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Entretiens de Juillet 2019
Malaga
O.M. AÏVANHOV
6 Juillet 2019
Eh bien chers amis, je suis extrêmement ravi de vous retrouver et de pouvoir vous saluer d’abord, et vous transmettre toutes mes bénédictions, et échanger avec vous sur tout ce que vous voulez.
(Rires)
Alors chère amie, je t’écoute. As-tu déjà des premières questions ?
Voix : Oui. Première question d’une sœur : bien qu’ayant un déficit physique depuis un an, je continue à effectuer des stages et même j’ai répondu à des invitations en Amérique du Sud et Centrale. Je me demande si je continue pour nourrir ma personne. … Si je continue pour nourrir ma personne.
Ainsi, à travers d’un handicap que je ne connais pas, il t’est offert des choses que tu ne recherches pas, mais qui viennent à toi à travers des demandes, à travers des opportunités, et que tu ne fais rien de ton propre chef, c’est bien évidemment l’intelligence de la Lumière qui agit, et non pas ta personne, ton personnage.
Si les choses arrivent spontanément, qu’elles te plaisent ou qu’elles ne te plaisent pas, c’est qu’elles sont directement en résonance avec l’intelligence de la Lumière. Donc ce genre de questionnement n’a pas lieu d’être. Retenez que si c’est véritable et véridique, les choses se font spontanément ou facilement. Ce n’est pas la même chose que de décider, coûte que coûte, d’aller dans tel pays ou dans tel pays, et de recevoir une invitation. Dans un cas, il y a projection, le premier cas. Et dans le deuxième cas, il y a simplement ce qui va te permettre de vivre l’acceptation, quel que soit, comme tu le dis, ton déficit physique. Donc tu n’as pas à te soucier de ça.
La spontanéité de celui qui est libéré de la personne passe justement par des choses, et en l’occurrence pour ce que tu demandes, par des choses qui s’organisent sans aucune volonté personnelle. Donc il n’y a aucune difficulté. Et au contraire, peut-être que c’est l’occasion pour toi de te décharger de cet aspect organisationnel, et de vérifier que ce que tu dis, ce que tu es, ce que tu proposes est demandé et non pas imposé. Donc, ça n’a rien à voir avec le personnage et ça ne nourrit pas la personne.
Ça va permettre, je dirais comme vous le vivez ici, tout ça ne sont que des prétextes pour vivre Agapè. Que ce soit, comme vous l’a dit Abba, avec les cétacés, que ce soit avec nous, que ce soit en vous prenant dans les bras, en célébrant, tous ces prétextes sont bons pour l’intelligence de la Lumière.
Donc il ne sert à rien de se poser ce genre de question. Tu sais très bien si les choses et les évènements qui ont été programmés sont venus de toi, ou elles sont venues à toi. Ce n’est pas tout à fait la même raison. Dans un cas, c’est ton personnage qui décide. Et dans l’autre cas, c’est l’intelligence de la Lumière qui te le propose. Et si tu suis les lignes de moindre résistance, les lignes de facilité, tu vas constater que chaque chose est en ordre et à sa place. Il n’y a jamais de hasard puisque tout est écrit.
Seul celui qui voudrait maintenir par exemple d’organiser un stage dans un pays donné, et qui va rencontrer des épreuves, des difficultés, n’est pas dans l’intelligence de la Lumière, mais dans l’intelligence de la personne. Tout le reste ne sont que, je dirais, des formes d’interrogations, des questionnements, qui se traduisent par…, qui sont la correspondance plutôt d’une certaine forme de non-maturité de l’intelligence de la Lumière en ce que tu es…, que tu es d’ailleurs. Donc bien évidemment, le personnage a besoin d’être rassuré.
Mais je rappelle que dans un cas si c’est toi qui décides, c’est le personnage qui est en cause. Mais si tu n’as rien décidé et que ça t‘est proposé, c’est l’intelligence de la Lumière.
Et d’ailleurs si c’est toi qui décides, il y a beaucoup de difficulté. Et si ce n’est pas toi qui décides, au contraire il y a beaucoup de facilité. C’est aussi simple que ça.
Alors, autre question…
Voix : Oui. C’est la suite de …
De la même sœur, oui continue.
Voix : Voilà. Pourquoi alors j’ai la conviction totale de l’éternité et de ce que je suis ? Je me réveille chaque matin lasse de recommencer une journée et je ne suis pas en joie.
Parce que tu attaches trop d’importance à ton corps ou à ta vie. Alors que La Vie, comme tu le dis, est là en abondance. C’est une question de balance. Qu’est-ce qui pèse le plus, qu’est-ce qui te rend légère ? Ça nécessite une confiance encore plus grande, non pas en toi, non pas en tes techniques ou tes capacités ou ton vécu, mais bien réellement en l’intelligence de la Lumière.
Et effectivement, quand tu en auras marre de te lever sans joie, avec l’impression de recommencer, eh bien tu vivras la joie et la légèreté de recommencer chaque matin, sans te poser de questions. Parce qu’il y a, malgré le vécu de certains états, de certaines expériences même que tu as peut-être vécues, tu constates que l’observateur voit à la fois la vérité, et constate aussi malheureusement encore certains éléments liés à la personne. Mais c’est justement ce qui peut se jouer dans ce va et vient qui va t’asseoir, si je peux dire, de plus en plus dans l’évidence et la vérité.
Plus tu accorderas de crédit, sans t’interroger, par exemple sur ce que tu as demandé sur la première question, plus tu seras libérée vraiment de la difficulté de commencer une nouvelle journée. Et plus tu ignoreras ta propre maladie, comme tu dis… ou handicap, je ne sais pas comment tu as dit ça.
Mais c’est comme ça que ça fonctionne.
Donc plus tu acceptes que c’est facile et que les choses qui sont de l’ordre de l’intelligence de la Lumière sont claires et évidentes, c’est toujours la personne qui va s’interroger sur le bien-fondé… par exemple de ta première question. Mais si tu acceptes totalement… , pour l’instant il y a encore l’observateur qui voit parfaitement son personnage, avec ses habitudes, avec ses règles de fonctionnement, et en même temps, comme tu l’as exprimé, la certitude de l’éternité et de la Lumière.
Mais ce n’est pas tout. Parce que cette certitude, elle est liée aux expériences, aux états, et à la compréhension véritable de ce qu’est la vérité. Mais il faut que ça s’installe dans chaque parcelle de ta conscience comme dans chaque cellule de ton corps, et pour ça, il n’y a que la simplicité. C’est aussi, comme Abba l’a dit, le sacrifice de ta vie pour la Vie, qui est beaucoup plus riche, beaucoup plus nourrissante pour employer ton expression, pour la vérité que tu es. Et la personne ne peut en être que plus légère. Et donc, tu es gagnante sur les deux tableaux.
Pour l’instant, tu es encore dans l’oscillation, entre le personnage, ses habitudes, et la vérité. Mais quand la vérité est totalement là, le personnage ne pèse plus rien. Au contraire, il est lui aussi en joie et léger. Pour l’instant, à travers de ce que tu exprimes dans cette deuxième partie de question, il y a encore vraisemblablement un certain nombre d’habitudes qui tournent en boucle et que tu n’as pas repérées, et auxquelles tu es encore identifiée.
Alors bien évidemment, quand il y a des handicaps physiques ou des maladies qui apparaissent, c’est aussi une bénédiction quoiqu’en dise la personne, parce que ça permet dans certains cas, de libérer certains attachements, et aussi ça permet de voir clair. Comme tu le dis, tu as eu cet accident il y a plus d’un an et tu dois voir maintenant, de manière objective, la différence, non pas du personnage qui n’a pas perdu certains éléments de ses potentialités, mais comme plutôt l’émergence de la liberté.
Mais l’interrogation, le questionnement fait partie du jeu, entre l’observateur, la personne et la vérité.
Accepter d’être la vérité va alléger de plus en plus ce manque de joie et va être remplacée par une Joie. Et d’ailleurs si c’est vrai, tu dois constater déjà dans certaines interventions, certains travaux que tu fais, de quelque nature qu’ils soient, que si tu es dedans complètement, tu en retires non pas un avantage pour la personne, mais un avantage pour la vérité. C’est-à-dire que par exemple, tes pensées vont être plus claires, tes émotions et tes habitudes ne te prendront plus la tête ou ne se manifesteront tout simplement plus.
Mais tu ne peux pas décider par anticipation ceci ou cela. Il faut laisser les choses être, pas seulement votre personne, mais aussi les circonstances de votre vie. Parce que plus vous acquiescez à ce qu’il se déroule, plus les choses vont se faire avec facilité. Mais même pour la personne. Et surtout même pour la personne. Et tu constateras, au fur et à mesure de ce que tu fais, que si tu es spontanée, quelles que soient tes références, quelles que soient tes connaissances, quelles que soient tes habitudes, ce que tu vas livrer et délivrer comme information, c’est la vérité, quels que soient les mots que tu emploies.
Mais ce n’est plus la vérité de tes mots, c’est la vérité de ta présence, et je dirais, de ton abandon à la Lumière totale qui crée cette félicité, cette facilité, et qui va mettre fin aux récriminations de la personne, dans ce que tu exprimes par exemple sur le fait de te lever le matin, où la joie n’est pas là, parce qu’il y a encore, et tu le dis parfaitement, une certaine forme de pesanteur, de lassitude.
Mais si ça t’est proposé, accepte bien sûr, quelles que soient les choses. Parce que si c’est de l’ordre de la Lumière, ce qui est le cas bien sûr quand ça t’est demandé, proposé, tu constateras que tout sera et se déroulera avec facilité, quel que soit le handicap.
Et vous avez tous l’occasion de le vérifier dans n’importe quelles circonstances. Que ce soit par exemple pour le transport, pour un rendez-vous, pour un évènement quel qu’il soit. Si vous avez cette confiance, totale et absolue, non plus en votre personnage, non plus en vos habitudes, ou en vos connaissances, vous ne pouvez que constater, ici- même, sur la scène du rêve et du simulacre comme dirait Abba, que vous allez pouvoir voir clairement les choses, c’est-à-dire ce qui est de l’ordre de la personne, de la conscience, et ce qui est de l’ordre de la vérité.
