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Entretiens (Célébration Agapè aux Canaries)

Satsang (Partie 6)

26 Mai 2019

Dernier entretien de Tenerife. Je rappelle que cet après-midi, nous avons Bidi.

… Oh, Super…

Donc, pour des raisons de commodité, même s’il n’y a pas de direct pour les transcripteurs, si vous avez des questions, vous les écrivez, ce sera plus simple. Et puis après, s’il y a des questions orales, bien sûr, elles seront prises de la même façon.

Voilà, qui veut parler, qui veut dire, qui veut interroger, qui veut …

Je disais puisque vous ne l’avez peut-être pas tous entendu, que là depuis, depuis déjà le premier « Je Suis Toi », tous les gens qui essaient de prononcer réellement leurs noms et prénoms, le vivent ce qu’on décrit, c’est absolument magique, mais quel humour encore une fois.

Vincent, t’as bien quelque chose à dire pour lancer les débats ?

Frère : En fait, c’est une question…

Oui, vas-y.

… Est-ce que ça sera toujours à prononcer fort, le nom, ou simplement on peut les mettre en pensée. Voilà.

Quand tu es en pensée, que tu prononces les noms, c’est de la résonance, qui induit le Feu du Cœur Sacré, mais la finalisation de ta résurrection, c’est-à-dire renaître de nouveau, même dans ce corps, c’est-à-dire devenir le Fils de l’Homme, passe par le Verbe. Le verbe, c’est le son qui sort de ta bouche, n’est pas la pensée.

Il y a un effet, et ça rejoint ce que je t’ai envoyé ce matin, un ingénieur du son, qui m’a expliqué dans ce que conçoivent les ingénieurs du son, qu’est-ce que c’est que le bruit blanc, le paradis blanc pour eux, qu’est-ce que c’est la différence, entre le son harmonique, et le brouhaha, c’est que plus vous allez analyser le paradis blanc, plus vous allez prendre une individualité du son qui devient une musique, qui est notre forme, mais qui vous fait perdre le bruit blanc.

Donc, au niveau du son, ce qu’on appelle le bruit blanc, c’est le Grace Frequency de l’univers, c’est toutes les fréquences à la fois, qui vous donnent à voir que vous n’êtes pas cet endroit précis où se joue la musique, mais que vous êtes toutes les musiques. Mais cette musique, il explique la même chose dans le processus de ceux qui connaissent le son, avec ce qu’on appelle les séries de Fourier, bon mais ça c’est compliqué, mais on sait parfaitement que le bruit blanc, l’origine du bruit blanc, n’est pas une sinusoïdale comme n’importe quelle fréquence électromagnétique, mais un signal carré, c’est-à-dire : fréquence, arrêt, fréquence, arrêt.

Et il dit, ça rejoint exactement ce que nous on a appelé dans notre jargon, le cube métatronique, qui contient le premier souffle de la création. Donc, quand je vous dis qu’il y a une cohérence totale, que l’on regarde au niveau de la physique, de l’astrophysique, ou simplement du son, on retrouve systématiquement cette composante, le son, l’image, la vie, ne peut exister que parce qu’elle est supportée par le Zéro.

C’est dans le zéro qu’il y a toutes les fréquences, c’est ce qu’il explique lui, il est ingénieur du son, comme les astrophysiciens, comme les physiciens, aujourd’hui, ne peuvent qu’accepter cela. Parce qu’ils l’ont démontré, ils l’ont mis en équation, et c’est exactement comme ça que ça se produit.

Alors dans leur jargon à eux, pour les ingénieurs du son, ils appellent ça une perspective et pas un point de vue, comme l’appelait Bidi, parce que la perspective dépend d’où tu regardes. Et c’est pareil pour ce qu’ils appellent le bruit blanc, il m’a fait d’ailleurs les schémas, je te les ai envoyés, où on voit les sinusoïdales, ce qu’on appelle Grace Frequency en astrophysique, c’est la même chose pour le son. Où que vous regardiez dans l’électromagnétisme, que ce soit le son, l’image, tout ce que vous pouvez imaginer, la couleur même, une couleur, on le sait très bien, c’est la lumière blanche qui est difractée, qui donne toutes les couleurs.

Donc ce que n’arrive pas à accepter ceux qui s’opposent à ça, c’est qu’ils sont encore dans une perspective localisée, leur individu, ce qu’on nomme l’égo, l’idée de se croire séparé, qui les empêche de voir la vérité.

On le retrouve dans tous les aspects de la physique, dans toutes les gammes électromagnétiques, même dans les rayonnements cosmiques, c’est-à-dire que ce qui porte la vie, c’est le néant, qu’on retrouve dans la Kabbale, c’est-à-dire l’Ain Soph Aur, ce qui est au-delà de la lumière, et nous venons tous de là.

Rien ne peut exister ou apparaître s’il ne vient pas du néant, et quand vous retrouvez le néant, non seulement fin du mythe de l’individualité, mais vous retrouvez la totalité.

Donc, c’est une démonstration mathématique, que bien évidemment, l’égo et la conscience ne pourront jamais accepter, mais que l’intellect a démontré, et ça, pas d’aujourd’hui, c’est depuis qu’on connaît les sons, qu’on connaît la composition de l’image, des couleurs, et de tout ça.

Donc c’est tellement évident, pourquoi on les a appelés nez rouges, parce qu’ils refusent l’évidence. Cette évidence qui était pourtant connue intellectuellement, analysée intellectuellement, ne pouvait être vécue en soi que si on acceptait. C’est tellement clair, j’ai des infos de tous les côtés, je ne parle là même pas des témoignages qui arrivent, je n’arrive même plus à les publier, mais même des scientifiques arrivent aujourd’hui sur mon mur et me confirment ça.

Et, effectivement ce qu’on appelle le couronnement, ça vous renvoie directement pour ceux qui s’intéressent aux textes, à l’apocalypse 12, qui est effectivement la naissance du fils prodigue, ou le retour du fils prodigue, ce qu’on appelle la résurrection en terme biblique, comme on l’a appelée d’ailleurs dans les canalisations, n’est que la vérité, c’est-à-dire que, quelle que soit la musique que vous entendez, quelle que soit l’image que vous voyez, quelle que soit la couleur que vous percevez, elle n’est qu’une perspective liée à une localisation.

Le problème pour la conscience, qui est une maladie, c’est qu’elle est sûre d’être cette perspective, et aucune autre. C’est ça la séparation, et la fin de la séparation, c’est le vécu justement que cette perspective n’existe pas. Et c’est ce qu’ont, ce qu’ils nous ont, ce que nous a dit Bidi, nous ne sommes pas ce personnage, nous ne sommes pas une histoire, nous sommes la totalité du créé.

Et le paradoxe, c’est que c’est démontré intellectuellement par les séries de Fourier, que ce soit en phonologie, dans l’image, dans l’analyse de tous les spectres électromagnétiques, et qui est refusé par la conscience, c’est ça qui est merveilleux.

Tous les spiritualeux ne peuvent pas accepter ça, parce qu’ils poursuivent une chimère. Donc la spiritualité est une escroquerie totale, la conscience est réellement une maladie, c’est démontré intellectuellement déjà depuis plus de cent ans, parce que les séries de Fourier ça remonte au milieu du 19ème siècle, je crois, la loi mathématique qui correspond à ça, et bien évidemment, tous les gens qui ont cette connaissance mathématique ou appliquée à un domaine précis, ils sont parfaitement d’accord.

On ne peut pas dire mieux, quelque chose qui est démontré, validé scientifiquement, donc reproductible, qui correspond à tous les mécanismes qu’on peut observer dans tous les spectres du vivant, depuis les ultraviolets jusqu’à toutes les fréquences électromagnétiques, la musique, l’individu n’échappe pas à la règle.

Il n’y a pas de meilleure démonstration que de se le prouver à soi-même, parce que tant que c’est extérieur, sur une série mathématique, mais pour eux c’est beaucoup plus facile, les scientifiques aujourd’hui, d’ailleurs ils le savent, ce qu’on appelle le temps zéro, c’est-à-dire le champ ultime a causal de la physique, et bien, ça effectivement, on le sait depuis longtemps, longtemps, que tout provient du néant, et que vous êtes toutes les perspectives.

Que si vous sortez de votre perspective, c’est-à-dire que si vous sortez de votre égo, et si vous sortez de l’idée de devoir faire un effort, ça a toujours été présent, comme disait Nisargadatta, ça a toujours été démontré depuis au moins 150 ans, et bien aujourd’hui, on arrive à un paradoxe énorme, c’est que tous ceux qui sont enferrés dans leurs images, dans leurs visions, dans leur égo, dans leur personnalité, ne peuvent pas le vivre, parce que, simplement, ils n’acceptent pas la vérité.

Et il n’y a qu’une vérité, elle est absolue, elle correspond à tous les plans de manifestation. D’ailleurs, même en latin, quand vous dites : « j’existe », qu’est-ce que ça veut dire j’existe, ça vient de la racine latine ex stare, se tenir en dehors de. C’est pour ça que Bidi à la fin de sa vie a dit, même le « je suis » est une escroquerie, que Pépère appelait l’orgueil spirituel.

Aujourd’hui, ce n’est pas démontré, c’est déjà démontré depuis longtemps, aujourd’hui, surtout, c’est constatable en soi. Et vous ne pouvez pas y arriver tant que vous tenez à votre personnage, tant que vous croyez être le corps, c’est tout le principe de Bidi de la réfutation, et aujourd’hui c’est vécu dès que vous n’avez plus de perspective, dès que vous lâchez, ce que disait Pépère à l’époque, rappelez-vous, tant que vous avez la main qui tient les cacahuètes dans le bocal, vous ne sortirez jamais la main du bocal, il faut lâcher.

Donc, c’est une démonstration parfaite, à laquelle ne peuvent s’opposer ce que j’ai appelé les nez rouges, parce que c’est plus sympa que de dire à quelqu’un qu’il est dans l’erreur ou autre, c’est simplement parce qu’ils sont attachés. Or quand vous êtes attachés, vous ne pouvez que faire semblant, et donc c’est une posture, c’est toute l’illusion des religions, c’est toutes les phrases qui ont été prononcées par tous les mystiques, même qui n’avaient pas pu le vivre, puisque, comme je l’ai dit et je le redis, il n’y a que Bidi qui l’avait vécu, jusqu’à encore il y a peu de temps.

Alors, depuis dix, quinze ans, ça avait changé, parce qu’il y avait des précurseurs, tous les gens qui ont parlé de leurs vécus, bon je prends toujours l’exemple de Christiane Singer, mais il y en a d’autres. Mais c’est inéluctable, c’est imparable, c’est démontrable, c’est vérifiable. Et bien évidemment, tous ces frères et ces sœurs, vous ne pouvez faire que comme le Christ : Père, c’est-à-dire vous-mêmes, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font.

C’est tellement, de plus en plus évident chaque jour, par les témoignages, par le vécu, par cette consumation qu’on vit, que je n’arrive même pas à comprendre, effectivement, comment ils peuvent s’opposer à cette unique vérité, à cet Amour total dès que vous sortez de la perspective ou du point de vue localisé de l’emplacement d’un personnage, ou de vos histoires que vous vous racontez, ou des visions que vous entretenez.

Le temps zéro est accessible à tout le monde, une couleur n’est qu’une spécificité du spectre, mais on sait très bien que toutes les couleurs viennent du blanc, de la transparence, vous voyez les couleurs parce que l’air est transparent. Or vous ne pouvez pas vous voir vous-mêmes tant que vous n’êtes pas transparents.

Faut-il avoir l’humilité d’accepter que vous n’êtes pas ce point de vue, ce personnage, que vous le preniez dans tous les sens, je ne vois pas comment ils vont résister longtemps.

Sœur : Dans l’évangile de Philippe, il y a un texte magnifique qui dit que Jésus est entré, je ne sais plus dans quel bleu…

Pas pour … Dans l’évangile de Philippe, …

… Il a pris soixante-douze couleurs, il est arrivé, comme un teinturier, il a pris soixante-douze couleurs et il les a mis dans une bassine, et c’est devenu du blanc. C’est un très beau texte qui, je l’explique mal, c’est comme un teinturier dans l’évangile de Philippe…

Et bien oui, c’est quoi, c’est les 72 noms de Dieu.

Voilà, et les 72, c’est un nombre sacré qu’on retrouve dans toutes les …

C’est exactement ça, mais aujourd’hui pareil, par rapport à cette renaissance qui a été inscrite dans le crop circle de hier, qui parlent des douze étoiles, de la constellation de la Vierge. Le retour du fils prodigue à la maison, c’est uniquement la fin de l’histoire, et ça ne peut être que le chaos.

Retrouver le bruit blanc, c’est la disparition de toute forme, fin du mythe de la création, qui ne peut être qu’un processus collectif. Et même quand je disais l’année dernière, on ne laisse personne, mais, ce n’est même pas imaginable de laisser quiconque, puisque tout le monde est en chacun de nous.

C’est le processus qui est démontré maintenant, qu’on appelle, pour ceux que ça intéresse, la théorie des cordes, et dans le processus non pas de la physique quantique, mais de l’intrication quantique, ce que disaient les sages, quand l’aile d’un papillon se brise, c’est tout l’univers qui tremble. Ce n’est pas une métaphore ou un poème, c’est la stricte vérité.

Mais tant que vous ne l’acceptez pas, vous ne pouvez pas le vivre, sans notion péjorative, de dire : ah il est dans l’égo, ah il ne voit pas la vérité, vous ne pouvez pas voir la vérité, il n’y a rien à voir, vous ne pouvez que le vivre. C’est Moïse devant le buisson ardent, il lui dit : mais t’es quoi toi, l’autre il lui répond, mais je suis ce que je suis.

Et bien évidemment, cette vérité-là plus simple, rappelez-vous dans l’histoire, Moïse il descend simplement avec d’abord : Aimez-vous les uns les autres, il casse les tables de la Loi parce que, pendant qu’il est parti, ils ont tous adoré le veau d’or, c’est-à-dire, pas l’argent au sens matériel, mais ils ont adoré la forme, ils ont adoré la particularité, et ils ont perdu de vue la globalité.

