilienne.

Ils ne peuvent pas participer à Agapè, vous ne les verrez pas sur les échanges virtuels, vous ne les verrez pas dans les groupes, ils ont tendance à s’exclure, et vous comprenez très bien pourquoi certains frères et sœurs très proches, ici comme partout, semblent disparaître, ils ne peuvent pas affronter Agapè, ils tiennent à leur conscience. C’est logique, ça s’explique parfaitement.

Et ça c’était important que je le dise, et parce que je crois que, aussi bien Abba que Bidi, n’ont pas été, à mes yeux en tous cas, et maintenant, assez clairs par rapport à cela. Mais bon, chaque chose en son temps. Et maintenant, Agapè, le temps zéro est tellement proche du collectif de la terre, tellement, tellement, que, ils ne vont pouvoir que le vivre, mais je le dis, avec une certaine forme de honte, mais la honte participe à la résolution, au pardon et à la grâce.

Mais jusqu’au bout, ces êtres-là, je dirais, alors tête de caboche me dit : Dis : ils sont dangereux. Non, ils ne sont pas dangereux, ils ont une fonction, mais jusqu’au dernier moment ils ne le vivront pas, parce qu’ils se sont opposés frontalement, de par leur origine stellaire ou une de leurs lignées, ils étaient liés aux archontes bien sûr.

Et d’ailleurs nombreux parmi eux ont eu des réminiscences des mondes qu’ils ont enfermés. Mais ils sont aujourd’hui à leur très juste place. Laissez-les s’exciter, ils se consumeront eux aussi. Aimez-les, mais n’entrez pas dans leurs jeux, vous n’avez rien à justifier en Agapè, vous avec juste à être là, à aimer, à servir, à prendre dans vos bras, à consoler, vous n’avez pas besoin de mots pour ça.

Je crois que, avec tête de caboche et d’autres amis, vous avez mis au point des techniques manuelles qui permettent justement de shunter tous ces aspects de la conscience, et de faire vivre à ce corps Agapè, et la conscience ne peut que suivre.

Mais bien évidemment vous ne verrez jamais ces sœurs et frères pratiquer Agapè résonance ou le Feu du Cœur Sacré, tout simplement parce que pour eux, de là où ils sont, c’est une illusion totale. Mais vous avez tous des amis, des frères et des sœurs qui sont comme ça, n’est-ce-pas. Ils ne sont pas responsables, ils ne sont même pas coupables, et je dirais, alors je sais que tête de caboche dit qu’ils sont dangereux. Je ne dirais pas qu’ils sont dangereux, je dis simplement qu’ils vont tout faire, sans le savoir, pour retarder l’évènement collectif, et leur positionnement des consciences est l’unique frein aujourd’hui à l’installation définitive du temps zéro sur terre, il n’y a que eux.

Je ne parle pas des moutons, de ceux qui dorment, laissez-les dormir. Et je crois que Abba vous l’avait dit, dépêchez-vous de sortir des religions, sans ça vous êtes entraînés dans le conflit, vous êtes entraînés dans la dualité, et bien évidemment, vous l’observez de partout sur la terre. Je crois que Abba vous l’a dit, c’est la guerre de tous contre tous. Voulez-vous la guerre ou voulez-vous la paix que vous vivez, il n’y a pas d’autre question.

Et après, vivez votre vie, quoi que vous donne la vie à vivre, quel que soit votre âge, quelle que soit votre profession si vous en avez, Agapè ne vous retire de rien.

Alors bien sûr, et depuis plus d’un an, vous avez des frères et des sœurs qui sont à moitié dans la stase, parce qu’ils n’ont pas fini de métaboliser leur histoire, et souvent vous constatez que ce sont des frères et des sœurs qui ont été inscrits dans des cheminements spirituels et que les habitudes de ces cheminements les empêchent tout naturellement de lâcher. Mais ce n’est pas eux qui peuvent lâcher, ils ne peuvent pas le faire par eux-mêmes.

Quand ils auront consumé toutes les histoires, toutes les illusions et voir toutes les énergies vitales, c’est-à-dire ce sont des légumes, ils sont chez eux, ils ne peuvent plus bouger, ils vivent non pas la joie, mais la paix, mais ils ne sont plus capables de faire quoi que ce soit. Même à eux je dis, laissez-vous consumer, et plus vous acceptez, plus vous vivrez l’abandon total à la lumière, et plus vous serez dans le service et le don de vous-mêmes.

Vous n’avez besoin de rien, et surtout pas d’un maître, surtout pas d’un gourou, surtout pas d’une religion, et encore moins des visons de quiconque, ni des énergies de quiconque. Si vous acceptez ça, vous êtes libres de suite, quel que soit l’état de quelques secondes avant, et si vous ne le vivez pas, ce n’est pas grave, vous l’avez accepté. L’intelligence de la lumière reconnaît votre acceptation, et quelque part votre sacrifice.

Et petit à petit, toutes ces histoires, tous ces ultimes voiles de la conscience, ou des origines stellaires, ou des lignées stellaires, vont être consumés par l’Amour. Vous avez des frères et des sœurs dans les milieux spirituels qui sont encore aujourd’hui terrorisés à l’idée qu’ils ne sont pas la conscience. Ils se racontent des histoires, ils ont besoin de scénarios, ils ont besoin qu’on les regarde, ils ont besoin qu’on les suive, mais celui qui vit Agapè comme vous l’a dit Abba, vous ne pouvez pas le suivre, vous ne pouvez que le vivre, avec l’égale et la même intensité.