Tout ce qui est véritable est facile. Tout ce qui est véritable, même sur ce monde, se déroule à la perfection, quoique vous en pensiez.
Autre question…
Question : Comment accepter mon accident vasculaire cérébral alors que si je le prends, je le prends cela comme une punition ?
C’est la personne qui prend ça pour une punition. Je dirais plutôt que c’est une rétribution. Mais une rétribution qui n’est pas de l’ordre du karma. Je te rappelle que tout est écrit. Et que quelque part tu as décidé qu’il te fallait vivre cette limitation pour être libre, paradoxalement. Parce que des fois, pour certaines têtes de caboche particulières, il faut que ce que vous assimilez à une punition, mais qui est juste la meilleure possibilité pour vous d’être libres.
Donc je ne vois pas d’opposition ou de contradiction entre le fait d’avoir ce déficit lié à l’accident, quoi, vasculaire je crois t’as dit, et ce que te demande la Vie. C’est de voyager, c’est de parler. Mais peut-être qu’aujourd’hui quand tu parles, tu es peut-être beaucoup plus spontanée et tu ne fais plus référence à des potentiels, à des dons ou à une connaissance. Même si tu utilises ces potentiels, ces dons, ces connaissances, tu passes au travers, et tu es totalement véridique. À ce moment-là, les effets sont directs sur ceux qui t’écoutent, pas au travers de ce que tu leur dis, mais au travers de ce que tu es.
Et le paradoxe effectivement c’est que tu peux délivrer l’information de Agapè, de temps zéro, tout en ressentant comme tu le dis, un sentiment de punition, d’abandon peut-être, ou d’être punie comme tu dis. Mais ce n’est pas une punition. C’est une juste rétribution, que tu as choisie toi-même.
Silence
Mais moins tu te préoccuperas de ton personnage et de cette lassitude le matin, et plus tu te préoccuperas, non pas de gamberger sur ce qui t’est proposé, mais de l’accueillir avec Grâce, plus tu verras que tout se passera bien. Quand tu en auras marre en plus comme tout le monde, de faire le yoyo, non pas entre le mental et le petit vélo et la vérité, mais je dirais, entre ce qui te compose, ici présent, à travers ce corps, c’est-à-dire ce corps illusoire, cette conscience est maladive et la vérité que tu es, tu t’installeras tout naturellement dans la vérité et dans la spontanéité.
Je te dirais que ce n’est pas quelque chose qui va nourrir ta personne, mais c’est toi qui, en tant qu’observateur, témoin même, même sans vivre l’Absolu, qui va te conduire à te nourrir. Et c’est toi qui te nourrit toi-même, indépendamment des aliments, à travers les expériences, les rencontres, ce que tu as à vivre. Et tu vois bien ce qui te rend légère, sereine et pleine, et ce qui te fatigue. Ce qui te fatigue n’est pas de l’ordre de la Lumière. C’est de l’ordre de ton histoire.
Parce que la Lumière, si on peut dire, vous énergétise. Elle vous clarifie, elle vous allège. Elle vous met face à la vérité et à l’évidence à chaque instant. Et le personnage de l’autre côté qui décrit des symptômes, des fatigues comme tu as dit, ou tout autre manifestation dans la vie, dans les relations, dans le déroulement de la vie.
Il y a une suite encore, ou c’est bon, de cette même question?
Voix : Non, ce n’est pas une suite, c’est une autre question.
D’accord.
Voix : Ça peut correspondre… Les Hispano-Américains me remercient pour mes paroles. J’ai du mal à comprendre pourquoi.
Alors plus tu as du mal à comprendre, plus c’est la vérité. C’est ça la spontanéité.
Les paroles qui sont prononcées, au plus proche du cœur du Cœur, ou au temps zéro si vous voulez, quelles que soient ces paroles, quel que soit l’enseignement, la connaissance, ou quel que soit l’art qui est utilisé comme forme d’expression, au-delà de cette forme caractéristique de communication, ou d’expression, n’oubliez pas que vous transmettez, par votre présence simplement le temps zéro. Et c’est ça qui est important. Et c’est pour ça qu’ils te remercient. Et c’est pour ça que même eux ne savent pas pourquoi. Donc ne cherche pas à te saisir d’une explication, mais là aussi, accepte l’évidence. Remercie et rends grâce pour ces témoignages de remerciements. Ça ne nourrit pas la personne ça, ça nourrit la vérité.
Alors bien sûr dans un premier temps, ça peut te mettre de plus en plus mal parce que d’un côté, tu ne comprends pas ce qui se passe, et pourtant ça se fait, ça s’ouvre, et de l’autre côté il y a le personnage qui est souffrant et qui n’est pas en joie. Mais la Joie tu ne la trouveras jamais dans ton personnage, ni même dans une quelconque amélioration, mais je te le rappelle, dans le fait de se donner, totalement, sans réfléchir à rien. La vie pourvoira à tout ce qui est nécessaire pour toi.
C’est-à-dire que vous êtes tous, sans exception, dans cette phase où vous devez reconnaître la Vie qui est à l’oeuvre, et non pas votre vie et vos décisions. Et tout vous ramène à cela. Que ce soit dans les évènements dramatiques qui peuvent toucher vos corps, votre vie, mais c’est grâce à cela que vous découvrez aujourd’hui la vérité.
C’est pour ça qu’on a parlé non plus de l’Amour ou la peur. Mais moi je disais il y a quelques années de mettre l’Amour devant, l’Amour partout. Oui vous n’avez même plus à le mettre, vous l’êtes, quoique vous en disiez, quoique vous en pensiez, et quoique vous en viviez ou pas, parce que c’est là pour tout le monde. Nous vous l’avons répété tous, sans aucune exception d’innombrables façons.
Tu peux même faire un cours de finances et transmettre la vérité, pas par les mots ou la connaissance que tu délivres, mais par ta présence, à l’insu de ton plein gré et à l’insu du plein gré de l’autre. Tu es à ce moment-là l’agent qui va permettre à la vérité d’être vécue. Mais pas par un désir, pas par une compréhension. C’est réellement sincèrement et concrètement par ta présence en ce qui t’est demandé. Et là, ça peut être des cours, des enseignements, mais ça serait exactement la même chose pour des chants ou même du commerce tout simplement, ou même je l’ai dit pour de la finance.
Les mots aujourd’hui, les connaissances, ne sont que des prétextes pour vous permettre de véhiculer, de manière inconsciente vous pourrez dire, la vérité. C’est ça la pandémie. Certains le réalisent de proche en proche dans leur famille. D’autres qui avaient une reconnaissance dans son pays ou internationale par rapport à quelque domaine que ce soit, vont vivre la même chose. Ils vont constater avec stupeur que, même en faisant un cours financier extrêmement matériel, ils vont transmettre la vérité.
La connaissance n’est plus que, je dirais, un alibi pour vous permettre de délivrer l’information silencieuse et véridique du temps zéro. Et c’est valable pour tout le monde, qui que vous rencontriez.
Que vous rencontrez une personne une fois par an ou que vous soyez appelés à animer des groupes, des rencontres ou avoir une famille nombreuse ou à rencontrer beaucoup de personnes quelles que soient les raisons qui ne deviennent que des prétextes. C’est comme ça qu’on s’installe de manière définitive dans la vérité. Pas en se jugeant, pas en cherchant à corriger quoi que ce soit de la personne, puisqu’en définitive, vous êtes aussi un rêve.
…Silence…
Et qu’il n’y a pas plus de toi que, tout à l’heure, d’accident vasculaire.
…Silence…
Alors bien sûr, il est beaucoup plus léger de vivre cela dans un premier temps que d‘être affecté par quelque chose qui va troubler votre conscience. Par exemple un conflit familial, un trouble physique quel qu’il soit, un conflit quel qu’il soit.
Mais bien évidemment il faut accepter que si vous avez des conflits, s’il vous semble avoir des choses à résoudre, c’est que c’est justement l’interrogation de la personne et le besoin d’action et de compréhension de la personne qui vous fait vivre la vérité. Pas à travers la réponse mais à travers la clarté que tout cela ne sert à rien.
Et c’est ce qui se déroule dans toutes les circonstances que vous avez à vivre, de toutes les façons possibles, avec un enfant, avec votre banquier, avec le marchand de fruits et légumes, avec des rencontres, avec des témoignages, simplement parce que vous êtes là.
Et même si vous, vous vous sentez mal, si vous avez vécu une minute le temps zéro, ça ne peut échouer. C’est-à-dire que là, vous ne transmettez plus votre rayonnement personnel de souffrance, de limitation, de questionnement, vous passez à travers tous les rayonnements physiques et subtils jusqu’au corps causal, et vous rayonnez la vérité.
C’est ce qui était nommé, au niveau du neuvième corps, le corps de rayonnement du Divin, qui n’est que le rayonnement de vous-même quand vous avez, non pas éliminé, mais transcendé l’histoire, le personnage.
Mais vous ne pouvez pas de moins en moins vous pourrez d’ailleurs, vous ne pourrez pas transcender le personnage ou votre histoire, en réfléchissant sur votre histoire ou en résolvant quoi que ce soit de votre personnage, mais bien plus en vous libérant de cela sans effort, en acceptant totalement l’intelligence de la Lumière qui débouche sur la fluidité, sur l’hyper-synchronicité et puis sur l’évidence.
Vous ne pourrez que constater que, quelles que soient vos interrogations du départ, quels que soient vos questionnements, quand cela se produit, vous êtes libres. Et c’est a postériori. Et tu t’aperçois que tout est parfaitement juste, même dans ce qui peut sembler, comme on l’a dit tout à l’heure, une punition ou je ne sais quoi.
C’était quoi la question déjà? Tu peux la répéter…
Sœur : Oui bien sûr. Les Hispano-Américains me remercient pour mes paroles…
Ah oui ça y est, oui. On a répondu.
Sœur : Oui, voilà.
Oui oui. Toi tu n’as pas besoin de comprendre. Mais ils vivent la vérité.
