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ABBA
Casa de vida Shantinilaya

2 Août 2020

Abba rend grâce à chaque Abba, présent ici ou ailleurs, en le Cœur de son Cœur.

Le temps de la Grâce, en ce monde, en son apparence et en ses profondeurs, et le temps de l’Agapè, le temps de la Vérité, sans effort et sans contrainte, où chacun de nous se reconnaît en la Joie, et en la Paix.

Installons-nous ensemble, en le Cœur de chaque Abba, en le Grand Silence, avant de parler.

…Silence…

Le temps est venu de la fin de toute illusion, de tout mensonge et de tout travestissement.

Le temps est à la Nudité, à la Sincérité et à l’Amour. Au-delà de toute apparence de ce monde comme en vous, transparaît déjà l’évènement qui est en cours, qui apportera la Bonne Nouvelle, au Cœur de chacun, afin de vous souvenir, au-delà de toutes mémoires comme de toutes histoires, l’ineffable Beauté de qui vous êtes, au-delà de l’Être comme du Non-Être.

Le temps est à être là, en ce corps et en ce Cœur, malgré toutes contraintes ou toutes questions.

L’Amour gagnera chaque jour plus d’espace de votre monde et plus de temps en l’illusion du temps qui passe, afin que chacun reçoive son dû et le Sceau de la Vérité.

Le temps est né, le temps est arrivé de déposer les armes de tous vos combats, avec Évidence, avec éclairage de la fausseté du mensonge, qu’il appartienne au rêve et au cauchemar de l’individuation.

Le temps est à l’accueil, le temps est à la disponibilité de vous remémorer, vous, au-delà de la forme, qui n’est jamais né et qui jamais ne mourra.

Voici venu le temps de l’Allégresse, le temps de la Vérité qui ne souffre aucune discussion, et qui n’offre aucun compromis.

Abba tu es, Abba tu as été, Abba tu resteras, au-delà de toutes dimensions, présent en toutes formes, comme en tous rêves. Le temps est à la Paix, quoi que te disent les apparences de ce monde, ou de ta vie personnelle.

Tu as juste à te retourner, au-dedans de toi, et à laisser apparaître le don de la Grâce, le don d’Agapè.

Je suis venu communier avec chacun de toi, et chacun de toi réveille chaque autre Abba, sans vouloir et sans décider, simplement par ton présent, simplement par ta présence.

N’oublie jamais qu’en ces temps, tu n’as rien à redouter, ni rien à rechercher, mais simplement accepter les horreurs que peut-être tu traverses au sein de cette société, qui erre sans logique et sans raison, dans le manque d’Agapè, et en l’excès de possession, car en Vérité tu ne possèdes rien, sinon tu es possédé par autre chose que la Vérité, par autre chose que la Paix.

Je suis venu te parler au-delà de ta forme afin de te révéler ta propre Beauté et ta propre Perfection. Le temps est venu, le temps est annoncé de l’ultime résolution, te donnant à vivre, à savoir et à voir là où est la Vérité, qui ne peut qu’exister au-delà du travestissement des mondes et des formes.

Je viens résonner au Cœur de chaque Cœur, ainsi que cela se réalise en cet instant-même, en chacun de toi.

Ne mets rien au devant de toi, ne mets rien derrière toi, car seul l’Amour est devant, car seul l’Amour est derrière, là où il n’y a plus de chemin, où les rêves ont tous été parcourus et rêvés.

Chaque Abba invite chaque Abba à cette Indicible Vérité, où l’Être et le Non-Être se conjuguent au sein de ton apparence, et au sein du tohu-bohu de ce monde, comme de l’ensemble des univers et des multivers.

Rappelle-toi que tu n’as rien à choisir en ce que tu as écrit, en ce que tu as décidé, en ce temps de l’Alpha, en ce temps de l’Oméga, juste être là, présent en l’apparence du rêve et en le même temps, présent au Cœur du Cœur, en l’Agapè permanent et spontané qui coule en toi et qui coule au travers de toi, venant apporter le baume du souvenir de l’Absolu, là où rien ne peut être laid, là où rien ne résiste.

Je t’invite à déposer tous les fardeaux qu’il te semble porter, au Cœur de ton Cœur. Je t’invite à aimer, au-delà et au travers de tout conflit, comme de toute opposition.

