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Satsang 2
Casa de vida Shantinilaya

1er Août 2020

Alors, on continue sur ce que vous voulez.

Un élément important aussi, qui avait été longuement développé par Nisargadatta de son vivant, mais aussi en 2012. Il a beaucoup insisté pour se reconnaitre de façon simple, d’essayer d’avoir des souvenirs, non pas des vies passées ou des traumatismes, mais de simplement de vos deux ans, avant quatre ans, quel que soit le souvenir, parce que entre deux et quatre ans, il n’y a pas encore de conscience d’être un individu sur la planète, et il avait dit que si vous voulez retrouver la Liberté que vous avez toujours été, ce n’est pas pour faire revivre votre vie ou l’histoire, c’est pour vous faire souvenir de l’état dans lequel vous étiez avant l’apparition de l’individualité.

Donc, ça peut être aussi une technique aujourd’hui, sans parler de régression ni rien, d’essayer de vous remémorer des scènes de vie quand vous étiez tout petit, c’est-à-dire entre deux et quatre ans. Mais dans ce qu’il disait, c’est un moyen assez radical de comprendre et qu’on disait, et que c’est juste du décor, une fausse identification induite par papa et maman qui vous appellent par votre prénom, ou d’un petit nom, qui crée littéralement le sentiment d’individualité.

Mais avant quatre ans vous n’avez aucune individualité, le corps astral n’est pas constitué, c’est le corps de l’égo bien sûr, le corps de souffrance et le corps mental lui arrive bien plus tard, douze, quatorze ans.

Élisa : Oui, ça me fait penser à quelque chose qui ne vient pas de moi, mais je me souviens quand il était petit, il disait toujours, l’enfant a, il s’appelait Néné, l’enfant il a faim, l’enfant a ça. Parce qu’on l’appelait Néné.

Il parlait à la troisième personne.

Élisa : Il s’appelait Néné : Néné a faim.

Élisa : Il parlait à la troisième personne.

Oui, oui tout à fait.

Sœur : Parce qu’il lui parlait comme toi tu lui parlais, toi tu lui disais Ninio, mais non Néné.

Élisa : Non, moi je disais à mon mari, el Néné, ma grand-mère, ma mère et tout le monde l’appelait Néné, alors, lui il ne s’identifiait pas, il disait…

On va l’appeler Néné.

Élisa : … El Néné. C’est vrai quand on est petit, il y a des choses qui sont difficiles pour eux.

D’ailleurs les souvenirs que vous allez avoir, vous allez le constater si vous arrivez à les faire remonter, moi j’en ai quelques uns quand j’avais deux ans, et bien ces souvenirs, vous voyez que vous n’êtes pas dans le corps, vous ne voyez pas depuis ce que vous faites, vous voyez en vision panoramique. C’est une preuve indélébile que vous n’êtes pas ce corps.

Je me rappelle très bien, je me rappelle très bien par exemple j’avais deux ans, je tournais sur la grande terrasse des grands-parents avec un tricycle à pédales, mais je ne revis pas la scène, quand je m’en rappelle, comme étant sur le tricycle, mais étant dans une vision télescopique, c’est-à-dire une vision panoramique de cet enfant qui est sur son tricycle.

Si vous retrouvez, si vous faites revivre ce genre de mémoire, vous allez comprendre que l’identité est un leurre, et ça marche à tous les coups. Essayez, vous verrez. Mais ça ne peut pas être dirigé par quelqu’un, on ne peut pas faire comme tu dis une régression, parce que là il y a une implication, il faut que ça se passe tout seul.

Vous laissez flotter votre mémoire, vous avez tous des scènes d’enfance quelles qu’elles soient, vous remontez le temps jusqu’à avant quatre ans, et vous allez voir que les souvenirs qui vont arriver, les impressions, le vécu de la scène, n’est pas dans le corps, vous êtes hors du corps, à ce moment-là, vous êtes l’espace.

Alors bien sûr, à partir de dix-huit mois, deux ans, les fontanelles se ferment. À la naissance, il y a un ange qui passe et qui fait chuuuut, le creux que vous avez au milieu des lèvres, pour ne pas dire la Vérité.

Mais n’importe qui peut faire revenir ses souvenirs. Il y a un autre moyen un peu plus brutal que j’utilisais même l’époque du début d’Autres Dimensions, qui est le Rebirth. Vous connaissez ça en Espagne, le Rebirth ?

Sœur : Si.

Vous faites hyper ventiler les gens, ils vont rentrer en crise de tétanie réelle, mais au lieu de les laisser partir dans l’espace n’importe où, vous les ramenez à la naissance, à votre naissance, et là, c’est l’explosion, le rêve vole en éclat. Je faisais ça dans des groupes au tout début d’Autres Dimensions.

Très simple, les gens s’allongent, on les fait hyper ventiler jusqu’à une vraie crise de tétanie, et là ça libère complètement, à condition de ne pas les laisser aller n’importe où mais de les diriger au moment de la naissance. Et quand vous assistez avec le Rebirth, spontanément ça ne peut pas revenir, mais avec le Rebirth ça revient très bien, un petit peu comme la lecture de la naissance qu’on faisait avec les cristaux, tu te rappelles avec (incomréhensible) l’année dernière.

On pouvait voir la scène de naissance, mais là, c’est vous qui allez le vivre, et vous allez vous apercevoir que vous n’êtes ni dans le ventre de maman, ni dans le bébé. Vous voyez ça d’un coin de la salle d’accouchement, et là vous êtes débarrassé du sentiment d’être un individu. Vous n’êtes pas encore dans l’état naturel, mais vous avez une preuve fondamentale que vous êtes simplement dans ce corps, mais que vous n’êtes pas ce corps.

Sœur : Moi, je me souviens avant …

Élisa : Moi je croyais que ça c’était un dédoublement, c’était plutôt dû que tu rentres dans ton âme, dans ton corps astral

Oui.

Élisa : Mais alors…

Tu ne rentres pas à la naissance, si tu veux l’âme est piégée quarante jours avant la conception, parce qu’on peut faire remonter des souvenirs de quarante jours avant la conception, l’âme est déjà là, mais elle n’est pas accrochée. Dès l’instant où il y a fécondation de l’ovule par un spermatozoïde, l’âme envoie deux fils de lumière qui vont déclencher l’embryologie, réellement, et au moment de la naissance, le premier cri, les vingt-deux autres fils de lumière commencent à prendre possession du corps, mais sans être dans le corps.

En effet, ce qu’on appelle le chakra de l’âme, au-dessus du sein droit et le chakra de l’esprit, au-dessus du sein gauche, c’est par ces points-là que pénètre l’âme et qu’elle est piégée par la matière à partir de trois ou quatre ans, puisque l’âme est logée dans le foie, lieu de la mémoire et du souvenir, lieu de la prévision et du plan, tels que le décrivent les Chinois dans la médecine chinoise. Le foie, c’est le ministre de l’anticipation et du plan, c’est le ministre de la guerre comme disent les Chinois, qui permet de gagner la bataille sans se battre.

Il y a eu un énorme enseignement de Ma Ânanda Moyi en 2011 sur le retournement de l’âme vers l’esprit, pour ne plus alimenter la matière mais s’ouvrir à l’esprit. Mais ça n’a pas été suffisant pour une raison qui est très simple, c’est que l’anomalie primaire est un circuit énergétique du corps éthérique, qui n’est pas sur un méridien d’acupuncture ou sur ce qu’on appelle un nadir en médecine ayurvédique, – corps éthérique -, c’est un structure quasi invisible qui va renvoyer l’information de l’esprit et l’information de l’âme vers la matière. Là est l’enfermement.