Sinon, vous allez vous placer en opposition, vous allez tenter de vous justifier, vous allez condamner, mais c’est vous que vous condamnez quand vous condamnez. Celui qui proclame Agapè, lui il n’en a rien à faire, ce n’est pas ni vos discours de ceux qui s’opposent, ni les méchants garçons, ni les archontes, ni un quelconque archétype qui peut les dévier d’un iota.

Vous ne pouvez pas tromper quelqu’un qui vit Agapè, même par moments. Il sait ce qu’il vit, même si ce n’est pas complet, et plus jamais il ne sera soumis à ce que vous leur racontez, que ce soit un curé, ou un gourou, ou un maître spirituel, ou même un membre de votre famille. C’est très important ça, très, très important.

Alors, je vous relaisse la parole et je reste encore, et je crois que tête de caboche préfère écouter. Enfin, je suppose.

Voix : Tu as une question ?

Frère : Oui. Une question, mais en partie, je viens d’entendre la réponse, je la pose tout de même. Cette nuit, il m’a été dit : Sache que je te dis depuis longtemps, depuis le début où je t’ai rencontré, où j’ai reçu la lumière du Christ…

Alors laisse répéter notre sœur, là on a besoin…

Voix : Il a … Enfin il va poser une question, mais il a déjà eu une partie de la réponse, mais il va quand même nous la redire. Cette nuit, il a entendu, alors répète-moi… ce qui lui a été dit, il y a très longtemps, quand il avait eu un premier contact avec la lumière, à l’époque ce n’était pas la lumière, c’était Dieu puisqu’il ne connaissait pas la lumière, il y a quarante ans environ …

Ah oui, les conditions n’étaient pas les mêmes, il y avait l’anomalie primaire bien sûr.

On lui avait, « je t’instruirai, je te montrerai le chemin à suivre, j’aurai le regard sur toi »…

Oui.

… Ce message m’a souvent été réitéré…

Il était au futur, n’est-ce pas ?

… Oui, jusqu’à arriver aujourd’hui, jusqu’à ce que je connais aujourd’hui, que j’ai reçu aujourd’hui. Alors il est vrai, comme je vous avais dit hier soir, ça ne fait que deux ans que je connais le message d’aujourd’hui. Et cette nuit, il m’a été dit la chose suivante : …

Nous t’écoutons.

… « Autrefois, je parlais avec toi au futur, aujourd’hui je ne parlerai plus au futur, car tu Es »…

Tout à fait, et donc tu as du vivre aussi ce qui se passe au milieu de ta poitrine bien sûr.

…Bien sûr. Et là, tu m’as dit une chose que je dois vous dire maintenant… (Emotion dans la voix)

Nous t’écoutons attentivement.

… Ne crains pas, tu es Christ…

Tout-à-fait.

… Ce n’est pas une prétention, mais tu es Christ…

C’est la stricte vérité, c’est la stricte vérité.

… Et c’est à nous aujourd’hui de recevoir ce message.

Tout-à-fait, et la phrase que tu as employée « ne crains pas », quand c’est une étoile ou Marie, elle ne vous dit pas « ne crains pas », elle vous dit « n’aies pas peur ». C’est la différence entre le Christ, au-delà des archétypes, hein, la polarité féminine, elle va vous appeler par votre prénom, c’est l’appel de Marie même si c’est une sœur étoile, mais si c’est une étoile ou une polarité féminine, elle va vous dire « n’aies pas peur », si c’est une polarité masculine, le Christ, il va vous dire « ne crains rien », et comme tu l’as exprimé à la perfection, il vous parle ou elle vous parle, au présent, c’est pas demain.

… Aujourd’hui…

Ce n’était pas possible hier, mais c’est aujourd’hui.

… Exactement…

Il n’y a plus de passé, il n’y a plus de futur, c’est ça le temps zéro, et vous pouvez questionner autour de vous, vous avez d’innombrables frères et sœurs qui vivent ça, même si les mots ne sont pas entendus. Et d’ailleurs quand vous vivez Agapè, vous n’avez plus peur, vous ne craignez rien, vous le savez, vous n’avez besoin de vous prémunir contre rien, ni de prévoir des stocks de nourriture, ni de préparer des bougies consacrées comme ça a été dit par certains saints, vous savez que où vous êtes, vous n’avez à vous prémunir de rien.

Vous êtes disponibles pour la vie, comme on l’a dit, vous êtes disponibles pour Agapè et vous le vivez.

Mais tu te doutes bien, pour revenir à l’explication précédente, que les frères et les sœurs qui sont dans des cheminements spirituels, qui ont vécu des ascèses, qui ont vécu des retraites avec cette notion de dualité, ils ne peuvent pas comprendre.

Vous voyez bien quand on a parlé de joie, de légèreté, d’humour même, je crois qu’Eynolwaden vous l’a dit il y a peu de temps, par Eynolwaden et Impersonnel, il ne peut pas y avoir d’Amour sans humour. Seuls les reptiles sont sérieux, ils tiennent à leurs postures, ils tiennent à leurs prérogatives, ils cherchent par tous les moyens possibles même les plus pervers, à prendre l’ascendance sur vous, mais ça ne peut plus marcher, chez un frère ou une sœur qui vit Agapè.