Parce que la dualité, c’est la confrontation bien-mal, la loi d’action-réaction, mais que la loi d’action-réaction ne vous permet pas de comprendre que tout vient de la grâce ou tout vient de l’Amour ou tout vient du néant, c’est la même chose. Et bien évidemment, tant que vous êtes croyants en quoi que ce soit, vous ne pouvez pas être libres.

Si vous croyez en votre personnage, vous n’êtes pas libres. Si vous croyez en l’histoire, vous n’êtes pas libres, si vous croyez en une religion, vous n’êtes pas libres, si vous aimez l’autre sans vous aimer vous-mêmes, ça ne sert à rien, et c’est imparable. Et c’est la résolution de l’équation, c’est ce que je dis sans arrêt qu’on n’est pas notre vie, mais qu’on est la Vie, c’est ce que disait aussi le Christ, moi et mon Père sommes Un, nous sommes les uns dans les autres, et ce n’est pas possible autrement, c’est ça la démonstration de l’intrication quantique ou de la théorie des cordes.

Il n’y a pas plus de dimensions que de beurre en broche, nous n’existons que parce que nous avons cru à un particularisme, entretenu par d’autres particularismes, de la croyance en l’histoire. Il n’y a pas besoin de discours puisque le temps Zéro est actualisé pour tout le monde, il suffit de l’accepter.

Et ça va apparaître de plus en plus clairement chaque jour, parce qu’indépendamment de la vérité absolue, on a réactivé ce champ ultime a causal de la physique, en ayant mis fin depuis un an à la matrice binaire, et qui est remplacée par la matrice christique. Donc, où que vous regardiez dans la physique, l’astrophysique, les couleurs la symbologie, la numérologie, la constitution même du corps humain, n’est qu’un rêve, que vous preniez ça par l’étude de la Kabbale, par l’étude des lettres hébraïques, par l’étude des couleurs, par l’étude des nombres, vous ne pouvez que retrouver la vérité.

Elle est inscrite dans tout ce qui est faux, et la vérité ne pouvait être inscrite qu’au cœur du cœur, c’est-à-dire dans notre particularisme, qui est notre nom et notre prénom, qui est totalement éphémère, mais qui pourtant devait nous permettre de nous nommer nous-mêmes.

Dès que vous vous nommez, comme les témoignages abondent, et bien c’est fini, vous ne pouvez plus être dupes, vous vous consumez. Et c’est réellement un feu de joie, ce qu’ont décrit tous les mystiques, quand elles parlaient de consumation d’Amour, les étoiles ont été très claires là-dessus, cette extase que vivait Ma Ananda Moyi, qui était effectivement, parmi les étoiles, la plus proche de la dimension originelle. Tout a été vécu, et ce, en chaque temps, pas seulement aujourd’hui, puisque aujourd’hui n’existe pas plus qu’hier, c’est comme ça qu’on sort du particularisme ou du point de vue étriqué de celui qui se croit isolé.

Et concrètement, effectivement, objectivement, mathématiquement, nous ne pouvons être que les uns dans les autres, et tant que vous n’acceptez pas que le bien et le mal n’existent pas, excepté dans votre particularisme, vous ne serez jamais libres, sauf que là, maintenant, la liberté est pour tous, mais que ça ne sert à rien de s’opposer à la vérité, que vous la viviez ou pas.

C’est pour ça que l’inconnu est devenu connu, c’est pour ça qu’il y a eu tout l’enseignement de Nisargadatta quand il était vivant, tout ce qu’il appelait l’inconnu, le Parabrahman, qui est la seule façon d’échapper à la perspective, d’échapper à la souffrance, d’échapper au feu vital, au feu de l’égo, et à toute maladie.

Alors que je l’explique par les neurosciences, par la théorie de la plainte, tout ce à quoi vous êtes, tout ce à quoi vous tenez, vous tient. Mais dans toutes les phrases maintenant, c’est clair.

Même les quatre piliers du cœur dont on a parlé avec AD pendant des années, trouvent aujourd’hui leur justification, non pas comme un effort ou un travail qu’il a fallu mener pour élargir un peu le champ de conscience étriqué de la personne, c’est-à-dire passer à la supra conscience, mais aujourd’hui, vous n’en avez plus besoin de conscience.

Et tous ceux qui s’opposent à cette maladie qu’est la conscience, ne font que renforcer la maladie. Et plus le champ informationnel du temps zéro va prendre, ce qu’on appelle la noosphère, c’est-à-dire l’inconscient collectif, plus personne ne pourra s’y opposer.

C’est pour ça qu’au moment de l’actualisation de l’évènement, le flash solaire ou l’appel de Marie, ou Nibiru, peu importe, ces gens-là vont se consumer dans la souffrance, mais la consumation de souffrance débouchera inévitablement sur la consumation d’Amour. C’est imparable, c’est d’une logique mathématique totale.

Quoi que vous disiez encore aujourd’hui, peu importe, vous ne pouvez que brûler par votre perspective localisée. Tous ceux qui croient jouer un rôle, ou d’être ceci, ou d’être cela, une étoile, ou je ne sais pas quoi, le résultat ne peut être que le même, de partout. Pas seulement sur cette terre, parce que même un archange, même la civilisation des triangles, ils sont tributaires d’une forme, même si elle dure depuis le début de la création comme Métatron ou comme Marie, mais c’est du pipeau, c’est encore des histoires.

Il n’y a jamais eu aucune histoire. Si vous l’acceptez aujourd’hui, vous ne pouvez que constater la joie, vous ne pouvez que constater, et j’en ai des témoignages encore aujourd’hui de frères et sœurs qui ont vraiment des maladies organiques structurelles graves, depuis leur naissance ou depuis longtemps, qui passent à travers cette souffrance intolérable, et qui sont libres.

Vous ne pouvez plus jamais être dupes.

Sœur : A quoi nous sert d’avoir des ailes ?

A quoi sert d’avoir des ailes.

(Rires)

Parce que c’est l’illustration de la chenille qui devient le papillon, tu n’es plus liée à l’élément terre, ni même à l’origine de la création à l’élément eau, mais tu te relies à quoi avec les ailes, à l’air.

Sœur : Oui, mais c’est encore une forme.

Non. La première forme est apparue où, dans la logique et la genèse du rêve ? Par Métatron, copie conforme de la Source, mais néanmoins privé, à cause de l’anomalie primaire, qui finalement est une bénédiction. Encore une fois, s’il n’y avait pas eu d’anomalie primaire, le rêve aurait été un sommeil et un oubli total. Or, on n’a jamais pu oublier.

Et même aujourd’hui, quel que soit l’emplacement que vous prenez, quel que soit le point de vue que vous adoptez, vous ne pouvez que vous consumez d’Amour. Chaque chose est à sa place, quel que soit ce que vous en pensez, l’Amour est partout, et surtout dans celui qui ne le vit pas.

Il n’y a pas plus de diable que de dieu. Vous ne pouvez que constater cela, dès l’instant où vous le vivez. Mais tant que vous ne le vivez pas, vous ne pouvez-vous placer que dans une perspective limitée, et vous ne pouvez que souffrir. Or la souffrance, comme je l’ai dit, conduit de la même façon, et ça c’est neurochimique, à la résilience et donc à l’Amour.

Fin de la croyance en la mort, mais aussi fin de la croyance en tout particularisme. Acceptez encore plus aujourd’hui que dans les années précédentes, qu’il n’y a pas d’effort à fournir. Tant que vous croyez faire un effort, pour quoi que ce soit, vous êtes encore dans l’égo, dans un point de vue limité. Ca concerne tout, toutes ces culpabilités par exemple ne sont que des déviations, ce sont des erreurs de positionnement. Vous êtes encore positionnés quelque part et vous n’êtes pas partout.

Or, vous n’êtes de partout que quand vous n’êtes rien, et la démonstration là, je vous l’enverrai, si vous voulez, pour ceux qui s’intéressent ne serait-ce qu’au son, et pourquoi il était important de se nommer, c’est écrit dans la bible, il est quand même écrit que l’esprit, Bereshit bara Élohim, les Élohims vous ont donné le pouvoir de nommer toute chose. Mais nommer toute chose et identifier toute chose est un particularisme.

Vous avez oublié, nous avons tous oubliés de nous nommer. Aujourd’hui la vérification de cette absurdité, cet humour monumental, de s’appeler par son nom et son prénom, aujourd’hui dans cette forme, dans cet instant, est la seule façon de vous libérer. Et vous ne pouvez-vous libérer que vous-mêmes, et vous ne pouvez pas échapper à votre identité.

Alors, ça pose problème, bien évidemment, comme Françoise-Priscille, c’est-à-dire que vous vous êtes subtilisés à vous-mêmes, et tous ceux qui ont voulu donner des noms d’âme, dans tous les mouvements spirituels, de vous donner un autre nom, mais c’était des menteurs, des gros menteurs.

Tu es ce que tu es, et tu n’es rien d’autre. Ce n’est pas une vision, ce n’est pas une perception, c’est le verbe. Voilà pourquoi le verbe du onzième corps, qui a commencé à être actif il y a déjà de nombreuses années, aujourd’hui a sa pleine efficacité, dès l’instant où vous vous nommez.

Concrètement et physiquement, vous n’êtes pas ce corps, ok, mais vous êtes néanmoins ce nom. Le point de jonction entre l’être et le non être, il est là. Pourquoi, par exemple, dans l’expression de « Je Suis Toi », j’ai été obligé de m’allonger, je l’ai expliqué ce matin à Abraham, c’est parce que tant que j’ai une perception de mon corps, ce qui est le cas quand je suis assis, même si je suis en méditation, en tailleur, en lotus, vous ne pouvez pas disparaître de ce particularisme.

Il faut que votre colonne vertébrale, l’arbre de vie, ne soit plus vertical, dressé, mais horizontal, c’est-à-dire que la proprioception d’être votre vie, sur votre arbre de vie, soit au repos, pour que puisse se manifester le non être. L’inconnu est devenu connu, et c’est valable pour tout le monde, pour toute la création. Et ça ne peut se passer que sur terre, pas ailleurs.

C’est d’une précision totale, par quelque bout que vous le prenez, par la science, par le vécu, vous ne pouvez y échapper. Et c’est pour ça que je redis et je répète en permanence, que tout a déjà été écrit. Bien évidemment, même les plus grands mystiques, les plus grands saints n’ont jamais pu y accéder, même Peter Deunov, tout Peter Deunov et walking qu’il était, ne pouvaient qu’être dans une projection linéaire, parce qu’il fallait attendre le retour au point initial, qui n’est rien d’autre que le point final.

Et là, tout s’éclaire, tout est clair. C’est le premier éclair, le premier éclair de la création comme on dit, qui dessine l’éclair de l’arbre de vie, de l’arbre des séphiroth. Toutes les traditions ont été obligées de le notifier, même avec l’erreur, parce que le temps zéro n’était pas encore, le rêve n’était pas achevé, mais ils ont tous laissé le témoignage de ça, même sans le savoir.

Tout ce qu’il se produit même sur l’écran du simulacre rejoint le sacré. Il n’y a pas plus de simulacre que de sacré, parce que tout est simulacre, ou tout est sacré, ça ne change rien. Il n’y a que la disparition de la conscience, qui est un drame bien sûr pour ceux qui sont soumis à leur conscience, qui peut vous permettre de vivre la vérité.

Vous n’avez aucun choix possible, comme je l’ai toujours dit, tant que vous croyez avoir le choix, vous ne pouvez pas être libres, vous êtes encore quelque part dans un particularisme. Vous êtes encore, et on est encore, dans l’adhésion à une histoire, à une vision, à une forme, à une perception. La vérité est sans vision, sans perception, sans énergie et sans vibration.

Acceptez-le simplement et vous êtes libres. Mais comme votre conscience ne peut pas l’accepter, il a bien fallu qu’il y ait un dénominateur commun, le seul dénominateur commun à tout sur cette terre, c’est le nom que vous portez. Et il ne peut y avoir aucune erreur, tout le reste ne sont que des cinémas, que parfois on se rend compte, on se raconte encore, à cause des émotions, à cause des mémoires, à cause des positionnements, aucun positionnement ne peut être véritable.

Il n’y a pas d’autre vérité que la vérité absolue. Tout a été démontré, tout a été vécu, il ne sert à rien de le voir. Comme je vous le dis quand je me tiens à la lisière de l’être et du non être, effectivement je voyais tout, mais maintenant, même plus. Je disais quand je ferme les yeux, Jean-Luc est Abba, quelle que soit la position, et quand je me suis étendu, parce que Abraham me demandait, mais c’est une canalisation de qui, mais ce n’est pas une canalisation, ce n’est même pas Jean-Luc Ayoun, ce n’est même pas Abba, ni personne, ce sont des mots fort simples qui sont sortis hier pendant presque deux heures.

Mais c’est le Verbe, et je n’en suis pas propriétaire, justement parce que mon corps, mon axe vertébral était horizontal, donc disparition de la proprioception de l’axe vertébral central, mise au temps zéro, et expression à travers un particularisme qui disparaît, de l’unique vérité. Mais cette vérité, elle n’appartient pas à quelqu’un, elle est le don de chacun.

Sœur : Oui, justement pour parler de ça. Ce matin en discutant avec un frère, il exprimait que, hier, au fond la troisième partie, il l’avait déjà entendue, c’était une répétition de ce qui avait été dit les deux premières et, personnellement, mon vécu, moi j’étais assise, comme nous tous, tu étais au sol, et dans ce qui s’est vécu pendant près de deux heures, il y a eu des moments où c’était tellement inconfortable, sur le plan physique, de laisser passer cet, cet … tout nouveau.

Est-ce que c’est l’éther primordial, est-ce que c’est cet…, mais ça me donnait, ce n’était pas des douleurs, mais c’était pénible, c’était comme des impatiences, quelque chose de nouveau, qui n’était pas brûlant comme les deux fois avant, les deux derniers jours, mais quelque chose qui était inconfortable, qui était nouveau, et puis j’ai répondu à ce frères, j’ai dit mais ce qui était important, ce n’était pas les mots, puisqu’on les connaissait, tout cela on le sait, il n’y a rien de nouveau, il y a eu même des répétitions, même des répétitions pendant, et c’était ce déploiement de ce que tu appelles le verbe, mais c’est tout-à-fait nouveau.