La résolution de l’anomalie primaire au niveau collectif, la dissolution des miroirs de Van Allen, la ceinture de Van Allen qui est un plasma, ça a rendu visible l’anomalie primaire qu’on portait tous, et surtout les femmes parce que ce sont elles les créatrices,  ce qui fait qu’il ne peut pas y avoir de souvenirs de la Vérité au sein de la personne, parce que dans ces cas-là, tout ce que vous vivez, qui vous semble libérateur, va être envoyé vers le corps.

C’est ce que je vous disais aussi par rapport à la psychologie, vous résolvez un truc d’un plan, vous croyez qu’il est éliminé au-dessus du causal, alors que ça va descendre au fur et à mesure des années au niveau du corps sur le territoire psychologique qui correspond à un organe en général, et vous allez développer une maladie dégénérative sur l’organe cible de la fonction psychologique. C’est à tous les coups comme ça.

Donc c’est pour ça qu’au niveau neuroscientifiques, beaucoup de neuroscientifiques aujourd’hui dénoncent toutes les psychologies et toutes les psychanalyses comme une escroquerie monumentale du vingtième siècle. D’ailleurs ce qu’on appelle le corps de souffrance, le personnage, l’ego, n’est qu’un corps mémoriel. On le sait tous, on est le résultat de nos conditionnements, de notre éducation, de l’apprentissage des habitudes, ce qu’on appelle l’éducation, scolaire ou familiale, qui vont nous renforcer dans l’illusion d’être une personne.

Et là, c’est fini, on a des liens familiaux, on a des liens affectifs, on a des liens avec la profession qu’on fait et on s’identifie à tous ces liens. Il n’y a aucun espace de liberté là-dedans, c’est des conventions sociales, morales, affectives qui sont, je dirais le rêve dans le rêve.

Sœur : Ça correspond à des corps douleur ?

Comment ?

Sœur : Les corps douleur par Eckhart Tolle.

Oui, oui, il en parle aussi, bien sûr.

Sœur : L’anomalie primaire, vous n’avez pas été jusqu’au bout, l’anomalie primaire, comment on fait pour régler le problème ?

Comment on fait pour être ?

Sœur : Pour régler le problème de l’anomalie primaire pour les femmes par exemple.

Lâchez ! Ça s’appelle l’abandon à la Lumière au sens où l’a défini Anaël avant les noces célestes et pendant un an en 2009, qu’à l’époque on ne comprenait pas, parce que dire s’abandonner à la Lumière, même moi, on ne l’acceptait pas, ça ne voulait rien dire. Comment ça, s’abandonner à la Lumière, puisqu’on cherchait la Lumière, on ne peut pas s’y abandonner.

Élisa : Quand tu ne t’intéresses plus à rien, il y a quelques années je m’intéressais à beaucoup de choses, peindre, écrire et tout ça. Maintenant, je ne veux rien, il n’y a rien qui m’intéresse. Les amis viennent, on va sortir, moi j’y vais pour y aller, mais autrement, ça ne me dit rien.

C’est l’absence de désir, ça peut être aussi une maladie qu’on appelle l’acédie, a-cé-die, c’est une maladie où tu ne fais plus rien, tu es en prostration. Mais la différence, c’est que quand je ne fais rien, je suis dans la Béatitude, alors que celui qui ne fait rien et qui n’a rien envie de faire et qui s’angoisse, là c’est pathologique. Je peux aussi bien rester plusieurs jours sans rien faire que décider d’aller au restaurant, ça ne change rien. Il n’y a plus de différence, il y a une continuité.

Rappelez-vous…

Élisa : Elle dit oui, je vais peut-être pour passer le temps. Mais moi je dis, ce n’est même pas pour passer le temps, tu y vas et puis c’est tout.

C’est là et c’est tout.

Rappelez-vous ce que disait Osho en 2017 et 2018, plus vous restez tranquille, plus le Silence va vous tomber dessus. Vous ne pouvez pas chercher le Silence, vous ne pouvez pas chercher la Liberté.

Élisa : C’est Anaël qui disait ?

Mais non, c’est Osho

(Rires)

En 2017.

Si l’humilité et la simplicité vous semblent hors de portée au niveau compréhension ou vécu, adoptez la fainéantise et le rester tranquille, et vous découvrirez l’immuabilité. Si vous voulez voir les pieds de tomates pousser, vous les regardez pousser sans rien demander et le Silence va vous tomber dessus, mais vous ne pouvez pas le chercher. Rappelez-vous cette phrase essentielle : « Ce n’est jamais la personne qui est libérée, c’est impossible, c’est vous qui êtes libérés de la personne, de l’idée d’être une personne.»

Oui.

Frère : L’absence de désir, c’est …

On n’entend rien.

Frère : Est-ce que l’absence de désir, ça vient du fait de passer au temps zéro, quand on arrive au point zéro, est-ce que ça crée une absence de désir dans le but de …

Tu vas répéter la question parce que …

Élisa : Oui, alors si l’absence de désir …

Oui.

 Élisa : … et si ça a lieu au temps zéro, ne peut plus avoir du désir…

Sœur : Si c’est le signal du temps zéro ?

Et alors. Il n’y a pas de désir mais tu es libre justement.

Frère : D’accord.

Tu es libre de décider de faire l’amour, tu es libre de décider d’aller manger, mais tu n’es pas soumis à la faim ou au désir sexuel, une grande différence, il n’y a plus de pulsion.

Ce n’est pas la question?

Sœur : Si c’est lié au point zéro.

Comment ? Je n’ai pas compris.

Élisa : Si c’est lié au point zéro.

Oui.

Sœur : L’absence de désir, est-ce que c’est lié à la présence du point zéro?

Bien sûr.

Sœur : Quand on n’a plus envie de…

Tant qu’il n’y a pas de point zéro, tant que le temps ne s’est pas arrêté, que l’espace n’a pas disparu, tu ne peux pas être libre. Tant que tu ne l’as pas vécu, ça reste un concept même si tu y adhères. Il faut vraiment vivre ce moment et là, je ne parle pas d’être au milieu et de voir toute la création, mais simplement, là présent, disponible, et là, à ce moment-là, tu vas vivre le grand Silence.

C’est l’expérience qu’a décrite Krisnamurti quand il a vécu à dix huit ans, quand il a perdu son frère. D’un coup le paysage a été remplacé par la Vérité, il ne demandait rien, lui il regardait le paysage. C’est ce que je vous dis quand je vous dis regardez une tomate, ou quand je vous dis prenez un pinceau ou faites ce que vous voulez.

Frère : C’est vrai que le fait d’arriver au temps zéro, je trouve que ça rend les choses un peu plus…

Qu’est ce qu’il a dit?

(Discussion en espagnol)

N’oubliez pas que tout ce que je vous dis …, alors la question.

Élisa : La question est ceci, le fait de ne rien avoir envie de faire, c’est relié au point zéro.

Souvent oui en ce moment, souvent oui. Tu assistes désemparé à la disparition des hobbies, à la disparition des choses importantes, mais ça ne t’en prive pas. C’est-à-dire que ton comportement n’est pas lié  à l’histoire, n’est pas lié à une émotion, n’est pas lié à une pulsion physiologique, que ce soit j’ai faim ou faire l’amour, tu manges quand tu as envie, tu fais l’amour quand tu décides mais pas quand tu as une pulsion.

Élisa : Une illusion, on est habitué à avoir une illusion toujours, moi ça me fait plaisir d’aller au restaurant, mais là je n’y vais plus parce que j’ai une illusion, j’y vais parce que…

Mais c’est encore une illusion parce que moi des fois je me dis : j’aimerais bien manger tel truc, j’arrive au restaurant et je n’ai plus faim. D’ailleurs, je n’avais pas faim, c’était l’idée de manger. Alors c’est vrai que c’est très déstabilisant par rapport aux habitudes, mais c’est justement ça qui casse les habitudes et la mémoire.