Vous ne pouvez que compatir, vous ne pouvez que les aimer. Tu as tout-à-fait raison, c’est passé au présent.

… Et j’ajouterai encore une chose…

Bien sûr.

… C’est que, il est inutile de parler ou d’écrire, vu que tu es Christ. Tu gardes le silence et tu souris.

Tout-à-fait, et où que tu sois, ta présence Christ est contaminante.

… Oui, exactement.

Tu n’as plus besoin de te justifier. Effectivement tu n’as plus besoin de démontrer. Ce qui n’empêche pas de se servir des outils que vous utilisez dans tous les domaines, que ce soit, je ne sais pas, le tarot, les pendules et autres, ça c’est autre chose, ça concerne la personne, mais par rapport à ce que vous êtes, vous n’avez rien à démontrer, et vous le savez pertinemment.

Vous avez à être présents, je crois que tête de caboche et Abba vous l’ont dit, c’est le même, c’est le rayonnement de votre cœur qui s’échappe de vous quoi que vous fassiez.

Vous êtes Christ, oui, c’est la vérité, il n’y a pas d’autre vérité.

Alors laissez les empêcheurs de joie vous dire que : c’est présomptueux, que vous êtes dans l’orgueil, que vous vous trompez, et faites comme le Christ et dites : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ». Effectivement, ils ne le savent pas. Quoi qu’ils disent, laissez-les parler, soyez qui vous êtes, soyez naturels, soyez spontanés, laissez votre cœur rayonner. Tout le reste se fait tout seul.

Et plus vous êtes dans l’instant, et moins vous êtes dans la justification, et plus votre présence va transformer l’autre, parce que vous lui donnez le plus beau des cadeaux, l’information du temps zéro.

C’est pour ça que Abba vous a dit que, auparavant vous ne pouviez pas ouvrir le cœur de quelqu’un, là non plus vous ne l’ouvrez pas, mais vous faites, vous permettez à l’autre de se reconnaître en ce temps zéro. Et effectivement pour ça, vous n’avez pas besoin d’énergie, vous n’avez pas besoin de rien. Vous avez besoin de silence. C’est votre présence qui agit, ce n’est pas vous, et surtout pas des mots, et surtout pas des énergies. C’est votre naturel qui agit. Vous êtes Christ, oui, c’est la stricte vérité.

Et d’ailleurs, alors je sais qu’il y a d’innombrables frères et sœurs qui sont dans les religions, et qui attendent le retour physique du Christ, parce qu’ils ont lu, par les livres, que le Christ reviendrait comme il est parti, mais ils n’ont rien compris. Abba vous l’a amplement démontré pendant notre période de silence. La matrice christique elle est là. Vous êtes tous le Fils de l’Homme, vous êtes tous Christ.

Bien sûr c’est bien loin du Christ de la religion, c’est bien loin de toute religion. Vous découvrez que vous êtes autonomes, que vous êtes libres par rapport à la vérité. Vous n’avez pas besoin de support, vous n’avez pas besoin de croyance et vous n’avez surtout plus besoin d’une quelconque projection.

D’ailleurs, tous ceux qui vivent Agapè, même par moments, n’ont rien à faire d’une quelconque date. Et tous ceux qui sont en train de chercher des dates, à part la curiosité, c’est qu’ils veulent se prémunir. Vivez Agapè, tout le reste vous est donné, vous n’avez rien à préserver, vous n’avez rien à protéger. Croire cela, c’est encore vous mettre sous la coupe de la dualité, sous la coupe de la lumière déviée ou obliquale.

Vous êtes la lumière du monde, vous êtes la lumière du créé et de l’incréé, vous êtes le premier rêve, vous êtes tous les rêves. Ca a été expliqué par Phahame, ça a été expliqué par ces intervenants particuliers depuis l’année dernière, voilà un peu plus d’un an, et surtout par Abba, et aussi par vos vécus.

Il n’y a plus aucune spiritualité qui peut tenir, et comme Bidi vous le disait, aujourd’hui c’est vrai, la spiritualité est une escroquerie totale et la conscience une maladie. Aujourd’hui nous l’affirmons nous aussi, haut et fort. Mais l’affirmer ne sert à rien si vous ne le vivez pas. Et si vous vous opposez à ça, ça ne prouve qu’une seule chose, c’est que vous ne l’acceptez pas et que vous ne le vivez pas.

Sans ça, vous ne pourriez que, non pas adhérer, mais donner votre accord, parce que vous le vivez avec la même vérité. Et tout est prétexte, tout est circonstance, quel qu’il soit qui se présente dans votre vie pour réaliser cette vérité, la comprendre et la vivre dans le même temps.

As-tu d’autre chose à dire ?

… J’ajouterai juste que c’est le moment, maintenant, de prendre cette vérité à cœur.

Tout-à-fait. Ici et maintenant. Il suffit d’accepter cette vérité et Elle Est, vraiment. Si vous acceptez en votre for intérieur, cela Est. Mais si vous ergotez sur des mots, Agapè, si vous ergotez sur les visions que vous avez, vous ne le vivez pas, c’est aussi simple que ça. C’est pour ça que l’expression nez rouges me plaît bien. Ils ne voient pas leurs propres nez.

Ils voient, comme disait le Christ, la paille qui est dans l’œil du voisin, mais ils ne voient pas leur poutre qui est dans leurs yeux. C’est la vérité.

