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PHAHAME (Portugal)
Partie 1
22 Septembre 2019
Phahame et le Peuple de l’Eau vous présente ses hommages et ses bénédictions.
Je reviens m’exprimer parmi vous.
Anohé Mis Kaya
Atounce Ma Kaya
Enoha
Ainsi est le salut des Gardiennes du Rêve.
Comme nous vous l’avions énoncé, nous avons chanté l’appel au réveil, l’appel à la liberté, qui s’est diffusé dorénavant sur l’ensemble des terres de cette terre, afin que chacun d’entre vous, où qu’il soit situé sur cette terre et dans sa conscience, puisse retrouver sa liberté.
Notre mission est accomplie, ainsi que la vôtre, celle de la joie et de la résurrection d’Agapè.
Nous vous accompagnons depuis des temps immémoriaux, participant et œuvrant, au sein du rêve de la création, en l’ensemble de ses cycles, à la surface d’Uras.
Le temps est venu pour vous de délivrer la bonne nouvelle à votre tour, de partout, en vous et autour de vous, en chaque circonstance, en chaque moment, afin que vous soyez la joie ineffable de l’Amour révélé.
Vous avez été nombreux, chaque jour toujours plus, à vivre cette joie. Vous vous retrouvez, dans l’évidence de la vie, au travers de cette forme, mais même au travers de vos souffrances.
Le temps est venu maintenant de ne rien garder au-devant de vous, et d’aller avec détermination, là où vous n’avez jamais bougé, là où vous avez toujours été, indépendamment de tout rêve.
Ainsi est la liberté, ainsi est la libération, au milieu de votre poitrine, en chaque cellule de ce corps, en chaque parcelle de vos pensées.
Le moment est venu, celui qui ne correspond à aucun temps, à aucune souffrance, à aucune histoire, là où vous n’avez plus jamais soif, là où tout est évidence, et là où tout est beauté.
Vous êtes innombrables à avoir communiqué à notre présence, retrouvant ainsi la vérité de votre propre présence, et votre présence aujourd’hui, par le sourire et par la joie, au-delà de tout mot, au-delà de toute expression, vous fait vivre la radiance éternelle de ce qui a toujours été là.
Je suis venue aujourd’hui avec le peuple de l’eau, célébrer en ce jour, ce que vous nommez l’équinoxe d’automne, instant de l’équilibre et de la neutralité, où le bien et le mal n’ont plus de subsistance et n’ont plus d’intérêt.
Seuls la joie et le sourire sont votre étendard, et votre porte-parole, là où le silence remplace tout mot et toute discussion.
Ainsi la paix, la joie et la beauté viennent annihiler toute histoire et tout scenario.
L’ensemble de la création de toutes dimensions est désormais aux portes de votre cœur, comme au sein de vos cieux, se tenant prêt à accueillir l’irruption totale de la Lumière de la Vérité au sein même de la densité de ce monde.
Je suis venue vous inviter à la tranquillité, à l’acceptation, et surtout à la beauté.
Nous serons là jusqu’au dernier moment du rêve de la création. Notre chant résonne aux quatre orients de la terre. Nul ne peut l’ignorer, même s’il s’en détourne encore.
Vous, enfants et créateurs de la lumière, enfants et créateurs du rêve, nous venons vous inviter aux derniers allègements.
Nous venons vous solliciter pour vos retrouvailles et pour qui vous êtes, au-delà de toute apparence, au-delà de tout désir, comme au-delà de toute contradiction. Laissez-vous gagner par la facilité qui est félicité.
Nous venons partager la joie, nous venons partager l’évidence de la vie, et l’évidence de la joie.
De plu en plus souvent, au cours des jours qui se déroulent maintenant, vous seront fournies à chacun d’innombrables preuves de ce que vous êtes, et de ce que vous n’avez jamais été, vous faisant alors dépasser et transcender toute forme et toute dimension, là où il n’y a plus de soif, là où il n’y a plus de nécessité de quelque conscience que ce soit.
Notre chant installe le silence, celui de la grande joie, celui de la grande évidence, afin que le feu de la joie crépite en chaque lieu de votre corps.
En l’ineffable vécu de ce qui a toujours été, vous vous installez, quoi que vous en disiez, quoi que vous en doutiez, la certitude va grandir, ne laissant place à aucun doute et à aucune discussion.