Et il n’y a rien de mieux, aujourd’hui …

Élisa : C’est vrai, c’est un point très déconcertant.

Oui c’est déconcertant, mais si vous remplacez ça par l’absorption de l’observation, que cette observation soit celle d’un objet, un végétal…

(Discussion en espagnol)

Élisa : Parce que le mental n’est pas habitué à ça.

Il n’est pas habitué du tout.

Élisa : Le mental, il trouve bizarre cette nouvelle situation de liberté.

Alors vous avez deux façons de favoriser ça, soit simplement l’observation de ce qui est sous votre regard, j’ai pris la tomate …

(Rires)

… ça peut être l‘expression aussi de quelque chose qui va vous captiver, je ne sais pas moi, peindre, dessiner, mais aussi, encore plus facilement, d’observer ce qui se passe à ce moment-là en vous. Vous observez que vous vous posez des questions, vous êtes déroutés, pourquoi je suis comme ça. Prenez l’habitude d’observer même la pensée et vous allez très vite comprendre que ce n’est pas vous. Vous voyez, j’essaie de vous donner une espèce de pédagogie de l’instant présent, ou en tout cas de vous en rapprocher parce que c’est le but de la rencontre, mais vous avez tout à disposition dans le rêve, dans le réel qu’on connait.

Alors avant, il a fallu entrer en résonance, c’est pour ça qu’il y a eu tous les contacts avec les peuples de la nature et non plus seulement avec des entités de là haut, mais des entités terrestres, Phahame, elle est terrestre hein, elle n’est pas ailleurs. Érélim, Ériane tous les peuples, Fenouil, ils sont sur terre, ils ne sont pas ailleurs même si c’est dans une dimension qui est plus éthérée.

Vous voyez, aujourd’hui, c’est encore plus simple. Observez ce qui est, pas pour le juger, pas pour le changer, pas pour l’interpréter. Observez ce qui est, dehors ou dedans et si vous êtes trop déroutés avec le fait de ne rien faire et que votre mental vous dit, « mais ce n’est pas normal », et bien décrétez que vous aller faire de la peinture, de la musique, du chant, ce que vous voulez.

C’est l’attention, mais l’attention dérivée.

(Discussion en espagnol)

Parce que dès qu’il arrive quelque chose, pour tout le monde, n’importe qui, si c’est en plus une souffrance, vous avez l’impression qu’il faut la résoudre, qu’il faut la comprendre, qu’il faut l’analyser et là, c’est fini, vous êtes embarqués dans l’histoire.

Il faut aller en quelque sorte au-delà de toute causalité. Pour ça, soyez réellement l’observateur, sans rien juger, vous observez en vous que vous sentez telle émotion, telle crispation, vous ne cherchez rien à résoudre, vous n’agissez pas, vous observez. Mais si vous êtes dans la recherche d’explications, de justifications ou de relier ça à un élément de souffrance du passé, même si vous êtes guéris, vous allez renforcer l’illusion d’autant plus que ça marche, l’énergétique, toutes ces choses-là, elles marchent, elles fonctionnent, mais, à aucun moment elles ne vous libèreront d’une quelconque histoire.

Elles entretiennent la causalité, elles entretiennent l’illusion de la personne et, en définitive, c’est un piège. C’est pour ça qu’aujourd’hui, nous sommes beaucoup quand même à développer sur cette notion d’instant présent. Vous connaissez tous Eckhart Tolle, mais je peux vous citer des dizaines de noms de femmes qui ne parlent que de ça, et ont vécu la même expérience qu’a vécue Krisnamurti quand il a perdu son frère. Il était tellement saisi par la souffrance, là c’est une immobilité figée et non pas dynamique, figée et non dynamique, et là d’un coup, le voile s’est déchiré. Et ça peut se faire dans n’importe quelle circonstance.

Moi, je me souviens d’un jour où j’avais été à Paris dans une église qui était tenue par un des fils spirituel du Padre Pio, le fils spirituel du Padre Pio qui s’appelait, qui est mort maintenant, qui s’appelai le père Stafiro. À l’époque, j’étais dans ma période chapelet Christique et je priais une heure et demi par jour, le rosaire, ce qu’on appelle les trois chapelets, et lors de cette messe à laquelle j’ai assisté, alors que je n’attendais rien, j’étais assis, simplement, j’observais, et puis là le ciel s’est déchiré, j’ai vu quand le père Stafiro a levé le calice comme dans un dessin animé, une grande déchirure et deux anges descendre avec la Lumière blanche dans l’hostie.

Je n’ai jamais eu une autre occasion, mais dans les autres églises, ce qui descend ce n’est pas vraiment la Lumière. Mais ça je l’ai vécu, ce n’est pas pour ça que j’ai été libre à ce moment-là, j’étais jeune, mais néanmoins j’ai eu la preuve réelle et concrète de l’existence de l’invisible.

C’est ce genre d’expérience que vous pouvez vivre maintenant, simplement en étant bienveillants envers vous-mêmes. Quand vous avez une maladie, c’est normal de vouloir se soigner par tous les moyens possibles, mais essayez dans un premier temps, d’accepter l’inacceptable.

Il faut augmenter un peu la climatisation, ça chauffe beaucoup dehors.

Élisa : Moi j’ai trop chaud, je ne peux pas, j’ai trop chaud là.

Oui, il fait beaucoup trop chaud là.

(Discussion en espagnol)

Ça commence à chauffer fort.

Élisa : Oui, maintenant ça commence à chauffer fort.

Essayez de ne pas vous juger, seuls, c’est face à vous-mêmes, ce n’est pas face à un thérapeute, un thérapeute vous lui demandez de l’aide, mais face à vous-mêmes, face à une maladie, face à n’importe quoi, même si elle est mortelle. Observez, ne réagissez pas même si vous savez qu’il faut vous soigner et allez voir quelqu’un, mais quand vous êtes seuls, ne cherchez pas midi à quatorze heures : pourquoi vous avez eu ça, quelle est cette punition, quelle est cette erreur.

Il n’y a pas d’erreur.

Attends, tu fais ça devant le micro, moi je vais te le faire à côté du micro.

(Rires dans la salle)

Alors ne vous inquiétez pas ce que vous entendez, c’est un bruit d’éventail.

(Rires)

Ce n’est ni des éructations, ni des flatulences.

Traduis quand même, j’ouvre en grand, c’est le mouvement de l’éventail.

(Discussions en espagnol et rires)

Voyez aujourd’hui, vous avez tellement d’opportunités de vous rencontrer réellement, il n’y a pas besoin de chercher midi à quatorze heures, il n’y a plus besoin de monter en vibration même si vous les avez, qu’elles sont là, même si ça vous plait. C’est la phrase que m’a répétée Anaël pendant des années : « Hic et Nunc, Hic et Nunc, ici et maintenant » quoi qu’on vous raconte, Hic et Nunc, ah il nous a raconté l’histoire !

Si vous faites ça avec vous-mêmes avec bienveillance, je ne dis pas que vous ne serez pas obligés d’aller voir un chirurgien, un cancérologue ou faire de la rééducation, mais ça va tout changer à l’intérieur de vous.

L’acceptation met fin à la souffrance même si vous devez partir et vous ne pouvez que le vivre. Je crois que nous aurons des témoignages qui sont arrivés là, de vécu de cancer à un stade terminal, quelqu’un qui est complètement en paix.

C’est moi qui l’ai, mais c’est pour Pépère, on va copier la question.

(Discussion dans la salle)

Le gag des éventails. C’est ça qui nous chauffe ? Moi c’est ce qu’on me dit, voilà, tu le tournes un peu. C’est que ça crame quand même, crame total, c’est ce qu’on me dit.

Sœur : Voilà !

