O.M. AÏVANHOV (Malaga) – 11 Juillet 2019
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O.M. AÏVANHOV (Malaga) – 11 Juillet 2019
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O.M. Aïvanhov (Malaga)
Franco/Espagnol
11 Juillet 2019
Et bien chers amis, je suis extrêmement réjoui de cette venue impromptue, et je vous transmets tout d’abord toutes mes bénédictions pour cette entrevue franco-espagnole.
Alors, comme d’habitude, je vais répondre aux questions que vous allez me soumettre. Ça me donnera aussi par ailleurs, l’occasion, durant cette période qui avait été déterminée par les cétacés, dans laquelle vous êtes immergée si je peux dire, de vous donner quelques éléments, que peut-être vous vivez, en cette période si intense.
Alors chère amie traductrice, je t’écoute, et en français pour moi d’abord, ou en espagnol d’abord et en français après, c’est toi qui vois.
Elisa : (En espagnol d’abord) Qu’y a-t-il de certain dans le conflit des confédérations galactiques de certains … des polarités ?
Elle t’a parlé de conflits ? Qu’est-ce qui a, t’es certain dans quoi ?
Elisa : Du conflit des confédérations galactiques sur plusieurs polarités. Moi je dois dire que je n’ai pas compris cette question non plus.
Et je ne suis pas sûr d’avoir compris. D’abord, il existe une confédération intergalactique des mondes libres, il existe une autre appellation d’un autre groupe qui est effectivement nommée confédération galactique tout court, mais vous savez très bien, aujourd’hui, que tout ça appartient au rêve. Et je ne vois pas l’intérêt de vous parler encore de données de l’histoire.
Est-ce que vous êtes en train de constater que vous sortez de toutes les histoires ? Alors je ne vais pas non plus vous raconter des histoires. Ce que vous avez à vivre se déroule ici et maintenant, dans votre vie de tous les jours. Quel est l’intérêt de connaître la gazette du Cosmos, puisque tout vous a été dit, et qu’en plus, vous constatez dans vos cieux, la présence déjà d’innombrables vaisseaux, et que la résolution du rêve est tout, sauf un conflit.
Le seul conflit, je dirais, c’est l’embouteillage pour venir sur terre en passant par les portes stellaires.
(Rires)
C’est un embouteillage, mais je vous assure que tout le monde est très calme et se réjouit. Et tous ceux, d’où qu’ils viennent d’ailleurs, qui s’approcheraient dorénavant de ce système solaire, seraient contaminés par la liberté qu’il y aura, ici sur terre.
Alors je sais pertinemment que vous avez dit que vous avez d’innombrables frères et sœurs humains, qui aiment alimenter, si je peux dire, la dualité, les conflits, Abba vous l’a dit, comment voulez-vous aller bien si vous imaginez des conflits partout. En quoi ça va vous aider à résoudre votre propre histoire si je peux dire. Vous ne pouvez pas être dans l’histoire, quelle qu’elle soit, et vivre la liberté, et vivre Agapè.
C’est l’un ou l’autre. Où portez-vous votre conscience, votre attention, sur vous, au cœur du cœur, là où il n’y a que la joie, ou sur encore autre chose ? Il n’est plus temps de jouer, il est temps d’être vrai, et la vérité ne connaît aucune histoire.
Nous-mêmes, nous vous avons raconté une histoire, réelle, mais pour vous amener à vivre ce qui est à vivre maintenant, c’est-à-dire la joie, la liberté, la fraternité et mettre fin à toute histoire.
Donc je ne comprends pas bien cette histoire de conflit. Voilà ce que je peux répondre.
Si tu veux bien, passons à la question suivante.
Elisa : Les abeilles sont en train de mourir. Elles s’en vont définitivement. Que va-t-il se passer avec la pollinisation ?
Et vous, qu’est-ce que vous comptez faire ? Rester là ? Et je vois qu’il y a encore beaucoup de frères et sœurs espagnols qui rêvent là. Ce ne sont pas que les abeilles qui disparaissent, ce sont tous les insectes, tous les mammifères, et je vous rappelle que quand nous sommes en accord, ici, sur terre, nous sommes aussi un mammifère.
Donc, celui qui s’inquiète de la disparition des abeilles, ne vit pas sa propre disparition, sa propre liberté du rêve de la création.
Qu’est-ce que vous voulez guérir, de quoi voulez-vous vous préoccuper, en cette période, si ce n’est de votre cœur, et votre cœur ne connaît aucune histoire. Donc qu’est-ce que c’est encore que cette question, ça a été dit dans tous les sens possibles.
Mais il y en a qui ne veulent pas entendre la vérité, alors que tous vos scientifiques sont au courant qu’est-ce qui est actuellement, je crois même que vos médias officiels sont obligés de l’évoquer.
J’invite ceux qui posent ce genre de questions sur le conflit ou sur les abeilles à vérifier où ils sont. Dans l’histoire, quelle qu’elle soit, ou dans la liberté. Occupez-vous de la liberté, ne vous occupez de personne d’autre, vivez totalement ce que vous avez à vivre.
Mais si vous commencez à vous poser des questions sur après, vous n’êtes pas disponibles pour la vérité, et la vérité c’est la joie, la légèreté, réellement vécues, c’est Agapè, c’est le Feu du Cœur Sacré. Regardez les frères et les sœurs qui vivent Agapè, ils ne s’intéressent qu’à l’instant présent, seul endroit où est l’Amour.
Mais vous ne pouvez pas être Amour, et nourrir des histoires, ce n’est pas possible. C’est d’ailleurs comme ça que vous pouvez vous-mêmes, en quelque sorte vérifier, si vous êtes encore dans un scénario, ou dans la vérité.