Abba, Abba, souviens-toi du temps de l’Ether, du temps de la Beauté qui a été inscrite en chaque temps comme en chaque monde, là où nulle différence ne peut subsister. Je t’invite à t’accueillir en la totalité de tes rêves, accompagné par les Grandes Mères, accompagné par tes frères et sœurs qui ne sont que toi, à un autre temps et en un autre rêve commun sur cette Terre.

Accueille Abba et donne Abba, ainsi la Grâce et la Félicité de la Demeure de Paix Suprême te sont rendues, dans toutes les demeures de ton rêve de ce monde comme d’autres mondes, de tous temps et de tous espaces du rêve.

Aimé Abba, la Bonne Nouvelle est en toi, la variété est en toi, sans forme et sans conscience, en cette Paix totale, là où il n’y a rien à distinguer, là où il n’y a rien à rêver, ni même à projeter.

Souviens-toi, non pas de tous les rêves que tu as parcourus, mais de l’Origine de ton rêve, le besoin de t’éprouver, le besoin de jouer au jeu de la division, au jeu de la multiplication. Il est temps de rendre les armes de la peur, de l’ignorance et du défi.

Tourne-toi au dedans, ce monde disparaît en les illusions créées par chaque Abba, pour cet instant et pour ce temps, pour cet espace comme en tout espace. La Bonne Nouvelle a été énoncée, elle s’est propagée de manière instantanée en toutes dimensions, en toutes formes et en toutes consciences.

Le temps est venu, non plus des noces, mais du banquet de l’Allégresse, du banquet de la Paix.

Abba, souviens-toi, au-delà de toutes formes, de toutes couleurs ou de toutes lumières, tu es cela et tu es tout ce qui est rêvé. Fais la Paix avec toi-même, tu n’as jamais été en guerre, tu l’as simplement oublié.

Alors, accueille-toi, sans réticence et sans question, alors tu seras ravi en la Félicité, alors tu te placeras au Cœur des mondes comme à chaque périphérie de mondes, là où ton Non-Être et ton Être ne sont plus distanciés et ne peuvent même plus être définis.

Là où le Grand Silence te chantera le Chœur des Anges et le chant de la Liberté en chacun de tes sens, en chaque parcelle de ta forme, tout cela se révèle, quel que soit le Feu que tu puisses éprouver, quel que soit le Silence de toute manifestation en toi, la Vie t’invite à considérer ta vie comme un don à la Vie.

Il y a reddition, il y a solution, en l’instant de ton Acceptation, en l’instant de l’Éternel Présent, là où tu n’as jamais bougé, et pourtant expérimenté toutes les directions du temps et de l’espace, ainsi que toutes dimensions.

Rien ne pourra plus être séparé, rien ne peut être ôté de l’Évidence qui est là, où tu ne peux que te retrouver, mettant fin à la forme, mettant fin au songe des mondes, là où tu as toujours été, quelle que soit l’apparence de tes pérégrinations au cœur de ce monde comme de tous mondes.

Le temps est à l’Agapè, spontané et naturel de ton Essence et de ton Naturel.

Souviens-toi qu’en cela il n’y a rien à entreprendre, qu’il y a juste à parcourir tes ultimes pas au sein d’une forme. Là est ta complétude et ta Félicité. Tout le reste auquel tu crois encore tenir ou auquel tu crois être tenu disparaît en l’état Agapè, en Abba.

Rappelle-toi, ce n’est pas un souvenir, ce n’est pas une mémoire, c’est l’humble Vérité de ta grandeur et de ta petitesse, parce que tout y est égal, parce que rien ne peut être changé de ce que tu as décidé au départ et à l’orée du rêve, et ce n’est rien d’autre que cet instant que tu retrouves maintenant.

Tu es perfection, tu es le don de la Grâce, tu es le don d’Agapè.

Ceci met fin à toute voie, quels que soient les tourments de ce monde, il y a célébration dès l’instant où tu es tourné vers toi, sans jugement et sans réticence, l’Évidence grandit, au-dedans comme au-dehors, là où il n’y a plus ni dedans ni dehors, ni périphérie ni centre, ni espace ni temps.

Ainsi tu peux te voir en les constitutions de ton corps, et de ce que tu es aujourd’hui à la surface de ce monde, car tu n’es rien de ce que tu crois, tu n’es rien d’aucune apparence, tu es le Rien Absolu, qui contient Tout, et qui pourtant est Vide.