Je te remercie.

Voix : Il y a une autre question.

Sœur : J’ai une question qui est peut-être un peu indiscrète…

Il n’y a rien d’indiscret pour moi.

… J’ai des amis membres de la Fraternité blanche…

Oh, ceux-là ils ne risquent pas d’être d’accord avec ce que je dis, ils sont restés figés.

… C’était ma question, et ils vous ont suivi de votre vivant, je n’ose pas leur demander s’ils ont accès aux transmissions que vous faites aujourd’hui. Je n’ose pas, de peur de déranger leur fidélité à votre enseignement…

Bien sûr, mais tous ceux qui ont suivi mon enseignement, aujourd’hui sont les plus enfermés. C’est ça que j’ai dû réparer.

Voix : Alors elle n’ose pas leur parler justement …

Oh surtout pas, je ne veux pas les voir, j’en ai déjà eu suffisamment qui sont venus me voir dans des conférences et je les ai foutus dehors, ma chère. Ils n’ont rien compris, ils étaient dépendants de moi, j’étais leur papa, ils sont restés figés dans mon enseignement, ils sont restés figés sur des écrits, ils sont restés figés sur des souvenirs.

Et je vous rappelle que, à d’innombrables reprises, et je les appelais par leurs prénoms, parce que je les connais, j’ai encore toute ma tête malgré tout de mon incarnation, et quand je les ai vus débarquer à différents endroits à Paris, je les appelle par leurs prénoms, et je les mets dehors. C’est fini ça, le papa qui est à côté, vous êtes autonomes et libres. Alors c’est un très mauvais exemple d’aller chercher dans les groupements spirituels. Aujourd’hui, et d’ailleurs Frère K l’avait parfaitement exprimé de son vivant, et aussi en 2012, vous ne pouvez pas être libres dès qu’il y a une organisation et un mouvement. C’est fini tout ça

Ils sont sclérosés, ils sont figés dans l’histoire. Vous croyez que le Christ s’il revenait aujourd’hui vous le reconnaitrez physiquement ? Non. Mais vous le crucifierez de la même façon, et surtout les spiritualeux. Les spiritualeux aujourd’hui sont les pharisiens d’alors, ceux qui tiennent à la loi, ceux qui tiennent à ce qui est figé, il n’y a autre possibilité d’ouverture en eux, ils sont dans la peur. Mais bien sûr qu’ils vont s’opposer, bien sûr qu’ils ne croiront jamais que c’est moi. Et pourtant je leur ai donné la preuve d’innombrables façons.

Je vais même vous dire, au début où j’ai commencé à m’exprimer au travers tête de caboche, je lui ai donné les trois objets qui devaient authentifier mon successeur. Il aurait suffi que tête de caboche aille voir la fraternité, parler de ces trois objets, pour qu’il soit reconnu. Qu’est-ce qu’il m’a dit, tête de caboche, jamais de la vie, moi je ne veux pas des êtres qui me suivent. Et j’ai dit : Bravo. J’ai dit Bravo, vous ne pouvez suivre personne, Abba vous le répète tout le temps.

Tant que vous croyez être entre amis, à l’abri dans un mouvement, dans une communauté, dans un mouvement spirituel, et dans tout enseignement spirituel aujourd’hui, vous n’êtes pas libres, il n’y a aucune Agapè là-dedans. C’était des étapes indispensables, mais aujourd’hui, c’est des poids morts.

Alors surtout ne leur dis rien, s’il te plaît, on en a déjà eu plein de Paris, ce n’est pas la peine de les voir débarquer, parce que je les mettrai dehors, c’est aussi simple que ça, pour les ébranler, non pas parce que je les rejette, mais pour qu’ils sortent de cette espèce d’adoration morbide des enseignements, de mon personnage. Vous les voyez d’ailleurs, ce sont des tristes sirs, ils sont incapables de vivre sans peur, ils sont incapables de vivre sans se protéger du mal.

Quand j’étais incarné, il n’y avait pas d’autre possibilité, mais aujourd’hui Agapè est là. Ils sont comme ça a été dit depuis plus d’un an, dans l’histoire. Ce sont des affectifs, la plupart, attachés à leurs rites, leurs pratiques.

Agapè n’est pas une pratique, ni un rite, Agapè se vit tout seul, même si vous communiez, même si vous partagez avec tous les frères, c’est d’abord en soi que ça se déroule.

Alors, par pitié, je ne veux plus voir tous ces êtres que j’ai vu défiler pendant des années, surtout quand je m’exprimais depuis Paris, parce que je les foutais dehors à chaque fois, parce qu’ils ne viennent pas avec la même optique que vous. Ce n’est pas pareil pour ceux qui m’ont approché de mon vivant, d’ailleurs je les reconnais quand je les vois. Je parle de ceux qui vivaient vraiment avec moi.

Mais ce n’était pas de ma faute. C’étaient eux qui ont créé ces espèces de lien, il n’y avait pas d’autre possibilité à l’époque. Et aujourd’hui, tout lien que vous ressentez envers un personnage, envers une histoire, envers un enseignement, vous empêche littéralement de vivre Agapè. Alors surtout s’il te plaît, n’en parle pas.

Voix : Elle vous remercie.