Si vous perdez votre temps à être dans les conséquences et interrogations de tout ce qui se vit de partout sur cette planète, vous perdez du temps par rapport à la liberté et à la joie. Ça a été expliqué déjà depuis de nombreux mois, donc pour l’instant, je ne comprends pas bien pourquoi vous me posez ce genre de questions.
Ou alors vous n’avez pas regardé autour de vous, vous n’avez pas ressenti cet appel à la liberté, et à la joie. Et je répète comme d’autres, comment voulez-vous aller bien, si vous parlez ou regardez ce qui va mal, parce que ce qui va mal, c’est le rêve, et ce qui va bien, c’est la vérité.
Vous ne pouvez pas échapper à cette unique vérité. Qu’est-ce que vous cherchez à comprendre, à projeter, à essayer de trouver des solutions, sur cette planète ou dans toutes formes.
Abba vous l’a répété et asséné depuis longtemps comme Bidi. Quand nous vous disons que c’est la fin du rêve de la forme, et pas seulement la fin de la séparation ou de l’enfermement, interrogez les frères et les sœurs qui vivent cet état de liberté.
Qu’est-ce que vous voulez imaginer ou projeter ? Soyez plutôt disponibles pour ici et maintenant, pour la fraternité, pour l’humilité, parce que c’est comme ça que vous vous trouvez, mais ce genre de questions vous empêche de vous trouver réellement, parce que vous n’êtes pas disponibles pour la vérité.
Alors nous pouvons continuer.
Elisa : Est-ce que vous pourriez m’expliquer en détail à quoi vous faites référence, entre les vaisseaux de lumière et les vaisseaux de ferraille. Quel serait le propos ? Merci.
Mais il n’y a …
Elisa : C’est une amie de Mexico qui dit ça, non ?
Il n’y a aucune différence aujourd’hui, que ça soit un vaisseau de lumière qui est dans vos cieux, de quelques dimensions qu’ils viennent, avec les vaisseaux de ferraille. Je crois que pour l’instant, nous avons des questions de frères et de sœurs qui ne sont pas du tout au courant de ce qu’il se déroule.
Mais la différence apparente, un vaisseau de ferraille, c’est de la ferraille et un vaisseau de lumière c’est de la lumière.
La ferraille vient de la troisième dimension, unifiée comme dissociée, comme on disait, alors que les vaisseaux de lumière, qui font partie de la confédération intergalactique des mondes libres, viennent des autres dimensions, à partir de la cinquième.
Mais aujourd’hui la fin du rêve de la création, de l’illusion, demandez aux frères et aux sœurs qui le vivent, tout ça est en vous, et pas à l’extérieur de vous, réellement et concrètement.
Si vous ne le percevez pas, c’est que quelque part, soit vous êtes encore dans votre tête, soit vous êtes encore dans l’histoire, et donc la dualité
Mais je le répète, tant que vous êtes encombrés de ce genre de questions, comment voulez-vous vivre la vérité, ce qui est à vivre ici et maintenant. Nous avons tous répété, les uns et les autres, que c’était la fin du rêve.
Je vous invite à vous poser la question de quel rêve vous voulez poursuivre, alors que vous avez parmi vous et autour de vous, d’innombrables frères et sœurs, qui voilà des années par exemple, sont montés réellement et concrètement dans nos vaisseaux de lumière, et qui aujourd’hui, n’ont que faire de ces histoires, parce que l’Amour, Agapè, ne peut plus laisser subsister ce genre de questions.
Et pour l’instant, les premières questions que vous m’avez soumises montrent apparemment que vous ne vivez pas Agapè. En Agapè, les vaisseaux, c’est de la rigolade, puisque ça appartient à la création, ça appartient au rêve, et que rien de tout ça n’est le réel. Et c’est accessible tout de suite, dès l’instant où vous arrêtez de poursuivre des chimères, sur une quelconque continuation déjà sur cette terre, de quelque vie que ce soit.
Ce n’est pas pour rien si les médias dans tous les pays vous évoquent de façon de plus en plus directe, les processus de l’effondrement, ou de l’extinction globale.
Qu’est-ce que vous refusez, qu’est-ce que vous nourrissez ? J’espère que toutes les questions ne sont pas comme ça.
Alors, poursuivons.
Elisa : Qu’est-ce qu’on ressent quand on se trouve dans l’Absolu ?
On ne ressent rien, on l’est. Vous êtes au temps zéro, il n’y a rien à voir, il n’y a rien à ressentir, mais vous êtes légers. Vous ne pouvez, comme l’a dit Abba, que vous reconnaître. C’est tout. Il y a, comme ça a été dit, une évidence, une joie sans objet, la joie nue. Vous n’êtes plus jamais dupes de votre propre corps, de votre propre histoire, ou de quelque scénario que ce soit.
Vouloir savoir ce qu’on ressent dans l’Absolu ne t’est d’aucune aide, comme cela a été dit, mais comme tous les frères et sœurs, de partout sur cette planète en témoignent, c’est évident. C’est un Amour indicible que vous ne pouvez que reconnaître, puisque l’inconnu est devenu connu, au travers même de cette forme.
Donc il n’y a rien à ressentir, et quel que soit ce qui est ressenti, quel que soit ce qui a été vécu antérieurement, je prenais l’exemple des frères et sœurs qui ont voyagé dans les vaisseaux, et réellement, ils n’en ont plus rien à faire.
Vous êtes libres, vous êtes véritables, et vous ne pouvez plus vous questionner sur un quelconque avenir ou sur un quelconque scénario, parce que vous êtes tellement immergés dans le cœur du cœur, au point zéro, que c’est indicible, et que ça ne s’accompagne d’aucune projection possible, ni d’aucune souffrance venant de l’histoire.
C’est la véritable liberté, ça a été dit, intérieure et extérieure. Voilà ce que je peux répondre. On va passer à la question suivante, mais si vous n’avez que des questions sur le devenir, de ce genre, ça ne sert à rien.