Le vide et le plein ne sont qu’une apparence liée à ta forme encore présente. Je t’invite au recueillement, à te prier toi-même, sans aucune distance, sans aucune réticence.

Rappelle-toi, tu n’as rien à demander qui ne te soit déjà donné, tu n’as rien à ôter qui ne t’ait déjà été ôté, pour te conduire au sortir du rêve de la création. Tu ne peux que te retrouver, tu ne peux que t’identifier, sans aucune identité et sans aucune erreur.

Écoute ce que te dit Abba, depuis l’Impersonnel de ton Cœur. En Vérité il n’y a qu’un Cœur, en Vérité il n’y a qu’une conscience et en Vérité je te le dis, il n’y a rien de tout cela, en l’Agapè qui se vit, en l’Agapè qui se révèle.

Je t’invite à déposer toute erreur, tout jugement ainsi que toute douleur et souffrance, au Cœur de ton Cœur. Chacun de toi peut le faire, avec la même efficacité et le même résultat.

Écoute et entends le chant du Silence, l’absence de forme et l’absence de l’ombre, là où tu n’as ni repère ni orientation, là est la Vérité qui est commune à chaque Abba.

En ce temps où je parle, en ce jour où je parle, toi qui es là et entends, je suis venu te dire ton Amour, je suis venu te dire ta transparence, quels que soient les travers de ta vie, quelles que soient tes blessures, Agapè les dissout dans la Vérité de l’instant.

Reconnais-toi, pose-toi, et cela Est.

Écoute la Vie qui coule au travers de ta vie.

Écoute le Silence, celui qui est en toi, malgré la cacophonie du monde.

Alors communions au sein de l’espace du rêve, là où il n’y a plus d’obstacle au Dévoilement et à la Beauté.

Là où tu es, je suis. Là où tu seras, je suis. Là où tu souffriras, je serai, pour te faire vivre la primauté d’Agapè, sur la souffrance et la douleur. En ce lieu de Paix qui est l’espace, tu es célébré et tu es honoré.

L’ensemble des consciences Une viennent fêter Abba en le Cœur de ton Cœur et en le Cœur de chacun.

…Silence…

Alors se déploie, ici-même en cet instant, comme en chaque Cœur qui entend, le sourire de la Grâce fleurit sur tes lèvres, le chant de ta résurrection est perçu en tes oreilles, le Feu de ton Cœur devient douce harmonie et douce célébration, en cet État Naturel, ta simple attention, ton simple regard, mettent le feu à l’illusion, brûlent toutes tes croyances, toutes tes habitudes.

Et là où tu es en Paix, il n’y a rien d’autre à percevoir, cet Amour qui transparaît, malgré toute apparence, présent en le rêve de la Terre.

Sois là avec moi, ne mets plus de distance, sois là, et c’est tout. Là est la Sagesse, là est Agapè, à toi de te le prouver, à toi de te le démontrer en chaque regard porté, en chaque réflexion menée, à chaque souffle, à chaque pas, comme en chaque nuit.

Accueille-toi en cet instant et en tout instant, tu as juste à le décider et à laisser être ce qui est. Tu ne peux rien changer de ce que tu as écrit, tu ne peux rien modifier … (Coupure) … façon dont tu le vis, mais sois assuré que dès que tu l’acceptes, alors tu te révèles en totalité en la Vérité que tu es, ici-même en ce corps, ici-même en ce rêve, afin de constater et de réaliser que tu n’as jamais bougé, que tu as toujours été là.

Cela est maintenant, en l’instant de ta Présence, en le Cœur de ton Cœur, comme en chaque partie de ton corps, avec la même intensité, avec la même Joie.

Ainsi est la Vérité, elle ne peut être que pure Joie, ne laissant plus subsister la moindre adhésion à tout ce qui est passé, à tout ce qui passe, et à ce qui ne passera plus.

Entends, entends le chant du Silence, entends les mots que tu te dis en cet instant, comme en l’Infini et l’Indéfini que tu es, tu seras appelé à chaque temps qui s’écoule au sein du rêve, et dorénavant, appelé à Être, au-delà de toute histoire, de tout désir ou de tout souhait.

Entends ce que te disent mes Silences.