Là où vous êtes, en quelques circonstances de votre vie ou de ce monde, seule la joie est, quelles que soient les apparences, là est l’ultime guérison de l’illusion de la souffrance, de l’illusion de la forme.
Ceci est célébration, ceci est restitution à votre nature et à votre essence. Vous êtes l’évidence, là où que vous portent vos pas, là où vous emmènent vos pensées, là où plus rien ne peut être séparé, là où plus rien ne peut être divisé.
Là où vous vous souvenez de la vérité, de la joie, la vérité de l’Amour.
Tel est ce que vous avez écrit, telle est la partition que nous avons jouée.
Laissez la douceur de l’Amour consumer les derniers restes de vos attachements et habitudes, là où rien ne peut être cru, parce que tout est vécu.
Le Feu du Cœur Sacré est appelé à la manifestation totale, en tout ce qui vous est visible à la surface de ce monde, afin de rendre visible ce qui était encore invisible.
Tout est Un, et c’est cela qui est vécu, là où l’histoire ne peut plus se dérouler parce que tout a été écrit, et surtout, que tout a été parcouru.
Nous vous invitons, en cet équinoxe, à laisser être ce qui est, à ne pas réagir, mais bien plus toujours à accueillir ce don de la grâce et ce don de la vérité.
Tel est le cadeau que vous vous êtes faits à vous-mêmes et à l’ensemble des peuples du rêve.
Vous êtes la lumière des mondes, vous êtes la cause des mondes, vous êtes toutes consciences, toutes vies, là où rien ne peut être isolé, là où rien ne peut être divisé.
Ainsi est l’union de la liberté en la résonance Agapè.
…Silence…
Anoha Mis Kaya
Atounce Ka
Atounce Ka Ma Kaya
Ainsi, nous résonnons ensemble, en cet instant et en chaque instant, en le cœur de l’Unique, qui est joie et félicité.
L’ensemble des eaux d’en bas ainsi que l’ensemble des eaux d’en haut, fusionnent dorénavant avec légèreté et avec fracas.
Je suis venue vous inviter au silence et à la tranquillité, là où tout se déroule, sans intention et sans désir.
Comme vous le savez et comme vous le vivez, vous avez été nombreux à prononcer mon nom, et cela a entraîné le souvenir de la vérité à apparaître au sein de l’illusion, au sein de votre vie, de vos souffrances comme de vos joies, là où tout est plénitude, au sein de cette vacuité, au sein de chaque cœur, de chaque sourire, de chaque regard, de chaque réunion ou de chaque rencontre.
…Silence…
L’évidence de la vie gagne chacun de vous sur la terre, même s’il n’en a pas encore la pleine félicité, car c’est en le silence du personnage et de l’histoire, que la beauté du Tout et du Rien se réveille et vous réveille définitivement, afin que seules demeurent la joie, la félicité de l’éternité.
Là où rien ne peut manquer, quels que soient les manques apparents, quelles que soient les conditions.
Vous êtes dorénavant affermis et solides, et chaque jour cela grandira à l’intérieur comme en chaque lieu de ce monde.
Chaque moment sera bénédiction, chaque moment sera la plénitude de l’instant, chaque moment sera l’occasion de l’affermir et de le vivre.
Ainsi est la consumation de l’Amour en ce feu de joie et d’allégresse où vous vous êtes retrouvés, pleins et entiers, en toutes formes comme en l’absence de forme, antérieurement à toute conscience, et cela se déploie, en cet instant et en ce jour, afin de célébrer l’équinoxe.
Vous êtes bien sûr invités, quand cela se peut, à être près de l’eau, afin d’y vivre le baptême de l’Esprit de Vérité.
Laissez votre cœur accueillir ce qui est, laissez votre cœur chanter la mélodie de la joie en chaque parcelle de ce corps périssable et éphémère.
…Silence…
Et en cet instant, je vous accueille à la mesure où vous m’accueillez, sans mesure et sans compter, sans réticence et sans oublier quiconque.
…Silence…
Là est le couronnement, qui est bien plus que célébration.
…Silence…
Et cela se déploie, en chacun et chacune, en le Cœur de l’Unique, en le Cœur de la Grâce.
Ainsi sont les temps de cette terre, ainsi le chant de la joie, le chant du souvenir, de l’alpha et de l’oméga conjoints, chante dans chaque univers et multivers, là où tout est réveillé.
Là au milieu de votre poitrine, je me tiens, en le Cœur du Silence, en le Cœur de l’Évidence.