Elisa : Cette question elle est un peu sur le devenir, mais elle est quand même importante dans le sens, enfin j’estime, que le temps qui reste ça peut ne pas être marrant.
Le temps qui reste, est très marrant pour celui qui est Agapè. Seul celui qui ne vit pas Agapè va être de plus en plus dans la souffrance, ça a été dit et redit.
Elisa : Qu’est-ce qui va se passer avec la 5 G, qui est déjà arrivée.
Qu’est-ce qui va se passer quand ?
Elisa : Quand la 5 G, la 5 G arrive sur terre, qui est déjà sur l’Espagne.
Vous allez tous mourir de la même façon.
(Rires)
Que ce soit version simulacre et mauvais garçons, que ce soit la lumière blanche, le paradis blanc, vous allez revivre, c’est-à-dire que vous devez mourir à l’illusion, de vous croire un scénario, une histoire ou à quelque chose qui doit devenir quelque chose. Personne ne peut vous convaincre, mais je vous invite à lire et à relire les témoignages dans toutes les langues, des frères et des sœurs qui vivent la liberté.
Parce que les questions que vous posez maintenant concernent l’histoire, concernent la peur, la disparition des abeilles, la 5 G, les vaisseaux de ferraille, rendez-vous compte, vous êtes attardés là un peu.
(Après traduction)
Je ne parlais pas de l’Espagne, je parlais d’ici, ceux qui posent les questions.
(Rires)
Elisa : Bon alors la suivante.
Moi je croyais être venu pour vous parler de ce qui est à vivre, là, dans ce corps.
Après la 5 G, vous allez avoir quoi, là ? Je t’écoute.
Elisa : Il y a des gens qui disent qu’on est en train de former une autre terre dans un autre plan de fréquence.
(Rires)
Je répète, laissez les rêveurs rêver. Vivez Agapè et vous verrez que tout ça c’est du pipeau.
Je répète, vous n’avez à croire personne, mais tant que vous n’êtes pas installés dans la vérité, vous allez faire redémarrer les petits vélos, là. Je vous redis, lisez, interrogez les frères et les sœurs qui vivent Agapè, ils sont dans la vraie joie, dans la véritable humanité et humilité.
Mais toutes les questions que j’entends jusqu’à présent, ce sont encore des frères et des sœurs qui rêvent, qui sont encore inscrits dans la forme. Mais si vous viviez Agapè, vous ne pourriez jamais poser ce genre de questions, c’est impossible.
Si vous ne voulez pas lire les témoignages, regardez ce qui se passe, pas dans votre village ou votre ville ou votre pays, regardez ce qui se passe de partout sur la terre. Si vous croyez qu’il y a une nouvelle terre, une nouvelle civilisation, un nouveau cycle, il est évident que vous ne vivez pas la vérité.
Et tous ceux qui vous racontent ça sont égarés, ils sont dans le trouble, mais c’est impossible qu’ils vivent cet Amour indicible qui est offert à chacun. Mais aujourd’hui, et je le répète avec fermeté, surtout dans les jours où nous sommes, c’est Agapè ou la souffrance. Et c’est comme ça que ça va se passer.
Et vous vous doutez bien que tous les rêveurs, qui aujourd’hui ne vivent pas Agapè, ne peuvent que vous emmener dans leurs visions, leurs projections, et qui sera une souffrance.
Alors que celui qui est Agapè, qui vit l’Absolu, qui est Absolu, qui a traversé tout, n’a que faire de quelques visions ou de quelques lendemains. Agapè est dans l’instant présent, et le simple fait de poser ces questions, démontre avec aisance, que vous êtes encore en train de rêver.
Agapè c’est la sortie du rêve, c’est la vérité, tout le reste, ce ne sont que des projections des rêveurs, ou de ceux qui suivent le rêve, plutôt que de vivre la vérité indicible de l’Amour.
C’est l’un ou l’autre, mais ça ne peut certainement pas être les deux, vous allez vous en apercevoir très vite si ce n’est pas le cas.
Tout ce qui vous éloigne, d’une manière ou d’une autre, d’Agapè, de l’instant présent, est destiné à vous éloigner de la vérité.
Il n’y a personne à suivre. Il n’y a personne à croire, il y a juste à accepter que vous êtes Agapè, que vous êtes antérieurs au rêve, antérieurs à toutes formes, parce que c’est là la liberté, et c’est là la vérité absolue. Tout le reste, ce ne sont que des chimères, surtout maintenant.
Je crois qu’il y a peut-être beaucoup de frères et de sœurs qui sont là, n’ont pas écouté ou entendu Abba, ou Bidi, ou d’autres, et qu’en plus, ils n’ont pas regardé attentivement autour d’eux.
Les Hayot Ha Kodesh, les éléments, les quatre cavaliers sont en pleine action de partout sur la terre. Qu’est-ce que vous espérez ? C’est à ça que je vous invite à vous interroger. Parce que si je n’ai que des questions comme ça, ça sera toujours la même réponse. Je ne peux plus me permettre de vous raconter des histoires, parce que la vérité est là.
A vous de voir, qu’est-ce que vous vivez, la vérité ou un scénario ?
Alors, autre question peut-être.
Elisa : Comment vous voyez l’humanité dans les pas de réveil de ce rêve ?
Comment je vois quoi ?
Elisa : Comment …?
C’est en espagnol ou en français ?
Sœur : Comment voit-on l’humanité avec les pas, devant les pas du réveil de ce rêve ?
J’ai entendu, mais je ne suis pas sûr de comprendre.
Sœur : Comment voit-on l’humanité du réveil de ce sommeil ?
Mais c’est une joie, c’est une célébration. Nous voyons de partout, dans tous les peuples, la sortie du rêve, ce sont les frères et les sœurs dont je vous parlais qui vivent Agapè.