Et cette nuit, et j’ai pu le vérifier aussi avec beaucoup de frères et sœurs ce matin, puisque je suis arrivée presque au moment où ça commençait, je n’ai pas pris de petit déjeuner, c’était particulier, il y a eu un brassage pendant la nuit, il y a eu, ce n’était pas un cauchemar, mais il y avait un brouillard intérieur, et il y a quelque chose qui s’est diffusé, et, enfin dans mon vécu je dirais, ces derniers temps, je me suis souvent posé la question, qu’est-ce que c’est que l’extinction de la conscience.

Et l’extinction de la conscience, entre guillemets, pour moi c’était ne plus penser, et ne plus préparer, et ne plus gamberger, et ne plus, et puis, voilà, quelque part c’est ça, voilà…

Oui, c’est ça.

C’est ça, ce matin, au réveil, c’était ça.

Oui, ça ne peut que devenir de plus en plus clair, quoi qu’en dise ton corps ou ta conscience, tu ne peux pas en réchapper, c’est impossible.

… C’était ce sentiment que c’est, il y a, c’est indicible, difficile d’en parler, mais en même temps on ne peut pas y échapper, on y est, c’est clair.

C’est ce que je disais, que tu le nies ou que tu l’acceptes, ne change rien. C’est-à-dire que, quel que soit le particularisme que vous adoptez aujourd’hui, religieux, groupement spirituel, croyance en une vision quelconque, vous ne pouvez que vous consumer. Il n’y a pas d’autre possibilité. La vérité non seulement a été dite, elle a été proclamée, elle est inscrite dans l’éternité de l’instant présent, et ça ne peut être que vécu.

Il n’y a pas d’autre choix. Et même si vous vous y opposez, c’est ça le miracle de cette chose-là, c’est que même si vous vous y opposez, que je disais, laissez les rêveurs rêver, le résultat sera toujours le même. Et ce principe d’acceptation, et des gens, que je vous disais, des témoignages de frères et sœurs qui ont des maladies depuis leur naissance quasiment, et bien, ils vivent la même chose.

Il y en a quelques-uns que j’ai publiés, et bien, ils constatent que c’est la vérité. Même s’ils disaient, je ne vis pas Agapè, je ne vis pas Agapè, je ne sens pas les énergies, je sens que mon corps qui fait mal. Et bien ils ont tous la même conclusion aujourd’hui.

… Mais là ce n’est même plus Agapè, là…

Non, non, ce n’est plus Agapè, ah non, vous n’êtes même plus dans Agapè, parce qu’Agapè est une résonance, ce n’est même plus le Feu du Cœur Sacré, c’est le Feu total.

… Parce que moi, je n’ai même plus envie de dire Agapè ni Phahame, quoi …

A la limite, ce n’est même plus la peine…

Ce n’est plus la peine pour toi, mais peut-être nécessaire encore pour d’autres. Mais effectivement, effectivement, à un moment donné, tu n’as même plus besoin. Ce que j’ai essayé d’exprimer par exemple, par rapport aux demandes de résonance ou de soin, il suffit que je dise le nom, et même si je ne le lis pas, ça ne peut pas être oublié. C’est ça le miracle. Mais le miracle il ne vient pas de celui qui se croit ceci ou cela, c’est la Vie.

Bien évidemment, au travers du vécu, toutes les croyances s’effondrent, toutes les religions s’effondrent, mais elles ont eu leur fonction, c’est de se confronter les unes aux autres, aujourd’hui ça arrive, la guerre de tous contre tous, qui va vous démontrer qu’il n’y a jamais eu de guerre, il n’y a jamais eu rien, il n’y a personne.

Le meilleur témoignage qu’on en ait eu au 20ème siècle, je l’ai toujours dit, c’est Ma Ananda Moyi, c’est la plus proche de la vérité dans ce qu’elle incarnait et, le seul qui a dit la vérité absolue, et non pas la voie, la vérité, la vie, qui devait nous permettre d’y arriver, le Christ qui est un jalon essentiel, c’est Bidi, il n’y a personne d’autre.

C’est pour ça qu’il a toujours dit : « Mes paroles ne peuvent pas échouer ». Alors bien sûr, tous ceux qui venaient le voir : ah bien putain, quel égo, quelle indifférence… Pas grave.

Sœur : Il était au plus près du verbe, Bidi, il était déjà au plus près du verbe, du verbe … (inaudible), c’est pour ça qu’il disait, mes paroles, il parlait du verbe.

Oui, oui … Oui, oui. Tout ce que vous avez entendu, tout ce que votre conscience croise, et surtout les choses auxquelles vous vous opposez, vous voyez bien, les frères et les sœurs qui me traitent de tous les noms, et bien ils ne peuvent que se consumer.

Laissez les rêveurs rêver, le rêve conduit à la fin du rêve de toute façon. C’est inéluctable. Alors bien sûr que le chaos du monde, c’est-à-dire le bruit, c’est-à-dire la cacophonie comme on dit dans les sons, conduit de la même façon qu’à celui qui vit Agapè, à être la Vérité. Nul n’en réchappera, moi je disais on ne laisse personne, mais ce n’est même pas un travail, ce n’est pas une résolution, la résolution est déjà inscrite dans l’instant initial.

Toutes les lois de l’intrication quantique de la théorie des cordes, de la neurobiologie, des neurosciences, toute la compréhension des lois de cet univers, nous renvoient à ça. Rien de ce qui était caché ne demeurera caché, c’est exactement la vérité. Et même l’erreur, en définitive, n’est pas une erreur, il n’y a pas d’erreur, nulle part.

Sœur : Et qu’il a fallu trois temps pour que ce verbe se déploie et maintenant par les audios, et partout dans le monde…

Oui, oui … Oui, oui, ça était annoncé, je vous le disais, par le crop circle qui a été tracé hier par les Arcturiens, qui annonce le couronnement de la Vierge, des douze étoiles. Nous avons réuni le trois en un, et encore une fois je n’en fais aucune spécificité, mais comme je l’ai dit, je ne fais qu’accompagner ce qui a été écrit.

On se retrouve, on l’a expliqué, on le redit, l’année dernière, on survolait Hawaï en conscience nue, pour mettre fin au rêve, et aujourd’hui, on est de l’autre côté, non plus dans le Pacifique, mais dans l’Atlantique, dans le lieu du dernier rêve, mais physiquement cette fois-ci, réellement et concrètement.

Frère : Je veux juste ajouter, si vous vous rappelez que le premier jour, ou le premier soir, quand j’ai fait mon témoignage du songe que j’avais eu, il m’a été montré que maintenant nous sommes déconnectés des continents. Nous sommes sur une île.

Eh oui, entourée d’eau.

… Exact. Donc, laissons tout de côté qui fait partie du continent encore, et nous sommes sur l’île dans l’unité, l’unité la lumière. C’est le message que j’ai voulu passer, je ne sais pas si vous vous rappelez, quand je vous l’avais dit, nous sommes maintenant déconnectés, déconnectés de notre intelligence, déconnectés de tout. Nous sommes uniques, entiers, vrais, vivants, lumière.

Et nous l’exprimons à travers notre vie, il n’y a rien à éliminer, il n’y a rien à rejeter. Quand vous êtes la vie, vous vivez votre vie, sans plus aucune question, quoique la vie vous donne à vivre. Il n’y a pas d’autre liberté que celle-ci. Et si vous ressentez une souffrance, si vous vivez une interrogation, encore une fois par rapport à ça, je ne parle pas d’interrogations par rapport à savoir ce que vous allez manger, vous habiller, ces interrogations elles seront là jusqu’au dernier moment.

Mais s’il y a une interrogation sur le sens même de qui vous êtes, vous n’êtes pas libres, vous ne pouvez pas être uniques et entiers en portant la moindre peur, la moindre culpabilité, ou en éprouvant le moindre manque. Et vous en êtes l’auteur. Tant que vous croyez que c’est extérieur ou lié à une condition, ou lié à un évènement, ou à un manque, vous ne vous êtes pas vus.

Vous pouvez inventer tous les scénarios, vous pouvez projeter tout le mal à l’extérieur, il ne vient que de vous. C’est le particularisme, c’est-à-dire le point de vue étriqué, qui à la fois crée la souffrance, qui à la fois l’entretient, et la perpétue au niveau collectif, dans l’ensemble de la création, pas seulement dans les mondes enfermés. Il n’y a pas de sauveur.

Encore fallait-il le vivre, ou tout du moins l’accepter. Vous avez l’ultime clef en vous, tant que vous ne vous êtes pas acceptés, et même dans vos particularismes de souffrance, de culpabilité et de peur, vous ne pouvez pas encore être libres. Mais vous le serez. Il n’y a que vous qui créez de la distance par rapport à vous-mêmes, il n’y a que vous qui créez de la souffrance par rapport à vous-mêmes.

Ce que disait aussi la première épître de St-Paul, vous aurez beau avoir une foi à soulever les montagnes, vous pourrez parler toutes les langues, et même celle des anges, s’il vous manque Agapè, c’est le mot exact, vous n’êtes pas libres. Alors on a remplacé ça par la charité, par le mot amour, mais c’est faux. Accordez-vous la liberté, accordez-vous la joie, vous n’avez à penser ni aux énergies; ni aux vibrations, ni à demain.

Vous êtes le seul responsable, il n’y a que vous. Acceptez-le, ne discutez pas et vérifiez par vous-mêmes, en le vivant à ce moment-là, instantanément. Sans ça vous aurez toujours quelque chose de misérable, jusqu’au moment collectif, et là, maintenant comme l’a dit Bidi, il y a déjà plusieurs mois, ce n’est pas l’Amour ou la peur, c’est l’Amour ou la souffrance, et les deux ne peuvent pas cohabiter, choisissez.

Et le choix n’est est pas un, quand je dis ça, vous n’avez pas le choix !

Sœur : Oui, puisque, quand il y a consumation, ça se fait seul, donc il n’y a plus de choix.

Mais non, il y n’y a plus de choix.

… C’est la consumation …

Tous ceux, même quand on était dans le Feu du Cœur Sacré, il y a encore quelques jours, où tout partait et revenait du cœur, est remplacé, vous devenez comme beaucoup le disent, cette torche de feu, vous êtes la voie, vous êtes bien plus que la voie, bien plus que la vérité, bien plus que la vie, il n’y a personne, vous êtes tout, parce que vous n’êtes rien.

… Et il n’y a plus de choix.

Il n’y a plus de choix. Et quel que soit l’évènement, il est en cours, puisque nous le créons nous-mêmes. Et on le voit encore de partout aujourd’hui, c’est la guerre, comme on dit, la guerre de tous contre tous, vous le voyez dans les familles, vous le voyez dans les religions, vous le voyez entre les pays, entre les nations, vous la voyez aussi, vous la vivez à l’intérieur de vous.

Et même, je vous l’ai dit, pour des souffrances très physiques, je ne parle pas là de spiritualité ou de conscience, mais des choses qui sont ancrées dans le corps, à travers des problématiques de naissances, ou anciens, qui ne peuvent pas se résoudre. Et bien les gens arrivent à le résoudre quand même. C’est-à-dire que vous traversez, et il n’y a pas de guérison plus juste, que d’accepter.

Rappelez-vous la théorie de la plainte en neurosciences, j’en ai encore reparlé cette semaine, tant que vous vous opposez, vous n’êtes pas libres. Tant que vous croyez que vous allez guérir, parce qu’il y a une vibration, parce que vous l’avez demandé, et bien vous ne guérirez pas.

Mais la guérison pour tout le monde est acquise, mais vous retardez en jouant le temps. Le vrai miracle, il est là, il n’est pas ailleurs. Tout ce à quoi vous tenez, vous tient. Vous voulez sauver votre vie, vous allez perdre, et ça se joue à tous les niveaux, de vos croyances, des habitudes, bien sûr on l’a dit, de votre propre positionnement.

Après chacun a sa vie, chacun a à mener ce qu’il a à mener au sein de l’histoire, mais vous n’êtes plus dupes. C’est d’une simplicité désarmante, c’est d’un humour, mais, insensé, et là, depuis le début de cette semaine, donc on est à Tenerife sur cette île, ça se vit de partout.

De la même façon que la fusion des quatre éthers a eu lieu au détroit de Gibraltar, entre les colonnes d’Hercule, parce que ça ne pouvait pas être ailleurs. Encore une fois, je ne crée rien et je ne réalise rien, je ne fais que parcourir, comme je vous dis tout le temps, ce qui a toujours été écrit.

Oui.

Frère : Pourquoi c’est, obligatoirement sur terre, et pourquoi pas sur Alcyone ou autre, ailleurs?

Mais parce qu’il n’y a pas plus d’Alcyone que de beurre en broche, il n’y a pas plus d’étoiles dans le ciel, tout ça, le cosmos en sumérien, cusmus, ça veut dire peau de serpent, c’est un écran qu’on a mis sur la vérité, c’est un décor. Il n’y a pas plus de Marie qu’il n’y a pas plus de triangles, il n’y a pas plus de Métatron, il n’y a pas plus d’archanges, ce sont des histoires…

… Ce sont des projections …

Oui, que nous nous sommes créées pour justement nous retrouver. Il n’y a personne à suivre. Même l’énergie nous mange. Je vous l’ai toujours dit, pourtant j’étais médecin énergéticien pendant vingt-cinq ans, l’énergie est une escroquerie. Pourtant, on peut encore s’en servir aujourd’hui, heureusement. Mais on n’est plus dupe.

Encore une fois, c’est d’une simplicité désarmante, et tout ce qui nous a servi à retrouver le sens, ou les sens de l’histoire, aujourd’hui doit être lâché. Mais ce lâcher n’est pas un effort, ni une progression, c’est une restitution. Vous vous restituez à vous-mêmes, à travers le sacrifice, vous vous restituez à vous-mêmes, en le vivant. Il n’y a pas le choix.

Et d’ailleurs la traduction, on le sait, on en parle depuis un an, c’est la joie, c’est la banane aux lèvres, quelles que soient les circonstances de votre vie, même si tout un chacun a des moments où vous rentrez en colère, vous rentrez en n’importe quoi, justement pour vous faire voir ce qui reste encore, non pas comme effort à faire, mais comme chose à lâcher.