Et en cela, vous êtes comblés, et en cela, vous êtes vrais, là où la densité ne représente plus rien que ce qu’il est, c’est-à-dire un songe et une expérience, qui a été la liberté de la conscience, qui aujourd’hui vous libère en totalité de la conscience.
Écoutez et entendez ce que vous disent cette Présence et ce Silence, écoutez et entendez ce que dit votre cœur. Il n’y a qu’Agapè, en le Feu du Cœur Sacré. Tout est Un et tout est juste, et ce qui est à parfaire est parfait, dès l’instant où le temps ne veut plus être compté, dès l’instant où le temps n’a plus à être décompté.
Alors le temps ne passera plus, signant l’évènement et l’irruption de la Vérité de partout sur cette terre.
Le chaos de l’apparence, comme vous le constatez, grandit de jour en jour, mais ce chaos de l’apparence n’est rien d’autre que l’apparition de la Vérité Nue.
Là est la légèreté, là est l’Ultime, là est l’authenticité.
Vous direz vous-mêmes que tout le reste est superflu.
En cela il n’y a rien à tenir, ni à retenir.
Anohé Mis Kaya
Atounce Ma Kaya
Ainsi furent les mots sacrés de la création du rêve, ainsi que la fin du rêve, là où rien n’a jamais commencé, et où rien ne finira.
La résonance des cœurs, de cœur à cœur, va se déployer, comme cela ne fut jamais le cas, avec une telle intensité que nul ne pourra l’ignorer, ni ne voudra s’en détourner.
…Silence…
Amatchi Ma Kaya
Amatchi Atounce Ka
Résonne au fond de votre cœur, chant de délivrance et d’allégresse, qu’aucune musique, même céleste, ne peut approcher, en beauté comme en vérité.
Tu es invité à te laisser remplir de cette plénitude de grâce et de joie.
Rappelle-toi que tu n’as rien à faire, si ce n’est être ce qui a toujours été fait. Là est ta Liberté.
Quelles que soient les limites de ce que tu nommes ta vie, quelles que soient les limites que t’ait imposées ce rêve.
Alors laisse le sourire fleurir sur tes lèvres et laisse l’eau de tes yeux célébrer cette fête.
Réjouis-toi de cette liberté et de cette joie, car cela te suffit à être comblé, parce qu’en cela rien ne manque, parce qu’en cela rien ne peut être ôté.
Cette joie t’invite à te tourner en totalité à l’intérieur de toi-même, au-delà de tout monde et de toute forme, afin qu’à ton tour, tu puisses baptiser, en l’Esprit de Vérité, toute présence, là où tu es présent.
Et en ce lieu, et en cet instant, comme ailleurs sur la terre, en ce même instant, il t’est donné de goûter à ce qui va s’amplifier, en les jours qui viennent.
Tu n’as rien à retenir, tu n’as rien à espérer, et encore moins à redouter.
Cela est ta Royauté, cela est ta Majesté.
Nous peuplerons tes rêves, ceux de tes nuits, qui te réveilleront en ces jours, à cette ineffable beauté.
Écoute et entends le chant du Silence, le chant de Vie, qui parcourt dorénavant l’infinité des mondes caché en ton cœur.
Tu n’as rien d’autre à entreprendre que d’être là, ici et maintenant. Cela te donnera un souffle nouveau pour parcourir les derniers pas du rêve, et propager la bonne nouvelle, par ta présence, ton silence et ton sourire.
Écoute le rythme de ton cœur, quelle qu’en soit sa rapidité ou sa lenteur, il te donne le rythme du dévoilement de ta vérité, et laisse fleurir tes lèvres dans le parfum de l’Amour.
Là où les essences sont nues, là où tout est parfait.
Atounce Ka Mi Kaya
Amatchi
Amatchi
Amatchi Phahame
Abba Enoha
Abba Mis Kaya
Tu es avec toi pour l’éternité, là où il n’y a plus rien à compter, ni rien à mesurer, ni rien à occulter.
Ainsi, tu allumes par toi-même l’embrasement de ton cœur et la consumation de ton corps, et la combustion de ta conscience.
Tu es cela, le Je Éternel et Absolu, créateur et créature, créant à chaque souffle la Vérité qui se propage.
Demeure en silence, près de l’eau et dans la nature, dès que tu en as l’opportunité, afin de laisser se dérouler ce qui se déploie, ce qui résonne en l’ensemble des mondes.