Parce que dès l’instant où tu as vécu le temps zéro, à l’insu de ta conscience, à l’insu de ton plein gré, quel que soit ce que tu utilises comme mot, comme technique, comme parole, comme connaissance, comme habitude, même si tu es dans la souffrance, les autres vont capter ton humanité et ta vérité au travers de la souffrance. Tu ne risques pas de leur transmettre la moindre souffrance, bien au contraire.
Et que c’est justement peut-être grâce à ce handicap que paradoxalement, tu as de plus en plus de liberté. Mais la vraie liberté. Pas la liberté extérieure.
Parce que bien évidemment, j’imagine que quand il y a un accident vasculaire, eh ben il y a des séquelles donc des paralysies, peu importe où. Et je peux même te dire que si, à un moment donné, tu arrives à faire fi, quand tu en auras suffisamment marre de t’occuper de ce corps, et de chercher une amélioration, la guérison viendra réellement à toi, si elle doit venir, si tu l’as décidé ainsi, non pas au sein de ta personne, mais avant de venir dans un corps.
…Silence…
L’acceptation, comme dit Abba et Tête de Caboche, c’est la clé, non pas vibrale mais la clé du vécu de la vérité. Et moins vous comprenez, plus vous êtes libres. Plus c’est le chaos dehors ou dans votre vie, plus vous êtes libres.
C’est pour ça que nous vous avons toujours dit que, au moment des évènements, quelle que soit la dureté de ce qui est à vivre pour chacun, il y a toujours cette liberté qui est là.
Et si tu laisses complètement de côté les jérémiades de la personne sur ses problèmes, si tu es véridique, tu vivras la Joie nue, instantanément. Encore une fois, ce n’est pas une punition. C’est un éclairage. Tout est éclairage, même au travers de la souffrance, pour vous conduire à la vérité que vous êtes.
…Silence…
De la même façon que toute la pédagogie qui a été mise en œuvre et écrite depuis longtemps était certainement les choses les plus adaptées, le vibral, la vibration, les canalisations, les cristaux, les baleines… Tout ce que vous vivez ne sont que des prétextes pour vous permettre de laisser libre votre personne, et ne de plus quelque part vous en occuper, dans une certaine mesure, et de relâcher toute identification à votre vie quelle qu’elle soit.
Vous êtes nombreux à avoir expérimenté, depuis quelque temps on va dire, des évènements qui surviennent dans votre corps, dans vos vies, afin de vous apprendre à vous positionner tout naturellement dans la vérité. Mais pour cela, il faut être lucide bien sûr, et ne pas dire quand vous avez une maladie ou un problème qu’il n’existe pas. Mais c’est ça qui vous permet de traverser l’illusion, en totalité aujourd’hui.
Il n’y a pas de meilleur emplacement que le vôtre, quoique vous en pensiez. Que ce soit votre âge, que ce soit votre condition physique, votre condition financière, affective ou autre. Et surtout quand vous ne comprenez pas et que vous renoncez à comprendre, là vous êtes tout de suite libres. Et véritablement libres.
Mais il faut oser.
Or c’est justement cet effet de balance qui n’est plus un tournicoti tournicota de l’ego ou un petit vélo qui tourne, mais simplement la juxtaposition et la traversée de l’éphémère par l‘éternité qui vous rend la vérité du Je éternel, comme a dit Abba.
Vous n’avez jamais bougé. Vous n’êtes jamais né, vous n’êtes jamais mort. C’est l’illusion qui passe, pas vous. Et il n’y a aucune circonstance de ce monde qui, pour chacun de vous, est un obstacle. Même si ça vous semble un obstacle, ça vient de la personne. Mais tout ce que vous vivez est bénédiction totale pour être libre.
La Lumière n’a que faire de votre conscience. La Lumière n’a que faire de votre La Lumière n’a que faire de votre confort puisque vous êtes la vérité. Et si vous manquez de confort, à quelque niveau que ce soit, c’est que c’est exactement ce qui était écrit, que c’est exactement ce que vous avez à traverser. Il y a aucune injustice, il y a aucune punition. Et il n’y a personne pour vous juger, si ce n’est vous-mêmes.
Mais quand vous vivez la vérité, vous ne pouvez pas juger votre personne. Vous l’acceptez comme quelque chose qui est là. Et ça vous rend de plus en plus léger, quelles que soient les limitations, quels que soient les manques à quelque niveau que ce soit. Ce sont justement ces limitations et ces manques qui vous permettent de vivre la vérité.
…Silence…
Et Frère K avait dit quand il était incarné que ce n’était pas vraiment…et encore c’était il y a presque un siècle…, déjà à l’époque il disait que ce n’était pas vraiment un signe de bonne santé que de se sentir bien dans cette société. Alors vous imaginez bien que si, en plus vous êtes limités d’une façon ou d’une autre dans quelque secteur que ce soit, ça peut vous paraître déroutant, ça peut vous paraître une punition. Mais ce n’est rien de tout ça. Voyez-le vous-même. Qu’en l’acceptant. C’est ça aussi l’humilité. Et c’est comme ça que vous êtes les plus efficaces.
Peu importe que vous parliez de cristaux, de cailloux, que vous viviez les rencontres avec les cétacés, ou tout autre discours dans n’importe quel domaine que ce soit. Soyez spontanés. Mais être spontanés, c’est aussi accepter tout ce qui vous est donné et tout ce qui se présente à vous. Et là en l’occurrence, d’aller en Sud-Amérique maintenant, ça va te permettre de constater la différence phénoménale qui peut exister entre l’Europe et les autres continents. Parce que l’Europe est vraiment le continent qui est le plus enfermé, pour différentes raisons.
Mais c’est au sein de l’enfermement comme dirait Tête de Caboche, que se produit – comment il a appelé ça ? – la résilience. C’est au plus profond que tu ne peux que remonter pour certains. Non pas en luttant contre ce profond, mais en l’accueillant, ce qui n’empêche pas de traiter. Mais ça traduit une posture dans le jeu de la conscience qui est beaucoup plus efficace dans l’acceptation que dans le besoin de comprendre ou de dire que c’est une punition ou quelque chose qui te bloque. Ce n’est pas vrai. Ça bloque ta personne mais ça libère la vérité.
Si vous commencez à penser comme ça, et même à croire cela, vous ne pouvez que le vivre. Alors que si vous entrez en résistance et je dirais même en interrogation un peu trop importante, vous allez déclencher le feu par friction. Et vous vous limiterez vous-mêmes dans le vécu de la Joie. Et dans les cas extrêmes, vous aurez l’impression de ne plus être en joie.
Et pourtant tu as les témoignages par tes sud-américains qui te remercient pour tes paroles. Si c’était énergétique, ils ressentiraient ton malaise, ton mal-être physique ou mental. Or ce n’est pas du tout ce qu’ils perçoivent. Il y a effectivement un découplage, entre votre aura – émanation personnelle liée au corps physique, au corps éthérique, au corps astral, au corps mental, au corps causal -, et la vérité que vous manifestez, même sans le vivre, c’est ça qui est paradoxal…
C’est-à-dire que vous pouvez même ouvrir un frère ou une sœur au temps zéro, même sans le vivre.
Dès l’instant où vous êtes spontané, dès l’instant où vous êtes vrai, dès l’instant où vous êtes dans l’instant présent, vous ne pouvez que constater que la liberté est là, même si vous ne l’avez jamais vécue, et même si vous ne savez pas ce que cela représente et ce que cela est. Mais toutes les circonstances de vos vies, à quelque niveau que ce soit, vous conduisent inexorablement à cette évidence, à cette acceptation.
…Silence…
As-tu d’autres questions écrites ?
Sœur : Non, aucune autre question.
Alors tu vas retranscrire oralement les questions orales qui vont être posées.
Sœur : D’accord.
Frère : Je voudrai faire un témoignage.
Ah c’est très bien. Un témoignage, peut-être il faut que tu viennes à côté de moi et de mettre dans mon aura, à côté de celle qui retranscrit les questions, de façon à ce qu’elle n’est pas obligée de répéter les questions phrase par phrase. Ça sera plus fluide je pense pour tout le monde. Donc, déplace-toi. Viens te placer dans notre aura de manière à ce que je t’entende.
Sœur : Ça y est.
Frère : Bonjour OMA.
Bonjour.
Frère : Je voudrais rendre grâce à ta présence et te faire le témoignage de ce que j’ai vécu, il y a une trentaine d’années comme étant des phénomènes énergétiques qui ont duré pendant près de vingt-cinq années. Donc ces phénomènes énergétiques, je les vivais pendant mon sommeil, après l’endormissement. Et généralement, je les vivais une heure et demi après avoir été endormi. Pendant, on peut dire ces crises que je vivais dans le sommeil, il y avait comme des vagues d’énergie très douloureuses qui montaient en intensité et qui étaient et qui me comprimaient totalement la tête et je n’arrivais pas à me réveiller en fait. J’étais conscient de ce que je vivais mais je n’arrivais à me réveiller parce qu’en fait, j’étais totalement paralysé.
Et ce n’est qu’au bout de quelques secondes que j’arrivais à reprendre conscience et à me réveiller, en fait. C’est comme ça que je me libérais de ces crises. Et ces crises, en fait, je les vivais généralement trois à quatre fois par mois, des fois ça allait jusqu’à une dizaine de fois par mois et des fois pendant la nuit, j’en faisais trois, quatre même. Aujourd’hui, je suis totalement libéré de ça mais j’éprouve le besoin d’en parler, parce que j’en ai parlé à très peu de personnes, une ou deux, tout au plus. Donc, en fait, je n’ai jamais compris ce que j’ai vécu.
Bon, c’est très simple. Même si l’explication ne sert plus à rien. Voilà de nombreuses années, Bidi vous avait présenté les différentes consciences. Il avait dit, il avait écrit d’ailleurs aussi que, quand vous dormez vous êtes dans la vérité parce qu’il n’y a plus de conscience et que la conscience, si on peut dire du sommeil ou du rêve, était Turiya. Qu’est-ce que ça veut dire ces processus énergétiques qui t’ont perturbé, si je comprends bien durant vingt-cinq ans? C’était simplement l’opposition de ta personne à ce vécu mais tu n’avais aucun moyen de le comprendre, aucun moyen de le résoudre. Mais dès qu’il y a eu une acceptation en toi, globale, tu en as été libéré. Alors, bien sûr, que l’on pourrait dire que de sentir quelque chose qui est très violent pendant le sommeil est de l’ordre d’une pathologie.