Il ne vous a jamais été demandé de lâcher votre famille, votre mari, votre maison, votre argent, ou quoi que ce soit. Ça, ça fait partie de votre décor. Et il n’y a pas plus de diable que de dieu, il n’y a pas plus de méchants que de gentils. Quand je parlais que nous sommes tous la même particule, et l’autre est nous, dans une autre trame temporelle, dans un autre moment, c’est la stricte vérité.

Vous ne pouvez pas accepter, si je peux dire, mais l’inacceptable est traversé. C’est ça accueillir, on s’est servi de tout ce qui était disponible, pour arriver à cette unique conclusion. Et la libération, elle est là. On a toujours été libre.

Fin du rêve, fin de la conscience, retour à la plénitude du néant. Bien évidemment, ceux qui considèrent que le néant c’est le diable, c’est Satan, les pauvres. Pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. Dans le simulacre, il y avait un président en France qui vous avait dit : nul ne pourra échapper ou se soustraire au nouvel ordre mondial, c’est la version simulacre. C’est ce que jouent les guignols, mais ils jouent la même partition, vue sous une autre perspective.

Tout ce qui s’oppose ne peut que se consumer, en nous, le monde ne peut qu’être qu’un rêve, et ne peut que se consumer. C’est le paradis blanc, qui sera accepté comme un bonheur par de plus en plus de frères et de sœurs, quel qu’ait été le positionnement antérieur, et quel qu’ait été le particularisme. Et ça je l’avais déjà dit, nul ne peut ignorer qu’il est Amour, antérieur à la conscience, l’Amour n’a besoin ni de forme, ni de monde, ni de conscience, ni de témoin.

Et je me fous complètement que vous soyez d’accord ou pas. On peut discuter éternellement là-dessus, vous ne pourrez que vous consumer, que ce soit par la colère, la tristesse, la souffrance, la dénégation, peu importe. Et encore une fois, comme je le dis tout le temps, moi je n’ai rien à vous vendre. Ce n’est pas un commerce, ce n’est pas une croyance, je l’ai dit et je le répète, personne ne peut suivre personne.

Comme le disait Nisargadatta, que j’ai lu hier soir, qui est magnifique, Krishnamurti aussi avait dit à peu près la même phrase : vous cherchez le bonheur, mais le bonheur est sans toi, tant que tu crois chercher le bonheur, et bien, tu ne le trouveras jamais, d’où toutes ces illusions de tous les mouvements spirituels, de tous les new âge, de tous les gens qui vous vendent encore aujourd’hui un bien-être, quel qu’il soit.

Si vous êtes vrais, quoi que vous utilisiez dans votre profession, dans vos affects ou dans votre vécu, peu importe, ce ne sont que des prétextes. Mais si vous y tenez, tout ce à quoi vous tenez, vous tient. Mais ce qui vous tient, ce qui nous tient encore aujourd’hui, va nous consumer. Où que vous regardiez, sur la scène du théâtre, que vous ayez compris la programmation du jeu vidéo, peu importe, la conclusion est nécessairement la même pour tout le monde, et il n’y a rien de plus logique que ça se passe justement sur cette terre.

Un archange est un archange, il ne se pose pas de question, il voyage de dimension…, il est tributaire du cadre dimensionnel dans lequel il s’exprime, il n’a jamais bougé d’un iota. Et l’histoire à laquelle nous assistons, puisque nous sommes présents ici sur terre, je ne parle pas uniquement de Tenerife, sur cette île, mais sur ce que le monde nous donne à voir, que ce soit travesti par les médias, que ce soit vécu en direct live dans le pays où vous êtes, ne change rien, ce ne sont que des prétextes.

Et la souffrance, physique, comme celle qui est, entre guillemets, promise par tout ce qui se déroule sur terre, sans même parler des prophètes, la famine, tout ce qui est là, à nos portes, ne va que vers la seule chose. Alors bien sûr ceux qui sont dans les religions vous parlent de châtiment, de jugement dernier, ceux qui sont dans la préservation vont adhérer au survivaliste, ou vont se réfugier dans la prière, ou dans une religion, ou dans : ah moi je suis la vérité, regardez tous ces moutons, comme le font certains, les pauvres, ils sont encore soumis à quelque chose.

Dans la liberté, il n’y a pas de soumission, si ce n’est aux lois, non pas de la société, mais aux lois du monde dans lequel on est. Même si les ailes poussent, vous pouvez beau vous mettre au bord d’un précipice, je ne pense pas que, si vous sautez, vos ailes elles vont vous permettre, même si elles se déploient de vous envoler.

C’est ici que ça se passe, pas ailleurs. C’est le pouvoir de l’instant présent, dans lequel est inscrit le temps zéro. Les choses sont bien faites, il est inscrit aussi dans le passé, dans l’illusion du passé, mais aussi dans les projections, pour ceux qui rêvent. Laissez-les rêver. Et aujourd’hui les plus grands rêveurs, c’est ceux qui sont dans les religions, ceux qui sont dans l’espérance du Messie ou de l’antéchrist, selon le point de vue, ceux qui croient encore à une histoire, ou ceux qui pensent accomplir une histoire et créer des circonstances propices à la venue de leur messie, là, c’est du spectacle.

Mais tous les spectacles, tous les spectacles, nous emmènent là où nous n’avons jamais bougé. Même la souffrance n’est qu’un prétexte pour nous conduire à l’Amour. Mais ce n’est pas la souffrance du misérabilisme, je l’ai déjà dit, du catholique qui s’inflige des coups de fouets, ou celui qui veut faire pénitence, ça va s’exprimer dans votre corps, dans votre conscience.

C’est déjà le cas, vous êtes en colère ou vous êtes en joie, vous êtes en souffrance ou vous souriez, quelle que soit la maladie, et quel que soit votre état moral. Si vous n’êtes pas capables de rire de vous-mêmes, mais un rire franc, ce n’est pas une moquerie ou une dérision.

Frères : Est-ce qu’on peut jouer ?

Ah oui.

On va prendre comme support par exemple l’océan. L’océan qui ne bouge pas, il n’y a pas de conscience, il n’y a rien. A partir du moment où il y a une vague, la conscience s’exprime …

Oui. Elle se met en mouvement. Oui.

… D’accord ?

Oui, oui elle apparaît.

Or, il y a des myriades vagues. D’accord ? Donc, ce sont des individualités. Si on fait partie d’une vague, on a une perspective par rapport aux autres. Mais, si on rentre dans l’eau, il n’y a plus de vague, il n’y plus de conscience. C’est terminé.

Exact, c’est pour ça qu’il est écrit que l’esprit de Dieu flottait sur les eaux. Les eaux d’en haut et les eaux d’en bas sont réunies, c’est ce qu’on a fait avec la fusion des quatre éléments et des quatre orients à Gibraltar, et ce n’est pas pour rien que dans les prophéties de Parravicini, l’Argentin, il parlait bien du flash lui aussi solaire, et que ce qui allait être détruit en premier, c’est Gibraltar.

C’est là qu’on a réalisé l’alchimie des quatre éléments, on ne l’a pas fait, c’était écrit, et il faudrait être vraiment fou pour penser que j’en tire quoi que ce soit, je n’ai fait qu’accompagner ce qui était déjà écrit, c’est tout.

Et chacun joue le même rôle, même dans sa vie. Vous avez décidé de porter telle maladie, vous avez décidé d’avoir tel âge, vous avez décidé d’avoir telle culpabilité, vous avez décidé d’avoir tel poids, tout ne dépend que de vous. Et dès l’instant où vous rejetez la faute sur l’environnement, au sens large, je ne parle même pas d’entité, de diable, mais simplement quand vous êtes dérangés par un son, par une parole, par un frère, par une sœur, c’est que vous n’êtes pas libres.

Réfléchissez bien, vous créez votre propre ennemi, il n’est que vous, il n’y a personne, il n’y a que vous d’abord, et ensuite il n’y a personne. C’est démontrable de partout. C’est pour ça que j’ai osé, de manière indirecte, dire à certains frères ou sœurs, qu’ils avaient un Q.I. d’huître.

(Rires)

Ils sont stupides, mais je les aime, c’est moi. Mais j’ai aussi cette stupidité en moi, par exemple quand il y a eu le feu qui a commencé à passer partout, et qu’en tant que bon médecin, je me suis dit : putain, mais c’est quoi ces trucs qui m’emmerdent, là.

(Rires)

Vous ne pouvez rire que de vous-même après, mais j’étais obligé de le traverser. Et à chaque fois, l’éclat de rire est de plus en plus grand, parce que plus vous allez être confrontés à vos réflexes, les miens de médecin, d’observateur, et bien, plus je vais éclater de rire à chaque fois. Il faut, il faut non, vous ne pouvez que rire de vous-mêmes, de vos postures, de vos simagrées, de vos comportements, de vos attachements, de vos maladies, de vos manques apparents. Ca n’existe pas !

On a parlé suffisamment longtemps de la cocréation consciente, du masculin sacré, du féminin sacré. Mais il n’y a pas plus d’hommes que de femmes sacrées ou simulacres. J’ai eu le témoignage d’une sœur hier, que beaucoup d’entre vous connaissent, je ne vais pas donner son nom. Moi j’avais expliqué en février que j’ai accouché, pendant trois jours j’ai vécu l’accouchement d’une femme, mais c’est, Mesdames, vous êtes courageuses, parce que je peux vous dire que j’ai vécu trois jours pour accoucher, par les reins en plus, et je vivais le corps d’une femme.

Et puis j’ai une sœur, que vous connaissez, qui m’appelle … (en riant) qui m’appelle, qui me dit : j’ai une paire de couilles qui m’a poussée entre les jambes …

(Rires)

… Elle me dit, qu’est-ce que je fais de ça ?

(Rires)

Et je lui dis, écoute, moi j’ai accouché pendant trois jours, c’est comme ça.

Frère : Ah c’est ça les petits appendices qui leur poussaient ?

Oui, enfin là, c’est plutôt les ailes maintenant, que les couilles ou les bébés qui sortent par l’utérus, mais c’était un passage obligé, oui. Elle se reconnaîtra, comme elle nous suit depuis toujours.

Frère : Un témoignage que j’ai vécu hier. Ça fait un moment que je disais à mon épouse…

Laquelle, Françoise ?

(Rires)

Ah Françoise, oui. J’ai adopté la Françoise.

(Rires)

… Je lui ai dit : un jour je remonterai à des petits lacs, qui ne sont pas loin de chez nous, au B… (Nom d’un endroit). C’est un lieu magnifique pour ceux qui le connaissent, c’est dans les Pyrénées, c’est magnifique, et souvent, on est monté là-bas, et autrefois, j’aimais beaucoup faire de la marche en montagne. Et puis aussi, j’étais motard, j’en ai vu beaucoup de motos hier. Et tout cela, c’était …, ça n’existait plus. Ces motos passaient, j’étais heureux, je n’avais pas besoin de moto, je les ai vues, ça ne m’a pas touché du tout, mais une chose que j’ai dite à Priscille, un jour …

A l’autre, donc…

(Rires)

… A l’autre. A l’époque c’était Priscille, maintenant c’est Françoise. A l’époque j’ai dit à l’autre, je monterai de nouveau au B…, et vu mon état de marche, mes douleurs et tout ça, je ne sais pas si tu l’as cru ou non, enfin tu étais sceptique. Yes. Hier j’étais au B… Hier j’ai vu, je suis toujours sorti en dernier du bus pour ne déranger personne, j’ai attendu que Annie soit dehors, j’ai fait beaucoup de communion avec toi Annie, j’étais beaucoup avec toi, j’ai ressenti ses douleurs physiques ou morales, vu dans l’état qu’elle est, et aussi mes douleurs à moi, et c’était indifférent.

Ces douleurs étaient là, et j’étais étonné, parce qu’elles me connaissaient, je grognais rapidement, quand quelque chose n’allait pas. Et là hier j’étais heureux, j’étais heureux …, j’étais intégré dans tout cela, malgré la douleur, il y avait la joie et le bonheur, et ça c’est quelque chose d’extraordinaire.

C’est ce que nous pouvons vivre aujourd’hui, vivre, ce que j’ai découvert. J’avais, avant de venir ici, j’ai pleuré, j’ai dit, le premier matin j’ai dit ici quand j’ai vu tout ce décor, j’étais ailleurs. Je n’étais pas chez moi pourtant, Jean-Luc et Elodie connaissent le lieu où j’habite, c’est un lieu aussi superbe, magnifique. Mais ça n’a rien à voir avec ça.

Quand j’étais ici, c’était l’énergie qui était ici, l’Amour qui étai ici, la Lumière qui était ici, qui m’ont imprégné. Et ça, je l’ai constamment, et ça vous pouvez l’avoir tout de suite, c’est là, il faut juste l’accepter, de recevoir. Et chaque fois que je sors du bus, je dis : oh la la, ça grince partout, ça fait mal, autrefois je courrais, j’aimais sortir et voir, là non, j’ai pu regarder de l’intérieur et j’ai participé, j’étais imbriqué dans tout cela.

Voilà le témoignage que je fais, et ça correspond exactement à ce qu’on vient d’entendre ce matin. Malgré la douleur, malgré ce que vous avez, vous êtes heureux, il y a une joie, il y a une paix, une lumière …

Quoi que dise le corps.

Quoi que dise le corps. Le corps, il n’existe… comme s’il n’existait plus, il est là, vous le sentez, mais vous n’êtes plus le corps, vous êtes en-dehors de tout ça. Et là j’ai fait beaucoup d’union avec toi, Annie, j’ai pu te ressentir, je t’ai ressentie, c’était magnifique. Voilà mon témoignage.

Mais, quand j’ai demandé ce matin à Annie : comment tu te sens, elle m’a dit : Bien !

Frère : Et bien voilà, c’est exactement ça. Donc ne regardons plus nos souffrances, oublions tout ça, il y a autre chose. C’est énorme ce qui nous est offert.

(Salle) … Merci …

Merci, tu veux confirmer par un mot ou deux (s’adressant à Annie)

Sœur : Oui, c’est vrai. J’ai la joie.

Ca se voit, ceux qui connaissent Annie depuis, la première fois où moi je t’ai vue en tout ca, il n’y a plus rien à voir, plus rien.