La liberté ne vous empêche pas de faire ce que vous avez à faire chaque jour, à prévoir des vacances, à prévoir ce que vous voulez, mais sans dépendre de ce que vous prévoyez. Ceux qui vivent et qui sont Agapè sont pleinement vivants. Ils vivent déjà, et pour certains depuis de nombreux mois, la béatitude du paradis blanc.
Alors toutes vos histoires de 5 G, d’abeilles ou de vaisseaux de ferraille, ça ne veut rien dire aujourd’hui, et je dirais même, c’est anachronique, ou alors vous débarquez, sinon je ne vois pas bien, et je ne comprends pas bien ce que vous voulez me demander.
Parce que là vous me posez des questions uniquement sur l’histoire, sur un devenir, mais je n’entends aucune question sur votre vécu, sur ce que vous vivez, là, tout de suite, et encore une fois, il nous est impossible de vous mentir, ou de créer des histoires ou des scénarios. Ceux qui font ça aujourd’hui sont des rêveurs.
Alors à vous de voir si vous voulez continuez à rêver et à souffrir, ou si vous voulez être joyeux, légers et libres.
Autre question.
Elisa : Et où je vais dans ma relation d’amour ?
Comment ?
(Rires)
Tu as parlé en quelle langue, là ?
Elisa : Je vais où en ma relation d’amour.
Je n’ai rien compris, tu ne vas nulle part, tu n’as jamais bougé. Tu veux aller où ? Le réveil, c’est justement la liberté, c’est justement de comprendre, par les vécus, mais tu n’as nulle part où aller, puisque tu as toujours été là, avant même la création. Pourquoi veux-tu aller quelque part, ailleurs qu’en la vérité, ailleurs qu’en le cœur du cœur.
Le cœur du cœur c’est la fin de tous les mystères, de tous les sentiments ou vécus de manque. C’est à vous de décider où vous vivez, en ce moment. Dans le rêve et sa souffrance, et ses manques, avec ses manques, ses souffrances, ou dans la liberté d’Agapè.
Cela va être de plus en plus tranché, vous avez été prévenus. Encore une fois, interrogez ou ressentez tous ces frères et sœurs de partout qui vivent la liberté. Pour l’instant, je ne vois que des questions d’ordre historique, qui se croisent dans la logique du rêve, et qui n’est pas la liberté.
Et aucune réponse à ce genre de questions ne peut vous permettre d’être vrais, mais au contraire vous éloignent de la vérité, qui je le répète, est présente pour chacun. Je l’ai dit la dernière fois, vous êtes des millions à vivre cette liberté et cette vérité. A vous de voir. C’est l’un ou l’autre.
C’est une épidémie d’Amour et de vérité. Le temps zéro, et pas seulement les particules adamantines ou la lumière, est accessible pour chacun. C’est vraiment un choix.
Et ne me dites pas que vous ne le vivez pas, c’est que vous n’avez pas encore choisi, vous n’avez pas accueilli, vous n’avez pas accepté, vous n’avez pas traversé, d’où le manque, d’où ce genre de questionnement.
Allez, on continue, j’espère que je vais avoir un peu des questions qui sortent un peu de cela.
(Discussion animée dans la salle)
(Rires)
Alors vas-y, j’entends les rires, je pense que, non mais j’écoute …
Elisa : Je vais essayer de traduire. Il court une information dans les médias que pour le 20 juillet, nous devrions, nous attendons la visite d’êtres extraterrestres. Qu’y a-t-il de vérité dans ça ? Ets-ce que cela fait partie justement de l’évènement.
Oui, bien, si vous pouviez avoir la visite de vous-mêmes, ça serait autrement plus agréable.
Je crois que cela fait partie des prophéties ou des prédictions d’un medium. Mais rendez-vous compte que, même si vous posez cette question, que vous êtes en train d’attendre une date, plutôt que de vivre la vérité. Et vous êtes tous contaminés par l’histoire ici; Il ne se passera rien le 20 juillet, rien du tout.
S’il se passe quelque chose, c’est entre le 2 et le 18.
(Rires)
Et s’il ne se passe rien…
(Rires)
… S’il ne s’est rien passé le 18, bon courage pour la suite pour ceux qui rêvent.
Sœur : Comment ?
S’il ne s’est rien passé le 18, bon courage pour ceux qui attendaient les extraterrestres ou je ne sais quoi.
(Rires)
Mais c’est une blague, toutes ces questions ou quoi ?
Vous croyez ce que vous vivez ou vous croyez ce que vous racontent les médias ?
Et vous savez très bien que dès qu’il y a une date qui est donnée, elle est toujours fausse. Et c’est normal. Vous êtes encore en train d’espérer les extraterrestres ? Mais les extraterrestres, c’est vous.
Vous avez tout rêvé, vous avez tout été, c’est ça qu’il faut réaliser et vivre. Tout le reste vous met … Tant que vous ne voyez pas ça et ne le vivez pas, vous êtes encore souffrants et malades. Comme dirait Bidi, vous êtes dans la maladie de la conscience. Vous êtes dans la projection, dans l’ignorance. Occupez-vous d’Agapè. Vraiment.
Ne nourrissez plus les scénarios qui vous parlent de demain. La vérité elle est là, au milieu de votre cœur, et pas dans les extraterrestres de lumière ou de ferraille, et pas dans la 5 G, ou la disparition des abeilles. Vous êtes encore hypnotisés par les apparences.
Je ne peux pas dire mieux, et je demande : ce n’est pas une blague ces questions-là ?
Allez, on continue.
Elisa : Chaque fois que je suis dans mon silence, je vois défiler des personnes en blanc et en noir. Qu’est-ce que ça pourrait être ?
Quand tu dis des personnes, ce sont des visages de personnes ou des personnes en entier ?
La différence est importante pour que je réponde.
Elisa : Oui, ce sont des visages.
Alors c’est uniquement les visages de tes vies passées. Tu rembobines le film, tu repasses par tout ce que tu as déjà vécu.