Et d’ailleurs c’est vécu comme ça par le personnage, mais après, qu’est-ce que tu peux constater? Dès que tu es dans la vérité, dès que tu vis une couronne, par le feu igné, par le feu vibrale simplement, par l’onde de vie ou par le silence ou par le canal marial, à ce moment-là, la vérité est présente en toi. Il reste à la manifester. Mais la manifester ne peut pas être issu de ton personnage ni de ta volonté. Mais est issu de ta propre disparition à toi-même en tant que personnage, histoire et scénario. C’est qui se produit chaque nuit. Et si tu regardes les années où ça du commencer, c’est très simple à repérer. Pour les premiers d’entre vous c’était autour de l’année 1984. À toi de te rappeler si ça commencé à ce moment-là.
Mais si ça commencé, puisque tu dis, ça duré vingt-cinq ans, effectivement, on va retomber sur les années d’aujourd’hui. Tu vois? Même si effectivement il y a trente-quatre ans que l’information, par le biais de l’esprit saint, du rayonnement de Sirius, de la Source, du rayonnement solaire mais aussi du rayonnement de ce qui était le noyau cristallin de la terre qui a permis de vivre l’onde de vie et la libération de la terre. Donc, ça c’est présent depuis de nombreuses années. Mais tous ceux qui ont été affectés par des troubles particuliers à partir des années 84, je parle des troubles particuliers qui touchent aussi bien le corps, le sommeil, que les évènements de votre vie. Aujourd’hui à posteriori, si vous êtes foncièrement honnêtes, c’est grâce à tout ça, que vous aviez écrit et que vous avez vécu, que la vérité se révèle.
Ça créé, si je peux dire, pour nombre d’entre vous cette espèce de chose dont parlait Hildegarde de Bingen, voilà de nombreuses années sur l’abandon à la lumière, comme Anaël. Mais aussi sur cette notion d’acceptation de tout ce qui se produit sur l’écran de votre conscience, sur l’écran de votre corps et sur l’écran de toutes les activités au sein éphémère.
Autre question.
Voix : Il n’y en a pas d’autre pour l’instant.
On va attendre qu’elles sortent. Il y a toujours des questions qui sortent. Ne vous limitez pas, je l’ai déjà dit même si ça vous semble farfelu, ça peut toujours servir à des frères et sœurs qui écoutent, parce que vous êtes de plus en plus nombreux à le vivre. Mais à tomber aussi sur ce que vous dit Abba, sur ce que nous vous disons et sur ce que vous dit la vie, la vôtre. Tout ce que vous vivez, sans aucune exception, n’a qu’une seule finalité, c’est de vous faire vivre ce que vous êtes en vérité, c’est-à-dire la liberté, sans aucune exception. Eh bien, vous n’êtes pas trop bavards dans cette rencontre, là. Ou alors, vous êtes bavards entre vous mais pas avec nous. Moi, j’ai encore tout mon temps et votre présence silencieuse et la mienne délivrent aussi l’information du temps Zéro et de la joie, pendant que vous ne parlez pas.
Mais ce n’est pas une méditation. C’est pour ça que je vous invite à laisser les questions qui émergent dans votre mental, dans votre tête, dans votre conscience à se poser librement.
Mais ils vont tous s’endormir, si ça continue.
Voix : Non, ils ne dorment pas.
Ah, d’accord. Une question?
Voix : Oui, je crois qu’il y a une question.
Parfait.
Voix : Il y a beaucoup de manifestations qui se manifestent en ce moment. S’il y a beaucoup de manifestations, en fait, en ce moment, qu’est-ce que ça peut être?
Tu parles de quoi? De manifestations intérieures ou ce qui se passe sur l’écran du monde?
Voix : De tout ce qui se passe, catastrophes, si je peux dire.
Mais on vous l’a dit, c’est le chaos total. C’est l’extinction totale de ce que vous nommez la vie sur terre et la vie dans la création, dans le rêve de partout. Qu’est-ce que tu veux que ça signifie? Que la découverte et le vécu de la vérité que tu n’as jamais été le moindre monde, que tu n’as jamais été la moindre personne, que tout ça est une rêve, un cauchemar. C’est la seule signification. Nous vous l’avons toujours dit. Le chaos du monde, a non seulement atteint bien évidemment un point de non-retour, mais le spectacle où que vous regardiez, a commencé. Alors, la personne appelle ça la fin des temps, la fin du monde, les scientifiques parlent d’extinction globale, le basculement des pôles, de visibilité de Nibiru, peu importe les mots, peu importe ce qui se déroule sur l’écran de votre conscience ou de votre monde.
C’est comme ça que tu te découvres nu et véritable. Nous vous l’avons dit. Plus le chaos du monde va grandir, plus le chaos de votre vie personnelle nécessairement à un moment donné. Quand vous n’aurez plus vos joujoux pour communiquer, quand vous ne pourrez plus vous chauffez en allumant sur un bouton, quand vous n’aurez plus quoi que ce soit pour mettre dans votre assiette, vous serez libres. Paradoxalement, oui, pour la personne mais c’est la vérité. Nous vous l’avons toujours dit et nous ne vous l’avons jamais caché. Alors, qu’est-ce que ça veut dire ce qui se passe? Du point de vue de la personne, c’est la fin du monde. Ce n’est même pas seulement la fin des temps ou du temps, c’est la fin de l’espace, c’est la fin du rêve de la création.
Et c’est la fin, comme dirait Bidi ou Abba, de la maladie de la conscience. Tout simplement. Et plus c’est dur en ce que vous voyez comme information, et plus ce sera dur en ce que vous allez avoir à vivre, plus vous allez vous sentir libre. Parce que vous ne serez plus tenus, et je crois qu’il y a eu un satsang d’Abba qui était très clair là-dessus. C’est la société elle-même et son organisation, le rêve commun. Dans ce rêve commun vous avez rêvé la société qui n’est et qui ne peut se terminer, comme vous le vivez dans certains pays et indépendamment des événements climatiques, par une forme de dictature et de privation de liberté totale. C’est en train de se généraliser. C’est l’asservissement à son degré le plus fort et le plus violent que vous vivez sur la terre.
Mais simplement, comme je prenais l’expression, à l’époque il y a de très nombreuses années, si vous mettez une grenouille dans de l’eau bouillante, elle saute tout de suite hors de l’eau. Mais par contre, si vous faites chauffer l’eau lentement, elle ne va pas se rendre compte qu’elle est en train de mourir et d’être ébouillantée et elle sera libre. C’est exactement ce que vous vivez. Vous avez des frères et des sœurs qui ont senti venir ces événements déjà depuis longtemps et qui ont fait ce travail d’épuration et de traversée. Et vous avez des frères et des sœurs qui ne se rendent pas compte parce qu’ils ne sont pas nécessairement dans le déni, si vous ne regardez pas les informations, si vous ne percevez pas ce qui se vit en vous au niveau vibratoire, vous ne pouvez être qu’ignorants.
Et si vous êtes ignorants, vous le vivez quand même. Mais tous ceux qui vivent les vibrations ou qui s’intéressent aux nouvelles, des volcans, de la terre et tout ce qui se passe de partout, vous ne pouvez qu’acquiescer que c’est la fin. La vraie fin de quelque chose qui n’a jamais commencé, c’est merveilleux! Mais pour la personne, oui, c’est la fin. La fin du rêve d’individualité, la fin de toutes les projections, la fin de tous les rêves et de toutes les illusions. Et c’est la liberté. Mais ça se passe ici sur ce monde, au travers de ce corps et au travers de tous les instants de vos vies pour chacun. Donc, qu’est-ce qui va se passer? Rien de plus que ce que nous avons toujours dit. Simplement, maintenant comme tu dis les signes sont de plus en plus apparents sauf pour celui qui ne lit rien.
Mais lui, il n’est pas encore dans le déni. Il est dans l’ignorance, la véritable ignorance. Mais rappelez-vous aussi que ceux qui sont ignorants aujourd’hui, c’est donc les derniers. Ils seront les premiers, parce que eux, entre guillemets, ils n’avaient rien à épurer et rien à transcender. Ce sont des frères et des sœurs qui, peut-être, vivent une vie fort simple, très dans leur petite vie mais qui sont bons naturellement. Ceux-là, ils n’ont pas besoin de passer par tous les stades que peut-être ici vous avez vécus, de la supraconscience, des vibrations, des étoiles et des portes. Ils sont tellement insérés dans l’instant présent, qu’ils n’ont pas besoin d’histoire, qu’ils n’ont pas besoin de préalable. Et effectivement, comme nous l’avons toujours dit, ces frères et ces sœurs comme les enfants d’ailleurs, s’ouvriront, si je peux dire, comme des fleurs.
Ne vous occupez pas des enfants, occupez-vous de vous. Les enfants sont spontanément prêts jusqu’à 14 ans pour vivre la vérité. Donc, oui, chaque jour qui va se dérouler et comme je l’ai dit lors de ma dernière intervention, les cétacés ont décrété que du 2 au 18 juillet, le rêve allait se déstructurer de façon de plus en plus claire. C’est exactement ce que vous voyez. C’est en ce moment, ce n’est pas demain. Tout ça a été acté, il vous reste à le traverser. Et vous allez constater aussi, que si vous êtes honnêtes, vous vivrez avec encore plus d’intensité chaque moment au sein du rêve. Le rêve devient de plus en plus intense et aussi de plus en plus lucide si ça doit vous ébranler, par rapport à vos familles, vos enfants, votre maison.