Ceux qui me connaissent depuis longtemps aussi, il n’y a plus rien à voir, par rapport même à, il y a quelque temps, on va dire, pourtant, je suis toujours le même, et pourtant tout est différent. Et ce n’est pas, encore une fois une exception, ou parce que je suis maître de je ne sais quoi, ou je suis qui que ce soit, c’est accessible à tout le monde, Antoine vient de le dire, Annie l’a dit en quelques mots.

Tout le reste ne sont que des stratégies, de votre histoire, de vos habitudes, de vos croyances, de vos visions, de vos perceptions-mêmes, la vérité est sans perception, l’Amour est sans conscience, sans cela ce n’est pas de l’Amour. C’est un Amour qui dépend d’une perspective, d’une idée, d’une histoire, et tout ça n’est que souffrance. L’Amour ne met pas fin nécessairement à toute souffrance, les miracles ne sont pas instantanés, parfois oui, mais en tout cas, l’Amour vous fait traverser toute souffrance, dès que vous acceptez.

Je vous ai dit ce qui m’est arrivé il y a plusieurs jours avec les douleurs, parce qu’on a tous des habitudes, indépendamment de ce qui est inscrit dans le corps. Malheureusement, nous sommes des êtres de répétition, nous sommes des êtres d’habitudes dans notre humanité la plus simple. Mais retrouvez notre humilité, c’est aussi accepter en totalité notre humanité, avec tous ces travers, tous ces manques apparents, avec le poids des âges, de l’âge si on est âgé, avec toutes ces émotions qui nous traversent, toutes ces pensées qui naissent et qui disparaissent.

Ne vous jugez pas, jamais. Il n’y a jamais eu d’erreur, il n’y a jamais eu de faute, tout n’a été que prétexte. Des conditions préalables et nécessaires pour vous, pour le vivre. Et la joie dont parle Antoine, dont on parle depuis longtemps, quand vous le vivez, vous ne pouvez plus vous leurrer vous-mêmes, vous ne pouvez plus vous mentir, vous ne pouvez plus mentir tout court.

Vous n’êtes plus la parole, vous êtes le Verbe. J’ai insisté là-dessus. Dans tous les mots que vous prononcez, même les plus simples : il fait beau, vous êtes le Verbe. Il n’est pas ailleurs que dans ce qui sort de votre bouche, le Christ avait dit : « Je ne suis pas venu apporter la paix, je suis venu porter le Verbe, l’épée de vérité ».

Nous sommes re-nés de nouveau, confirmé par le « Je Suis Toi » en trois étapes, trois parties, confirmé par les Arcturiens eux-mêmes dans le crop circle qu’ils ont tracé hier, je ne peux pas vous dire mieux.

Durant les noces célestes, toutes les semaines, il y avait un crop circle qui expliquait ce que l’on vivait. Mais c’est la même chose aujourd’hui.

Sœur : Comme tout est parfait dans le signe-là, c’est la fête des mères en France, aujourd’hui, en France, et donc le couronnement…

Eh oui. En France.

En France, c’est la fête des mères, oui. Et Notre Dame de Paris a brûlé … Mais tout ça est d’une synchronicité totale. Depuis un an je dis que le simulacre rejoint le sacré, pour faire le miracle d’une seule chose, nous avons réuni le trois en un, nous l’avons vécu il y a un an à Hawaï, dans le premier Eden, nous le vivons aujourd’hui dans ce plan incarné, dans le dernier Eden.

Ça s’inscrit même dans mon histoire personnelle, dans ma famille adoptive, où un des neveux s’appelle Eden, et qui est né d’ailleurs l’année dernière à cette époque. Ça s’écrit de partout. Toute la création, tout le rêve s’exprime au travers de vous, dans tous les coins et les recoins de l’espace de votre vie, dans tous les évènements, dans tout ce que vous acceptez, dans tout ce que vous refusez, dans tout ce que vous comprenez, dans tout ce que vous ne comprenez pas.

Rien n’est laissé au hasard puisque tout a été écrit. Il n’y a jamais eu de temps, vous découvrez quand le temps s’arrête que vous êtes l’espace. Quand vous vivez le cœur du cœur, le feu du cœur, à un moment donné vous consumez tout, vous ne savez même plus où est votre cœur, il est partout.

Là est la joie, et je dirais de manière encore plus violente aujourd’hui, la souffrance que l’on peut porter, dans quelque domaine que ce soit, c’est votre propre création, il n’y a pas de coupable, il n’y a que vous, et tout ce que vous voyez à l’extérieur, n’est là que pour vous amener à ça. L’ami comme l’ennemi, ce que vous acceptez comme ce que vous refusez, ne peut que vous conduire à l’acceptation.

Et plus vous allez vous opposer, ceux qui sont encore dans les religions, dans des mouvements ou dans la négation ou dans l’égo, le même résultat, il n’y en pas d’autre. Et je dis pour tous ceux qui s’énerveraient après avoir entendu ça, ce n’est pas grave, énervez-vous.

(Rires)

Sœur : Symboliquement, tout nous est dit. Je me souviens, en 1999, le sous-marin soviétique qui n’a pas pu remonter à la surface, et je me suis dite, on est à la fin de l’ère des poissons, sous l’eau. Et ils n’ont pas trouvé la clef pour rentrer dans l’ère du Verseau. Tout nous est dit.

Et autre chose, il y a quelques années, j’entends à la radio, sur le Mont d’Elie en Israël … comment il s’appelle, pas le Mont Sinaï, là où il y a le Carmel, Mont Carmel …

Le Mont de Sainte Catherine ? Oui c’est ça, le mont de Sainte Catherine.

… J’entends un matin, un autobus, avec quarante gardiens de prison…

Oui, oui je m’en rappelle.

… Quarante gardiens de prison, qui a pris feu sur la montagne d’Elie, qui est la rencontre, la montagne, la rencontre entre l’ancien et le nouveau testament. C’était incroyable, quarante gardiens de prison, c’est-à-dire tout le vieux monde qui part en fumée. J’entends ça à la radio et je me dis …

C’est comme le feu qui a lieu hier soir à Bordeaux, au 18 rue Ferrère.

… Oui, oui, et quand on lit les journaux symboliquement comme ça, c’est extraordinaire … Tous les jours …

Oui, oui, oui. Ah mais c’est dans tout, c’est écrit de partout, même chez les guignols, même dans ce qu’il croit, ils ont allumé le feu à Notre-Dame ou qu’il ne l’ait pas allumé, ou que ça soit fortuit, ou que ce soit un faux drapeau, mais ça n’a aucune espèce d’importance, ils ne peuvent créer que ce qui a déjà été écrit.

La cocréation consciente dont on a parlé pendant presque deux ans, c’est exactement ça. Vous ne pouvez que créer que ce qui a déjà rêvé. Vous n’avez aucune liberté de choix, c’est l’unique vérité. Et plus vous acceptez, plus vous en riez, plus vous relâchez, et plus vous suivez les lignes de moindre résistance, ce que j’ai appelé hier, dans le satsang, hier ou avant-hier, je ne m’en rappelle plus, hier soir peut-être, ce qu’on appelle la fluidité de l’unité, l’efficacité neurobiologique, et plus vous êtes euphoriques, plus vous baignez dans l’ocytocine, moins vous êtes dépendants de l’environnement, quel qu’il soit, les sons, la musique, vous ne pouvez plus être dérangés par le bruit.

Il y a un témoignage d’un frère, je vous avais dit, qui entend un bruit de marteau à l’intérieur de lui, à ce moment-là, c’est ce moment précis que choisit le voisin pour taper du marteau, pour planter un clou, ou je ne sais pas quoi, qui d’habitude l’aurait fait sortir de son état méditatif, il s’est aperçu qu’il n’était pas en méditation, qu’il était dans la vérité, la vérité n’est pas une méditation. Il n’a pu que constater que le sacré qui se déroulait en lui était illustré au même moment par le voisin qui s’est mis à planter un clou. Alors, au début, on peut parler de synchronicité ou de dérangement, après on peut parler d’hyper synchronicité, et après on peut constater que c’est la même chose.

Où que vous regardiez en vous, où que vous regardiez dans votre vie, quoi que vous en pensiez, tout n’est là que pour vous conduire à l’Amour, même si vous pensez manquer d’Amour ou manquer, vous vous dites : j’ai rien vécu, ça aboutit toujours à la même chose, à la vérité, pour se rendre compte, qu’effectivement comme l’a dit Nisargadatta, comme plein l’ont dit, ça a toujours été là, et que seule la perspective comme l’a dit l’ingénieur du son, là, ou le point de vue…

Pourquoi on a tant parlé en 2012 de point de vue. Le point de vue n’est pas un point de vue comme on l’entend vulgairement simplement de la pensée. Quel est ton point de vue ? Non, le point de vue c’est d’où vous regardez, d’où vous vivez. Depuis la périphérie, depuis l’environnement ou depuis le cœur du cœur. Et tout n’est que prétexte à ramener votre conscience, via la supra conscience à l’époque, puisque la conscience est vibration, à vous amener au plus proche de ce grand éclat de rire.

Absolument tout. Et encore une fois; ne prenez pas ça, je dirais, au niveau de votre personnage, comme j’ai dit si vous cassez la jambe, il faut mettre un plâtre, si vous avez mal, allez voir un ostéopathe, mais vous ne pourrez plus être entrainé ailleurs qu’en la vérité.

Ne cherchez plus d’explication, même si elle existe. C’est ce que je disais à Vincent, c’est très intéressant de savoir que quand vous avez une douleur là, que ce soit avec un scanning ou avec les connaissances symboliques du corps, de le rattacher à, mais l’important, comme toujours, c’est l’efficacité, ce n’est pas la compréhension.

Dans la thérapie c’est pareil, vous pouvez connaître toutes les énergies du monde, vous pouvez utiliser toutes les énergies du monde, mais si vous n’êtes pas spontanés, vous ne pouvez pas être libres. Heureux les fêlés, ils laissent passer la lumière, ce qu’on appelle le fol en Dieu ou le Fol en Christ. Rumî l’a tellement bien exprimé de son vivant.

L’Amour ne peut tenir à rien, et il ne vous tient à rien. Il est l’expression de la spontanéité, de la voie de l’enfance si vous préférez, de l’humilité, de la simplicité. C’est le moment où vous-mêmes devenez légèreté, la fluidité. La vie se vit d’elle-même, elle n’a pas besoin de vous. Alors on peut multiplier les exemples à l’infini, vous marchez, vous n’avez pas besoin de penser à marcher pour marcher quand vous vous …, ça a été acquis.

Vous n’avez pas besoin de vous demander comment vous voyez, savoir que la rétine envoie telle image via le chiasma optique, c’est. La fleur, elle ne se pose pas la question de son parfum. La bougie ne se pose pas la question de ce qu’elle éclaire. Tout se fait sans vous, vous en êtes le témoin, vous en êtes l’observateur, mais vous en êtes aussi le créateur, bien antérieurement au rêve ou à l’explication.

La conscience est une maladie, certes, mais nous sommes aussi cette maladie. Sans ça je ne pourrais même pas en parler, il n’y aurait personne pour l’entendre ou l’écouter.

C’est ça qui met fin au monde, c’est ce qu’exprimait Bidi, la recherche de la vérité et vivre la vérité va mettre fin à la création. C’était certes le plus grand des visionnaires, qui n’avait pas besoin de s’encombrer de prophéties ou d’images, ni de mises en scènes, comme les prophètes.

… On fait un break ?

Vous voulez faire un break ? Une heure 26, allez, accordé. Bon je vais mettre en pause, simplement, plutôt que de l’arrêter, ça évitera de faire deux enregistrements.

… Bidi à quatre heures ?

Ah la canalisation de Bidi ? A 4 heures, oui, oui.

Après la sieste ?

Après la sieste.

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Voilà, donc on parle de ce que vous voulez

Alors, Annie. Attends, j’arrive.

… Non, non.

La canalisation, on la fera là, ce sera plus confortable.

Allez.

On a épuisé tous les mots, je crois

(Petits rires)

Vous pouvez aussi décider que vous en avez marre, et on peut arrêter maintenant.

Frère : Tu as des informations concernant les cellules souches ?

Dans quel sens t’entends ça ? Une cellule souche par définition, c’est une cellule qui a tous les potentiels. Mais quelle information tu parles ?

Oh quelques … parce qu’auparavant, la médecine en pharmacopée, ils essayaient de ralentir le vieillissement…

Ça marchait très bien avec les extraits embryonnaires, j’ai connu ça en France il y a trente ans, après ça a été interdit, comme tout ce qui marche, bien sûr, mais c’est des techniques qui sont utilisées soit par des implants placentaires, soit par des extraits embryonnaires, en Russie encore, de façon quotidienne. En Suisse d’ailleurs, vous avez des cliniques qui vous vendent ça des milliers d’euros, qui vise le rajeunissement.

Mais tu rajeunis par le cœur, c’est plus facile quand même. Regarde.

(Rires)

Non, là c’est un domaine très, très médical quand même.

Sœur : Jean-Luc, hier soir, à la fin, il a dit je scelle à tout jamais toutes mes paroles.

Oui, les paroles. Hier, vous avez vu, d’ailleurs ça a duré longtemps, mas comme on l’a tous constaté, il n’y avait pas de nouveau.

… Non, non, on aurait dit qu’il faisait un inventaire et que, à la fin, il dit je scelle, et ça c’était …

Oui. On retrouve d’ailleurs cette expression aussi dans l’apocalypse de Saint-Jean, je crois. Nul ne peut …, l’ouverture des sceaux, bien sûr, et nul ne peut ôter ou retirer un mot de… de l’apocalypse de Saint-Jean, c’est dans le même esprit, on va dire.

… Donc toutes paroles qui ont été dites pendant ces trois jours, ne peuvent pas échouer.

Voilà. Oui, tout-à-fait. Tout-à-fait. Comme je le disais, hier, ce n’est pas une canalisation, cette troisième partie, j’expliquais ça par rapport à la position du corps, encore tout à l’heure, même parler de canalisation, pour moi, ça ne veut plus rien dire. Canalisation ça veut dire qu’il y a quelque chose qui passe au travers d’eux, qu’on accueille, comme effectivement avant, Anaël qui descendait, ou Marie, mais comme ils sont tous dans le cœur.