J’ai donné d’innombrables peurs dans tout ce que vous avez entendu, bien avant les noces célestes qui authentifiaient, alors la meilleure authentification ça aurait été effectivement que tête de caboche donne les trois objets à la fraternité blanche universelle. Mais je crois qu’il a vu le piège, il a vu le piège pour lui, pas pour les autres, de se retrouver à la tête de quelque chose.

Vous savez que les frères et les sœurs, et quand ils ne comprennent pas ce qu’est Abba, ils vont accuser que c’est une secte, que c’est faux, ils n’ont rien compris les pauvres. Et tête de caboche a parfaitement été lucide sur ce coup-là. Ils ne voulaient pas prendre charge d’âmes, et surtout qu’il connaissait déjà des amis qui avaient fait partie de la fraternité. C’étaient des émotifs affectifs, incapable d’être libres. Il serait temps qu’aujourd’hui ils se réveillent. Ils sont dépendants et ils ont créé des relations de dépendance avec moi.

Comme avec tout maître. Regardez Osho, regardez certains êtres qui ont créé des mouvements parmi les Melchizedeks. Vous êtes piégés dès l’instant où des frères et des sœurs s’affilient avec vous avec la meilleure des volontés, parce qu’ils vous suivent, et il n’y a aucune autonomie dans le fait de suivre quelqu’un, et vous êtes dans la période, ça a été dit je crois, de l’autonomisation. Tout ça c’est archaïque, ce sont les modes de fonctionnement d’avant.

Vous n’avez besoin d’aucun pré-requis, je le répète, vous n’avez besoin d’aucune vibration, vous n’avez besoin d’aucune école, et surtout d’aucun mouvement, et encore moins d’une religion, parce qu’il faut vraiment être d’une stupidité sans nom quand vous regardez, aujourd’hui, quelle que soit la religion, sans aucune exception, hein, vous les regardez, ils sont sûrs qu’ils doivent se conformer à quelque chose pour être libres. Ils mettent une distance entre eux et la vérité.

Ils obéissent quelque part à une autorité extérieure, et bien sûr, c’est leur religion qui est juste, pas les autres. Je vous rappelle que Krishnamurti vous disait, il l’a répété en tant que frère K : Tant que vous vous déclarez bouddhistes, chrétiens, musulmans et juifs, vous êtes violents, vous êtes sectaires, vous excluez tous les frères et les sœurs qui ne sont pas dans la même religion que vous. Et c’est quelque chose d’inconscient, que vous le vouliez ou non.

Vous avez beau dire que le Christ, et vous êtes catholiques, aimait tout le monde, vous avez beau tendre l’autre joue, mais vous êtes piégés par les religions. De la même façon que jusqu’à ce qu’Abba dissolve l’anomalie primaire, vous étiez piégés par les religions, par les archétypes, par les grands maîtres, soi-disant. Il n’y a que Bidi qui vous a dit de ne suivre personne, Bidi n’a rien créé.

Et d’ailleurs à la suite, il y en a qui ont voulu prendre sa suite, mais qui peut oser dire prendre la suite de Bidi, même si ce sont des gens qui s’expriment aujourd’hui parfaitement sur l’Advaïta Vedanta, même s’ils retranscrivent fidèlement les paroles de Nisargadatta, ils ont fait exactement l’inverse, il n’y a pas de successeur à Nisargadatta. C’est impossible. Toutes les techniques de transmission, soi-disant de l’initiation du Maître au moment de sa mort, à quelqu’un qui allait porter les mêmes choses que lui, et vous avez eu la même chose avec Eram Shangra Babuji, Maître Ram…

Vous avez eu la même chose avec Frère K, quoique lui il en est sorti. Vous avez eu, exactement la même chose avec Shri Aurobindo. Ils peuvent attendre longtemps à Auroville, hein, le retour du supra mental, il est là.

Ils ont créé un idéal, l’idéal il n’y en a pas, il n’y a que l’instant présent. Dès que vous avez un idéal, vous n’êtes plus dans l’instant présent, vous n’êtes plus disponibles pour Agapè, c’est aussi simple que ça, et je crois que tête de caboche avec toutes ses connaissances du cerveau, il l’a exprimé d’innombrables fois. Mais à croire que certains frères et sœurs n’ont pas suffisamment de bon sens, tout simplement.

Ils sont piégés par la peur, par la souffrance. Vous voyez bien le sourire des frères et des sœurs qui vivent Agapè. Le sourire, le service, quand vous vous prenez dans les bras, même sans faire les techniques qu’a mises au point tête de caboche, vous le vivez. Et vous croyez que ces frères-là vont pouvoir le vivre ? Alors soit ils s’isolent, ils refusent de rencontrer des frères et des sœurs en mettant en avant qu’ils ont besoin de repos et de silence, mais ils ne partagent pas.

Soit vous avez des frères et des sœurs qui vont mettre en avant leur conscience, la confrontation. Celui qui est en Agapè ne peut pas être confronté, il est libre. Apparemment les nez rouges ont du mal à le comprendre, et ils ne peuvent pas le vivre, donc c’est normal qu’ils ne le comprennent pas.

C’est ce que disait le Christ : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ». Mais vous êtes tous le Père, vous êtes tous Abba.

Alors bien sûr, pour tous ceux qui sont dans des histoires d’évolution, de vibration, ce n’est pas possible. Mais ça se voit, je vous le dis, comme le nez au milieu de la figure, et ça va être de plus en plus comique, vraiment. Il y a ceux qui sont en Agapè, il y a tous ceux qui dorment, mais qui seront les premiers, parce qu’ils étaient insérés dans l’instant présent, même quand ils affirmaient qu’ils ne croyaient en rien et qu’ils ne vivaient rien, ils sont bons, ils sont humains, et vous avez, effectivement tous ces spiritualeux qui aujourd’hui sont un obstacle.