Elisa : Je vois des situations et des personnages que je n’ai jamais vus et que je n’ai jamais été.
Bien évidemment que tu ne les as jamais vus puisque c’est tes vies passées ! Et dans la phase actuelle, que vous rembobinez la création, certains d’entre vous effectivement peuvent repasser, et voir apparaître et disparaître successivement des visages. Ce sont les visages que tu as portés dans le rêve, ici même sur terre, ou même aujourd’hui ailleurs.
C’est le rembobinage du film de la création. Tu rêves, rien de plus. Tu as bien précisé que c’était des visages qui arrivaient, parce que si ce sont des scènes, des mises en scène, des films qui passent, ça n’a rien à voir.
(Discussion entre Elisa et une sœur)
Elisa : Des fois, ce sont des lieux également, des endroits, des situations …
Oui, ce sont les lieux où tu es passée. Ne cherche pas d’explication, là non plus, mais laisse le film se rembobiner tranquillement. N’arrête rien. Ne cherche pas à comprendre, contente-toi d’accepter et de traverser, Agapè est juste derrière. Et c’est la vérité.
Toutes les images, comme tu dis toi-même, elles passent, et je te répète que tout ce qui passe n’est pas vrai. Comme Abba l’a dit, tu es le Je, le Je éternel, l’Absolu, antérieur à la création, à la forme, aux dimensions. C’est en ça que tu peux te reconnaître, et pas dans les images qui passent, et pas dans les histoires de ce monde, ou de ton personnage, bien sûr.
Sœur : Merci.
On peut continuer.
Elisa : Que signifie ce rêve : Dans un rêve, un être extraterrestre se présente, lit mon nom et m’invite à l’accompagner. Il n’est pas agressif, mais il me fait peur.
C’est la peur de l’inconnu.
Elisa : Et je me réveille en fuyant. Que dois-je faire ?
Ne bouge pas. Là aussi …
Autre voix : Il est passé devant la maison un triangle lumineux.
Dans le rêve ou dans la vérité ?
Voix : Dans la réalité.
C’est la civilisation des triangles. Ça a été dit et expliqué.
Elisa : Donc c’est la civilisation des triangles.
C’est la civilisation des triangles. Tous les vaisseaux et toutes les dimensions, sont là, sur terre, visibles dans le ciel, mais je vous rappelle que c’est en vous déjà. Tout cela, ce rêve, les triangles lumineux, les lieux qui défilent ou comme les visages qui défilent, ne sont que des choses, des éléments, qui vous ramènent à la fin du rêve.
Si vous mettez des interrogations devant, plutôt que de le vivre, vous retardez le vécu, vous retardez Agapè, vous n’êtes pas disponibles totalement pour vivre ça, mais ça a été expliqué en long, en large et en travers tout ça, et je crois que parmi les frères et les sœurs qui sont là, ils n’ont rien lu, rien écouté et rien vu.
Salle : Si, si, mucho …
Elisa : Eux ils disent que oui, ils ont beaucoup écouté.
Alors je comprends encore moins les questions. Rendez-vous compte, il n’y a aucune question sur Agapè, sur ce qui se déroule de l’instant. Les rêves, je veux bien, mais les interrogations sur les dates ou sur ce qui se passe avec les abeilles et la 5 G, pour celui qui est réveillé, c’est une illusion de plus.
Comment voulez-vous vivre Agapè si vous êtes préoccupés par ce genre de questions ? Comment vous êtes disponibles ? Comment vous accueillez l’instant présent, dénudé de tout, de formes, d’énergies, de vibrations. Agapè est là, nulle part ailleurs.
Et en Agapè, je le dis et je le répète, vous n’avez que faire, même de nous, vous n’avez que faire des vaisseaux. La vérité vécue se traduit par cette légèreté, cette vérité, cette évidence, et d’ailleurs les frères et les sœurs qui sont établis dans la sortie du rêve, ne peuvent pas se poser ce genre de questions. Ça n’a aucun intérêt et ça éloigne Agapè.
Qu’est-ce que vous nourrissez ? Les personnages ? Le rêve ? Ou vous vivez le réveil et la vérité. Voilà des années j’avais parlé d’Amour ou de peur, j’ai dit et redit assez, ainsi que Bidi et Abba, aujourd’hui c’est l’Amour ou la souffrance. Chaque jour, cela va se renforcer et ça va être de plus en plus criant, de plus en plus visible, la vérité, la joie ou tout le reste. Mais le reste n’est pas joyeux.
Et pour la personne, c’est même très triste. Je ne veux pas vous ressortir les phrases que je sortais il y a des années. Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l’appelle naissance. Ce qui est né maintenant, ce n’est ni le papillon, ni la chenille, ce qui est né, c’est la vérité, qui ne souffre aucun compromis, aucune discussion, quand vous le vivez.
Et vous êtes engagés à le vivre au plus tôt et au plus vite. Vous avez d’innombrables frères et sœurs qui pratiquent des Agapè résonance, des Agapè résonance réseau et Feu du Cœur Sacré. Voyez-les vivre, ils sont l’Amour, rien de plus et rien de moins. Ils se sont reconnus. Ils se sont retrouvés. Et personne ne peut se tromper ou être trompés quand vous vous retrouvez.
C’est d’une clarté et d’une limpidité totales. Ces frères et ces sœurs éveillés, incarnés, sont bien plus importants que les vaisseaux de lumière ou de ferraille, ou que tout ce qui se produit sur cette terre ou dans votre vie.
Vivre Agapè, ce n’est plus avoir de questions autres que sur le vécu de l’instant, ou sur des rêves, oui. Mais tant que vous êtes préoccupés par ce que vous voyez sur vos médias, je ne sais quelle date a donné un medium, la disparition des abeilles, la 5 G, mais vous ignorez ce qui se passe avec les éléments sur terre ou quoi ?