Et comme tout ça, ça n’existe pas

Qu’est-ce qui s’exprime, ce que j’appelle le cœur du cœur, le temps zéro, la jonction de l’être et du non être où là j’avais obligation d’être étendu, je vous ai expliqué pourquoi ce matin.

Quand on dit que c’est scellé, c’est-à-dire que le Verbe s’est fait chair, et vous vous démontrez à vous-mêmes en prononçant votre nom et votre prénom. Et les paroles dites scellées ne permettent plus, quand elles sont réalisées, de projeter, d’analyser ou d’essayer de trouver un sens au mot.

Il y a un sens connu, on fonctionne d’ailleurs comme ça, je l’avais expliqué au niveau de notre cerveau, les mots ne font plus sens dans notre tête, ce ne sont plus des mots, souvent il y a des mots qu’on ne comprend pas, on les entend, on entend des syllabes, et ces syllabes assemblées qui sont un concept qu’on a nommé, une table, une chaise ou telle identité, ne font plus sens, surtout quand il y a trois syllabes, au-delà de deux, parce que deux ça va encore.

Parce que notre cerveau, bien évidemment, la transformation que nous vivons, la disparition de la conscience, il ne faut pas oublier que l’on a un relai, pour pouvoir l’exprimer ou le manifester ici, qui est le cerveau. Or comme le cerveau n’existe plus, puisque c’est le cœur qui est devenu le cerveau, toutes les structures cérébrales, comme on l’a démontré aux États-Unis et de partout, dans la neuro théologie, l’éveil de la kundalini, la clairaudience, la clairsentience, l’accès aux autres dimensions, se voient sur les IRM, sur les scanners.

Si ça ne s’imprime pas dans le cerveau, c’est que c’est encore plus illusoire que l’illusion, c’est-à-dire c’est de l’astral, c’est du rêve, c’est de la projection. Tout ce qui est vrai, aujourd’hui, parcourt toutes les dimensions, et a fortiori, et en premier lieu, notre cerveau, ça s’imprime dans le cerveau.

La joie, je vous l’ai dit, c’est lié à un neuromédiateur spécifique qui est l’ocytocine, vous vous doutez bien que tous les circuits, j’en ai parlé un peu, qu’on appelle de la récompense, de la punition, mais pas seulement, tous les fonctionnements de l’épiphyse, puisqu’il y a d’ailleurs une hormone qui est secrétée à ce moment-là, qu’on appelle l’épiphysine, mais le fonctionnement de tous les noyaux qui correspondent aux fonctionnements, aux habitudes, ce qu’on nomme le cerveau, le paléo cortex, c’est-à-dire le cerveau reptilien ou le cerveau archaïque, se trouve totalement transmuté.

C’est-à-dire comme ça, dans les travaux qui ont été faits aux États-Unis, dans différentes équipes, qu’on pouvait différencier le vrai mystique du faux mystique, c’est-à-dire celui qui rêve, qui imagine, et celui qui le vit réellement.

C’est comme pour l’Advaïta Vedanta, je vous l’ai dit, il y a plein d’auteurs de l’Advaïta Vedanta, mais quand vous vivez l’Absolu, réellement, vous voyez tout de suite à travers les phrases qui sont …, une simple phrase, si ces gens-là ne font que raconter ce qu’ils ont lu, ou s’ils le vivent réellement.

Rappelez-vous, on ne peut pas vivre la vérité, et entretenir le concept du bien et du mal, ce que font tous les spiritualeux, qui disent : oh là là, le mal, ils voient le mal partout. On ne peut qu’en rire, et eux ne le voient pas.

Frère : Il faut se protéger.

Oui, il faut se protéger, ou encore quand on te dit, ne touche pas, faut protéger (Rire). Et pourtant, ces frères et ces sœurs nous ont dit : je suis Absolu, j’ai disparu, mais c’est des mensonges, vous ne pouvez pas tricher avec la vérité. Vous pouvez tricher avec votre personnage, avec vos visions, avec vos projections, avec vos désirs, mais la vérité, je vous dis, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

Il y a combien d’auteurs qui ont écrit sur l’Advaïta Vedanta aujourd’hui, qui ne vivent pas une once de ce qu’ils écrivent. Pourtant c’est beau, hein, c’est joli. Oui.

Frère : Hier, tu avais parlé des noyaux, je crois, dans le tronc cérébral.

Oui.

… Mais tu parlais dans le quatrième ventricule, tu sais, dans la base du quatrième ventricule ?

Non, non c’est la base du quatrième ventricule, c’est tous les noyaux des réflexes automatiques, qui ne correspondent pas, même au nerf vague, les paires crâniennes les plus basses, pas les moteurs oculaires bien sûr, ils sont ailleurs. Mais tout le complexe, on l’appelle je crois hypogastrique, qui commande d’ailleurs le rythme cardiaque, la libération du tronc cérébral, de même que la libération dite du péricarde, met fin à la dualité. Ca te parle ? Bon.

Sœur : Jean-Luc, je voulais te demander, non ce n’est pas important (pour l’apport du micro), quand tu prévois une semaine comme cela, est-ce que tu sais d’avance qui va nous parler, …

Jamais.

Tu sais que c’est Bidi ou bien tu es surpris toi-même des fois …

Ah, non, moi je n’ai jamais rien programmé, surtout maintenant, tout se fait naturellement.

… Par exemple Phahame peut arriver à la minute, sans que tu l’aies prévu, quoi.

Phahame on l’a eu il y a une semaine, Bidi c’est lui qui a décidé de venir, OMA c’est lui qui a décidé de venir.

… Oui. Jamais tu ne décides de prendre rendez-vous avec eux.

Non. Jamais. Surtout maintenant. Il n’y a plus d’enseignement, comme je l’ai dit, vous voyez bien, on ne fait que répéter par différentes voies possibles la même chose, pas pour répéter, pour vous permettre d’accéder à ça, le vivre, et quand je dis que les rencontres ne peuvent pas échouer, d’ailleurs ça n’échoue pas pour ceux qui sont en direct non plus, ils n’ont pas besoin d’être là, mais c’est vrai que je n’ai pas besoin de 5 jours, d’une semaine ou de quinze jours.

On a besoin d’être, à un moment donné, quel qu’il soit, que ce soit en faisant poum, poum, poum, ou que ce soit en parlant, ou en faisant silence, et la vérité est actée instantanément.

Après vous faites ce que vous voulez, je vous dis, moi il n’y a pas d’école, je n’ai rien à vendre, les rencontres, c’est plutôt une occasion, je dirais de faire la fête, on l’a vu hier, on a passé une journée magique là-haut. Donc je ne peux rien décider. Plus j’accepte que je ne peux rien décider, bien sûr, par exemple pour les rencontres, ce n’est pas moi qui décide : je vais faire un stage, d’ailleurs dès que je déciderais de faire un stage à tel endroit, il ne marchera pas. Par contre si c’est quelqu’un, dans n’importe quel pays, dit : tiens, on va faire ça, ça se remplit tout de suite.

Je ne peux pas avoir de meilleure preuve. Dès que tu acceptes de ne plus contrôler, tu ne peux que te prouver que tout se fait tout seul. C’est pareil pour tout. Par exemple, je décide que je vais au restaurant pour manger telle chose, ou que je vais acheter tel aliment, même si c’est la réponse du cœur, si c’est moi qui ai décidé, j’achète le truc ou je commande le plat, je n’ai plus faim. Par contre, si je suis disponible pour l’instant, comme je disais, à Marrakech, on a mangé sept couscous dans la semaine.

Et dans ma vie, tout est comme ça, même si je peste, sur certains évènements, parce que la personne elle sera toujours là, mais plus vous acceptez d’être disponibles, plus les choses se font, réellement et concrètement, toutes seules.

Sœur : Dans mon métier, je n’ai jamais fait d’acte commercial en trente ans, et j’étais en Belgique il y a trois semaines, parce qu’une amie danseuse m’a dit : viens, je te monte un atelier, et tout ce que j’ai fait, des milliers de consultations, c’est toujours venu par amitié. Jamais je n’ai mis sur Internet quoi que ce soit, j’ai toujours été un électron libre là-dedans, et il n’y a que par l’amitié, tous ces gens sont venus par le cœur.

Oui, oui, oui. C’est exactement ça. Oui, oui. Si vous lâchez ce à quoi vous tenez, même si c’est une décision importante dans votre vie, je vais prendre un exemple. Je veux vendre ma maison, je fais tout pour la vendre, elle ne se vendra pas. Si tu dis, que ce qui soit, soit, elle sera vendue. Tout ce à quoi vous tenez, vous tient. Les décisions que vous prenez, de votre propre chef, seront de moins en moins efficaces.

Ce n’est pas pour vous punir, c’est pour vous démontrer que la vie est abondance, et dès que vous n’y mettez pas votre grain de sel, vous allez voir que tout va se faire. Et ça j’ai des frères et des sœurs qui le vivent couramment, par exemple, une sœur récemment : oh ma machine à laver a cassé, je n’ai pas d’argent pour en acheter une. Pouf, une heure après, elle parlait avec une sœur : oh, mais j’ai une machine à laver que je vais jeter. C’est ça la synchronicité, c’est ça la fluidité.

La fluidité ne découlera jamais de votre décision. Si c’est juste, ça se fera, et ça ne peut être que juste, si vous ne projetez rien. Ça ne m’empêche pas de projeter, enfin ce n’est pas moi qui les projette les rencontres, ce sont les gens qui m’invitent à droite, à gauche, qui veulent organiser une rencontre. Mais si je veux être totalement disponible pour l’Amour, je ne peux pas être disponible pour autre chose.

C’est ça la fin du désir, c’est ça qui vous fait vous rendre compte dans votre propre vie que tout est parfait. C’est ça la disparition de la personne, ou de croire que vous allez y arriver par la volonté ou par l’effort, ce qui était pourtant notre lot commun pour tous, quoi que nous fassions auparavant, on était obligé de faire des efforts, d’apprendre une technique, de prévoir.

L’Amour ne prévoit jamais. Je vous l’ai expliqué pour les baleines avec Phahame, pour ici, puisque c’est Martine qui a tout choisi là, même la bonne date, et pourtant c’est programmé depuis, je ne sais plus quand, mais longtemps

… On en a parlé en septembre dernier…

Voilà, ça fait longtemps. Qui pouvait savoir depuis l’année dernière qu’on allait se retrouver là au moment le plus opportun pour le vivre. Si on avait voulu le créer, il n’aurait jamais eu lieu. L’Amour est une disponibilité à l’instant présent. Comment veux-tu être dans l’instant présent, si toi-même oriente par un choix, par une volonté, même si c’est juste, tu ne peux pas te prouver à toi-même que c’est l’Amour, et que ce n’est pas toi qui décides.

Ça va très, très loin ce que je dis. Et si vous acceptez ça, vous n’êtes plus tributaire, même des obligations physiologiques : manger à telle heure, dormir à telle heure, sans ça vous vous soumettez vous-mêmes à ce que vous créez dans votre tête.

Si vous croyez par exemple que manger du gras ce n’est pas bon pour la santé, vous en aurez tous les effets secondaires. Alors qu’il n’y a rien de plus essentiel que le gras. Tout ce qu’on nous apprend même aujourd’hui, bon je ne vais pas reparler de médecine encore, mais tout fonctionne comme ça. Si vous êtes dans la grâce, la grâce vient à vous. Si vous mettez votre personnage devant, votre désir ou même les besoins légitimes…

… La peur …

…Vous aurez beaucoup de difficultés. Parce que l’Amour va vous ramener, dès que vous avez vécu l’une des couronnes, ou la prescience sur le cœur, dès que vous avez vécu Agapè, si vous persistez à vouloir décider, vous allez vous trouver confronter à de gros problèmes, et de plus en plus gros, jusqu’à temps que vous lâchiez, ce n’est pas vous, parce que si c’est vous qui décidez, vous êtes dans votre vie, mais vous ne pouvez pas être votre vie seulement vous devez, oh, vous devez…, c’est la vie, et tu ne peux pas te le prouver à toi-même si dans ta vie tu passes ton temps à t’opposer ou à vouloir. Ah là je suis bien placé pour le savoir en tant que bélier. Arrêtez de vouloir. Et bien oui.

Il n’y a que ça, et plus vous accepterez de laisser venir à vous ce qui doit se produire, plus vous le vivrez avec facilité, plus vous aurez des cadeaux, plus vous aurez des grâces. Mais ça nécessite de lâcher. Mais vous ne pouvez pas lâcher depuis la personne, vous ne pouvez que relâcher entre guillemets, votre propre personnage, votre propre désir, et de voir ce que la vie réalise.

Je l’ai exprimé à travers les baleines, Tenerife, mais c’est pour toutes les choses de votre vie. Tout ce que vous croyez contrôler vous contrôle. Tout ce que vous croyez décider vous prive de la liberté essentielle. Ça ne vous empêche pas de décider de faire un voyage, ça ne vous empêche pas de projeter même des rencontres, mais ce n’est pas moi qui les projette, c’est la vie.

C’est-à-dire, tous les autres qui ne sont que moi, qui le réalisent. Mais si vous acceptez, vous serez conduits par la divine providence, comme on dit, par l’esprit, par le verbe. Et plus vous le constatez, plus vous relâchez, le personnage. Plus vous laissez les choses arriver, plus elles vont vous combler. C’est comme ça que vous donnez la vie et pas seulement votre petite vie étriquée avec ses besoins, ses peurs, ses manques ou son abondance d’ailleurs, c’est la même chose.

Et plus vous acceptez ce principe de fonctionnement, plus vous allez vérifier l’efficacité immédiate. C’est pareil, je l’ai dit, je crois hier soir dans le satsang, plus vous vous donnez, sans réfléchir, dans le vrai service, plus vous donnez de l’Amour, plus vous donnez du service, plus vous vivez de l’Amour. Mais si vous voulez vivre l’Amour tout seul dans votre coin par la méditation, par les vibrations, par les prières, vous pouvez attendre longtemps.

Le véritable sacrifice, il est là, ce n’est pas de se poser des questions sur les symboles, les visions ou les projections. Être disponibles pour l’instant, c’est ne pas décider, parce que vous n’avez pas le choix. Si vous pensez avoir le choix et si c’est vous qui décidez, vous ne saurez jamais si vous êtes dans le sens de la vie, même avec la meilleure des intuitions.