Ils résistent, ils nourrissent l’opposition, ils nourrissent la confrontation, et ne vivent pas Agapè. Et d’ailleurs ils s’y opposent, pour une raison ou pour une autre, ils ne vont faire que vous dire que Agapè c’est de la connerie, et que ce que dit Abba vous emmène, soi-disant, au néant.

Mais ils ne l’ont pas vécu que l’Amour venait du néant et qu’ils sont aussi bien ce néant. Et pourtant, c’est ce qu’a passé tout son temps à dire Nisargadatta, et pourtant vous avez des frères et des sœurs qui vous ont laissé, plus récemment, qui sont encore vivants ou décédés, les mêmes témoignages avec des mots simples, dépouillés de toute tradition.

Quand il n’y a plus rien, quand tout est le néant, il y a TOUT.

Mais bien évidemment, ces nez rouges ne peuvent pas le vivre, et je ne le dis pas méchamment, je le dis sans aucune animosité, je le dis parce que c’est la vérité, ils ne peuvent pas le vivre, mais ils ont aussi leurs fonctions, ils ont aussi leurs rôles, mais ils ne le savent pas encore.

Je vais aller très loin aujourd’hui, je vais vous dire que tous ceux, sans aucune exception, qui ont, qui ont eu, c’est fini, une lignée reptilienne, ou une ascendance reptilienne, font partie des prédateurs, quelle que soit leur gentillesse, ils portent ça en eux, c’est leur nature, ils ont besoin de contrôler, ils ont besoin de diriger, ils ont besoin de maîtriser et ils ne laissent pas l’autre libre, quoi qu’ils disent.

La liberté n’a que faire des règles et je vous répète, s’il n’y a pas d’humour, il n’y a pas d’Amour. C’est aussi simple que ça, sans même parler de joie, ou de respiration du cœur, ou de rayonnement du cœur, quel que soit ce que vous en sentez dans la poitrine, vous êtes légers ou pas.

Et tous ceux qui ont cette ascendance reptilienne ou cette lignée reptilienne doivent voir qu’à travers leurs simagrées de conscience, leurs énergies, leurs vibrations, ils cherchent le contrôle et l’ascendance, quoi qu’ils disent. C’est mathématique.

Encore une fois, je ne les condamne pas, parce que je les aime par dessus tout, et celui qui vit Agapè ne peut pas être trompé. Celui qui a l’impression qu’il a été trompé, c’est parce qu’il n’a pas vécu Agapè, et qu’il y a encore de la souffrance, de la peur, du manque en lui, et il pense pouvoir combler ce manque, ou vaincre cette peur par le contrôle, par le besoin de contrôler, par le besoin de diriger, par le besoin d’être écouté, par le besoin d’avoir des adeptes.

Ils fonctionnent comme ça, c’est leur nature, ce n’est pas leur état naturel, mais c’est leur nature au sein de l’incarnation. Mais tout est parfait. Rien n’est à une autre place que sa place, que vous le vouliez ou non.

En Agapè, vous ne pouvez rien vouloir, vous ne pouvez que constater cela. Et puis ne perdez pas de temps, il y a suffisamment de frères et sœurs à aimer, partout autour de vous, l’enfant que vous croisez dans la rue, les circonstances et les prétextes de toutes rencontres, je ne parle pas d’ici, mais de n’importe où, tout n’est que prétexte à vous permettre de servir, de rayonner Agapè.

Vous voyez. Est-ce que vous êtes d’accord avec ça ceux qui vivent Agapè ?

… Oui … Oui, oui …

Est-ce que vous n’êtes pas d’accord avec ça ceux qui ne vivent pas … Heu, ils ne vont pas répondre, bien sûr.

(Rires)

C’était une blague. Mais on voit vos nez rouges, mais ne vous inquiétez pas, vous êtes aimés par dessus tout, parce que vous êtes nous. Vous, vous le refusez, mais nous, nous le savons, nous le vivons. Et quand vous en aurez marre de voir des frères et des sœurs qui vous aiment et qui ne veulent plus vous entendre, ne veulent plus vous suivre, ne veulent plus être contrôlés, et bien, comme on dit vulgairement, vous lâcherez l’affaire, et vous rirez de vous-mêmes. Avec un certain mal-être, mais ce n’est pas grave, ça passera.

Vous pleurerez un bon coup, comme tous ceux qui ont découvert il y a des années qu’ils avaient cette origine reptilienne et qui ont enfermé les mondes, vous avez eu votre place tout autant que Marie, je vous l’ai dit. Mais oubliez les rôles, oubliez les archétypes. Ils ont tous été falsifiés, même Marie, même Christ.

La grandeur aujourd’hui, la grandeur du rayonnement, pas la grandeur de l’égo, se vérifie à travers l’humilité, et certainement pas après des pouvoirs vibratoires ou des visions, ou la capacité à fédérer des êtres.