Et quand ça va se produire pour vous, vous constaterez que quel que soit le choc initial, si je peux dire, tout de suite derrière, il y a la liberté. Parce que vous n’êtes plus prisonniers des concepts, des croyances, des règles sociétales, morales, affectives. Vous serez totalement libres. C’est la société, l’organisation de la société, l’organisation de ce que vous nommez famille, qui est enfermante. C’est-à-dire que l’enfermement des archontes a permis la révélation mais c’est accompagné, comme nous vous l’avons toujours dit sur cette terre, d’un certain nombre de cycles de plus en plus pénible à vivre, parce que de plus en plus enfermant et limitant. C’est exactement, ce que vous êtes en train de vivre dans d’innombrables pays sur la terre où ce qui est nommé liberté individuelle, n’existe plus.
On essaie de vous diriger de plus en plus vers cette forme de dictature du comportement de la pensée, de vos faits et gestes. Mais ce n’est pas grave, au contraire puisque même cela va concourir, non pas à la révolte ou à la révolution, mais à vivre la vérité. Parce que, que vous le vouliez ou non, quand nous sommes incarnés, indépendamment d’être les uns dans les autres, nous sommes inter reliés au travers de Gaïa, au travers de la ionosphère, au travers de l’enfermement. Nous sommes les uns dans les autres. Eh bien sûr, ce qui se déroule de manière collective sur la terre, impacte toute la civilisation humaine incarnée et toutes les consciences incarnées mais pas seulement, nous aussi qui sommes dans vos cieux de partout, encore invisibles un peu, mais bientôt visibles, au moment de l’événement.
Vous ne verrez plus le ciel. Vous verrez que des vaisseaux. Et plus ça ira mal, plus vous verrez que des vaisseaux. Et là, bien évidemment, la résilience sera à l’œuvre en chacun de vous et vous ne pourrez que rire de ce rêve fatidique de la création. Vous ne pourrez que rire même de votre propre conscience, de toutes vos expériences. La vérité sera pleinement vécue au moment de l’événement quelle que soit sa nature. Nous l’avons toujours dit. Mais comme l’anomalie primaire n’est plus là, durant l’événement vous vivrez tous, sans exception, même si c’est dur au début, le temps Zéro. Plus personne ne sera dupe de ce corps, de ce monde comme de tout monde, comme de toutes entités. Ce n’est que vous. Nisargadatta l’avait déjà dit.
Aujourd’hui, vous êtes de plus en plus nombreux à le vivre et nous aussi parmi les anciens, les étoiles ou même l’ensemble de la Confédération intergalactique. Si vous acceptez le chaos, que ce soit le vôtre personnellement, que ce soit celui de votre pays, de votre région, de votre famille, plus vous allez rire. Et ce n’est pas une blague. C’est la vérité. Rire de vous-mêmes, rire de la souffrance, rire du rêve, rire de vos propres interrogations, de vos propres limitations, que ça soient celles du corps inhérentes à la présence de ce corps, ou celles que vous vous êtes imposées même sans vous en rendre compte. C’est la même chose.
Voix : Il y a une sœur qui veut, un témoignage? Un témoignage.
Alors, on écoute. Si c’est un témoignage, il faut venir au plus près dans notre aura pour que ça puisse être entendu. Parle au micro et parle-nous.
Sœur : Bonjour. Alors, je ne sais pas si c’est vraiment une question ou vraiment un témoignage. Je pense que c’est plutôt un témoignage. Donc, j’ai vécu un truc ce matin et je veux le partager parce que peut-être ça résonnera dans d’autre. Je me suis mise dans une situation, que j’ai déjà vécue un nombre de fois incalculable où je suis tombée dans des impasses successives.
Dans des?
Sœur : Impasses.
D’accord.
Sœur : C’est-à-dire que je suis partie chercher un chemin et que ces chemins, les uns derrière les autres, m’ont amené dans des impasses. Et au bout de la troisième impasse, je me suis dit, mais, voilà, comme je me sentais très flasque et très fatiguée, j’ai vu cette situation et j’ai dit : mais, c’est pas possible, qu’est-ce que ça veut dire encore ce truc? Donc, je me suis dit, soit je m’écroule là tout de suite et je sentais bien que ce n’était pas la solution et puis de toute façon, ça ne se passait pas puisque je tenais toujours sur mes deux jambes. Et j’ai dit : bon, je vais trouver un autre chemin. Et en revenant sur mes pas, c’est une situation que j’ai déjà vécue de nombreuses fois, c’est-à-dire, refaire le chemin à l’envers.
Au fur et à mesure de mon cheminement, je me suis finalement rendue compte de la situation dans laquelle je me suis mise et, je ne sais plus comment je voulais dire ça mais. En fait, le truc, c’est que je me suis rendue compte que j’étais partie comme ça, d’une manière sans réfléchir, un peu brusquement, et sans prendre de précautions, enfin bref, je n’avais pas d’adresse, je ne savais pas où j’allais, et finalement la conclusion c’est ce que je pourrais dire, c’est que je ne peux pas me perdre. Voilà, c’est ça que je voulais dire. C’est que même si j’ai l’impression d’être perdue, eh bien, j’ai retrouvé mon chemin et que après je me suis allongée sur un banc pour que tout ça se repose et que je me suis dit : bien, ce n’est pas grave, c’est un peu comme si je me posais je ne sais pas où, dans une confiance invisible.
Et que finalement, j’ai retrouvé mon chemin et que j’avais retrouvé ma paix. Et que, la conclusion c’est que, quoiqu’il arrive, on ne peut pas se perdre même si les apparences, on a l’impression que l’on est perdu. Eh bien, au fond de moi, il y avait quelque chose qui a fait que je ne me suis, je n’étais pas perdue. Je ne sais comment je peux m’expliquer …
Je comprends tout à fait. C’est comme on disait tout à l’heure, pour les deux parties de la balance sur les questions qu’on a eues au tout début concernant les accidents vasculaires et les rencontres ou voyages. C’est la même chose. C’est-à-dire que tu exprimes clairement que ça t’es arrivé plein de fois, mais que quelque part caché là, en toi, il y a la vérité. Tu ne peux pas te perdre. Mais que toutes les fois où tu t’es trouvée dans une impasse, même si ça énervait le personnage, n’ont été que des façons, là aussi, de te stabiliser dans l’immuable, dans la vérité. Et à un moment donné, tu riras de toi-même. Tu n’auras pas seulement la perception que tu ne peux pas te perdre, qui est réelle, mais tu riras de ton propre personnage.
Et rappelle-toi que tu as choisi le corps, la vie, la forme que tu vis aujourd’hui comme meilleure opportunité de te retrouver. Même sans savoir ce que c’était en descendant dans l’incarnation. Donc, oui, je te remercie pour ton témoignage parce que comme je disais même si ce n’était pas seulement le fait de se perdre mais une souffrance corporelle ou mentale, ça aboutit toujours au même résultat. L’émergence est le vécu de la vérité. Rappelle-toi, tout n’est que prétexte pour vivre la vérité. Il n’y a aucune punition. Il n’y a aucun jugement. Mais c’est le jugement que tu mets sur toi-même dans les moments où tu te poses des questions, dans les moments où tu doutes, dans les moments où tu t’interroges simplement.
Mais, je te rappelle que c’est justement grâce à cela, qui est désagréable pour la personne, que se trouve la vérité. C’est comme ça que t’est imposé parce que tu es en vérité l’intelligence de la lumière, que tu as écrit toi-même et surtout quand tu dis ce n’est pas juste, c’est injuste, et je n’ai jamais décidé ça, tu peux être sûre que c’est ton personnage qui s’exprime. Mais peu importe. Parce que, en même temps de manière de plus en plus immédiate, vous constatez que du simulacre vous passez au sacré. Parce que tout est là en même temps. Et chaque frère, chaque sœur, est à sa très juste place quoi qu’il en pense et quoi qu’il en dise. Mais simplement, vous constatez tous, que certains choix, certaines décisions, certaines actions, certaines pensées vous amènent à la vérité, à la liberté.
Et que d’autres vous font apparaître que ça vous éloigne de la vérité. Mais c’est comme ça que joue, si je peux dire, l’interaction entre la conscience ordinaire, la supraconscience et l’absolu ou la non-conscience ou la a-conscience.
Voix : Notre sœur vous remercie.
Comment?
Voix : Notre sœur vous remercie.
Merci à toi.
Voix : Il y a des grands vaisseaux partout, beaucoup de vaisseaux autour du soleil. Est-ce que ces vaisseaux-là sont prêts, ils peuvent nous accueillir. Est-ce que l’humanité est prête à les accueillir?
Alors ça, on n’en a rien à faire. Que vous soyez prêts ou pas maintenant. Vous avez déclenché, et enclenché avec Abba, la vérité et rien ne pourra l’arrêter. Vous le voyez. Tout progresse chaque jour. Et je rappelle aussi que la sidération, le choc de la conscience de ceux qui vont être très surpris, participent à la libération. Donc, il n’y a pas à être prêt ou pas prêt. Ce qui est prêt, c’est la personne. La vérité n’a pas à être prête. Vous l’avez vécu pour un certain nombre. Elle ne demande qu’à s’étaler, à se révéler au grand jour. Donc, il n’y a pas à être prêt ou pas prêt. Prêt ou pas prêt, ça concerne toujours le personnage. La vérité, elle a toujours été là. Et aujourd’hui, vous êtes prêts pour la vérité pas pour votre personnage. On n’en a rien à faire de ça.
Et plus vous serez dans le chaos, de quelle que nature qu’il soit, plus vous rirez. Alors que vous pensez que tout ce, dans les gouvernements, parmi les scientifiques, les astrophysiciens, les élites comme ils vous disent, qui eux connaissent pertinemment ce qui va se produire. Vous croyez qu’ils vont être dans la paix au moment de l’événement même s’ils vont s’enterrer sous terre? Non. Ils vivront la terreur totale. Mais c’est grâce à cette terreur totale que le feu par friction consume tout. C’est au travers du vécu au sein de l’éphémère, dans ce sac de viande et dans l’ensemble de la terre que vous rirez de vous. Nous vous l’avons aussi toujours dit. Alors, les vaisseaux, pourquoi il y avait les vaisseaux? Ils ne sont pas seulement autour du soleil maintenant.