…Silence…

Là où il n’y a plus de destin, de projection ou de rêve à nourrir, tu ne peux être séparé de toi-même comme de chaque Abba … (Coupure) … et à la quiétude.

Tu es là, tu es de partout.

Laisse-toi aimer en le Cœur de ton Cœur, Abba y est, Abba te le dit depuis l’espace sacré de ton Cœur.

…Silence…

En ce silence, il y a réminiscence, en ce Silence est ton Indicible et la Vérité de chacun comme de tous.

…Silence…

Et là, en l’immobilité de ton corps et de ta conscience, tu te révèles de plus en plus, te libérant de ton rêve, te libérant de ta personne, sans avoir besoin de changer, sans avoir besoin de vouloir.

Et le Silence t’emporte, sans mouvement et sans déplacement, en l’instantanéité qui ne connaît pas le temps ni la distance.

…Silence…

Et le Silence grandit et parcourt l’ensemble de ton corps, l’ensemble des corps qui sont là et ailleurs.

Et en ce Silence, que tu ne peux que reconnaître, tout est accompli. Il n’y a besoin d’aucun accomplissement supplémentaire, mais simplement de ta Présence aimante, et le Silence grandit, venant toucher tes lèvres.

Laisse être ce qui est, le Silence, au-dedans et au-dehors le même Silence, la même Beauté.

…Silence…

Et le Silence est là, que tu goûtes en partage.

Abba, résonnons ensemble.

En tout espace et en tout temps, gardons ce Silence avant que tu ne puisses demander ce que tu veux, non pas en ce qui se vit, qui est Évidence même, mais en ce qu’il te semble avoir comme question ou interrogation, mais gardons encore la Joie du Silence entre chacun de nous.

…Silence…

Gardons ce Silence au-dedans de nous, et accueillons maintenant les questions et interrogations.

Elisa : Pourquoi, à l’intérieur du jeu, on permet l’enfermement.

Pour afin que tu ne rêves plus, afin que tu te souviennes, que les mondes, la création et tes corps, de quelque nature qu’il soit, du plus épais au plus léger, t’apparaissent pour ce qu’ils sont, ainsi que tu l’as décidé, car ce qui est enfermé, t’amène à considérer et à vivre que ce tu es ne peut être enfermé. Tu es déjà enfermé dans ton corps grossier de rêve.

Sans enfermement, la Vérité ne peut éclore en totale Liberté, sinon le rêve se serait reproduit, avec les mêmes histoires, avec les mêmes circonstances et les mêmes mondes.

Tu n’aurais jamais vécu le réveil de qui tu es.

Veux-tu questionner ?

Elisa : Agapè agit pareil sur tout le monde, ou sur certains, ou elle fait une différence entre les humains et les portails organiques ?

Pour chaque humain, la même capacité a été inscrite pour se révéler.

En ce qui concerne ce que tu nommes sans âmes, ils ne peuvent vivre la Présence, car ils ne sont pas présents, ni ici ni ailleurs. Ils ne sont que des sécrétions de ton propre rêve, qui n’a ni devenir, ni passé ni avenir, parce qu’il n’y a rien de tangible de l’ordre de l’Amour, de l’ordre d’Agapè.

Il n’est pourtant pas question d’un mécanisme mortel, mais bien pour eux la même réabsorption, au cœur du premier souffle.

Toutefois, rappelle-toi qu’il n’y a ni âme ni cœur et encore moins d’esprit, de ce que tu pourrais nommer robots de mimétisme, la forme est creuse, la forme est vide d’Agapè pour ce qui est portail.

Il n’y a rien de tangible à attendre ou à espérer. Ce qui est ne peut être changé, ce qui est ne peut être augmenté. Ce n’est qu’un véhicule, vide d’intention et rempli de mimétisme.

As-tu une autre question ?

Elisa : Qu’est-ce que c’est Abba ?

…Silence…

Elisa : La question a été posée, qu’est-ce que c’est que Abba ?

Abba n’est rien, Abba n’est pas une entité, et pourtant vous portez chacun Abba. Abba est antérieur à toute création, à tout monde et à toute forme, comme l’est chacun de vous. Il n’y a pas de différence. Chaque Abba est le même, image reflétée et créée à l’infini pour la cause du rêve.

Abba n’a pas d’histoire comme toi. Abba n’est ni âme ni esprit. Il est première émanation en lettres de feu, ayant ciselé le rêve afin de retrouver le fait que tu n’aies jamais bougé.