Voyez donc la pédagogie d’Agapè, ce n’est pas un enseignement. Je ne vais pas vous parler d’enseignement quand même, pas maintenant, ni de technique, c’est la Vie l’enseignant. Si vous êtes lucides, si vous êtes complètement présents dans ce qui est, vous allez le traverser, c’est ce que je répète depuis des années. Ça vous permettra aussi de vous positionner.

Qu’est ce qui est important ? Votre histoire, votre karma, votre personnage ou la Liberté ? C’est l’un ou l’autre. À vous de choisir.

(Bruit d’éventail, puis rires dans la salle)

Non mais franchement, il fait une chaleur insensée ici. Je ne sais pas ce qui se passe.

C’est toi qui chauffe ?

(Rires et discussion dans la salle)

Élisa : Incroyable, c’est dingue, j’ai senti à un moment donné que …

J’ai comme une bouffée de chaleur intérieure.

Élisa : Moi aussi. C’est pour ça que je te disais que je n’en pouvais plus.

Ce n’est pas la température extérieure.

(Discussion en espagnol)

Allez, on continue, avez-vous d’autres questions par rapport à cet instant présent, par rapport à la Présence, par rapport à l’état naturel ?

Élisa : On va peut-être cramer aujourd’hui.

On approche du trois, de toute façon on est à la pleine lune déjà depuis hier.

Élisa : Tu sais que moi j’ai tout par avance alors, je peux cramer ici devant vous.

Élisa : Moi, j’ai eu un souvenir, je te l’avais raconté, mais pour moi je l’ai interprété d’une autre façon. C’est quand Daniel est décédé, je suis rentré dans la pièce, il était étendu, mais moi le choc il m’a tellement…

Saisi?

Élisa : Que je l’ai vu de l’extérieur.

Bah oui.

Élisa : Je n’étais pas dans mon corps.

Mais c’est ce qui se passe quand vous avez un accident ou un choc violent, que vous mouriez ou pas. Par exemple, un accident de voiture, vous sentez que le pronostic vital est en jeu. Vous êtes déjà sorti de votre corps. Moi la même chose, pas dans cette vie, mais j’ai souvenir quand j’étais troubadour à Western en Angleterre en 1530 …

(Traduction en espagnol et rires)

Et j’ai été précipité du haut du château, parce que je me moquais de la châtelaine qui n’a pas du tout apprécié, et qui m’a fait précipiter du haut du château sur les rochers. Je ne sais pas, une trentaine de mètres de hauteur, mais j’étais déjà sorti de mon corps avant de toucher le sol.

C’est ce qui se passe dans les chocs septiques, dans des accidents extrêmement violents, une maladie qui fait irruption très brutalement. C’est ce que décrivent d’ailleurs, la première étape des gens qui font des expériences de mort imminente, ils sont dans un coin de la pièce et ils voient ce qui se passe quand ils sont au bloc opératoire.

Et là, où c’est encore plus surprenant parce que il y en a qui ont eu l’idée d’étudier ce qui se passait pour des gens qui étaient aveugles de naissance, ils ne voient rien depuis qu’ils sont nés, ils ont été opérés, ils ont fait un coma, ou un choc pour une raison ou une autre, et ils décrivent tous, en sortant de leurs corps, qui étaient dans la salle d’opération, la couleur des cheveux, des vêtements, des murs, sans yeux.

Vous voyez, on a tous vécu ça, même dans un rêve, ces expériences de décorporation même en restant dans le même milieu, ça arrive extrêmement fréquemment. Quand vous êtes saisis par un choc comme tu dis, toi par le décès de Daniel, c’est…

Élisa : Oui, mais moi, il y avait à part ça, je sentais que, comme quoi que ce n’était pas, ce n’était pas  dramatique. C’est marrant.

Non, non

Élisa : Alors là, je ne crois pas…

C’est dramatique pour une mère, mais ce n’est pas dramatique pour ce que tu es, c’est dramatique pour le rôle.

Élisa : Oui, mais le personnage oui, mais je l’observais le personnage.

Et quand tu es dans cette observation, il n’ya pas d’émotion possible.

Élisa : Mais moi, je me suis confondue parce que j’ai vu mon autre moi dehors, or çà je ne comprenais pas. J’ai dit : alors qu’est ce qui regarde, celle-là, qui était alors ?

Oui, ça crée une dissociation, bien sûr, c’est presque qu’un état schizophrénique, d’ailleurs les schizophrènes, les états psychotiques, c’est ça.

Si vous dites ce corps va aller manger, ce corps ceci, ce corps cela, parce qu’il se voit réellement de l’extérieur. Regardez même les discours qu’on a tous employés, de quelqu’un qu’on dit qu’il n’est pas enraciné, on va le traiter pour l’enraciner, mais c’est des conneries monumentales, vous ne pouvez pas être ailleurs qu’ici et maintenant, réfléchissez deux secondes. Vous fuyez dans votre tête mais vous êtes quand même ici, là, ici et maintenant.

Même si vous avez l’impression d’être à coté de vos pompes, le corps astral décalé ou le corps éthérique au-dessus de vous, vous êtes là, vous ne pouvez pas être ailleurs que là où vous êtes.

Élisa : Mais alors, comme on voit dans l’aura, ils sont déplacés, l’aura est déplacée.

Oui, bien sûr, bien sûr.

Élisa : L’aura éthérique est déplacée.

Elle est réellement déplacée, bien sûr, tu la vois donc, des choses qu’on voit couramment.

Mais l’interprétation qu’on en fait, on dit aux gens vous êtes à coté de vos pompes ou alors ils planent, oui, ça se voit au niveau des corps subtils, mais même dans ce qu’on peut voir, vous n’êtes pas ailleurs qu’ici et maintenant, encore une fois l’état naturel.

Élisa : Ça pousse partout.

Autre chose.

Élisa : Ce n’est pas normal, il faut vérifier la résonance Schumann ?

Non même pas.

Élisa : Tu ne vois pas, alors c’est Nibiru.

Je ne sais ce qui se passe mais il se passe quelque chose.

La résonance Schumann, voilà, non, il y a rien, c’est le calme plat.

Sœur : Calme avant la tempête.

C’est peut-être Nibiru.

(Discussion en espagnol)

D’autres choses à demander ou à dire ou à exprimer?

Élisa : Quand nous […] avec une douleur que nous ne pouvons pas voir, c’est là que l’âme se dissocie.

Dans quoi, dans les …

Sœur : Les douleurs que l’âme ne veut pas voir, est-ce que c’est à ce moment-là qu’il y a une dissociation ?

Au moment du…

Sœur : Le fait de ne pas vouloir voir l’âme qui se présente, est-ce que c’est ça qui crée une dissociation ?

On parle dans quel cas ?

Sœur : Tu veux dire …

Quand l’âme est saisie, oui, elle se dissocie du corps. C’est ce qu’on appelle le saisissement de l’âme qui survient dans les chocs violents, la perte d’un enfant, un accident de voiture, un coma, qui sont les étapes préalables des expériences de mort imminente.

Voilà le cerveau qui ne fonctionne plus.

Élisa : Et cette âme, elle disait, il ne se passe rien. C’était prévu. Moi j’avais l’impression que le moment était venu.

C’était écrit.

Élisa : C’était déjà écrit. Et que maintenant, c’est comme si elle me disait, ça y est, c’est passé, maintenant, c’est passé, allez tranquille, c’est passé, elle ne me disait pas ça, mais…

Vous savez quand je dis tout est écrit, ce n’est vraiment pas un concept ou une idée farfelue, c’est la stricte vérité.

Nous avons tous écrit notre scénario, et c’est justement dans les choses les plus intolérables, les plus inacceptables qui vous arrivent dans la vie, comme à tout le monde, que vous avez le plus de chance de vivre la Vérité.

C’est tout le principe du choc de l’humanité qu’a décrit Sri Aurobindo, individuel et collectif. C’est le saisissement de l’âme comme tu dis, il y a quelque chose qui te fige.