Il y en a d’autres qui arrivent mais nous sommes en vous et de plus en plus présents dans le ciel de la terre. Et au moment de l’événement, nous nous démasquerons tous, extérieurement et intérieurement. C’est là que vous verrez, pour ceux qui ne l’ont pas encore vécu, que vous êtes tout seul et qu’il n’y a personne. Et que tout en définitive, dans le rêve, dans l’illusion, n’a été qu’un prétexte pour achever ce cauchemar, ce rêve ou cette maladie. Mais, il y a une telle adhésion dans la conscience à la forme, que bien évidemment vous avez beaucoup de frères et sœurs engagés dans les visions, engagés dans la nouvelle terre, qui vont être terrorisés et il faut qu’ils soient terrorisés quand le ciel va leur tomber sur la tête.
Parce que c’est la seule façon de les choquer au niveau de la conscience et de libérer leur cœur, mais eux aussi l’avaient choisi. Comme disait Abba : laissez les rêveurs rêver. Occupez-vous de vos fesses, moi je dis depuis toujours. Si vous vous occupez de vos fesses, vous vous occupez de toutes les fesses. (Rires) C’est simple pourtant. Vous ramenez tout à vous, non pas à l’égo. Mais vous ramenez tout au cœur du cœur, en la vérité.
Autre question ou témoignage ou chose à dire.
Voix : Moi, j’ai une question. Il n’y a que la conscience qui bloque la lumière?
Non. Surtout les habitudes. Surtout l’habitude à expérimenter la forme, la pseudo individualité. Eh bien évidemment, toutes les croyances de ceux qui sentent les énergies, qui les vivent et qui sont encore inscrits dans des choses complètement farfelues, comme la réincarnation ou la nouvelle terre ou l’accès à d’autres dimensions. Abba a décrété, parce que c’était écrit la fin du rêve de la création. Nous l’avons vécu, nous, dans nos vaisseaux. Nous savons que c’est la vérité. Donc, ce qui est le plus gênant, c’est, un : les habitudes, parce qu’elles vous empêchent de voir clair, toutes les habitudes sans aucune exception. Et deux : ceux qui maintiennent les besoins de la conscience et qui s’opposent même à l’absolu et à la vérité. Mais eux aussi seront consumés.
Tout sera consumé. Demandez à tête de caboche ce que lui a fait vivre Anaël, avant les noces célestes. C’est le paradis blanc pour tous. C’est la vérité pour toute la création, pour tous les rêves. Et d’ailleurs si vous êtes légers par rapport à cela, aujourd’hui, vous ne devriez pas être préoccupés par le chaos du monde, je l’ai dit. Mais par profiter de la vie. Que vous ayez peu de temps ou beaucoup de temps, ne change rien à l’affaire. Utilisez chaque minute de temps qu’il vous est offert pour être dans la nature, pour vous poser, pour accueillir, sans vous poser de question. La lumière ne demande que ça, c’est ce que vous êtes. Vous réveillez. Et toutes les façons sont bonnes pour vous réveiller. Mais bien sûr, aujourd’hui, il faut être ignorant ou ne pas vouloir voir ou ne pas s’intéresser à ce qui se déroule sur la terre.
Pour ne pas comprendre aisément que c’est un processus d’extinction totale. Mais l’extinction de quoi? Du rêve, de ce qui passe, de votre monde, de votre personne, de vos maris, de vos enfants qui ne font que passer. Rien ne vous appartient en propre, vous êtes chacun et vous êtes tous.
Autres questions ou témoignages.
…Silence…
Voix : Une question? Alors il y a une question.
Frère : Est-ce le repli de la conscience en l’Absolu…
Voix : Est-ce que le repli de la conscience et de l’Absolu… en l’Absolu… On recommence. Est-ce que le repli de la conscience en l’Absolu…
Il n’y a pas de repli de conscience dans l’Absolu, il y a annihilation de la conscience, qui est une maladie. L’Absolu est l’absolu, il n’a pas besoin de conscience puisqu’il a été nommé la a-conscience. Mais bref, poursuit.
Frère : Oui mais le repli de la conscience.
Voix : Mais le repli de la conscience… à la fin du rêve de la création…
Oui.
Frère : Y aura-t-il une possibilité de nouveaux rêves, sans projections, théoriquement parlant.
Voix : Est-ce qu’il y aura la possibilité d’un nouveau rêve sans projection, quel qu’il soit.
Mais tout rêve est une projection. Toute conscience est une maladie. La vie est apparue spontanément.
Frère : Ma question est plutôt de savoir si la vie pouvait réapparaître spontanément?
Sœur : À partir de l’Absolu.
Voix : Voilà. À partir de l’Absolu, est-ce que la vie pourrait réapparaître?
Mais non. C’est impossible, tout a été écrit au moment initial qui n’est rien d’autre que le moment final. Et qui voudrait, en vivant la vérité, puisque vous la vivrez toute, au moment de l’événement, et nous avec vous, voudrait encore avoir envie de rêver. Puisqu’il n’y aura plus de possibilité d’ignorer la vérité. C’est impossible. Même les rêveurs les plus acharnés, les plus malades de la conscience cesseront leurs jeux.
Encore une fois, comme l’a dit Abba, vous ne pouvez que vous reconnaître. Et quand vous vous êtes reconnus, il n’y a plus aucun espace pour le rêve de la conscience, pour la maladie de la conscience. Rappelez-vous que tout s’est déroulé en ce que vous pourriez nommer un instant initial et final, sans aucune différence de temps et sans aucune distance.
Donc, réellement oui, vous achevez le mythe de la Création. L’Alpha a rejoint l’Oméga, l’Oméga a rejoint l’Alpha, il n’y a pas plus d’Oméga que d’Alpha. La fin du rêve est une réjouissance totale. Même pour ceux qui, aujourd’hui, sont encore dans le refus violent de l’Absolu à travers des discours, des visions. Ils ne peuvent pas être libres, mais même eux, concourent à la liberté par le feu, par friction, par leur opposition de leurs consciences.
Il est impossible d’échapper à l’événement. Et d’ailleurs, même celui qui le redoute ou qui ne le comprend pas ou qui le nie, ne pourra que se retrouver. C’est des retrouvailles. Ça n’a jamais existé. L’exemple du rêve quand vous vous réveillez le matin, même si le rêve a été symbolique, a été fort et vous a donné le sentiment réel d’être, d’avoir été vécu et traversé. Il s’efface tout simplement, même s’il laisse des marques au fur et à mesure de votre journée, heureusement.
Eh bien, ça été dit, la fin des mondes, la fin des rêves des créations aboutit à la liberté. Et personne ne peut refuser la liberté. Mais cette liberté n’est pas d’aller et venir, c’est la liberté vis-à-vis de la forme et la liberté totale vis-à-vis de la conscience. Mais il n’y a rien à reproduire puisque tout s’est reproduit dans le même temps et que tout a été rêvé à satiété, en totalité et vraiment. Pas seulement en ce monde, mais depuis toujours et de partout.
Sœur : Pourquoi, à mon savoir, seulement tête de caboche… comment vous appelez ça… Pourquoi à mon savoir, seulement tête de caboche parle de ça, alors que personne n’en parle? Pourquoi? Personne n’en parle, le monde est endormi ou quoi?
Voix : Pourquoi tête de caboche… pas seulement tête de caboche en parle?
Tous : Non. (Rires)
Voix : Quand vous me redites les choses moi c’est… Oui. Pourquoi seulement tête de caboche en parle?
Comment ça?
Voix : Tête de caboche.
Oui mais pourquoi? Il serait seul à en parler? Mais non, mais tous ceux qui vivent la vérité le savent et le vivent. Ils ne peuvent plus se projeter dans un monde futur ou dans une forme ou dans une dimension. Tout simplement. Interroge autour de toi, les frères et les sœurs qui vivent la vérité. Qu’est-ce qu’elle continue à parler? Je n’entends rien.
Voix : Non, non…
Sœur : Ni en France, ni dans aucun pays on entend ça.
Voix : Ni en France, ni dans aucun pays on entend ça.
Mais, parce que tous ceux qui sont dans la spiritualité et dans le rêve, poursuivent le rêve. Mais tous ceux qui le vivent, vraiment, ils le vivent. Et ne sont pas tous sur le devant de la scène à vouloir en parler. Parce que tout le monde n’est pas fait pour exprimer cela. Il faut être incassable, comme tête de caboche, pour encaisser toutes les agressions subtiles, causales de tous les spiritualeux et les rêveurs.
Mais c’est vécu par des millions de frères et de sœurs. Bien sûr. Et j’ai le souvenir d’ailleurs, lors de mon retour au travers Abba au Québec, de frères et de sœurs qui vivent bien sûr cet Absolu. Et qui pourtant, ont visité les dimensions, ont pénétré les vaisseaux de la Flotte Mariale. Mais ils ne sont pas dupes. Ils savent que la seule solution aujourd’hui c’est l’instant présent. Il n’y a pas d’autres voies de sortie.
Eh bien évidemment, tous ceux qui font du commerce, du business avec la spiritualité, avec la conscience ne s’arrêteront jamais. C’est eux les plus dangereux. Ce n’est pas ceux qui vivent la vérité. Parce que tous ceux-là sont encore dans le rêve de la conscience, dans le rêve d’une autre dimension et surtout, parce que tant que vous êtes dans la spiritualité, qui est une escroquerie, vous ne pouvez pas être libres.
Seuls ceux qui ont vécu Agapè sont libres, totalement. Mais ils ne sont pas toujours en position de parler comme le fait Abba. Eh bien sûr que Abba est le seul à en parler et à le vivre. Mais vous êtes innombrables à le vivre. Mais rendez vous compte que si vous n’êtes pas incassables et que vous preniez un micro et que vous annoncez cette vérité à ceux qui sont dans le rêve de la conscience, mais vous seriez balayé par leur agressivité, par leur déni, par leur puissance vibratoire. Donc, oui bien sûr, l’important pour vous c’est de ne pas en parler, je l’ai dit tout à l’heure à la première question, c’est d’être véritable. Et ça se passe au travers de vous.