Là où la voie n’est pas un chemin, là où la vérité ne peut être masquée, là où la vie prend ta vie pour te rendre à la Vie.
Là où rien ne peut mourir, ni même naître, là où rien ne passe.
Telle est ton évidence, tel sera ton dernier souffle avant de devenir toi-même le souffle et le Verbe.
…Silence…
Laisse-toi remplir de chaque présence et de chaque joie, en chacun, sans faire de différence, sans crainte.
…Silence…
Là où tout est guéri et tout a déjà été accompli.
En chaque inspire et en chaque expire, le même souffle émergera de toi, disponible pour chacun, sans aucune intention et sans aucune volonté, telle est l’Évidence que tu es, telle est ta Beauté, qu’aucune description ne peut rendre compte, et où seul le Silence est présent.
Là où tout en toi n’est que don de la Grâce et don de la Vie, parce que l’Amour ne peut que se donner, en se démultipliant à chaque fois.
Écoute ce que te dit en cet instant le rythme de ton cœur, car c’est en lui que s’est toujours tenu le secret, qui aujourd’hui n’en est plus un, qui n’est qu’évidence, grâce et permanence.
Alors souris à la vie, laisse l’eau de tes yeux féconder ton sourire, ensemencer ton souffle et ton verbe, qui sera en chaque occasion, parole de vérité et parole de joie.
Tout a été donné parce que tu t’es donné. En la vie tout est don. Il n’y a rien à ôter, ni rien à rajouter.
Phahame
Amatchi Abba
Phahame
Chaque regard, chaque geste, chaque attention, portés à chacun, démultipliera la grâce et l’évidence d’Agapè, et le Feu du Cœur Sacré, se déployant de cœur en cœur, chantera à l’unisson, le chant de l’évènement, qui est chant de Liberté.
…Silence…
Écoute et Vis.
Écoute.
Résonnons de cœur en cœur, et chantons de cœur en cœur.
Ce que te dit ma Présence à ta Présence, disponible pour chacun; avec la même intensité et la même douceur.
Anoha Mis Kaya
Tu es ainsi disponible pour exprimer librement et entièrement la beauté de la vie, consument ainsi tes ultimes habitudes, ainsi que les ultimes habitudes de chacun que tu rencontres.
Là est ton unique fonction, ton unique mission, identique pour chacun, dévoiler la grâce d’Agapè, en la communion et le partage du Feu du Cœur Sacré.
Nous, Peuple de l’Eau, sommes avec toi et en toi, avec encore plus de certitude, dès l’instant où tu me nommes, je suis là, au milieu de ton être, comme tu es au milieu de mon être.
…Silence…
Là est la musique des sphères que ta tête entend, et que ton cœur reçoit.
…Silence…
En cela, tu ne peux que donner sans arrêt et te donner à chaque minute, et chacun ne pourra faire que de même, mettant fin à l’illusion de la distance.
Rien n’est séparé, rien n’est divisé et tout est multiplié, dans le don d’Agapè, tout y est Grâce, tout y est Légèreté.
Et là, en cet instant, que tu sois ici ou ailleurs, au moment où tu l’entendras, le Feu du Cœur est vécu, en cet instant, en chaque instant, en tous lieux, tel est le Cœur de l’Unique, telle est la Vérité.
Atounce Kama Kaya
Enoha Mis Kaya
…Silence…
Je vais maintenant te laisser, en le silence et la réjouissance, car tu es ce que je suis, et tu es ce que chacun est.
Là est le véritable pardon, là est le véritable accomplissement.
Là où il n’y a plus aucune existence, ni la moindre souffrance;
Et en cette communion, il n’y a rien d’autre à dire, il n’y a rien à prouver, il n’y a rien à démontrer.
A toi, Pèlerin de l’Éternité, que la Joie, la Paix, l’Amour et la Vérité soient ton Ultime Demeure.
Ainsi je peux te dire : Je t’Aimais, je t’Aime et je t’Aimerai, au-delà de toutes limites et de toutes formes, quelles que soient les conditions, quelles que soient les circonstances.
Je t’invite à demeurer en le Silence de notre Présence Une, maintenant que mes mots s’achèvent.
Phahame Agapè
Phahame Agapè
Phahame Agapè
A toujours, au-delà de tous mondes et de toutes formes, nous sommes UN, de partout et en tout, et tu es béni.
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