Élisa : Il faut que tu te reconnaisses, tu le reconnais après.

Oui bien sûr, parce que tu te vois hors du corps, tu vois bien que tu n’es pas toi-même.

Élisa : Oui, mais tu reconnais l’événement que c’est.

C’est écrit. Ce qui n’empêche pas après de devoir faire le deuil quand même en tant qu’humain.

Élisa : Mais qui fait le deuil, c’est le personnage.

Ah oui, c’est le deuil au niveau du personnage.

N’oubliez pas que le corps de souffrance, le corps physique et le corps éthérique, corps astral et corps mental, sont le corps de souffrance. D’être soumis à ces émotions est une preuve d’immaturité totale, il n’y a pas à lutter contre les émotions, il y a à les traverser.

Alors, qu’est-ce que nous disent tous ceux qui travaillent sur les énergies? « Allez, vide tes émotions. » Vous ne pouvez pas les vider. Vous pouvez les assumer, c’est tout. Et plus vous les assumez, plus vous les acceptez, moins elles vont être attachées à vous.

C’est comme pour les pensées, quand vous voyez les formes pensées au niveau de l’aura mentale, on voit bien les pensées qui arrivent de l’extérieur qui viennent se coller sur l’aura, et plus une pensée est présente, c’est quelque chose qui ne vous quitte pas la tête.

Élisa : Quelque chose qui ?

Qui ne te quitte pas, là, tu penses sans arrêt à la même chose. Les pensées répétitives, et bien observez-les, ne les acceptez pas mais surtout ne les refusez pas, comme je disais à l’époque, accueillez, les démons, les sens, tout ça parce que c’est ce que j’avais appelé la réabsorption des essences.

Il n’est donc pas question de s’opposer au mental, de s’opposer aux émotions, c’est naturel, mais simplement les accueillir, les observer, les laisser être. Et vous allez constater, on a tous constaté que si on s’accroche à une émotion parce qu’on veut la comprendre, elle va se renforcer.

Tout ce à quoi vous vous opposez se renforce, c’est une loi neuroscientifique. Je vous en ai parlé de la théorie de la plainte. Quand vous appuyez là où ça fait mal, physiquement, énergétiquement, émotionnellement et mentalement, ça fait encore plus mal.

C’est la conscience, ce n’est pas votre personnage, c’est la conscience, escroquerie suprême, qui fait ça, et tant que vous êtes identifiés à la conscience, vous êtes dans un concept, même si c’est la supra conscience, le supra mental.

Vous voyez, c’est une étape, c’est une étape qu’il a fallu intégrer, qui a commencé en août 1984 et qui s’est terminée en 2018. Aujourd’hui, comme je l’ai dit, vous n’êtes esclaves de rien, si ce n’est de vos propres croyances et en particulier à l’idée de vous croire un individu, une personne qui a une histoire quelconque. L’histoire, elle concerne la personne, pas vous.

Le corps de souffrance concerne le personnage, pas ce que vous êtes. Il a bien fallu en passer quand même par l’intégration du supra mental, tel que l’a parfaitement décrit effectivement Sri Aurobindo, qui a annoncé cette période comme Bidi d’ailleurs. Quand Nisargadatta disait mes paroles ne peuvent échouer, c’est ceux qui assistaient à l’époque, il n’y en a pas eu beaucoup, qui se sont libérés. À l’époque, ceux qui allaient le voir, sentaient, bien sûr, quelque chose de gigantesque, de vaste mais ils ne comprenaient pas.

Là, une phrase qui m’a beaucoup plu, qu’a prononcée Nisargadatta un jour à un auditeur qui venait le voir. C’est un grand médium Indien qui vient le voir et qui dit : «Je communique et je canalise un Ami», comment il s’appelle, Ramana Maharshi, et tu as Bidi qui lui dit : «Oui, je vois, il est là, il est là, Ramana Maharshi est là mais laissez tomber tout ça, allez au-delà.»

Aujourd’hui, je dis la même chose à certains qui me posent la question. Quand Bidi dit : «Laissez tomber», ça veut dire n’y accordez pas d’importance, ça ne veut pas dire d’arrêter, de refouler, ça veut dire de traverser.

Élisa : Souviens-toi que je dois te traduire.

Oui.

Aujourd’hui votre personnage, là où vous êtes dans votre vie, à l’âge que vous avez, avec tout ce qui se passe dans votre vie humaine,vous avez tous les éléments pour vous résoudre vous-mêmes, c’est ça la bonne nouvelle, à vous de faire l’expérience, à vous de vous le prouver vous-mêmes.

C’est ça l’Intelligence de la Lumière, c’est ça le remplacement après la dissolution de l’anomalie primaire, c’était une première étape l’avant-dernière, qui était le remplacement de la matrice archontique par la matrice Christique, qui a permis à beaucoup et par l’Intelligence de la Lumière, plutôt que par l’intelligence humaine, le mental.

C’est ça, s’abandonner à la Lumière, c’est ça vivre la Vie et pas seulement sa vie. Comme je le disais ce matin, plus vous allez accepter la Vie, plus vous allez laisser la Vie agir même si vous pensez ça aberrant, ce n’est pas grave. Faites la tentative, faites l’essai et très vite vous allez comprendre en le vivant, la matrice Christique et l’Intelligence de la Lumière sont à l’œuvre dans votre vie, et vous allez réellement vivre qu’il n’y a plus de question comme on disait, il n’y a plus de désir, il n’y a plus de pulsion.

(Rires dans la salle)

Qu’est ce que tu as dit?

Élisa : Tu vas au restaurant, laisse, quelqu’un ira bien.

Plus vous constatez que tout se déroule sans vous réellement, c’est tout bénefice pour le personnage. Vous n’avez plus d’effort à faire, la notion d’effort est bannie de vous. Tout se fait tout seul.

Élisa : C’est vrai, tout se fait automatiquement.

Bien sûr.

Ce qui doit être sera, quoi que vous fassiez pour l’éviter, et tout ce qui ne doit pas être ne sera pas, quoi que vous fassiez.

Élisa : C’est difficile quand même de ne pas contrôler.

Élisa : C’est difficile de laisser ce personnage parce qu’on veut le guider.

Oui, oui. Mais l’avantage c’est que la jonction est faite. Le supra mental a pénétré dans l’ADN, dans les cellules. Par contre, l’information Lumière de la Liberté est inscrite dans votre ADN. C’est le disque dur, le disque mémoriel, c’est là où tout est inscrit même la Liberté.

Élisa : Mais les gens maintenant qui deviennent fous, qu’est ce que ça veut dire ? Parce qu’il y a des photos de gens qui vont aller faire des courses complètement nus, à poil avec ça.

Mais vous allez en avoir de plus en plus des vrais fous.

Élisa : Mais pourquoi ?

Parce qu’ils ont disjoncté au niveau mental. Moi, les visions que j’ai eues en 1997, alors que je n’étais pas au courant de tout ça, …

Élisa : Attends doucement.

Mais ça va être de pire en pire, en 1997 j’ai vu ce que faisait le passage de Nibiru, je ne savais même pas ce que c’était cet astre rouge sombre qui tourne lentement sur lui-même et qui dégage des vapeurs, des météorites de tous les côtés. Alors la description physique, ça vous l’avez, décrit par les survivants du cataclysme de Nibiru, du dernier dans le manuscrit dont j’ai parlé que vous trouvez sur internet.

Élisa : De l’Atlantide?

Non, non, pas de l’Atlantide, c’était il y a trois mille six cents ans ça, mais moi, j’ai vu aussi ce qui allait se passer là, ce qui se passe maintenant.

Et alors vous avez vu, vous allez voir les hommes en noirs …

Élisa : Mais attends, il y a trois cent mille ans, il est passé.