Mais tous ceux qui sont aujourd’hui, demeurés dans l’enseignement spirituel de quelque nature que ce soit, vont recevoir la fessée cosmique. C’est évident. Ils refusent la vérité, ils refusent Agapè. Et celui qui est en Agapè sait très bien. Vous avez d’innombrables frères et sœurs qui sont morts, qui ont témoigné. Tête de caboche en a beaucoup parlé. Mais vous ne les trouverez certainement pas chez ceux qui sont connus dans la spiritualité, qui ne sont que des escrocs.
Parce qu’ils ne vivent pas la vérité. Mais il faut leur pardonner. Ils ne savent pas ce qu’ils disent. Et tant que vous n’avez pas vécu la vérité, vous êtes entrainés vers des chimères. Regardez, tête de caboche, vous a donné d’innombrables exemples, d’innombrables citations, mais vous avez aussi les Étoiles, Ma Ananda Moyi vous l’a parfaitement exprimé, le Christ l’a dit. Les Anciens non, parce que nous n’avions pas accès à cela. Mais toutes les Étoiles vous l’ont dit. Bidi vous l’assène depuis des années.
Mais bien évidemment, ceux qui sont dans le rêve ne veulent pas arrêter de rêver. Surtout s’ils en tirent des profits énergétiques et financiers. Mais tout ça devra être restitué. Tous ceux qui se nourrissent en se faisant admirer pour leurs écrits, pour leurs rencontres, pour tout ce qui touche à la spiritualité devront payer, au sein de la personne beaucoup plus que celui qui n’est au courant de rien. Bien sûr que tous les enseignants spirituels, ne sont là que pour entretenir l’escroquerie du karma, des religions, de la spiritualité et encore pire, de la conscience.
Et plus vous allez avancer dans le chaos, plus vous serez libres, si vous l’acceptez. Mais plus vous allez voir les spiritualeux montés sur leurs grands chevaux et défendre bec et ongle leurs positions de conscience bien plus que les Archontes. C’est eux les Archontes, c’est eux les guignols aujourd’hui. Tous ceux qui vous vendent des choses qui vous entraînent en dehors de la vérité. Et, il sera beaucoup plus difficile à un riche de passer par le chas d’une aiguille et de pénétrer au ciel. Si vous êtes riches de vos connaissances, vous êtes imbus de votre personne, de votre personnage et de votre histoire. Vous croyez avoir un rôle, une fonction, une mission de sauver les autres, bien sûr.
Il n’y a pas de sauveur, il n’y a pas d’enseignant dans la vérité, il n’y a que la vérité. Et tous ces êtres-là vont recevoir la fessée cosmique oui, c’est la vérité. Ils maintiennent le rêve de la conscience, ils maintiennent la prédation énergétique en se présentant comme des agneaux. Vous l’avez pour toutes les institutions religieuses, vous l’avez aujourd’hui pour tous les mouvements dits spirituels sans aucune exception. Et vous l’avez pour quatre-vingt-dix-neuf pourcent virgule neuf des channels. Ils ne font que maintenir le rêve. Il faut oser dire la vérité. Il est facile de la vivre mais il est beaucoup plus difficile de demeurer immuables dans l’affirmation de votre vécu.
Mais tous les êtres qui sont passés, je ne parle pas dans les temps anciens. Mais depuis dix, vingt ans, vous avez des témoignages d’innombrables frères et sœurs, avant de mourir, qui vous ont dit la même chose que Bidi, et que nous maintenant. Mais tant que vous ne l’avez pas vécu, ce n’est pas vrai pour vous. Mais quand vous le vivez, c’est l’unique vérité. Et aucun enseignant, dit spirituel, ne peut l’accepter. C’est normal. Vous vous placez en position d’autorité, de celui qui sait et qui aide l’autre à trouver la vérité. Mais quelle vérité. Celle de l’énergie, de la conscience ou la vérité Absolue.
Et je me fous que les spiritualeux disent l’inverse. Ils ne connaissent rien à la science, ils ne s’intéressent pas aux événements qui se produisent sur la Terre dans ce plan-là. Ils ne veulent surtout pas voir les volcans, les séismes, la grêle de partout, le déluge universel, les espèces animales qui disparaissent. Ils sont dans le déni total. Mais il faut leur pardonner. Ils auto entretiennent leur rêve mais ça ce n’est pas grave. Ce qui est grave c’est qu’ils exercent inconsciemment une prédation en voulant être écoutés, en voulant être admirés.
Mais est-ce que tête de caboche cherche quelque part à être admiré. Vous ne pouvez pas être admiré en annonçant la fin de la Création. Vous ne pouvez être que rejeté par ceux qui ne le vivent pas. Totalement. Et de façon parfois très grave. Mais vous croyez que celui qui est transparent peut être touché par toutes vos gesticulations et vos mots et tous vos actes occultes. Vous plaisantez ou quoi. Il vous l’a dit, il est Abba, comme vous l’êtes, mais vous, vous ne le savez pas encore.
Il n’y aucune tricherie là-dedans. Il faut être suffisamment incassable et avoir la tête dure effectivement, pour oser porter la Vérité. Tous les autres ne font que ralentir, nous l’avons dit. Ou espérer ralentir l’inéluctable. L’inéluctable c’est la fin du rêve. Donc, poser cette question prouve que tu penses que le rêve est réel. Mais vous rêver tous, tant que vous ne vivez pas Agapè. Tant que vous n’êtes pas dans la Joie Nue. Ce sont des chimères. Et si tu attends qu’Il y ait un nombre suffisant d’enseignants spirituels, je te dis, on se contrefous de ces personnages-là.
Nous avons beaucoup plus une admiration pour ceux qui ont eu une vie méprisable et qui ont été méprisés et qui vivent la Vérité. Parce qu’ils ont été humiliés dans leur vie mais ils sont Vrais. Tous ceux qui enseignent, et je ne parle pas de spiritualité, se cachent derrière leurs connaissances. Ils ne veulent que vous faire adhérer à leurs visions étriquées et incomplètes. Celui qui vit la Vérité n’a pas besoin de le déclamer sur les toits. Il est.
Et quand Abba vous dit que vous êtes des millions à le vivre, bien sûr vous êtes des millions, mais des anonymes, pas ceux qui sont connus ou sur le devant de la scène. Tous ceux-là sont des marionnettes. C’est la fin du business du développement personnel, de la spiritualité, c’est une escroquerie totale. Ça avait dit, à l’époque par Frère K, par rapport à Autres Dimensions, juste avant que ça s’arrête, que toutes organisations, même si elle avait été utile durant un temps, devait cesser. Tant que vous croyez organiser la spiritualité, non seulement vous n’êtes pas libres mais vous privez les autres de liberté.
Et ça va être de plus en plus vrai. Vous ne pouvez pas tricher avec la vérité. Et surtout si vous ne le vivez pas, Agapè. Si vous ne vivez pas cette Joie. Saisissez bien cela. Et je n’ai aucune peur des paroles que je prononce de même que Abba n’a aucune possibilité d’être touché ou atteint par tout ce qui est fait par certains. Parce qu’il est dans la Vérité. Et tous ceux qui le vivent aussi sont dans la Vérité. Ils sont Abba. Ils sont Agapè, ils sont la Liberté, ils sont l’Absolu.
Mais bien évidemment face à cela, tous ceux qui rêvent encore dans leurs consciences et dans les énergies et les vibrations vont se ramasser gravement. C’est normal. Ça fait un an, plus d’un an que la Bonne Nouvelle est propagée. Et de façon de plus en plus accessible par tout le monde. Elle est de partout, la Vérité. Dans l’augmentation des séismes, dans le volcanisme, dans les inondations, dans la grêle, dans la disparition des animaux, des insectes.
Il faut vraiment être de mauvaise foi ou croire en je ne sais quoi, pour ne pas vivre la Vérité. Parce qu’ils ont peur. Rappelez-vous, Bidi et tête de caboche vous l’ont dit, non seulement la spiritualité est une escroquerie, mais la recherche spirituelle n’est que le reflet et la traduction de la peur de la mort. Rien d’autres. Ça n’a rien à voir avec la voie de l’Enfance, La voie de Thérèse, qui est la voie la plus directe. C’était bien sûr, la seule possibilité, il y a encore quelques années.
L’énergie, les montées vibratoires, les chakras, les couronnes, les Étoiles ça existe toujours. Mais c’était pour faire vivre et découvrir la Vérité que vous êtes. Mais, à travers cette question, là aussi, on ne voit et on ne sent que la peur de la mort. La peur de la disparition de la conscience. Bien sûr. La personne a posé la question, elle peut me dire qu’elle n’a pas peur de la mort. Je serais curieux de savoir ça, tiens. Elle est terrorisée par la mort, c’est évident.
Sœur : C’était quoi la question.
Frère : Tu as demandé pourquoi il n’y avait qu’un Abba.
Je n’ai rien entendu.
Voix : Non, ils discutent entre eux par rapport à ce que vous venez de dire.
Mais, encore une fois, la Vérité n’est pas un objet de discussion. Elle est vécue ou pas. La Vérité ne peut que se vivre. Vous ne pouvez pas le comprendre. Tant que vous mettez la compréhension devant, vous ne le vivrez pas. Vous le vivrez au moment collectif et c’est tout. Mais l’atterrissage risque d’être pénible. Vous avez été prévenus depuis d’innombrables années. Par toutes les voies possibles.
Vous êtes-vous sacrifiés. Regardez ces enseignants spirituels, est-ce qu’il se sont sacrifiés. Est-ce qu’ils ont donné la Vie, mais non. Ils se prennent pour des Maîtres, pour des gourous même s’ils ne le disent pas. Ils se croient réellement supérieurs. Mais celui qui est vraiment supérieur c’est l’enfant et l’innocent, pas l’enseignant. D’ailleurs, pour être enseignant, à quel que niveau que ce soit, il faut un sacré manque d’humilité. Eh oui, même les Anciens, nous vous le disons aujourd’hui. Et il faut une sacrée peur aussi. Et dont la peur essentielle, et ça, je crois que tête de caboche Abba vous en a parlé. C’est la peur de l’extinction de la conscience, la peur de la mort et la peur du néant. Ça prouve bien que vous n’avez pas vécu la Vérité.