Être disponible pour l’instant présent, ce n’est pas uniquement quand on s’allonge et qu’on fait Agapè, c’est trop facile, c’est dans toutes les circonstances de la vie, même les plus futiles, dans l’ordinaire de la vie que ça se vérifie. Comment voulez-vous parler d’Amour et vivre des visions, des énergies, des trucs, et maltraiter quiconque. Comment voulez-vous vivre cette beauté ineffable qui est là, si vous persistez à vouloir aller dans un sens donné.

C’est ça quand on répète sans arrêt, vous n’êtes pas votre vie, mais vous êtes la vie. Le bonheur, mais vous ne trouverez jamais le bonheur, le bonheur c’est justement quand il n’y a personne. Et plus vous adoptez cette façon de fonctionner, plus vous ne pouvez qu’en cueillir les fruits.

Tu l’exprimais à travers ta rencontre là, tes ateliers en Belgique, mais c’est exactement ce qui se passe dans ma vie. Alors bien sûr, au début, en plus selon ta composante personnelle, ça peut un peu ruer dans les brancards, quand tu as pris l’habitude de programmer, d’anticiper …

… Et bien je ne suis pas comme ça…

En plus d’avoir une vision panoramique comme j’ai, de naissance, ça chatouille un peu quelque part, puis après, c’est un tel bonheur. Plus vous lâchez, plus vous recevez. Plus vous vous donnez, plus vous êtes le don, et plus vous vivez la vérité.

Sœur : Si on pouvait éduquer les petits comme ça, oh là là …

C’est ce que les thérapeutes découvrent de partout, c’est que, s’ils acceptent de ne pas contrôler ce qu’ils font, ils vont devenir de plus en plus spontanés, de plus en plus efficaces, même en utilisant une technique, mais ils ne sont plus tributaires de la technique qu’ils ont apprise.

C’est le mécanisme classique de la conscience, je ne parle pas de supra conscience ou de quoi que ce soit, la conscience fonctionne toujours selon trois modes successifs, et là je parle de la conscience personnelle. Première étape : analyse. Deuxième étape : synthèse. Troisième étape : intégration. Le processus redevient automatique, que je prenne l’exemple de la marche, vous vous redressez à tel âge, vous vous mettez debout, vous ne savez pas marcher, vous tombez, vous répétez, et puis à un moment donné, vous ne pensez plus à marcher quand vous marchez quand même.

C’est pareil pour le corps, c’est pareil pour la conscience. C’est pareil pour la technique et l’évolution de la société. Si on prend l’exemple d’une voiture, d’un véhicule, avant il y avait des moteurs mécaniques, on tournait une manivelle pour baisser la vitre dans un sens et on la montait dans l’autre sens, aujourd’hui c’est affreusement simple, on appuie sur un bouton, ça monte, sur le même bouton, en bas, ça descend. L’efficacité est plus directe, pourtant les circuits sont devenus autrement plus complexes.

Avant, il y avait une manivelle, enfin on tournait la manivelle, ce n’est même pas une manivelle, comment ça s’appelait le truc qu’il y avait dans la voiture, qui faisait monter et descendre la vitre, je ne sais même plus, mais il y avait un mécanisme extrêmement simple à l’intérieur. Ça se résume dans le fonctionnement à un bouton, on monte, on descend, alors qu’on sait qu’à l’intérieur il y a un moteur, il y a des fils, il y a des circuits, il y a plein de trucs, il y a un programme.

Frères : Les télécommandes, pareil…

Oui, les télécommandes c’est pareil, et tout évolue comme ça, ça c’est dans le simulacre. Avant on avait besoin d’une clef pour ouvrir une porte. Vous voyez bien que se généralisent maintenant les télécommandes, et même dans les hôtels, même non de luxe, vous n’avez plus de clef, on vous donne une carte, qui est valable de tel jour à telle heure.

Donc, il y a une intelligence qui a été mise en œuvre, humaine ou artificielle, peu importe, qui aboutit à une simplification, mais cette simplification apparente du fonctionnement est une complexification interne, puisque les mécanismes, avant la serrure c’est simple, on créait la serrure, on créait la clef, il y avait une clef par serrure, maintenant ce sont des circuits électroniques, plus des moteurs qui vont permettre de déclencher …

C’est pareil pour tout. Analyse, synthèse, intégration. C’est pareil dans le cerveau, je vous l’ai dit, il y a des circuits nouveaux qui sont apparus, des centres qu’ont a appelés les étoiles pendant des années qui se sont activées, il y a des apprentissages qui se sont créés, et c’est pareil pour Agapè, c’est pareil pour la liberté et la spontanéité, il y a des mécanismes qui se déroulent.

Si on cherche à les comprendre, on ne peut pas les vivre. Si vous les acceptez, ils se vivent naturellement, comme pour l’apprentissage de la marche. Mais bien sûr, là c’est une mécanique biologique, chimique. J’ai pris l’exemple de la voiture où là c’était avant une manivelle avec un moteur extrêmement simple avec des crans ou des, comment ça, enfin des lanières, des courroies, enfin des roues, des poulies et tout. Pour nous c’était compliqué, il fallait faire un mouvement donné, on appuie sur un bouton, mais il a fallu créer le moteur à l’intérieur, avec l’électronique et tout.

Il y a une intelligence qui est à l’œuvre. Là ce n’est pas une intelligence artificielle ou humaine, c’est l’intelligence de la lumière. Et quand on répète sans arrêt, vous ne pouvez comprendre, parce que la compréhension fige le vécu, là aussi c’est pareil, tout a été écrit, même dans le cerveau. Le fait de se croire un individu, c’est lié à l’épiphyse et au noyau du thalamus central. Il y a des drogues chimiques, des enthéogènes avec la DNT, je l’ai dit aussi, ou d’autres choses, ou en une prise, vous n’êtes plus un individu.

Vous voyez bien que c’est un processus chimique avant d’être un processus de conscience, et heureusement, sans cela c’est du rêve, de l’astral, ça ne sera jamais pérenne, et ça ne sera surtout jamais vrai. Quand vous découvrez la vérité, ça met fin à tout mythe d’immortalité, ça met fin au rêve d’individualité, qui est un cauchemar, que revendiquent bien évidemment, les nez rouges en ce moment.

Ils vivent un amour extérieur, parce qu’ils sont incapables de vivre, qu’ils sont tout ce qu’ils projettent, même le diable. Bien sûr, le diable est toujours à l’extérieur, jamais en eux. Mais c’est pathétique. Je ne peux pas vous dire mieux. C’est pathétique pour eux, les pauvres.

Je ne peux que répéter une énième fois, la spiritualité est une escroquerie totale, et la conscience est une maladie. Heureusement, elle est mortelle elle-même. Et quel soulagement, parce que tout système vivant, je ne parle pas uniquement de l’être humain, essaiera toujours de trouver ce qu’on appelle son homéostasie, c’est-à-dire sa régulation, son équilibre, en dépensant toujours le moins d’énergie. C’est valable au niveau cellulaire, sinon il y aurait de l’entropie et le système ne pourrait pas vivre.

Mais quand vous acceptez que tout se fait indépendamment de vous, vous êtes libres de vous-mêmes, vous êtes libres de croyances, vous êtes libres de visions, vous êtes libres de projections, vous êtes libres d’attentes. C’est comme ça que vous êtes disponibles, pas autrement, pour vivre l’instant présent.

Ça ne vous empêche pas de prévoir un rendez-vous d’opération si vous avez un problème qui doit être opéré. Mais c’est une attitude de fonctionnement, qui met fin aux habitudes, qui met fin à tous les conditionnements, à tous les esclavages qu’on appelle cognitifs, esclavages cognitifs qui sont liés à la fois à notre constitution, et aussi à tout ce qu’on a expérimenté entre zéro et sept ans, et qu’aujourd’hui on libère, en s’accueillant par le verbe au sein de l’éphémère, de notre nom et notre prénom.

Parce que à ce moment-là, ce qui se passe, maintenant les frères et les sœurs, ici ou partout, le vivent, en s’accueillant réellement, alors qu’il y a des gens qui prononcent leurs noms tout le temps, mais là c’est un accueil vibral, de la vibration puisque vous êtes porteurs du verbe, c’est l’épée de vérité. L’épée de vérité tranche tout ce qui est illusoire, tout ce qui est superflu. Ça ne peut pas échouer.

C’est inscrit même dans la structure cérébrale. J’ai expliqué que le fait de se croire un individu est créé de toute pièce par le cerveau au niveau des noyaux du thalamus central, tout ça régi et contrôlé par ce que vénèrent les ésopêtés, les ésotéristes comme je les appelle, c’est-à-dire la pinéale, qui est une escroquerie totale. Le vrai pouvoir de l’Amour, il est dans le cœur, tant qu’il y a la tête, vous ne pouvez pas vivre l’Amour. Vous pouvez le projeter, vous pouvez l’idéaliser, vous pouvez le rechercher, mais toute recherche vous éloigne de l’instant présent.

Alors là, aujourd’hui, avec une… Occupez-vous de la recherche pour aller chercher des champignons, moi je ne sais pas, ou pour aller pêcher, mais pas pour ce que vous êtes. Et en plus la preuve est apportée immédiatement, par la fluidité de l’unité, par l’efficacité et par la joie, le sourire aux lèvres, surtout.

J’ai expliqué à plusieurs reprises, et vous le constaterez de partout, ceux qui sont inscrits dans leurs chimères spirituelles, là, ou alors d’accuser tout le monde d’être le diable, ils ne peuvent pas être heureux, ils ne peuvent pas sourire, et de moins en moins. Tous ceux qui sont enfermés dans des religions, dans des rôles d’imams, de rabbins, de curés, et tout, ah, ils sont de plus en plus gris, et il y a de quoi.

Mais ce n’est pas par hasard si, aujourd’hui, ils sont arrivés dans ce rôle-là, puisque in fine, c’est le même résultat. Mais il vaut mieux en passer par la joie que par la souffrance quand même… je ne sais pas. Maintenant libres à eux de souffrir, c’est ce qu’ils ont choisi, donc c’est leur choix respectable, et vous, vous ne pouvez que le constater. Il n’y a pas de place pour le hasard, tous les programmes possibles ont été écrits. Tous les scénarios possibles ont été écrits, et le pire, c’est qu’on les a tous vécus.

Bien évidemment, dès que vous restez dans le discernement, ça c’est leur argument à eux, il faut discerner, oh là là, il y a le bien et le mal, et ils vous parlent d’unité. Non mais attendez, ce sont des clowns. C’est pathétique, ça prouve bien qu’ils n’ont rien vécu, comme je disais pour l’Advaita Vedanta, vous avez des auteurs très connus qui écrivent sur l’Advaita Vedanta.

Pffff… C’est du pipeau intégral. L’Amour et la liberté, ça s’exprime par la poésie, ça s’exprime par les mots de Christiane, ça s’exprime par les mots de frères et sœurs qui chantent, qui dansent, qui peignent, ils n’ont pas besoin d’alibis, ils n’ont pas besoin d’être reconnus à l’extérieur, ce qui est l’apanage des spiritualeux, ils ont un besoin de reconnaissance terrible, les pauvres, ils souffrent. Et puis là maintenant, comme ils sont de moins en moins reconnus, ils agonisent.

(Rires)

Laissez-les agoniser, aimons-les c’est tout.

Sœur : Beaucoup de livres sur la pleine conscience, des rayons entiers à l’heure actuelle.

Oui, et ils vont s’arcbouter sur leurs religions, sur leurs croyances, sur leurs dénis ou sur les accusations de quoi que ce soit, ils vont souffrir de plus en plus. Alors, jusqu’à présent, ils pouvaient porter le masque de la joie ou vous faire croire que, à travers la manipulation des énergies. C’est fini tout ça.

Tout ce que nous vivons, les uns et les autres, ne sont soit que nos projections, soit la vie. Il y aura de moins en moins de demi-mesure, dans tout ce qui va se présenter à vous. Plus vous êtes disponibles pour l’Amour, plus vous êtes disponibles pour l’instant présent, pour l’accueil, comme j’ai dit, plus vous allez découvrir la transparence, la grâce et plus la vie va vous combler, pas d’argent, pas de possession, mais vous sentirez cette joie, c’est inéluctable, quel que soit l’état de votre corps, de vos finances, de votre portefeuille, de vos enfants ou autres.

C’est très difficile pour les mamans, ça, par exemple, d’accepter que leurs enfants ne sont pas leurs enfants. Khalil Gibran l’avait dit de façon poétique, le simulacre vous dit aujourd’hui par la république que vos enfants ne sont pas vos enfants et qu’ils appartiennent à la république, la finalité est la même.

Vous cherchez le bonheur, le bonheur est sans vous. Tant que croyez que vous pouvez acquérir un bonheur, vous n’êtes pas vrais. Tant que j’ai été médecin dans la réussite professionnelle que je n’ai pas nécessairement recherché, mais qui s’est produite toute seule, et bien, ce n’était pas vrai, je n’étais pas libre pour l’Amour. Ce n’était pas le moment non plus.

Mais être disponible pour l’Amour, être Amour, c’est être disponible dans l’instant pour tout ce qui se présente, qui va vous donner le prétexte et l’occasion, de vous donner et de servir. Et plus vous donnez, comme je l’ai dit, plus vous servez, sans vous poser de question, plus vous recevez. C’est imparable.

La voie de la spontanéité, la voie de l’enfance, si chère à Thérèse, c’est ça. La grande différence, par rapport à l’époque de Thérèse, c’est que vous n’avez pas besoin d’un sauveur, le Christ est vous. A l’époque, il fallait qu’il y ait, comme l’avait expliqué Hildegarde de Bingen, cette espèce de tension vers la lumière, mais aujourd’hui vous n’avez pas besoin de tension, vous n’avez pas besoin de méditer, vous n’avez pas besoin de vibration, vous avez besoin d’être présents, c’est la seule lucidité.