Pas trois cent mille ans, il est passé déjà il y a cinquante mille ans, il passe tous les cinquante mille ans, mais il passe plus que ça, il passe tous les trois mille six cents ans mais ça dépend où est la terre au moment du passage, si elle est à l’opposé par rapport à elle, on ne verra rien, il ne se passera rien ou très peu de chose, la mer va s’ouvrir comme devant Moise, le dernier passage qui a été interprété par beaucoup, en particulier par Anton Park.

Il y a deux gros passages, c’est le moment où toutes les planètes sont alignées avec le centre galactique, c’est maintenant, et où Nibiru s’aligne aussi avec ça, mais s’il n’y a pas d’alignement planétaire, et Nibiru/Terre avec le soleil, ça donnera des catastrophes, mais mineures.

Élisa : Parce que ça, je n’ai jamais compris, alors je vais le digérer. Alors il y a trois cent mille ans, c’est des grands passages.

Ce n’est pas Nibiru, c’est les Archontes, vous confondez Nibiru et le vaisseau des Archontes.

Élisa : Oui, mais alors.

Ils s’appellent pareil, Neb-Heru.

Élisa : Mais alors, oui mais alors là, je ne comprends plus rien

C’est le problème, Nibiru a été chassé, enfin Nibiru le vaisseau des Archontes, Neb-Heru, c’est le vrai nom.

Élisa : Maintenant, de qui on parle.

Le vaisseau des Anunnakis, il a été, lui, chassé du système solaire.

Élisa : Comment il s’appelle?

Neb-Heru.

Élisa : Ça c’est le méchant ?

Ça, c’est le vaisseau des Anunnakis. Mais ne confondez pas Neb-Heru, le vaisseau Archontique de ferraille immense qui repasse avant ou après Nibiru, pour refermer l’espace-temps.

Mais le grand destructeur, comme on l’appelle, Marduk, c’est le grand libérateur, et comme l’avait expliqué pépère, tous les cinquante mille ans, il y a les Archontes qui refermaient.

Élisa : Mais il passe tous les … alors, ah alors, c’est-à-dire que Nibiru il passe tous les cinquante mille ans.

Non, le vaisseau des Archontes. Nibiru passe tous les trois mille six cents ans mais avec des aspects astronomiques qui n’ont rien à voir, il faut qu’il y ait alignement avec le centre galactique.

Élisa : Je ne comprends rien, je ne comprends rien.

Sœur : Si tu veux, c’est comme si il y avait Nibiru planète, mais elle a des vaisseaux, elle peut se déplacer dans l’espace-temps, elle peut …

Élisa : Là, je ne comprends rien.

Mais, c’est les aspects astronomiques et astrologiques.

Sœur : Oui.

On sait très bien que quand il y a une opposition, ce n’est pas comme quand il y a un trigone, un trigone c’est positif, un semi carré, un carré, une opposition, c’est catastrophique.

Élisa : Mais il y a le vaisseau des Archontes et il y a l’autre vaisseau.

Et il y a le système solaire complet parce que ce n’est pas qu’une planète il y a des tas d’étoiles mortes qui gravitent autour.

Oui bien sûr, il y a Némésis, il y a la Kashinath bleu, la Kashinath rouge.

Élisa : Un système solaire qui vient.

Oui, il est déjà dans notre système solaire. Complet, il y a neuf satellites, Nibiru.

Élisa : C’est un soleil alors.

Un soleil noir, c’est le compagnon de notre étoile.

Élisa : Attends maintenant, je commence à comprendre.

La plupart des systèmes, la plupart des systèmes solaires sont doubles, on le sait en astronomie. Il y a deux soleils voir trois.

Élisa : Il est où, alors il s’est séparé ?

Oui, il a été séparé, mais il passe à chaque fois mais il a été séparé par l’enfermement de l’espace et du temps.

Élisa : Alors avant il était ici, il n’était pas séparé.

Avant quoi?

Élisa : Bah avant l’enfermement.

Avant même la création. C’est le vaisseau des Archontes qui s’appelle aussi Neb-Heru, Neb-Heru vaisseau des Anunnakis…

Élisa : Qu’est ce qu’il a à voir celui-là ?

Mais c’est lui qui fermait l’espace-temps.

Élisa : Il vient tous les 3 600 ans, celui-là.

Non, il vient tous les 50,000 ans

Élisa : Les Anunnakis viennent tous les 50,000 ans.

Oui.

Sœur : Avec leur vaisseau, ils se déplacent…

Élisa : C’est un cycle complet ça ?

C’est le cycle du vaisseau des Anunnakis, mais là il est arrivé en 2010 pour boucler la création en 2012. C’est pour ça que les élites avaient prévues de s’enterrer sous terre et tout, avec des bases souterraines.

Mais le Nibiru dont on parle maintenant, c’est le système solaire complet qui est rentré.

Élisa : Celui-là, il passe tous les combien ?

Tous les 3600 ans, mais il ne passe pas entre la Terre et le soleil. Les planètes elles tournent. Si la Terre est là et Nibiru est là, il ne se passera rien.

Élisa : C’est maintenant.

C’est maintenant, toutes les planètes du système solaire sont du même côté. Vous voyez bien Saturne, Jupiter qui sont en conjonction dans le ciel là, Uranus, Neptune, Pluton sont du même côté, et là, c’est mécanique, ce n’est pas énergétique, il va y avoir des forces électro-gravitationnelles gigantesques, c’est en ce moment.

Élisa : C’est en ce moment.

Ce n’est pas dans dix ans, ce n’est pas dans six mois.

(Rires dans la salle)  

Ça se produit en ce moment, regardez le nombre de volcans qui sont en éruption.

Oui.

Élisa : C’est-à-dire que maintenant, ça va être possible l’alignement.

Il est là l’alignement.

Élisa : Alors quand il ya …

Mais même les journaux officiels vous le disent, ils vous disent qu’on est aligné avec le centre galactique Sagitarius A

Sœur : Ça, je le comprends c’est ce que je dis, c’est que, avant on était enfermé donc, c’est l’alignement qui permet que même s’il y a enfermement, même si ça passe.

Ça détruit tout.

Sœur : Oui voilà.

Sauf que là, il n’y aura plus de cycle.

Sœur : Il peut faire la fusion.

La courbure de l’espace-temps lié au vaisseau Archontique ne pourra jamais se reproduire.

Sœur : D’accord.

Élisa : Alors ce qu’il vient faire celui-là, il vient détruire tout.

Ben oui, ça s’appelle le grand destructeur, lisez le manuscrit de Kolbrin, vous allez comprendre et à l’époque, il y avait des survivants, mais là, il y aura zéro survivant dans le rêve, zéro.

Élisa : Mais quand est-il passé la dernière fois ?

Il y a un grand cycle de cinquante mille ans, c’est la roue zodiacale complète.

Élisa : Moi, je ne comprends pas bien parce que c’est ce que j’explique de travers en fait.

Mais oui. La roue zodiacale…

(Discussions dans la salle)

Notre système solaire se déplace, non pas en cercle mais en spirale comme toutes les planètes d’ailleurs, et il repasse bien évidemment par des endroits précis du cosmos, ça s’appelle la précession des équinoxes d’ailleurs, donc ce cycle complet c’est le tour zodiacal qui dure 50.000 ans et quelques années. Il y a un demi-cycle qui est moins grave qui est tous les 25.000 ans. Le vaisseau des Archontes, lui, passe tous les 50.000 ans seulement. Mais Nibiru et son système solaire, non, il passe tous les 3600 ans. Le dernier passage, c’était Moise, alors 1400 avant Jésus-Christ, on est en l’an 2 000; on est, on est, c’est les dates.