Et vous pouvez chercher tant que vous voulez, dans les énergies, dans les vibrations. Vous pouvez parler tant que vous voulez, ça ne changera rien. Tant que vous ne l’avez pas vécu. Or, il est beaucoup plus facile de le vivre pour un frère ou une sœur, qui a une vie, cette dernière vie, extrêmement difficile. Parce que pour eux c’est plus facile de lâcher. Ils n’ont rien, qu’est-ce que vous voulez qu’ils lâchent. Mais tous ceux qui possèdent une connaissance, de l’argent, des maisons, vous croyez qu’ils vont lâcher comme ça vous?
C’est mal connaître la nature humaine, même en vivant les énergies et les vibrations. Celui qui n’a rien à perdre accepte de tout perdre. Celui qui pense avoir tout à perdre n’acceptera jamais de tout perdre. Celui qui voudra sauver sa vie la perdra. Maintenant, vous n’avez pas besoin d’Abba. Vous avez plutôt besoin de connaissance, un peu, un minimum scientifique de ce qui se déroule réellement.
Et qu’est-ce qui baragouine, qu’est-ce qu’ils disaient, la conclusion de ce qu’ils disaient en aparté-là?
Sœur : On ne se rappelait plus la question donc… […]
Voix : Non, il n’y a rien eu de particulier.
D’ailleurs, celui qui accepte que la conscience est un rêve et la spiritualité une escroquerie, il est beaucoup plus léger. Vous le voyez dans les rencontres. Ce sont des frères et des sœurs qui sont spontanés. Ce sont des frères et des sœurs qui ne s’appuient plus sur l’énergie, sur la vibration, ils les vivent. Mais ils s’appuient sur la spontanéité, sur la fraternité, sur leur humanité la plus simple. Ils n’ont pas besoin de mettre en avant des connaissances de chakras, d’énergie, de vibrations ou de je ne sais quoi.
Sœur : La question n’était pas posée sur le doute de la vérité de ce qu’Abba disait, la question était posée sur le fait que, que le monde est encore très perdu et il y a peu de gens qui en parlent. Voilà.
Voix : Là, ça serait un témoignage donc…
Alors, il faut le répéter ou alors il faut le faire entendre.
Sœur : Ce n’est pas un témoignage. La question a été posée sur le fait que Abba…
Voix : La question était posée sur le fait que Abba…
… Ce n’était pas sur un doute, ce n’était pas sur un doute de ce que Abba a dit. C’était sur le fait qu’il n’y a pas beaucoup de Abba qui en parlent mais pas sur un doute de ce que Abba dit.
Voix : C’est difficile de le redire.
Frère : Répète mot à mot.
Voix : En fait, il n’y a pas beaucoup de Abba qui retrans… qui disent ça.
Sœur: ce n’est pas sur le doute de ce que disait Abba.
Mais demande autour de toi parmi les frères et sœurs qui sont là. Quels sont ceux qui sont libérés et qui pensent encore à aller dans une dimension ou ailleurs? Ça été la même question, la semaine précédente qui m’a été adressée. Renseigne-toi. Je ne te parle pas des enseignants spirituels ou de ceux qui sont dans le questionnement mais de ceux qui vivent la Vérité. Il y en a dans cette pièce, je les vois.
Sœur : Jean, tu comprends ce que je veux dire.
Frère : Tu peux répéter s’il te plaît.
… Oma a peut-être mal compris la question. En fait, le fait de dire que c’était seulement tête de caboche qui en parle, ce n’était pas comme une critique de ce qu’il dit n’est pas vrai. Il est évident qu’il y a peu de gens qui disent la Vérité simplement.
Voix : Oui, ce n’est pas une critique en fait.
J’ai bien compris mais je te conseille de lire un peu des écrits hors de la spiritualité sur des frères et des sœurs vivants ou morts dont t’a parlé tête de caboche et qui ont écrit à merveille leurs vécus.
Sœur : Non mais j’ai bien compris tout ça.
On n’en a rien à faire aujourd’hui des vieux croûtons que nous sommes. On n’en a rien à faire de la spiritualité de vos archétypes, de vos énergies et de vos vibrations. Bien sûr que nous nous sommes appuyés là-dessus sur le plan pédagogique, c’était essentiel. Mais aujourd’hui, qui parle. Qui veut jouer encore au rêve de la conscience si ce n’est celui qui n’a pas vécu la Vérité. La Vérité ne peut être dite. Elle ne peut être que vécu. Il n’y a qu’une vérité. Elle est absolue et totale. Tu peux gesticuler dans tous les sens, dire tous les arguments que tu veux, ça ne changera rien. Et tu ne peux pas être convaincue par des mots, par des énergies, par des vibrations. C’est justement l’arrêt des questions, des énergies et des vibrations, la nudité totale qui te fait vivre la Vérité. Rien d’autres.
La conscience est une maladie. Mais celui qui est conscient, installé dans sa supraconscience, il ne peut pas l’accepter et c’est normal. Donc, si tu veux discuter pendant des heures là-dessus, ça ne sert à rien. Quel est le point de vue à défendre.
Voix : C’était juste, pas un témoignage mais un quiproquo.
Et encore une fois, vous êtes ici nombreux, comme dans tous les lieux où je me rends avec Abba, à vivre la Vérité. Est-ce que vous avez besoin d’imaginer un nouveau monde, une nouvelle Terre, une nouvelle dimension non, vous êtes totalement insérés dans l’instant présent. Dans l’humilité, dans la fraternité, dans le don et le partage. Est-ce que vous avez besoin d’y mêler des archétypes même les plus nobles. Est-ce que vous avez besoin de vous référez à une histoire quelle qu’elle soit. Dites-le.
Quand vous vivez l’Amour, quand vous vivez Agapè mais c’est d’une évidence. Et je que d’ailleurs Abba vous a dit ce matin que ceux qui ne le vivaient pas, ils avaient des nez rouges. C’est évident. Vous jouez les nez rouges. Ceux qui sont vrais n’ont pas besoin de nez rouges. Ils sont transparents. Ils sont authentiques. Ils n’ont pas besoin de souffrir, ils n’ont pas besoin d’épreuves. Ils ont en général, assez souffert dans cette vie. Par justement, ne pas être reconnus et être très mal en ce monde pour différentes raisons. Mais aujourd’hui ils ont la récompense.
Mais tous ceux qui ont vécu dans l’opulence de la spiritualité sont très mal placés pour donner leur avis aujourd’hui. Encore une fois, vous pouvez vous interroger les uns, les autres ici dans cette salle et demander aux frères et aux sœurs qui vivent Agapè s’ils pensent à Marie, s’ils pensent à Christ, s’ils pensent à une nouvelle Terre ou une nouvelle dimension ou quoi que ce soit lié à la conscience. Vis-le! Et tu ne pourras plus t’interroger.
Et la notion d’interrogation, pourquoi les enseignants spirituels n’en parle pas, c’est ils sont dans l’ego. C’est ce qu’on a nommé déjà, il y a de nombreuses années, l’orgueil spirituel. Et vous en avez la démonstration de partout. Ceux qui sont authentiques ne sont pas des enseignants. Ce sont des humains qui vivent la fraternité, le don d’eux-mêmes. L’Amour, ils se prennent dans les bras, ils se regardent, ils n’ont pas besoin de discours sur les chakras ou sur n’importe quoi d’autres. Quand j’ai parlé tout à l’heure de fessée cosmique, c’est la vérité. Ce n’est pas une punition, c’est une rétribution. Nous l’avons vécu nous aussi. Dès que vous êtes suivi par quelqu’un, vous le privez de liberté, celui qui vous suit. Ce sont, comme disait le Christ, des borgnes qui guident des aveugles, c’est merveilleux.
C’est exactement ça. Et vous allez vous en apercevoir de façon de plus en plus directe. Aujourd’hui, ce n’est pas les enseignants spirituels qui vivent la Vérité. Certainement pas. C’est ceux qui sont spontanés, qui ont découvert la voie de l’enfance c’est-à-dire leur humanité et leur simplicité. Vous n’avez pas d’autres possibilités. Tu peux tourner le truc dans tous les sens que tu veux, nous l’avons dit, d’innombrables fois, la vibration vous faisait découvrir et vivre la supraconscience. C’était le but. Mais si vous êtes installés dans la supraconscience, quelle que soit la magnificence de vos perceptions ou de vos dons, vous êtes faux. Vous n’êtes pas vrais. Parce que si vous étiez vrais vous seriez uniquement en Joie, quoi qu’il vous arrive. Et quoi qu’il arrive à ce monde.
Et vous n’auriez surtout aucune projection ou propension à penser à une nouvelle dimension, une nouvelle Terre ou quoi que ce soit. Agapè est complétude. Agapè est l’unique Vérité. C’est la fin du rêve. Mais encore une fois, laissons les rêveurs rêver. Ils auront toujours des arguments, des justifications à vous proposer ou des interrogations. Celui qui vit réellement et concrètement la Vérité n’a pas de question ou d’interrogation. Il a retrouvé sa Vérité, son humanité, sa voie de l’enfance et sa simplicité.
Et tout se passe en simplicité pour celui qui est simple. Et tout va devenir compliqué pour celui qui est compliqué. Ça s’appelle de la rétribution, ce n’est pas une punition. Rappelez-vous, nous avions parlé longuement de la co-création consciente. Qu’avez-vous co-créé dans cette vie. Qu’avez-vous fait de cette dernière vie. Vous êtes exactement à la bonne place.
Oui, qu’est-ce que tu veux me dire par là? Que c’est l’heure, oui.
Voix : Voilà.
Alors chers amis, je vous transmets toutes mes bénédictions et je laisserai ma place après moi et votre pause à celui qui va, n’ont pas vous remonter les bretelles mais vous les enlever. Je vous dis à très bientôt! Avec une grande Joie et portez-vous bien!
Tous : Merci! À bientôt!
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