Il ne se passe rien dans ce pays, il est préservé des inondations, de la grêle, du feu ? Même vos scientifiques, vos financiers, vos politiques le savent. Il n’y a que ceux qui sont encore inscrits dans le rêve qui ont oublié de vérifier l’instant présent et ont oublié de le vivre. Je vous assure que si vous êtes une minute dans l’instant présent, sans rien demander, sans rien attendre, sans rien projeter, en traversant même les visions, les images et les énergies, vous êtes instantanément libres.
C’est à ce niveau-là et c’est réel. Vous voyez ?
Elisa : Bon ils ont compris, ils disent que oui.
Autre question.
Elisa : Ça ce n’est pas une question, c’est long, ça a l’air d’un rêve, un témoignage.
Un témoignage, j’aime bien les témoignages.
Elisa :(Espagnol)
Je te laisse le lire en espagnol complètement.
Elisa : J’étais réveillée dans mon lit et c’était la nuit, et dans mon mental, est apparue l’image d’une rue de mon village, et par derrière est apparue une vague blanche qui avançait sur la route en avalant tout. Est-ce que cette vague blanche, c’est la vague galactique divine qui transmutera tout, et terminera ce rêve ?
Oui c’est le paradis blanc, et il y a toutes les chances que ce soit aussi ce que j’avais nommé le grille-planète.
Vous êtes nombreux à en avoir la vision, des rêves ou la prémonition, mais ça ce n’est pas se projeter dans le scénario, parce que c’est justement le paradis blanc qui met fin au rêve. Donc oui, c’est, on peut dire prémonitoire, mais vous êtes innombrables à être informés par des rêves.
C’est en quelque sorte une confirmation de ce qui se vit en ce moment. Vous êtes prévenus de toutes les façons possibles, par les volcans, par la grêle, par les inondations, par les séismes, par la déstructuration totale de la société, où tout ce qui était caché est révélé par l’éclairage de la lumière, à tous les niveaux.
Ça c’est important, oui. Mais c’est réel. Vous êtes innombrables, même sans vivre Agapè, à être informés durant vos nuits de ce qui arrive et qui est là. C’est indéniable.
La vérité est tellement proche au niveau collectif que vous êtes nombreux, à vivre en rêve la vérité, mais vous êtes aussi nombreux à être encore inscrits dans le rêve, d’une nouvelle terre, d’une nouvelle dimension.
Demandez à ceux qui vivent réellement Agapè ce qu’ils en pensent, ils vont vous rire au nez. Ils vont vous dire avec Amour : Réveille-toi. Et comme je vous dis, arrêtez de projeter, de chercher un quelconque devenir, tout simplement parce que dans ces cas-là, vous n’êtes pas disponibles pour la vérité.
Elle est là, dans l’instant présent, réellement et concrètement. Et je le répète, pour TOUT le monde, les méchants comme les gentils.
Mais c’est vrai que ceux qui rêvent encore sont souvent, ceux qui se croient dans une démarche spirituelle, et pas dans la vérité.
La vérité est légèreté, sourire permanent, dilatation et Feu Cœur, quelles que soient les images, quelles que soient les énergies, vous êtes libres, réellement, intérieurement et extérieurement, et vous n’avez pas d’autre façon d’exprimer la vérité, que de célébrer, que de sourire, que d’être légers en permanence.
Tous les frères et sœurs, incarnés, qui le vivent, vivent très exactement la même chose, la même légèreté, le même sourire, la même liberté, le même Amour exprimé en face de chacun. Ce n’est pas possible de faire autrement.
Mais je le répète, encore et encore, c’est là, tout de suite, ce n’est pas demain, ce n’est pas le 20 juillet, c’est à chaque minute que vous décidez d’être libres ou pas, essayez, vous verrez. Ne demandez rien, ne cherchez rien, ne projetez rien, soyez transparents, humbles, simples, et vous le vivrez instantanément.
Ce qui fait écran, ou qui empêche la totalité de se révéler, ce sont uniquement vos peurs, vos projections ou vos souffrances. Ou alors ignorance, vous n’avez pas encore reçu la bonne nouvelle.
Les témoignages Agapè arrivent de tous les pays, c’est traduit en toutes les langues. Alors si vous préférez de lire que le 20 juillet, les extraterrestres qui sont présents sur terre, ou toute autre chose, vous n’êtes pas disponibles pour la vérité, vous n’êtes pas disponibles pour l’instant présent, vous êtes ailleurs.
C’est aussi simple que ça, et chaque jour c’est de plus en plus simple. Et pourtant, chaque jour, il y en a qui rêvent encore. Mais vous n’avez à croire personne, ni un média, officiel ou pas, ni un medium, ni un être de lumière, mais la preuve c’est vous, vous êtes la preuve.
Quand pendant des dizaines d’années, nous vous avons dit que la vérité était en vous, et que la totalité de la création est vous, c’est la stricte vérité qui est à vivre, c’est comme ça que vous êtes libres. Sinon vous mettez encore, comme je l’ai dit, de la distance, de la division et de la souffrance en vous.
La vérité n’a besoin de rien, si ce n’est que vous l’acceptiez et vous la vivrez. Comme dirait Bidi ou Abba, il n’y a jamais eu personne.
Est-ce que vous vous interrogez, que vous interrogez à moi ou en vous, c’est la même chose, ça vous éloigne de la disponibilité que vous devez avoir vis-à-vis de l’instant présent. Et après, vous vous dites, mais non, je ne vis pas Agapè. Mais comment voulez-vous le vivre, si vous n’êtes pas totalement ici et maintenant, si vous n’avez pas prononcé votre nom et votre prénom, à haute et intelligible voix, comme ça a été expliqué déjà depuis deux mois, ou trois mois ?