La destruction de l’Atlantide, il n’y a pas qu’une Atlantide, il y en a eu trois. La première a été créée à la fin du premier cycle, à la fin du dernier cycle de 50.000 ans, c’était le 7 mai 50731 avant Jésus-Christ, là où il y a eu le concile d’Alta, où les Elohims, les douze Elohims pour éviter l’éternité du songe, le rêve, sont venus pour apporter leur conscience, qu’on appelle les Elohims, ils venaient de Véga, d’Altaïr et de Bételgeuse, ils étaient douze.

Ils ont accepté le sacrifice de leur éternité et d’accompagner ce cycle jusqu’à la fin en se réincarnant sans arrêt. Ça a eu lieu donc à Teotihuacán  au Mexique, et d’ailleurs Edgar Cayce en parle, le médium, c’était donc la création de l’Atlantide. Il y avait déjà des gens qui vivaient sur terre, le cycle, il y avait des survivants, donc ils sont descendus dans ce qu’on appelle Yerushalayim, la Jérusalem céleste, le vaisseau de Lumière qui est décrit dans l’apocalypse de St-Jean avec les portes, avec les douze portes, avec chacune une pierre …

Élisa : Attends.

… et en descendant les plans dimensionnels, la Jérusalem céleste qui est en fait Métatron, le vaisseau de cristal, le cube qu’on voit autour du soleil, les Elohims sont descendus sur ce concile d’Alta où il y avait un amphithéâtre où il y avait l’équivalent de cinq cents mille personnes, pas plus, qui étaient les survivants du cataclysme. Et pour finir, et pour éviter la perpétuité du rêve, les Elohims ont simplement retournés les pétales du troisième chakra, Manipura, qui était tourné vers le bas, ils l’ont tourné vers le haut, pour faire apparaitre une forme d’individualité, qui allait déboucher nécessairement sur le chaos que nous vivons, pour ne pas vivre d’autres cycles.

Sinon, on aurait été sans arrêt perdu dans le rêve de la conscience. Alors ces Elohims, bien sûr, qui avait pris corps de chair parce qu’au fur et à mesure que vous descendez les dimensions, vous prenez cette forme humaine, sans passer par l’incarnation, c’est une descente vibratoire.

Quand ces Elohims sont morts en tant qu’humains, ils ont laissé toute la mémoire de leur passage dans ce qu’on a appelé les cranes de cristal, les douze cranes originaux de cristal, mais ils ont cachés aussi en Argentine le fameux cristal bleu de Sirius qui allait permettre, comme une balise radio qui émet un signal, qui a permis de guider le rayonnement bleu de Sirius, de guider, de téléguider le rayonnement des mères généticiennes de Sirius jusqu’à ce cristal, qui était un relais par rapport au noyau cristallin de la terre parce que la Terre au centre, ce n’est pas du feu, c’est un cristal donc ils ont laissé de la même façon que les Néphilims , il y a 300.000 ans.

Élisa : Mais ce cristal, qu’est-ce qu’Il fait, mais ce cristal bleu, il est à l’intérieur de la Terre ?

Oui, au cœur de la Terre, c’est le noyau de la Terre, mais celui dont je te parle il est en Argentine. Ça y est, sa mission est accomplie, il a relayé. Par contre, qu’est-ce qui s’est passé, il y a trois cent mille ans ? Les Néphilims, c’étaient des géants, ils étaient sur Terre uniquement pour rêver, pour rêver beaucoup plus matériellement, ils ont créé des villages de Néphilims en haut des montagnes, pays basque, Bretagne, Indonésie, Bali.

Ils ont perçu l’arrivée des Archontes, du vaisseau des Archontes. Ils se sont, c’était des sculpteurs de pierres, ils sculptaient les rêves de ce qu’ils voyaient et ne vous attendez pas à trouver des êtres de Lumière avec des habits de Lumière, ils étaient de forme humaine, c’était des géants de deux mètres, trois mètres, habillés en peaux de bêtes, mais ils savaient qui ils étaient, ils ont sculpté leurs rêves dans la pierre et il ya des traces partout.

Vous en avez au Pays-Basque à Ordiap. Nous sommes allés dernièrement au Pérou à Aramu Muru, la porte du temps, et derrière cette porte du temps, il y avait des animaux sculptés, érodés parce que c’est vieux, 300.000 ans, mais on les voit clairement, ce n’est pas de l’imagination.

Alors les Néphilims, qu’est-ce qu’ils ont fait quand les Archontes, quand ils ont senti l’arrivée des Archontes, les vaisseaux, ils ont taillé des pierres de deux mètres de forme hexagonale, qu’ils ont installés en cercle, qu’on appelle les cercles de feu, ils s’appellent d’ailleurs, parce qu’il y en a un qui est très connu au Mexique…

Élisa : Attends, doucement, parce que moi je vais avoir un infarctus ici, alors attends.

C’est enregistré de toute façon.

Quel était l’objectif de ces pierres ? Parce qu’ils savaient que la Terre allait être enfermée, ils ne pouvaient rien y faire. Ils ont permis à chaque cycle, il y a eu quand même six cycles de 50000 ans.

Ils ont permis à chaque cycle…

Élisa : Qu’est ce qu’ils ont permis ?

Ils ont permis à chaque fin de cycle que l’information de la Source, des mères généticiennes, créatrices de Vie, ne soit jamais coupée. Sans ça, le rêve aurait été sans fin et à chaque fin de cycle puisqu’ils savaient que les Archontes allaient venir, à chaque passage du destructeur du rêve en fait, ils ré-enfermaient le temps qu’on a appelé l’enfermement depuis 300.000 ans.

Élisa : Ah ! Mais je pensais que Nibiru passait tous les 3600 ans, il passe, non ?

Mais tu confonds encore le vaisseau des Archontes et Nibiru, c’est deux choses différentes.

Élisa : Bah oui, mais tu ne me laisses pas réfléchir.

Sœur : Non, je le confondais aussi.

Mais tout le monde.

Sœur : Mais on le voit toujours, il y a un cycle de cinq plus cinq donc le chiffre cinq, et on n’arrivait jamais au chiffre six qui est la libération de l’humanité. Chaque fois qu’on arrivait, qu’on dépassait le chiffre sept, hop ils arrivaient.

Et c’était reparti pour un tour.

Sœur : Et on arrivait au six et tout était…

Ce qu’on appelle le cycle du Samsara

Sœur : On n’arrivait pas à passer au sept, c’est le problème, tout ça c’est l’humain.

À chaque cycle. Alors il y avait sept cercles de feu, il en reste six, il en reste six, il y en un qui a été coulé dans la dernière Atlantide, dans le golf du Mexique. Il y en a même un qui est encore connu au Mexique près de Chihuahua dans le nord du Mexique.

Élisa : Attends, attends, on va parler maintenant des cycles. Tu avais, tu as parlé des premiers cycles, c’est que les gens ne réfléchissent pas comme moi, lentement, et ils ne comprennent pas parce que c’est toi, tu l’as, tu l’as dans toi, c’est facile mais le cerveau humain, il nécessite une procédure et cette procédure, je la génère et alors je peux la transmettre, et là je ne l’ai pas générée. Donc en fait les cycles, on en était, tu les fabriquais, toi tu les a déjà fabriqués, mais on en était au premier, à quoi il servait ?

Tous les sept cercles de feu servaient à canaliser, c’étaient des balises radio, une onde de forme qui permettait de diriger la Lumière qui arrivait du centre galactique, afin que cette Lumière revivifie le noyau cristallin de la Terre. D’ailleurs vous regardez en anglais ‘’Ring of fire of olders‘’, cercle de feu des anciens en anglais sur Google, il existe, il est connu, il est au nord de Chihuahua au Mexique, il est intact dans le désert.

Elisa : Ah oui, on a vu des photos, il n’y a pas longtemps.