Tout ce qui nous a servi, aujourd’hui, est un obstacle. Ça ne sert à rien de réprimer la sexualité, ça ne sert à rien de réprimer l’alimentation, sans ça vous êtes encore dans la volonté. Bien sûr, il y a un minimum de compréhension au niveau du fonctionnement, mais plus vous acceptez que vous ne pouvez rien changer, plus vous assisterez au changement. Tant que vous croyez que vous allez changer quelque chose en vous, vous souffrirez. Il n’y a pas d’autre façon d’y arriver.

Tout le reste ne sont que des subterfuges de la conscience, la spiritualité, l’énergétique, la compréhension, la recherche de sens. La vie n’a aucun sens, elle est partout, comme vous êtes partout. Ce n’est que la perspective ou le point de vue de la personne, qui croit encore arriver à quelque chose, par un effort, par une ascèse, par une pratique, qui vous maintient sur une scène de théâtre en tant qu’acteur et qui vous empêche d’être cet observateur, qui est devenu le Je éternel.

C’est le moment où vous réalisez la fusion entre votre personnalité, le je éphémère, le nom que vous portez, avec la vérité. Votre nom est la vérité, aujourd’hui, parce que vous êtes le verbe, mais vous ne pouvez pas être le verbe et mentir, et vous mentir en premier à vous-mêmes. La meilleure preuve, je vous l’ai dit, c’est le sourire aux lèvres, l’éclat du regard, et ce n’est pas un rire ou un sourire qui est faux, qui est triché, c’est la vérité.

Même quand vous êtes en rébellion dans certaines occasions, vous ne pouvez que rire de vous-mêmes, parce que le Je éternel, l’observateur, malgré tout, il est là, et qui vous voit, vous-mêmes, rentrer dans le propre jeu de votre propre mental, de votre propre besoin de compréhension, ou dans votre culpabilité. Arrêtez de jouer. Vous n’êtes rien de la culpabilité, vous n’êtes rien de la compréhension.

Et d’ailleurs sur le plan allégorique ou symbolique, vous l’appelez comme vous voulez, c’est le mythe d’Adam et Eve. Manger le fruit de la connaissance du bien et du mal, vous chasse du paradis. Mais il n’y a pas de faute. On l’a mise sur Eve, sur la femme, mais elle n’est pas plus fautive que les archontes. D’ailleurs ce sont les mêmes, à un autre moment.

(Rires)

Eh oui, et c’est nous aussi à un autre moment. On a déjà tout joué, et on est aussi Tous. Mais si vous restez sur un point de vue limité de votre personnage qui parcourt une histoire, qui doit faire des efforts parce qu’il a péché, parce qu’il faut trouver le paradis ou autre, vous êtes encore dans des scénarios qui n’ont ni queue ni tête.

Mais on a tellement été habitué à ça. Et notre cerveau est construit comme ça.

Sœur : D’après l’abbé Pio, il a été victime de son adhésion à l’obéissance de l’église et il a été persécuté par l’église complètement Padre Pio, on voulait prouver que les stigmates étaient faux, c’était horrible ce qu’il a vécu, mais il était tenu par la loi d’obéissance à l’église, et d’humilité, ce qui fait qu’il voyait complètement toutes les dérives, et qu’il acceptait d’être totalement victime.

 

Ça a bien changé depuis, c’est incroyable.

C’est pour ça que … Oui, ça a changé depuis. Le dernier, c’était Padre Pio à être stigmatisé, maintenant tous les stigmatisés apparaissent en dehors de l’église catholique, heureusement. Parce qu’à l’époque, il n’y avait pas le choix.

… Mais l’église a été horrible avec lui, horrible, et il a tout accepté, par loi d’obéissance.

Ça, c’est un beau mot ça l’obéissance que nous vendent les catholiques, ou la soumission à Dieu que prône l’Islam, l’Islam ça veut dire le soumis à Dieu, mais, mais, qu’est-ce que c’est que ces conneries …

… Eh oui, mais voilà, c’était son époque …

Néanmoins, laissez-les vivre ce qu’ils ont à vivre, parce que pour eux, c’est le chemin pour y arriver. Et comme pour les anciens, je vous l’ai expliqué, Pépère l’a dit, il a fallu qu’ils réparent toutes les conneries qu’ils ont projetées, mais leurs projections qui étaient des conneries étaient indispensables pour préparer, poser des jalons. Le Christ a posé un jalon, Bidi a posé un jalon, les grands Êtres, avant l’apparition des religions ou des mouvements spirituels, ont posé aussi des jalons.

Bouddha disait : si tu rencontres Bouddha, tue-le vite. Tant que vous n’avez pas tué le maître extérieur, vous ne pouvez être libres.

Frère : Dis voir, il y a des problèmes au niveau des stigmates. Certains, ils les mettent au niveau du creux des mains, il y en a d’autres au niveau du poignet au-dessus. Alors, mais là ils ne peuvent pas, parce que ça déchire tout.

Non.

… Là, au niveau du creux de la main ? …

Ceux du creux de la main, bien sûr. Tous les stigmates, j’ai quand même bien étudié les stigmates du Padre Pio, il les avait au cœur de la main et, vous avez, en Italie, la réincarnation du petit berger de Fatima, là, Giorgio Bongiovanni, il a les cinq plaies lui, il a la couronne du Christ, il a la plaie au foie, les plaies aux mains et aux pieds, ils sont toujours ici.

Quand j’ai eu les suintements d’huile sainte, c’était vraiment sur le point d’acupuncture qui est juste au-dessus de la paume de la main, qui s’appelle d’ailleurs le, si mes souvenirs sont bons, le huitième point du méridien du maître du cœur, qui s’appelle en chinois le Lao Gong, c’est-à-dire le palais des ancêtres, de même qu’aux pieds, peu importe qu’ils soient, d’ailleurs on s’en fout, qu’ils soient au 1 reins, ou qu’ils soient à la cheville, mais le stigmate qui apparaît chez le stigmatisé, il apparaît sur ce point …

Mais rappelez-vous que le stigmate, au sens neuropsychiatrique et neuroscientifique, c’est une hystérie de conversion, rien de plus, rien de moins, même si ça a été important pour témoigner pour certains.

Aujourd’hui, vous n’avez besoin ni de stigmates, ni de quoi que ce soit. A l’époque oui, les saints étaient soumis aux religions, d’ailleurs ça a très mal fini pour ceux qui ne se sont pas soumis, à leur religion d’où ils étaient issus, ils ont tous très mal fini en général.

La vérité ne peut pas être dite, elle ne peut être que vécue, vous pouvez en approcher, vous pouvez l’expliquer, moi j’essaie de vous l’expliquer par toutes les voies, mais ce n’est pour ça que vous le vivez. C’est juste une espèce de justification, si on peut dire, qui va vous servir de cadre pour ne pas noyer votre mental, et pour vous diriger vers l’acceptation, c’est tout.

C’est tout ce qui se passe avec l’Advaita Vedanta, qui commence maintenant à être bien diffusé en occident, vous avez énormément de simulateurs, ils n’ont fait que lire, compiler, ils sont persuadés de le vivre. C’est comme le positionnement de certains frères et sœurs qu’on connaît, ou qu’on ne connaît pas, qui vous disent, ça y est, j’ai vécu l’Absolu, j’ai vécu la disparition, et qui passent leur temps à discerner le bien du mal. Ils ne le voient pas. Que vous fassiez le bien ou que vous fassiez le mal, vous servez la matrice binaire, et il n’y a aucune porte de sortie là-dedans.

Et bien sûr, tous ces êtres-là, bien sûr, le mal est toujours à l’extérieur, il n’est jamais chez eux, ce sont des gens tout simplement au sens Jungien, qui n’ont pas cherché au bon endroit, ils ne sont pas descendus comme on dit dans leur profondeur, ils ne se sont pas trouvés, et bien sûr, c’est toujours l’autre le responsable. Ils sont incapables de rentrer en eux, je ne parle même pas de rentrer dans leur cœur, parce que tout ce que vous voyez à l’extérieur, comme disait Pépère, c’est celui qui dit qui y est, tout ce que vous voyez à l’extérieur est en vous.

Si vous voyez le mal, si vous voyez le diable, vous êtes le diable, le diviseur comme on dit. Et il n’y a pas plus de diable que d’archontes, que de Yaldebaoth, que de Marie, que de Christ, ce sont des personnages historiques, ils sont réels jusqu’à un certain niveau de vécu, ils disparaissent d’eux-mêmes au-delà de ça.

C’est tout le problème des maîtres ascensionnés de l’époque, qui s’étaient arrêtés à Shamballa et qui ont créé un univers astral, ce sont tous les enseignements de l’âme d’Alice Bailey, ce sont tous les enseignements de l’église catholique, qui ont oublié une chose, au-delà de l’analyse de l’âme, quels que soient les rayons, les polarités, que je connais, il y a l’esprit, et eux … de l’esprit à la vérité, qui n’a que faire de l’âme, de l’esprit, de quelque monde que ce soit, de quelque énergie, de quelque état de conscience, ou de quelque vibration que ce soit. La seule liberté, elle est là, il n’y en a pas d’autre.

Vous voulez le vivre ? Donnez-vous, n’arrêtez pas de donner, n’arrêtez pas d’aimer, quel que soit le regard que vous portez, mais surtout ne jugez pas, voyez clair, bien sûr, et d’ailleurs je ne me prive pas pour le faire, mais je ne condamne personne en disant ça, au contraire, j’aime, et vous traverserez tout : votre maladie, vos manques, vos souffrances, vos douleurs, et vous découvrirez que, au travers de cette souffrance comme l’exprimait Antoine tout à l’heure, il y a cette joie.

Et que bien sûr ça crée un manque, il expliquait, par rapport à la moto, par rapport à la marche, en montagne en plus. Mais là aussi se jouent la résilience et l’acceptation. Parce que c’est justement ce dont la vie vous a privé que vous allez trouver la liberté. Peut-être qu’aujourd’hui, s’il pouvait marcher, il ne serait pas là, il serait en train de parcourir les montagnes à moto. Quand on voit hier les motards, là, sur les routes là, ah qu’est-ce que ça fait envie, avec leurs grosses motos, là, oh, le bonheur, il n’y a pas de radar…

… Ça a passé …

Oui, ça passe, ça passe, mais rien n’arrive par hasard et je dirais même que aujourd’hui, plus vous rejetez quelque chose que vous trouvez injuste, détestable, horrible, c’est justement ce qu’il vous fallait, il n’y a pas d’autre choix. Ce n’est pas vous qui décidez et il n’y a pas une autorité extérieure qui a décidé, ce n’est pas un dieu ou un diable qui vous a puni, ce n’est même pas un karma, ça concerne la personne ça, c’est l’Intelligence de la Lumière qui est à l’œuvre, et quand vous l’acceptez, vous ne pouvez que le vivre.

On va arrêter.

J’aimerais bien moi aussi rouler dans la dernière Ferrari pour voir ce que ça fait.

(Rires)

Mais bon, ce n’est pas un désir, tu vois, ce n’est même pas une nostalgie, simplement c’est un rêve qui passe. Et à ce moment-là, tu ne dis pas, purée ça me manque, non, je l’ai vécu, je l’ai vécu.

… C’est ce que disais à Priscille, tout ça je l’ai eu.

Eh, oui, et ça c’est essentiel…

… Et ça c’est important…

La résolution, elle est là…

… Je n’en ai plus besoin aujourd’hui …

Mais bon, un petit tour de moto là-haut, ça aurait été sympa …

(Rires)

Et je n’ai aucune honte à le dire, mais tout ça est traversé. Vous riez de vous-même, pas en vous moquant de vous-même, mais justement, ce rire-là vous permet aussi de vous repositionner dans la liberté.

Sœur : On est toujours dépendant, puisqu’il faut obéir à l’intelligence de la lumière, on ne sort pas de la dépendance.

Eh oui, et tu ES l’intelligence de la lumière.

… Ah oui…

(Rires)

Dès l’instant où tu n’es plus dans le temps, dans l’instant présent, je vous l’ai dit, dans la dynamique de toute cette alchimie qui s’est faite dans le cœur, depuis l’ouverture des couronnes ascensionnelles, la tri unité, la fusion du canal marial dans le chakra du cœur, la montée de l’onde de vie, enfin, on ne va pas repasser tout le scénario, la découverte de la résonance et du rythme du cœur de la valse à trois temps comme je l’avais appelée, le double tore qui s’installe, cette respiration qui se fait quand le cœur se met non plus à battre, mais à respirer, quand vous commencez à percevoir le petit chakra du cœur au milieu ou la pression sur le cœur, il faut passer par le cœur du cœur, donc on est de plus en plus présent au cœur.

Et à un moment donné, pouf, c’est ce qui se passe avec le feu, il n’émane plus d’ici, même les 24 rayons que je vous ai dit du tetractys hexaèdre qui s’ouvre et qui se rayonne, aujourd’hui, ça ne veut plus rien dire, puisque le feu est partout. Et maintenant je le constate depuis plusieurs mois, dès que j’identifie un phénomène et que les gens le vivent, et qu’on en parle, et qu’on l’explique, clac clac, je repasse à autre chose.

(Rires)

Ah, oui, mais c’est systématique, et je n’y peux rien, c’est écrit, je vous dis, je ne fais que suivre ce qui est écrit, je n’invente rien, je ne crée rien, je ne fais qu’illustrer ce que j’ai moi-même écrit, et pour chacun c’est pareil. Et là, il n’y a plus aucun piège, vous ne risquez pas de vous prendre pour je ne sais quoi, ou de revendiquer quelque ascendance sur quiconque, alors que bien évidemment tous les spiritualeux, eux, sont des donneurs de conseil, ils sont toujours en train de vous dire, oh là là, fais attention, oh là là, les ah là.

Mais à quoi ils jouent ? Est-ce qu’ils ont même une seule fois vécu dans leurs vies Agapè. Non, c’est impossible, d’ailleurs ils ne veulent pas entendre parler de ce mot. Mais bon, c’est leur chemin, c’est leur chemin et pour eux, il n’est pas illusoire, puisqu’ils le vivent comme réel, et c’est justement cette pseudo erreur ou de positionnement …

Sœur : J’ai faim !

T’as faim ? On va aller manger.

C’est justement cette erreur de positionnement qui va les conduire aussi à la consumation d’Amour. Personne ne peut s’échapper.

Allez, on arrête l’enregistrement, mais je t’écoute.

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