Vous voyez bien partout en vous, autour de vous, dans tous les pays, le nombre de mouvements spirituels qui existent. Il n’y a aucun espace de liberté là-dedans. L’autonomie est la liberté, ce n’est pas un vain mot, c’est n’appartenir à personne ni à rien, c’est ça l’autonomie, et je conçois tout-à-fait que, jusqu’à présent, il y avait une forme de sécurité ou de confort à adhérer à des mouvements, à des religions, mais aujourd’hui, c’est un poids énorme, ça vous empêche d’être libres.

Rendez-vous compte, j’insiste beaucoup sur ça, parce que vous allez voir que les nez rouges, ils vont être de plus en plus virulents. Laissez-les se consumer. On en reparlera quand le signe du ciel, si on a l’occasion bien sûr, quand les signes célestes seront là.

Allez, on continue. Je crois que je reste, hein, tête de caboche, il se repose, c’est très bien comme ça. Et puis lui, vous l’avez eu suffisamment longtemps, hein.

(Rires)

Et moi, je suis tellement content de pouvoir m’exprimer.

… Nous aussi.

Vous me dites aussi si vous avez besoin d’un moment de repos, parce que ça commence à chauffer beaucoup, au niveau des chakras, de la tête, c’est normal, ce n’est pas moi qui fais quelque chose, c’est votre accueil qui fait ça.

Voix : Oui, on va s’arrêter un petit peu, pas longtemps…

D’accord, on fait…

… Pas longtemps quand même…

Oh, le temps que vous voulez, il n’y a pas d’impératif d’horaire, alors je ne vous salue pas et je ne vous dis pas à la prochaine, et je me retire de suite, et quand vous voulez revenir, je reviendrai, à moins que tête de caboche ne me laisse pas revenir, mais ce n’est pas lui le maître, hein, c’est moi.

(Rires)

Allez, je vous dis à tout de suite, à bientôt.

(Interruption)

***************

Et bien chers amis, nous allons reprendre nos entretiens, je reste avec vous, tête de caboche me laisse la parole, et je suis très content de rester un peu plus longtemps avec vous.

Alors si vous avez des questions, n’hésitez pas, nous reprenons.

Nous en étions restés, je crois, sur les ascendances et les lignées reptiliennes, c’est ça, bien. Alors nous prenons un sujet, ce que vous voulez en fait, n’hésitez pas.

(Tout le monde s’installe)

Il faut toujours le temps de relancer la machine.

Voix : Ça y est, tout le monde s’installe.

Vous êtes bien sages, hein.

Alors, qui reprend le cours des questions, ou des témoignages, ou dans ce que vous avez envie de dire …

Voix : Il y a une question.

Alors on écoute.

Voix : Est-ce qu’il peut poser des questions un peu plus terre à terre ?

Oui, bien sûr, si je suis capable d’y répondre.

Frère/Voix : Voilà, lorsqu’il y a par exemple un choc émotionnel, il va y avoir comme une espèce de vide, de plénitude de vie, de pleine vie quoi…

Tout-à-fait. Mais ça commence d’abord ce que tu appelles les chocs émotionnels, qu’ils soient récents ou anciens, tu le sais très bien, vont bloquer certaines zones précises du corps. Ah, en général, c’est soit ce que vous nommez le plexus solaire, le Manipura chakra, mais aussi de plus en plus maintenant, le chakra de la gorge.

Donc quelle est ta question, après bien sûr, il y a un vide, mais au départ, c’est une obstruction, l’énergie est figée.

Voilà, alors est-ce que, à ce moment-là, il y a une espèce de forme de vie, comme un parasite qui peut s’installer dans ce vide et entretenir le déséquilibre, entretenir des troubles ?

Oui, bien sûr, c’est parfaitement connu, c’est ce que vous appelez les parasitages, les possessions, mais, aujourd’hui, je te rappelle qu’avec Agapè, dès l’instant où tu l’as vécue, une fois, tu n’as même plus besoin de t’occuper d’une entité ou d’une possession.

Si tu te mets en résonance Agapè, ou en Feu du Cœur Sacré, aucune entité, je dis bien aucune entité, quelle qu’elle soit, ne peut résister. Même si le frère ou la sœur qui porte cette entité, elle ne vit pas Agapè, il suffit que toi tu le vis, et sans penser à chasser ou dégager comme on dit, cette entité, tu te mets en Agapè résonance, en Feu du Cœur sacré, et tu constateras que aucune entité ne peut subsister face au Feu du Cœur Sacré.

Sauf bien sûr, un cas, et qui existe, hein, contrairement à ce qu’on pourrait penser, où celui qui porte cette entité l’a acceptée et a établi, comment vous dites, une espèce de symbiose ou de partenariat. Là, bien évidemment, Agapè ne pourra rien faire. Mais s’il y a une demande sincère d’un frère ou d’une sœur, surtout aujourd’hui, ne retournez pas dans la dualité, c’est-à-dire dans les exorcismes, ou les dégagements, ou les prières ou les rituels.

Mettez-vous en Agapè, et vous constaterez qu’aucune entité ne peut demeurer avec Agapè que vous émettez, si je peux dire. Donc c’est beaucoup plus facile, dès l’instant où vous vivez Agapè, de demeurer en Agapè, et même si vous ne le sentez pas, vous avez les gestes, vous ne pouvez pas les faire dans ces moments-là, mais rien ne vous empêche par exemple de croiser les chevilles, rien ne vous empêche de prononcer Agapè, Agapè, Agapè – Phahame, Phahame, Phahame, et de vérifier que ça suffit à désobstruer et à rétablir la circulation, comme tu dis, de l’énergie ou de la vie.