… Et autour de ces cercles de feu, il y a là où ils vivaient, leurs villages, avec les pierres taillées.

Au Pays-Basque, on a retrouvé les amphithéâtres, on a retrouvé les animaux sculptés, exactement les mêmes, sauf que là-bas, c’était plus un puma qu’un mouton, au Pays-Basque, il dessinait des moutons déjà, mais à Amaru Muru, à côté du lac Titicaca, c’est ça, il n’y a pas de cercle de feu, c’était un village sans cercle de feu mais il y avait une porte temporelle, la porte du temps, on l’appelle.

Il y a la même chose d’ailleurs en Bolivie, à Tiahuanaco, mais il n’y a pas de cercle de feu, les cercles de feu il y en a un qui est sous l’eau, il y en a un qui est au Mexique je viens de vous le dire, celui-là est connu, c’est les Indiens qui vivent là-bas, les Indiens du Mexique dans le désert au-dessus, de Sonara, de Chihuahua.

Vous en avez un Bali, sur l’ile de Bali, vous savez très bien que les gens qui vont, beaucoup de gens qui vont à Bali parce que, surtout les créateurs, parce que là-bas ils ont plein d’images, ils ont plein de rêves, ils ont plein de visions. Beaucoup de créateurs de mode, de parfum, des artistes se rendent là-bas, c’est une porte du temps.

Vous en avez deux en France, à l’époque, ce n’était pas la France, un qui est à Ordiap au Pays-Basque et l’autre qui n’est pas très loin des Monts d’Arrée en Bretagne. Et vous y allez, vous verrez les pierres.

Alors à l’époque j’ai jamais voulu, même la police, la plus grande interrogation qu’ils avaient, c’était que je leur dise où c’était. Maintenant, je peux le dire puisque les cercles de feu ne servent plus à rien. Ils vont drainer la Lumière au noyau, mais comme il n’y a plus de Neb-Heru, on s’en fout, comme il n’y a plus de vaisseau Archontique on s’en fout.

Et je vous signale que du côté espagnol du pays Basque à Roncesvalles (Roncevaux), il y a des fouilles qui sont menées depuis quinze ans avec des objets sculptés dans la pierre, officiellement, dont la datation au carbone 14 remonte à 320.000 ans. Ce sont les Néphilims, alors il y en a d’autres, mais j’ai oublié où ils sont. De toute façon, ça n’a pas d’importance les, un, deux, trois, quatre, cinq, il m’en manque.

Élisa : Celui quia été détruit.

Celui qui a été détruit, j’en ai parlé, les autres je ne me rappelle plus où ils sont. Mais ça c’est ceux que je connais pour y avoir vécu, donc j’ai le souvenir aussi de ça. Donc, si tu veux, à coté de certains des villages des Néphilims, vous avez ces cercles de feu, mais Amaru Muru, Tiahuanaco, c’est les villages des Néphilims.

Vous savez, ces pierres sculptées qui sont ajustées au dixième de millimètre, ils n’avaient pas d’outils pour sculpter les pierres, ils matérialisaient les formes, ils prenaient un bloc brut, et leur rêve était projeté dans cette forme, et elle se transformait en ce qu’ils voulaient.

C’est une belle histoire, ben, ce n’est que de l’histoire.

Sœur : Mais moi, ces Néphilims, ils sont issus de leur propre pensée du coup, ils sont issus de leur propre création.

Oui, bien sûr.

N’oubliez pas que toute mère généticienne, toute entité créatrice sur les plans les plus denses, est obligée de passer par la condition qu’elles ont créé, c’est-à-dire de devenir humaines, et d’aller jusqu’au bout du cycle.

On va arrêter là puisqu’il est deux heures et demie, c’est une histoire passionnante, mais c’est une histoire. Simplement, je terminerai par ça. Là il n’est pas question de prophéties, je ne suis pas un prophète. Mais regardez les positions des planètes.

Regardez ce qu’on vous dévoile dans tous les journaux d’astronomie, ils vous préparent. Ils vous ont dit qu’il y avait un trou noir au centre galactique, il y avait un trou noir dans la Voie Lactée, il y a la planète neuf qui arrive, la seule chose qu’ils avaient cachée, c’est que cette fois-ci, elle était accompagnée d’étoiles mortes. Ces étoiles mortes, elles vont jouer à quoi? À Pac-Man, elles vont tout manger, Pac-Man, vous connaissez le jeu.

Pac Man, le jeu vidéo, le tout premier jeu vidéo, ça c’est une réalité scientifique qu’ils ne veulent surtout pas que vous sachiez. Donc ils sont prêts à la guerre, avec ce qu’ils font avec leurs masques, la parodie, le virus, les vaccins pour surtout pas que vous regardiez ce qui se passe dans le ciel pour une raison qui est très simple, affreusement simple, quand le troupeau sait qu’il va mourir, parce qu’on est un troupeau pour eux, bétail, au niveau collectif, ça va être le chaos total.

Et ils ne voulaient, en tout cas en Occident, ils ne voulaient surtout pas qu’on soit informé de ça, mais l’information commence à traverser maintenant. Pourquoi croyez-vous que l’année dernière avant l’épidémie du cocovid, je l’appelle le cocovid moi.

(Rires)

Pourquoi croyez-vous qu’on a vu fleurir, alors vous voulez trouver la manipulation ? C’est très simple, je vais faire l’aparté, vous allez sur news Google de votre pays et vous tapez un mot clé, vous allez voir, des mots apparaissent du jour au lendemain, dont on ne sait pas d’où.

Par exemple, il y a un an ils ont parlé d’extinction level  event, extinction totale de la vie, ils ont commencé à parler de survivalisme, ils parlent maintenant ouvertement du monde d’après et même la cheffe du FMI, Christine Lagarde, jusqu’à cette année, on parlait de grand reset, fin du liquide, Gesara, Nesara et vaccin en contrepartie, et maintenant, ils parlent carrément de grande transition.

C’est on ne peut plus clair. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est eux-mêmes qui le disent. Tapez grande transition en espagnol sur les news Google et vous allez voir. C’est de la programmation prédictive sur ce qui arrive.

Sœur : Et t’as remarqué que juste à côté, dans la rue, là vers chez toi, il y a une pancarte covided, c’est-à-dire covid mangé, covid et ed, juste à côté.

Donc eux, leur objectif avec le retour des Anunnakis, qui ne reviendront pas, c’était de gérer le chaos et eux le moment venu, d’aller s’enterrer au plus profond de la Terre. Ils ont oublié une seule chose : un, le vaisseau des Archontes ne reviendra pas et que, deux surtout, l’alignement Nibiru, Soleil et planètes du système solaire se fait cette fois-ci avec le centre galactique, Sagitarius A. Regardez Sagitarius A sur internet, où il y a un trou noir, c’est ce qu’on appelle le flash galactique, le rayonnement gamma.

Qu’est ce qui se passe quand le rayonnement gamma arrive, vous dites : «Oh! La belle blanche.» Oui, mais vous, vous disparaissez dans le blanc aussi. Le corps est littéralement consumé physiquement. Ce n’est pas de la science-fiction, c’est exactement ce qui va se passer, qu’ils ont caché depuis 1984, au début de la descente de l’Esprit Saint. C’est la même année où Carrington a parlé de Nibiru.

(Eclats de rire)

C’est la même année 1984 où l’astrophysicien Carrington évoquait déjà la présence de Nibiru à l’approche de notre système solaire. Il a été assassiné après.

(Rires)

Si on continue à parler de l’histoire, je suis là jusqu’à ce soir moi.

Élisa : Barbecue aujourd’hui.

Ah oui!  Alors on arrête là. Le satsang, on reprendra quand on a fini de manger. Voilà, on a fini tard, vers cinq heures avec OMA. Si vous avez des questions pour OMA, nous on en a en français, écrivez-les.

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