Si vous n’entamez pas des résonances avec des frères et des sœurs qui vivent déjà Agapè, ce n’est tout simplement pas possible pour l’instant, alors que, encore une fois, de la même façon que le soleil brille pour tout le monde, le temps zéro est là pour tout le monde. Il n’y a pas de privilégiés, il n’y en a pas qui le méritent, et d’autres qui ne le mériteraient pas.
C’est une question de disponibilité. La disponibilité n’a pas besoin de temps, elle a besoin de lucidité, elle a besoin de l’accueil, elle a besoin d’humilité, sinon, ce n’est pas possible, pas encore. Mais le paradis blanc est pour tout le monde. La vérité est pour l’ensemble de la création, et ça se passe sur terre, pas ailleurs, et ça se passe en ce moment.
Ce processus se déploie de plus en plus. Le paradis blanc apparaîtra collectivement au moment le plus adéquat, mais vous êtes dedans. Individuellement, vous êtes de plus en plus nombreux. Individuellement, vous avez de plus en plus de rêves, qui vous annoncent de toutes les façons possibles, le fameux paradis blanc.
Vous avez d’innombrables frères et sœurs qui ont commencé à rentrer, réellement et concrètement, dans la transmutation du corps carboné en corps silicé. Les symptômes sont réels, au-delà du Feu du Cœur Sacré, qui ne peut pas être confondu avec le chakra du cœur ou une énergie qui passe, c’est impossible.
C’est au travers de ce qui se déroule dans ce corps, quel que soit votre âge, quel que soit votre état. La vérité c’est vous, mais pas vous dans vos projections, mais vous dans l’instant présent, dans l’éternel présent, qui porte et qui véhicule le temps zéro, l’Absolu, qui est devenu connu, parce qu’il est vécu malgré la présence de cette forme, de ce corps de chair.
Autre question.
Elisa : Une dernière question. Doit-on continuer en prononçant notre nom et notre prénom, jusqu’à la fin de l’évènement ?
Mais une fois suffit, certains répètent, d’autres frères et sœurs répètent les noms et les prénoms d’autres frères et sœurs…
Elisa : Ah je ne l’ai pas dit en espagnol.
Ah, pardon.
Mais vous n’allez pas répéter votre nom et votre prénom comme des ânes jusqu’à la fin des temps, non ? Une fois que vous l’avez prononcé, à haute voix, en posture Agapè si vous voulez, comme tête de caboche vous l’a expliqué à d’innombrables reprises, ça suffit.
Laissez les choses se dérouler. Soyez les plus souriants possibles envers chaque frère ou sœur que vous rencontrez, prenez-le dans vos bras, dites-lui que vous l’aimez, et Agapè sera là. Le reste, ce n’est que du cinéma.
Comme ça a été dit, vous avez toujours été là, vous êtes l’ensemble du rêve. Il n’y a rien d’autre que vous, jusqu’à ce que vous viviez qu’il n’y a jamais eu personne, que c’était effectivement, dans tous les sens du terme, un rêve, comme quand vous vous levez le matin, même si vous avez fait un cauchemar qui peut vous poursuivre, malgré tout, vous savez que ce n’est pas vrai, mais que c’était un cauchemar.
Mais c’est la même chose aujourd’hui pour celui qui est Agapè. Il est réveillé, il est sorti du rêve, il a vu l’histoire pour quelque chose qui passe, et il est libre. C’est une joie véritable. D’ailleurs, elle a été appelée la joie nue, ce n’est pas pour rien.
Celui qui est libre ne peut se poser la moindre question sur ce qu’il est, et sur ce qu’il n’est pas. Mais il peut se poser toutes les questions qu’il veut sur tout le reste de sa vie. Mais par rapport à ce qu’il est, il n’y a plus de question.
Comme ça a été répété par d’innombrables intervenants, c’est d’une telle évidence, et si vous n’en vivez pas l’évidence, vous n’êtes ni coupables, ni responsables, mais ça traduit simplement que vous êtes encore une personne, et seulement une personne, ou peut-être que vous n’êtes jamais, réellement et concrètement, dans l’instant présent.
C’est-à-dire que votre instant présent est coloré par vos rêves, par les projections, par votre non-disponibilité à l’inconnu qui est là.
Mais je vous rassure, comme Abba l’a dit déjà depuis un an, il est impossible que quelqu’un reste en arrière. Parce que ce quelqu’un qui resterait en arrière n’est que vous, à un autre moment, sur une autre ligne temporelle. C’est la vérité, mais cette vérité n’est pas à accepter, ni à croire, elle est à vivre, et vous avez tous la même capacité, quoi que vous en pensiez, quoi que vous en disiez, quoi que dise votre tête, et quoi que vous donne à voir ce monde.
Ce n’est pas exagéré de dire que le temps zéro est là pour tout le monde. Bien évidemment, les seules conditions préalables, seraient peut-être d’être plus simples, plus humbles, afin d’être vraiment dans l’instant présent.
Si ça ne s’est pas produit, c’est qu’effectivement c’est l’une des deux choses que je viens de dire, et rien d’autre. La vérité n’est pas un mérite, n’est pas un combat, ni une conquête, c’est un abandon à la vérité. Ce n’est pas une tension, c’est un relâchement complet, où il n’y a plus de place pour les histoires personnelles, où il n’y a plus la moindre place pour demain, et encore moins pour hier.
Décidez-le, acceptez-le et vous le vivrez. Je ne peux pas vous dire mieux.
Vous avez les frères et les sœurs qui sont en Agapè, qui vivent le Feu du Cœur Sacré, et ils sont tout-à-fait capables, sans effort et sans désir, de vous permettre de le vivre, avec la même intensité qu’eux.
Il faut juste lâcher toutes vos prétentions personnelles, au moment où ça se fait, ne pas mettre devant le besoin de vous saisir de quoi que ce soit, ou de comprendre quoi que ce soit, et vous le vivrez. Et en le vivant, vous comprendrez tout, mais pas par l’intellect, par la réminiscence de qui vous êtes, que vous avez oublié, et que nous avions tous oublié.