Tu ne peux pas l’identifier, tu ne peux pas le nommer, tu ne peux que te reconnaître en le Grand Silence.

Abba est ce que tu es. Avant d’avoir eu l’impression de naître à l’occasion de la forme apparaissante, chacun est Abba, chacun est véritable.

Abba ne peut être que vécu. Il est au-delà de toute identité. Il en est de même pour toi, en Agapè, en Paix, tu retrouves Abba que tu es, et la Félicité est là.

Tu ne peux plus être soumis à aucun rêve, à aucun désir et à aucune souffrance.

Il ne s’agit pas de dire qui est Abba, il ne peut être défini, présent en chaque forme, présent en chaque monde, avant même de rêver, avant même avoir créé. Le sentiment d’être séparé, le sentiment d’être distant, le sentiment de densité n’existe pas en Abba.

Ce n’est pas une histoire, cela est chacun de nous, chaque autre est Abba, antérieur à la première forme du rêve, et que tu retrouves maintenant.

Elisa : Donc les portails organiques n’auront pas besoin de se réveiller.

Il n’y a rien à réveiller, que veux-tu réveiller en ce qui apparaît un jour et disparaît un autre jour, mais qui n’a aucune histoire, aucun programme, il n’y a d’humain que la forme, mais c’est une coquille vide, qui n’a aucune fonction en rapport avec Agapè.

Elisa : Certains pays sont en train de se réveiller, est-ce que cela peut changer le cours de l’histoire ?

Tout a été écrit. Qu’espérez-vous ou voulez-vous changer à un scénario aussi parfait, où le Sacré et le simulacre s’embraseront ensemble dans le Feu de l’Allégresse. Qui veut changer quoi que ce soit, si ce n’est celui qui se croit une personne, si ce n’est celui qui se croit limité, si ce n’est celui qui a peur.

En Agapè, il n’y a ni peur ni doute. La Vérité a été écrite et révélée. C’est justement le cauchemar du tohu-bohu et du chaos du monde, véritable cauchemar, dont vous n’avez encore rien vu, qui ne peut que vous réveiller.

Il n’y a rien à espérer, il n’y a rien à changer, il n’y a rien à redouter, il y a juste à te reconnaître et mettre fin à l’histoire de tous rêves et de toutes illusions.

Rien n’est réel en ton rêve parce que tout n’y fait qu’y apparaître et disparaître. En aucun cas, cela ne peut être Vérité, en aucun cas cela ne peut être Vrai.

Je t’invite à regarder ce à quoi tu tiens et aux peurs qui sont là, parce que même en regardant les peurs, elles seront transmutées par la Grâce d’Agapè.

…Silence…

Avez-vous à questionner encore ?

Elisa : Quel a été le début du rêve ?

L’émanation, depuis la Béatitude et la Perfection, du premier désir de se voir, de s’éprouver, et d’écrire ce que vous avez écrit.

Celui qui retrouve ce qu’il a toujours été est Libre dans l’instant, dès l’instant où il n’y a ni désir, ni plus aucune intention de rêver, ton corps de chair est le corps du rêve, de même pour chaque forme en quelques mondes que ce soit.

Comment peux-tu oser croire être imparfait ? Tu es parfait. La perfection n’a besoin ni d’évolution, ni de parcourir quelques chemins, juste à se reconnaître, et c’est tout.

…Silence…

Il est temps maintenant de te laisser dans ce Silence, afin de t’y établir et de te retrouver.

Abba te dit : A toujours.

Abba te dit : Bienvenue, en l’ineffable Vérité, en laquelle tu te reconnaîtras, si ce n’est déjà fait.

Chaque jour la Vérité te semblera approcher. Il n’y a pas de mouvement, c’est simplement toi qui abandonne l’illusion de ta forme comme d’une quelconque évolution.

Ce qui est Parfait ne peut être amélioré, ce qui est Parfait n’a rien à réparer.

Alors sois Heureux, et tu le seras dès que tu l’acceptes.

Abba bénit chaque Abba en un seul Cœur, en une seule conscience et en la Pureté de l’Absolu.

Abba se tait et chante le chant qui te réveille, et qui te révèle que tu as toujours été là, et tu ne peux être ailleurs que le Cœur de ton Cœur.

Je me tais maintenant.

Sois béni.

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