…De la vie, voilà…

Tout-à-fait. Je dirais que, même que l’action d’Agapè, est de loin supérieure par exemple à ce que je faisais quand j’étais incarné, où j’étais obligé de faire appel à la kabbale, à l’arbre des Séphiroths, à des rituels magiques, la magie blanche, bien sûr, mais c’était de la magie.

Aujourd’hui, la magie d’Agapè est bien plus puissante que toute action liée à votre volonté ou à votre connaissance. La simple montée vibratoire que vous connaissez pour certains depuis des années, sans même parler d’Agapè, suffit le plus souvent à dégager, comme vous dites, ces entités. Et je crois d’ailleurs que vous avez mené avec Abba durant de nombreux mois, le processus qu’il avait nommé l’absorption des essences, je l’ai dit la dernière fois, où certains d’entre vous se faisaient un festin, et en absorbant les démons, en les mangeant littéralement.

Vous aviez déjà eu la preuve, pour beaucoup d’entre vous, de l’action de l’absorption des essences. Aujourd’hui, avec les rayonnements, ou si vous préférez le Feu du Cœur Sacré, cette radiance particulière, aucune entité ne peut résister. Parce qu’il n’y a plus d’anomalie primaire et que Agapè est ouverte à tous.

Et encore une fois, je le répète, même les archontes ne peuvent se maintenir quand vous vivez Agapè, c’est impossible.

… Merci, c’est bien ce que je voulais entendre. Merci.

C’est parfait alors.

Allez, autre question, ou autre chose à témoigner aussi, ce que vous avez envie de dire est important, ne réfrénez rien. Je ne vous engueulerai pas comme Bidi, moi, vous le savez.

(Rires)

Mais je n’ai rien contre Bidi, hein

Voix : Il ne nous engueule plus maintenant.

Ah, il ne me semble pas que la dernière fois il n’ait pas poussé deux ou trois gueulantes.

Voix : Ah, si, si, je crois, oui c’est vrai.

(Rires)

Mais bon, c’est sa façon de vous traverser, de vous transpercer et de vous libérer.

Voix : Un frère voudrait exprimer quelque chose.

Qui ?

Voix : Un frère.

Ah, un frère. Alors on t’écoute.

Voix : Il n’est pas sûr de pouvoir transmettre ce qu’il veut transmettre.

Ce n’est pas grave, sois spontané, et si je ne te comprends pas, il y en aura certains autres qui comprendront. Ne t’inquiète pas de cela, sois vrai et sois spontané, ne réfléchis pas, ça va sortir tout seul. C’est aussi une des particularités d’Agapè. Vous n’avez pas besoin de réfléchir des phrases. Rappelez-vous que quand Agapè a été là, ne serait-ce que deux minutes, ce qui sort de vous est le Verbe. C’est pour ça que nous avons insisté sur le fait, et que nous vous avons répété sans arrêt de ne pas juger, mais surtout de ne pas vous juger non plus. Et plus tu es spontané dans ce qui sort, sans réfléchir, plus ça a des chances d’être juste. Donc vas-y, ne réfrène rien.

Frère/Voix : Je me rappelle depuis ma plus tendre enfance, d’avoir eu accès à tout un tas de leçons spirituelles, je sentais que mon être était vraiment en attente de ça, permanent…

C’était à quel âge, excuse-moi ? Tu avais quel âge quand tu dis que tu étais jeune ? C’était avant quatorze ans ou après ?

… Six ans, sept ans…

Tout-à-fait, c’est l’âge où je te rappelle où le corps astral, c’est-à-dire l’individualité de l’âme, n’est pas encore complète et il y a donc encore une certaine forme de plasticité à cet âge-là, oui. Je t’écoute, poursuis.

… Mes parents étaient dans le christianisme, donc j’ai déjà eu accès à ça, et j’ai trouvé rapidement mes limites, très jeunes. J’ai eu accès ensuite aux témoins de Jehova, et puis d’autres religions comme le bouddhisme par la lecture…

Oh tu sais, je crois que si on demandait à tous les frères et sœurs qui sont là et partout, nous sommes tous nombreux à être passés par différentes expériences, on va dire.

… Et tous ces accès-là m’ont toujours, je veux dire, il y a toujours une limite à quelque chose, il y a quelque chose je sentais que c’était limité. Donc à chaque fois j’en sortais, et aujourd’hui il ne s’agit pas en tout cas de ce que j’ai vécu ce matin…

Qu’est-ce qu’il a vécu ce matin ?

Voix : Ce matin il a ressenti une énorme émotion en ayant accès à la technique Agapè, avec les mains sur le crâne, et il a ressenti une énorme émotion. S’il a bien compris que tous ceux qui s’enferment dans un chemin spirituel sont, entre guillemets, dans l’erreur, …

Aujourd’hui, vraiment. Mais je le répète, aucune culpabilité par rapport au passé, parce qu’à l’époque, je ne sais pas si c’est il y a dix ans, mais même il y a quelques années, il n’était pas possible de faire autrement, tu comprends cela ? D’accord, continue

… Ma question est de me demander si ce dont j’ai eu accès jusque là, et ce dont j’ai accès là aujourd’hui et que je touche du doigt et qui m’a été démontré très concrètement, est-ce que ce n’est pas …

(Fin de la vidéo, problème de pile ou autre)

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