C’est comme ça que vous verrez que tout est écrit, que même vos doutes, que même les questions que vous m’avez soumises, étaient prévues. Et vous avez bien compris que je ne critiquais pas, ni les questions, ni les frères et les sœurs, mais qu’il était indispensable que je vous secoue un peu.
Vous rêvez, ou vous êtes Agapè ? C’est l’un ou l’autre, mais ça ne peut pas être les deux. Et vous ne pouvez vous tromper, et vous ne pouvez vous interroger, quand vous le vivez, vraiment.
Comme je l’ai dit, vous êtes tellement nombreux à le vivre déjà, qu’il vous suffit de vous renseigner, plutôt que de regarder les infos et toutes ces projections, qui sont réelles. Bien sûr que la vie disparaît, bien sûr que les abeilles disparaissent, bien sûr que la 5 G va être allumée, mais dans un cas comme dans l’autre, vous sortez du rêve.
Le simulacre a rejoint le sacré. Où que vous regardiez, tout n’est que prétexte pour vous installer là où vous êtes, qui est le meilleur emplacement pour vivre la vérité, surtout si vous ne la vivez pas encore. Elle est là pour tout le monde.
Ce n’est pas un effort, c’est un relâchement, c’est une acceptation, d’absolument tout, et surtout ce qui vous gêne, et surtout ce qui vous affecte, puisque ce qui vous affecte et vous gêne est très précisément ce que vous avez choisi pour être libres, même s’il vous semble être enfermés et souffrir.
Là aussi, je ne peux que répéter ces mots, vérifiez-le et vous le vivez. Acceptez, même si vous ne savez pas ce que vous acceptez, acceptez tout, sans aucune exception. Où que vous regardiez, dedans comme dehors, et c’est fini, vous êtes réveillés.
Si vous croyez encore que vous n’y êtes pas ou que vous devez faire un effort, quel qu’il soit, ça veut dire simplement que vous n’avez pas accepté quelque chose, de votre vie, de l’histoire, de votre corps, mais c’est justement en ce que vous n’avez pas accepté que se trouve la clef pour vivre la joie et Agapè.
Tout n’a été que prétexte, au sein de l’histoire, pour le vivre comme ça. Acceptez-le et vérifiez ce que ça fait.
Je terminerai sur ces mots s’il n’y a pas d’autre question.
Elisa : Non, il n’y a pas d’autre question. Ils dorment.
C’est le seul endroit où vous ne pouvez pas vous tromper, c’est le seul endroit où vous ne pouvez pas être trompés, c’est l’endroit où est la vérité, au cœur du cœur, ici et maintenant, et pas ailleurs.
Ne me croyez pas, mais vous avez la possibilité de le vérifier, et ça ne peut pas échouer, c’est impossible, quel que soit votre âge, quelle que soit votre condition, à tous les niveaux, c’est vrai. Mais, à vous de voir si c’est vrai. Je ne peux pas vous dire mieux.
On a épuisé toutes les questions ?
Elisa : Oui.
Alors on ne va pas donner la parole dans la salle. Ce que j’avais à vous dire, je vous l’ai dit finalement.
Aujourd’hui, si vous êtes capables de vous mettre immobiles, sans rien demander, sans rien attendre, et même sans vous mettre dans les postures que Abba et tête de caboche vous apprennent, si vous pensez, je suis disponible pour ce que je ne connais pas et je ne vis pas, vous le vivez.
Mais à condition d’être sincères, de ne rien projeter, de ne rien attendre et de laisser traverser tout ce qui vous traverse, de ne rien arrêter.
Ça va devenir chaque jour de plus en plus simple, si vous ne le vivez pas, c’est que c’est vous qui n’êtes pas simples. Je n’ai pas dit que vous manquiez d’amour ou de lucidité, mais peut-être que vous n’êtes pas encore tout-à-fait simples, et tout-à-fait vrais quelque part. Acceptez-le, là aussi, sans culpabilité et sans vous juger, et vous verrez tout de suite la vérité.
Voilà ce que j’avais à vous dire. Vous pouvez aussi vivre en ce moment, une impression parfois désagréable, sans comprendre pourquoi, de n’être ni ici, ni ailleurs. Comment vous diriez ça en français, être entre deux mondes ou entre deux eaux, une impression de flottement, ou d’irréalité de ce monde, mais sans pour autant être dans un autre monde.
Peut-être que vous percevez ce tremblement intérieur, à certains moments, qui n’est pas une vibration, ni un tremblement extérieur. C’est le mécanisme à l’œuvre, non seulement de la transformation de la chenille en papillon, et de la compréhension, et du vécu, que vous n’avez jamais été, ni une chenille, ni un papillon, ni aucune forme, ni ne venant d’aucun monde, ni d’aucune origine stellaire.
C’est le moment où il ne reste que la vérité, vous êtes antérieurs à toutes formes, et là, à ce moment-là, vous êtes libérés de votre personnage, de votre histoire, de vos souffrances, de vos maladies quelles qu’elles soient. Comme disaient certains à l’époque, vous allez mourir en bonne santé. C’est merveilleux non ?
La mort heureuse, qui n’est rien d’autre que la fin du rêve, et la félicité qui est là. C’est tout.
Alors chers frères et chères sœurs incarnés, permettez-moi, comme bénédiction, de vous donner ma paix, mais aussi le Feu du Cœur Sacré, là, tout de suite.
Je vous salue de cette façon. Accueillez cet inconnu, laissez tout traverser, ne demandez ni n’attendez rien, soyez disponibles, là, de suite et vous le vivez.
…Silence…
Le Commandeur vous salue.
Salle : Merci, Gracias, …
Et je vous dis au revoir, et Agapè à tous.
… Merci, merci, merci.
Merci. Au-revoir.
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